Chapitres viii-ix et l epilogue

Áîðèñ Àðòàìîíîâ
                Chapitre VIII. P;cher en eau trouble.
          Le lendemain, Albert visita les appartements de toutes les trois amies de Nadia et ne trouva personne dans tous les trois. En propre appartement faisait-il du vent et la temp;rature ;tait pr;s de nulle. Dans l'appartement de Sveta faisait-il froid aussi. Personne n'avait raccommod; les fen;tres bris;es avec les crosses d'armes.
          -Il n'y a personne chez soi, toutes les trois. Peu probable que ce soit une co;ncidence. Il y a quelque chose qui cloche, - Albert fit conclusion apr;s ;tre revenu du voyage court. - Sp;cialement si garder ; l'esprit qu'est-il le matin t;t ; Moscou maintenant.
          -Et je ne doute pas en cela, - le vieillard r;pondit. Comme un connaisseur, comme un analyste, essaye de calculer, chacune des parties comment agira-t-elle? Puis j'ajouterai mes propres observations si elles diff;rent. Si je tirais ce cr;tin Tolik d'un p;trin qui est rentr; l;-bas de nouveau et a p;ri, gr;ce ; sa b;tise, repose en paix, quant ; ces femmes, c'est mon devoir de sauver toutes eux.
          ; ce moment-l;, Olesya promenait avec ses skis neufs. Tout le reste essayait de ne se souvenir pas les ;v;nements moscovites en pr;sence d'elle, pour ne pas trop en dire accidentellement sur la t;l;portation.
          En cours de l';vacuation de Nadejda, Paul dit auparavant ; la caissi;re ; la gare Novossibirsk, o; il avec Olesya, tous deux planifiaient de retourner ; Krasno;arsk. Il avait pay; ; elle bien et imm;diatement avait t;l;port; chez soi, s'est mis au chemin avec Olesya, en l'emmenant de la maison, sans que les voisins les vissent. Au bus, o; les habitant locaux pouvaient ;tre, ils avaient d;cid; de faire semblant comme s'ils ne se connaissaient l'un l'autre. Seulement, apr;s prendre le train Krasno;arsk-Tachkent ils avaient cess; de cacher le fait de l'environnement qu'ils voyageaient ensemble. Leur visionnage de celle-l; vid;ocassette funeste, aussi leur voyage ; Novossibirsk, c';taient des exceptions. En reste des cas, Paul essayait de ne la pas initier ; ses affaires, parce qu'il avait peur pour elle.
          Nadia ne pleurait pas, mais fut d;rang;e malgr; cela ; cause de la disparition des toutes trois, surtout de Lena. La derni;re travaillait pour le d;partement form; ill;galement, les organisateurs de laquelle ;taient en courant de toutes conversations d'elle apr;s les avoir enregistr;s de la fa;on secr;te. Et ils bien savaient qu'il serait impossible d'apprendre d'elle quelque chose de plus et bient;t ils cesseraient d'avoir besoin d'elle. Elle ne travaillait pas ; la cantine depuis longtemps, mais elle faisait semblant devant les amies comme si elle continuait ; travailler l;-bas. Quand elle disait ; elles qu'elle ;tait au travail, c';tait la v;rit;. Le mensonge ;tait le fait dans quel travail ;tait-elle.
          Deux heures se sont ;coul;es.
          -Et quoi? - le vieillard questionna.
          -Beaucoup de versions. Il y a l'embarras du choix. Dans quelques heures peut-;tre que puisse-je les transformer en forme commode ; comprendre, n;anmoins, cela aura l'air d'une ;quation ; beaucoup d'inconnues. Il serait bien ; obtenir une information de plus. Je dois y aller de nouveau
          -Il faudrait examiner, y compris, les bo;tes aux lettres de toutes les trois.
          -C'est vrai, - approuva-t-Albert. - Et il ne serait pas quelque chose de superflu si je suis assis dans chacun appartement, y compris le mien, ; peu pr;s dix minutes. Peut-;tre un t;l;phone sonnera ou quelqu'un visitera, les voisins demanderont quelque chose - n'importe quelle chose pareille donnerait une sorte d'information. Il serait mieux le faire ; deux. Tu prends deux appartements et moi les deux autres. Pour plus rapidement.
          -Visite les appartements par seul - le vieillard r;pondit. - Car dans ce temps, je peux "grimper" aux institutions, o; tu ne peux pas entrer. Bureau de Paukov, par exemple.
          -Apr;s tout, c'est vrai!
          Albert fut assis en vain dans chacun appartement dix minutes, exactement jusqu'; seconde. Il n'y avait rien aux bo;tes aux lettres aussi. Le sien appartement froid il examina en dernier tour. Mais il y avait une sorte de note dans la bo;te aux lettres. C';tait un t;l;gramme de trois mots: "sauve toutes disponible". C'est d;j; quelque chose.
          Albert comprit tout de suite qui est l'auteur du t;l;gramme: "une fille courage, coquine et disponible". Et ce t;l;gramme ne pouvait ;tre un pi;ge, parce que n'invitait personne nulle part et ne donnait aucune information sauf la principale: la pire version fut confirm;e. Il ;tait vu que Lena avait d;cid; qu'une action de la mani;re comme ;a serait moins dangereux et fut attrap;e. Kashin et la compagnie, ils ont compris qu'elle se tourna contre eux et la ferm;rent quelque part. Ils la pouvaient d;ja ;liminer, mais personne ne voulait penser comme ;a. Si elle est vivante, donc soit l';limination d'elle avait ;t; difficile de la fa;on technique, soit ils planifiaient de l'utiliser comme un otage et app;t. C';tait la raison pour laquelle ils n'avaient pas intercept; le t;l;gramme envoy; avant-hier de Moscou. Cela signifiait que Lena n'est captur;e quelque part chez eux que deux journ;es et quant ; Valia et Sveta, elles furent captur;es plus t;t. Lorsque Albert revint et partagea des informations maigres, le vieillard affirma ses suppositions mais il ;tait d;;u, parce qu'il n'avait r;ussi ; l'apprendre quelque chose ni dans le bureau de Paukov, ni aux endroits de l'apparition probable de Kovalev, o; Paul, avait-il pr;par; les "points d'apparition" sous des tables, ni dans les appartements de tous trois chefs d'organisation criminelle situ;s pr;s de m;tro "Studentcheskaya", ni m;me dans les appartements secrets.
          -Ce n'est pas une surprise que nous n'avons pas r;ussi ; l'apprendre quelque chose d'important pendant une si courte p;riode, - Albert a fait la conclusion. - Tout le monde a beaucoup d'autres affaires et ils peuvent simplement ;tre assis dans ses bureaux et garder le silence pendant beaucoup d'heures. J'ai une id;e! Il faut les provoquer ; bavarder et il para;t, je sais comme le faire.
          Le vieillard n'avait rien contre le plan invent; par Albert. Ils tous deux rirent lorsque Albert le rapporta ; voix haute. Il seulement conseilla ; l'Albert de r;fl;chir tout plus soigneusement, c'est-;-dire, "mesurer" plus fois avant que "couper". Apr;s tout, quant aux adversaires, il est possible application des r;actifs chimiques ; marquer un objet voulu, m;me les flics ont des choses pareilles. Il est probable aussi l'application des petits ;metteurs qui ;mettent un certain signal ; ;tre au courant de localisation de l'objet, pour d;couvrir tous les endroits de son apparition probable et enfin, il est possible l'application des substances radioactives. L'opportunit; derni;re est assez dangereuse pour la sant;, c'est pourquoi peu probable, mais il ne faut pas l'exclure compl;tement. Ils peuvent ;tre pr;ts en cas de l'apparition de l'objet voulu vite et il est possible une application des m;canismes sp;cifiques ; l'attacher soit au corps soit au v;tement d'une sorte de vilenie. Ce que peut avoir lieu, y compris, mais c'est extr;mement improbable, ce serait une embuscade militante avec armes ; feu et les crans de s;ret; ne seraient pas enclench;s et ils auraient un ordre de tirer pour tuer en cas des tours et merveilles. N;anmoins, il faut pr;voir tout qu'est possible.
