Chapitres I-IV. La teleportation. Partie II

Áîðèñ Àðòàìîíîâ
                Chapitre I. Des nouvelles inqui;tantes.
          Albert a d;cid; de se reposer seul dans l'appartement, d';tre assis, d';tre r;vant. D'abord il avait pens; comment s'habillerait-il pour qu'apparaisse sur Broadway. Mais toute de suite il s'est souvenu que ; tout moment ; l'outre povait-il s'envoler chez soi ; se changer. Maintenant, soit-ce New York ou le Kamtchatka, tout ;a est plus proche d'il que la cuisine, ; condition qu'il se rende jusqu'; la cuisine ; pied, mais pas ; l'aide de cette mani;re merveilleuse. Il semblait qu'il longtemps f;t en train d';tre assis sur le divan, une pens;e changeait l'autre. Le ciel qui ;tait couvert d'un voile le matin, se devenait de plus en plus sombre, mais malgr; cela, il se sentait le c;ur l;ger. La probabilit; que Nadia est en s;curit;, est plus que 99%. L'ami qui ;tait comme si p;ri, il est trouv; maintenant, et aujourd'hui, sans quitter cet endroit, il se dirigera chez il, ; grande cit; qu'il d;j; a aim;e et de laquelle il r;vait d;s l'enfance, d;s l';ge de onze ans. En accumulant l'exp;rience de la vie, Albert plus ;a va, plus d;testait-il les cit;s millioni;mes et si quelqu'un lui a dit-il y a un an qu'il aspirerait ; visiter une ville pareille comme un gar;on voudrait arriver au parc avec les meilleurs man;ges, il n'aurait cru point. C'est pourquoi le ciel sombre et gris avec les nuages lourds d'hiver qui flottaient dans il ne pouvait pas assombrir son bon ;tat de son ;me. Il en a eu marre d';tre assis dans la m;me place. Il jeta in coup d';il ; la montre. Il ne passa qu'une heure.
          Albert canalisa ses pens;es, fit un mouvement presque imperceptible et sorti comme si ; travers une porte invisible ; l'appartement de Valia. L'appartement ;tait vide. Il n'y avait personne que Sveta ; visiter. Il t;l;porta ; l'escalier et sonna ; sa porte. Elle ouvrit la porte, tout en larmes.
          -Comme c'est bonne que tu es arriv;! Je suis si triste!
          -Je te comprends. Bien s;r, c'est pitoyable. Ce maudit pays. Un ;tre humain entre dans les affaires russes comme un papillon de nuit dans le feu.
          -Je n'irai pas ; l'enterrement. Ses parents regardent ; moi de haut et avec m;prise. Il sera mieux si nous irons apr;s sur sa tombe avec les amies ensemble ou avec toi ; deux. Dur de croire. Je n'ai personne, de nouveau.
          -Il y a moi que tu as. Simplement, nous ne le devons pas maintenant. Ce serait le p;ch;. Il faut attendre au moins quarante journ;es.
          -Tu es mari;. Tu avec Nadia, vous querellerez ; cause de moi.
          -Est-ce toi qui raconteras ; elle? Non. Si on peut garder le secret pendant un jour, on le peut garder cent ans. Toutes vous ne pouvez pas comprendre qu'on peut vivre dans l'amour et l'harmonie non seulement par les deux personnes. C'est la raison ; cause de laquelle doit-on faire de cachotteries.
          -; quoi bon cela? Si tu es mon mari qui s'est all; ; l'autre femme, je te perdrais.
          -Presque tout le monde refuse de comprendre. ; quoi bon le dilemme comme ;a "avec ceci ou avec cela"? C'est l'ordre de qui? Qui a os; interdire de vivre ; trois, ; quatre? Les gens sont des imb;ciles et c'est leurs pr;judices. Je pourrais aussi te questionner: "; quoi bon cela qu'on te pince, on te caut;rise?" N;anmoins, je te comprends.
          -Cela n'est pas si visible. C'est plus l;g;rement ; cacher.
          -Quelle est leur affaire, de ces mesquines gens avec l'intellect de singe, qui ; qui va? Qui a quelle porte sonne? Ne sois pas sinc;re avec personne et arr;te d'avoir peur d'eux. - Albert allait ; dire quelque chose encore, mais la cloche sonna.
          -Ne va pas. C'est moi qui ouvrirai.
          Albert, apr;s retourner de Moscou, il toujours n'enleva pas l'imperm;able o; il avait les couteaux et les cartouches ; gas dans les poches. En pr;voyant la possibilit; d'une attaque avec pistolets, il ;tait arm; compl;tement. Sans prendre le risque pour les yeux, il ferma le trou de judas par un doigt de la main gauche. Aucun coup de feu n'a pas suivi. Il a ouvert la porte brusquement et soudainement. Un mec ;tait debout ; l'entr;e en blouson de cuir, sa coupe de cheveux ;tait comme celle de bandit, mais on ne pouvait sentir aucune agression de lui. Il semblait qu'il ait timide ou a peur de quelque chose.
          -Ah, c'est encore vous, - il dit et baissa les yeux dans la confusion.
          -Que signifie "encore moi"? Chez qui viens-tu de t'arriver?
          -Chez Sveta... une affaire... N;anmoins, si vous ;tes en train de s;journer ici, je reviendrai une autrefois.
          Albert voulait dire: "maintenant je s;journerai ici pour toujours", mais il s'arr;ta ; temps, apr;s comprendre qu'il peut attirer tr;s mauvais visiteurs par cela ; l'appartement d'elle.
          -Sveta, c'est un visiteur ; toi.
          Elle a regard; dehors. En voyant son regard, il a compris que ce mec n'est pas familier ; elle. Albert regardait les mains du mec pour l'arr;ter ; temps, mais il n'y avait aucune attaque.
          -Je viens du travail de Tolik. Sveta, irez-vous ; l'enterrement?
          -Pardon, mais il y a une raison, ; cause de laquelle, personne ne doit savoir qui, quand et o; ira. Premi;rement, sa mort a ;t; violente. Deuxi;mement, OMON a attach; des trois types pr;s de ma maison aujourd'hui, dans les vestes pareilles et avec les coiffures de la m;me mani;re. Les flics ont beaucoup de travail et ils sont pr;ts ; accuser des crimes n'importe qui. Donc abstenez-vous de visiter cet appartement et dites ; tous les autres de ne pas d;ranger. Si elle a besoin, elle-m;me appellera ou viendra ; votre travail.
          -Alors, je me vais. Pardon de vous d;ranger. Soyez heureux de rester.
          Et apr;s entendre en r;ponse: "Bon voyage", le visiteur suspect commen;a ; descendre les escaliers. Albert ferma la porte.
          -Fais du th; tandis que je me vais aux toilettes.
          Sveta prit la th;i;re et Albert t;l;porta ; l'appartement de Valia. Cette fois elle ;tait chez soi.
          -Oh! Tu me viens d'effrayer. Est-ce que tu as un passe-partout? - cria la maitresse de l'appartement en sortant de la chambre apr;s entendre un bruissement dans le couloir.
          -Je me suis entra;n; d';tre un ninja. C'est une science pour savoir agir furtivement. J'ai ;t; ici il y a une demi-heure et il n'y avait personne. Il ne s'agit pas de l'amour: Sveta est en danger. Va vers elle et am;ne-la ici. Ils chassent pas elle mais Albert. Il est venu chez elle ; la consoler, n;anmoins, il a beaucoup de l'autre affaire. Et tu mieux r;ussiras en cela.
          -Est-ce que je t'appellerai toujours Albert Deuxi;me?
          -Appelle-moi R;nald.
          -Mon Dieu. Partout ;trangers. J'esp;re que ce soit le nom r;al, n'est-ce pas?
          -Quelle est diff;rence? Quand se va le train local.
          -En 14.23. Prendre en 13.50 est impossible d;j;.
          -Va plus vite. Et je dois courir aussi. Je l'expliquerai apr;s. Appelle-la et dis que tu arriveras.
          -Alors allons-y ensemble.
          -Je ne peux pas, je dois courir, d;sol;. Au revoir, mon amour!
          -N;anmoins, tu es un ali;n; en effet.
          -Qu'il en soit ainsi. Au revoir.
          -Au revoir.
          Albert descendit les escaliers en courant, de la m;me mani;re, comme derni;re fois et apr;s devenir sure que personne ne le voit, il t;l;porta aux toilettes. On frappait fortement ; la porte.
          -Est-ce que tu es y pendu? - Sveta criait d;j; agac;e.
          -D;sol;, je me suis endormi.
          -Bonne nuit!
          -Je vais ; sortir maintenant.
          Il froufrouta avec papier, tira la chasse d'eau et sortit apr;s une minute. Le t;l;phone sonna. Sveta d;crocha. C';tait Valia. Elle dit qu'elle arrivera dans une heure. Questionna, si Sveta est seule. Albert ;tait ici en effet.
          Valentina est arriv;e ; trois heures et demie. Albert dit ; elles agir plus vite. Les amies ;taient perplexes et s'il n'y avait pas du fait de la mort d'Anatoly, il est possible qu'elles ne lui aient pas ob;i. Chacune d'elles ;tait en train de garder le secret de son amour soit avec lui, soit avec le double de lui. Chacune d'elles soup;onnait que cet homme soit au courant de certains ;v;nements secrets et pour ;tre hors du danger, ce sera mieux ne pas contredire les conseils de lui.
          Ils sont arriv;s au settlement d;j; familier tous trois, allaient jusqu'au lieu ; pied. Albert dit au revoir ; elles pr;s de l'entr;e de l'appartement de Valia. Elle ;tait s;re qu'il a certaines affaires secr;tes avec son double Renald, comme si c'est son fr;re jumeau, et c'est possible que cette affaire soit associ;e ; la substitution des doubles l'un pour l'autre.
          "Ne sont-ils pas substitu;s l'un pour l'autre quand Renald me fait l'amour? - Valia "comprit" vaguement soudainement. - Il faudra un jour marquer ce R;nald".
          Quand Albert s'est s;par; des amies, il ;tait d;j; cinq heures et la sixi;me a commenc;. Si quelqu'un le poursuivit, il faut amener les espions plus loin d'ici. Il faut les laisser perdre sa trace plus proche de Moscou. Il a d;j; "calcul;" le lieu ; Broadway. Il a r;ussi ; l'atteindre jusqu'; la station "Losinoostrovskaya". Il entra ; la premi;re entr;e en courant, en contr;lant son esprit de l'invisible mani;re et il est apparu sur le Broadway proche du lieu. Apr;s Moscou o; d;j; il y avait des t;n;bres, la brillante lumi;re de matin frappa les yeux. Il est d;j; arriv; au lieu, n;anmoins, il ;tait forc; toujours de couvrir le visage par les mains.
          -Are you all right, sir? - Il entendit une voix famili;re.
          -Hello, my dear friend! I'm very glad to see you alive.
          -Hello, Àlik! N'ai pas peur de parler russe. Il y a beaucoup d';trangers ici.
          -Eh bien tu sais. Je voudrais ;tre un 100% Am;ricain.
          -Nous pouvons jouer aux Am;ricains apr;s. Il y a beaucoup d'informations. Ta situation est grave mais nous les battrons.
          -Qui allons-nous ; battre?
          -Je vais l'expliquer ; toi. J'ai d;j; les jetons. Nous devons passer quelques stations par l'underground, le m;tro local. Puis nous sortirons dehors et il y a un banc et on peut bien voir autour. La chose principale, les compatriotes ne devraient pas entendre notre conversation. Tu comprends, le sujet est d;licat.
          -Allons.
          Le m;tro ;tait ; proximit; et dans quinze minutes ils d;j; marchaient au banc.
          -Quel genre d'affaire mortelle as-tu commise?
          -Je n'ai commis rien. D;sol; pour la blague cruelle que j'ai jou;e ; l';gard de toi, mais je sais maintenant que j'ai ;t; raison. Oh, quelle droite raison ai-je eu! N;anmoins, j'ai commis quelque chose en effet. Avant le putsch, des armes ;taient distribu;es. Je crois, tu lis les journaux. Cela a commenc; par le fait que j'ai fait semblant un salaud bolchevique et apr;s recevoir l'arme j'ai grimp; ; travers l';tendue. Apr;s cela, il y avait un arrangement assez compliqu;, J'ai failli devenir une victime de tromperie, mais du fait de ces efforts j'en ai eu deux pistolets "Walter", un de lesquels toute de suite vais-je ; donner en cadeau ; toi. Le m;canisme est fiable, crois-moi, et confortable ; porter dans la poche.
          -Je r;vais d'arme depuis longtemps. Merci d'avance!
          -Il ne s'agit pas des r;ves, ni de chevalerie, ni de bravade. La situation est grave en effet et si ;tre en train d'un gobe-mouche, elle deviendra assez  dangereuse, comme aujourd'hui.
          -Et quoi s'est produit aujourd'hui?
          -Qu'en penses-tu m;me? Y avait-il quelque chose d'inhabitude autour de toi?
          -Seulement, OMON a captur; de certains types dans notre cour, et quand je et ma femme nous avons ;t; en train de sortir de l'entr;e, des flics en civil ont v;rifi; nos documents.
          -Comment ;taient habill;s ceux qui ont ;t; d;tenus?
          -En vestes de cuir, coupes de cheveux courtes, cols de pulls relev;s.
          -C';tait ceux qui sont arriv;s afin que te tuer, - le vieillard Paul dit s;v;rement.
          -Sont-ils ceux qui m'avaient suivi?
          -Ceux qui t'avaient suivi, ils ont te sauv; d'attentat.
          -Pourquoi y a-t-il telle grande attention ; moi? Je ne sais pas un cas que les flics eussent travaill; si bien.
          -Ils ne sont pas des flics, mais les types d'un d;partement parall;le.
          -Je viens de comprendre... N;anmoins, comment ils ont su?
          -As-tu une id;e de la valeur qu'ils t'accordent?
          -Je comprends. Je vois maintenant, ils ne pouvaient pas les laisser tirer ; moi. Tu "grimpais" cent fois plus que moi. O; ai-je gaff; jusqu'; tel degr;?
          -Tu as gaff; dans la position de la vie. Tu vivais heureusement, tu t'amusais de la vie et ignorais le fait que notre monde est ; la condition de guerre. La guerre n'a pas commenc; ni fini. Elle continue toujours. Et lorsque nous parlons sur le commencement d'une certaine guerre, ce n'est qu'un passage de la forme cach;e ; l'explicite. Il y a des lignes int;ressantes dans le folklore tch;tch;ne. Ils disent dans une de leurs l;gendes qu'ils ont cr; sur les pierres, c'est-;-dire, dans les conditions s;v;res, et ils ne pourront pas semer les champs et faire pa;tre des moutons, mais au lieu de ;a seront-ils forc;s de se battre. Et cette permanente pr;paration ; la guerre donnait victoires ; eux plusieurs fois. Tu as oubli; o; tu es. Je respecte ta libert;, tu avais raison quand tu t'amusais et connaissais le bonheur avec les belles amies de ta femme, n;anmoins, tu devais n'oublier pas de v;rifier ; l’arri;re-garde.
          J'agissais comme un parent prudent qui a laiss; aller son petit enfant de la maison pour arriver au magasin et faire des achats ; travers les rues d'une ville assez dangereuse. L'enfant croyait comme s'il ;tait seul, mais le parent le suivait pour le d;fendre et soutenir. Et voil; un instant, quand le kid, en ;tant debout, calculait des corneilles, dire au sens figur;, une voiture est apparu du coin, et ce parent a r;ussi ; l'arracher son enfant devant du malheur imminent.
