Анастасия Александровских - написанные рецензии

Рецензия на «No puedo permanecer en silencio!» (Николай Сологубовский)

Николай, Anastasia Vladimirovna сделала ещё два перевода на французский язык и на португальский. Бесконечное спасибо ей за это.

Французский:

Je ne peux pas me taire!
Je respecte Pravdinform. Je respecte Lev Verchinine. J’espère qu'ils comprendront les libertés que je me suis permises lors de la lecture ce qui a été écrit et publié.

Parce que ...
Je ne peux pas me taire!
Commençons par le début. Voici la publication de Lev Verchinine:

http://trueinform.ru/modules.php?name=News&file=article&sid=1925

Je lui ai donné un autre nom: «Nous avons fait des calculs et nous sommes en pleurs! A cause de différents frais et de pots de vin ...!"

Et puis, j'ai commencé à rajouter au texte ce qui ne pouvait y manquer. Et je lui ai donné un nom différent. A vous de juger!

Les rebelles se sont emparés du Banque centrale de Libye et ont annoncé la vente de 29 tonnes d'or, dans le but de "fournir aux citoyens des salaires." Le nouveau directeur de la Banque centrale, Ghassem Azzoz, a également noté que les ressources de la banque ont été bien protégées pendant la guerre, que rien n'a été volé. Rien! Et rien n'a été pris!

Comme il a été avéré , c'est incroyable que "le tyran corrompu" n'ait même pas été tenté par une gramme de l'or gagné par son peuple. Pas une gramme! (même les "révolutionnaires" ont dû l'admettre, et cela n'est pas rien).

Mais nous, amis de la Libye, nous avons appris à connaitre le colonel au cours des six derniers mois, et cela ne nous semble pas étrange du tout. Une autre chose, elle, est étonnante. Parlons-en.

Il y a plus ou moins une semaine, les auto-proclamés "amis de la Libye" se sont réunis à Paris pour décider qu', une fois la capitale Tripoli capturée, - la grande affaire!- l'argent du peuple libyen "dégelé" passerait aux mains des "démocrates". Mais qui sont ces "démocrates" et pourquoi faudrait-il tuer des de milliers de Libyens au nom de la "démocratie"? C'est aussi une longue histoire, qu'on pourra raconter un autre jour.

Bref, à Paris, ils commençerent à compter...

Lorsque les calculs ont été effectués, il s'est avéré que, dans les comptes bloqués libyens, il y avait seulement 15 milliards de dollars.

Une minute. L'Occident avait parlé de 170 milliards! Le "tyran" ("ce salaud!", criait tout l'Occident, seulement pour diffamer le lion du désert) avait donc volé de l'argent au peuple libyen!

Les politiciens occidentaux et Margelov, qui s'était uni à eux, commencerent à se sentir gênés. Apres quelques conversations à huis clos, ils annoncerent solennellement qu'ils avaient trouvé une dizaine de milliards de dollars supplementaire. 25 au total! Au lieu des 170 milliards gelés en Mars!

Malgré tout, cette somme fût envoyée aux nouvelles autorités libyennes. Pas dans la devise d'origine (les comptes d'origine étaient en dollars, euros, livres et, en théorie, auraient dû être retournés en espèces), mais dans des boîtes avec des dinars libyens, tous justes sortis de l'imprimerie. Expediés de Londres - jusqu'à 40 tonnes!

Ca signifie qu', au lieu de l'argent réel confié aux banques occidentales par le gouvernement légitime de Libye - destiné au financement et aux projets de coopération international d'intérêt pour le peuple libyen, et béni par la démocratie occidentale-, le peuple a en fait reçu des papiers de couleur avec des traçes d'eau!

Et il a été démontré que l'argent (enfin, la monnaie libyenne imprimé à Londres!) avait été imprimé avant la rébellion, et que ce processus avait déjà été payé par la Jamahiriya libyenne!

Encore une fois, le peuple libyen a été volé! Et même les 25 milliards de dollards n'ont pas été retournés!

En résumé, les 170 milliards de dollars du peuple Lybien ont simplement été volés par les pays occidentaux.