          Albert d;cida de commencer ; l'agir dans le magasin de l'alimentation qui est nomm; Gastronome #40 et il est situ; dans une construction des immeubles tristement c;l;bres ; Loubyanka. Pour agir sans attirer l'attention avant, d'abord d;cida-t-il de ne mettre aucun masque, mais il acheta auparavant une veste ordinaire, mais relativement bon march; et chaude et un pull-over bon march;, en prenant exemple sur les meurtriers de Tolik.
          Dans le "gastronome #40", une caissi;re du rayon de vin fut en train de converser avec enthousiasme et douceur avec un client habill; cher mais sans go;t. La caissi;re rallongeait le processus du service pernicieusement, elle comptait le changement lentement. Il para;t que ce ne f;t pas un flirt, simplement une bonne personne est venue. Il y avait d;j; une queue form;e de trois personnes derri;re lui, qui furent en train d'attendre de la mani;re ob;issante, en gardant le silence, mais avec irritation cach;e.
          Soudain, un d'eux sortit le col de pull-over sous la veste et couvrit la partie du visage avec lui jusqu'au nez. Puis il s'approcha de la caissi;re sans m;nagement, fit ; elle un bisou court sur les l;vres ; travers le pull-over, il l'entoura par le bras droit et ; la fois il saisit une liasse d'argent par le bras gauche. La somme d'argent ;quivalut d'environ bons salaires pour cinq months. La caissi;re cria fort, tout le monde stup;fia, mais Albert cria plus fort: "au feu!" et commen;a ; grimper en haut sur la cr;maill;re, en cassant une partie de bouteilles du vin qu'il y avait. Tous tourn;rent les t;tes au c;t; du "spectacle", mais le fauteur de troubles soudain disparut devant tout le monde.
          N;anmoins, l'argent perdu et les bouteilles cass;es ;taient assez r;els, et il serait impossible de poursuivre des spectres en justice pour indemnisation des dommages d'eux. La foule rassembla. Une ;quipe op;rationnelle est arriv;e, les membres de laquelle ;taient tous en civil, mais tous les t;moins au total disaient une sorte des conneries. Au cas o;, ils demand;rent les signes du perturbateur et commenc;rent ; v;rifier des documents pr;s des portes des entr;es. Bien s;r, tout ;a fut en vain.
          Les entr;es toujours ;taient bloqu;es, mais le cri et bruit retentirent de nouveau dans la salle. Encore quelqu'un d'invisible sauta du "non-existence", ce fut un homme avec le visage couvert par le col du pull-over, enleva une liasse d'argent et comme si... a dissous en air. Le chef de l';quipe op;rationnelle d;j; consultait par radio avec ses sup;rieurs qu'une sorte de diablerie se passe et ne cesse pas dans le magasin d'alimentaire, malgr; le fait que toutes les entr;es sont bloqu;es. ; cause de ;a, il n'est pas assez de personnels, car il a grand besoin d'eux non seulement dehors, mais au-dedans aussi. Il a besoin des sp;cialistes, parce que tous les t;moins sont des gens civils et en ;tant sans connaissances sp;ciales ils donnent des preuves stupides. Hauts grad;s de la milice commen;aient ; se rendre compte que ce qui se passe, cela va au-del; de leur comp;tence, et ils peuvent maintenant en toute bonne conscience charger le FSB avec ce mal de t;te.
          Les agents de l';quipe et beaucoup des personnes curieuses erraient le long du magasin, tous anim;s, ils ;changeaient des impressions sans compter la dimension troisi;me, c'est-;-dire, l'altitude. Soudain ils entendirent un cri de hauteur:
          -Tous vous! Regardez ici. Regardez ici, - un psychopathe cria de haut, on ne sait comment et quand il a r;ussi ; grimper au lustre. - ;cartez-vous tous! Il va ;tre une explosion et feu tout de suite!
          Une bouteille de champagne tomba de haut, a ;t; cass;e avec un son fort et imm;diatement il y eut une odeur d'essence. Un faisceau br;lant jet; de haut enflamma la mare. Tout le monde r;ussit ; sauter ; la distance de s;curit; de cet endroit. Les coups de feu vers la haut retentirent, mais le "h;ros du jour" d;j; n'y fut pas depuis longtemps. Certains visiteurs eurent peur et se pr;cipit;rent ; la sortie. Mais la quantit; des clients pareils ne fut pas grande et les bousculades que furent form;es aux portes gr;ce ; eux ne furent pas dangereuses. Certains d'entre eux ;taient ravis, mais ils eurent honte de ;a et cach;rent cette ;motion comme ;a. Leur joie ;tait naturelle: o; et quand pourrait voir un spectacle pareil gratuit, tels "feux d'artifice"? Il n'eut pas de victimes. Le feu fut ;touff; vite avec extincteurs. Les flammes se propag;rent nulle part. Il ne fut br;l; rien que petite quantit; d'essence sur le plancher en pierre, moins qu'un litre. Malgr; cela il y eut beaucoup de fum;e, mais beaucoup de monde ne voulait pas quitter le magasin, en ayant un d;sir d'observer ce qui arrivera apr;s.
          Dans une laiterie de la rue Sretenka ; cet instant, un homme dans la veste de cuir demanda une vendeuse, comment s'adresser ; la g;rante par pr;nom-patronyme. Parce qu'il va montrer et probable vender un tapis en peluche qu'il apporta de Bacou. Apr;s cela, il passa aux locaux sans obstacles, mais il se dirigea pas ; la g;rante mais s'approcha au groupe des chargeurs qui furent assis dans leur salle du personnel. Ils bavardaient et racontaient anecdotes l'un ; l'autre.
          -Hey, mec. Remets ; sa place mon peignoir. D'o; es-tu arriv;, tel impudent? Si tu es un d;butant?
          Apr;s cette r;plique, tous se tourn;rent au moujik qui mit la tenue de travail qui ne lui appartenait pas, mais il disparut devant tout le monde, apr;s quoi une sc;ne longue et muette fut form;e.
          Dans quelques minutes ; l'autre endroit, encore pr;s de Loubyanka, quelqu'un fut en train d'entrer en librairie, ; juger de v;tement, ce fut un travailleur. Il portait en mains un grand tas d'une sorte des d;chets, o; il y avait le carton, le papier, les planches. Il monta ; deuxi;me ;tage. Personne ne l'arr;ta. M;me dans l'entr;e quelqu'un aida ; lui un peu ; tenir la porte. On ne savait pas quelle t;che pouvait ;tre donn;e soit ; un chargeur, soit ; un balayeur. Seulement lorsque ; deuxi;me ;tage jeta-t-il le tas sur plancher, la vendeuse lui cria dessus:
          -Qui vous a donn; la permission d'y jeter des d;chets? Qu'est que faites-vous?
          -Je fais un feu de camp? N'est-ce pas possible?
          Elle seulement alla crier: "Milice! Un fou dans le magasin!" Mais elle stup;fia ;pouvant;e en voyant le "Walter" dirig; ; elle.
          -Pas peur. Vous ne serez pas brul;es. M;me vous avez un peu de temps ; l'admirer ces feux d'artifice. C'est si beau! - Albert pronon;a ; voix bas, en souriant et en versant une mixture inflammable sur le tas. Il mouilla un petit b;ton de bois, l'enflamma et jeta au tas. Apr;s cela, il se jeta dans le centre des flammes rag;es et disparut en lui.
          -Au feu! Feu ; l';tage! Le tumulte qui commen;a en haut, comme s'il affirma cette nouvelle de panique, n;anmoins, une continuation ;trange suivit:
          -Qui va arriver tout de suite! Tous regardez ici! Vous! La foule mesquine! Les cadavres! Le b;tail! Y a-t-il au moins seul ;tre vivant et humain entre vous? Ou tous vous ;tes des zombis sovi;tiques?
          Dans quelques minutes, tout le monde regardait ; l'Albert de la mani;re indign;e, presque tous qui se trouvaient dans cette salle et peuvent voir sans obstacles.
          -Connard! - la mauvaise voix de quelqu'un sonna. Mais le perturbateur disparut devant tout le monde de nouveau.