          Quant ; la raison de laquelle tu as fait l'erreur, c'est arriv;, car en poss;dant un tr;sor inestimable, tu sais de quoi s'agit-il, tu parcourais ce monde et calculais des corneilles. Si tu ;tais un soldat, pour n;gligence pareille aurais-tu pu affronter une cour martiale. Mais tu n'es pas un soldat et je ne suis pas un commandant m;chant. Tu es mon successeur et mon devoir de prendre soin de ta s;curit;. Tu ;tais en train de calculer des corneilles et c'est rat; soudainement: une des amies, je suppose, tu l'as plu plus que les autres, elle s'est av;r;e tr;s ;trange dans ses actions, mais tu as ignor; cela.
          -Rousse Lena?
          -Elle-m;me. Il y a quelques mois, elle ;tait recrut;e dans un d;partement ill;gal de renseignement qui recueille des informations sur les ph;nom;nes paranormals. Ce d;partement ;tait cr;; par un aventurier qui travaille au FSB et profite des opportunit;s de son poste officiel.
          -D'o; as-tu su tout ;a?
          -Il est encore plus surprenant que tu n'as le su pas jusqu'; pr;sent. Rappelle-toi comment ai-je trouv; un objet dangereux, c'est Colonel, et je l'ai ;limin; par les mains des autres. J'agissais dans ce cas de la m;me fa;on, mais tu ne faisais rien. Le fait que tu courais les filles, n'est pas ta faute. Je ne peux que l'approuver. Il faut conna;tre le bonheur de la vie. Quant aux malheurs, ils nous trouveront eux-m;mes. Tu pouvais ;tre en train de t'amuser, mais ; la fois observer, quoi se produisait autour de toi. N;anmoins, tu continuais ; jouer toujours comme un petit enfant, en calculant des corneilles. Si je r;ussissais ; l'avoir su tout ;a de quoi je te parle maintenant, donc tu pourrais avoir su tout ;a aussi. On peut jouer, m;me il faut jouer, mais il faut v;rifier pendant le jeu, si quelqu'un est en train de te cibler d'un coin? Tu veux devenir un bon amant, sois alors un bon agent de contre-espionnage ; la fois. ;a n'interf;re pas.
          -Oui... La psych; humaine est paradoxale. Je suis s;r que je ne suis pas un imb;cile, et tu es s;r de ;a aussi. N;anmoins, comme on parle, je n'ai pas aper;u un ;l;phant.
          -Cela aurait pu arriver ; un g;nie aussi. Je crois en cela, tu diff;res de l'imb;cile, parce que tu es capable d'apprendre de tes erreurs. Comme tu penses? Que faut-il faire maintenant?
          -Sont-ils s;rs fermement que je poss;de la capacit; pareille?
          -Maintenant, ;coute. Quand H;l;ne t'a invit; en premi;re fois et tu es arriv; ponctuellement, comme un Allemand, pas ; l'appartement mais sur l'escalier, leurs observateurs ;taient debout un ;tage au-dessus et avaient vu de leurs propres yeux, comme tu as apparu de rien. Cette data est d'une conversation que j'ai surprise. Je p;n;tre chez leurs ;tablissements parfois de la mani;re secr;te et ma m;moire tient quelques dizaines tr;s d;licates int;rieures. Lena ;tait devenue recrut;e il y a une demi-ann;e avant que tu as fait irruption chez elle en premi;re fois. Kashin, c'est lo nom aventurier principal, il est le chef du d;partement ill;gal. Il est venu ; elle d'abord comme un amant et il est un ma;tre de grande classe au lit. L'argent ;tait ajout;, c'est une s;duction en outre. Les cadeaux, puis les frais des services secrets avaient lieu. Puis elle a vu un certificat du FSB, n;anmoins, ce ne l'a arr;t;, mais au contraire. En comprenant des conversations que j'ai r;ussies ; surprendre, elle a commenc; ; se rendre compte qu'elle avait fait une connerie. Mais ce temps-l; avant, avait-elle besoin du vendeur de journaux Albert, tandis qu'elle s'imaginait une ;toile de l'espionnage?
          -Mais elle continuait toujours ; ;tre amie avec tout nous.
          -; quoi bon elle se querellerait avec vous? Elle recueillait des informations partout o; cela est possible. Les ph;nom;nes paranormaux sont des ph;nom;nes extremely rares, et il faut sonder des millions de personnes avant que quelque chose serait trouv;. Si nous ne sommes que deux sur Terre, donc la probabilit; de notre capacit; pareille est une chance sur trois milliards. Une seule personne ne peut pas sonder une quantit; suffisante des gens, m;me s'il a une centaine de conversations en jour qu'est impossible. On besoin de beaucoup d'agents qui ne sont pas inform;s, mais simplement assign;s la t;che de recueillir des n'importe quelles informations sans expliquer pourquoi. Maintenant, peux-tu t'imaginer, quel tr;sor Kashin a-t-il trouv; en toi, apr;s Lena lui avait rapport; le fait, comme tu avais disparu dans les toilettes chez elle? Il ;tait au courant ce que passait dans ton quartier, par cette partie de la mafia qui finance le d;partement ill;gal. Anatoly ivre bavardait qu'il avait transmis des informations ; toi, et tu es un cha;non dernier que le FSB sait. Et voil; ces informations est transmis au cha;non suivant et Colonel est tu;, soit par des Tch;tch;nes, soit par des Ingouches. Le cha;non suivant, c'est-a-dire moi, et que repr;sente-t-il, ils ne peuvent que deviner. Peut-;tre, il y a tout un foyer de super-capacit;s, qui sait? N;anmoins, m;me si le cha;non suivant est inatteignable, ils d;j; ont un moineau ; la main, c'est toi. Et maintenant apprennent-ils que quelqu'un va ; tuer Tolik, puis ; toi. Ils les laissent faire la premi;re chose et les gar;ons sont tenus apr;s ;a. Mais les laisser tuer toi? Ce serait comme jeter des diamants du pont ; la rivi;re. C'est pourquoi ils les ont d;tenus dans ta cour.
          Quant ; fait, si sont-ils fermement surs, juge toi-m;me. Tu as apparu chez Lena en premi;re fois, quand elle t'a rejet;, c'est-;-dire, le t;moin est leur agent ordinaire. Kashin a deux assistants fid;les, Skolopendrin et Batogov, qu'il mit au courant, y compris de tes capacit;s. Tous les autres dans l';tat et hors de l';tat, ils ne sont qu'ex;cutants aveugles qui ne savent rien. Et donc, en deuxi;me fois, deux hommes t'ont vu. Kashin lui-m;me et Skolopendrin qui est sa main droite. Et Valia a ;t; chez Lena et a racont; ; elle comme si tu as un fr;re jumeau que tu caches. Bien s;r, Lena a compris quelque chose, mais ses chefs ont compris mieux encore.
          -Je l'ai nomm; Renald.
          Le vieillard rit.
          -Et donc, je suppose, - Albert continuait, - avant que se mettre ; la besogne ; pleine puissance, ils voudraient v;rifier plus une fois d;finitivement, pour dissiper tous les doutes sur moi. Ils auraient besoin de me capturer, n'importe comment, sous quel pr;texte et de quelle mani;re. Ils peuvent faire semblant d';tre n'importe qui: soit flics, soit voyous, soit bandits. En captivit;, ils essayeront de cr;er des conditions insupportables, ; me forcer appliquer mes capacit;s inhabitudes directement devant eux.
          -Et quoi diras-tu? Apr;s tout, tu es capable de te d;barrasser de n'importe quel pi;ge.
          -Dans ce cas, ils agiront de telle fa;on que je moi-m;me d;sirais de retourner vers eux. Ils n'ont pas opportunit;s sauf prendre ma femme en otage. Voil; mon point faible! Il faut l';vacuer instamment.
          -Tu as raison. Et il faut faire ;a, avant qu'ils s'assureront compl;tement de tes capacit;s. Maintenant dis-moi, tu avec ta femme, o; vous dirigiez vous, quand le groupe de capture travaillait dans votre cour et ils ont v;rifi; vos documents?
          Albert consid;rait superflu ; le questionner, d'o; le vieillard a-t-il le sait. Il raconta, comment passa-t-il aujourd'hui, avec tous les d;tails. Il raconta d'hier aussi.
          -Pourquoi n'as-tu suspect; rien, lorsqu'elle a grimp; sur toi litt;ralement apr;s qu'elle t'avait rejet; de telle inf;me mani;re?
          -Le comportement irrational des femmes peut-on observer plus souvent que des hommes.
          -On pouvait penser comme ;a quand tu n'avais rien sauf dipl;m; de l'Universit; d';tat de Moscou. Si une femme te rejette d'abord, puis se jette au cou apr;s, ce serait une folie la suspecter, comme si elle est une figure active dans les passions d'espionnage autour de votre personne. Ce serait une folie ; cette ;poque-l;, mais pas maintenant. Ils la enseignaient ; l'agir contre un homme qui pense de la mani;re ordinaire et qui ne serait pas exp;riment; dans l'affaire de renseignement. Si elle jouait de telle fa;on avec quelqu'un qui a fait son apprentissage dans une ;cole de l'espionnage, les siens la disqualifieraient au mieux, et les ennemies, soit l';limineraient apr;s torturer ; l'apprendre le but de la mission, soit ils ne la demanderaient rien, mais mettraient en sc;ne un accident tranquillement et soigneusement.
          Quant ; l';vacuation de ta Nadia, je suis d'accord compl;tement. Je t'ai rencontr; pour sugg;rer exactement cela, mais tu l'as devin; toi-m;me. N;anmoins, vous tous ne devez point parler ; voix haute. Ton appartement et tous les appartements de tes amies seraient pleins de mouchards je serais tr;s surpris si ce n'a pas lieu. Il serait mieux si vous d;lib;rez au milieu de la nature, dans un champ par exemple, dans lequel tout est clairement visible, o; aucun diable ne pourrait grimper ; un arbre et se cacher entre les branches, pour vous cibler par quelque chose de vous ;couter ou regarder. Puisqu'il y a des cas, ils embauchent des sourds-muets qui sont capables comprendre une conversation ; l'aide de voir le mouvement des l;vres.
          Ce n'est pas en vain on parle: "tous les nuages sont bord;s d’argent". Ce que tu te tenais l;g;rement ces derniers temps, cela a un certain grand avantage. Comment penses-tu, pourquoi ;a?
          -Ce peut rendre leur vigilance baiss;e. Ils agiront comme si contre un gogo qui serait simple d'esprit.
          -Et comment penses-tu, qui est venu ; Sveta aujourd'hui?
          -Je suppose, c';tait un de ces trois qui avaient tu; Tolik. Comme on parle: "on peut prendre au moins un morceau de laine de la brebis galeuse". Si l'affaire de me tuer est interdite, on peut au moins ; baiser Sveta. D'abord un d'eux est venu ; renseigner, si peut-on s'amuser avec elle de la mani;re paisible pour apr;s ;a la donner aux autres.
          -Certes. Et c'est ce qu'il faut que tu aies l'emmen;e ; Zavety. Ils ne viendront jamais ; la r;gion des autres. Aucun grand malheur ne serait s'ils utilisent une de tes femmes une fois seulement. Mais on ne sait pas de quelle mani;re peut-ce finir. N'oublie pas ce que c'est une partie du gang inachev; de Colonel, des gredins qui sont capables de faire n'importe quelle vilenie. Quant ; Kashin et la compagnie, nous sommes plus forts qu'eux. Seulement, il ne faut plus faire grosses fautes et calculations mals. Et alors, apr;s essayer de t'avaler, ils avaleront un crochet pointu, avec lequel ils s';toufferont.
          Et maintenant, c'est au cas o;, si la police nous d;range, grimpons ; deux au vide appartement de Sveta.
          Albert a ;t; surpris de ces mots, mais n'a demand; rien. Le vieillard, en regardant autour, plongea la main dans la poche. Le plus imperceptiblement possible, il donna ; l'Albert d'abord le pistolet, puis deux sachets cellophanes pleins des papiers.
          -Le pistolet est charg;, mais la s;curit; est activ;e. Appuie cette chose, puis on peut tirer. Le m;canisme est bon et compact. Fait en Allemagne. Presque sans rat;. Quant aux sachets, ils contiennent le dossier de nos "p;cheurs", je les nommerai comme ;a. Il s'agit de Kashin, Skolopendrin, Batogov et certains d'autres encore. Tout est ;crit d'eux ici. ;limine mes commentaires apr;s m;moriser. Le reste, cache-le de mieux fa;on. As-tu d;j; d;cid;, comment ;vacuer Nadejda?
          Albert exposa son plan. Le plan a plu au vieillard.
          -Une chose la plus difficile, c'est la persuader. Elle ne croira pas et pensera, soit je sois devenu fou, soit je la dupe, en faisant semblant.
          -Montre ; elle tout l'argent que tu as gagn;, puis le pistolet. Laisse ; elle se rendre compte de l'ampleur de ton activit;. Si ce n'aide pas, tu devras d;montrer ; elle ta capacit; de "grimper".
         La conversation continuait. Les amis ont discut; de l'heure et du lieu de la r;union pour l';vacuation de Nadejda. D'accord avec le plan d'Albert, ils ont discut; des d;tails.
          -Comment tu penses? - demanda Paul. - Vont-ils ; laisser en paix le reste des amies si vous deux disparaissez? Et s'ils ne les laissent pas en paix, ; qui menace danger le plus grand?
          -; Lena.
          -Tu penses correctement. Essaye agir de la m;me mani;re. Nous devons voir l'un l'autre chaque jour, ; correcter le plan si nous avons un besoin comme ;a. On ne sait pas quelle surprise peut-elle avoir lieu.
          Ils ont accord; le lieu et temps des r;unions ; venir et ont num;rot; les points qui tous ;taient en USA, puis, apr;s se cacher des passants, ont disparu, chacun d'eux ; sa direction.

               Chapitre II. Dans le r;le d'un spectre nocturne.
          Albert est ;merg; ; un quartier de Moscou qui est situ; proche de sa maison et au-del; imm;diatement de contournement qui divise conditionnellement l';norme m;tropole en r;gion et le centre r;gional. Il n'y avait personne parmi ses amis ni amies dans ce quartier et ils peuvent le suivre partout mais pas dans ce quartier. Il se mit en marche ; pied. Le vent du jour s'est calm;, mais on sentait la fra;cheur apr;s New York, n;anmoins, ce n'oppressait pas mais n';tait qu'excitante. D'ailleurs, la d;localisation instantan;e du midi clair ; l'obscurit; d'automne toujours sans neige de la ville nocturne, tout ;a ajoutait une sorte du fabulosit; ; tout l'environnement. Il ;tait en train de regarder au monde ordinaire et bien connu par une sorte des yeux neufs. Tout avait l'air en partie su et tout ;tait en partie vu comme en premi;re fois. Dans les instants pareils, des id;es sont g;n;r;es et des plans sont faits facilement qui sont r;alis;s apr;s non si facilement. La chose principale maintenant est ; l'atteindre la maison et s'il est suivi, il les faut laisser voir qu'il est arriv; ; pied on ne sait pas d'o;, du plus proche quartier de Moscou. Donc il les faut laisser r;soudre un casse-t;te qui habite le quartier pr;s de la station de chemin de fer "Los'', si c'est une amante ou des amis, ou des parents ;loign;s qui jusqu'; pr;sent toujours ne sont pas comptabilis;s par l'institution secr;te. Et apr;s arriver chez soi, on peut voyager encore, car il ne voulait dormir du tout, et les heures du jour ;taient sombres mais n';taient pas encore tardives.