C'est pourquoi, aujourd'hui, la Banque centrale de Libye doit vendre de l'or. Cet or sacré, qui n'a pas été touché et qui n'a jamais été vendu, pas même pendant les pires moments de la Jamahiriya libyenne, et qui est attaqué par les rebelles et les agresseurs de l'OTAN. Le leader du pays, lui, ne touchait pas à ce qui appartenait au peuple. Ce n'était bien!

Et que fait le soi-disant «nouveau gouvernement»? Qu'a-t-il commencé à faire, dès que les rebelles ont envahi la capitale? L'or vendu leur a permit de payer l'argent promis aux mercenaires, et autres rebuts, de plus en plus nombreux en Libye, ceux-là mêmes qui ont détruit ce que n'avaient pas encore détruit les missiles et les bombes de l'OTAN.

Et en plus, les pays occidentaux demandent le paiement du coût de la guerre pour - excusez du peu - "avoir libéré le peuple libyen de son tyran".

J'essaie de trouver dans l'histoire au moins un exemple d'un vol similaire. Les conquistadors espagnols peut-être? Qui ont échangé des bibelots contre l'or massif des Amérindiens? Non, même pas. Les Libyens ne sont pas dupes. De plus, les Amérindiens ont accepté d'eux-mêmes d'être volés, ce cas est différent. Ici on parle de vol pur. 170 milliards évaporés! Fantastique!

Mon regard se porte vers ces "amis de la Libye" lors du sommet de Paris, posant pour les photos de plusieurs caméras, et je remarque ce complaisant bureaucrate qui représente mon pays, la Russie, vêtu de ce costume de voleur et, excusez-moi, mais...je serre les poings.

Je sais. Je sais bien qu'aujourd'hui mes amis libyens se serrent les uns aux autres dans les ruines de ce qui était autrefois leurs maisons confortables, qu'ils se retrouvent sans eau parce que les conduites d'eau ont été détruites par les rebelles, sans lumière, à cause des bombardements de l'OTAN qui ont tout fait exploser, sans nourriture et sans médicaments, sans écoles et hôpitaux et... Je suis horrifié!

Qu'est-ce qui se passe? Personne n'a d'explications à donner?

Non, pas à moi. Moi, je comprends à merveille. Je vois cet horrible prédateur impérialiste qui a décidé que ce monde lui appartient désormais.

Mais, à mes côtés, se trouve cette même fillette avec un portrait du leader. Je l'ai rencontrée en mai, à Tripoli, après le bombardement d'une école d'art pour les enfants. Calme et avec un sourire malicieux, elle m'avait demandé en anglais (à l'école, elle étudiait la langue de Shakespeare) : "Pourquoi ces bombes?"

Et je me souviendrai à jamais de l'histoire de Kirsan Ilioumjinov Nikolaïevitch, un brave citoyen russe, qui est arrivé à Tripoli au moment des bombardissements et qui s'est entretenu avec le chef. Il avait la même question: «Pourquoi ces bombes?"

Maintenant, j'appel à toutes celles et tous ceux qui aujourd'hui font les comptes, encore et encore, à ceux qui continuent à écrire de mauvaises choses sur la Libye et les Libyens, à ceux qui n'ont qu'une chose en tête "l'or des Libyens". Je demande à ceux qui répètent "Il s'est enfui" ou "Quand enfin il sera capturé, il sera démembré" la question suivante :

"Avez-vous conscience de ce que vous dites?"

Dites-moi!

Je reviendrai à Tripoli, la capitale libyenne, libre de tous déchets et saleté; une ville qui, malgré toutes les atrocités et les folies, continue d'être évoqué noblement dans la bouche de l'Occident et la Russie. Et dans la ville libérée, je rechercherai la fille pour l'embrasser et lui dire "Tu es vivante! Tu as survécu à toutes ces horreurs! Accroche-toi! Il ya des gens et il ya un pays qui a toujours été avec toi. Je vais t'aider! Et aies confiance en ton ami russe, quand il te dit que, toi aussi, un jour tu iras à l'école, nous allons la reconstruire de ses cendres, sois-en sûre. Nous imprimerons les livres brûlés par ces malfaiteurs islamiques. Et, surtout, je te promets que les oiseaux noirs ne viendront plus jamais dans la nuit en provenance du nord. Ils sont maintenant et pour toujours cloués au sol. Seuls des avions de paix voleront au dessus de l'Europe. Je te le promets ... "

Vous pouvez penser ce que vous voulez à mon sujet. Que je suis un menteur et qu'il n' y aura jamais la paix sur Terre. Et que, pays après pays, peuple apres peuple, tous seront éliminés, effacés de la terre, comme la Libye a été détruite et transformée en cendres et poussière.