          Bient;t les vendeuses et les clients sont sortis en courant dehors. ; cause de la foule accumulante dans la rue, un embouteillage commen;a ; se former, mais non pour longtemps. L'immeuble fut sauv;, pourtant, le service d'incendie devait beaucoup travailler.
          Dans demi-heure de plus, toutes les informations de ce que se passait  aux magasins voisins atteignirent Paukov. Juste au cas o;, il contacta Kovalev.
          -Gricha, s'occupait quelqu'un avec les ph;nom;nes paranormaux ce dernier temps? Sauf Kashin?
          -Moi, oncle Kecha, je n'ai l'entendu pas m;me vaguement, peu probable.
          -Si tu parles, donc assez probable qu'il ne va que comme ;a, pourtant...
          Maintenant, le t;l;phone voisin sonna sur la table. Paukov d;crocha avec irritation.
          -Attention! L'argent vol; par moi en "gastronome #40" et en "Monde de livres" br;lant est dans l'appartement de Kashin. Je r;p;te: l'argent vol; par moi en "gastronome #40" et en "Monde de livres" br;lant est dans l'appartement de Kashin. Je r;p;te...
          -Imb;cile! Il a jou; un jeu avec sa diablerie! - cette phrase fut laiss; courir de g;n;ral de FSB. - Gricha, attends un peu, j'ai des messages de toutes parts. N'interromps pas la connexion.
          Il raccrocha le t;l;phone qui r;p;tait toujours comme un disque ray;. Puis il sortit le radio de la table, d;plia l'antenne. Quand il se fut pench;, il parut qu'une sorte d'ombre apparut et disparut sous la table massive de ch;ne qui le forsa jeter un coup d';il de nouveau pour ;tre s;r qu'il n'y a personne.
          Il ne pouvait toujours obtenir la r;ponse de l';ther, mais enfin, l'insistance vainquit. Apr;s avoir entendu l'indicatif de Kashin prononc; avec la voix inqui;te, Paukov l'interrompit tout de suite:
          -Camarade Kashin, quelle est votre t;che derni;re?
          -Ce type, le contrebandier de la Su;de, c'est-;-dire, le Roi Noir.
          -Avez-vous r;ussi ; obtenir quelque chose?
          -Les coll;gues sont en train de travailler. Si vous avez besoin du rapport exact, je peux maintenant demander de l';ther et les plus fra;ches informations donner ; vous.
          -Je vous crois. Vous travaillez bien, je voudrais dire m;me bien trop. On parle: "on ne fait pas d'omelette sans casser des ;ufs". Pourtant nous avons non seulement ;ufs cass;s, mais la po;le et la cuisini;re sont cass;es aussi.
          -Vous dites de quoi, Innocente Nikola;evitch?
          Paukov continuait sans faire attention ; sa pr;tention:
          -Les choses pareilles ne faut-il faire qu'avec nous. Vous avez toujours l'opportunit; d’am;liorer la situation. Nous pouvons m;me aider, donner un statut officiel ; votre activit;. D'ailleurs, votre objet maintenant, nous savons qu'il s'appele Albert, il est devenu incontr;lable. En utilisant ses capacit;s, il pille et met le feu aux magasins au centre de Moscou, effraye les gens. Je vous appelle vers moi de toute urgence. Ce probl;me n'est pas pour l';ther. Vers trois heures pouvez-vous venir?
          Apr;s le silence court il y eut la r;ponse:
          -J'essayerai. ; vrai dire, j'arriverai exactement!
          -J'attends. Et prenez en compte: si vous avez commis en processus de votre activit; des actions qui peuvent d;nigrer notre service, r;volter des gens, s'il vous pla;t, faites amende honorable. J'esp;re que vous n'ayez pas commis de b;tises avec cons;quences irr;versibles?
          -C'est exact!
          -Tr;s bien alors. D'ailleurs, je vous attends.
          Apr;s avoir le dire, le g;n;ral ;teignit le radio et le mit sur la table sans oublier ; cacher l'antenne. Soudain Kovalev entra.
          -Pardon, oncle Kecha. Il y a d'informations int;ressantes. La position de Kashin est rep;r;e. Il se trouve deux cents kilom;tres au Nord de Moscou.
          -Peut-on plus exactement?
          Kovalev s'approcha de la carte pendue sur un mur et passa un cercle avec le doigt. Le g;n;ral s'approcha de la carte aussi.
          -Oh. D;cevant. Radius ; peu pr;s vingt kilom;tres. Et je ne crois pas que dans une ville. Il n'y a pas de nos branches subordonn;es ; Kashin. Nous devons ;tre en courant, quelle sorte de bordel il a organis; l;-bas.
          -Oncle Kecha, vous n'avez rien dit ; lui sur les femmes. Ils sont sur le point d';liminer celle, la rousse.
          Le g;n;ral jeta un coup d';il ; Kovalev, soit interrogatif, soit condescendant et apr;s une pause qui rendit le coll;ge subordonn; en confusion, il pronon;a:
          -Mon cher Gricha, nous avons besoin des informations. Quant au moyen avec lequel sont ces informations obtenues... en tout... tu m'as compris. Si Kashin cr;e des probl;mes, il les devra r;soudre. Nous n'avons aucune culpabilit; et nous pouvons avec pure conscience... - le g;n;ral comme si cherchait un idiome appropri;.
          -Nous nous en lavons les mains, est-ce correctement oncle Kecha?
          -C'est bon que tu sois tel compr;hensif.
          -Soudain Kovalev se pr;cipita vers la table et se pencha.
          -Qu'est-ce qui ne va pas?
          -Il me vient de para;tre que quelqu'un soit assis l;-bas.
          -Tu as besoin du repos, Gricha. Tu es fatigu; de travail. Et encore... - Paukov se souvint soudain qu'il lui-m;me remarqua r;cemment une sorte de silhouette sous la table. - Qu'est-ce que tu viens d'y voir?
          -Voil;....D'abord un paquet ressemblant une sorte d'un v;tement, je n'ai fait grande attention. N;anmoins, apr;s avoir jet; un coup d';il plus attentif, comme si un homme, mais il a ;t; dans une position inimaginable. Il ne peut qu'un Yogi de niveau avanc; pourrait ;tre assis comme ;a.
          -C'est la derni;re chose dont nous avions besoin. Ne sois pas trop sinc;re avec les coll;gues ; l';gard de cette chose. Cela peut endommager ta r;putation. Il faut r;fl;chir. Il n'existe pas tel poison, contre lequel il n'y serait aucun antidote.
          ; cette heure-l;, dans la ta;ga de Sib;rie loin et toute en neige, un homme apparut "de rien" au bord d'un village et se pr;cipita au village presque en courant, entra ; la maison.
          -Et quoi, - Albert questionna avec impatience.
          -Kashin se trouve deux cents kilom;tres au Nord de Moscou. Le rayon de la plus probable localisation est ; peu pr;s vingt kilom;tres. Paukov est en courant de tout, m;me sur Lena, - le vieillard rapporta avec essoufflement. Puis il dirait en detail tout ce qu'il avait entendu et finit avec les mots: Tu vois? Nous sommes en train de r;ussir bien: Tu as troubl; l'eau. J'ai attrap; le poisson.
          -Attends, attends, - dit anxieusement Albert en appuyant sa main droite sur son front. N'est pas leur "localisation probable" dans la maison de vacances de mes parents?
          -Sois prudent! As-tu des points, o; tu pourrais ";merger" ; la distance non grande de cette maison?
          -Oui.
          -En aucun cas, n'apparais pas au-dedans imm;diatement. C'est non seulement dangereux, mais aussi cela peut compromettre l'op;ration.
          -Je me rends compte.
          -Eh bien, avec Dieu!
          Albert ";mergea" cinq cents m;tres de la maison de vacances et se met en marche vers elle. Au lieu de cl;ture habituelle, la maison ;tait entour;e avec cl;ture neuf, aussi de bois, mais haut et aveugle. Il sursauta brusquement. ; deuxi;me fois, il a r;ussi ; saisir la partie haute de la cl;ture, il remonta. En collant par les pieds ; la cl;ture il remonta plus haut encore et enfin il appuyait les deux mains ; la cl;ture sur le dessus. Il n'y avait chang; rien au-dedans. Seulement un agent de s;curit; avec fusil d’assaut marchait le long de cour aller et retour en tenue de camouflage. Il remarqua Albert tout de suite et cria de la fa;on mena;ante:
          -O; grimpes-tu, bouc?