          Apr;s avoir arriv; chez soi, il fourra toute de suite les papiers qu'il a re;us du vieillard dans un tas de linges sales qu';taient pr;ts ; la lessive. Il n'alluma pas la lumi;re prudemment. Tandis qu'il absentait, l'appartement pouvait ;tre ;quip; de cam;ras cach;es. Sans d;shabiller, il se dirigea aux toilettes, enferma. Un instant passa, et il vient d'appara;tre aux toilettes de l'appartement de Sveta. Des voix calmes d'hommes qui venaient de la chambre firent clairement comprendre qu'il ne faut pas sortir, mais ;couter.
          -...r;ellement... sans probl;me... Que pourra-t-elle faire? Les filles plus cools qu'elle, ;taient faites. M;me elle n'aurait besoin d';tre faite.
          -Gar;ons, frappe-moi, j'ai oubli;, comment s'appelle-t-elle?
          -Est-ce que tu as la scl;rose? Elle est Sveta. Izmailova. Bois la bi;re! Chacun de nous a d;j; bu, mais tu es assis toujours et n'as qu'une gorg;e. La bulle est presque pleine. Pas vessie mais la bouteille. Tu mouilleras le cerveau et il commencera ; travailler. Et ;tant s;che, ma balle, c'est-a-dire t;te, coincera aussi. Donc... je parle... la fille est la n;tre. Mityay, si elle ne va pas ; ton go;t, le reste pour moi et Lekha sera plus grand, ne nous bl;me pas. L'appartement est le n;tre aussi. Non. Je ne parle pas comme si je vais le prendre. Nous trouverons l'argent apr;s. Nous avons appris ; faire quelque chose de Colonel. Il s'agit du fait que nous pouvons toujours venir ici et nous r;chauffer dans n'importe quel sens. Et simplement ;tre assis et se cacher quand il faut. Il n'interf;re qu'une chose.
          -J'en sais. L'objet que les agents de KGB ont mis en ;uvre. Apparemment ce nerd ici s;journe souvent, mais il ne faut pas toucher. Partons. Comme un acteur d;funt dit: nous irons tous (; la prison).
          -Donc, pensez, fr;rots, que faut-il faire pour qu'il ne tra;ne pas ici? Nous le ne pouvons pas toucher. Il ne reste que faire telle mani;re qu'elle-m;me le refuse. Le premier, nous la pouvons intimider, mais c'est une mauvaise m;thode.
          -Pourquoi?
          -Si ce subject-objet voudrait montrer ses mani;res chevaleresques, alors que faire? Apr;s tout, nous ne pouvons pas l'attaquer.
          -Es-tu s;re? Apr;s tout, il est un nerd, un ;tudiant...
          -Souviens-toi de ce que Colonel disait. Aussi on parle: il faut se m;fier de l'eau qui dort. Le KGB est engag; avec lui, est-ce que pour les beaux yeux? "Notre objet. Nous travaillons avec lui". Est-ce que tu as ;cout; cela?
          -Cette phrase se dresse dans mes oreilles jusqu'; pr;sent.
          -Personnellement, j'ai quelque chose qui se dresse ; cause de Sveta. Mais assez plaisanter. Pourquoi il vient toujours ici? Est-ce qu'ils jouent aux ;checs? N;anmoins, il est mari;. Voil; le chemin deuxi;me: ; informer sa femme.
          -Donc s'approcher de lui de nouveau, malgr; l'interdiction?
          -Pas nous. Faire pour que vieilles femmes, ces potini;res raconteraient ; elle que son mari tra;ne chez Sveta Izmailova. Tout ;a est une question de temps et de technique. Colonel, que parlait-il ; faire dans les cas pareils? Trouver un gar;on local, ; montrer lui que nous, en ;tant des bandits, nous le respectons. Il fera tout possible pour que les vieilles femmes le potin r;pandent. Sinon, ces retrait;es s'ennuient. Avant tout le monde avait peur d'eux au temps du pouvoir sovi;tique, mais maintenant on les ignore et bannit, en jurant. Et soudaine, une opportunit; appara;t ; faire du mal, ; commencer une intrigue: ouvrir les yeux ; la femme au comportement immoral de son mari. En dernier recours peut-on soudoyer une comm;re qui est plus active.
          -Tu es tant besoin de cet appartement?
          -Qui a dit que c'est si co;teux? Tous ils sont indigents. Ils sont pr;ts ; danser pour n'importe qui pour dix dollars. N;anmoins, bois la bi;re. Oh, tu as d;j; bue toute une bouteille! Laissons ouvrir des bouteilles encore. En tout cas, nous ne ferons des b;tises apr;s la bi;re.
          -Ouvrons, ouvrons! - les voix d'approbation retentirent.
          Puis un bavardage ordinaire continuait, qui ressemblait ; des potins quotidiens des simples gens. Les mains d'Albert d;mangeaient ; prendre sa revanche. Il ;tait pr;t ; l'appara;tre et fusiller tous les bandits avec "Walter" qu'il sentait dans sa poche avec un sentiment joyeux, mais on ne pouvait maintenant ce faire qu'; cause de manque d'intelligence. Il n'avait pas ce manque d'intelligence, malgr; la n;gligence des derniers mois. Dans ce temps-l;, il simplement avait d;sactiv; sa vigilance et discr;tion. N;anmoins, les datas qu'il avait re;u de son vieil ami ; New York, les le for;aient de tenir ces qualit;s ; fleur de peau.
          Une comparaison int;ressante est venu ; l'esprit. Des alpinistes dans les montagnes peuvent se soulever ; l'aide de mains ou pieds. N;anmoins, si quelqu'un se soul;ve ; l'aide de mains, il se fatiguerait vite apr;s avoir perdu les forces. Aussi lutter seul contre tout le monde peut on comme un soldat, chevalier, c'est-; dire, un samoura;. Mais on peut agir comme un espion, c'est-; dire, un ninja. Lutter contre le monde de la fa;on de samoura; est un suicide. La majorit; des gens sont guid;s par l'opinion de la foule, en disant: "on ne peut rien faire contre eux, car ils disposent du pouvoir. Mais en outre, ; cause de leur simple esprit qui n'a pas re;u un d;veloppement comme il faut ; cause de telle ;ducation que nous pouvons observer, ils ne devinent pas que sauf le style de samoura;, il y a encore le style de ninja, lorsque m;me un seul peut ;tre un combattant. Cette circonstance r;fute cat;goriquement le cri du po;te Ma;akovski: "un solitaire est nul". Non. Un solitaire qui est capable de penser peut avoir des forces ;pouvantables, m;me s'il ne poss;de pas la capacit; de t;l;portation.
          Sa r;flexion ;tait interrompue par le verrou qui a cliqu; et la porte d'entr;e qui a ouvert. Deux hommes en uniforme de camouflage entr;rent ; la chambre sans se cacher, sans l'intention d';tre inaper;us. Ils allum;rent la lumi;re sans m;nagement et entr;rent ; la chambre. Les copains un peu so;ls s'apais;rent effray;s.
          -Il semble, on vous a pr;venu que vous n'approximiez pas ; notre objet. ; quoi bon ;tes-vous entr; ; l'appartement qui n'est pas le v;tre?
          -Ce n'est pas lui. Il n'habite pas ici. Une nana habite cet endroit et elle nous pla;t. Nous n'avons rien vol;, v;rifiez nos poches, s'il nous pla;t.
          -Nous savons sans cela que vous avez les pistolets TT dans les poches que vous ne voliez pas, mais les portez sans autorisation. ; bri;vement dire, cet appartement, ne le visitez pas non plus. Vous savez que l'objet le visite parfois, mais vous ;tes venus malgr; ;a. Vous n'osez point d';tre proche de n'importe qui des connus de lui! Maintenant, mettez tout de l'ordre, comme si vous n';tiez jamais et sortez.
          Une pens;e impulsive ;tait n;e dans l'esprit d'Albert. Il ne r;fl;chit que quelques secondes. Le sc;nario avait l'aire immacul;e. Il avait d;j; marre de ces trois types. Le matin pouvaient-ils tirer lui, tirer sa Nadia, effrayer et insulter Svetlana si douce et inoffensive, comme un enfant. Et quoi de ceux deux tachet;s diables? Comme y a-t-il beaucoup d'eux maintenant! De toutes sortes, de toutes les couleurs. Combien fois les types pareils lui a extorqu; de l'argent, quand il vendait les journaux. Il ne s'agit pas de petite monnaie, ils ont besoin de laisser quelque chose de d;go;tant dans l';me. Les salops pareils sont capables de fusiller des femmes et des enfants dans un point chaud quelque part, puis revenir et faire semblant comme des heroes. Maintenant, il va faire deux coups d'une pierre, il fusillera ceux tachet;s et aura pi;g; les bandits ; la fois.
          Albert retira le "Walter" de la s;curit; et sortit des toilettes. Deux coups de feu de tonnerre forc;rent deux autorit;s d'abord de se tordre, puis de tomber. Les bandits ;pouvant;s regardaient ; l'Albert et imm;diatement des coups ont retenti qui secouaient la porte et des exigences mena;antes de la ouvrir.
          -N'ayez pas peur et ne m'emp;che, - Albert avait le temps de dire, mais ses mots ont ;t; etouff;s par les sons des coups forts ; la porte et cris:
          -Ouvrez-le maintenant! Nous avons des fusils d'assaut! Ouvriez et ; terre!
          Albert ouvrit la porte du balcon. Il pouvait t;l;porter tout de suite, mais il ne devait pas montrer sa capacit; devant des t;moins probables. Apr;s avoir vu un tuyau de descente, il vint prudemment vers lui deux pas sur une corniche et commen;a ; descendre le long de lui.
          -Ne tirez pas! Nous n'avons fait rien! C'est lui... l'objet...
          -Salauds! Tout le monde ; terre! - Il semblait que ces cris effrayants d;j; sonnaient dans l'appartement.
          Albert continuait ; descendre, mais le son de verre cass; avec les f;ts d'armes retentit dans quelques secondes et les gens avec fusils d'assaut sont apparus sur le balcon. Il n'y ;tait reste ; faire que t;l;porter ; une for;t, se calmer et r;fl;chir.
          Un craquement retentit dans la for;t, mais Albert se rendit compte apr;s un instant que par son ;mergence soudaine effraya-t-il une grande b;te, soit un sanglier, soit un orignal. Le craquement s';loignait et bient;t le silence nocturne de la for;t r;gna qui ajouta ; son humeur une sorte d'une nuance romantique comme jamais auparavant.
          Donc, c'est fait. ; juger par les balles extraites des chairs des agents juniors du FSB, soit bless;s, soit tu;s, m;me un enfant comprendrait que les coups de feu ne sont pas faits de pistolets TT qui appartiennent aux bandits. Kashin maintenant doit in;vitablement rapporter que c'est un objet suivi qui avait tir;, aussi rapporte la raison, ; cause de laquelle on est en train de le suivre. Se signifierait de donner l'objet pr;cieux qui peut t;l;porter aux mains de quelqu'un d'autre. Ce serait la m;me chose comme si donner un tr;sor qu'il vient de trouver lui-m;me aux mains de quelqu'un premier qu'il a vu dans la rue. Pourquoi agir comme ;a? Il continuerait toujours ; le suivre, en esp;rant ; tout prix ; prendre possession de comp;tence de la t;l;portation ; son propre avantage, c'est s;re que ce but bien n'est pas inoffensif. Quant aux coups de feu, c'est les bandits qui seront accus;s. Les balls de "Walter" seront "perdus", les bandits seront donn;s aux flics et emprisonn;s. Peu importe qu'ils raconteront sur le FSB aux camps de prison, c'est la mode et personne ne sera surpris. Les criminals, en riant dans la profondeur de l';me, apr;s les avoir ;cout;s, croiront que c'est un bavardage ordinaire. La prison est un lieu appropri; ; mentir, car on ne peut pas v;rifier.
          Bien s;r, un part des agents seront mis en tr;s grande col;re ; cause de ses coll;gues fusill;s, mais qui laissera ; eux faire quelque chose? Ils auront une conversation explicative. Les convaincre que toucher l'objet est interdit est une t;che plus facile que convaincre les flics, car la formation et pr;paration sont diff;rentes. Il n'y a qu'un probl;me qui est aggrav;. Il faut ;vacuer sa femme instamment.
          Albert t;l;porta ; l'appartement de Lena et ;couta. La lumi;re ;tait ;teinte. Il sortit des toilettes prudemment et s'assit par terre dans le couloir pr;s de la porte ouverte de chambre. Deux amies allongeaient au lit large. Il aimerait bien s'allonger au milieu d'eux, caresser les deux, raconter de ses adventures, montrer le pistolet qui avait expuls; r;cemment son contenu mortel. Mais comme d'habitude, on ne peut pas dans la vie aller directement. Chaque but est r;alisable en accord de ses r;gles. Il n'y a que ces r;gles ; l'aller vers lui. Ici comme dans les montagnes: ceux qui sont s;duits aller le long de la ligne droit, se retrouvent souvent sur le fond d'ab;me. Albert a d;cid; d';tre assis pendent ; peu pr;s dix minutes et partir s'il n'entend rien d'int;ressant. Cependant, trois minutes de plus ne se sont pas ;coul;es, quand sa patience a ;t; r;compens;e.
          -Nadya, est-ce vraiment que tu as pens; que je sois une lesbienne?
          -Je ne le cacherais de toi. Simplement, j'ai voulu v;rifier toi.
          -Je ne cacherais aussi. C'est probable que je suis la premi;re qui te tripoterait, mais ce n'a lieu.
          -Tu pouvais ne pas ce savoir. Est-ce que tu te connais assez bien? Tes inclinations, tes d;sirs? Tu peux faire sans ouvrir ;a devant moi. Ouvre-lui au moins devant soi-m;me.
          -Et toi, sais-tu toi-m;me?
          -Avant ne savais-je pas, mais je sais maintenant et suis d;sol; pour tout le monde, car la grande majorit; des gens ne savent ; la mati;re du sex ce qu'ils veulent, car ils ont refoul; et banni ses d;sirs secrets depuis l'enfance.
          -Et comment as-tu renseign; de toi-m;me?
          -J'ai lu dans un journal de tout ;a, je ne me souviens pas le nom de journal. Il y avait des recommandations tr;s utiles, je n'ai vu plus des choses pareilles ni avant, ni apr;s. On y conseille de jouer en esprit toutes les m;thodes de copulation avec des partenaires de toutes sortes du sex et de l';ge, aussi s'imaginer soi-m;me essayant sur la pratique toutes les perversions qui sont possibles. Et quand tu trouves la tienne, tu le sentiras imm;diatement, parce que c'est impossible de rater la chose pareille.
          -L'id;e est int;ressante. Peut-;tre, je prendrais un peu du plaisir si tu me baises, mais ce n'est pas de ce que j'ai besoin, ce n'est que substitut.
          -Bien s;r, je vois maintenant que ce n'est pas le tien, sinon, si c'est ton d;sir secret, tu ne pourrais le cacher de moi, je le verrais. N;anmoins, je conseille ; toi simplement: examine ton essence. Personne ne contr;le tes pens;es, et avec soi-m;me peut-on toujours faire paisiblement. Dans tes fantaisies, tu peux toujours tromper ton mari, copuler avec plusieurs hommes et en g;n;ral, faire absolument tout.
          -Pourquoi tu si t’inqui;tes de mes inclinations, comme si sont cach;es?
          -Parce que j'ai commenc; ; faire ces exercices, j'ai appris de moi-m;me si beaucoup de nouveaut;s... non... ce n';tait pas un choc mais le grand surpris. Et tout ;a malgr; le fait que mes inclinations ne vont pas au-del; des choses conventionnelles. Par exemple, j'ai appris que j'aime moi-m;me harceler les hommes, ;tre la premi;re qui les embrasse, touche, ce m'excite trop. C'est pourquoi j'ai ex;cut; avec plaisir une t;che...