Mais je veux croire que, parmi ceux qui me liront ou m'entendront, certains voudront me rejoindre afin de protéger cette fillette!

Nicolas Sologubovsky, Tripoli - Moscou, et Triboli bientôt à nouveau. Le 10 septembre.

Анастасия Александровских   13.09.2011 13:53     Заявить о нарушении
Португальский:

Não posso ficar calada!
Respeito Pravdinform. Respeito Lev Vershinin. Aguardo que eles percebam porquê tomei certas licenças quando estava a ler o que escreveram e publicaram.
Porque...
Não posso ficar calada!
Comecemos pelo princípio mesmo. Cá esta a publicação de Lev Vershinin:

Dei-lhe um outro nome: "Fizemos cálculos e estouramos em lágrimas! Para gastos vários e subornos..."

E depois comecei a acrescentar no texto o que não podia deixar de acrescentar. E dei-lhe um nome diferente. Julguem vocês agora!

Os rebeldes do Conselho Nacional Transitório capturaram o Banco Central da Líbia e anunciaram a venda de 29 toneladas de ouro. O banco levou a cabo estas medidas para "prover os cidadãos dos seus salários". O novo diretor do Banco Central, Ghassem Azzoz, também fez notar que os recursos do banco foram bem protegidos durante a guerra, nada fora roubado! Nada! E nada fora tirado!

É surpreendente, tal e como foi a coisa, que "o corrupto tirano" não esteve tentado nem por uma grama do outro do povo. Nem uma grama! (como os "revolucionários" tiveram que admitir, e isto significa muito).

Mas nós, amigos da Líbia, fui-mos conhecendo o Coronel durante os passados seis meses, e não nos estranha nada. Há uma outra coisa surpreendente. Falemos disso então.

Mais ou menos há uma semana os auto-denominados "amigos da Líbia" reuniram-se em Paris para decidirem que uma vez a capital de Líbia, Tripoli, for capturada - tremenda história! - o dinheiro do povo líbio poderia-se "descongelar" e passar a mãos dos "democratas". Quem são os "democratas" e porque há que matar milhares de líbios no nome da "democracia"? - isso também é uma outra história para contar outro dia.

Em breve, em Paris começaram a contar e...

Quando os cálculos foram feitos, resultou que nas paralisadas contas líbias havia só 15 biliões. De entre 89 ou 130...

Alto. Ocidente falara de 170 biliões! E asseguraram que o "tirano" ("que sacana!" berravam os políticos e todos em Ocidente, só para difamar o leão do deserto) roubara o dinheiro do povo líbio!

Os políticos ocidentais e Margeloy, quem se uniu a eles, começaram a se sentirem pouco confortáveis. Tiveram umas conversas a porta fechada e anunciaram solenemente que tinham achado outros dez biliões. 25 no total! De 170 biliões, congelados em Março!

Ainda assim, mesmo esta quantidade foi enviada às "novas" autoridades da Líbia não na moeda original (as contas originais figuravam em dólares, euros, libras e, em teoria, tinham que ser devolvidas em efetivo), mas vieram em caixas com dinares líbios recém tirados do prelo. Desde Londres - até 40 toneladas!

Isto é, na vez de dinheiro real custodiado por bancos ocidentais para o legítimo governo da Líbia e destinado a financiar projetos de cooperação internacional de interesse para o povo líbio, abençoado pela democracia Ocidental, o povo recebeu papel às cores e marcas de água.

E assim foi que o dinheiro (bom, moeda líbia impressa em Londres!) foi impressa antes da rebelião e a tal impressão já fora pagada pela Jamahiriya líbia!