          -Cette maison n'est pas la v;tre. C'est des vieils gens qui l'habitent.
          -Et je garde cette maison des types pareils comme toi. Y a-t-il des questions? 
          Au lieu de r;ponse, Albert sauta retour, dans la neige.

                Chapitre IX. Bapt;me du feu.
          Albert il y a longtemps se rendait compte avec qui avait-il affaire. Il se rendait compte d;s l'instante, quand le pistolet donn; ; lui comme un cadeau avait tir; en premi;re fois. Dans la fleur de l’;ge, il ;tait capable de r;fl;chir non pire que Paul qui malgr; son ;ge bien savait comme calculer la situation, mais il pensait lentement et ne faisait pas confiance aux propres d;cisions si elles si ces d;cisions ;taient prises rapidement. Aussi Albert se rendait compte que Kashin et ses copains furent d;j; partis, et il savait ; juger du temps, o; leur voiture approximativement se trouva maintenant. Ils n'ont pas raison d'y tenir une s;curit; tr;s puissante et il pourrait seul les vaincre en disparaissant et apparaissant, ; tirer pour tuer et dispara;tre encore. N;anmoins, les actions doivent ;tre harmonis;es pour meilleur effet. Cette pens;e derni;re l'eut fait t;l;porter ; la r;gion de Krasno;arsk.
          Comme d'habitude, Olesya se fut all;e faire du ski, cette fois avec Nadia. Le vieillard devait toute de suite venir chez lui. Dans cinq minutes il fut "apparu" en fait. Albert rapporta la situation.
          -Il faut agir ; deux dans le cas donn;. Tes parents, je connais leurs noms. Je dois maintenant frapper ; la porte et demander comment vont-ils. Quant ; toi, ce maton t'a d;j; vu.
          -Mais comment trouveras-tu l'endroit? As-tu oubli; comment avons-nous fait connaissance? Comme j'ai t;l;phon; ; toi? Comme j'espionnais tous les points de ton apparition possible?
          -Donc, allons discuter, comment faut-il agir.
          Dans dix minutes tout fut d;cid; et Albert ajoutait les cartouches qu'il manquait dans son arme. Bient;t, les deux furent apparus pr;s de la maison. Le vieillard s'approcha du portail et sans trouver une sonnette frappa. Albert observait de l'abri ce que passerait.
          -Qu'est-ce que tu veux?! Un coup ; la t;te avec le f;t de l'arme?
          -Pardon. Je suis venu ; la maison de vacance r;cemment et je voudrais voir les voisins. Je les connais. Ils habitent cette maison.
          Le portail s'ouvrit. Le maton mit son certificat directement pr;s du nez de vieillard.
          -Combien fois dois-je le r;p;ter ; tout le monde? Ne le vois-tu pas? Le service f;d;ral de s;curit;. As-tu compris? S;curit;! Soit dois-je te piquer ton nez comme un chat?
          -Pardon, s'il vous pla;t, mais je suppose que vous devez nettoyer votre cul avec ce certificat faux.
          -Quoi?!
          Un coup de feu retentit des sapins et le cri d'indignation du maton se transforma au hurlement de souffrance. Albert fut surpris, comment le vieillard r;ussit ; saisir le fusil d'assaut si vite qu'il imm;diatement jeta vers lui. Albert saisit l'arme.
          -Jete plus prudent. Dernier dont nous avons besoin, ce serait un accident. T'allonge!!!
          Le vieillard a compris le commandement ; temps et tomba sur la neige comme pouss;. Ils se sentirent terriblement ; cause de gr;le de balles qui retentit tr;s fortement. Plusieurs balles siffl;rent pr;s d'eux. La porte de la cave se ferma de la m;me mani;re inattendue comme il vint de s'ouvrir.
          Albert avec le fusil d'assaut t;l;porta tout de suite ; la cave, il abattit avec courte gr;le de balles ; dos le type qui vient de tirer et se tourna en arri;re imm;diatement. Les yeux ne virent rien dans le premier instant apr;s la lumi;re du jour, mais il reconna;t la voix de Sveta.
          -Alik. Sauve-nous! Garde-toi!
          Il vit comme deux femmes en criant se pendirent sur le bras d'un maton, en essayant de priver son fusil d'assaut. Le maton les jeta brutalement, elles tomb;rent, mais le fusil d'assaut glissa des mains. Lena s'approcha de lui ; temps et fit une tentative de le frapper l’aine. Il paraissait que la tentative ne r;ussit que partiellement, n;anmoins, un peu du temps fut gagn;. Le maton ne pouvait pas atteindre son fusil d'assaut, parce qu'Albert ;tait en train de pointer son arme sur lui.
          -Si tu tires, tes chiennes seront tir;es du ricochet. Beaucoup des balles, la probabilit; est grande, - le maton pronon;a avec une menace dans la voix. En utilisant la confusion courte d'Albert, il soudain sortit une grenade de son sein et cria comme un hyst;rique:
          -Tout nous nous exploserons! Tout nous mourrons! Va-t-en! Sinon j'exploserai tout le monde et moi-m;me aussi!
          Il n'y fut pas du temps ; r;fl;chir, n;anmoins dans la situation extr;me, quelque chose r;fl;chissait automatiquement, comme si au lieu de lui. Il ne remarqua que la grenade toujours ne fut pas d;goupill;e. On r;fl;chissait non avec les mots, mais si le "traduire", cela sonnerait comme ;a:
          -Mon Dieu! Comme prendre garde ; ne pas rater! Comme prendre garde ; ne pas faire une faute!
          Albert disparut imm;diatement et apparut en derri;re d'ennemie. ; la foit fit-il un coup de feu du pistolet et cela endommagea la main tenant la grenade. La main tomba comme un pendule. Albert tout de suite saisit d'elle la grenade et dirigea aux yeux d'ennemi un jet du vaporisateur au poivre. Mais malgr; cela, en hurlant, il se saisit non aux yeux mais ; la main bless;e. Tout le monde au-dedans commen;a ; tousser, les yeux ; devenir plaines de larmes. Au contexte de ce bruit, personne n'entendit un coup de feu sonnant en haut.
          N;anmoins, Albert cria: "Soyez patientes un peu. Ne sortez pas! C'est dangereux!" En ;tant pr;voyant, il t;l;porta au-del; de la cour, pas loin du portail. Apr;s avoir gliss; prudemment vers le portail ouvert, il vit la m;re et le p;re qui viennent de sortir tous p;les sur le porche. Paul fut debout avec pistolet pr;s de maton abattu par lui et interrogeait:
          -Est-ce exact que personne n'est rest; dans la maison? Apr;s tout, ils sont capables de tuer Alik, votre fils.
          -Bien s;r, non. Il nous gardait en ;tant seul. Il est sorti sur le porche apr;s avoir entendu le bruit, et vous avez tir; tout de suite sur lui de l'abri, - le p;re r;pondit.
          -Mon Dieu! Nous avons v;cu pour voir cette terreur! - la m;re d;sesp;rait.
          -Paul, c'est moi! - Albert cria. - J'ai neutralis; les deux dans la cave. Nos femmes y sont. Il n'y a pas quelqu'un plus?
          -Non. Est-ce que tu es un meurtrier maintenant? - la m;re questionna avec terreur.
          -Est-ce que vous aviez d;sir qu'ils tuent tout nous? C'est des criminels! Et allons ; la maison, plus vite! C'est dangereux ; se trouver ici.
          Apr;s avoir vu que tout le monde ob;it lui, m;me le vieillard, Albert se pr;cipita ; l'ouvrir la cave de dehors. Il d;pla;a la barre neuve et inconnue, mais il ne r;ussit pas ; ouvrir la cave. Il devait t;l;porter au-dedans.
          -J'ai ouvert la barre dehors, mais le verrou est neuf aussi.
          -Prends des cl;s. J'ai les sorti de sa poche, - r;pondit une voix de femme en toussant.