          Lena s'arr;ta soudainement, s'en rendant compte qu'elle vient de dire trop. Mais dans quelques seconds, elle a trouv; un sujet qui convient.
          -Bien s;r que oui, la t;che. Quand en huiti;me ann;e d';tudes, j';tais fait changer le si;ge situ; pr;s de mon amie ; un beau gar;on, j'avais ;t; la premi;re qui commen;a le toucher sous la table ...
          "Tu ne pourrais cacher de moi, de quelle t;che s'agit-il. Tu ex;cutais la mission de Kashin, mais moi, un cr;tin, croyais comme si c';tait l'amour. Pourquoi, garce, j';tais tellement bien avec toi? Mieux que toutes les autres. Et comment faut-il te punir pour ;a? - Albert se d;solait mentalement. Tu chemines d;j; au bord d’un gouffre. Pousser?"
          Mais Albert sentit de cette id;e que m;me si personne n'apprit jamais de ;a, il jugera lui-m;me pendant tous le reste de la vie. Cependant, elle-m;me, apparemment, n'a pas pleinement compris, en quel danger a-t-elle mis elle-m;me, s'en s;duisant de travailler pour ce d;partement diabolique de Kashin. La conversation de deux amies qui continuait, c'est elle qui a interrompu ses pens;es.
          -Tu dis qu'il ne t'est jamais venu ; l'esprit de tromper Albert? N'est-il pas venu ; ton esprit qu'il lui-m;me te pouvait tromper et plusieurs fois?
          -Avec qui? Dans la rue, il ne sait pas familiariser. Les garces fuient des intellectuels plus que des clochards. C'est lieu de travail; o; on familiarise avec les gens de sa sorte. Mais il ne travaille pas au sens classique, c'est-;-dire au sens sovi;tique de ce mot. Ce n'est possible que pour l'argent, mais ce n'est pas une tromperie r;elle, ; nommer. Et il y aurait le vin, toute la situation, je la sentirais.
          -Il ne peut pas. Lis-tu des journaux, sur les ph;nom;nes anormaux? Je ne te croirais, si tu dis que tu n'ais entendu rien de la t;l;portation. C'est disparition d'une place et apparition ; l'autre. Crois-tu que c'est une chose possible?
          -Je ne sais pas... - Nadejda r;fl;chit. La dur;e de pause d;j; exprimait en minutes. Enfin, elle commen;a ; dire.
          -Quelque part des grands tr;sors sont enterr;s d'une forte somme d'argent. Peut-ce signifier qu'un d'eux est enterr; ; une profondeur d'un m;tre dans la cour de ta maison ; neuf ;tages? Allons creuser?
          -C'est quoi ce d;lire que tu dis?
          -Et quel d;lire tu dis? C'est la m;me chose. Ñe n'est pas tout. Si on accuse l';pouse en tromperie, et ; la fois all;guent des ph;nom;nes anormaux rares qui soit existent, soit n'existent pas, c'est un signe clair qu'on a perdu les p;dales. Peut-;tre, tu veux que je me querelle avec Albert? Tu pourrais inventer quelque chose de plus judicieuse. Sinon, tu obtiendras que je me querelle avec toi. D'ailleurs, la corde ; sauter, est-ce qu'elle est conserv;e chez toi d;s enfance?
          -Oui, elle est pos;e quelque part, et quoi?
          -J'esp;re que les cordes ; linge y ait-il aussi?
          -Et quoi? Quel rapport avec ce que nous venons de parler?
          Un peu plus et Lena devinerait de quoi il va s'agiter, mais Nadia l'a d;pass;:
          -Et donc. Allons, je te bien attache, puis je te fesserai avec la corde ; sauter comme une ch;vre, ainsi que demain fera-t-il mal ; t'asseoir. Les inclinations masochistes qui sont cach;es dans ta subconscience, et quoi si elles se d;couvriront en toi?
          -Elles ne se d;couvriront pas. J'en ai fait d;ja tout ;a en esprit. Cette passion n'est pas la mienne.
          -Il est bon que ce ne soit pas la tienne. C'est ainsi que je traiterais une amie qu'ose s;duire ; mon mari. ; cause de sa tromperie aurais-je endur; une douleur sur le plan moral, alors, il la faut laisser endurer la douleur sur le plan physique. Je serais d;sol; de tuer ou mutiler mon amie en griffant les yeux, mais je causerais ; elle une douleur insupportable sans ce qu'est mauvais pour la sant;.
          -Tu m'effrayes? Mais je suis courageuse! Fais ;a, sinon je t'emp;cherai de dormir.
          -Es-tu s;rieuse?
          Au lieu de r;ponse, Lena alluma. Albert a failli d';tre remarque, en changeant le lieu ; se cacher. ; peu pr;s cinq minutes, elle a trouv; les cordes de linge et ; sauter.
          -Tout pr;t, mon amie. Fais ;a! Sinon je serai en train de te d;ranger et te ne laisserai pas dormir.
          -Eh bien, tiens bon ! Et ne sois pas offens;.
          -J'en ai voulu moi-m;me, - Lena a r;pondu d'une mani;re incertaine.
          Albert ne voyait pas, mais entendait ce qui passait assez bien. La pr;paration durait pendant trois minutes encore. Enfin il entendit la voix de sa femme:
          -N'as pas tu chang; d'avis?
          -Je ne fais rien sans penser. Souviens-toi de ;a!
          -Bien. Tiens bon alors.
          Le premier sifflement et une tape au corps nu ont retenti. Puis les tapes suivaient un apr;s autre. ; juger de sifflement aigu qui sonnait parmi le silence, Nadia n'avait pas eu piti; de son amie du tout, mais l'amie faisait preuve de la patience spartiate.
          Aussit;t qu'Albert ;tait pr;t ; ;valuer mentalement cette patience, le premier hurlement sonna. Lena qui avait trente ans, elle hurlait et glapissait comme une ;tudiante d';cole sous coups de canne.
         -Assez pour toi. Apr;s tout, tu n'aimes pas cela. Pourquoi as-tu le demand;?
          Lena se tut imm;diatement, elle respira profond;ment plusieurs fois et essuya les larmes. D;s que Nadia l'a d;tach;e, elle commen;a ; examiner attentivement son amie.
          -Quelle agressive es-tu, Nadia! Agressive, mais tu n'es pas une sadique. Simplement, je t'ai mis en col;re.
          -Pardon-moi. Qu'est-ce que nous faisons, nous les deux!
          -Assez. Tu as servi moi en accord de ma demande. Il y a une autre raison qui m'inqui;te. La punition est d'enfance, mais quel mal avais-je. Et quoi si on moi torture r;ellement? Je n'aurais endur;. Comme est-il ;pouvantable ; vivre... Si ;pouvantable!
          -;coute, tu as besoin de voir un psychiatrist. De quoi as-tu peur? Qui te torturera? Qui a besoin de ;a?
          -Est-ce que tu ne vois rien, toi-m;me? Est-ce que c'est moi-m;me qui aie invent; l'assassinat du copain de Sveta? De qui est tu en train de te cacher chez moi?
          -De quelle fa;on cela te regard?
          -Si tu es menac;e, pourquoi je ne pas pourrais tomber en danger? Tu crois en pressentiments toi-m;me, n'est-ce pas?
          -Tout est bien si tout avec mod;ration, mais tu exag;res tout. Qu'est-ce qui se passe avec toi, pendant demi-ann;e d;j;? D'une fille timide, tu as transform; en psychopathe. ; voir de l'autre c;t;, c'est l'intelligence, l';rudition qui sautent aux yeux. Avant, gr;ce ; la timidit; et modestie, ; dire directement, tu ;tais comme une fille paysanne. Maintenant bient;t pourra-t-on te comparer avec mon Albert. Ce serait bien, mais c'est le mal, la cruaut; et la peur qui sont ajout;s. Je les sens en toi. Qu'est-ce qui t'arrive?
          -Tu me demandes comme en interrogatoire, me je moi-m;me toujours ne peut pas me comprendre.
          -En tant qu'amie, je te conseille de contr;ler ta psych;. Je ne peux pas te conseiller d'une mani;re s;rieuse de voir un psychiatre. Ils sont des cordonniers de la pouvoir sovi;tique. Ils ont bris; tant destin;s! N;anmoins, fais quelque chose toi-m;me. Prends des m;dicaments contre l'anxi;t;. Viens ; nous voir plus souvent.
          Lena savait que ce n'est aucune maladie mentale qui est en train de la menacer, mais c'est la peur assez r;elle qui est provoqu;e par assez r;elle raison. Elle d;j; commen;a ; deviner qu'elle "sait trop". Trois hommes encore le savent, c'est Kashin, Skolopendrin et Batogov, n;anmoins, ils l'ont appris d'elle. Elle a trahi Albert qu'elle aimait avant. Elle l'a trahi une fois plus, quand elle a lanc; ses voisins contre lui. Maintenant elle est en train de trahir toutes les amies, en rapportant tous les tenants et aboutissants ; leur sujet, toutes leurs inclinations et pens;es secr;tes. Elle fera tout qu'elle peut, elle sera bient;t ;puis;e compl;tement et ils n'auront plus besoin d'elle. Et ils la tueront. De quelle fa;on? Si la punition pour enfants l'a forc; pour crier de douleur, comment affrontera-t-elle la mort?
          Au prix de la douleur de la fess;e avec corde ; sauter, Lena tentait d';tre s;re si son amie poss;de une inclination sadique. L'amie va bien. Mais quant ; elle?.. Elle avait ;t; surprise, comme peut-on trouver un plaisir en ;;? Quoique ces derniers temps ait-elle commenc; ; se rendre compte de la nature, sa grande diversit; et les exigences mutuellement exclusives des sortes diff;rentes des ;tres vivants: ce qu'est bien pour un, peut s'av;rer la mort pour un autre. La peur et pressentiment de la mort n'ont qu'augment; ; cause de la fess;e avec corde ; sauter. La perte d'une petite quantit; des cellules et des signaux de panique ; ce sujet au cerveau, les signaux qui s'interpr;tent comme une douleur, cela lui a rappel; lui d'assez probable mort bient;t de tout le corps, il est possible, y compris, de l';me. Elle a m;rit; tout ;a. Comme Judas, elle a  trahi les amies et l'homme aim;, elle lui-m;me les a condamn; on ne sait pas ; quoi. Seigneur a vu tout et le ch;timent n'est pas loin. Mais Il est mis;ricordieux. Elle entendait cela. Il peut pardonner.
          L'abc;s de l';me qui ;tait en train de d;border, il s'est crev; enfin. Lena sauta du lit, tomba sue les genoux, en hurlant et r;p;tant de la mani;re hyst;rique:
          -Mon Dieu! Pardonne-moi! Pardonne-moi qui ne m;rite pas de ;a. Mon Dieu. Fais quelque chose. Dis-moi que faire. Montre me le chemin correct. Enseigne-moi, comment vivre.
          Nadejda sauta en la suivant ; la calmer. Les ;paules de Lena fr;missaient en sanglots. Elle ne faisait pas attention ; l'amie, mais se lamentait fortement et essayait maladroitement de prier. Elle avait un d;sir de confesser aux amies et Albert de tout, mais ce n';tait pas un tour d'ivrognerie. Son esprit ;tait clair et elle savait que leur conversation est entendue avec grande probabilit; et elle bien se rendait compte si les amies savent trop, ces types peuvent les tuer aussi. Quand elle se calma, mais toujours ;tait aux genoux, la voix de Nadejda d'abord l'effraya puis faillit faire rire elle et Albert qui toujours se cachait et entendait tout.
          -J'ai compris de quoi s'agit-il. Tu as connect; avec dealers de drogue. Et tu non seulement vendais, mais tu as essay; quelque chose des drogues ; cause de la curiosit;. Maintenant tu es en train de souffrir de manque, c'est-;-dire, les sympt;mes d'abstinence. Qu'est-ce que tu manques? D'ailleurs, c'est probable qu'il est interdit d'en dire.
          -C'est coca;ne que je manque.
          -C'est mieux que l'h;ro;ne ou la morphine. J'ai entendu quelque part comme si laisser tomber les d;riv;s de l'opium c'est une chose presque impossible.
          -No t'inqui;te pas de moi. Seigneur m'aidera. M;me si je ne sais pas de quelle fa;on agira-t-il, mais je dois croire.
         -Je m'inqui;te d'Albert et je suppose qu'il fasse de m;me. La quantit; d'argent est en train d'augmenter toujours et il ne prend avec lui le sac ; dos qu'en voyage loin, en g;n;ral aux villes.
          -Quelles?
          -Diff;rentes. Il dit qu'il a visit; beaucoup de villes en parte europ;en de la Russie. Je ne vois pas de diff;rence, s'il part ; Voronej, soit ; l'Arkhangelsk. Et je suppose que tu ne vois la diff;rence d'autant plus.
          -Bien s;r, il a des amis neufs. A-t-il jamais emmen; quelqu'un chez soi?
          Il y a deux minutes avant, Albert avait senti qu'il est probable qu'il bient;t devra interrompre cette conversation de toute urgence. Plusieurs fois il changeait le lieu de la cachette et maintenant dans la cuisine s'est-il cach;. il y avait une pince ; ;pier sur la petite table avec un miroir ancien. Cette pince ; ;pier rappela lui un ;v;nement de son enfance lointaine. Une prise ;lectrique qui ;tait situ;e pr;s, elle s'est av;r;e tr;s utile.
          -Cela d;pend de ceux qui sont appel;s des amis. Ceux qui vendaient des journaux avec lui ensemble, ils ne sont pas venus ni une fois. Quant ; des anciens amis, il les ignore maintenant, car il est d;;u ...
          Un craquement fort retentit ; cet instant et beaucoup d';tincelles jaillirent dans l'appartement. Les amies se turent, mais dans une minute, la voix de Lena expliqua:
          -Nadia, n'aie pas peur. C'est un court-circuit. Je changerai les plombs du c;blage demain. Si on court-circuite de nouveau, j'appellerai un ;lectricien. Dormons maintenant.
          -Je veux dormir aussi. Bonne nuit.
          -Bonne nuit.
          Dans quelques minutes, apr;s s'assurer que les amies fatigu;es viennent de s'endormir, Albert de nouveau t;l;porta ; l'appartement de Sveta. C';tait une surprise, mais tout ;tait en place, ; l'exception des verres cass;s de la fen;tre du balcon. Pas des signes de lutte. La porte d'entr;e n';tait pas cass;e aussi. Donc les bandits ont ouvert la porte et laiss; entrer les tireurs de bon gr;. Il voudrait voir la porte de l'autre c;t;, si elle est cass;e, mais en regardant ; travers le judas, il a vu deux agents en civil avec les ;couteurs et antennes.
          Bien s;r, ce qu'ils ;coutent, n';tait pas le heavy m;tal ni quelque chose de pareil. Albert a d;cid; de partir et la raison principale de ;a, pour ne pas donner trop d'informations ; l'ennemie.
          Dans l'appartement de Valia, la ma;tresse et son amie invit;e, les deux dormaient pudiquement aux lits diff;rents. L'alarme des documents quitt;s le saisit, mais apr;s appara;tre dans la salle de bain chez lui, il s'assura que tout est en place. Il n'y avait aucun agent ni dans l'appartement, ni dehors de lui. Ce n'est que maintenant qu'il se sentait, comme forte est son envie de dormir. Apr;s avoir mis les documents aux poches de nouveau, Albert s'allongea sur le canap; directement en imperm;able et il n'a enlev; que les chaussures. Il s'endormit bient;t. En r;ve tua-t-il des ennemies, sauva des gens innocents et atteignait une victoire apr;s l'autre.

                Chapitre III. Une course d'obstacles.