Mais outra vez, o Povo líbio foi roubado! E ninguém devolveu os tais 25 biliões!

Em resumo, os 170 biliões de dólares do Povo simplesmente foram roubados da Líbia pelos países Ocidentais.

É por isto que agora o Banco Central da Líbia tem que vender ouro. O ouro sagrado, que não fora tocado e nunca vendido nem nos mais difíceis momentos da Jamahiriya líbia, atacada pelos rebeldes e os agressores da NATO. O líder do país não tocara o que pertencia ao povo. Era de justiça!

E que faz o chamado "novo governo"? Que faz assim tão cedo como os rebeldes irrompem na capital? Com a venda do ouro pagam as verbas prometidas aos mercenários e outra escumalha, em aumento na Líbia, que destruíram o que não destruíram os mísseis e bombas da NATO.

Ainda mais: Ocidente demanda o pagamento do custo da guerra por - desculpem - "ter libertado o Povo líbio do seu tirano".

Estou tentando encontrar na história quando menos um exemplo de um roubo semelhante. Os conquistadores espanhóis talvez? que trocaram bugigangas por ouro maciço dos nativos americanos? Não, nem isso. Os líbios não são parvos. Aliás, os nativos americanos acederam a serem roubados eles mesmos, este caso é diferente. Aqui falamos de puro roubo. 170 biliões evaporados! fantástico!

Olho para estes "amigos da Líbia", na cimeira de Paris, a posarem para as fotos das múltiplas câmaras, e reparo no complacente burocrata que representa o meu país, Rússia, neste fato de ladrões e, desculpem mas... aperto os punhos.

Sei. Sei bem que agora os meus amigos líbios chegam-se uns aos outros nas ruínas do que uma vez foram as suas confortáveis casas, sem água porque as canalizações de água foram destruídas pelos rebeldes; sem luz, porque a NATO bombardeou e ruiu tudo; sem comida e medicinas, sem escolas, hospitais e... Estou cheio de espanto!

Que foi? Ninguém pode explicar nada?

Não. A mim não. Eu percebo perfeitamente. Vejo este horrível predador imperialista que decidiu que este mundo agora lhe pertence.

Mas, ao meu lado está ainda a mesma menina com um retrato do Líder. Conheci-a em Maio em Tripoli, após o bombardeamento duma casa para crianças. De forma calma e um sorriso maroto perguntou-me em inglês (na escola estudava a língua de Shakespeare): «Why bombs?»

E lembro que nunca esquecerei a história de Kirsan Nikolayevich Ilyumzhinov, um bravo cidadão russo, que chegou a Tripoli quando estavam a cair as bombas, e encontrou-se com o Líder. Perguntou o mesmo: «Why bombs?»

Agora eu apelo a todos e todas aqueles que hoje fazem contas uma e outra vez, e continuam a escrever coisas ruins sobre a Líbia e os líbios, e para os que nas suas cabeças só está "o ouro dos líbios". Apelo a aqueles que repetem "Ele fugiu" ou "Quando for finalmente capturado ele vai ser despedaçado"...

Eu pergunto: "Têm consciência?"

Digam-me!

Voltarei a Tripoli, a capital líbia, livre de todo o lixo e sujidade, a cidade que apesar de todas as atrocidades e loucuras continua a ser mimada nas bocas de ambos Ocidente e Rússia. E na cidade libertada procurarei pela menina para lhe abraçar e dizer "Estás viva! Sobreviveste todo este horror! Aguenta! Há gente e há um país que sempre esteve contigo! Eu vou te ajudar! E, acredita no teu amigo russo, quando diz que um dia tu também hás ir à escola; nós vamos construí-la desde as ruínas, com certeza vamos fazer isso. Imprimiremos os livros queimados por estes malfeitores Islâmicos. E, o mais importante, prometo que os pássaros pretos nunca mais vão vir na noite desde o norte. Agora e sempre ficarão presos ao chão. Só aviões de paz voarão sobre Europa. Eu te prometo..."