          Le gaz auparavant diffus; du cartouche, for;ait tousser, les yeux piquaient. Enfin, la porte fut ouverte.
          -Sortez toutes, chacune ; son tour, laissez le fusil d'assaut et ne le touchez plus car c'est dangereux. Et entrez imm;diatement! Toutes vous ; la maison! Ne soyez pas debout ici!
          Dans plusieurs minutes, apr;s une conversation courte avec les parents, il devint clair finalement qu'il n'y a plus des ennemies capables de se battre. Ni ; la maison, ni autour d'elle. Il paraissait que tous ils soient vivants, mais bless;s gravement. En ;tant distraits pour exclamations et sentiments de terreur, les parents racont;rent que les trois chefs se furent all;s par une voiture noire "Volga". Quand ils d;crivaient ces "chefs", tout mit en place: c';taient Kashin, Skolopendrin et Batogov. Les parents se sont souvenus m;me le num;ro de la voiture qu'ils en ont eu marre de la voir chaque jour.
          -Oh, je vais pisser dans mes culottes! - Lena exclama inappropri;e. - Oh, je pisserai! - et elle tomba sur le divan, s'en esclaffant fort de la mani;re psychopathique. Les larmes coulaient des yeux, mais elle toujours s'esclaffait de la mani;re sauvage et roulait le long du divan. Valia s'approcha d'elle et de toutes ses forces donna deux gifles sur chaque joue.
          -Lena! Reviens ; toi! Elle cessa de rire et regarda maintenant ; l'amie la frappant avec les yeux grands ouverts, comme si serait surprise. - Nous sommes sauv;es. Soit Albert, soit Renald avec son ami, ils nous ont sauv;s!
          -Valia! Il n'y a aucun Renald! Il est seul! Il n'y a aucun fr;re jumeau! Il n'existe qu'un seul, Albert! - Soudain elle fut envahie avec une envie de rire encore plus fou que celle pr;c;dente.
          -Hey, filles! - Albert exclama. - J'ai des morceaux de fil dans cette maison. Allons les prenons, chacun prend un, l'allongeons sur lo divan et la fouettons jusqu'au sang, tant qu'elle ne puisse s'asseoir! - en le disant, il faisait clin d';il avec l';il droit.
          -C'est juste, - les deux amies affirm;rent.
          -Attachons-la ; la table soit y a-t-il un banc? - Valia demanda.
          -Il faut la fouetter en fait. Allons! - Sveta l'approuva joyeusement. Albert vit clairement que ses yeux brillaient de joie. Il sourit quand se souvint que bient;t il la pr;sentera ; Olesya qui est envahie de la m;me passion.
          -Filles. Ne le faites. Je suis d;j; en train de me calmer.
          -Savez-vous tous que ces salauds nous ont promis? Qu'aujourd'hui apr;s retour, ils la torturont pendant quelques heures jusqu'; mort devant nous et si nous ne disons o; est notre amie Nadia avec Albert, la m;me chose ils feront ; nous. Ce que pouvons-nous voir maintenant, c'est sa r;action hyst;rique ; la lib;ration de terreur, - Valia expliqua avec sa voix alarm;e.
          -Ainsi, s'ils sont des criminels ou FSB? - le p;re d'Albert questionna.
          -; point de vue de la loi, ils sont des membres du FSB qui ont viol; leurs propres r;glements. Ils ont cr;; un d;partement ill;gal sans en informer les autorit;s, - Albert expliqua. - N;anmoins gr;ce aux informations pr;cieuses qu'ils ont obtenues, il faut s'attendre ; ce que leurs chefs tant que possible essayeront d';touffer leurs affaires criminelles. Si m;me serait-il impossible d'aller sans les emprisonner, les chefs utiliseront les informations obtenues par eux et laveront les mains, comme si l'institution n'a rien ; voir avec ;a.
          -Quelle sorte de d;lits ont-ils commis?
          -Regardez aux amies de Nadia qui sont sur les nerfs et toutes p;les. Ils les ont emprisonn; dans la cave sans chauffage et elles devaient dormir sur le sol en terre. Et on toujours ne sait pas si leur sant; endommag;e soit ils iront sans cons;quence. Et vous deux avec m;re, ils n'avaient aucun droit de vous assigner ; r;sidence et de changer la cl;ture autour de la maison. N;anmoins, si vous consid;rez tout ;a comme des futilit;s, aujourd'hui, ils allaient de la torturer et tuer devant toutes les deux amies, et personne que Dieu ne sait, comment cela finirait si nous n'interf;rons pas.
          -N;anmoins, avec rien que ses propres forces, vous ne deviez faire la guerre contre l'institution d';tat. Vous deviez complaindre ; leurs autorit;s.
          -Ils se sont all;s, parce qu'un grand chef les a l'appel;, c'est-;-dire, leur major-g;n;ral. Je poss;de des informations exactes qu'il est en courant sur les femmes emprisonn;es ill;galement et s;journantes au danger mortel. Mais il ne voulait rien faire ; lib;rer eux. Son flatteur le questionna: "au cas ;ch;ant, nous laverons les mains?" Et il a r;pondu: "tu es perspicace".
          -D'o; as-tu pris ces informations?
          -D'une margot, qui a l'apport; sur sa queue. Ne prenez pas soin de moi. Je peux garantir ma s;curit;. Prenez soin de vous! Ve vais ; emmener une voiture et payer le chemin. Allez ; Moscou toute de suite. Voil; quelques num;ros ; t;l;phoner. Il est n;cessaire d'obtenir la protection des organisations de d;fense des droits de l'homme. - Albert sortit un bloc-note, arracha plusieurs feuilles et il ;crit vite quelque chose. - Voici les adresses auxquelles vous devez vous adresser et dire tout, comme il est arriv;. Il est n;cessaire ; visiter tout eux, ce serait plus fiable. Cela vous sauvera. Quoiqu'ils n'aient besoin de vous. Ils ont besoin de moi. Nous avons encore de la chance. Dans le temps du pouvoir sovi;tique, ils vous accuseraient de banditisme, c'est-;-dire, d'une attaque arm;e contre des employ;s du KGB. Mais maintenant, ils n'ont pas besoin de vous. De toute fa;on, ils ne voudraient ni publicit; ni tension de la situation.
          -Mon Dieu! Quelle vie a commenc;! - la m;re ne pouvait se calmer.
          -Tu t'es souvenue Seigneur ; temps. Convertis-toi et crois ; l’;vangile.   
          Malheureusement, ces mots ne consol;rent point la m;re du tout.
          -Je vais emmener la voiture bient;t. Attendez.
          Albert remarqua que le vieillard s'est debout tourn; ; c;t;.
          -Allons Paul. Nous devons faire ; deux.
          Ils viennent d'entrer dans la for;t et Albert expliqua:
          -La voiture premi;re emm;nerai-je pour les parents. Tu embaucheras la deuxi;me, pour les filles. Grimpons au commencement de la route ; cette direction.
          Les deux disparurent et apparurent sept kilom;tres d'ici ; la route principale qui m;ne ; Ouglitch.
          -Sais-tu, tes parents, ils devront aider ; l'investigation ; cr;er un portrait-robot de moi? C'est pourquoi j'ai tourn; le dos. Pour rester dans leur m;moire plus vaguement. Je les comprends. Ils ont raison dans leur niveau de d;veloppement et il est impossible de changer cela.
          -Je sais. Aussi il est impossible les appeler aux ;tats-Unis ; vivre. N;anmoins, je r;ussirai ; les diriger aux adresses. Sinon, il serait dangereux pour eux. Quant ; ceux-l; trois, je les exploserai. Cette grenade est venue ; propos. Je dis de celle-l; que j'ai pris de l'ennemi dans la cave.
          -Nous avons eu un tort dans quelque chose, - le vieillard r;pondit. - Nous avons risqu; comme ; la guerre malgr; le fait que nous pouvions avoir fait tout sans cela. Tout est bien que fini bien et vainqueurs ne sont pas jug;s, n;anmoins, ce ne signifie point que nous aurons tant de chance chaque fois encore. Souviens-toi la deuxi;me tentation du Christ: ; sauter de la muraille du temple. On peut consid;rer que nous l'ayons fait. Nous avons visit; la guerre et avons re;u le bapt;me du feu.