          Albert se r;veilla ; huit heures de matin apr;s avoir donn; au sommeil tant du temps qu'il avait besoin, mais comme d'habitude ce passe, on se sent plus fatigu; apr;s long sommeil.
          Comme c'est bon d';tre capable de t;l;porter! Sinon, il ne pourrait pas m;me penser ; passer la nuit chez soi apr;s avoir fusillade dans l'appartement de Sveta qu';tait commis par lui. Ils savent s;rement qui a tir; et aussi ils savent s;rement que c'est impossible l'arr;ter, c'est pourquoi ils ne viennent pas. Non seulement cela. ; gagner le secret de lui, ils sont pr;ts ; laisser aller une centaine des criminals, pourvu qu'obtenir ce qu'ils veulent. Apr;s tout, ce n'est pas un service mais une affaire ill;gale. N;anmoins, c'est une raison, de laquelle peut-on attendre plus de cruaut; et d;sordre que des personnes officielles. D'ailleurs, c'est assez possible que les coll;gues sup;rieurs d;j; ont appris ces machinations et les observent, afin qu'intercepter ; temps des informations qu'ils obtiennent. Il faut ; tout prix ;viter cela. Ce serait une perte, une d;faite ; cent pour cent. Perdre, en poss;dant des capacit;s comme ;a, ce serait l'infamie devant soi-m;me.
          Albert ;tait en train de se d;tendre et de faire massage des jambes, mais il ne pas pouvait le faire mieux qu'il savait faire. Il  ouvrait imperceptiblement les fen;tres ; se rafra;chir avec les courants automnes-hivers d'air, prenait du th; fort. Et d;s que l'int;r;t pour les documents obtenus par le vieillard fut augment; jusqu'; maximum, il les commen;a ; les examiner.
         Kashin et ses deux assistants qui ;taient mis au courant de l'affaire, tous les trois habitaient le m;me immeuble de Moscou, pr;s de l'Avenue Koutouzov. La plus proche station de m;tro ;tait "Stoudentcheskaya" (D';tudiants). Il ;tait paru de tous les signes qu'il y avait eu une protection du Kashin, dont ces deux avaient r;ussi ; obtenir un emploi au KGB. En 1959 ;tant en bas ;ge, Kashin avec les parents avait ;t; d;m;nag; dans cet immeuble qui fut venu d';tre b;ti. ; dire de la couleur de cet immeuble, soit il ;tait jaune, soit rose, les deux variantes ne seraient pas exactes. Dans cette ;poque b;tissait-on ; l'URSS des immeubles de cette couleur ind;termin;e comme ;a. Le m;tro ;tait b;ti ; proximit; dans la m;me ann;e. Quant ; Skolopendrin et Batogov, les deux ;taient n;s dans cette maison, l'un dans deux ans, l'autre dans les quatre. Kashin se souvenait toujours la maison dangereuse ; s';crouler en bois dans les ruettes quelque part ; peu pr;s de la rue Sretenka.
          Il y avait des photos jointes de tous les trois. Albert a reconnu deux d'eux. Batogov avait examin; le passeport d'Albert, quand il sortait de l'entr;e avec sa femme et Kashin ;tait debout pr;s de lui. Albert supposa qu'il ne v;t pas encore Skolopendrin, car il n'avait pas remarqu; ce soir-l;, quand le premier rendez-vous avec Lena ;tait en plan, en t;l;portant ; l'escalier de la maison d'elle, comme les deux regardaient ; lui des t;n;bres. Dans l'apparition de Skolopendrin sur la photo, il serait tr;s difficile ; trouver quelque chose "de police", contrairement ; deux autres. On le pouvait prendre pour quelqu'un qui ex;cute un travail analytique, un math;maticien, un professeur du corps professoral o; Albert ;tudiait et avait l'exp;rience de communication avec les gens des professions pareilles. Il y avait plusieurs adresses des planques qui ;taient install;es par la Service, y compris par Kashin personnellement. Les informations des derniers appartements, il y avait deux, apparemment devaient ;tre cach;es des autres coll;gues, y compris de Lena. Quant aux racketteurs que Kashin pr;sentait comme ses informateurs personnels, ils utilisaient deux appartements pr;s de la Ligne Filiovskaya de m;tro. Un appartement o; les femmes qui recueillaient des informations, venaient, ;tait situ; ; la proche partie de l'Outre-Moscova dans la ruelle Arsenievski, l'autre ;tait situ; pr;s de m;tro "Novye Tcheryomushki". Ces trois organisateurs utilisaient des autos de service et aussi des voitures personnelles. Batogov et Skolopendrin avaient "Jigouli" du sixi;me mod;le dans les garages priv;s. Kashin avait le mod;le neuvi;me et il r;vait d'une voiture ;trang;re. Il investissait dans l'aventure presque tous l'argent gagn; ill;galement, surtout maintenant, lorsque la chance presque ;tait obtenue. Il n'y avait plus des doutes que "l'objet" poss;de la pr;cieuse capacit; de t;l;porter, mais malheureusement, cette capacit; elle-m;me a donn; lieu ; un probl;me de le d;tenir et le soumettre ; leur volont;.
          Albert bien se rendait compte que les poursuivants l'essayeront de ne pas effrayer, n;anmoins, il y aura un instant, quand ils devront s'ouvrir et alors ils agiront d'une mani;re d;termin;e, rapide comme l';clair et sans piti;. Quand se passera cela? Il ne faut pas les laisser le devancer. Le plus t;t ;vacue-t-il la femme, il sera le mieux. Aussi il devra r;fl;chir, comment prot;ger les autres amies, mais on peut apr;s faire ;a. Malgr; le fait qu'ils savent ; l'aide de Lena et les mouchards que toutes les trois femmes sont ses ma;tresses, mais il ne leur viendra pas ; l'esprit de capturer quelqu'une d'eux plus t;t que son ;pouse l;gale. Pour lui, ce serait p;nible ;galement ; perdre n'importe qui de ces quatre ma;tresses, soit l;gale, soit ill;gale, mais les poursuivants toujours ne savent cela. Albert regrettait maintenant de n'avait pas accept; de se rencontrer avec le vieillard ; New York nocturne, ils auraient y d; rencontrer en six heures de matin, tandis qu'il est deux heures de midi ; Moscou. N'importe quoi peut arriver pendant ce temps. Non. Il est n;cessaire de proc;der ; l';vacuation d;j; aujourd'hui ; tout prix.
          De plus, les coups de feu qu'il a tir;s hier, il paraissait, comme s'ils ne feront rien de mal, en r;alit;, c'est peut maintenant acc;l;rer le courant des ;v;nements, ce que soit contre l'int;r;t de lui. Maintenant ; la r;union, Paul lui dira qu'il ne faut pas prendre des d;cisions vite sans n;cessit; absolue. Bien qu'il en ait d;j; compris. Il n'avait aucune n;cessit; hier, simplement avait-il envie de tirer et, en examinant rapidement des cons;quences probables, tout paraissait irr;prochable. Apr;s tout, il avait contenu sa pulsion de s'allonger entre deux femmes aim;es. Il fallait s'abstenir dans cette affaire aussi. Maintenant partout et toujours doit-il se comporter comme ;claireur, non comme un profane oisif ou petit escroc. Tout est bien plus grave.
          Apr;s avoir ;t; assis avec les documents une demi-heure de plus, en essayant de m;moriser autant que possible, puis, comme son ami s'exprimait, il "grimpa" au palier de grenier ; l'immeuble de Lena, puis descendit l'escalier jusqu'; l'appartement n;cessaire et sonna. Les deux ont ;t;s surprises de son apparition inattendue, quoiqu'il n'ait appel; ni hier, ni aujourd'hui.
          Pendant le th;, tandis que la femme l;gale ne remarquait pas, Lena essayait de faire les yeux doux ; lui. Il d;tournait les yeux et il n'y ;tait qu'une fois, quand on pouvait ;tre s;r que Nadejda ne verrait rien, il sourit, posa l’index sur les l;vres, puis mena;a du doigt et montra le poing par plaisanterie. En saisissant un instant, Albert, en agissant, comme par d;pit ; Lena, il commen;a ; l'accoster son ;pouse de la fa;on d'un voyou de rue. Il la souleva de la chaise, commen;a ; l'embracer, ; soulever sa jupe.
          -As-tu folle envie de cela directement maintenant? Est-ce que la place est appropri;e pour ;a? Arr;te de devenir fou. Tu ferais mieux d'avoir honte devant mon amie... Quel impatient es-tu... Nous n'avons pas pris encore le th; jusqu'; bout.
          Lena toujours regardait ; eux. N;anmoins, elle se rendit compte vite que sa situation est assez embarrassante, en regardant ; deux amants qui sont en train de s'embrasser. Elle d;tourna vite et sortit. C';tait ce de quoi Albert avait besoin. Il prudemment murmura ; l'oreille ; elle les mots d;j; pr;par;s:
          -Nous devons partir. Il est plus dangereux d';tre chez Lena que chez nous. Elle nous a trahi. Ne le montre pas, sinon tu tout g;cheras. Nous avons l'argent et lieu ; nous cacher. Nous avons toutes les chances ; nous sauver. Il n'y a qu'une chose de l'ab;mer tout. Ce serait ta d;sob;issance.
          Au lieu de r;ponse, c';tait un regard interrogatif qui suivit.
          -Est-ce que tu crois, comme si c'est une plaisanterie? Aujourd'hui dans la nuit, ; l'aide de ce joujou, - Albert prudemment, pour que quelqu'un s'il entre, ne verrait rien, il a montr; le pistolet ; elle, - de ce joujou, j'ai fait tomber des deux hommes. Je ne sais pas, s'ils resteront vifs. Il n'y a qu'une chose de toi qu'est n;cessaire: pendant ; peu pr;s de quinze minutes ;tre assise pour avoir l'air que tout aille, puis partir poliment et tranquillement. N'est-ce pas difficile? Il est temps de partir.
          Les mots derniers "temps de partir", Lena entendit, tandis qu'elle entra de nouveau. Alors, apr;s fut sortie, elle devina qu'Albert p;t jouer cette sc;ne avec sa femme avec intention, afin qu'il chuchote ; elle quelque chose. Ses chefs ont dict; les le;ons de trucs pareils dans les planques.
          -N;anmoins, tu es une sorte de fou, - Nadejda pronon;a d;j; ; haute voix. Elle a failli dire: "Qu'est-ce que tu as fait?" Mais une sorte de sentiment, on ne le peut pas expliquer, l'arr;ta ; temps et elle pensa qu'il soit raisonnable ; se taire.
          -Lena, nous allons, - Albert annon;a soudain en se tournant ; elle. Il devina qu'elle eut entendu la fin de leur dialogue.
          -Alik, allons nous asseoir pendant quinze minutes.
          Albert regarda ; la pendule. Il ;tait une heure et cinq.
          -Non. Il vaudrait mieux partir maintenant, sinon nous serons en retard, - il r;pondit.
          -Qu'est-ce lieu o; vous d;p;chez?
          -Nous reviendrons et raconterons le soir.
          -Est-ce que je doive rouler ici et l; avec toi?
          -Je t'expliquerai tout apr;s. Nous devons retourner.
          Ils se sont habill; d;p;chant. Nadejda ne se calmait pas, mais continuait ; grogner de plus en plus. ; l'instant lorsqu'ils sortaient de l'entr;e son indignation atteignit le maximum, mais Albert murmura ; l'oreille d'elle:
          -Nous ne devons pas retourner ici. Souviens-tu, comme dans notre cour les trois types furent captur;s? Et j'ai un pistolet "Walter" dans la poche. D'ailleurs, Lena a peur de quelque chose. Elle a un pressentiment de mort. Tout ;a est connect; r;ciproquement. Je plaisante pas, je ne joue pas.
          -Et quoi. Est-ce que tu es en train de contacter avec des trafiquants de drogue, comme Lena a fait? Tu es arr;t; de vendre les journaux, mais il y a d'argent de plus en plus? Est-ce que tu crois comme si je ne vois rien?
          -Je gagne cet argent honn;tement. Si je commence ; voler, j'aurai des milliards. C'est la raison de laquelle on chasse ; nous. Ils ne me peuvent capturer. Ils toujours ne devinent pas que nous nous enfuyons. Sinon, ils te prendraient en otage, afin que me capturer. Si je te dis, pourquoi ils ont besoin de moi, sais-tu, comme peuvent-ils regarder dans les yeux, faire effets sur l';tat psychologique? Ils devineront que tu sais trop. Es-tu inform;e qui d'habitude arrive-t-il ; ceux qui savent trop? Je ne veux pas te perdre. Pour cette raison, fais tout que je dirai. Tout de suite, nous prenons le m;tro. Je dois voir un certain ami. Je descendrai avant, mais tu atteindras la station Taganskaya, sortiras et quoi qu'il arrive, attends-moi l;-bas.
          Il disait ; elle tout ;a dans une rue d;serte qui emmenait ; la station de m;tro. Ils marchaient vite.
          -Si ;'av;re une blague stupide, je ne vivrai plus avec toi.
          -Soit nous vivrons et prosp;rons en s;curit;, soit p;rir ensemble, dans les deux cas apprendras-tu que ce ne soit pas une blague. Final de cette com;die d;pend de toi ; 99%. Il y avait assez des histoires belles et tristes dans le monde, lorsque des amants pr;f;raient ; mourir ensemble. Je crois qu'il vaut mieux ne pas augmenter leur nombre.
          Puis il montra prudemment ; elle des photos de trois poursuivants possibles. Il l'enseigna que faut-il dire si on essaye de la d;tenir, il ;crivit plusieurs noms et num;ros de t;l;phone pour que les mentionner si c'est n;cessaire.
          Toujours taisant, ils roulaient dans le m;tro  pendant longtemps et avaient un peu temps ; changer ; la ligne circulaire. Albert jeta un coup d';il ; la montre. Il ;tait deux heures moins cinq. Il ne pouvait pas continuer la route.
          -Je descends ici. Je ne sais pas, pendant quel temps y devras-tu ;tre debout m'en attendant, mais attends, sinon on est foutu. N'importe de quel trou j'apparais - courez imm;diatement vers moi. Ce n'est pas important, quelle d;cente apparence ces personnes auraient, ils sont pires que tout l'environnement bandit de d;funt Tolik et il y a une chose qui me console. Ils sont un peu plus intelligents, pr;visibles et ont peur de leurs chefs. J'essayerai plus vite.
          Il descendit ; une station, attendit que le train s';loign;t. Avant de l'entr;e dans le tunnel sombre, il y avait une porte ;troite qui ;tait couverte de peinture argent;e. Il y avait une inscription rouge sur la porte: "Dangereux. Interdit ; l'entr;e". Albert s'approcha, enjamba la porte du c;t; droit au-dessus des rails, en tenant cette porte et disparut aux t;n;bres.
          Nadejda descendit deux stations plus loin, comme convenu. Elle ;tait mal ; l'aise, inqui;te et ; la fois voudrait-elle apprendre que signifie tout ;a et comme finirait. Si c'est une absurdit;, peut-il ;tre que le pistolet ; la poche du mari soit une absurdit; aussi? Et ces gens sur les photos? Elle a vu d;j; quelqu'un d'eux, mais ne pouvait pas se souvenir o;. Et quoi quant ; cette mention du g;n;ral Paukov du FSB? Peut-il ;tre qu'un g;n;ral vendrait-il de la coca;ne? Une sorte de diablerie, mais tout ;a n'est pas une connerie finie. C'est une partie de la v;rit;, quoiqu'elle soit tr;s ;trange.
          Elle s'approcha d'un kiosque ; journaux. Faut-il acheter "Affaires criminelles" ou pas? Il ne manque pas des propres probl;mes. Il faut r;fl;chir tout cela plus une fois encore, sans distrait. N;anmoins, s'il ne vient pas pendant longtemps? Peut-;tre vaut-il s'occuper de la lecture?