Pensem o que quiserem sobre mim. Que sou um mentiroso e que nunca vai haver paz na Terra. E que país atrás país, povo atrás povo, hão ser eliminados, apagados da face da Terra, assim como a Líbia foi destruída e transformada em cinzas e pó.

Mas eu acredito que entre aqueles que possam ler isto, e entre aqueles que vão me ouvir, haverá quem quiser vir ter comigo e a menina, e protegê-la!

Nicholas Sologubovsky, Tripoli - Moscovo e Tripoli cedo outra vez. 10 Setembro.

Анастасия Александровских   13.09.2011 13:59   Заявить о нарушении
Огромное вам СПАСИБО,уважаемая АНАСТАСИЯ!

Николай Сологубовский   14.09.2011 02:21   Заявить о нарушении
Рецензия на «I can not be silent!» (Николай Сологубовский)

Николай, Anastasia Vladimirovna из группы "За Каддафи и его народ" сделала перевод этой статьи ещё и на испанский язык. Низкий поклон Анастасии и Вам за этот нелёгкий труд, за благородные порывы!

No puedo permanecer en silencio!

Yo respeto Pravdinform. Respeto a Lev Vershinin. Espero que entiendan por qué me permití cierta libertad leyendo lo que fue escrito y publicado por ellos.

Porque ...

¡No puedo permanecer en silencio!

Vamos a empezar desde el principio. Aquí está la publicación de Lev Vershinin:

trueinform.ru/modules.php?name=News&file=article&sid=1925

putnik1.livejournal.com

Le di otro nombre: "Hemos hecho cálculos y rompimos a llorar por los gastos de bolsillo y los sobornos...!"

Y entonces empecé a añadir al texto lo que no pude evitar añadir. Y le di un nombre diferente. ¡Y ahora juzguen ustedes!

El Banco Central de Libia, capturado por los rebeldes del Consejo Nacional de Transición, anunció la venta de 29 toneladas de oro. El banco llevó a cabo estas medidas para "ofrecer salarios a los ciudadanos." El nuevo jefe del Banco Central, Ghassem Azzoz, también indicó que los activos del banco se han conservado por completo durante la guerra. ¡Nada ha sido robado y nada ha sido quitado!

Llama la atención que "el tirano corrupto" (como los "revolucionarios" tuvieron que que admitir, y esto ya es mucho) no fue tentado ni por un gramo de oro de su pueblo. ¡Ni un gramo!

Más los que conocimos al Coronel durante los últimos seis meses, los amigos de Libia, no nos extrañamos de nada. Ota cosa es que resulte sorprendente. Así que hablemos de ello...

Hace una semana, los autoproclamados "amigos de Libia" se reunieron en París para decidir que una vez que la capital de Libia, Trípoli, había sido tomada - ¡Es historia aparte por quién fue capturada!- El dinero del pueblo libio se puede "desbloquear" y se pasa a los "demócratas". ¿Quiénes son los "demócratas" y por qué por el bien de la "democracia" tenían que matar a miles de libios - ¡También es una historia aparte!

En resumen, en París,empezaron a contar y ...

Hechos los cálculos, resulta que en las cuentas congeladas de Libia había sólo 15 millones de dólares. De los 89 o 130...

¡Detente, el Oeste mencionó también 170 biillones! Y afirmaron que el "tirano" robó el dinero del pueblo de Libia! ("¡Menudo bastardo!", gritaron todos los políticos y todo el mundo en Occidente, sólo para difamar al león del desierto!)

La política occidental y Margelov, que se unió a ellos, comenzaron a sentirse incómodos y, tras una conversación a puerta cerrada, anunciaron solemnemente que encontraron otros diez billones de dólares. ¡25 en total, de 170 billones de dólares congelados en marzo!

Es más, esta cantidad fue entregada a las "nuevas" autoridades de Libia no en la moneda corriente (las cuentas estaban en dólares, euros, libras esterlinas y, en teoría, se supone que serán devueltas en efectivo) sinó que vino desde Londres en cajas de dinares libios recién impresos. ¡Aproximadamente 40 toneladas!

