Chapitres xv-xxi. la teleportation. partie i

Áîðèñ Àðòàìîíîâ
                Chapitre XV. S;paration.
          Le commencement du juillet. La journ;e s'est av;r;e nuageuse, sans pluie - c';tait la m;t;o pr;f;r;e de vieillard Paul. C';tait naturel qu'il f;t dans une excellente humeur aujourd'hui. Toutes les t;n;bres avec lesquelles devait-il connecter r;cemment, devenaient involontairement oubli;es. La bonne humeur comme si soulignait les ;v;nements heureux pass;s et r;cents ; travers lesquels ;tait pass; son chemin de la vie inhabituellement long et inhabituellement vallonn;.
          Il avait appris sur Tolik auparavant encore et avant du commencement de collecter d'informations sur Colonel et son gang savait-il d;j; que cet homme ne m;rite pas d';tre aid;. N;anmoins, cette circonstance n'annule pas la lutte contre mal, deuxi;mement, il voulait faire quelque chose d'agr;able aux personnes qui avaient ; voir avec son successeur Albert.
          Le dernier donnait grand espoir et il fut dit ; lui aujourd'hui qu'il a r;ussi le soir hier en premi;re fois: il s'est t;l;port; chez soi, en ;tant de son appartement ; peu pr;s demi-kilom;tre, apr;s quoi devait-il sortir inaper;u, pour que sa femme ne devinerait pas des capacit;s qu'il poss;de maintenant. Puis il s'est sorti inaper;u, puis est venu comme d'habitude, en utilisant la cl;. Nadezhda n'a remarqu; rien.
          Paul l'a rencontr; ; Kalistovo aujourd'hui, comme d'habitude. Encore auparavant, il l'avait emmen; ; cet endroit-l;, o; il s';tait repos;, quand il traquait l'appartement de Colonel ; Podlipki. Ils avaient accept; aujourd'hui que le vieillard t;l;porte ; cet endroit et l'attendrait pendant une heure. Albert pendant cette heure essayerait de p;n;trer ici. L'heure arrivait ; sa fin. Ce n'est pas grave, la premi;re cr;pe est grumeleuse. Enfin, le temps est ;coul;. Le vieillard est revenu imm;diatement ; l'endroit, o; il avait quitt; Albert, mais il n'y a eu personne. Puis il a t;l;port; ; l'escalier ; Perlovka qu'il bien conna;t, monta ; quatri;me ;tage et sonna ; la porte. Nadezhda ouvrit, Albert anxieux ;tait debout derri;re elle, il vit Paul et r;jouit tout de suite.
          -Bonjour.
          -Bonjour. Il para;t que vous, amis, ayez perdu l'un l'autre.
          -Oui. Nous avons accept; de se rencontrer et je suis arriv; trop tard, il y avait des affaires, - le vieillard mentit.
          -Mieux prenons-nous du th; ensemble?
          Le vieillard fut d'accord et ils bient;t conversaient ; la cuisine, en buvant du th; fort. Quand Nadia est sortie ; la chambre, le vieillard remarqua:
          -C'est comme si tu te transformes ; la condition n;cessaire, tout est correct avec cela, mais tu ne te souviens pas bien des endroits. C'est naturel que tu ne te sois souvenu que de ton appartement. Mais quoi s'il y avait un pi;ge chez toi? Comme peux-tu voir, il faut travailler avec la m;moire visuelle. No pense pas qu'il faut se souvenir tout absolument, je ne pourrais pas non plus faire cela. Simplement, essaye d';tre sans grossi;res erreurs. Un exemple. Supposons que tu aies besoin d'appara;tre sur une plate-forme ; la r;gion de Moscou o; les trains locaux circulent. Il n'y a l'aucun besoin de m;moriser la quantit; des tiges m;talliques dans la cl;ture de la plate-forme, leur diam;tre et longueur avec une pr;cision de millim;tre, il ne le faut point. N;anmoins, si la cl;ture est compos;e des tiges m;talliques qui sont peintes en jaune, mais tu te l'imagines en b;ton et blanche tu n'y arriveras pas. La chose principale, si tu as r;ussi une fois, ;a veut dire, tu peux maintenant l'apprendre jusqu'; bout tout seul, parce que tu as compris l'id;e principale. Et j'ai une conversation que nous ne pouvons continuer que dehors, mais maintenant ai-je remarqu; chez toi un livre int;ressant, c'est "Tantra, le livre des secrets". Je sais que dans se livre sont ;crits des lectures qui ;taient d;clar;es par grand pr;dicateur de notre si;cle agit;, d'Osho Rajneesh. Apporte s'il te pla;t, le volume troisi;me ; moi.
          Albert alla ; la chambre vers l';tag;re. Les trois volumes du "Tantra" ;taient cach;s au milieu de la multitude des autres livres avec des titres qui diraient ; un homme ordinaire, mais quant ; curieux Albert, le contenu des ;tag;res le pourrait attacher ; eux pour tous d'un an au moins. Albert sortit de la mani;re habituelle le troisi;me volume et revint ; la cuisine.
          -La troisi;me puissance de sept, combien est-elle?
          -343 et quoi?
          -Ouvre le livre sur la page 343.
          Albert ouvrit le livre dans une couverture brune sur la page demand;e et le remise ; Paul.
          -Non. Pas ; moi. Tu toi-m;me souviens-toi, - puis il tendit ses oreilles, regarda autour et chuchota dans l'oreille d'Albert:
          -Cette page sera notre cache. Par exemple, je monte ici, - le vieillard pointa au c;t; de la chambre, - je sais quand elle n'est pas chez soi, - en bref, quand est-elle absente, je monterai et mettrai sur cette page quelque chose. Ce peut ;tre l'argent, bien s;r, en dollars, car tu ne pourras gagner d'argent que quand tu apprendras ; grimper avec assurance. ;a peut aussi ;tre des notes, s'il faut donner ; toi une information urgente. La situation peut changer vite dans le contexte du calme g;n;ral, et tu peux n';tre pas inform; encore, c'est pourquoi ne dors pas, v;rifie. Ne te vexe pas, si je mis sur la page quelque chose, mais tu ne le prends pas en premier jour, puis je ferai un petit g;chis dans l'appartement, soit renverserai des chaises, soit casserai un petit verre - ce sera un signal d'alarme.
          -Pourquoi toi-m;me tu ne peux pas appara;tre devant nous?
          -Ils peuvent nous suivre, je n'ai pas v;rifi; encore. Nous avons ; converser sur le reste dehors.
          ; peu pr;s dans vingt minutes sont sortis les deux de l'entr;e d'immeuble. Tandis qu'ils marchaient ; pied, la pluie goutta un peu et cessa bient;t. Paul interrompit le silence:
          -D'ailleurs, je sais dans quel champ vas-tu utiliser tes capacit;s nouvelles, - il a dit avec un sourire sournois.
          -Et dans lequel?
          -Si je suis un sultan, j'aurais trois femmes, - doucement, presque en chuchotant chanta-t-il deux lignes bien connues d'un vieux film de com;die.
          -Bien s;r. Tu es un t;l;pathe. C'est probable que tu me bl;mes. Tu crois que je vais ; faire des b;tises. Ce probable que tu consid;res qu'en agissant de la fa;on comme ;a, je cr;erai un danger; tu sais de quoi je parle. ; dire sinc;rement, je suis choqu; du jour hier, bien s;r, dans le bon sens. Je ne sais pas, comment te remercier! Mais tu vas ; demander un sacrifice qui n'a pas de valeur pour toi, mais elle serait une perte assez tangible pour moi. C'est-;-dire, ne pas utiliser ton cadeau ; des fins priv;es. Et je devrai ob;ir, parce que sinon je ne pourrais pas respecter moi-m;me apr;s.
          -Mais tu n'as pas devin;! Qui craint les animaux ne va pas en for;t. Ce serait en fait une b;tise pour J;sus-Christ ou pour Bouddha, mais pas pour toi. ;a signifie beaucoup pour toi, car tu es l'un des seuls qui peuvent comprendre qu'est-ce que l'amour. Un de ceux qui peuvent m;me aimer quatre beaut;s ; la fois. Qui parle, comme s'il faut n'aimer qu'une d'elles? Est l'opinion de la foule une autorit; pour toi?
          -Je lui crache dessus, ; cette opinion! ;a m'a manqu;, ; demander permission des gens sovi;tiques, comment peux-je baiser!
          -Tu as un bon livre, le m;me qui est avec notre cachette. Si tu le lisais compl;tement, mais seulement une fois, ce serait comme si tu ne l'aurais pas lu du tout. Ce grand professeur ;crivait qu'en faisant l'amour, nous faisons l'amour avec l'Existence. La partenaire sexuelle n'est qu'un interm;diaire. Ce n'est qu'une fen;tre, ; travers laquelle regardons-nous au jardin fleuri de l'Univers, le grand jardin fleuri et plein de la vie. Et bien s;r, tu apprendrais ce paysage mieux, si tu regards de plusieurs fen;tres. Et pour elles es-tu la m;me "fen;tre" qui donne sur l'Univers. La jalousie, la rivalit;, l'origine de tout ;a n'est que l';go;sme. Non, au niveau du d;veloppement o; tu es, l'amour est beaucoup important pour toi, c'est pourquoi n';coute pas des gens stupides et ne n;glige pas l'amour. Je n'ai pas le droit de te l'enlever pour des raisons de la s;curit;. Simplement, sois prudent, c'est la seule chose qu'est exig;e de toi. Je devais parfois aussi manifester ; contrec;ur cette capacit;. Plusieurs fois disparaissais-je de telle mani;re de la milice. Mais je vais bien. Quant ; moi, je ne suis pas surveill; par KGB. Je l'ai v;rifi; et rev;rifiais encore.
          -Franchement, je suis juste heureux. Je ne sais pas juste ce que pourrais-je faire pour toi en r;ponse. Comme si des ailes que j'avais depuis la naissance, ;taient coup;es et tu as les me restitu;, et un monde merveilleux s'est ouvert devant moi, dont je ne devinais pas encore!
          -Je n'ai rien besoin. Je ne te demanderais que de ne pas quitter ma petite coquine. Mon amie ancienne, avec laquelle nous vivions ensemble et comprenions l'un l'autre, elle est mort de vieillesse dans la huiti;me d;cennie. Mais cette fille est jeune, elle est une adolescente encore. Je l'aime aussi. Je sais qu'elle peut p;rir dans ce monde m;chant sans moi. J'ai jur; que je ferai tout pour qu'elle se trouve ; l';tranger, d;s que possible, il serait mieux en USA. Nous apprenons l'Anglais ensemble maintenant. Si quelque chose m'arrive, sauve elle. Je ne te demande rien de plus.
          -Comment peux-je la trouver? Tu n'as pas me donn; l'adresse ; Krasno;arsk.
          -S'il le faut, elle-m;me te trouvera. Sois pr;t qu'elle est ;trange un peu. R;alise toutes les fantaisies d'elle qui ne te valent rien ; r;aliser. Elle ne te demandera jamais de faire ce qui est difficile pour toi. Il n'y a qu'une seule difficult;, il faut faire tout, pour qu'elle parti pour l'Am;rique pour toujours et s'y installe, s'il est possible, puis mieux l;galement.
          -Je ferai tout que je peux. Et j'augmenterai mes possibilit;s, y compris, pour devenir utile ; toi, ;a veut dire ; elle aussi. Comment s'appelle-t-elle?
          -Olesya. Et ne sois pas timide. Elle peut devenir la cinqui;me amante dans ton "harem". Elle ne te refuserait pas.
          -Pourquoi es-tu s;r comme ;a? Et quant ; toi?
          -Tu es en train d';tre surpris, car tu ne sais pas ses inclinations, ses d;sirs, ses principes. Mais je la sais jusqu'; tel degr;, je serais surpris, s'elle te refuse. Il est permis ce qu'elle s'amuse et nous ne le consid;rons pas comme une trahison. Tandis que je suis vivant, elle ne me quittera pas. Cela n'est pas impos; ; elle de l'ext;rieur. C'est ses propres principes et elle les accomplit avec plaisir. Tu ne croirais pas, mais je suis presque un id;al d'elle, bien s;r s'un id;al est possible dans notre vie r;elle. Si je p;ris, elle ne pourra que s'amuser avec toi, mais rien de plus. Son id;al est un mentor vieil et sage, s;v;re et bien conserv; et qui est capable de bien comprendre n'importe quelle expression inhabitude de la nature humaine personnelle, l'accepter, ;tre en paix avec ;a. Ce sonne d'une mani;re paradoxale, ton d;savantage principal pour elle est ta jeunesse. C'est pourquoi t'aimer compl;tement elle ne pourra avant que tu auras cinquante.
          -Tu parles, comme si tu pars quelque part loin. Tu viens de deviner. Maintenant, je n'appara;trai pas si longtemps, si j'appara;trai du tout. La probabilit; de rester vivant apr;s l'affaire que je vais organiser, est moins que 50%.
          -Comment je l'apprendrai?
          -Si ne sera aucune information de moi plus que deux semaines.
          -Pourquoi as-tu un besoin pareil? Tu as d'argent. Est-ce que tu veux changer le monde? Si vaut-il d'interf;rer?
          -Tu as raison. Je ne suis pas le Seigneur, pour arranger l'ordre dans tout le monde. Ce serait telle absurdit;, comme si ta femme d;ciderait de faire un nettoyage g;n;ral non seulement dans le propre appartement, mais dans tous les appartements de votre immeuble ; neuf ;tages. N;anmoins, dans les endroits que j'ai pass;s, j'ai un d;sir de nettoyer et orner mon chemin. Je m'occupe de ;a depuis le moment, quand la Terre est devenue commensurable avec l'appartement pareil pour moi.
          Ma derni;re mission, tu le sais, c';tait la liquidation Colonel par les mains des gens de la Tch;tch;nie. C';tait sans danger absolument pour moi, n;anmoins, l'op;ration ;tait assez inhabitude, sais-tu pourquoi? J'ai vu tels salauds, quels je n'avais pas vu depuis tr;s longtemps. Je suis s;r maintenant que Colonel soi-m;me cherchait sa mort. M;me il la voulait inconsciemment. Simplement, j'ai acc;l;r; le processus. J'ai une entreprise plus dangereuse est planifi; ; l'avance, au cours de laquelle est-il possible que le Seigneur me prenne chez Il, si je n'ai rien de plus ; faire dans ce monde. J'ai d;j; conf;r; le don ; toi. Tu n'es pas moins intelligent que moi et tu d;j; es entra;n; mieux ; cette escalade que j';tais pendant le m;me temps apr;s le massacre terrible l;-bas dans la baraque du camp, quand j'avais r;ussi de la mani;re spontan;e, sans savoir l'existence d'une capacit; comme ;a. Alors, un peu temps encore, et tu pourras grimper de telle fa;on partout, o; tu voudrais. Et Olesya ne sera pas perdue, je te crois. Tu ne le laisseras pas.
          Comment utiliser le don que je t'ai conf;r;, c'est toi seul qui d;cides. Et ne laisse pas sonner dans ta conscience les voix des autres, lorsque tu prends une d;cision.
          Enfin, n'oublie pas ta propre s;curit;, v;rifie toujours, si quelqu'un te suit. Je te d;ja l'avais dit et je te rappelle plus encore le fait que ces gens seraient pr;ts ; tout pour qu'ils poss;dent ton don. Si tu ne prends pas soin de toi, prends soin de ceux qui sont proches et chers ; toi.
          Maintenant, adieu! Prie pour moi. S'il m'arrive quelque chose, surtout ne me d;ifie. Je ne fais que viser la perfection, mais je suis un p;cheur comme les autres. Peut-;tre, il faudra beaucoup de temps avant que nous verrons l'un l'autre, mais c'est mieux ; compter sur pire, pour n';tre pas attrist; trop apr;s. C'est pourquoi pas au revoir, mais adieu pour toujours!
          -Adieu, Paul! N;anmoins, essaye de retourner.
          -J'essayerai. Adieu, Alik!
          Paul se r;fl;chit apr;s dire ces mots, comme s'il se distrayait compl;tement et disparut imm;diatement.

              Chapitre XVI. Apr;s la joie, les ennuis.
          L'automne est arriv;. Albert r;ussissait chaque fois plus souvent ; obtenir ces d;placements voulus ; travers l'espace. Il devait aussi commettre plus souvent des petits voyages pour de m;moriser plus des lieux cl;s, soit o; pourrait-il se d;placer et "appara;tre" en cas de n;cessaire, soit pr;s d'une grande ville, de laquelle aura-t-il besoin dans l'avenir, par exemple, de la m;me mani;re comme Paul une fois avait-il eu besoin de la ville Grozny. Aussi pour visiter beaux endroits, en g;n;ral dans la r;gion de Moscou ou dans les r;gions situ;es ; la proximit; relative. Il n'oubliait pas aussi d'utiliser les visites avec sa femme chez les amies d'elle, en m;morisant les d;tailles de leurs appartements. Ni Nadezhda, ni ses amies ne suspectaient rien. Le vieillard rappelait parfois son existence, en mettant 100-200 dollars sur la page 343.
