La Terre

Äèàíà Âàëüñ
   
… Ïðîøó ïðîùåíèÿ çà òî, ÷òî íåò âîçìîæíîñòè íà ïðîçå.ðó èñïîëüçîâàòü äèàêðèòè÷åñêèå çíàêè íàä áóêâàìè…


 C’e’tait une femme. Ce n’est pas elle qui a choisi son sex. Elle e’tait ne’e comme c,a: le ciel sur ses e’paules, la tete baisse’e. Comme un pilote d’un avion tient sa tete le’g’erement vers l'avant de mani’ere ‘a regarder en bas. Et la seule chose qui les rend diffe’rents- elle e’tait ine’vitablement enchaine’e au sol. Ses yeux refle’taient la tristesse et la souffrance de toute l’humanite’. Elle a essaye’ de re’sister, de regarder vers la lumi’ere, mais toutes les tentatives ont e’te’ vaines. Il semblait qu'elle arrosait cette terre des derni’eres gouttes de ses larmes. Elle e’tait comme un gros chien de garde attache’ ‘a une chaine qui s'e’lanc,ait d'un cote’ ‘a l'autre, essayant de se libe’rer.
    Un jour le bruit assourdissant de cette bataille a e’te’ entendu par une personne, qui l'a sortie de ces chaines et lui a donne’ un souffle de liberte’. Elle leva sa tete et rencontra son premier lever de soleil.