Es decir, en lugar del dinero real confiado a los bancos occidentales por parte del Gobierno legítimo de Libia y destinado a financiar los proyectos de cooperación internacional en los intereses del pueblo libio, bendecido por la democracia occidental, ¡la gente recibió papel coloreado con marcas de agua!

Y, como se vio después, el dinero (y, por desgracia, Libia imprimió su propia moneda en Londres!) fue impreso antes de la rebelión y la "impresión" ya había sido pagado por Jamahiriya Libia!

¡Una vez más el pueblo libio ha sido robado! ¡Y hasta 25 biillones no les fueron devueltos!

¡Como resultado, el dinero del pueblo en moneda extranjera - de nuevo, esta cifra es de 170 billones de dólares - simplemente ha sido robado de Libia por los países occidentales!

Es por eso que ahora el Banco Central de Libia tiene que vender el oro. Oro que se mantuvo sagrado, no fue tocado y no se vendió incluso en los momentos más difíciles de la Jamahiriya, la cual sí fue atacada por los rebeldes y los agresores de la OTAN. ¡El líder del país no tocó lo que pertenecía al pueblo!¡Porque no es bueno!

¿Y qué hace el autoproclamado "nuevo gobierno" ? ¿Qué es lo que comenzaron a hacer tan pronto como los rebeldes irrumpieron en la capital? La venta de oro para pagar el dinero prometido a los mercenarios y al resto de escoria que iba creciendo en Libia, y que destruyeron lo que no fue destruido por las bombas y misiles de la OTAN.

¡Y, por otra parte, Occidente exige pagar por el costo de la guerra, perdón, por la "liberación del pueblo libio del tirano"!

Estoy tratando de encontrar por lo menos un solo ejemplo de un robo tan descarado en la historia. ¿Los conquistadores españoles, que cambiaron baratijas de vidrio por el oro puro de los nativos americanos? No, no encaja. Los libios no son tontos. Por otra parte, si los nativos americanos llegaron a un acuerdo para dejarse engañar, aquí es un caso diferente. ¡Aquí es puro robo! ¡170 billones se han evaporado! ¡Fantástico!

Estoy mirandoa estos "amigos de Libia", en la reunión en París, posando felizmente para las fotos delante de numerosas cámaras, y estoy observando cuidadosamente al burócrata engreído que representa a mi país, Rusia, en este grupo de ladrones, y no puedo evitar apretar los puños.

Lo sé, sé muy bien que ahora mis amigos libios se apiñan en las ruinas de las que fueron sus confortables casas, sin agua porque las tuberías fueron destruidas por los rebeldes; sin luz, porque la OTAN bombardeó y destruyó todo; sin alimentos y medicamentos, sin escuelas, sin hospitales y... ¡Me llena de horror!

¿Qué es esto?

¿Alguien lo puede explicar?

No, no a mí. Lo entiendo perfectamente. ¡Veo a este horrible depredador Imperialista, que decidió que todo el mundo ahora le pertenece a él!

Pero... A mi lado, sigue estando la misma niña pequeña con un retrato del líder, a la que conocí en mayo en Trípoli, tras el atentado de la Casa del Arte de los niños, y en voz baja y con una sonrisa llena de confusión me preguntó en Inglés, en la escuela en la que aprendió el gran idioma de Shakespeare: «¿Por qué las bombas?»

Y recuerdo, y nunca olvidaré la historia de Kirsan Nikolayevich Ilyumzhinov, un valiente ciudadano ruso que llegó a Trípoli bajo las bombas y se reunió con el líder. Y se hizo la misma pregunta: «¿Por qué las bombas?»

Y ahora hago un llamamiento a todos los que hoy maquinan una y otra vez, que siguen escribiendo cosas negativas acerca de Libia y los libios, y en cuya cabeza sólo hay "oro del pueblo libio" eliminado (¡como se comprobó después, no eliminado!) para la lejana Níger. Hago un llamamiento a aquellos que repiten las líneas escritas por otros: "Él huyó" o "¿Cuándo, por fín, será capturado y roto en pedazos?"...

Yo les pregunto: "¿Tienen conciencia?"

¡Díganme!