          Nadezhda supposait que le mari ait trouv; maintenant un travail neuf et ne parlait pas lequel. Peut-;tre, y a-t-il quelque chose qui ne va pas? Maintenant voyageait-il ou s;journait-il au camping tout seul plus souvent et elle supposait qu'il transportait on ne sait pas quelles marchandises d'une ville ; une autre. Le vieillard a cess; soudain de visiter eux aussi. N;anmoins, quelque chose la consolait et elle ne savait pas quoi. La plus probable, c';tait une joie, comme il para;t ; elle, sans raison, la confiance d'Albert en soi et absence des craintes qui suivent d'habitude les gens qui jouent ; des jeux impurs ou sont t;moins les meurtres et mutilation des autres.
          Une fois le matin, il sortit un manuel vieil de g;ographie qui ;tait rest; depuis l'enfance. Albert disait ; elle, quand il ;tudiait ; l';cole, il l'avait sorti ce manuel pendant n'importe quelle le;on et l'ouvert sur la page, o; il y a une image en noir et blanc de basse qualit; de New York, vue de la mer. Il pouvait ;tre en train de d;visager cette image pendant longtemps, en cessant d'entendre et voir ce qui passe autour de lui. C'est possible, quelqu'un sexuellement pr;occup; d;visage sa pornographie pr;f;rable de la m;me mani;re. Bien s;r, il n'y avait rien de sexuel, mais c';tait une autre chose de tout. Cela ne pas ;tait pass; seulement avec lui. L'Am;rique incarnait la libert; dans la conscience et le subconscient des gens, la libert;, de laquelle ne pouvaient pas les gens m;me r;ver dans ce trou sovi;tique. Quelqu'un qui est empoisonn; au monoxyde de carbone ; cause du po;le d;fectueux dans la maison verrouill;e, il cherche de la m;me mani;re fente sous la porte et s'attache ; elle avec passion ; inhaler l'air frais, dont il a tel grand besoin. Et aussi quelqu'un qui a perdu de l'eau dans le d;sert et il a trouv; heureusement une source de l'eau, il avale de la m;me mani;re chaque goutte pr;cieuse avec les larmes de joie aux yeux, sans se soucier par la r;flexion philosophique que ce n'est que l'eau. M;me l'eau ordinaire peut ;tre telle d;sir; et merveilleuse.
          Maintenant ;tait la libert; ici, quoiqu'elle n';tait pas compl;te, quoiqu'elle ;tait avec des impuret;s sales, mais c';tait la libert; malgr; tout. Apr;s avoir surv;cu trente ann;es, l'America ;tait attractive, mais d;j; pas dans telle mesure. Et l'int;r;t ; l';gard des autres pays n';tait pas encore perdu aussi. Il se rendait compte que tout ils sont en train de vivre comme au pied d'un volcan qui peut-;tre inactif pendant plusieurs si;cles encore ou peut-;tre se r;veillera demain et les avalera. On peut s'attendre n'importe quoi de la part de cet ;tat monstrueux. L'Ouest ;tait attractif encore pour lui, mais une grande partie de l'int;r;t pragmatique ;tait ajout;e ; l'int;r;t romantique.
          Il ;tait toujours en train de regarder ; cette page jaunie avec l'image de New York, puis fermait les yeux et s'imaginait soit devant la Statue de la Libert;, soit ; Wall Street, suit sur la cinqui;me Avenue. Mais il n'a rien encore r;ussi, et Nadezhda ne pouvait pas comprendre, qu'est-ce qu'il lui arrive.
          "C'est probable qu'il y a une grande partie des conjectures dans mon imaginaire New York", - Albert a conclu. Il a compris qu'il n'avait pas ;cout; Paul en vain, qui avait conseill; au lieu d'examiner les images, de regarder les films avec les images du terrain souhait;.
          Une fois pendant deux jours fut-il assis au m;me cin;ma, en regardant le m;me film documentaire, o; plusieurs images montaient un lieu anim; ; Broadway. La femme travaillant comme un inspecteur de billets du cin;ma, elle d;j; l'a remarqu; et commenc; ; le consid;rer comme un fou: personne ne regarderait si beaucoup de fois un film qui n'est pas int;ressant pour le grand public. C'est possible qu'elle f;t en train de sentir m;contentement, parce que les temps avaient chang; et on ne pouvait pas maintenant appeler le service psychiatrique ; cause pareille et interner ; l'asile psychiatrique une personne qui comporte de quelque chose d'incompr;hensible. Le spectateur ;trange vint au troisi;me jour aussi. Elle commen;a ; l'observer. Il ;tait assis ; la derni;re rang;e comme d'habitude et regardait ; l';cran avec grande attention.
          Soudain, il vient de dispara;tre sous les yeux d'elle. Il ;tait et il n'est pas maintenant, comme s'il n'existait jamais. L'ouvreuse fermait et ouvrait de nouveau les yeux. Non. Le spectateur ;trange a disparu en fait. Elle passa aux rang;es derni;res, se pencha, en regardant au plancher entre les rang;es, comme s'elle cherchait quelque chose. Apr;s avoir atteint deux jeunes hommes qui ;taient assis devant lui et n'ont donc rien remarqu;, elle chuchota:
          -Les gars, n'ont pas fum; quelqu'un ici? Ne venez-vous pas de remarquer quelque chose de pareil?
          -Vraiment? - chuchota un d'eux. Et les deux ouvrirent les palmes vides. - Il n'y a pas une fum;e, ;a veut dire, il n'y a l'aucun feu.
          Elle vient de se rendre compte qu'il sera mieux de ne parler jamais ; personne de ce spectateur qui est soit fou, soit n'existant jamais. Puis dans le cas dernier, elle soi-m;me serait consid;r;e comme un fou.
          Dans ce temps, Albert marchait dans la rue de matinal New York avant l'aurore, et les ;motions de la joie sont ; leur paroxysme. Il a r;ussi imm;diatement quand il vient de se souvenir, quelle l'heure est-il ; New York maintenant. Comme a-t-il pu perdre de vue le fait que l'heure ; New York a 8 heures de retard sur l'heure moscovite!
          Il se sentait plein de joie. Pourtant un l;ger d;sagr;ment se m;lait, parce qu'il fallait un peu travailler: choisir et souvenir plusieurs endroits o; pourra-t-il t;l;porter apr;s. Quoique ce travail soit m;me un peu agr;able. ; installer les "points d'apparition" partout dans les ;tats-Unis, partout dans l'America, d'Alaska jusqu'; la Terre de Feu, partout dans l'Europe, partout dans le monde. ; cause de la joie voulait-il chanter les chansons. Selon la vieille habitude sovi;tique, il se retenait, mais il n'y avait besoin de cela. Sa chanson ne troublerait personne dans le contexte du bruit d';norme ville qui ;tait en train de se r;veiller. Les gens qui d;p;chaient au travail ne feraient grande attention et m;me s'ils la feraient, cela ne provoquerait pas leur d;sir de d;truire sa joie incompr;hensible. En marchant, ils croiraient qu'il comme s'il a gagn; ; la loterie et l'oublieraient apr;s avoir pass; une centaine des pas.
          -Are you happy? - Albert a entendu d'un policier qui marchait devant lui.
          -Yes, I do. Very much, - et la conversation ;tait termin;e comme ;a.
          M;me s'il a prononc; cette phrase en anglais un peu avec accent, m;me un policier ne serait pas surpris de cela, parce que New York est plein des ;trangers. Et un homme qui a une joie sinc;re, sans faire semblant, il ressemble ; un criminel dans une moindre mesure. Albert a compris qu'il faut ici bien essayer pour d';tre d;tenu au poste de police ; cause d'une suspicion. On parle comme si la police est pire ici qu'; Stockholm ou ; Copenhague, o; il n'a pas encore voyag;. Peut-;tre. N;anmoins, ce n'est pas la Russie, et la police locale attrape les criminels au lieu de cracher dans l';me des passants qui ont os; se distinguer des autres par quelque chose.
          Le soleil s'est lev; d;j; haut et Albert s';loignait toujours plus loin de Broadway. Les terrains vagues de pierre qui ;taient pleins des d;chets industriels, devenaient plus en plus inanim;s. Il s'arr;ta pr;s b;timent bas en b;ton arm;, soit en construction, soit en ruine graduellement. C';tait d;j; le soir ; Moscou maintenant, entre 20 et 21 heures, le temps ; revenir. Il sentit quelque chose de m;chant ; droit c;t; de lui. Deux types noirs ;taient en train de s'approcher de lui et il ;tait clairement que leurs intentions ;taient agressives. Il jeta un coup d';il ; gauche. Il y avait deux types aussi, noir et blanc. Ils s'approchaient aussi, sans se d;p;cher. Tous d'eux tenaient les mains dans les poches. Il n'y a pas de n;cessit; d';tre un Am;ricain et savoir anglais, mais il ;tait assez de regarder pour de se rendre compte que c'est des voyous et leurs intentions ne pouvaient promettre rien de bon. Albert t;l;porta imm;diatement ; Kalistovo. Il ;tait baign; par la fra;cheur du soir, et l';clairage avant du coucher du soleil parut tr;s rouge. Il essaya de t;l;porter retour. Il r;ussit. Dans le contexte apr;s le silence de la nature, les voix m;chantes parurent plus fortes, et l';clairage en plein jour parut tr;s bleu apr;s la soir;e.
          -Fuck you! I've seen him as you. Just he was here. (Merde! Je l'ai vu comme je vois toi maintenant. Il vient d';tre ici).
          Et soudain a-t-il cri; de toutes ses forces:
          -Look! He's here again! Catch him! (Regarde! Il est apparu de nouveau! Attrape-lui!)
          Albert a vu soudain un poteau m;tallique et fin ; peu pr;s une dizaine de m;tres de haut. Il s'est excit; comme depuis longtemps, lorsqu'il n';tait qu'un gar;on. Il attrapa le poteau, commen;a ; faire des tractions et monta dessus, prenant de l'altitude assez rapidement. Un des adversaires osa le suivre sur le poteau. Les autres commenc;rent ; jeter des pierres, mais rataient la cible chaque fois. Albert avait un d;sir de les taquiner avant dispara;tre. Apr;s avoir atteint presque jusqu'en haut, il pronon;a ce qu'est venu en esprit, en chantonnant:
          -Just I've gone from the hell. I shall go back. Then I'll return again and kill you all! I shall kill you all! (Je viens d'arriver from l'enfer. Je vais retourner-l;. Puis je reviendrai de nouveau et tuerai vous tous. Je tuerai vous tous!) - Et il rit, en imitant Fant;mas.
          Les pierres ont ;t; lanc;s de tous les c;t;s et le pers;cuteur sur le poteau essayait d'attraper ses pieds. Soudain devant eux, Albert sauta ; bas et t;l;porta en pleine chute ; Kalistovo, sans ";merger" en haute, mais pr;s de la terre, comme d'habitude. N;anmoins, pendant une partie de seconde avant sa disparition ; New York, une petite pierre le frappa sous l';il gauche, et il agrippa l';il d;j; ; Kalistovo, se rendit compte qu'il viendra chez soi avec le bleu, mais il ;clata de rire malgr; tout. Apr;s avoir calm; un peu, pour de ne pas choquer les voisins avec son air joyeux et fou (il ne s'en trompait), Albert t;l;porta ; un terrain vague ; la proximit; de son logement et regarda autour de lui ; s'assurer que personne n'a vu son ";mergence de rien". En entrant chez soi, il mit imm;diatement les bras autour sa femme, s'en l'embrassant sur la bouche.
          -Qu'est-ce qui t'est arriv;? Les yeux brillent, je vois un bleu sous l';il. Avec qui as-tu battu? Laisse-moi aller. Es-tu so;l ou d;fonc;?
          -Pourtant, mon amour, tu sais que je ne bois que le th;.
          Cela passait dans la cuisine. Albert continuait ; ;treindre l';pouse par une main et l'autre main s'est ;tir;e ; l'interrupteur et a ;teint la lumi;re. Ainsi, elle s'est donn;e ; lui, en ;tant debout. Puis ils vinrent au lit, o; il l'a poss;d;e en deuxi;me fois. Apr;s cela ils se sont all;s ; souper. Elle remarqua, quelle faim avait-il. Apr;s avoir soup;, il s'endormit imm;diatement.
          -Tu as parl; en anglais dans ton r;ve, - Nadia remarqua le matin, en souriant. - M;me, je me suis souvenu de plusieurs mots: "Fuck you! I'll kill you all!"
          -Je suis fatigu; et je ne vais nulle part aujourd'hui, - dit Albert.
          -Il est grand temps pour se calmer. Tu es en train de jouer comme un gar;on. Qui t'a frapp; dans l';il hier? Est-ce probable qu'ils t'attaqueraient en deuxi;me fois?
          -Non. C'est exclu. Ils habitent tr;s loin.
          -Toujours en voyage. Tu es de plus de trente ans.
          -J'ai d;j; dit que je ne vis pas selon un horaire.
          Albert se rendait compte que c'est difficile ; persuader l';pouse de refuser les opinions conventionnelles. ;a veut dire qu'il serait plus difficile ; l'accoutumer ; l'amour libre sans jalousie. Que ce soit un secret, mais il faut essayer une des amies d'elle. Albert d;cida de commencer avec rousse Lena. Apr;s ils ont pris le petit d;jeuner, une pluie battante commen;a. Albert prit un journal, mais au lieu de le lire, il construisait un plan d'action.
          Lena habitait au quartier Kuntsevo ; Moscou qui se trouvait plus loin que les habitations des autres amies. Albert se souvint le faible d'elle pour un feuilleton mexicain. Malgr; son travail ; la cantine, elle n'a toujours pas pris de poids, mais restait svelte, comme ses amies. Elle gagnait peu d'argent, mais le travail n';tait pas lourd et le petit salaire ;tait compens; par des repas gratuits. Quant ; sa connexion avec les hommes, elle n'a pas toujours dit m;me ; Nadezhda et si elle le disait, alors ; contrec;ur. Il para;t qu'elle f;t timide de la moindre manifestation de sa sexualit;. Et en m;me temps, en ;tant en col;re contre quelqu'un ou contre quelque chose, au moins dans le cercle des amies ;tait elle capable de dire une grande quantit; de mal;dictions sexuelles contre les circonstances ou contre leurs coupables. C'est probable que cette mauvaise habitude mit dans la subconscience d'elle le bl;me du sexe malgr; la nature qui l'exigeait. Ainsi, ce conflit int;rieur corrodait sa personnalit;. Elle le savait et essayait de se manifester de moins degr;. Certains le consid;raient comme une aura de myst;re qui est attractif, les autres le consid;raient repoussant et elle para;t ; eux comme vide et ennuyeuse. Il y a des cl;s qui conviennent et qui ne conviennent pas ; l';gard de chaque verrou.
          Ce n'est pas important que quelqu'un dirait, Albert avait une exp;rience particuli;re dans les relations avec les femmes et il avait confiance en cette exp;rience. Gentiment, c'est-;-dire, sans r;sistance feinte il ne r;ussissait qu'; persuader tr;s peu des femmes, seulement les plus faciles. La fermet;, l'insistance, m;me une petite agression, tout ;a bien augmentait la probabilit; de recevoir ce qu'il voulait. Et les plus r;ussis r;sultats ;taient re;us ; cause du comportement qui quoique ne franch;t pas la fronti;re de la l;galit; mais qui est situ; proche de cette fronti;re, au-del; de laquelle pourrait ;tre consid;r; le comportement comme un crime. Albert ne viola jamais cette fronti;re, mais m;me dans la loi ne pouvait-on manifester toujours l'insistance. Cette qualit; que les femmes aiment, avait un revers qui donnait ou facilitait la possibilit; de calomnier un candidat ; l'amant qui est obstin; et insistant. Ce pays distinguait juste par un d;sir r;pandu de ses citoyens de faire de la m;chancet; ; son voisin, m;me sans aucun avantage pour soi-m;me.