          -Je les exploserai sans une sorte de risque pour moi-m;me. Je dois devenir un meurtrier.
          -Dieu te pardonne, mais ne donne plus leur de chance. Pr;s de portail, celui-l; type nous a failli tuer avec par gr;le de balles. Dieu merci! Il nous a sauv;s. Je ne disais pas ; la pr;sence des parents: ce type est mort. Nous devons ;vacuer du pays toutes n;tres.
          -Nous le ferons.
          Albert bient;t trouva une voiture. Le chauffeur apr;s avoir re;u cent dollars comme l'avance, il se mit ; conduire vers le village n;cessaire avec plaisir. Les parents furent pr;ts ; partir en ;tant m;contents non seulement ; cause de ;a qui fut arriv;, mais aussi parce qu'Albert refusa ; rouler ensemble. D;s qu'ils ont quitt;rent le village, ils virent une voiture en direction oppos;e. Il parut que le m;me vieillard qui aidait ; leur fils faire guerre contre l'institution d';tat, comme si maintenant ;tait-il assis pr;s du chauffeur de cette voiture oppos;e. Aussi, peut-;tre que ce n'est pas lui. Ils doutaient. Ils ne suspectaient pas que les captives lib;r;es maintenant roulent derri;re eux le long de la route Ouglitch-Moscou.
          ; calculation d'Albert, les trois ennemis principals ;taient en train de s'approcher du village Veriguino. Il ne fit pas une faute, quand il a choisi un endroit qui est plusieurs kilom;tres plus pr;s de Moscou que Veriguino est situ;. Dans cet endroit, la route serpentait beaucoup dans la for;t. Il d;j; r;ussit ; "grimper" ; son appartement avec des fen;tres cass;es, ; prendre la jumelle. Il les vit, il n'y avait pas des doutes. Il entra en courant ; la for;t et t;l;porta cinq cents m;tres encore ; la direction de Moscou, au Sud. La tension fut en train d'augmenter. Il sentait maintenant l';pouvantant pouvoir de la t;l;portation. Ceux-l; qui chassaient ; lui avant, maintenant transform;rent-ils en gibier sans d;fense. D;s que la voiture est devenue vue derri;re un virage dans la for;t, la grenade d;goupill;e imm;diatement vola vers elle.  Ils ne r;ussirent rien ; faire. Albert d;cida de ne pas s'allonger sur le sol, mais au lieu de ;a il t;l;porta en retour cinq cents m;tres au Nord et commen;a ; s'approcher ; pied. Le virage s'approchait inexorablement, et la sc;ne ;pouvantable de l'auto br;lant s'ouvrit au-del; de lui. Albert se for;a venir plus proche non sans peine. Les silhouettes noires de ceux-l; qui viennent d';tre des passagers il y a quelques minites, ils ne montr;rent plus des signes de la vie. Il ne doutait plus: s'y eut-il une sorte des documents avec informations, tout fut enti;rement consum; dans ces flammes? Il sentit un sentiment effrayant, n;anmoins, il y avait un pr;texte pour distraire.
          Albert visita trois magasins connus de sport ; Moscou, ; Saint-P;tersbourg et ; Kiev. Enfin ; Kiev, il trouva la plus convenable tente ; quatre personnes. Apr;s avoir calcul; le temps, il occupa un point d'observation. La voiture d;j; connue passa bient;t devant lui. Il r;ussit ; lire le num;ro de voiture, celle-l; est avec les parents. Ils continuaient leur chemin ; Moscou. Bient;t, la voiture avec les femmes apparut et s'arr;ta. Elles sortirent d'elle apr;s avoir pay;. Le chauffeur retourna et s';loigna. Les amies commenc;rent ; regarder autour d'eux, soudain remarqu;rent-elles Albert avec grand sac ; dos. Il tenait aux mains trois autres petits sacs ; dos. Il les donna aux trois amies. Ils commenc;rent ; chercher des voitures ; l'ouest direction. Dans demi-heure, ils ont attrap; une. Quand ont-ils atteint l'endroit et ils mettaient la tente sur la neige, il faisait d;j; sombre.
          Il devait encore avoir "vol;" ; plusieurs endroits pour acheter des sacs de couchage. Albert atteignit d'un magasin ; Piter jusqu'au plus proche entr;e et essaya de l; de "grimper" ; la for;t avec ce sac, mais il ne r;ussit pas. Il devait "entrer" dans chacun sac et ainsi il pouvait le prendre avec lui. Lorsque Albert se mit au quatri;me sac, un mec qui allait chez lui, entra dans l'immeuble. Apr;s avoir vu comme un homme v;tu compl;tement et m;me en chaussures, est debout dans le sac ; coucher comme un culbuto, apr;s avoir pass; devant lui, il regardait longtemps en arri;re, en ;tant surpris, puis marcha vite chez soi ; partager de la nouvelle. Mais Albert n'a honor; personne avec un spectacle comme ;a et t;l;porta ; l'instant, quand la porte d'appartement a ferm; derri;re l'inconnu.
          -Endurerons-nous? - Valia questionna. - J'ai entendu ; la radio de nos matons, on a promis jusqu'; vingt degr;s au-dessous de z;ro dans la nuit.
          -Il sera un peu froid, mais mieux que dans la cave. L';quipement, en particulier les sacs ; coucher duveteux sont convenables au gel.
          Valia fut d;j; inform;e qu'Albert est seul et aucun fr;re jumeaux n'existe. Les remords la tracassaient de nouveau. Aussi Lena ;tait occup;e avec les pens;es sur sa trahison r;cemment, de quoi voulait-elle repentir maintenant. Elle voulait demander pardon devant tout le monde, mais elle ;tait timide et ne savait pas comment le commencer. Chacune d'eux comportait de telle mani;re comme s'il n'est arriv; rien. Mais la plus grande chose de laquelle toutes les trois ;taient ;tonn;es, c';tait les tours d'Albert de disparition et d'apparition qu'il devait montrer aujourd'hui plusieurs fois.
          -Comment tu le fais? - c';tait Sveta la premi;re que demanda.
          -Si tu sais de ;a, le d;sastre mondial s'approchera. L'aventure te manque? Apr;s tout, le but de nos ennemis ;tait d'apprendre, comment je le fais.
          -Ils voulaient apprendre aussi, avec qui es-tu connect; et pourront-ils d;couvrir des laboratoires secrets s'ils te suivent. Un flic recrut; t;moignait dans un de leurs appartements secrets, comme si un vieillard d;tenu dans autres villes disparaissait plusieurs fois des cellules, mais les portes et fen;tres restaient sans ;tre endommag;es. Aussi au lieu de son devoir dans la station de m;tro "Komsomolskaya" ; Moscou, plusieurs passants avaient ;t; assur;s qu'ils avaient vu un semblable vieillard savant comment ;tre invisible et une sorte des cas ;tranges connect;s avec lui avait lieu.
          -Je te f;licite, fille courage, coquine et disponible! Maintenant es-tu notre agent. Et tu n'as plus raison de retourner aux ennemis.
           Deux autres amies furent surprises apr;s avoir entendu l';trange appel comme ;a.
          -Pardonnez-moi pour tout, - Lena enfin pouvait prononcer.
          -Punirons, puis pardonnerons, - Paul vint et dit en souriant. - C'est ;a, les filles. Pendant quelques jours devez-vous habiter la for;t. Quand tout sera un peu plus calme, je vous maquillerai de telle fa;on vos m;res ne pourraient vour reconna;tre. Apr;s tout, j';tais un acteur et je sais le faire. Et vous roulerez par train dans un endroit s;r dans un seul compartiment. L'appartement est d;j; pr;t pour vous.
          -Est-ce que maintenant dois-je me cacher pendant toute la vie? - Valia demanda.