Estaré de vuelta en Trípoli, la capital libia, libre de toda esta basura y suciedad. La ciudad que, después de todas las atrocidades y la locura, sigue siendo referente de nobles palabras, tanto por parte de Occidente como de Rusia. Y en la ciudad liberada, voy a buscar a esta niña, a abrazarla y a decirle: "¡Estás viva! ¡Sobreviviste a todo este horror! ¡Resiste! ¡Hay personas y hay un país que siempre ha estado con vosotros ! ¡Yo te ayudo! Y cree a tu amigo ruso, que llegará un día en el que volverás a ir a la escuela, que la reconstruiremos a partir de las ruinas. ¡Puedes estar segura que lo haremos! Vamos a imprimir los libros quemados por estos matones islámicos y, lo más importante, te prometo que las oscuras aves nunca vendrán de nuevo por la noche desde el norte. Ahora estarán siempre encadenadas a la tierra. Sobre Europa, sólo aviones pacíficos volarán. Te prometo que...

Piensen lo que quieran de mí. Que soy un mentiroso y que nunca habrá paz en la Tierra. ¡Y que un país tras otro, pueblo tras pueblo, persona tras persona, serán eliminados, borrados de la faz de la tierra, al igual que Libia fue destruida y convertida en cenizas y en polvo!

Pero creo que entre los que lean esto, y entre los que me escuchen, habrán algunos que se vengan conmigo a proteger a esa pequeña niña.

Nicholas Sologubovsky, Trípoli - Moscú y Trípoli, juntos muy pronto y de nuevo. 10 de septiembre.

Анастасия Александровских   12.09.2011 13:15     Заявить о нарушении
Рецензия на «Не могу молчать!» (Николай Сологубовский)

Николай, Anastasia Vladimirovna из группы "За Каддафи и его народ" сделала перевод Вашей замечательной и очень сильной статьи.
I can not be silent!

I respect Pravdinform. I respect Lev Vershinin. I hope they will understand why I allowed certain freedom reading what was written and published by them.

Because ...

I can not be silent!

Let's start from the very beginning. Here is Lev Vershinin’s publication:

http://trueinform.ru/modules.php?name=News&file=article&sid=1925

putnik1.livejournal.com

I gave it another name: "We’ve done calculations and burst into tears! For pocket expenses and bribes .... "

And then I started adding to the text what I couldn’t help adding. And gave a different name. And now you judge!

Central Bank of Libya, the rebels captured the Transitional National Council, announced the sale of 29 tons of gold. The bank undertook these measures to "provide citizens with wages." The new head of the Central Bank Ghassem Azzoz also poined out that the bank's assets were fully preserved during the war, nothing has been stolen! Nothing! And nothing has been removed!

It is striking that as it turned out, "the corrupt tyrant" (as the “revolutionaries” had to admit, and this is worth a lot) was not tempted even by a gram of gold owned by the people. Not a gram!

However, knowing about the Colonel what we, friends of Libya, learned about him over the past six months, there's nothing strange about it. Another thing is surprising. So let’s talk about it.

About a week ago, the so-called self-styled "friends of Libya" met in Paris to decide that once the capital of Libya Tripoli had been seized - it is a separate story by whom! - the Libyan people's money can be "unfreeze" and passed to the "democrats." Who are the "democrats" and why for the sake of "democracy" they had to kill thousands of Libyans - is also a separate story!

In brief, in Paris they began to count and...

When calculations were done, it turned out that on the frozen Libyan accounts there were only 15 billion. Out of the 89 or 130 ...

Stop, the West mentioned also 170 billion! And claimed that the "tyrant" ( "what a bastard!" screamed all the politicians and everybody in the West, just to defame the lion of the desert! ) stole the money from the Libyan people!

Western politics and Margelov who joined them started feeling uncomfortable, they had a talk behind closed doors and solemnly announced that they found other ten billion. 25 altogether! Out of 170 billion, frozen in March!

Moreover, even this amount was delivered to the "new" authorities of Libya not in the currency (the accounts were in dollars, euro, pounds and, in theory, were supposed to be returned in cash ) but they came in boxes with newly printed Libyan dinars. From London - as much as 40 tons!