          Il a imm;diatement refus; d'une apparition soudaine dans les appartements d'autres personnes. En tout cas, soit il se sortirait des toilettes ou soudain ramperait-il hors de sous le lit, la maitresse de l'appartement peut devenir effray;e presque ; mort. C'est dangereux m;me pour une personne ; qui le c;ur est en bonne sant;. Et pourquoi faire comme ;a? Lena le bien conna;t et s'il sonne ; la porte, elle l'ouvrira imm;diatement apr;s avoir regard; ; travers le judas. Il y avait plusieurs ans il a lu dans un revu "Science et religion" sur un exp;rimentateur qui se couchait dans le bain apr;s avoir ;teint la lumi;re et pris soin du silence autour de lui, et la temp;rature de l'eau avait ;t; r;gl;e ; + 34 °C. Comme si cela d;velopperait la perception mystique, des super-capacit;s. Albert l'avait essay;. Il n'y avait rien de supernaturel, mais quelque chose pouvait-on observer. S'il dort, les r;ves devenaient plus clairs et plus coh;rents que d'habitude. La chose principale, cela donnait le repos et la facilit; de recueillir des pens;es. Quoique l';pouse ne le f;t pas, n;anmoins, elle n';tait jamais oppos;e ; l'exp;rience qui ne faisait un tort ni ; personne, ni ; quelque chose. S'il se va ; la salle de bain pour deux heures aujourd'hui et dit ne pas le troubler, elle ne serait pas surprise.
          Et il fit ainsi une heure avant du feuilleton pr;f;rable de Lena. Apr;s s';tre allong; au bain pendant dix minutes, il s'est habill;, s'est essuy; un peu, a trouv; un fond de teint dans la t;n;bre pour cacher le bleu sous l';il et a t;l;port; aux toilettes de son appartement qui se trouvait ; au moins trente kilom;tres. Il n'y avait pas de lumi;re ni dans les toilettes ni dans l'appartement. Il a d;cid; d'attendre, s'est sorti de l'appartement obscur, en fermant la porte sans bruit et a descendu les escaliers jusqu'; l'entr;e. Soudain s'est ouverte la porte de l'entr;e, est celle-ci, ; laquelle il s'est venu pour la chasser, elle s'est av;r;e t;te ; t;te avec lui.
          -Pourquoi es-tu seul, sans Nadia? Est-ce que quelque chose est arriv; chez vous?
          -Rien de sp;cial n'est arriv;, mais nous avons quelque chose ; parler.
          Lena a monte les escaliers sans rien suspecter et a ouvert la porte avec une cl;. Albert la suivit et ferma la porte. Lena alluma la lumi;re et regarda d'un air interrogateur au visiteur. Il ;tait en pyjama de chez soi, avec une t;te mouill;e et l;g;rement liss;e, mais pas peign;e, et ne lui ressemblait donc pas un peu.
          -Le fait principal est que je ne suis pas Albert, - il a dit avec la voix un peu chang;e.
          -Assez jouer le fou. Pourtant, o; est Nadia? questionna-t-elle avec son intonation habituelle pour les cas pareils, mais en fait commen;a-t-elle ; sentir que quelque chose ne va pas. Et si ce n'est vraiment pas Albert? Mais il ressemble trop ; lui.
          -Albert est chez soi avec sa femme. Je ne suis que son double et il para;t, il ne sait rien de lui-m;me. Laisse-les!
          Lena regarda ; lui dans les yeux. Elle a vu qu'il la regarde comme un chat regarde de la viande. Elle sentit un peu de peur et un peu de honte. Elle rougit. Puis elle p;lit. La sc;ne muette ne continuait pas longtemps, n;anmoins, accablait elle beaucoup.
          -Pourtant, de quoi as-tu besoin? - On pouvait entendre un frisson perfide dans la voix.
          -De toi! - En ce disant, Albert se pr;cipita ; elle et la serra fort dans ses bras. Soudain, elle essaya de se cramponner lui ; la main avec ses ongles peints et longs. Il ne fallait pas laisser le faire ; tout prix. Les coups de griffes sur les mains prouveraient que c';tait lui-m;me et il n';tait aucun son sosie. Il n'y avait qu'une seule issue. Soudain, il la saisit son poignet gauche par deux mains, tordit la main d'elle et la ramena derri;re son dos. Lena hurla.
          -Comporte-toi bien, ma beaut;, puis je serai gentil avec toi et je t'aimerai. Et n'ose pas rayure, sinon je ram;nerai ta main jusqu'; la nuque.
          En ;tant d;j; excit;, se pressa fort contre elle par-derri;re. Soudain, elle a cri; de toutes ses forces:
          -Aider! Au feu! Nous sommes en feu!
          Il ne croyait pas que celle-ci qui a l'air d'une fille silencieuse, est capable de crier si fortement. On pouvait entendre comme s'ouvraient les portes des autres appartements. Des pas ont ;t; entendus, la cloche a sonn;.
          -As-tu r;ussi? Ils vont te saisir comme un gar;on. Ce le voisin qui travaille dans la milice et son fr;re avec lui. Ils ont des grands poings. Ils te casseront la gueule et ajouteront d;j; dans la milice.
          -Quelle racaille es-tu! - Albert chuchota.
          -Et tu, chien, croyais qu'on te laisse tripoter et insulter tout le monde?
          -Cherche un impuissant, il ne t'insultera jamais.
          -Mais maintenant c'est ils qui vont t'insulter.
          Avec ces mots, en voyant qu'Albert n'est plus en train de la tient plus, elle alla pour ouvrir la porte. Albert se lan;a sans bruit aux toilettes. La porte d'appartement s'ouvrit.
          -L;che sournois! Il a tordu mes mains et il est en train de se cacher de vous maintenant aux toilettes.
          Deux hommes forts se tenaient dehors en fait.
          -Pas l;che mais un con, - un d'eux dit en col;re. Et les deux se sont dirig;s de la mani;re d;cisive aux toilettes.
          Tandis qu'ils allaient jusqu'aux toilettes, ils avaient assez du temps pour avoir peur. Le m;me mot "con" les a fait penser que c'est un danger. Sur quoi a compt; le malfaiteur, s'il n'est pas un con? Il n'est pas les ann;es 70 maintenant, mais c'est l'an quatre-vingt-dix troisi;me et il y a beaucoup de types avec pistolet dans la poche. N;anmoins, ils avaient honte ; montrer sa peur devant la jolie maitresse de l'appartement. Un d'eux a ouvert brusquement la porte des toilettes et les deux ont recul;, puis ils ont regard; l;-bas encore, puis ; la maitresse de l'appartement.
          -Mais il n'y a personne.
          -N;anmoins, il vient d';tre ici. Il m'a harcel;, tordu ma main, presque la cass;e, et j'ai vu clairement qu'il s'est all; aux toilettes.
          Deux voisins ont examin; soigneusement tout un appartement. Les fen;tres furent ferm;es, personne ne se cachait ni sous le lit, ni dans le placard.
          -Nous allons-nous, Victor, - un d'eux pronon;a avec amertume ; la voix bless;e.
          -Je voudrais vous conseiller de prendre quelque chose de somnif;re ou de nerfs apaisant, - dit l'autre, s'en tournant ; la maitresse de l'appartement. - Vous d;rangez les gens en vain.
          Les deux se sont sortis. Lena a allum; la t;l;, et les probl;mes des protagonistes sur l';cran l'ont distrait compl;tement de l'occasion. Elle se sentit tr;s embarrass;e ; cause du cas et elle a d;cid; de ne dire rien aux amies, encore moins ; l'Albert.
          Quant ; l'Albert, il ;tait en train de s'allonger dans le bain maintenant, en r;fl;chissant ce qu'est arriv;. L';chec l'a chagrin; et irrit;. Ce n';tait que mauvaise humeur qui emp;chait ; lui de t;l;porter chez Lena encore et de tenter sa chance en deuxi;me fois. Et quand il s'est essuy; et sorti de la salle de bain, a ouvert le livre n;cessaire apr;s, il n'y avait ni dollars, ni notice. Le dernier bilet ; cent dollars notifiant d'existence de lui, il a ;t; il y avait trois semaines. Cela l'a fait conclure que le vieillard Paul a p;ri dans circonstances inconnues ; lui.

                Chapitre XVII. L'amour et la guerre.
          Pendant ; peu pr;s de semaine ;tait Albert en train de se sentir d;prim;, et cela le faisait ne ressemblant pas ; soi-m;me. C'est pourquoi, quand Lena, est elle venue ches eux, elle est devenu plus doutant qu'Albert qui l'avait attaqu; chez elle, f;t Albert r;el. Elle a essay; prudemment de renseigner de Nadia, o; ils ont ;t; le soir-l;, et Nadia, sans suspecter de rien, a racont; ; elle qu'elle a regard; cette s;rie ; la t;l; aussi, le mari alla ; l';tre dans le bain pendant deux heures, mais il en est sorti dans une heure et vingt minutes. Un aller simple jusqu'; Lena occuperait une heure et demie. Tout ;tait favorable ; la version d'un sosie.
          Albert ;tait en fait attrist; par le d;c;s probable de son ami ;g;, avec lequel ils avaient compris parfaitement l'un l'autre, malgr; le fait que l'ami ;tait assez ;g; pour ;tre son arri;re-grand-p;re. Nadia se rendait compte de cela et elle ne pouvait pas deviner que vers la perte principale ;tait ajout;e une tristesse ; cause d';chec ; l';gard de la tromper avec cette amie timide et taciturne. Albert r;pondait ; la pr;sence d'elle de la m;me mani;re comme auparavant, en rassemblant toutes ses forces pour que personne ne devine sur des changements dans les relations. N;anmoins, quand ;tait-il s;r que personne ne le voit, il examinait par-derri;re du corps d'elle par regard d'un pr;dateur affam; et en col;re, il ;tait en train de la d;shabiller et la violer en esprit de la mani;re malveillante. S'elle se tournait, il baissait les yeux imm;diatement et appelait aider des premiers chiffres qui ;taient venus en esprit, il les multipliait ou ;levait au carr;, ou effectuait des autres op;rations arithm;tiques. Cela lui donnait un air calme et r;fl;chi. ; cacher la condition de son ;me quand il faut, il ;tait sans ;gal dans cette capacit;.
          La propri;t; de l';tre humain et c'est probable aussi de n'importe quel ;tre vivant, c'est ch;rir dans l'imagination un fruit interdit, se sentir nostalgique ; cause de quelque chose qu'on ne peut pas prendre et utiliser directement ici et tout de suite. Cette propri;t; ne faisait aucune exception dans le cas donn; aussi. Lena para;t ; lui maintenant encore plus attractive. En abordant le probl;me avec le bon sens, il se rendait compte que ce probl;me n'a aucune valeur en comparaison avec la perte de tel homme, comme le vieillard Paul. N;anmoins, la partie inf;rieure de la conscience rebellait, en le d;clarant un malchanceux, comme une hallucination nierait ; l'aide de sa propre pr;sence tous les raisonnements de bon sens. La subconscience essayait maintenant d'imposer une id;e contre le bon sens, comme s'il serait devenu maintenant moins attractif pour toutes les femmes, comme si toutes elles seraient devenues moins disponibles et c'est elles maintenant qui ont commenc; ; para;tre ; lui plus attractives. Cela ajoutait ; sa fantasie une partie de l'agression et de l'irrespect ; l';gard d'elles. N;anmoins, dans une semaine, le bon sens commen;a ; vaincre et il s'est fortifi; de nouveau. Mais deux amies rest;es continuaient ; para;tre plus souhaitables qu'auparavant, cela a inspir; sa d;cision et c'est probable qu'a jou; un r;le positif dans les ;v;nements suivants. C';tait Sveta qui devait devenir la "victime" suivante. La r;ussite avec elle ;tait plus probable. Quant ; Valia, on ne savait pas que peut-on attendre d'elle, et il ne voudrait vraiment pas ;chouer en deuxi;me fois.
          Cela peut sembler paradoxal, n;anmoins, l'existence de Tolik n'emp;chait pas l'affaire, mais au contraire. Il y a assez grande partie des femmes pour lesquelles la pr;sence du mari ou de l'amant ne fait que provoquer le d;sir les ; tromper, le d;sir des sc;nes de lit et cela les fait plus disponibles qu'auparavant, lorsqu'elles ;taient seules. Comme d'habitude, elles sont candides avec cela, elles ne sont pas assez prudentes, parlent de superflu souvent et endurent les coups et d;shonneur des jaloux hommes enrag;s. On les abandonne; rarement, mais on les tue parfois, malgr; le fait qu'elles sont inoffensives, presque comme les enfants, et elles m;ritent de la compassion et de la compr;hension, contrairement aux complaisantes viles qui m;ritent une punition en fait et appartient ; une cat;gorie de personnes compl;tement diff;rente qui n'ont rien ; voir avec ces agneaux qui quoique soient lascives, mais innocentes.
          Sveta Izmailova appartenait pr;cis;ment ; cette cat;gorie. Ce qu'elle faisait des allusions prudentes, en jetant des coups d';il ; lui, n';tait pas par hasard. Elle devenait toujours plus lib;r;e non seulement gr;ce ; Tolik, mais aussi ; cause d'int;r;t de lui pour le passe-temps en buvant d'alcool avec les personnes du m;me toit de gang, dont la place avaient essay; d'occuper les salauds sous la direction de Colonel. Il consid;rait comme un honneur ; partager la m;me table avec soi-disant bandits, et ceux-ci dans le contexte de ceux-l; de Colonel, lui semblaient presque des anges. Il oubliait la prudence et bavardait avec ils de tout. Il n'y avait rien d'insultant ; l';gard des bandits dans ce bavardage, c'est pourquoi rien de terrible n'arrivait pour le moment. N;anmoins, il y avait quelqu'un, pour qui l'information parl;e par Tolik so;l, s'est av;r;e assez pr;cieuse. Cet homme apr;s avoir s'est m;l; dans le cercle, il faisait tout pour que les buveries pareilles soient favoris;es.
          Albert a d;j; appris la r;gularit; d'absence de Tolik, et ;a suffirait aussi de t;l;porter aux toilettes ou sous le lit dans l'appartement de Sveta, s'il d;couvre la pr;sence de Tolik, il pourrait t;l;porter imm;diatement en retour sans probl;me.
          Ce jour est venu en commencement du septembre. Le refroidissement est fini et il faisait bon temps, comme en ;t;, ensoleill; et chaud. Selon les calculs d'Albert, Tolik devait aujourd'hui s'amuser en compagnie des amis imagin;s et des verres sonnants. Albert s'est t;l;port; chez Sveta sous le lit. Elle ;tait ennuyeuse et en train de s'allonger sur ce lit et de tenir aux mains un roman policier contemporain. Albert a disparu sous le lit et apparu en haute d'escaliers, au palier pr;s du grenier. Puis il a descendu prudemment ; travers plusieurs ;tages jusqu'; l'appartement n;cessaire et a sonn; ; la porte connue. Il entendit les pas et Sveta ouvrit.
          -Oh, Alik, c'est toi.
          -Es-tu s;re que je suis Alik?
          -Assez badiner, entre. Et pourquoi es-tu seul? Tout va bien chez vous?
          -Comme si.
          -C'est probable, tu veux prendre du th;?
          Elle portait la robe d';t; de couleur verte clair. Les courbes de son corps pouvait-on bien observer ; travers le tissu l;ger.
          -Je veux toi, - Albert r;pondit et la serra aussit;t dans ses bras contre lui, en pressant d'une main le bas de son ;pine dorsale. Elle haleta prolongement, mais sans r;sister.
         -Oh, Alik, que fais-tu! - Sveta lamenta en chuchotant. - Comment pourrai-je apr;s regarder dans les yeux de ta femme?
          -Demande-la le matin, et elle te dira qu'Albert n'est pas sorti de chez soi dans cet instant. Je suis son double.
          -Assez jouer le fou, comme si je ne verrais pas. Laisse-moi aller. - Avec indignation, mais en chuchotant encore pronon;a telle proche et telle d;sirable sa ma;tresse, de quoi il ne doutait plus. Il enfila insolemment sous sa robe d';t; avec sa main et baissa la culotte. Sa constitution fut belle mais subtile et malgr; son ;ge de 29 ans, dans les t;n;bres  pouvait-on la consid;rer comme une fillette qui a quatorze ans.
          -Oh, Albert. Qu'est-ce que tu es en train de me faire ?! Si Nadia l'apprendra. Laisse-moi aller, s'il te pla;t. Je te prie.
          -Je ne suis pas Albert. Nomme-moi comme tu voudrais, mais je ne te laisserai pas aller. Je suis pr;t ; tout faire pour ne pas te laisser. Ob;i-moi. C'est le destin. Tu ne peux pas s'aller de lui.
          Elle commen;a soudain ; se d;barrasser de tout son v;tement et resta debout devant lui toute nue, avec l'air condamn; et exprimant l'accord.
          -Que peux-je faire contre toi? Seulement, ne parle pas ; Nadia et ; Tolik.
          -Tu toi-m;me ne le bavarde pas.