          -Vous ennuyez-vous? Je peux raconter ; vous une chose int;ressante sans "Affaires criminelles".
          -Il para;t, nous ne connaissons pas l'un l'autre. Regardez ; moi plus attentivement. On dit, il y avait un film ancien "Nous avons rencontr; quelque part", quand je toujours n';tais pas n;.
          Nadejda jeta un coup d';il involontairement ; l'inconnu ennuyeux. C';tait un homme d'une photo que le mari a montr; et il ;tait l'un de ceux qu'elle a vu quelque part.
          -Je vous rappelle: j'ai v;rifi; les documents de votre mari avec mon coll;gue hier le matin, quand vous ;tes sortis ; deux de l'entr;e de votre maison.
          Il ne mentit pas. Elle l'a reconnu. Quelque chose de d;go;tant y avait-il sous les traits de cet homme, malgr; sa mani;re irr;prochable.
          -Quel rapport avec nous peut-il ;tre le cas que passait pr;s de notre immeuble?
          -Hier n'a pas de rapport, mais aujourd'hui vous l'avez. La nuit, votre mari a p;n;tr; dans l'appartement de votre amie Sveta Izmailova d'une fa;on que nous ne savons pas, et comme les analyses donnent, c';tait un pistolet "Walter" ; l'aide lequel a-t-il bless; deux nos coll;gues. Les deux sont dans l'h;pital, un d'eux se trouve dans un ;tat grave. Maintenant votre mari ;tait avec vous au m;tro, il a descendu ; la station "Dobryninskaya" et a essay; d'entrer dans le tunnel, o; les trains passent, mais les gens normals ne passent pas. Nous devions le d;tenir et mettre lui des menottes. Si vous ;tes en train de l'attendre, c'est en vain. Vous pouvez ;tre debout ici jusqu'; demain le matin. Mais voil;, j'ai vous attrap;! Vous venez de me croire. Vous venez de me croire que votre Albert a tir; sur les gens avec une arme. Donc il dit sinc;rement avec vous de ses affaires. Pourtant, vous pouvez aider ; lui, en ;tant sinc;re avec nous.
          Soudain, Nadia vient de se souvenir les mots d'Albert: quoi qu'ils te disent l;-bas, somme s'ils m'ont d;tenu, arr;t;, tu;, ce ne serait ni 90%, ni 99%, mais tous les 100% du mensonge. Gagne du temps. Quant ; Kovalev, le g;n;ral Paukov - c'est des atouts qu'on peut montrer dans une situation extr;me.
          -Pourquoi devrais-je vous croire? Que faisaient vos coll;gues dans l'appartement de l'amie Izmailova?
          -Votre amie n'y ;tait pas. Elle est parti ; Valentina Joutchenko ; Zavety Ilyitcha. Vous pouvez voir, nous savons tout. La fa;on n'est pas connue, de laquelle y ont p;n;tr; les vendeurs de la coca;ne avec votre mari, - Batogov mentit sur les bandits qui n';taient pas des vendeurs. - Et lorsque nos gens les ont essay; de d;tenir, votre mari les a tir; et est ;vad;, en descendant le long d'un tuyau. Puis il a pris un taxi et croyait qu'on le ne captura jamais. Est-ce que vous croyez r;ellement comme s'il a r;ussi ; s';vader, surtout dans le m;tro? Le m;tro est un pi;ge. Toutes les sorties ;taient bloqu;es. Quant ; tunnel, m;me un homme avec brillante r;putation serait arr;t; l;-bas. Il y a toujours nos gars de la section antiterroriste et toutes les entr;es l;-bas sont vues par des cam;ras vid;o. Est-ce que vous croyez en contes? Je vous conseille d'aller avec nous et t;moigner dans le calme.
          -Vous n'avez ni mandat, ni citation ; venir, ni assignation.
          -Tout ;a sera assez bient;t. Quant ; votre mari, on va ; l'interroger maintenant. Et c'est notre volont;, dans quelles mains tombera-t-il. Si je ne re;ois de vous ceux-l; information que j'ai besoin, je le remettrai aux mains des camarades de ceux coll;gues sur qui a-t-il tir;. Ils r;vent le recevoir. Est-ce vous ;tes capable de vous imaginer qu'ils peuvent faire de lui, quand ils seront en train d'arracher des t;moignages de lui?
          -De quelle sorte d'informations avez-vous besoin?
          -; propos de tous ses amis et connexions ces derniers temps. Ce n'est pas lui qui nous int;resse mais certains autres. Tous les gens normals ont des amis. N;anmoins, nous sommes inform;s que votre mari a rompu toutes les connexions pass;es. S'il est sinc;re avec vous a un tel degr; que vous savez de son d;lit nocturn...
          -Je n'ai pas le dit!
          -J'ai compris que vous savez. D'ailleurs, vous auriez ;t; emprisonn;e avant pour non-d;nonciation de d;lit. Vous pouvez affirmer votre version, mais je suis au courant des ;v;nements. Il ne peut pas ;tre qu'il ne vous dit jamais sur ses amis, connexions, int;r;ts.
          -Je n'ai entendu jamais de lui les mots: les drogues, la coca;ne.
          -Ce n'est pas la coca;ne de quoi je suis en train de vous interroger.
          -Chez nous, il n'y avait personne, si l'on ne prend pas en compte un vieillard ;trange que n'est plus vivant. Ce ne peut point vous int;resser.
          -Nous sommes int;ress;s de tout. Quel ;ge a-t-il?
          -Plus de soixante apparemment. Pas plus que soixante-dix.
          -Son nom? Quel l'air a-t-il?
          -Albert a dit quelques fois qu'il est p;ri dans circonstances de quelles il ne sait rien.
          -Est-ce que vous l'avez v;rifi;?
          -Vu le cadavre? Ne v;rifiais, ni voyais.
          -Donc: votre mari a invent; cette histoire de la perte. Il est probable, il a emmen; ce type chez vous, toute de suite apr;s avoir fait la connaissance. Quand ils ont ;t; devenus pleinement op;rationnels et il s'est rendu compte, avec laquelle merde devait-il faire face, il a d;cid; de cacher de vous la poursuite des contacts avec lui.
          -Je ne pas encore comprends, pourquoi avez-vous besoin d'un vieux vagabond qui est bizarre et croit en Dieu, et aime raisonner. Cela a l'air comme si vous ;tes occupe une affaire qui n'a rien ; faire avec votre profession.
          -Comme venez-vous de dire? Un vieux vagabond qui est bizarre et croit en Dieu? Aussi, il aime raisonner, donc philosopher. N;anmoins, la milice le cherche et nous en savons. C'est assez possible qu'il est le m;me. Vous avez dit "bizarre". La bizarrerie est une chose qu'on peut voir rarement. Est-ce que vous voies beaucoup de philosophes vieux qui vaguent dans la rue? Apr;s tous, Il ne ressemble pas ; un clochard ordinaire, n'est-ce pas?
          En disant cela, Batogov a sorti les ;couteurs d'une petite serviette et les a mis sur lui-m;me, mais pas directement sur ses oreilles, mais ; c;t; d'eux. Apr;s ;a, il a sorti un tube oblong de destination inconnue.
          -Savez-vous qu'est-ce que c'est? C'est un appareil ; paralyser. Si je le pointe ; vous et l'appareil fonctionne, vous perdrez la conscience et vous r;veillerez ; une place que n'est pas assez confortable et il y a des gens qui d;j; ne parleront avec vous poliment comme ;a. Je suis s;r que vous n'avez dit gu;re quelque chose jusqu'; bout.
          -Et vos hauts chefs, par exemple, le m;me g;n;ral Paukov, comment consid;rait-il cela?
          -Qui vous laissera entrer vers lui?
          -Si je disparais, il y a des autres certains gens qui t;l;phoneront ; lui et s'il n'est pas l; pour un moment, ils diront ; Kovalev. Chacun d'eux serait ravi de recevoir des informations des affaires que vous occupez avec Kashin et Skolopendrin. Ainsi, ils me laisseront entrer vers lui ; bras ouverts. Donc, ne vous y trompez pas, monsieur... oh, pardon, camarade Batogov.
          Batogov devait appliquer toutes ses connaissances, pour cacher sous quel choc resta-t-il ; cause des propos de la cliente rebelle, mais il ne pouvait qu'en partie cacher sa condition mentale. La tentative de d;sactiver tous les canaux ;motionnels a donn; un effet de stup;faction. Nadejda a vu que les atouts donn;s ; elle par Albert, viennent de marcher bien. Cela lui a ajout; de l'assurance.
          -Je n'exige de vous qu'une chose: ne pas limiter ma libert; de d;placement.
          -Et comme longtemps allez-vous ; l';tre debout ici? Maintenant, il fait froid, nous sommes debout d;j; presque une heure. Je ne vais pas ; limit; la libert; de vous. La libert; de d;placement de votre mari d;j; est limit;e. Personne ne vient, pourquoi comme ;a?
          -Si vous avez froid - allez vous r;chauffer. Je vais suivre de sages conseils.
          Apr;s avoir dit cela, Batogov se dirigea ; la porte de m;tro, mais sans l'atteindre, il sortit un talkie-walkie de la poche et d;plia l'antenne t;lescopique.
          -Ici L;don, ici L;don. Aigle et ;clair, r;pondez, - apr;s avoir entendu la r;ponse, il continua:
          -Objet-2 conna;t le Ma;tre et Pivert, je r;p;te: objet-2 conna;t le Ma;tre et Pivert. Cela a l'air, comme si elle attend l'objet-1, pour ;chapper avec lui. Il faut engager tous les groupes ; les suivre. Nous ne pouvons pas les laisser fuir. R;pondez.
          Ici ;clair, - Batogov entendit la r;ponse. - ; joindre tous les groupes ; nous, ce n'est pas possible. Je n'ai pas le droit d'interrompre leurs missions. Ce sera moi qui devrai r;pondre devant le tribunal dans ce cas, pas ; toi. Il faut essayer de r;ussir par le seul groupe libre. Comment sais-tu qu'ils sont en train de fuir? R;pondez.
          -Elle sait du tir nocturne, mais elle sait mal le reste. Je suppose qu'il ait montr; le pistolet ; elle. Sinon elle pourrait ne pas croire. Quand j'ai commenc; ; la demander et provoquer, elle vient de nommer correctement le Ma;tre, le Pivert et les num;ros de leurs t;l;phones. R;pondez
          -Ici ;clair. C'est la derni;re chose dont nous avons besoin. J'emm;ne tous le groupe pour aider. Ils nous conduiront ; l'objet du degr; suivant, c'est probable qu'ils ont des laboratoires. Avec patience. C'est mal que tout d;pend du seul objet. Il faut que tous les autres soient d;couverts. R;pondez.
          -Ici Aigle. ;clair et L;don, ;coutez avec attention. Je sens qu'ils aillent fuir le long de direction ; Kazan ou Gorki. Je vais ; Perovo. Il y a une petite station Tchukhlinka, l;-dessous. Les deux chemins de fer y se croisent. S'ils utilisent un train local, je les suivrai et vous informerai de leur route. R;pondez.
          -Ici ;clair. J'ai vous compris. Je f;licite votre plan, Aigle. Allez agir.
          -Ici L;don. Un message suppl;mentaire: au printemps un vieillard a ;t; chez l'objet. Les signes de ce vieillard co;ncident avec t;moignage d'un flic ; trois gares. Avez-vous compris? R;pondez.
          -Je vous ai compris bien. C'est bien pour toi, L;don. Je vais aider. Y a-t-il des questions? La fin de connexion.
          -J'ai compris, - Batogov r;pondit ; voix bas et mit le radio dans la poche. Puis il s'approcha de Nadia qui devint immobile dans une longue attente et pronon;a, en triomphant:
          -Il semble, que votre mari ne pas vienne d;j; longtemps. Longtemps trop.
          -Qui a dit ; vous, comme si c'est lui que j'attends?
          ; ce moment, la monotonie du bruit des autos ;tait viol;e. En hurlant par pneus, une voiture "Volga" s'approcha du trottoir ; haute vitesse. La porte de voiture s'ouvrit imm;diatement. Un homme portant des lunettes noires qui ;tait assis pr;s de cette porte, cria ; foule:
          -Nadia, viens ici, plus vite! - s'en relevant un peu, il ouvrit la porte arri;re, o; elle devait s'asseoir, il courut ; la porte arri;re lui-m;me, apr;s avoir ferm; la porte dentr;e. Puis il tourna vers chauffeur et ajouta ; voix bas:
          -Comme on a dit, ; Novo-Guireevo.
          N;anmoins, Batogov r;ussit ; fixer le tube ;trange ; des fils qui venaient des ;couteurs et le pointa le tube ; la voiture qui soudain vient d'appara;tre on ne sait pas d'o;. C';tait le m;me tube, avec lequel il avait effray; Nadejda. Nadya a reconnu Albert malgr; les lunettes noires, mais les tout premiers instants ne l'a-t-elle reconnu qu'; la voix. Elle entra en courant dans la voiture en ferma la porte, et la voiture s'est ;loign;e brusquement.
          -Alik! Il veut tirer ; nous par quelque chose!
          -Non, - Albert r;pondit ; voix bas et mit son doigt aux l;vres.
          Le cri d'elle comme si poussa le chauffeur. Et voil;, la chauss;e vient de devenir libre de tout le transport. Il l'utilisa, en violant toutes les r;gles, se pr;cipita ; l'autre c;t; de la place pour rouler dans la direction oppos;e. Selon les r;gles, il fallait rouler le long de ce c;t; jusqu'au lieu o; le virage ; retourner soit autoris;. Albert n'expliqua que quand la voiture tourna ; la Chauss;e des Enthousiastes:
          -Ce n';tait pas une arme, mais un dispositif ; ;couter.
          -Salaud, il m'a effray; par ce dispositif et je devais pr;senter tous les atouts!
          -Maintenant, ils nous suivront plus activement. Pourquoi n'as-tu devin; pas qu'on ne joint aucune arme aux ;couteurs?
          -Il tenait le tube aux mains simplement, sans le joindre aux ;couteurs, malgr; le fait qu'il les avait mis avant.
          -Les gars, n'est-ce pas que vous ;tes en train de cacher de la milice? - le chauffeur interf;ra. - Dans ce cas, ils me peuvent convoquer pour interrogatoires, est-ce que j'ai besoin de ;a?
          -Nous nous cachons d'une organisation criminelle, quelque chose de sorte de mafia mais pire.
          Apr;s ce dire, il sortit de la poche un horaire des trains locaux, regarda sa montre et ; la rue qui se ruait ; leur rencontre. Maintenant ;tait-il s;re, quand il laissa entrer sa femme dans la voiture, Batogov a entendu "Novo-Guireevo". Il y avait le reste de trois minutes ; rouler jusqu'aux compliqu;s couloirs souterrains. Albert d;cida d'essayer de "conduire" le chauffeur sans pistolet. C';tait vu maintenant de toute ;vidence que le chauffeur av;rait un salaud ordinaire que Paul nommait les gens de cette sorte "les mouchards sovi;tiques". Dans le cas d'adoucir la conversation,  cela donnerait plus de temps ; se tenir sur la route. L'aggravation de la conversation m;nerait ; la querelle avec exigence ; payer et quitter la voiture imm;diatement.
          -Personne ne dirait de mal de lui-m;me, r;pondit le chauffeur des mots d'Albert que ce n'est pas la milice qui chasse ; eux. - N;anmoins, si creuser plus profond;ment, on peut trouver quelque chose pour laquelle vous seriez emprisonn;s pour la moiti; de votre vie.
          -Est-ce que deux cents dollars ne sont pas assez pour vous?