That is, instead of real money entrusted to Western banks by the legitimate Government of Libya and meant for financing the projects of international cooperation in the interests of the Libyan people, blessed by the Western democracy, the people received coloured paper with water marks!

And, as it turned out, the money (and, alas, Libya printed its own currency in London!) was printed before the rebellion and "printing" has already been paid by Libyan Jamahiriya!

Again the Libyan people have been robbed! And even 25 billion was not given back!

As a result, the people's money in foreign currency - again, this is 170 billion dollars! - The money simply has been stolen from Libya by Western countries!

That is why now the Central Bank of Libya has to sell gold. Which was kept sacred, was not touched and not being sold even at the most difficult moments of Libyan Jamahiriya, which was attacked by the rebels and the NATO aggressors. The country’s leader did not touch what belonged to the people! Because it is not good!

And what does the so-called "new government" do? What does it start with as soon as the rebels burst into the capital? With the sale of gold to pay the promised money to the mercenaries and the rest scum, surging in Libya, and who destroyed what was not destroyed by NATO bombs and missiles!

And, moreover, the West demands to pay for the cost of the war, I'm sorry, for the "liberation of the Libyan people from the tyrant!"

I'm trying to find in history at least a single example of such blatant robbery. Spanish conquistadors, who swapped glass trinkets for the pure gold of the Native Americans? No, it does not fit. The Libyans are not fools. Moreover, if the Native Americans themselves agreed to be fooled, here it is a different case. Here it is Pure Robbery! 170 billion has evaporated! Fantastic!I am looking at these "friends of Libya," at the meeting in Paris and happily posing for photos in front of numerous cameras, and I am carefully looking at the smug bureaucrat, who is representing my country, Russia in this bunch of thieves and, forgive me, I am clenching my fists.
I know, I know well that now my Libyan friends huddle in the ruins of their have been comfortable homes, without water because the water pipes were destroyed by the rebels, with no light, because NATO bombed and destroyed everything, without food and medication, without schools, hospitals and .... I am filled with horror!
What is it?
Anybody can explain?
No, not to me, I understand perfectly. I see this horrible imperialist predator, who decided that all the world now belongs to him!
But ... next to me is still the same little girl with a portrait of the Leader, I met her in May in Tripoli, after the bombing of the House of children's art, and she quietly and with a guilty smile asked me in English, in school she was taught great Shakespeare's language: «Why bombs?»
And I remember and I will never forget the story of Kirsan Nikolayevich Ilyumzhinov, who, a brave Russian citizen, arrived in Tripoli under the bombs, and met with the Leader. And he asked the same question: «Why bombs?»
And now I appeal to all those who today counts and calculates again and again, who continues to write bad things about Libya and the Libyans and in whose heads there is only "the Libyan people's gold" removed (as it turned out not removed! ) to the faraway Niger. I appeal to those who in each other line repeats: "He ran away" or "When at last will he be caught and torn into pieces?" ...
I ask you: "Do you have conscience?"
Tell me!
I'll be back to Tripoli, the Libyan capital, free from all this rubbish and filth, the city which is s after all the atrocities and madness is still addressed in noble words both by the West and Russia as well. And in the liberated city, I'll look for this little girl to hug her and say, "You're alive! You went through all this horror! Hold on! There are people and there is a country which has always been with you! I'll help you! And, believe me, your Russian friend that one day you too will go to school, we will build it from the ruins, be sure we will, we will print the books burnt by these Islamic thugs, and, most importantly, I promise you that the black birds will never come again at night from the north. They are now forever chained to the ground. Over Europe only peaceful aircrafts will fly. I promise you ... "
Think whatever you want about me. That I'm a liar and that there will never be peace on Earth. And that country after country, peoples after peoples will be eliminated, erased from the face of the earth, the same as Libya was destroyed and turned into ashes and dust!
But I believe that among those who will read this, and among those who will hear me there will be those who will come along with me to the little girl and protect her!

Nicholas Sologubovsky, Tripoli - Moscow and Tripoli again soon. September 10.

Анастасия Александровских   10.09.2011 19:40     Заявить о нарушении