          Sveta est devenue toute molle dans ses bras. Ils ne se souviennent pas comment ils se furent av;r;s sur le lit et lorsqu'il entra en elle, elle enroula ses jambes autour de lui.
          Ils ;taient heureux ; deux. Personne ne l'apprit bient;t. Si quelqu'un apprit, il serait irrit; en vain. Ni Albert, ni Sveta ne voudraient personne ni irriter, ni tromper. Ils ne voudraient qu';prouver le bonheur et ils ;taient en train de le faire.
         -Tu m'aimes?
          -J'aime tout vous et, c'est naturel, toi aussi.
          -Tu n'es pas normal. ;a n'arrive pas.
          -Tu as besoin de l'apprentissage long et l'acquisition une grande exp;rience de vie pour comprendre que ;a n'arrive que comme ;a presque toujours. Et s'il est arriv; de telle mani;re, puis garde silence sans bavarder de cela, et alors ce sera  bien pour tout le monde.
          -Je n'en parlerai ; personne.
          -Quant ; Valia et Lena, n'en parle pas avec eux aussi.
          -Je le promesse. Sinon Tolik tuera moi et il peut t'attaquer aussi.
          -Est-ce apr;s ce que j'ai fait pour lui? Bien. Ne pense-il pas qu'il peut arriver d'une mani;re oppos;e? - Apr;s Albert vient de ce dire, il s'est rendu compte qu'il dit trop. Il avec le vieillard, ils sont deux avaient r;ussi donc ; repr;senter cette chose devant tout le monde, comme si tout se serait pass; spontan;ment, c'est-;-dire, quelqu'un entre les autres avait tu; les chefs du gang hostile. Personne ne savait sauf Tolik, quelle information ;tait poss;d;e par Albert. Mais s'il parle trop de ;a, il sera le premier tu; pour cela. Consciemment, il ne le fera jamais m;me s'il d;couvre la tromperie de Sveta, parce que cela serait sa fin.
          -Alik, et quoi s'il est vrai? Je sens bien avec chacun de vous d'une mani;re particuli;re.
          -Sinon ne peut pas ;tre. ; travers nous es-tu en train de conna;tre l'Existence, l'Univers. Ce qu'un ne te peut pas donner, un autre peut le donner. Il n'y a personne qui pourrait te donner tout, de la m;me fa;on qu'il n'existe pas telle fen;tre, de laquelle pourrait-on observer en toutes les quatre directions, ; diff;rentes distances ;galement clairement ; la fois, y compris au-del; de l'horizon. D'ailleurs, n'as pas tu essay; de faire l'amour avec tes amies? Si c'est comme ;a, cela serait un bon exemple, comme deux choses peuvent donner la joie, mais des mani;res diff;rentes.
          -Non. Je ne suis pas une lesbienne. Pourtant, j'avais Serge avant de Tolik, n'est-ce pas que Nadia t'ait  parl; de cela?
          -Non.
          -Il me pin;ait toujours pendant cette affaire. Parfois, il me caut;risait par cigarettes.
          -Est-ce que tu veux dire qu'il ;tait un sc;l;rat?
          -J'aimais lui. Je l'aimais beaucoup! Parfois, il me permettait de caut;riser par cigarettes ; lui-m;me. Je le faisais d'habitude, c'est pourquoi je ne me consid;re comme une victime.
          -Alors, qu'est-ce que vous manquiez? Pourquoi n';tes-vous pas ensemble maintenant? Es-tu fatigu;e de ses jeux cruels?
          -Je t'ai dit que je me sentais bien avec lui. N;anmoins, il fumait la marijuana. Un jour, il a disparu. Tous les proches le cherchaient, mais c';tait moi qui premi;re a trouv; lui. Les pieds, comme s'ils sont m;mes qui m'ont men;e ; ce sous-sol de l'immeuble ; cinq ;tages. Il ;tait en train de pendre l;-bas. Il s';tait d;fonc; et s';tait pendu, il est mort pour rien... Puis on l'enterrait. J';tais hyst;rique. Mais dans deux mois ai-je fait connaissance avec Tolik et compris que la vie continue. Maintenant, tu es. Et tu n'es pas normal. Tu as besoin de plusieurs filles. Si la fille est seule, il ne suffit pas ; toi. C'est possible, que je sois la m;me que tu es. Peut-;tre pire. ;coutez-moi, Alik. Pince mon dos, ou plus bas, - Sveta sentit apr;s avoir dit ces mots qu'elle est en train de rougir, mais au cr;puscule de la pi;ce, bien s;r, Albert n'a pas vu cela.
          -Pourquoi?
          -Si la fille te prie. Est-ce que c'est difficile ; faire?
          -Cela n'est point difficile ; faire, pourtant ne te sois pas vex;e apr;s.
          -Moi? Contre toi? ;tre vex;e? Jamais dans la vie! Je te pardonnerai tout. Mais si tu ne le fais ce que j'ai dit, puis je serai vex;e.
          "Maintenant, je la punirai pour qu'elle ne demande pas des b;tises", - Albert r;fl;chit et il pin;a de toutes ses forces la petite mais bomb;e fesse d'elle. Sveta se redressa, pencha la t;te en arri;re, g;mit voluptueusement et se pr;cipita vers Albert avec les embrassades, en disant:
          -Je veux plus! Je veux de nouveau!
          Le comportement de la partenaire comme ;a, ;tait en train d'exciter lui beaucoup, et ils sont r;unis imm;diatement l'un l'autre de nouveau.
          Quand il est revenu ; l'aide de sa "m;ditation" dans le bain, bien s;r, Nadia ne remarqua rien et c';tait impossible qu'elle puisse croire en t;l;portation. Son jeune corps a pu vite retrouver les forces d;pens;es et apr;s ce qui est arriv;, sa propre femme commen;a ; para;tre encore plus belle et plus d;sirable.
          -Qu'est-ce que tu as fait, dont j';tais en train de jouir comme jamais auparavant? - elle questionna apr;s s'est donn;e ; lui.
          -Je ne sais pas. C'est probable ; cause du changement du temps bient;t varient les sensations.
          Maintenant, il avait deux femmes en fait, mais personne ne le savait sauf Sveta et Albert. Il fut assez content de la situation pareille et il se rendait compte aussi que cela soit bien ; l'ajouter Valia ; tel "amour de trois". Il se rendait compte aussi que t;t ou tard il r;vera de ;a de la m;me mani;re, comme il r;vait encore au printemps, quand il ne poss;dait que seule femme. Cela semblait ;trange, Sveta n';tait pas du tout int;ress;e par la fa;on, dont son amant neuf pouvait ;tre dans deux endroits ; la fois et pourquoi il vient en pyjama et avec les cheveux humides, comme s'il viendrait de se sortir de la salle de bain. Apparemment, m;me elle ne le savait, parce qu'elle ne s'int;ressait point quels mythes inventait Albert pour sa femme l;gitime et sous quel pr;texte quitte-t-il la maison lorsqu'il vient chez elle.
          Chacun v;cut sa propre vie et presque personne ne remarquait l';paississement des nuages orageux ; l'horizon politique. Contrairement ; d'autres, Albert ne r;agissait pas ; cause d'une autre raison. Il comprenait desquelles forces poss;de-t-il maintenant. Malgr; le fait qu'il n'a pas ;t; ;lev; comme un ninja, possible au contraire, et il s'int;ressait de yoga d;j; en ;tant adulte et mature, n;anmoins, il d;passerait m;me Goemone avec les capacit;s neuves qui sont venues comme si de nulle part. Et la chose principale qu'il pouvait faire maintenant, cela n'avait rien ; voir avec un int;r;t sportif. Il pouvait prot;ger tous les proches d'une nouvelle vague de totalitarisme, si elle aurait lieu: prot;ger les parents, l';pouse, Sveta, Valia et Olesya. La derni;re doit appara;tre dans demi-an apr;s la mort de Paul, c';tait leur accord.
          C'est pourquoi du 3 octobre jusqu'au soir, quand le second putsch, dirig; par Routskoi, ;clata comme un feu, il ne suivit les ;v;nements qu'; la t;l;. Quand l';cran s'est ;teint, il t;l;porta ; l'Ostankino. Il ;tait difficile ; comprendre qui tire sur qui. Il y avait une fusillade chaotique, et la seule action utile que pouvait-on faire, c'est sauver soi-m;me d'une balle perdue. On peut blesser ses alli;s, en agissant sans connaissance comment aider ; eux. Il ne pouvait p;n;trer dans l'int;rieur de la tour ; la cause assez simple. Il n'a ;t; jamais l;-bas, donc il ne connaissait rien qui est au-dedans.
          Le matin, Albert avec la hache dans son sein et les couteaux et sprays au poivre dans les poches, il a t;l;port; ; Moscou. Ce que les communists sont vaincus, il a l'appris de derni;res nouvelles. La seule chose qu'il a r;ussie, c'est atteindre jusqu'un toit, puis t;l;porter dans les limites de ce toit pour n';tre pas remarqu; par l'ennemi, c';tait un tireur qui ;tait pr;t ; tirer sur les passants. Il se faufila vers le tireur et l'assomma ; l'occiput par le c;t; arri;re de la hache. Apr;s cela il essaya de prendre le carabine avec lui. Mais il ne r;ussit pas et il le jeta du toit. Il fit tout cela avec des gants. Il regrettait, car il n';tait pas pr;t aux actions des communists et fascists qu'il n';tait pas difficile ; pr;voir. Il fallait revenir ; la vie personnelle, car apparemment, la paix dans le pays s'est install; comparativement pour longtemps.

        Chapitre XVIII. ; trente kilom;tres du Kremlin.
          Albert en ;tant principalement flegmatique par temp;rament, n'aimait pas changer ses plans. ; son tour, c';tait Valia qui devait ;tre la suivante. Dans environ une semaine apr;s le putsch rat;, il a choisi un jour convenable de son point de vue, et de nouveau de la m;me fa;on t;l;porta-t-il de la salle de bain ; l'escalier de l'immeuble bas qu'elle habitait.
          Valia habitait un village urbain avec un nom conserv; comme un monument ; la d;gradation bolchevique, c'est-;-dire, Zavety Ilyitcha. Cette colonisation ne fut pas situ;e si loin, comme le logement de Lena, n;anmoins, il ne fut pas si proche comme le logement de Sveta, et repr;sentait moiti; un r;glement des datchas, moiti; un typique vidage social de Moscou. Telles colonisations dans l'Union Sovi;tique qui n'existait plus, ;taient pires que les villes, parce que tout le monde connaissait l'un l'autre et ils avaient l'opportunit; d'interf;rer ; la vie priv;e et comploter l'un contre l'autre. Mais elles ;taient aussi pires que les villages ou petites villes dans les coins perdus, parce que la simplicit; et la chaleur des relations ; la campagne entre les gens ;taient compl;tement absentes ici. Beaucoup des exc;s n;gatifs de la civilisation p;n;traient ici sans la civilisation elle-m;me. Assez r;cemment, chaque salaud ou ivrogne pouvait sans peine et pour rien emprisonner son voisin, m;me s'il est sobre. Emprisonner ; cause de fait qu'il est meilleur que lui, plus intelligent que lui et n'a pas d;sir de d;grader avec ces barbares ensemble, mais il ose mener une vie incompr;hensible ou ind;pendante. Et chaque personne tant soit peu intelligente qui n'avait pas su ou n'avait pas voulu contenter cette populace, il n'avait pas d'opportunit; r;elle de se prot;ger d'eux. Pourtant, ; vrai dire jusqu'; bout, on ne pouvait se prot;ger que prendre une arme aux mains.
          C';tait un people crach; et oppress;, le people, dont l'eau peut ;tre coup;e ; chaque moment ou laisser mettre de l'eau rouill;e et imbuvable dans la conduite. Ceux qui avaient un besoin particulier de logement, pouvaient ;tre mis ; la queue d'appartement, mais les fonctionnaires locaux pouvaient changer l'ordre des lieux dans la queue et voler l'espace de vie, comme ils voulaient. C';tait les gens ;lev;s dans l'ignorance et l'hypocrisie, les gens qui ont absorb; le folklore criminel avec le lait maternel, ils ;taient en train de d;g;n;rer sous l'influence de la propagande pareille et ; cause de la peur de n';tre pas comme les autres. Parfois, ils d;g;n;raient jusqu'; tel degr; qu'ils commettaient des crimes sans sens, m;me sans recevoir quelque chose d'utile pour soi-m;me, puis ils ;taient emprisonn;s dans les camps et prisons, puis ;taient lib;r;s, se so;laient et ; la fois avec tout ;a coexistaient-ils bien avec ses "oppresseurs", c'est-;-dire, avec les flics et les petits rois locaux. Personne ne ferait attention dans l'Europe occidentale ; ces "rois" mais quant ; ce village urbain, malgr; leur absence de spiritualit; et leur cochonnerie, malgr; leur cervelle de moineau, ils pouvaient ici se sentir comme rois en fait. Ce n';tait pas une confrontation de quelque deux forces, mais une assez viable coexistence des parties d'un seul organisme mais malade qui est touch; par une tumeur canc;reuse du syst;me totalitaire.
          Ce r;glement d;sordonn; qui n';tait situ; que trente kilom;tres du Kremlin et dans lequel les trains locaux ne s'arr;taient qu'une fois par heure il ne se repr;sentait pas quelque chose de particuli;re, mais au contraire: un assez typique ph;nom;ne dans toute la Russie. Et il n'y avait qu'une seule fa;on de lutter contre ce ph;nom;ne: en s;journant physiquement sur le territoire du village, en esprit ;tre hors de lui, c'est-;-dire, ne participer dans la vie du village ni au-dessous ni au-dessus mais rester ; l';cart. Maintenant cela n';tait pas dangereux. Maintenant on ne pouvait pas emprisonner pour ;a, en fabriquant une affaire de hooliganisme d'une mani;re ignoble, ; l'aide des faux t;moins qui feraient tout par entente pr;alable. Maintenant, on pouvait dire aux salauds pareils tout qu'on ;tait en train de penser d'eux. C';tait la m;me raison, dont la populace sovi;tique avait commenc; ; d;tester Eltsine, parce qu'il avait priv; partiellement de gredins la posibilit; d'emprisonner les gens sans culpabilit; r;elle apr;s avoir install; des ordres d;mocratiques. La pauvret; dans la Russie est un ph;nom;ne typique qui est form; historiquement et assez stable. On a habitu; pendant plusieurs si;cles ; la faim, au froid, aux grandes queues ; acheter quelque chose et aux travaux mal r;mun;r;s. Donc ce n';tait pas l'appauvrissement du peuple mais la libert; ;tait la m;me raison, dont les m;chants bl;maient la d;mocratie. Le b;tail sovi;tique voulait se revenir ; l'esclavage. Mais l'esclavage n'existait plus. Il y avait beaucoup de gredins influents qui ne se repr;sentaient qu'une nullit; et qui n'occupaient aucun poste prestigieux m;me sous la pouvoir sovi;tique. N;anmoins, ils avaient l'autorit; et l'influence dans ce village urbain, parce qu'ils savaient s'int;grer au troupeau de porcs et grogner habilement, parce qu'ils ;taient capables de d;marrer le m;canisme diabolique de l';tat criminel et ; l'aide de lui de jeter une personne qu'ils n'ont pas aim;e, ; la boucherie du Gulag qui a ;t; cr;; par les fascistes rouges. Maintenant pitoyables et insignifiants sont devenus ces gens-l;. Ils ne pouvaient que r;p;ter des b;tises antis;mitiques et pseudo-patriotiques, mais ce n';tait plus qu'une sorte d'onanisme politique.