          -Je ne me vends pas et je ne rends pas services aux criminels. Si je savais avant ; qui j'ai affaire, je d;j; t'aurais emmen; ; la milice, devant laquelle nous sommes pass;s, pas ; Taganka.
          -Vous dites et ne croyez pas en ce que dites vous-m;me. Parce que si vous croyez, vous auriez peur de dire des choses pareilles aux criminels.
          -Je suis un mec fort et travaillant. C'est vous, les intellectuels qui sont l;ches.
          -Dites ;a ; ton chef au travail.
          -Ce n'est pas tes affaires, o; et que je dis. Et avec quelqu'un comme toi, je peux g;rer ;a. Directement maintenant allons dehors et je te casserai la gueule.
          -Je ne suis pas un chien de combat ; faire des b;tises pareilles. Si vous ne me touchez pas, je passerais devant vous comme passerais devant un tas de merde, - et Albert changea soudain le ton, s'en transformant imm;diatement. - Mais si te me touches, bouc, je te couperai les intestins et les enroulerai autour de la main. As-tu compris?
          -Quoi?!
          -Tiens le volant si tu n'as pas d;sir de percuter quelque chose.
          Le chauffeur en col;re commen;a ; bifurquer dans les files de droit et bient;t s'approcha de trottoir.
          -Ainsi ;coute-moi, fils d'un g;fe, - Albert continuait ; dire. - Je parle avec toi en ton argot sale de criminels pour que tu comprennes mieux. En tout cas je te battrais, car tu es un imb;cile, et il y a toujours une opportunit; de pr;parer n'importe quelle surprise pour l'imb;cile. M;me si j'av;re plus faible, je te vaincrais ; l'aide de ma d;termination que tu ne poss;des pas et je pourrais te poursuivre pendant des ann;es pour que t'attraper un jour et te faire saigner! Je suis un ami du peuple tch;tch;ne et je consid;re leur coutume de la vendetta assez acceptable, surtout contre des pareils rustres comme toi. Et je suis plus dangereux ; l';gard de toi qu'un Tch;ch;ne, car je ne suis pas limit; par les autres coutumes et pr;jug;s. Je suis un guerrier, pas un criminel. Et je chasserai ; votre sorte, c'est-;-dire, ; b;tards bolcheviques pendant que je suis vivant!
          L'une phrase inattendue apr;s l'autre, elles retardaient le d;nouement, en for;ant l'ennemie pendant plusieurs secondes se figer sur place, soit ; cause d';tonnement, soit ; cause de r;flexion. Cela ne correspondait pas ; l'exp;rience de ses querelles dans le pass;. Enfin il crut que ce soit un poseur et psychopathe, un de ceux-l; qui cherche la bagarre de la mani;re imprudemment et pr;somptueuse et il prend toujours sur la gueule ou tombe en prison.
          Le chauffeur se retourna, leva la main ; battre et... demeura fig;, en voyant un canon de pistolet point; ; lui. Cependant, il n'y avait aucune h;sitation sur la face de l'homme qui ;tait en train de tenir l'arme par la mani;re de poigne implacable. C';tait la joie d'un chasseur qui a trouv; enfin un butin dont il avait besoin.
          -Que fais-tu? Pourquoi s';chauffer comme ;a? Nous venons de converser comme d'homme ; homme. J'ai dit ; toi, tu as dit ; moi... Beaucoup de monde autour nous... Pourquoi s';nerver? Quel chaud es-tu!.. Tu n'as pas compris une plaisanterie...
          En r;alit;, Albert n'a pas perdu son sang-froid. Il ;tait bien capable de conduire la b;te qui est ; l'int;rieur de chacun de nous. Quand les circonstances cela exigeaient, il la gardait en laisse courte, mais quand ils ont atteint une place contre la station des trains locaux "Novaia", il l'a l;ch;, sans oublier de regarder ; montre. Il ne fallait qu'arr;ter seulement ici, et le reste de temps ;tait assez ; marcher jusqu'; la station et pour cette dispute.
          -Il ne s'agit pas de moi. Je peux passer sans ;tre offens;. Il s'agit du fait que tous les r;gimes, soit communistes, soit fascistes, ils comptent sur le soutien des gens pareils, comme tu es. Si votre sorte dispara;t, peut-;tre cela ne fera pas un paradis sur la terre, mais la vie sera devenue normale comme dans les pays d'Ouest. Et pendant que tu es vivant, tu as toutes les chances ; te changer. Je pensais ; ne te payer rien apr;s ;a, mais ainsi soit-il. Je te mets cent dollars sur le si;ge, c'est assez. Malgr; tout, quant ; moi, je les gagne plus facilement que tu conduirais dix kilom;tres. Si tu veux vivre, mets les mains et la t;te sur volant et plus vite! Je t'ai arr;t; ; l'aide de mes mots au m;me lieu, dont j'ai eu besoin. Quant ; Novo-Guireevo, c';tait une connerie. Ici je ne suis pas seul. Suis assis tranquillement jusqu'; ce que les flics ou mes pers;cuteurs arrivent. Sinon n'apprendra jamais qui t'aurait tir;. ; Dieu.
          Nadejda ;coutait et fut surprise. Elle sentait des sentiments contradictoires. Comme peu conna;t-elle son mari avec qui passa-t-elle trois ans ensemble! Maintenant elle vient de voir un c;t; fort de lui, ; cause de lequel ;tait-il effrayant. Une froideur de tombe mena;ante soufflait de lui. Oui, il ;tait une personne plus forte qu'elle supposait avant. Il peut d;fendre elle, il peut d;fendre soi-m;me, s'il av;re vaincu, il vengera. Elle ne pouvait pas de se rendre compte, pourquoi cela ne r;jouissait pas son c;ur. Le fait fut qu'il n';tait pas un prince d'un conte sur le cheval blanc, mais un guerrier r;el de la vie contemporaine assez r;elle. Pour ;tre guerrier, ce n'est pas une chose n;cessaire ; vaincre trois ou quatre ennemies ; l'aide d'un seul coup. Il est assez ; poss;der un esprit guerrier. Et comme est-il ;crit dans l';criture: "leurs pieds sont rapides quand ils vont r;pandre le sang". Le guerrier ;mane de la guerre, dont il n'a rien de romantique. La Faucheuse la suivit toujours ou quelqu'un peut avoir des autres images qui provoquent la m;me condition de l';me. Maintenant Nadejda ne voulait pas que son mari tue quelqu'un, surtout devant elle. Peut-;tre ils ont raison, car ils sont en train de fuir? Si est-ce pour longtemps?
          Deux voitures avec des ;quipes tactiques par ordre de Kashin d;j; se pr;cipit;rent le long de Chauss;e des Enthousiastes ; rencontre des fugitifs. Batogov d;j; fut rapport; le num;ro de "Volga" de couleur grise. Plusieurs fois, de l'une voiture ou de l'autre remarqu;rent-ils les voitures de la couleur pareille. Sans r;ussir ; lire le num;ro, ils faisaient un demi-tour, en violant les r;gles, ils de la mani;re merveilleuse parfois faillaient provoquer un accident, poursuivaient des voitures grises, mais le num;ro et passagers n';taient pas ceux-l;, dont ils avaient besoin. Par hasard, ils ont vu une fois la voiture n;cessaire gar;e pr;s du trottoir. Le chauffeur ;tait assis, en mettant la t;te et les mains sur le volant. D'abord, il ;tait effray; puis il s'indignait et mena;ait ; l';gard des "objets", m;me il proposa son aide ; les d;tenir, mais ils ne l';coutaient plus, mais ils se pr;cipit;rent ; la station "Novaia". Un train vient de partir en direction de la station "Kourovskaya". Imm;diatement, Skolopendrin vient d';tre inform; de cela et il se pr;cipita de Tchukhlinka ; Perovo en haut. Un employ; junior mal inform;, c'est-;-dire, son partenaire ;tait l;-bas en train de l'attendre. Il avait une exp;rience sportive du demi-fond.
          Une partie des gens resta ; examiner le quai, si l'objet appara;trait avec sa femme. Chacun d'eux avait des photos d'eux. Ils allaient ; examiner les trains locaux ; destination et en provenance de Moscou. L'autre partie du groupe revint aux voitures. Une voiture se pr;cipita ; Novo-Guireevo au cas o;, et il y avait Kashin au-dedans. Une autre voiture se pr;cipita vers Taganka ; recevoir Batogov puis ;loigna avec lui le long de Ryazanskoe shauss;e plus loin du centre. Ceux qui rest;rent dans les voitures, les deux ;taient en train d'attendre avec impatience des rapportes d'observateurs des chemins de fer. S'il n'y a rien des rapports, il ne resterait qu'attendre le retour des "objets" t;t ou tard ; l'une des adresses connues. Et tout le probl;me ;tait qu'il para;t comme si "l'objet" s;journ;t dans l'ignorance compl;te et personne n';tait pr;t ; ses actions inattendues. Les voitures libres ;taient tr;s loin au moment de sa probable ;vasion, c'est pourquoi ils ne r;ussirent ni le d;tenir, ni le suivre.
          Skolopendrin alla et retourna le long de son train. Il reconna;trait chacune personne poursuivie et ce n'est pas important, si elle a mis les lunettes noires ou non. Apr;s tout, Albert n'avait mis les lunettes noires ; Taganka que pour gagner quelques secondes, peut-;tre une fraction de seconde. N;anmoins, il n'y avait pas d'eux dans le train local.
          -As-tu v;rifi; des toilettes au milieu du train, - Skolopendrin a entendu ; la radio.
          -Nous n'avons pas de cl; sp;ciale. Maudit! D;j; Lyubertsy.
          -En direction de Riazan, tous les trains d;j; sont v;rifi;s. Les camarades av;rent plus pr;voyants que toi. Ils ont pris les cl;s avec eux et ils ont v;rifi; tout.
          Skolopendrin se sentit offens; par le reproche, mais maintenant d;cida-t-il d'agir sans  distraire.
          -Peut-;tre, il serait mieux ; quitter ce train? N;anmoins, je peux emprunter la cl; de conducteur de train.
          -Ne quitte pas. Agis. V;rifie tout. S'ils ont besoin de la direction Kourovskaya, c'est le seul train local, par lequel ils peuvent fuir. Le train suivant mettra beaucoup de temps ; s'y ;loigner.
          Skolopendrin parlait ; la radio, en ;tant dans le tambour vide de train, en sortant l'antenne dehors de la petite fen;tre du train. Le coll;gue junior qui savait bien courir, il regardait ; lui, en attendant d'autres instructions. S'il ne regarde pas ; lui, mais ; tous les c;t;s, il verrait comme de verre de la porte que menait ; l'autre wagon, d'abord une femme, puis un homme, ils jet;rent un coup d';il ; lui, chacun ; son tour, et apr;s avoir recul;, les deux coururent ; travers un wagon au wagon suivant verrouill;rent la porte par la propre cl;.
          -Nous devons atteindre la petite station "'41 kilom;tre". Ils donneront ; lui soit le signal de retraite, soit la t;che de v;rifier toutes les toilettes. Tu peux voir que c'est impossible de me capturer, m;me dans le tunnel de m;tro. Je n'ai badin; point lorsque j'ai le dit. Pourquoi comme ;a, je ne te le peux dire maintenant. Je vais ; me cacher. Pour que tu ne sois pas remarqu;e, rejoins ; n'importe quel groupe des gens, soit ; un groupe des femmes, soit aux touristes, soit m;me aux joueurs de cartes ; la rigueur. Si tu n'es pas seule, ils ne s'approcheront, ils simplement suivront o; iras-tu. S'ils t'essayent de d;tenir, appelle ; l'aide de passagers, gagne du temps. Le temps marche contre eux. Dans ce cas casse le verre de fen;tre dans l'arr;t premier. Cela sera un signal ; moi. Mais ne casse le verre que dans la station. Pas entre les. Simplement, je ne veux pas fusiller dans le train. D'autant plus, plus t;t que n;cessaire. Si tu atteins "41 km", ne descends qu'; l'instant quand les portes commenceront ; se fermer. Et cours, cours en avant, ; la direction du train. Nous avons peu de temps.
          -Tu vas faire quoi? Tu vas ; pendre dehors du train? Tu peux tomber! Tu seras ;lectrocut; sur le toit! C'est terrible! Ne me quitte pas!
          -Je n'essaye que pour toi. Si je suis seul, je n'aurai besoin de ce train. Si un jour apprends-tu toute la v;rit;, tu comprendras que j'ai raison. Ce devil ; Taganka, qu'est-ce qu'il ;tait en train de te dire? Malgr; ;a, nous avons vaincu! Dans ce cas nous vaincrons aussi. Il serait mieux si tu dis ce que viens-tu de comprendre? Dis plus vite.
          -Je dois rejoindre ; un groupe des gens de toute urgence. S'ils me d;rangent, il faut casser le verre de fen;tre du train ; la premi;re station. Si tout est bon, descendre le train ; '"41 km" ; l'instant de fermer les portes et courir avant, le long de la direction du train.
          -Tu es intelligente, super! - Avec ce mot, Albert l'embrassa sur les l;vres et courut ; travers tous les wagons au c;t; oppos; de Skolopendrin.
          Dans demi-heure, le train a pass; le quai de "41 km" avec tous les verres intacts. Et dans un quart d'heure de plus, un coup de feu retentit dans la for;t ; peu pr;s trois kilom;tres de la station.

                Chapitre IV. ;vacuation ; jamais.
          Le "quai 41 kilom;tre", pr;c;demment la "voie d';vitement 41 km" quand la direction ; Kourovskaya ;tait toujours ; voie unique, il est situ; cinq kilom;tres d'un peuplement des maisons de vacances Kratovo sur la direction parall;le menant ; Riazan.
          Toujours dans l'enfance, pendant tout un hiver r;vait Albert d'un petit lac avec la plage sableuse, ce lac est entour;  par des maisons de vacances cach;es sous les pins hauts. Le lac est situ; ; droite du chemin de fer avec une circulation inhabituelle ; gauche ; quatre voies et la plupart du peuplement est ; gauche. Les maisons forment un r;seau de rues et ruelles qui furent bien apprises par lui et s';teignent sur deux, ; certains endroits sur trois kilom;tres. Une for;t de pins a imm;diatement commenc; derri;re eux qui rappelait ; l'Albert son enfance jusqu'; pr;sent et ;manait quelque chose de dr;le, l;ger, insouciant, contrairement aux for;ts sombres avec foug;re haute des directions ; Savelovo et Yaroslavl, les for;ts s;v;res mais belles de leur mani;re.
          Quant ; Kratovo, a la lisi;re de for;t pouvait-on entendre de chacun arbuste les voix des cueilleurs de champignons, ; la fois des locaux et des vacanciers. N;anmoins, il ;tait assez de s';loigner un peu et les voix n';taient entendues plus, ne restant qu'en m;moire, et maintenant "la voix du Silence" devenait entendue, s'affirmant de son propre calme, criant par son propre silence. Ici aussi parfois peut-on entendre un train, mais le chemin est compl;tement diff;rent, ne ressemblant point ; celui-ci, ; la direction de Riazan. Il n'y a ni grandes villes, ni grands peuplements de vacanciers. Il avait l'air alors, comme si Albert ;tait en train de d;couvrir un monde neuf et myst;rieux. Et il croyait qu'au-del; de cette ligne ; voie unique peut-on sentir une pr;sence de quelque chose de belle et d'inconnu, plus il ira, plus sentira.