          -Est-ce que vous voulez ;tre emprisonn;es? Ils peuvent vous forcer travailler pour eux au lieu de prison. Et quand ils cessent d'avoir besoin de vous, ils vous ne tueront pas de la mani;re ouverte, comme Kashin voulait, mais ils peuvent sans bruit soit simuler un accident, soit fabriquer une affaire criminelle. Est-ce meilleur de votre point de vue? Ne soyez tristes, mes belles. J'essayerai que vous ne deveniez pas des r;fugi;es ;ternelles. Aussi son Nadia est chez moi, - il pointa ; l'Albert. - Il y a une amie encore. Tu seras d'accord avec elle, c'est exact, - il cela dit en souriant et en tournant ; Sveta. - Alik, soit cela serait une surprise pour elle.
          -J'ai compris, - Albert dit et sourit.
          Tout le monde commen;ait ; cueillir des broussailles et alluma un feu de camp assez vite.
          -Alors, maintenant il sera plus amusant, - Valia dit et d;s qu'elle pensa proposer de chanter, la voix de Sveta interrompit tout eux:
                Une ;toile inconnue brille.
                De nouveau c'est loin de domicile.
                Malgr; ;a j'essaye d';tre tranquille.
                Encore entre nous beaucoup de villes.

          Et tout le monde rejoignit ; chanter toute de suite. Au bout de la chanson, un sentiment de joie envahit chacun d'eux. Albert appela le vieillard ; s';carter et partagea une pens;e:
          -J'ai tu; les quatre aujourd'hui, j'ai explos; les trois par grenade avec leur voiture et l'un d'eux ; l'aide du fusil d'assaut dans le dos, et je suis une surprise pour moi-m;me: je chante des chansons avec les filles, comme si de rien n';tait.
          -Tu n'es pas un criminel, mais un guerrier. Et nous avons vaincu aujourd'hui. Tu as re;u ton premier bapt;me du feu. Donc tout est naturel.
          Ce temps ; Moscou Paukov, d;j; fut-il en courant de la mort de Kashin et de deux participants de son aventure. Kovalev ;tait assis dans son bureau et tremblait comme une feuille de tremble. Le g;n;ral ;tait en train de marcher aller et retour et d'exclamer:
          -Imb;ciles! Ils les ont explos; comme des cons et toutes les informations ont-ils men; dans le n;ant avec eux! ; quoi bon avaient-ils  besoin d'agacer celui-ci qui poss;de grandes forces?! Est-ce qu'ils ne pouvaient pas se faufiler d'une mani;re silente? Il pouvait exploser demi-Moscou ; cause de ses putains! Et je vois que tu veux ;a! Tu es un con, car tu as propos; de r;pandre les photos d'elles comme des criminelles dangereuses!
          -J'avoue ma culpabilit;, oncle Kecha.
          -Je ne suis aucun oncle mais le camarade major-g;n;ral!
          -Oh!.. Qu'est-ce que c'est... sous la table!
          -MERDE DE CHIEN!!!
          Le vieillard Paul apr;s avoir apparu de rien sans t;moin, en chancelant de rire ;tait-il en train de s'approcher de sa maison de Sib;rie.

;pilogue ; la "T;l;portation", c'est-;-dire, sur ce qui se passait apr;s.
          Beaucoup de lecteurs probablement ont devin; que le roman n'est pas fini. Oui, les personnages et protagonistes se sont sortis de la situation difficile et dangereuse, les ennemis sont an;antis, mais je serais d;;u au lieu d'un lecteur, apr;s le point mis finalement en fin du chapitre IX "bapt;me du feu", malgr; la bonne fin. C'est pourquoi ceux-l; qui ont senti que ce n'est pas la fin, ils ne se sont tromp;s pas. Il ;tait planifi; d';crire trois chapitres encore, probablement longs, ce qu'est appropri; ; la deuxi;me partie du roman. Le probl;me est que l'action des trois chapitres derniers doit passer aux ;tats-Unis. Parfois les protagonistes apparaissent ; New York bri;vement, y compris, au milieu du roman. Je ne peux pas affirmer s;rement, dans quelle mesure de fiabilit; est la description de New York, o; je n';tais jamais. Un paysage abandonn; avec une d;charge industrielle qu'habitent des personnes criminelles, cette image a son origine dans la com;die "Banza;" plus la propre imagination. Si la description n'est pas assez cr;dible, la bri;vet; et superficialit; sauvent la situation. C'est possible qu'un anachronisme ait lieu. Le film ;tait en train d';tre fait ; la fin des ann;es soixante-dix, quand la criminalit; ; New York toujours ;tait comparativement ;lev;e. On parle, dans notre temps la criminalit; a baiss; jusqu'; tel degr;, m;me les sociologues se sont int;ress;s ; ce ph;nom;ne.
          N;anmoins, les trois derniers chapitres sont une autre chose de tout. Ce n'est pas une br;ve apparition en Am;rique gr;ce ; la t;l;portation, mais le s;jour constant avec description en d;tails de la g;ographie locale ; grande ;chelle et des subtilit;s des relations traditionnelles. Il n'y a pas de d;sir d';tre au lieu d'un ;crivain fran;ais du pass; qui n'avait ;t; jamais en Russie, pourtant apr;s avoir d;cid; de la d;crire, il avait d;crit un homme qui ;tait en train d';tre assis "sous une canneberge grande et luxuriante".
          Il y a beaucoup de romans inachev;s pas dans l'histoire de la litt;rature, en commen;ant des ;uvres classiques des auteurs c;l;bres jusqu'; pr;sent. Rien n'est ;ternel. Un ;crivain vit, meurt, en restant les lecteurs contemporains et aussi les lecteurs des g;n;rations prochaines dans une r;flexion p;nible: "que passait ensuite?" On essaye de r;cup;rer la suite de l'intrigue ; laide de fragments des notes ;crites dans les marges d'un cahier d'auteur. Cette tentative souvent est en vain et a l'air d'une certaine divination. Par exemple: soit Macha s'est s;par;e de Doubrovsky ; jamais, soit il la visiterait en faisant semblent d';tre un Anglais et ils seront enfin ensemble? "The Mystery of Edwin Drood" d'apr;s Ch. Dickens est rest; un myst;re ; jamais. Il y a beaucoup de exemples pareils.
          Mais je ne voudrais pas abandonner des lecteurs dans l'ignorance, parce que je ne sais pas qui arrivera avant, si je retrouverai d'inspiration ; ;crire cet ach;vement ; la fois avec la possibilit; de voyager aux ;tats-Unis et d'examiner et d'apprendre tout qui est n;cessaire pour l'intrigue, ou j'irai dans l'au-del; et quoique peut-;tre puisse-t-on voyager l;-bas, il y a peu de chances de r;ussir ; connecter avec vous et partager les impressions. C'est pourquoi je vais raconter bri;vement comment l'intrigue se d;roule apr;s, sans descriptions des beaux endroits en d;tails, nos protagonistes choisiront des endroits seulement comme ;a, sans descriptions la vie quotidienne aux ;tats-Unis contemporains, et je vais le faire ici et maintenant.
          Nous les avons quitt;s malgr; leurs difficult;s dans la situation la plus invuln;rable. Ils sont invuln;rables ; l';gard n'importe quelle mafia, n'importe quelle police, n'importe quels services specials. Ils continueront ; se cacher dans la nature avec l';quipement excellent, avec l'argent. Le froid commence dans la Russie, mais leur ;quipement laisse les survivre. Le probl;me est autre. Peu probable que les services specials les laisseront tranquilles. C'est trop tentant la capabilit; de t;l;porter. Et c'est trop dangereux pour l'humanit; ; donner ; lui un cadeau pareil.
          Apr;s avoir calcul; tout pro et contra, nos protagonistes sont arriv;s ; la conclusion qu'ils ne peuvent pas s'attarder ; l';gard d';vasion du pays, malgr; le fait qu'ils ne r;ussiront pas ; ;migrer ; la fois vite, l;galement et secr;tement. Ils ne voudraient pas commencer la vie neuve dans le pays neuf par enfreindre la loi, mais par souci de s;curit; des cinq repr;sentantes de beau sexe qui ne savaient pas t;l;porter, ils ne devaient qu'agir de cette fa;on. D'ailleurs, ils ne vont pas y conduir mal. Et ils ne sont pas d;j; en chemin. Il y a un mois ils sont arriv;s, ils ont achet; une maison dans un endroit pittoresque et l'habitent avec de faux papiers, se souviennent tous les ;v;nements d;j; d;crits. Le chapitre X, "un p;cheur" devrait commencer comme ;a.