          Les parents de Valia sont arriv;s ici dans l';poque du d;gel de Khrouchtchev, ; la fin des ann;es 1950, apr;s avoir r;ussi ; s';chapper de l'esclavage kolkhozien d'un coin perdu de l'Ukraine. Valya elle-m;me ;tait n;e et ne s';tait souvenue d'elle-m;me qu'ici, pas loin de Moscou. En souvenir du pass;, ses parents avaient peur de se s;parer de la collectivit;, ils se so;laient souvent avec les habitants du r;glement et m;me r;ussissaient ; gagner le respect devant eux. Mais cela n'a pas aid;. Cela avait lieu d;j; dans l';poque de Brejnev. Une fois, le p;re d'elle quand il ;tait so;l, il a engueul; les flics locaux qui se comportaient sans respect ; l';gard des gens et d;s lors commen;a ; visiter les prisons et camps, en ;tant laiss; aller pour plusieurs mois, puis en ;tant emprisonn; de nouveau pour plusieurs ann;es. Il revenait aux endroits qui se sont devenu pour lui comme une maison natale. La m;re qui a v;cu la moiti; de sa vie dans l';tat, o; "il n'y avait du sexe", elle n'a pas os; se comporter plus libre. Parfois, l'angoisse impitoyable la saisissait comme par ;tau de fer, en la for;ant de chercher une sortie. Malheureusement, la plus rapide et simple sortie fut trouv;e dans le vin. Quand elle a remarqu; comme c'est co;teux, elle se mit en pr;paration des boissons alcoolis;es d'une mani;re primitive, m;me sans distillerie et elle buvait peu ; peu toujours. Non. On ne l'a pas vu so;le dans la rue. Juste elle su;ait sa boisson qui ;tait faite sans savoir, et parfois elle se r;veilla dans la nuit pour prendre une dose. Et puis la d;pression, ; cause de laquelle on ne voulait plus vivre, affaiblissait son emprise de fer, et maintenant apr;s un verre pouvait-on agiter son doigt sous le nez des ennemies invisibles sous la forme de mauvaises pens;es qui imaginaient son existence comme probl;matique et sans espoir, c'est-;-dire, d'une mani;re exag;r;e. Maintenant on pouvait se moquer sur les pens;es pareilles. Elle a choisi un ersatz de la libert; au lieu de la libert; r;elle. Ce choix incorrect la mena bient;t ; une mort pr;matur;e ; cause de la cirrhose du foie.
          Valia avait dix-huit ans dans ce temps. Elle d;j; essaya "l'amour" avec les types locaux. Mais la d;ception bient;t est venu au lieu de la joie. Ceux qui d'abord semblaient si gentils et doux, ils r;pandaient maintenant des potins sales derri;re son dos. Et elle a compris que toute la tendresse apparente n';tait qu'un l;che-bottes des profiteurs qui voulaient obtenir sa "victoire". Ils ne savaient aucun amour. Ils ne savaient aimer ni ; l';gard d'elle, ni ; l';gard de quelqu'une autres, m;me s'ils le voudraient. Ils ont ;clabouss; l';tincelle de vie qui est dans chaque ;tre vivant, avec la boue de l'adoration les fausses idoles. Leurs idols sont les chiffons de mode et le respect dans le troupeau. Leur avenir est une table ;tant piss;e dessus et un verre obscur.
          Valia a eu beaucoup de chance, c'est possible que cela e;t lieu de l'exp;rience am;re et des ;checs dans les pr;c;dentes vies. Elle ;tait compr;hensive. Elle avait compris que son environnement social est hostile, n;anmoins, il ne faut pas parler de cela ; voix haute, mais il faut faire son affaire en silence. Elle ;tait en train de se s;parer plus en plus des amis et amies anciennes avec le d;sir de br;ler beaucoup de ponts plus vite. Elle trouvait des amants riches qui la dotaient g;n;reusement et lorsque cela ;tait en train de passer, elle disparaissait pour plusieurs mois du village urbain en direction inconnue. Peut-;tre, elle ne rencontrera jamais l'amour v;ritable dans la vie, mais au moins, elle ne deviendra jamais une esclave de l';tat, et cela est d;j; un grand b;n;fice de la vie.
          Elle entendait des rumeurs qu'un certain cercle des gens avait l'intention de l'emprisonner pour l'oisivet;. Elle connaissait qui entre les amies anciennes mouchardait sur elle. Elle commen;a ; d;tester le village et tous ses habitants. Elle est devenue attir;e par la chimie, en faisant des poisons ; domicile qui ;taient technologiquement disponibles, mais mortels malgr; ;a. Les malveillants ne devinaient pas qu'ils vont vers leur mort. Et elle savait le faire de telle mani;re que personne ne devinerait. C'est la plus probable que le cas soit consid;r; comme une maladie ingu;rissable. Mais rien ne s'est pass;. La perestro;ka commen;a, et les ennemis perdirent leurs forces. N;anmoins, un ennemi faible n'est plus un ennemi, mais un bouffon. Valia ;tait pr;te ; prendre un p;ch; sur l';me seulement par n;cessit;. Maintenant, la n;cessit; pareille n';tait plus.
          Les ann;es pass;rent, pendant lesquelles elle apprit beaucoup d'ordonnances d'alc;ve, en profitant de la vie ; mesure que ce f;t possible. Elle ne gardait qu'en profondeur de l';me des r;ves et l'espoir de bonheur de plus haut degr;, d'un bonheur presque inconnu ; elle. Il y avait une ann;e et demie, elle avait fait connaissance dans le train local avec rousse Lena qui ;tait en train de revenir de la datcha d'un amant. Valia entra vite au cercle d'Albert, de Nadia et ses amies. M;me elle ne pouvait pas se rendre compte, pourquoi ;tait ce cercle attractif pour elle comme ;a. Attractif jusqu'; tel degr; qu'elle pr;f;rerait ;tre assise simplement dans le cercle des amis neufs au lieu de se mettre en marche aux exp;rimentes et aventures sexuelles. "N'est cela pas seulement parce qu'ils ne complotent rien l'un contre l'autre?" - elle questionnait soi-m;me. Elle ne voulait pas aussi ruiner la paix form;e entre eux, c'est pourquoi refusait-elle m;me r;ver sur la s;duction d'Albert.
          Mais voil; vint-il lui-m;me. Elle n'attendait pas cela. Si elle pouvait le pr;voir, elle aurait calcul; auparavant de quelle fa;on elle r;sistera. Ne pas r;sister contre-lui, mais contre propre d;sir.
          Il avait l'air assez ;trange, en pyjama, les cheveux ne sont pas dess;ch;s encore, tandis qu'il fait le froid p;n;trant d'automne dehors. N;anmoins, c';tait Albert et elle a compris ce qu'il veut, d;j; ; l'instant, quand il vient d'entrer ; l'appartement. Elle un peu murmura quelque chose de contre, un peu r;sista, mais elle fut vaincue vite par l'ouragan des sentiments propres. Elle se donna ; lui en position qu'il voulait. Elle perdit presque compl;tement le contr;le de soi, se tortillait et hurlait de plaisir. Il ne fut que dix minutes apr;s ce, quand le plus voluptueux moment brilla comme le court-circuit, o; s'alla compl;tement l';nergie de deux, elle acquit la capacit; de r;fl;chir de la mani;re sobre.
          -Voil; comment c'est. L'homme apprend toute la vie. Je ne le voulais pas, mais quelle trahison viens-je de commettre contre mon amie! Tu, chaud lapin, a su m'attraper.
          -Cette trahison n'est qu'imaginaire. Si vous deux reconnaissez un autre moral, puis il s'av;rerait qu'il n'est produit rien de mal. Au contraire ...
          -C'est le confort pour toi de penser comme ;a, - elle l'interrompit. - Pendant toute l'histoire, l'adult;re ;tait consid;r; comme la honte et crime. On non seulement se battait ; cause de ;a, mais aussi tuait. C'est la violation du saint commandement du Christ.
          -Pendant toute l'histoire, les gens menaient des guerres, en tuant ses semblables pour de piller la richesse sous pr;texte des saints noms. Puis ils sont arriv;s ; un point o; ils ont commenc; ; br;ler ses semblables sue le b;cher seulement pour ses convictions, puis pour ce qu'ils ont os; lire la Parole de Dieu sans interm;diaires. Et comment tout cela s'est termin;? Ils sont arriv;s ; une conclusion fausse, comme si Dieu n'existerait pas et comme si Christ n'aurait jamais exist; et ils ont commenc; ; tuer des millions de personnes et ; construire les camps de mort pour ;a, comme des usines de mort. Mais malgr; toute cette impi;t;, les pers;cutions de l'amour libre ne furent pas cess;es. Parce que pour r;ussir en suppression et soumission d'une personne, il faut r;primer et soumettre la mati;re sexuelle de cette personne.
          -N;anmoins, qu'en est-il de dix Commandements?
          -Il est ouvert dans l';vangile que les dix Commandements n'ont but qu'accomplir deux commandements principals: aimer Dieu et aimer l'un l'autre. Mo;se a command; ne pas s'int;resser les femmes des autres, parce que parmi les sauvages in;vitablement m;nerait cela aux querelles avec les effusions de sang. Le p;ch; aurait lieu en cas, si nous ne garderons pas la paix entre nous apr;s cela. Apr;s tout, un arbre est connu par ses fruits. Si j'ai plusieurs femmes et je pr;te attention pour l'une plus que pour l'autre, c'est moi qui serais coupable du p;ch; ; cause des cons;quences de ;a. N;anmoins, si l'une d'eux commence ; d;tester l'autre malgr; mon attention identique ; l';gard d'elles, puis c'est elle qui serait coupable du p;ch;. Si tout nous aimons l'un l'autre ; trois, m;me ; dix et r;ussirons ; garder la paix entre nous, il n'y aura aucun p;ch;.
          -Mais cela ne sera pas normal.
          -Le pouvoir sovi;tique, est-ce normal? Les guerres, les b;chers d'inquisition, est-ce normal? NKVD, Gestapo - est-ce normal? Toute la chose est dans l'habitude. Tu t'es habitu;e ; r;fl;chir de la mani;re traditionnelle. Tu  ne t'es pas habitu;e ; r;fl;chir librement. Je te dois donner un bon point que malgr; tout tu es plus libre que les habitants de ce village. Mais je vais te faciliter ta t;che. Je ne suis pas Albert. Car Albert est maintenant en train de se laver au bain chez soi. Si je lui ressemble, tu peux m'appeler Albert Deuxi;me.
          -Assez rigoler. Pourtant, m;me Nadia ne me cognera malgr; le fait qu'il faudrait. Je l'appellerai en parlerai de tout. Laisse-la me gronder, laisse-la me consid;rer comme une chienne derni;re. Je ne me disculperai, quoique je sache que l'autre aurait fait le m;me. Apr;s tout, je suis vivante, je ne suis pas de fer.
          -Si tu l'appelles, elle ne sentira ; l';gard de toi ni jalousie, ni col;re mais la compassion comme ; l';gard de l'amie qui s'est devenu folle dans la fleur de l';ge. Son mari maintenant est en train de se laver chez soi dans la salle de bain, - apr;s avoir dit cela, Albert a saut; de la chaise, ouvert la porte d'appartement et ajouta:
          -Good-bye, my love! Maintenant fais un coup de fil et demande Albert, - enfin il ferma la porte, apr;s quoi pouvait-on entendre aux escaliers le bruit des pas ;loignant, mais ce bruit fut vite interrompu.
          Valia ouvrit la porte. Il y avait tel silence aux escaliers, comme s'il n'y avait personne. Elle descendit l'escalier et ouvrit la porte de l'entr;e. Deux vieilles femmes furent debout pr;s de l'entr;e, comme si d;j; longtemps, et elles conversaient de quelque chose de leurs. Elles la regard;rent imm;diatement.
          -Pardon. Un homme en l';ge environ trente ans, est-il sorti de la porte?
          -Non, - r;pondit une interlocutrice, en souriant un peu. - Nous d;j; sommes debout ici une heure et demie.

                Chapitre XIX. Le double imaginaire.
          Valia devina mettre les cl;s dans sa poche et verrouiller la porte de l'appartement. Elle atteignit le troisi;me ;tage, puis jusqu'au palier du grenier. Le grenier fut ferm;. "Comme a-t-il r;ussi ; s';clipser sans bruit comme ;a?" Elle ouvrit la porte de propre appartement avec les cl;s, examina tous les coins et apr;s cela se dirigea au t;l;phone. Apr;s plusieurs tentatives infructueuses et irritantes, elle r;ussit pourtant ; composer le num;ro n;cessaire de Moscou.
          -Bonjour, Nadia, c'est toi?
          -Oui, je suis ici.
          -Tu sais quoi? Un mec qui est ressembl; beaucoup ; ton Albert, il a pass; sous ma fen;tre. Je voulais l'appeler, mais je me suis sentie timide.
          -Mais il est en train de sortir maintenant de la salle de bain. Il y s'allongeait en m;ditant. M;me j'avais peur un peu, comme s'il ne respirait pas, mais j'ai d;cid; de ne pas le d;ranger. Oui, voici est-il. Je te passe lui.
          -Bonjour, Valia. C'est moi, Albert.
          Valia a failli laisser tomber le combin; t;l;phonique. Mais elle se ressaisit rapidement et r;ussit ; prononcer avec une voix s;re:
          -Tr;s bien. Je vois que c'est toi. Pourtant, un type est pass; devant ma fen;tre et je viens de croire, si tu avec Nadia, vous vous ;tes venu chez moi ; deux.
          -;a arrive parfois, des personnes tr;s semblables l'un l'autre, m;me des sosies.
          -Quant ; toi. Y a-t-il parmi ceux qui connais-tu, quelqu'un comme ;a?
          -Je ne tels me souviens pas, je ne sais pas pourquoi. D'ailleurs, pourquoi ;a te trouble?
          -Parce qu'il est ressembl; ; toi et il n';tait pas seul ; la fois, mais avec las salauds locaux. Je les connais tous. Deux d'eux sont lib;r;s de prison r;cemment. Ils peuvent commettre quelque chose de mal et tu deviendrais un des coupables, - Valia mentit.
          -Maintenant, tu peux ;tre s;re. J'ai un alibi, - Albert ;clata de rire, en m;ditant en esprit: "Comme elle ment! Quelle t;che ai-je donn; ; elle! comme une ;quation avec plusieurs variables".
          -Ne t'inqui;te pas. Je vais bien. Je suis chez moi. Je te passe ; Nadia. Conversez.
          Valia changea la conversation de l'autre sujet et les amies conversaient pendant dix minutes encore. Une d'eux sentit une horreur plus en plus.
          Elle ne croyait pas en merveilles. Donc ... Oh mon Dieu! Elle ne sait pas ; qui s'est-elle donn;e! Ce n';tait pas Albert! Bien, s'il a ;t; un coquin ordinaire. N;anmoins, ce type faisait semblant d';tre Albert si habilement, m;me il admettait d';tre imposteur et cela n'a fait qu'augmenter sa confiance en ;norme mensonge. Apr;s tout, qui ;tait-ce?
          Des superstitieuses pens;es furent ajout;es ; sa peur qu'il faillit ;tre le diable soi-m;me qui eut visit;. Les pens;es pareilles envahissaient malgr; la logique et accroissaient sa crainte.
          "Mon Dieu. Qui ;tait-ce?" Valia se souvint avec peur que cet "Albert le Deuxi;me" bien conna;t Albert r;el, il conna;t aussi sa femme, sait qu'ils sont chez soi maintenant et m;me il sait qu'Albert est en train d';tre ; la salle de bain maintenant. C'est donc qu'Albert doit le conna;tre. Il cache quelque chose. Il y a un secret dans tout cela. Peut-;tre, les deux ;pouses savent ce secret, peut-;tre, il est seul. Mais ils ne diront rien. Sveta, cette r;veuse qui ne pense que sur elle-m;me, son amant et son amour, elle ne verrait rien qui se passe sous son nez. Soudain, sa peur superstitieuse commen;a ; transformer en curiosit; du plus haut degr;. C';tait juste une obsession. Il fallait faire un coup de fil ; Moscou de nouveau, rien ; faire.
          Elle composait avec irritation le num;ro ; travers "8" de nouveau, apr;s quoi il y avait toujours "occup;". Enfin, les sons prolong;s retentirent et on r;pondit ; l'autre bout de fil.
          -Valia, est-ce toi? - la voix endormie de Lena dit.
          -Lena, comment as-tu devin;?
          -Le son est comme d'interurbain. Il n'y a personne avec la connexion pareille, sauf toi.
          -Lena, quant ; l'Albert, a-t-il un fr;re jumeau tr;s ressemble ; lui?
          Il y avait du long silence ; l'autre bout de fil.
          -Lena, es-tu en train de m'entendre?
          -Pardon. Une voisine m'a distrait. Elle a sonn; ; la porte. Ils viennent toujours avec toutes sortes de b;tises. Alors, qu'est-ce que tu questionnes?
          -Je parle d'Albert, a-t-il un double qui tr;s ressemble ; lui? Peut-;tre, c'est un fr;re jumeau? M;me la voix co;ncide.
          -Je ne sais rien de pareil. Si je sais, je le dirais ; toi. Et alors?
          -Simplement, un mec est pass; sous ma fen;tre qui ressemble beaucoup ; lui.
          -Mec? Il est pass; sous ta fen;tre? Il ressemble beaucoup ; l'Alik de Nadia? C'est tr;s int;ressant. ;coute, on m'a donn; r;cemment une bouteille du vin cher et bon. Je ne le veux pas boire seule, mais si nous buvons ; quatre, ce ne serait pas assez. Viens demain. Tu me n'as pas visit; longtemps. Nous serons assis, bavarderons ensemble. J'ai un jour de cong; demain. C'est ;gal pour toi o; voyager. Tu d;j; as oubli;, comment est-on en train de travailler.