          Alors, il d;couvrait la nature pour la premi;re fois, la nature libre du bruit artificiel, libre de la soci;t; qui opprime, de la soci;t; qui impose son id;ologie non naturelle, la soci;t; qui demande un rapport de la propre vie private pour la juger par tout le monde, la soci;t; qui menace et interdit vivre ; n'importe quelle private mani;re. N;anmoins, ici dans la nature ;tait cette soci;t; impuissante compl;tement. La nature vivait selon ses propres lois, et en restant seul dans la nature, il ;tait impossible d'expliquer ; l'aide de mots, ; travers de lesquelles voies et ; travers de lesquels organes des sens cette pr;sence de Dieu, p;n;trait-elle dans l'esprit. Quant ; sa signification, on ne peut dire d'elle que cette signification  est tr;s belle. Quant ; sa signification, on peut dire d'elle seulement qu'elle est excellente.
          Pendant toute l'enfance r;vait Albert de passer dans les bois de l'embranchement Kourovskaia au Nord, jusqu'au chemin de fer de la direction de Nijegorod, n;anmoins il ne r;ussirait ; revenir ; temps, et les parents s'inqui;teraient. Le r;ve de marcher cette route n';tait r;alis; qu'en p;riode adulte, mais la r;alisation de ce r;ve n'a donn; qu'une petite d;ception. La for;t fut ici dans certains lieux pires, quelque part repr;sentait-elle des marais taris et couverts d'arbres bas. Quant aux beaux fourr;s en direction orientale, il y avait un objet gard;, c'est-;-dire, des maisons de vacances qui appartenaient aux fonctionnaires sovi;tiques ou apr;s sovi;tiques. Un peu ; l'Ouest, on pouvait voir grand champ ouvert le long de lesquels y avait-il une route goudronn;e et sinueuse locale. L'autoroute tournait juste au nord et tout de suite, un grand village Aksenovo commen;ait. Et au-del; du village, on pouvait d;j; voir comme une pieuvre ; b;ton arm; d'une ville nomm;e avec nom fou ;lectrocharbons ;tait en train de s'enfoncer dans le corps vert de la nature. Et le plein centre de la gr;ce foresti;re commen;ait juste l;-bas o; se taisaient toutes les voix de Kratovo, et s';tendait jusqu'; l'embranchement de Kourovskaia et bient;t se finissait au-del; du chemin de fer.
          Le peu peupl; chemin de fer le rendait heureux et ; la fois provoquait une tristesse nostalgique pour les mieux moments de la lointaine enfance. Et quand Albert a l'appris ; t;l;porter, il n'y avait aucun obstacle de visiter ces lieux, explorer les d;tails de chacune station du chemin de fer qui avait ;t; un ancien chemin ; voie unique, afin qu'il puisse "appara;tre" imm;diatement ; chacune d'eux de Korenevo ; Gjel. Voil; pourquoi a-t-il d;cid; d'aider sa femme ; fuir exactement le long de ce chemin. Il avait expos; ce plan au vieillard d;j; hier ; New York, quand le soir est venu ; Moscou.
          Comme nous savons maintenant, New York pour Albert ;tait ; proximit;, comme tout le reste. N;anmoins il fallait montrer ; Paul cette place o; la for;t est finie, les champs s'ouvrent et la route vient qui m;ne ; l';lectrocharbons. C';tait ce qu'il ;tait occup;, tandis que Nadejda l'attendait ; Taganka. M;me s'ils le poursuivent, tout ce tintamarre serait concentr; le long de la direction ; Kourovskaya. Et lorsque les gens poursuivants lui se rendent compte qu'il utiliserait cette partie de la for;t pour qu'il puisse interrompre finalement leur surveillance, ils manqueraient le temps ; l'atteindre ; l'aide d'un d;tour. C'est parce qu'il n'y a pas de routes droites de "41 km" ; l';lectrocharbons. Quant ; la route creus;e, ici et l; mar;cageuse et avec des souches saillantes, il ne peut qu'un tank passer. Ils n';taient pas pr;ts pour ;vasion de leurs poursuivis "objets", sinon ils pourraient mettre un h;licopt;re sur cette affaire auparavant. N;anmoins, ce serait une affaire risqu;e ; utiliser un transport comme ;a, car l'exploitation d'h;licopt;re serait difficile ; cacher des chefs.
          Albert t;l;porta loin du train local et apparaissait maintenant ; chacune station sauf "Ovrajki" de laquelle il ne se souvenait pas assez correctement. Comme convenu, Nadejda a descendu ; la station "41 kilom;tre", quand les portes ;taient en train de se fermer, et elle courut en avant, le long de la direction du train.
          L'assistant de Skolopendrin allait ; tirer le signal ; freiner mais le chef l'arr;ta. Premi;rement, Nadejda n';tait que seule, deuxi;mement, il fallait suivre et apprendre la direction. Elle ;tait toujours en train de courir jusqu'; sa disparition du champ de vision des pers;cuteurs restants dans le train local qui les menait maintenant ; Donino.
          -Moins de bruit, c'est mieux. Nous avons retrouv; leur trace de nouveau, - Skolopendrin avec plaisir expliquait ; son coureur subordonn;. - Et maintenant toute l'op;ration d;pend de toi. Nous sortirons ; Donino, cours ; sa rencontre. La plus principale chose, ils ne doivent pas te remarquer. Maintenant, elle nous emm;nera ; son mari et peut-;tre ; toute la tani;re.
          -Peuvent-ils ;tre arm;s?
          -Peu probable. Ils sont des mystiques, sectaires. Quant au mari d'elle, il n';tait jamais convaincu de porter d'armes, - mentit Skolopendrin pour calmer le subordonn;. Heureusement, il n'est pas associ; au groupe qui effectuait une op;ration nocturne dans l'appartement d'Izmailova et est essuy; le feu. - D'ailleurs, tu es un sportif et si c'est le cas, tu les vaincras. N;anmoins, ce serait une faute aussi, car tu ne dois pas ;tre vu. Essaye agir sans perturber l'op;ration, sans les effrayer. Rapporte ; nous tout ; la radio, mais ; voix basse. N'oublie pas : tu es honor;, car tout une issue de l'affaire ne d;pend que de toi.
          "S'il est attaqu; avec l'arme, - Skolopendrin pensa-t-il en esprit, - il sera coupable lui-m;me, car laisserait le remarquer. Si nous donnons l'arme ; lui, il peut ; cause de la peur tuer ce type bizarre qui n'a pas de prix. Laissons le courir, il en est capable".
          Nadia toujours ;tait en train de courir lentement sur les rails. Le train de lequel elle sauta, apr;s ;tre disparu au-del; du virage, Albert vient de sortir de son abri d'arbustes et se mit en cours avec elle. Bient;t, ils couraient ensemble. Nadia ;tait heureuse, en voyant son mari l';galait et cela donna des forces ; elle.
          -Mon amour, tu ne cours pas tr;s vite pour que tu ne te fatigues pas, mais aussi ne cours pas tr;s lentement, pour que nous nous d;barrassons d'eux. Et je vais courir plus vite en avant, pour examiner, si tout est assez bien l;-bas.
          Albert n'est pas encore venu au lieu o; il fallait tourner au Nord, quand il a remarqu; quelque chose d'inhabitude en vue de voie ferr;e. Il s'allongea imm;diatement et se gla;a. Et en effet, un homme ;tait en train de courir ; la rencontre, il courait habilement comme un sportif. Et quand il s'approxima de lui en courant, sans le voir, Albert reconnut le compagnon de Skolopendrin. Il y avait bien n;cessit; de neutraliser lui. Albert a tir; sans r;flexion lente. Le poursuivant tomba sur la voie avec bruit, cramponna ; sa jambe bless;e, roula ; bas dans un foss; du petit talus. Il g;missait et n'occupait qu'avec soi-m;me. Il n'y avait aucune n;cessit; ; tirer une fois de plus. Puis Albert se pr;cipita ; sa femme courante et l'emmena du chemin de fer ; la for;t. Ils marchaient vite selon l'azimut jusqu'au certain sentier. Apr;s ;tre venu au sentier, ils commenc;rent ; courir de nouveau.
          -Je d;j; ne peux plus. Il est difficile ; respirer.
          -Aie encore un peu de patience, mon amour. Il para;t, nous avons fui et s;par; d'eux, donc tu es sauv;e.
          Enfin ils sortirent en courant de la for;t et toute de suite virent une seule voiture au champ ouvert, qui comme si elle s'ennuyait. Pr;s du chauffeur y avait-il un passager aux cheveux gris. Albert ouvrit la porte arri;re sans m;nagement, laissa entrer sa femme, puis il grimpa au-dedans lui-m;me. N;anmoins, Nadejda reconnut le vieillard Paul sain et sauf qui fut habill; en manteau ordinaire de mi-saison, pour ;tre sans attirer attention.
          Dans quelques minutes, ils ont descendu de la voiture au village urbain Khrapounovo. Le vieillard paya au chauffeur, et il aida ; sortir un grand sac ; dos du coffre. Bient;t, ils entr;rent ; portillon d'une maison abandonn;e avec les fen;tres barr;es. Maintenant c';taient deux femmes qui sont sorties d'o;. Une d'eux ;tait belle, l'autre femme ;tait haute et une sorte d';trange. Ils ont convenu que la bizarre se tairait. En cas d'urgence, il faudrait chuchoter ou faire semblant d';tre une sourde-muette. Si "elle" commence ; dire, "elle" serait prise pour un travesti en meilleur cas.
          Le jour tombait. Personne ne marchait ; la rencontre. Apr;s avoir pass; quatre kilom;tres, la paire ;trange est venu ; une petite station "Lesnaya" qui appartient ; la direction d'Iaroslavl de chemin de fer. Ils devaient un peu ;tre nerveux, parce que le train local avait dix minutes de retard. N;anmoins, c';tait m;me pour le mieux: pendant moins de temps "s'exposer" dans la gare. ; peu pr;s dans une heure, ils pass;rent devant la station "Perlovskaya". Nadejda ne devinait pas qu'elle voyait cette station en derni;re fois.
          ; la gare Iaroslavsky, deux "amies" chang;es au-del; de la reconnaissance sont venus vite au quai, de lequel l'express Transba;kal devait bient;t partir. Les billets d;j; ;taient dans leurs poches. La contr;leuse qui voyait beaucoup de choses dans la vie, elle ne faisait pas ; eux deux grande attention. Dans le compartiment ; quatre places, le mari avec sa femme, les deux ;g;s, ils ;taient des voisins. Ils n';taient pas tr;s communicatifs, n;anmoins, quand la femme essaya de parler avec "la compagnon ;trange" de Nadia, Nadia chuchota ; voisine que c'est la s;ur de mari qu'elle vient de ramener d'une clinique psychiatrique et comme si elle souffre de schizophr;nie que n'expresse que par taciturnit; et s;dentarit;, c'est-;-dire, sa forme de maladie n'est pas dangereuse pour les autres. Ils devaient tol;rer la pr;sence des voisins jusqu'; Novossibirsk.
          Apr;s les voisins se sont all;s, la porte du compartiment s'ouvrit et deux entr;rent, "grand-p;re et petite-fille". Il pr;senta la fille:
          -Bonjour. Je te pr;sente Olesya.
          Olesya se comportait assez libre. Elle s'asseyait sur les genoux du vieillard ; l'embrasser. D'abord il mena;ait du doigt puis il r;pondait ; elle r;ciproquement. Nadejda et Albert d;guis; ne pas consid;raient cela avec l'indignation, comme les autres gens pourraient voir cette vue, mais au contraire, avec admiration regardaient-ils ; la paire ;trange: un d'eux est venu du si;cle pr;c;dent, l'autre d;j; regarde au si;cle ; venir.
          -Soit votre amour atteigne le seuil et entre solennellement au si;cle vingt-et-uni;me!
          -Merci! - les deux r;pondaient.
          Nadejda ;tait silencieuse et souriait joyeusement.
          -Il semble, que ta nouvelle tenue te pla;t moins que ton costume ancien, n'est-ce pas? - elle questionna Albert une fois dans le train.
          -J'en ;prouve pas une grande joyeuse de ;a, mais quant ; la tristesse, je peux dire le m;me. N;anmoins, il y a un c;t; positif. Il serait bien de se cacher dans le costume comme ;a. Il faut le garder ; l'esprit pour l'avenir, c'est tr;s pratique. Et comment tu le consid;ras? - il a dit en tournant ; l'Olesya. - Les gens, peuvent-ils d;couvrir que je suis un m;le d;guis; si je suis silencieux?
          -Bien s;r, si tu es ras;, ils te prendront pour une femme dr;le: la poitrine plate, haute et l'expression faciale est une sorte d';trange, - Olesya r;pondit en riant.
          -Oui, en effet, - le vieillard affirma. - La version d'une parente maladie mentalement, c'est que vous avez invent; admirablement.
          Le reste du temps dans le train ;tait pass; d'humeur assez bonne. Psychologiquement, tous les quatre ;taient assez compatibles l'un avec l'autre, m;me Olesya appelait tout le monde "tu", aussi avec leurs noms. Cela n';tait pas interdit.
          Dans ce temps-l;, au-del; de fen;tre du train, en commen;ant depuis l'Oural pouvait-on observer la couverture stable de neige. Le long du grand chemin de fer, l';t; et l'hiver sib;riens sont ressembl;s ; ceux ; Moscou. Seulement, la premi;re neige tombe un peu plus t;t, en ;t; il y a des moustiques un peu plus et les nuits plus froides, et les d;gels sont plus rares en hiver. Au reste, le paysage devant la fen;tre est peu diff;r; de cet ; Moscou. Certainement,  si chercher parmi l'herbe en ;t;, l'ail sauvage et les autres herbes poussent ici, qui ne poussent pas pr;s de Moscou. Aussi, il y a beaucoup d'herbe pr;s de Moscou qui ne pousse pas en Sib;rie. On peut voir un peu plus de m;l;ze, aussi le c;dre qui est ressemblant au pin, mais en un coup d';il sans grande attention, il n'y en a pas assez des choses qui changeraient la vue g;n;rale du paysage. Seulement en approchant de Krasno;arsk, le terrain devient plus accident;, les collines se transforment graduellement en petites montagnes avec pentes douces, on les appelle ici "sopkas". Elles ;taient blanches maintenant, couvertes avec la for;t enneig;e.
          Albert descendait du train ; Krasno;arsk pour la premi;re fois. Les petites montagnes qui entouraient la cit;, elles rappelaient en ;t; ; Paul un paysage pr;s de la station de trolleybus ; Yalta, mais le climat est assez diff;rent et l'air de la ville industrielle laissait quelque peu ; d;sirer.
          Pendant six heures ;tait l'autobus en train de tourner et secouer sur l'autoroute et la noirceur dehors ne laissait recevoir une id;e du terrain. Tous les quatre ne sont arriv;s que dans le minuit au village voisin et ils devaient marcher ; pied sept kilom;tres.
          Tous fatigu;s, ils arriv;rent enfin ; une maison en bois branlante mais grande. Ils allum;rent la lumi;re et les chauffages ;lectriques.
          Olesya commen;a ; faire du th; et le vieillard est all; ; la cave. Il revint dans vingt minutes avec fromage, saucisson et une sorte d';trange pain. Toutes les ;tiquettes sur l'emballage ;taient en Anglais.
          -Eh bien, math;maticien, quelle heure est-il ; New York maintenant?
          -S'il est deux heures du matin dans ce terrain, donc il est deux heures de l'apr;s-midi l;-bas, - r;pondit Albert, en souriant. Il devina, o; fut grimp; le vieillard pour l'alimentation.
          -Est-ce que nous sont ici pour longtemps? Quand reviendrons-nous chez nous maintenant? - Nadia questionna.
          -Jamais, - le mari r;pondit.
          -Soit tu plaisantes?
          -Je ne plaisante pas. Y revenir, ce serait un suicide pour toi, mais je veux que tu vive. Nous n'avons plus de chemin l;-bas. C'est pourquoi nous n'y retournerons jamais.