          Albert et Paul sont arriv;s ; la conclusion que la s;curit; compl;te est une illusion, m;me ici. Les services sp;cials, soit de la Russie, soit les autres, tous ils ont les bras assez longs. C'est pourquoi ils ont trouv; dans l'autre bout du monde un endroit absolument s;r dans la jungle.
          La femme d'Albert se souvient la plaisanterie de Lena sur la t;l;portation (p.II, ch.II, "dans le r;le d'un spectre nocturne") Elle suspect de plus en plus qu'il la trompait non seulement avec Olesya. En m;me temps elle ne peut pas ignorer qu'il continue ; l'aimer malgr; cela. Le dernier temps, Albert s'implique dans la p;che. Un autre p;cheur vient qui tente de se lier d'amiti; avec lui. Comme s'il est arriv; temporairement chez ses amis ; passer des vacances. Il sait bien la p;che et comme s'il ne voit pas qu'Albert parle l'anglais pas toujours correctement. Mais Albert et Paul sont intelligents et prudents. Ce qu'il ne voit pas non assez correct anglais d'Albert, ce fait semble suspect. Aussi il est sociable trop, si le comparer avec les autres Am;ricains. Apr;s une fois quand partent les femmes ; la jungle, elles sont pr;venues qu'elles ne peuvent pas retourner.
          Dans le chapitre XI "tribu libre", le "p;cheur" abat ses cartes. Il montre un certificat cette fois des cervices specials des ;tats-Unis. Il suppose que les femmes soient cach;es pas loin (elles partent, elles viennent). Il m;me essaye de faire Albert chantage. Il n'a besoin que d'une seule chose: apprendre ; t;l;porter et apr;s cela, comme il jure, non seulement la police, mais FBI fermerait les yeux sur son ;migration ill;gale et m;me aiderait ; l;galiser son statut social.
          Les femmes comprennent bien qu'elles maintenant doivent rester ; la jungle ; jamais. ; devenir quatre ;pouses d'un mari, c'est quelque chose de plus difficile, mais elles l'acceptent graduellement. Elles l'aimeront, elles feront-lui des enfants, une tribu libre sera form;e, mais contrairement aux tribus sauvages, ils seront illettr;s, auront de bonnes mani;res et seront sans pr;judices, Ils seront de non arri;r;e mais d'avanc;e partie de l'humanit;. Si revenir au monde, les trois amies de l';pouse d'Albert d;j; savent en quoi peut cela transformer apr;s elles ont endur; la peur en captivit; de Kashin. On peut av;rer malchanceux en deuxi;me fois. En voyant comme Albert et le vieillard t;l;portent, elles se rendent compte que la chasse des services specials ; eux n'est pas un jeu.
          M;me au d;but du roman, le vieillard disait ; l'Albert qu'il y a une personne planifi;e qu'Albert devra enseigner ; t;l;portation apr;s qu'il sera mort de vieillesse. Maintenant le vieillard lui r;v;le ce que cette personne est Olesya. Maintenant pourrait-on finir comme ;a, n;anmoins, l'ann;e 1994 va ; sa fin et la premi;re guerre contre Itchk;rie commence. Albert est furieux. Le dernier de la partie II douzi;me chapitre "le choix" commence.
          Premi;rement, ce serait impensable ; croire que la Russie se r;pare. L';tat du Satan a recommenc; les m;mes choses: oppresser, r;primer, dominer. Deuxi;mement, un peuple va souffrir. Nous savons du chapitre III de la partie II "une course d'obstacles", Albert sympathisait ; ce peuple et m;me nomma soi-m;me "ami du peuple tch;tch;ne".  Quand tout ;a fait, y compris, bombardement de zones r;sidentielles de la cit; Grozny, il n'y a pas de n;cessit; d';tre un g;nie, pour comprendre qu'est-ce ";tablissement de l'ordre constitutionnel" rapport; par la propagande officielle et en quoi cet ;tablissement sera-t-il transform;. Albert a soif de vengeance. ; la fois avec le vieillard ont-ils pris une d;cision comment agira-t-il.
          Albert d;montre sa capacit; de t;l;porter devant un employ; du CIA. Cet employ; apr;s avoir compris vite ce qui se passe, il proposa ; l'Albert de faire le m;me devant plusieurs t;moins, c'est-;-dire, devant ses coll;gues. Albert fut d'accord avec plaisir. Ils lui donnent un agent des chefs qui le v;rifierait et enseignerait. Albert appelle cet agent "chef" et l'agent n'a rien contre cela. Albert posa une seule condition, ; ne jamais le demander, comment r;ussit-il ; t;l;porter. En processus du travail avec Albert, le chef plus en plus s'assure de la sinc;rit; et de l'honn;tet; d'Albert. Albert ne cache plus ce qu'il vint aux ;tats-Unis ill;galement, en esp;rant de sauver certains gens de la pers;cution dangereuse. Il avoue qu'il a ;t; comme une victime du chantage par autre coll;gue du service sp;cial qui d'abord a fait semblant d';tre un p;cheur. Sans attendre cela, gr;ce ; son r;cit, Albert a d;couvert un agent dormant de l'Intelligent Service de la Russie. Malgr; le fait qu'il est un Am;ricain natif, il agissait dans l'int;r;t du g;n;ral Paukov pour de l'argent.
          Quand Albert re;oit l'autorisation officielle ; vivre aux ;tats-Unis, il devient presque ; la fois un employ; du CIA aussi officiellement. Quand le chef le f;licite qu'; partir de maintenant travaillera-t-il en faveur des ;tats-Unis, Albert r;pond qu'il dirait plus correctement "en faveur de la libert;!", car les pays peuvent se changer, mais la libert; est la valeur ;ternelle. Aussi l'ap;tre Paul a dit: "l; o; est l'Esprit du Seigneur, l; est la libert;" (2Corinth 3: 17). D'un c;t;, le chef a pens;: "quel insupportable est ce type avec ses contradictions!" D'un autre c;t; il fut touch;. Apr;s tout cet agent est inestimable et si admirez-le, ce ne serait point contre la r;flexion pratique d'un Am;ricain. Et aussi bien s;r, il n'y a pas tant beaucoup de gens honn;tes, qui auraient un d;sir passionnel de travailler selon ses propres convictions.
          Le chef ;tait n; et ;lev; dans une famille des baptists croyants et maintenant il s'est rendu compte qu'en se mettant au travail au total, il a commenc; ; oublier Dieu et l';ternit;. Le jour de cong; il est parti ; la nature et priait. Il a compris maintenant que la foi sans obscurantisme et fanatisme n'emp;chera jamais au travail d';claireur. Elle ne peut qu'aider. Apr;s tout, le grand professeur a dit: "rendez les choses de C;sar ; C;sar, mais les choses de Dieu ; Dieu". Cet endroit-l; le roman est fini.
          Ainsi, Albert a l'apport; un bon fruit encore, il a emmen; un ;tre humain ; la foi. Tel protagoniste on a r;ussi ; cr;er. Parfois, il est impudent et impoli jusqu'au cynisme lorsqu'il est confront; le mal, mais dans la profondeur de l';me il est toujours orient; vers bien. Il aime les quatre femmes mais il ne les consid;re jamais comme un moyen ; utiliser, mais dans chacune d'eux voit-il une belle cr;ation et son amour est sinc;re. Il est sympathique aux relations dr;les d'Olesya et Paul. Il devint non seulement un successeur digne du vieillard mais aussi un bon ami. N;anmoins le teste principal, c'est le test de t;l;portation. Malgr; l'acquisition de la force ;pouvantable, il est rest; l';tre humain. Il n'a besoin d';tre un monstre obs;d; par la soif de pouvoir. Quant ; sa femme et ses trois amies, Paul et Olesya, en admettons qu'ils ne sont pas sans p;ch; du tout, mais notre environnement gris manque des gens comme ;a. Quoiqu'il y ait peu de lecteurs qui le confesseraient.