          -Je travaille mentalement.
          -Je sais, je sais, comment mentalement. Il sera meilleur ; parler de choses pareilles t;te ; t;te, pas par t;l;phone. Tu n'es pas offens;e?
          -Non, tu sais. M;me, je suis heureuse un peu. Au moins, je peux l'admettre. Et toi, peux-toi admettre le m;me?
          On se tut de nouveau ; l'autre bout de fil. Les larmes coulaient des yeux de Lena, dans la gorge le sanglot qui ;tait pr;t ; ;clater, l'emp;chait de parler. Mais on ne le pouvait pas voir ; travers le t;l;phone.
          -Tu sais? - elle r;pondit, en faisant semblant de r;fl;chir profond;ment, - ce ne me venait pas ; l'esprit en avant. Et maintenant, je viens de jeter un coup d';il en moi, et j'y ai trouv; soit une peur, soit un mauvais pressentiment.
          -Moins reste seule chez toi aux jours de cong;. Bien. Je viendrai demain.
          -Viens. Je t'attendrai. Ne mens pas.
          -Est-ce que je te mentais jamais?
          -Non. Mais ton dernier mec peut venir chez toi.
          -Il ne viendra pas. Il est parti hier vers la Turquie pour les marchandises. On ne peut pas achever les choses pareilles pendant un jour.
          -Alors, je suis contente que tu viennes. Au revoir.
          -Au revoir.
          Dans trois jours le soir, l'imaginaire "double d'Albert" apparut de nouveau dans l'appartement de Valia. Elle l'a remarqu;, quand elle s'est pass;e de la cuisine ; la chambre. Il ;tait debout, en souriant.
          -Oh, tu m'as effray;! Comment es-tu entr;? Quel diable es-tu en fait?
          -Ce que je ne suis pas Albert, je t'ai avou; la derni;re fois. Si tu suspectes une magique d;moniaque en moi, tu peux pratiquer n'importe quel rite chr;tien dans ma pr;sence. Je ne ferai que l'accueillir et m;me j'y suis pr;t ; participer. Tu peux me faire le signe de croix, tu peux me donner ; boire l'eau b;nite, mettre des ic;nes autour de moi...
          -Tu es un trompeur, voici qui es-tu. Pourquoi ne veux-tu pas parler sinc;rement que signifie tout ;a? Es-tu son fr;re? ;tes-vous des jumeaux?
          -Laisse-l';tre de telle fa;on.
          -Pourquoi laisser l';tre? Je dois conna;tre la v;rit;! Tu m'as utilis;, mais quel droit avais-tu?
          -J'avais parfaitement le droit. Je le vois maintenant. Parce que tu as senti bien avec moi. Bien jusqu'; tel degr; que tu ;tais pr;te ; le faire malgr; l'amie. Et maintenant il faut r;jouir. Tu peux ;tre heureuse, sans provoquer une jalousie de n'importe qui.
          -Il m'a rendu heureuse! Quel bienfaiteur! Et si j'appelle ; l'aide? Est-ce que tu veux me violer? Tu m'as utilis; une fois, quoique tu n'eusses aucun droit pour ;a. Et tu le veux de nouveau.
          -Appelle-les. Je m'irai sans laisser de trace, et tu auras l'air de sotte. Ce serait la m;me b;tise, comme si crier "au feu!" tandis qu'il n'y a aucun feu. Pourquoi se comporter de la mani;re stupide? Tu n'es pas une de ceux, des habitantes de Zavety Ilyitcha. Tu dois me soumettre.
          Apr;s avoir dit cela, il a saisi le poignet d'elle par deux mains et a ramen; sa main derri;re son dos. Elle se pencha en avant. Il commen;a ; soulever l'ourlet de sa robe et ; l'enlever la culotte. Valia essaya de r;sister, mais il pronon;a de la mani;re mena;ante:
          -Sinon tu rongeras le sol maintenant, il ramena la main d'elle plus haut et elle faillit pousser un cri.
          -Laisse-moi aller, je suis d'accord.
          -N;anmoins, sans b;tises, sinon regretteras.
          Elle commen;a ; d;shabiller compl;tement, en disant:
          -Qu'est-ce que je pourrais faire contre toi, chaud lapin. Est-ce possible de te vaincre?
          -;tre un chaud lapin vaut mieux qu'un impuissant ou ivrogne. ; genoux, ma beaut;! Quelle es-tu belle! Tu es juste mon r;ve.
          En entrant en elle de derri;re, il la tenait par tresse longue et ;tait en train de la tirer vers soi, malgr; le fait qu'elle soi-m;me toute se tortillait, en respirant p;niblement ; cause de la passion, sans ;tre capable de cacher cette circonstance-l;, comme bien sentait-elle avec lui.
          Apr;s qu'ils ont fini et revenu ; la raison, soudain elle le prit dans ses bras et pronon;a avec les larmes aux yeux:
          -Ne fais jamais mal ; moi, tu promets? Je n'aime pas ;a et ;a me blesse.
          -Et tu m'aimeras?
          -Ne vois pas tu?
          -Fera tu b;tises?
          -J'en ne ferai pas. Ce n'est pas b;tises. Je ne sais pas, qui es-tu. M;me je ne sais pas, comment t'appelles-tu. D'o; es-tu venu? D'o; connais-tu ton double Albert?
          -Le nom ne change presque rien, ce n'est qu'une ;tiquette. Tu peux n'importe quelle ;tiquette sur la bouteille, mais le contenu ne changera jamais ; cause de cela. Si tu fais toujours la tentative de d;couvrir un secret, un jour tu finiras par trouver certaines choses, ; cause de quelles fera-t-il mal pour tout le monde, en premier lieu pour toi. D;couvrir le secret n'est pas dangereux pour moi, mais c'est dangereux pour toi et dans une certaine mesure, pour toutes tes amies. Veux-tu apporter un d;sastre pour toi et pour toutes?
          -Peut-;tre, j'avais tort. J'essayerai, comme tu dis, de ne pas faire b;tises. J'en promesse.
          -Puis je ne te ferai jamais mal aussi. Une seule chose, si tu es en train d'aimer, n'aie jamais honte, mais sois fi;re de ;a.
-Je t'aime.
          Apr;s l'avoir prononc;, elle le regarda dans les yeux et il lit dans ses yeux le d;sir et pri;re.
          -Dis que tu as le d;sir de te donner ; moi.
          -J'ai le d;sir de me donner ; toi.
          -Alors lib;rons-nous du v;tement?
          -De quelle fa;on ferons-nous le faire?
          -Nous allons ; inventer.
          Ce jour-l;, ils se sont s;par;s heureux. Albert fit semblant de d;p;cher vers le train local qui en fait devait s'arr;ter bient;t ; la station. N;anmoins il n'atteignit pas le train. En pr;tendant comme s'il va pisser, il traversa les deux voies du chemin de fer et se cacha dans les arbustes. Apr;s avoir ;t; s;r que personne ne le voyait, il t;l;porta imm;diatement chez soi au bain.
          L'amour aux trois beaut;s ne l';puisa pas. Aussi il ne les visitait pas tr;s souvent, en tout cas non chaque jour. Cela ne faisait qu'aidait ; lui ; devenir plus actif et tout son activit; ;tait vis;e aux voyages qui se sont devenu si disponibles maintenant. Il bien connaissait d;j;  une partie de New York et ;tait en train d'apprendre les autres villes des ;tats Unis.
          Le monde entier ;tait ouvert devant lui, tandis que les soucis quotidiens le d;rangeaient de moins en moins. M;me dans Am;rique, les personnes inconnues le consid;raient comme un ;tranger heureux qui est arriv; on ne sait pas d'o; et qui a eu bonne chance de recevoir un gros h;ritage.

                Chapitre XX. Au milieu d'un ciel bleu.
          Le soleil ;tait en train de passer ; travers la constellation de Balance et devait bient;t entrer ; la constellation de Scorpion. L'octobre est comme si divis; en deux parties: ces jours, sa partie d';t; est en train de terminer la partie d'hiver commence. Ces jours, si on se met en marche ; camper de nuit, on peut partir en ;t; et revenir en hiver. Les arbres sont en train d';tre priv;s de sa tenue belle et derni;re et dans un instant, la chute de la neige premi;re peut commencer. Il commence ; assombrir maintenant plus t;t, et la courbe de la statistique criminelle monte brusquement. Une soir;e ensoleill;e mais froide et humide ;tait Albert en train de revenir du magasin avec non grande quantit; de la nourriture. Dieu merci, il y avait tout aux magasins maintenant et il y avait d'argent aussi.
          Comme d'habitude ces derniers temps marchait-il dans la rue, en ;tant joyeux, bien qu'il se f;t critiqu; un peu, car il voyageait beaucoup ; l'Am;rique, mais s'il faisait ; peu pr;s plus chaud dans New York qui est devenu d;j; habitu;, cette diff;rence n';tait pas grande. On pourrait maintenant t;l;porter aux stations baln;aires de M;diterran;en, mais il n'en avait pas encore non seulement des paysages europ;ens dans son imagination ni au Nord ni au Sud, aussi il n'avait encore dans l'imagination ni de Ceylan ni de Kongo, ni m;me de tropiques de l'Am;rique Latine. Gr;ce ; ce que la diff;rence de fuseau horaire n'est pas grande, comme serait-il bien passer la nuit dans la nature en Europe! Densit; de population dans l'Europe est grande et il lisait dans un livre qu'; cause de ;a il faut pr;venir quelqu'un qui est en charge du territoire que vous allez ; passer la nuit l;-bas. Mais il pourrait aller m;me sans formalit; pareille. Si quelqu'un tr;s vigilant le voit, il peut dispara;tre directement devant lui, et m;me il ne rapporterait ; la police, car il ne voudrait pas ;tre consid;r; comme un fou. D'ailleurs, ces nuits innocentes dans la nature seraient consid;r;es par son ;pouse comme plus suspectes que sa "m;ditation" dans la salle de bain qui avait ;t; en fait assez loin d';tre innocente. Malgr; ;a, elle avait tol;r; ces randonn;es en ;t; et m;me parfois rejoignait-elle ; lui.
          Il revenait avec ces pens;es, le soleil rougissait pr;s de l'horizon, et une jeune fille ;tait debout loin devant qu'il ne savait pas pourquoi, il avait d;sir la nommer "fille-automne". Sa coupe de cheveux semblait ; celle de Lena, et la couleur de cheveux la m;me rousse dor;e qui ornait son champ visuel au coucher du soleil, en ajoutant cette couleur d'automne qui ;tait d;j; en p;nurie parmi les arbustes et troncs des arbres rendus nues et orphelins. Les notes nostalgiques se sont mis ; sonner dans l';me ; l';gard de cette amie une des quatre, celle-l; qu'il n'avait pas obtenue. N;anmoins, n'est-ce pas un r;ve? Elle a fait un pas ; lui. Elle regardait toujours ; lui sans ;quivoque. Mon Dieu! C'est Lena. Mais il faut imm;diatement faire semblant de ne savoir rien du harc;lement.
          -Attends, Alik, - il ne savait pas qu'elle ;tait capable de fixer avec d;sir comme ;a. Il ne savait pas qu'elle ;tait capable de bloquer son chemin avec l'insistance comme ;a. - Puis-je te c;liner?
          Apr;s avoir dit cela, elle a pass; des paroles aux actes, sans attendre la permission.
          -On peut, si tu le veux, - Albert r;pondit, en prenant l'air surpris et agr;able. - Mais qu'est-ce qui arriv; ; toi?
          -Pardon moi. J'avais tort. Je suis pr;te ; l'agenouiller devant toi, tu veux? Cette fois-l;, je ne t'attendais pas. Je ne pouvais pas comprendre vite que tu es ma destin;e, mon amour. Je ne me suis remis qu'apr;s, mais c';tait trop tard. Tu ne fais aucune attention ; moi d;s lors. Tu es tr;s offens;?
          -Tu me plais, je ne te refuse pas, mais je ne peux pas comprendre que veux-tu dire. Quand as-tu eu tort ; l';gard de moi? Pour quel p;ch; dois-je te pardonner?
          -Ne fais pas semblant. Je t'ai banni. J'ai mont; contre toi le voisin milicien avec son fr;re. Je veux se racheter ma culpabilit;. Je veux ;tre m;rit;e de ton amour. Invite-moi dans n'importe quel point perdu, y compris ; la for;t, et je te suivrai. Je t'aime, mais je ne l'ai pas compris imm;diatement. Tu aurais raison ; me tuer pour ;a et je ne r;sisterais, parce que la vie sans toi n'est aucune vie. J'ai un pressentiment tr;s mauvais et il serait mieux ; mourir de ta main. Je suis pr;te ; l'accepter tout de toi...
          -N;anmoins, je ne vais pas ; te tuer et ne comprends pas de quoi tu parles. Apparemment, tu es fatigu;e et m;langes un r;ve avec la r;alit;.
          -Laisse l'aller comme ;a. Mais si j'ai vu un r;ve pareil, cela d;voile quelle gredine suis-je. Donc je r;fl;chissais en r;ve comme ;a. Aimes-tu moi-m;me un peu? Tu m'as dit que tu ne me refuse pas et que je te plais - est-ce vrai?
          -Oui, c'est vrai, mais je ne veux pas l'exposer ici. Il n'y aura aucun p;ch; dans notre amour, si tout passe sans mauvaises cons;quences. Personne ne doit se quereller avec personne ; cause de ;a, sans parler de la jalousie, les bagarres et la divorce - c'est ma seule condition. Mais si nous faisons quelque chose de pareil dans ce quartier, Nadia peut le savoir. J'esp;re que tu ne veuilles pas que ton amie souffre de jalousie? Tandis qu'elle ne sait rien, il ne sera pas pire mais mieux pour elle ; cause de mes "adult;res". D'ailleurs, j'aime vous toutes, - ces mots lui ont ;chapp; ; la fin du monologue par inadvertance. Lena ne r;ussit que jeter un coup d';il ; lui, il commen;a ; l'embrasser ses l;vres, sa main libre de sac passa le long de l';pine dorsale d'elle jusqu'au coccyx et il la sentait ; travers le manteau, et il ;tait en train de la serrer dans ses bras.
          -Je peux arriver chez toi maintenant, mais tandis que tu es en train de revenir, tu peux changer tes id;es.
          -Je ne les changerai pas. Quant ; rencontrer chez moi, se serait commod;ment vraiment.
          -Et pourquoi es-tu arriv;e dans notre quartier? Est-ce que tu vas ; venir chez nous ou es-tu d;j; sortie de nous?
          -Je viens d';tre sortie de ta femme.
          -N;anmoins, je suis sorti r;cemment. Est-ce que tu n'as parcouru cette distance qu'; bavarder pendant quelques minutes?
          -C'est toi dont j'ai besoin. Je suis venue chez elle pour avoir un pr;texte pour appara;tre ici. J'ai visit; aussi Sveta. Elle est perturb;e. Tolik est assassin;.
          -Quand?!
          -Hier. Ils l'ont fusill; des pistolets directement dans la rue et ont fui. Nadia raconterait les d;tailles ; toi. De quoi r;fl;chis-tu? Cela ne nous regard certainement pas. Nous exprimerons nos condol;ances ; elle, en ;tant assis et triste, comme il faut...
          -Hum, ;a ne nous regard pas... - pronon;a Albert dans une mani;re pensivement. Il a compris que c'est une vengeance par un menu fretin. Les grands membres du gang furent tu;s par Tch;tch;nes.
          -R;veille-toi enfin! Est-ce comme si "je me suis all; et je ne reviendrai pas bient;t"? - apr;s ces mots, Lena commen;a embracer avec lui, presque en pendant ; lui. Cela le for;a oublier le danger pour une minute. L'amour fut en train de vaincre.
          -Tu vas chez toi maintenant? - il questionna. - Si tu m'aimes comme ;a en fait, j'arriverai chez toi dans trois heures.
          -Je ne te refuserai jamais. Je suis pr;te m;me ; ne pas aller au travail demain. De toute fa;on, ils y payent une mis;re.
          -Ces sacrifices ne serviraient ; rien, - Albert r;pondit et pensa: "Elle commence ; comprendre. Qui a aid; ; elle? Qui? Comment est-il arriv; qu'elle est devenue telle d;sir;e, telle proche? Elle est devenue vraiment diff;rente maintenant!"
          Plus temps ;tait-il debout avec elle ensemble, moins suspectait-il qu'elle fait semblant. Si elle ne fait que faire semblant, cela deviendra clair d;j; aujourd'hui. Il ne pardonnera jamais telle vile blague. Mais son instinct le disait qu'elle veut de la mani;re assez sinc;re se donner ; lui compl;tement.
          -Telles victimes ne serviraient ; rien, - r;p;ta-t-il. Tu me plais depuis longtemps et je ne vais ni te tuer, ni te faire perdre le travail. Simplement, j'arriverai dans trois heures et je veux te voir ob;issante et que tu te me donnes, car tu me plais. Lorsque tu ;tais debout en ;tant en train de m'attendre, j'ai pens;: "Quel genre de fille-automne y a-t-il?" Tu t'int;grais si parfaitement dans ce paysage d'automne ; la couch;e du soleil! Malgr; le fait que je ne suis pas un peintre, c';tait charmant. J'arriverai chez toi. Si c'est une tromperie, je te d;testerai pour toute la vie.
          Elle sourit, lorsqu'elle entendit ces compliments, des ;tincelles malicieuses jaillirent dans ses yeux.
          -Je t'attends. Viens. Je cours au train.
          Elle embrassa ses l;vres et courut, elle regarda en arri;re une fois et cria: "J'attends" et elle continua ; courir. Bient;t le bruit de train s'arr;tant fut entendu. Elle doit r;ussir ; prendre le train ; temps.
          Quand il vient d'entrer chez soi, Nadia fit le savoir la nouvelle, dont il d;j; savait. Sa premi;re pens;e fut de ce qu'elle n'est point pire que Lena et il se rendait compte, si la derni;re ;tait sa femme, il ferait l'adult;re avec Nadia et les autres amies de la m;me mani;re? Chacune d'elles ;tait belle de sa propre fa;on. Elles ne rivalisaient pas entre elles, mais bien se compl;taient et une connexion d'amour seulement avec une d'elles, en excluant compl;tement toutes les autres, bien appauvrirait l'existence. Il ne pouvait qu'; travers toutes elles conna;tre la Beaut; et l'Amour universels.
          N;anmoins, une minute ne vient pas encore de passer, il ;tait forc; de changer le sujet de r;flexion sous la pression d'une r;alit; impitoyable, dont l';pouse vient de parler ; lui. Tolik fut fusill; ouvertement, en plein jour. La rue de la ville Mytichtchi o; cela avait lieu, n';tait ni d;serte ni tr;s anim;e. Les t;moignages ;taient tr;s maigres ; l';gard de l'enqu;te criminelle officielle. Personne ne voulait avoir une connexion avec une autre confrontation sale. D'un autre c;t;, les rumeurs r;pandues dans la ville et un peu hors de la ville, d;crivaient l'incident de la fa;on assez d;taill;e, quoique peut-;tre l'exag;rent. L'histoire du crime compos;e de ces rumeurs ;tait comme ;a:
          Comme si Tolik s';tait venu ; son office dans un ;tat de gueule de bois s;v;re, comme d'habitude derni;rement. Habituellement, dans les cas pareils envoyait-il quelqu'un ses subordonn;s ; l'acheter la bi;re. Mais ce jour sentit-il qu'il fait ;touffant dans l'office et il d;cida de marcher par lui-m;me pour respirer l'air frais qui soulagerait sa condition.
          Il ne r;ussissait qu'un quartier ; passer. Soudain comme de nulle part, trois typez apparurent dans des vestes en cuir qui avaient eu l'air identiques, les maxillaires ;taient couverts par grands collets des pull-overs simples sous les vestes de la mani;re identique, tous ils ;taient avec les cheveux courts. En d;gageant des regards malveillants, par lesquels ils avaient effray; les t;moins en addition, avec les pistolets TT aux mains, ils s';taient approch;s du malheureux homme d'affaires qui avait ;t; pris de court, et avaient ouvert le feu sans discernement. Il n'y avait aucune arme rest;e ; la sc;ne de crime. Le tir mortel ; la t;te n'avait pas eu lieu aussi. G;n;ralement, les tireurs s'av;rent ineptes, car malgr; la grande quantit; des balles tir;es, il n'y avait eu point des tirs mortels. La victime ;tait morte ; cause de la grande perte de sang et aussi parce que l'ambulance n'est pas arriv;e au temps. Si cela ne regardait pas Albert, on pourrait ne pas r;fl;chir sur le cas du tout. Mais si ;a le concerne, c'est quoi alors? Bien sur, c'est une vengeance des salauds maladroits qui ont perdu ces places bien r;mun;r;es sous la protection du gredin Colonel. Il y avait beaucoup d'eux qui avaient ;t; debout pr;s de la cl;ture d'usine dans celle-l; terrible vid;ocassette. Apr;s la perte du chef, chacun d'eux partit de son propre c;t;. Les autres qui avaient r;ussi ; survivre apr;s ces events-l;, ils s'av;r;rent plus chanceux ou moins vindicatifs.
          N;anmoins, d'o; pouvaient-ils ;a conna;tre? M;me si le vieillard Paul serait vivant, m;me s'il s'av;rait un g;nie du mal qui faisait semblant d';tre un Angel, malgr; tout il ne le trahirait ; une simple raison. Ses actions ;taient toujours coh;rentes et bien explicables. Il ne d;truirait personne qu'il avait enseign; avec des difficult;s, parce que sinon il enterrait la t;l;portation avec lui. La version des tortures est exclue compl;tement, car il t;l;porterait de n'importe quelle chaise de torture. L'homme poss;dant les capacit;s pareilles ne pourrait ;tre tu; qu'; l'aide d'un tir soudain de la distance courte. Il y avait une version encore de la prise Olesya en otage, mais apr;s avoir r;fl;chi un peu, Albert l'a exclu aussi, s'en rendant compte que cs serait un miracle. ; deviner que le vieillard a telle ch;re maitresse, ; pr;ciser les lointaines coordonn;es d'elle, cette t;che ne serait que pour les clairvoyants c;l;bres comme Messing ou Vanga. Aussi Albert savait que lui-m;me et Olesya ;taient ;gaux pour Paul et aucun accord ; "l';change" n'aurait ;t; possible. Et enfin, de quelle fa;on auraient-ils ;t; inform;s sur le vieillard avant que sur lui-m;me? Il n'y avait que les trois hommes avaient eu connaissance de la transmission de l’information: le vieillard, lui-m;me et Tolik. Comme parlait Sveta de ;a, le dernier buvait et parlait trop avec son "toit" constamment. C'est plusieurs personnes. Tout est clair! Imb;cile! Il bavardait afin qu'on le tue. Si c'est comme ;a, il a expos; non seulement soi-m;me, mais lui aussi. Donc ils savent que Tolik a donn; lui une information et que lui-m;me a transmis cette information quelque part ; l'une "incertitude" et apr;s cela les vengeurs tch;tch;nes ont apparu de cette "incertitude" qui ont g;ch; tout pour eux et disparu, s'en dispersant aux montagnes, o; c'est possible que ni KGB ni CIA ne les puissent trouver.
          "Alors je suis le dernier lien dans la cha;ne pour eux, mais ils ne savent rien de la t;l;portation et ils sont des tireurs ineptes, ils ne r;ussiraient qu'; blesser. S'ils avaient un fusil de sniper, Tolik aurait ;t; fusill; ; l'aide de lui. Malgr; tout, maintenant il ne faut laisser trouver aucune tache blanche autour de moi, aucune "incertitude", au moins, plus proche que vingt m;tres. Il serait bien de renseigner tout sur eux, leurs adresses du domicile, ; voler leurs armes. Nadia doit ;tre prot;g;e qu'elle deviendrait ; l'abri fiable des attaques ou de l'enl;vement. Il faut le faire dans les jours ; venir. Non. Dans les heures ; venir".
          Le mode op;ratoire des criminels le consolait un peu. Il est clair de tout qu'ils pr;f;rent agir sans compliquer l'op;ration. Il est beaucoup plus simple pour eux de vider toute la cartouche sur lui directement dans la rue, au lieu de p;n;trer ; l'appartement, de maltraiter les proches, prendre des otages, etc. N;anmoins, il faut les assurer malgr; tout. Si ses proches deviennent des victimes, il est peu probable qu'il puisse jamais pardonner lui-m;me pour ;a. Et il est particuli;rement dangereux pour eux, si les bandits ne r;ussissent pas ; fusiller lui dans la rue. Quant ; la tentative pareille, elle n'avait pas lieu encore. Il a promis ; Lena d'arriver dans trois heures. Quarante minutes d;j; se sont pass;es. Quels sentiments a-t-elle ;veill; en lui! Il ne voudrait ni manquer l'opportunit;, ni duper Lena. Puis, tout ; coup il s’est rappel; qu'il peut t;l;porter chez soi toutes les cinq minutes, m;me se sortir de la salle de bain tout nu et demander, si tout va bien.
          ; l'heure pr;vue, Albert a l'apparu aux escaliers d'immeuble de jeune femme qui va devenir d;j; la quatri;me maitresse. Ici ; Moscou, o; il s'est trouv; apr;s avoir saut; instantan;ment la distance de trente kilom;tres, il se sentait parfaitement en s;curit;. Personne n'y fusillera sur lui, et quant ; ceux-l; voisins, ils ne sont pas plus dangereux qu'une vip;re qui rampe et siffle plusieurs m;tres de lui. Personne ne fusillait sur lui en fait et il n'y avait pas autour lui des voisins emb;tants. Il ne remarqua pas que deux paires des yeux un ;tage au-dessus ;taient en train d'observer avec attention son apparition de rien. Propri;taires de ces regards indiscrets n'exposaient pas des ;motions, mais ils se comportaient de la mani;re sobre et rationnelle, comme des matures savants au laboratoire. Albert sonna. Lena toute joyeuse ouvrit la porte. "Les yeux" n'avaient rien de contre.

                Chapitre XXI. Tu es suivi.
          -Mon amour, tu es venu! J';tais en train de t'attendre. Que ce soir soit le n;tre. Combien de temps peux-tu ;tre chez moi?
          -Deux heures, en dernier recours trois.
          -C'est insuffisamment, mais peu importe. Car nous ne rencontrons pas en derni;re fois. Tu peux voir que je n'ai pas te dup;. Pas de voisins, pas de bagarres. Je ne suis plus une prude stupide. Veux-tu que je sois ; l';gard de tu une fille courage, coquine et disponible?
          Les mots derniers qui furent prononc;s dans le contexte d'excitation augmentante, ils viennent d'amener son obsession passionn;e jusqu'; limite possible. Il ne sauta sur Lena comme un tigre sur sa proie qu'en raison de prolonger le plaisir. Il s'assit sur le divan et ordonna:
          -Viens vers moi, fille.
          Lena vint de la mani;re ob;issante. Il mit la main sous la jupe et commen;a ; tripoter les plus intimes parties. Lena commen;a ; respirer avec force, ferma fort les yeux. Il n'y avait ni culottes ni maillot sous la jupe. On pouvait voir qu'elle s'est pr;par; pour la rencontre. Elle le laissa en fait faire tout, en appuyant ses paroles de sa disponibilit; de par des actes.
          Soudain, elle sourit et le pointa du doigt de la mani;re badine et dit:
          -Quelle personne espi;gle tu es! Tu es venu dans le m;me pyjama et ; la fois es-tu en train de nier que se soit tu qui ;tait venu chez moi la derni;re fois. Tu fais semblant de ne savoir ce, dont je parle. C';tait toi. Personne que toi. J'en ne doutais pas.
          -M;me si comme ;a, quel est probl;me? - Albert pronon;a pas en disant mais en chantant ces mots d'Herman de la septi;me sc;ne de "La dame de pique".
          -Tu sais qu'on peut recevoir le plaisir de cette affaire dix fois plus que d'habitude? Mais la plupart des gens ne le savent pas. Leur fantasme est mal d;velopp;. Si quelque chose de pareil est venu en leur esprit, cela ne resterait rien de plus qu'un fantasme. Tu peux faire avec moi tout que te pla;t. Apr;s tout, je suis ta d;bitrice, c'est pourquoi je te permets tout et je tol;rerai tout sans offense.
          Elle commen;a ; d;shabiller avec ces mots et dans une minute, elle ;tait en train d';tre debout devait lui toute nue.
          Albert se souvint Sveta. Il sortit une cigarette de la poche et l'alluma. Sans interrompre le regard fix; sur la jeune fille rousse et nue qui ;tait debout devant lui, il pronon;a:
          -Je veux ;teindre la cigarette ; l'aide de tes fesses.
          Lena p;lit mais dit:
          -Je ne dois pas refuser tes d;sirs, - apr;s avoir le dit, elle ouvrit la petite porte de l'armoire et sortit un tissu blanc et pur. - Fais un b;illon le mets me dans la bouche, car je peux crier si ne je ne le supporte pas.
          La main tendue avec le tissu tremblait violemment. Albert comprit qu'elle n'est pas une masochiste, mais essaye d';tre ; son go;t.
          -J'ai chang; d'avis. Je n'aime pas causer une douleur aux filles.
          -Tu me testes?
          -Masturbe-toi devant moi jusqu'au premier orgasme.
          Lena jeta ; c;t; le tissu commen;a ; travailler par doigts dans l'entrejambe. Elle g;mit voluptueusement bient;t, s'en tortillant et en mettant la t;te en arri;re.
          -Dis-moi, comment tu voudrais? - elle dit enfin. - Je veux que tu sentes bien avec moi et je suis pr;te d'accepter tout, tu le sais.
          Soudain, Albert se revint les mots qui l'ont excit; et il les r;p;ta ; elle:
          -Je veux que tu sois avec moi une fille courage, coquine et disponible.
          Sans ;tre timide, elle vint, saisit l'objet de la passion de lui, s'assit sur lui et commen;a ; rebondir.
          -Est-ce que je ne suis pas courage? Est-ce que je ne suis pas une coquine? Est-ce que je ne suis pas disponible? - elle r;p;tait ; travers de la dyspn;e. - Ah!
          Les deux sont gel;s dans une position et il leur para;t aux deux qu'ils s'av;r;rent dans autre dimension. Le monde terrestre est devenu le paradis.
          Albert a ;t; chez elle moins que trois heures, mais il a r;ussi ; connecter avec elle trois fois pendant ce temps. Lena ;tait belle et exceptionnelle ; sa propre mani;re.
          -Je te voudrais demander d'une faveur, - il dit ; elle un peu avant de s'en aller. Il a d;j; r;ussi ; "rentrer" chez lui cinq fois de la mani;re imperceptible et secr;te. - Laisse Nadia habiter chez toi plusieurs jours. Cela me serait plus calme. Un jour je te raconterai, pourquoi j'ai besoin de ;a.
          Il fut assez surpris, en voyant qu'elle est contente de la proposition pareille.
          -Vous pouvez arriver m;me demain. Bien.
          -Elle viendra demain. Je ne viendrai qu'; l'accompagner.
          Cette nuit, son ;pouse constata en esprit de nouveau qu'elle fut sentie avec le mari plus agr;able que d'habitude. Et aussi il lui-m;me fut plus heureux et plus joyeux que toujours. Et elle ;tait beaucoup surprise, quand Albert donna la nouvelle ; elle que le meurtre de Tolik, dont elle avait appris de Lena, peut leur regarder jusqu'; tel degr; que continuer ; vivre chez soi peut ;tre dangereux m;me pour elle.
          -Laissera Lena m'y habiter? Je ne la demandais jamais. ;a ne m'est pas venu ; l'esprit que ce cas peut nous concerner de quelqu'une mani;re.
          Au lieu de r;pondre, Albert se leva et composa le num;ro. Il ;tait pr;s de trois heures du matin, c'est pourquoi une dizaine de longs bips furent sonn;s avant que Lena vint au t;l;phone.
          -Pardon me que la nuit. Ici Alik. Te souviens-tu hier quand je suis all; ; la boutique et je t'ai rencontr; quand tu ;tais en train de revenir de nous? Je t'ai dit que ce soit bien si on habite plusieurs jours chez toi et tu ;tais d'accord. Confirme-le ; elle, car elle doute. Je te la passe, - apr;s avoir le dit, Albert a pass; sa femme. Les amies ont bavard; un peu. 
          -Bien, Lena. D'accord. Nous arriverons demain ; onze heures. Au revoir.
          Albert avait peur un peu que Lena parle quelque chose de la date d'aujourd'hui ou fasse une allusion, mais Nadezhda ne montrait des signes ni de jalousie ni de m;fiance apr;s cette conversation. Au lieu de cela, il y avait un sentiment d'alarme ; cause d'Albert qui resterait chez soi et il ne pouvait pas en aucune fa;on expliquer ; elle que c'est au moins cent fois plus s;r pour lui que pour elle. Parler de la t;l;portation serait simplement inadmissible.
          Ils r;gl;rent le r;veil ; huit heures, se r;veill;rent ; temps et prirent un petit d;jeuner. Albert d;cida ; l'accompagner jusqu'; l'appartement de Lena pour ;tre calme apr;s. ; neuf heures du matin, ils se mirent en marche, mais quand ils vinrent de sortir de l'entr;e d'immeuble, deux hommes en civil ont bloqu; leur chemin. Et quelque chose de police pouvait-on sentir de toute une apparence d'eux. Albert ;tait en train de marcher en premier pour de ne pas exposer l';pouse sous un tir probable. Et sauf ces deux qui demand;rent ; montrer les papiers d'une mani;re polie mais fortement, plus loin pouvait-on voir une dizaine des hommes dans l'uniforme de camouflage tachet; et  les masques noirs. Trois types dans les vestes de cuir ;taient allong;s sur l'asphalte, les mains derri;re les dos, et les hommes ;taient en train de menotter ces types ; cet instant. Les armes automatiques ;taient point;es du haut dans leur direction pour l'assurance. Un peu plus loin y avait-il un "Corbeau noir" (On nomme comme ;a dans la Russie les autos dans lesquels on transporte des d;tenus). Albert, en ;tant s;r que ce soit l'OMON, il ne fit aucune attention ; ce que f;t ;crit sur les certificats des personnes en civil. Ils comprirent cela. Observant ce qu'avait lieu dans la cour, Albert ne remarqua qu'apr;s avoir ouvert seulement la premi;re page du passeport, l'agent jeta ; lui un regard fix;, en examinant lui avec une grande curiosit;, comme ; un objet tr;s int;ressant pour leur service qui soudain est tomb; sous les yeux, et il avait dans ce regard quelque chose de pr;dateur et m;prisant ; la fois. Aussi Albert ne vit pas que le deuxi;me agent poussa l;g;rement le premier dans le dos et seulement apr;s cela le deuxi;me agent tourna son regard au passeport de nouveau, le ferma, dit s;chement: ""Pardon" et rendit le passeport ; son possesseur. Quoique Albert ne f;t pas tr;s ;tourdi, mais maintenant il constata avec grand surpris ce qu'il resta sans attention dans le premier instant. C';tait une inscription "pain" sur l'auto qu'il fut consid;r; comme le "corbeau noir". Et cet ;trange moyen de transport diff;rait assez peu d'un camion de pain ordinaire. Les d;tenus apr;s les avoir fouill;s s'ils auraient des armes, menott;s et sous les armes automatiques ;taient mis dans ce camion. C';tait le matin du dimanche, et il y avait peu de monde dans la rue. Les passants n';taient pas laiss;s s'approcher de tout ;a.
          -Passez, citoyens. Ce n'est pas un cin;ma pour vous! - Albert i Nadezhda, ils entendirent ; leur endroit. - C'est la d;tention ordinaire des criminels. Rien d'int;ressant.
          Ils s'all;rent. Le dimanche et une petite quantit; du monde dans la rue, tout ;a fut favorable ; eux. D'abord, ils arr;t;rent une voiture priv;e, en levant la main, puis ils arr;t;rent un taxi d;j; ; Moscou. Gr;ce aux rues d;sertes, il fut facile de se convaincre qu'il n'y eut aucune surveillance.
          ; ce moment-l;, le camion "de pain", dont nous connaissons d;j;, il fut en train de se pr;cipiter le long de rues de Moscou, s'en approchant du centre. Une demi-heure ne passa pas encore, tandis que la garde menait les types d;tenus de la voiture jusqu'aux portes massives, ils ont r;ussi ; se rendre compte que c'est la Loubyanka, c'est-;-dire, l'immeuble de KGB, o; on les a emmen;s.
          Apr;s les avoir amen;s ; l'immeuble et avoir ;chang; quelques mots avec la garde locale, on les menait le long de couloirs complexes et enfin on les simplement poussa dans une porte avec une inscription assez ;trange pour leur situation, c'est-;-dire, "salle de cin;ma". "OMON" resta dans le couloir et deux hommes en civil qui les accompagnaient, sont entr;s apr;s eux et ont propos; de s'asseoir sur un banc.
          -Maintenant gar;ons, nous allons ; montrer vous un film tr;s int;ressant, et vous le regarderez. Nous ne vous conseillons pas de faire des b;tises, mais nous le disons au cas o;. Nous croyons que vous n';tes pas stupides jusqu'; tel degr;.
          Les d;tenus virent sur l';cran la rue de la ville Mytichtchi bien connue ; eux. Mais aussit;t qu'ils viennent de voir leur victime, cet homme sain et sauf encore qui avait ;t; all; le long de la rue, ils ont p;li imm;diatement tous les trois et il y avait la raison de ;a.  Quand ils ont vu eux-m;mes approchants de leur victime de trois c;t;s avec les pistolets aux mains, leurs genoux et mains trembl;rent. Ils essayaient de ne pas montrer leur peur par apparence, n;anmoins, un d'eux qui ne pouvait pas cacher son visage dans ses mains ; cause des menottes, il se plia le visage contre sol et ferma les yeux.
          Un des gens en civil appuya sur un bouton et une image fut fix;e sur l';cran, o; leur victime, Tolik d;j; est tout ensanglant;e s'allongeait sur l'asphalte.
          Les ma;tres des destin;es de ces assassins ne s'av;rent pas sans humour.
          -Maintenant, gar;ons, dites nous, comment peut-on nommer ce que nous venons de voir sur l';cran? - questionna un agent avec accent sur le mot "nommer". Soyez plus courageux! Voil; quels cools ;tes-vous sur l';cran, mais maintenant avez cach; vos langues dans les culs? Parlez donc, sinon nous nous offenserons, et il est tr;s d;favorable dans votre situation, si nous nous offenserons. C'est toi qui as failli ramper sous le banc, comment on nomme ce que nous avons vu dans le film? R;ponds me vite, sans tirer le chat par les couilles!
          -On le nomme un meurtre. - le type ; qui la question fut pos;e pronon;a ; peine audible apr;s avoir pris la position ancienne, mais il continuait encore ; regarder au sol.
          -Correctement! C'est un meurtre! avec la voix joyeuse confirma l'agent. Du c;t;, il eut l'air comme un professeur dans l';cole qui vient d'expliquer un th;me int;ressant et apr;s avoir questionn; quelqu'un du th;me, comme s'il vient de recevoir une r;ponse correcte. - Et quant au meurtre, chers gar;ons, on emprisonne pour lui. Et vous ne pourriez jamais vous d;barrasser de ;a, si c'est nous qui exigeons qu'on vous condamne. Dans quelle ann;e seriez-vous laiss;s aller, vous-m;mes pouvez le calculer. Mais croyez-moi. Le plus chanceux de vous, il ne sera sorti que dans huit ans. N;anmoins, si l'on consid;rait ...
          -Pardon, - le type qui ;tait plus courage l'interrompit. Pourquoi c'est KGB qui m;ne cette affaire au lieu de la police criminelle? Apr;s tout, c'est une affaire criminelle.
          -Premi;rement, ce n'est pas KGB, mais FSB. Deuxi;mement, je viens de vouloir le dire, mais vous m'avez interrompu. Allons regarder la suite du film.
          La victime tu;e sous la grande quantit; des balles fut sur l';cran plusieurs secondes encore et disparut.
          -Maintenant, c'est la deuxi;me s;rie du film. Nous la venons de recevoir.
          La "deuxi;me s;rie" ;tait sonore. Les trois d;tenus sont apparus de nouveau sur l';cran. Ils conspiraient et attribuaient des r;les, discutaient mais pas longtemps, apr;s quoi, la sc;ne de leur d;tention suivit. La porte de l'entr;e de l'immeuble s'ouvrit, un homme est sorti et s'est approch; imm;diatement, en occupant toute l'image et une belle femme sortait derri;re lui. La v;rification de document de l'homme suivit, il l;ve les yeux et il para;t qu'il est en train de regarder directement ici, c'est-;-dire, ; la salle de cin;ma. La "pause" est appuy;e de nouveau.
          -L'app;tit vient en mangeant, n'est-ce pas? Un meurtre n'est pas assez et vous vouliez un de plus? Mais cette fois vous ;tes ;chou;s. Voulez-vous sortir libres?
          Silence.
          -Voulez-vous sortir libres? Il semble que se soit vous ; qui je demande.
          -Est-ce possible? - un d'eux questionna.
          -C'est aussi possible que nous vous remettions aux flics maintenant, non dans cette ville, mais ; ceux qui sont subordonn;s ; l'administration r;gionale. Alors, ils vous mettront dans la cellule de d;tention provisoire locale et apr;s cela ; la prison Butyrskaya de Moscou. D'ailleurs, il y a un petit espoir, mais vous devez ;tre tr;s sinc;res avec nous. Pourquoi avez-vous tu; le premier?
          -; cause de lui, notre protecteur ;tait tu;, avec qui notre vie ;tait mieux. Je crois que les d;tailles ne soient int;ressants pour vous.
          -Pourquoi vous alliez ; tuer le deuxi;me?
          -Ils sont deux sont coupables dans cette affaire. Le premier a recueilli le linge sale contre notre chef et il l'a donn; au deuxi;me. Le deuxi;me l'a donn; quelque part ailleurs.
          -O;? - maintenant deux agents d;j; s'approch;rent d'eux et regardaient dans les yeux de chaque d'eux. Sans l'habitude, c';tait difficile d'endurer les regards comme ;a et ils tournaient au c;t; contre leur volont;. Enfin, un d'eux comprit:
          -Nous d;couvrirons. Si vous en avez besoin, nous le d;couvrirons. Apr;s tout, vous n'allez pas nous faire de trahir nos amis, car nos amis ne peuvent pas ;tre vos clients. Ces pigeons ne sont pas les n;tres, c'est pourquoi si on donne l'information sur eux, ;a ne serait rien de mauvaise chose. Si vous avez besoin, nous vous aiderons, n;anmoins, de quelle mani;re pourrions-nous le faire en Boutyrka prison?
          -Savez-vous, pourquoi votre victime est morte?
          -L'ambulance est arriv;e tr;s tard. Il a perdu beaucoup de sang.
          -Pas exactement.
          -Est-ce parce que nous l'avons tu;?
          -Je ne le doute point, mais ce n'est pas principal.
          -Il parlait trop, quand il ;tait en train de so;ler avec les types de son toit.
          -Est-ce que vous vous rendez compte quoi peut passer, si nous vous laissons aller et vous parlerez trop? Cette affaire est beaucoup plus s;rieuse que vous croyez.
          -Nous vous pouvons aider.
          -Merci. Une fois vous nous avez failli "aider". Vous n';tes pas des professionnels et avez tort, si croyez comme si nous recrutons de vous des mouchards. Quant aux flics, peut-;tre pourriez-vous ;tre utiles pour eux. M;me vous n'avez pas compris encore, pourquoi ;tes-vous ici. Nous connaissons la premi;re votre victime, c'est le premier maillon de cha;ne. Ce qu'on peut voir sur l';cran, c'est le deuxi;me maillon de cha;ne. Mais ce qu'il y a ensuite, m;me nous ne le savons pas encore. Et vous avez failli d;truire ce deuxi;me maillon de cha;ne, vous avez failli ab;mer tout, dont nous avons besoin. Est-ce que vous croyez, comme si nous avons besoin de travailler avec vous, de vous emprisonner et prendre les probl;mes des flics?
          -Ils ont tout compris, - le deuxi;me agent a interrompu.
          -C'est, - continua le premier, en montrant sue l';cran - notre objet. Nous travaillons avec lui. Et voil; avez-vous interf;r; ; cause de vos chamailleries. Nous n'allons pas ; rapporter ; vous, pourquoi avons-nous besoin de lui. Et il ne nous faut pas aider, car nous pouvons le g;rer nous-m;mes.
          -Nous ne le savions pas. Est-ce que nous oserions interf;rer?
          -Vous nous emp;cheriez beaucoup, m;me si vous l'observez de loin. N'osez pas m;me penser sur lui! Vous avez tu; l'un d'eux et vous n';tes pas satisfaits? N;anmoins, dans ce cas vous serez forc;s de faire d'exception. Maintenant tous vous ;tes en ;tat de d;pendance de nous. Si quelque chose ne va pas, nous vous donnerons aux flics, avec l'information sur vous, quels "bons" vous ;tes.
          -Est-ce que vous nous laissez aller?
          -Oui. N;anmoins, ce serait tr;s t;t d';tre content. Bient;t, vous serez emprisonn;s pour longtemps.
          -Pourquoi? Est-ce que vous ne nous laissez aller que temporairement? Parce que si quelqu'un de vous so;le et parle trop, vous tous trois serez emprisonn;s.
          -Non. Nous nous tairons comme les poissons. Et laisse mourir celui qui bavarde. Nous-m;mes... - en train de parler, il vient de faillir dire "tuerons", mais s'arr;ta ; temps. - Et nous ne sommes pas des bavards comme ;a. Nous savons qu'en parlant trop, on peut rester sans t;te. Ainsi, nous avons certaines habitudes utiles et savons quelque chose.
          -Est-ce possible que quelqu'un sauf vous, sans se rendre compte, il s'approche de notre objet avec un couteau ou avec un pistolet, ou avec quelque chose de pareil? - l'agent qui ;tait plus ;g;, a questionn;.
          -Non. Ce fil ne m;ne nulle part sauf nous. Seulement ; travers le premier maillon de cha;ne.
          -; travers celui que vous avez tu;?
          Le bandit hocha la t;te au lieu de r;ponse.
          -Maintenant, vous ;tes assign;s la responsabilit; de la s;curit; de l'objet. Nous ne plaisantons pas.
          -Et quoi si quelqu'un d'un maillon sup;rieur l'attaque, dont personne ne sait pas, ni nous, ni vous?
          -Nous le distinguerons imm;diatement. Vous ne r;pondez pas de celle-l; direction. Mais vous ;tes responsables de tous ceux, avec qui votre "ami" d;c;d; so;lait et bavardait. Savez-vous tous d'eux?
          -Oui, tous. Et des visiteurs n'ont pas besoin de votre objet.
          -Je ne parle pas des visiteurs. Tu te rends compte assez bien qu'il s'agit des serviles de soi-disant Colonel qui est mort maintenant.
          -Je connais tous d'eux. Personne sauf nous ne le ferait. Vous pouvez voir jusqu'; quel degr; sommes-nous sinc;res avec vous. Si quelqu'un decide d'attaquer ce nerd, nous le saurons tout de suite et nous le r;glerons d'une mani;re ou d'une autre.
          -Nous esp;rons. Sinon nous vous ne laisserions pas aller. - Apr;s ce dire, l'homme en civil sortit de l'armoire un petit sac noir, puis il s'approcha de la porte et appela deux gardes en camouflage sans insignes.
          -Lib;rez eux des menottes, et quant ; vous, d;finissez, quelle chose est la v;tre.
          -Ils nous ont retourn; m;me les pistolets, - un d'eux informa ses complices avec joie mais en chuchotant.
          -Nous n'avons enlev; rien de v;tre et ne vous avons pas d;tenu. Oubliez ;a, - dit l'agent qui ;tait plus ;g;, en souriant avec d;rision. - C'est simplement. Pour de n';tre pas emprisonn; pendant tr;s longtemps, il faut se comporter tr;s bien, et j'esp;re que vous sachiez de quelle mani;re. Si vous ne l'avez pas compris encore, votre carri;re sera finie par cela. Accompagnez eux jusqu'; la sortie, sinon ils se perdront, - termina-t-il son discours, en s'adressant aux gardes.
          -Au revoir. Merci ; vous.
          -Pas de quoi. Il serait mieux pour vous - adieu pour toujours, - puis il ajouta tranquillement ; lui-m;me apr;s leur d;part: pour nous cela sera mieux aussi.
          ; ce moment-l;, Albert avec sa femme, en traversant la partie de Moscou qui n';tait pas encore construite dans la voiture, demanda le chauffeur d'arr;ter au terrain d;gag;, o; la route fut bien visible de loin et les voitures passaient assez rarement. Cette partie de la nature qui n';tait pas encore touch;e, mais assi;g; de tous c;t;s par l';norme cit;, attendait l'ex;cution des peines des cr;ateurs urbains: d';tre ray;e de la carte et asphalt;e et p;n;tr;e par les r;seaux enterr;s, trou;e par les fondations des bo;tes ; plusieurs ;tages. Tandis qu'elle restait comme une oasis dans le d;sert, les champs ennuyeux, quoiqu'ils fussent comme ;a, mais ils faisaient plaisir aux voir, et dans le contexte d'une fourmili;re humaine ; plusieurs millions, ces champs laissaient obtenir un peu d'intimit; et reposer l';me.
          Nadia d;j; commen;ait ; murmurer ; cause d'ils sont en train d'aller toujours et n'arrivent pas encore.
          -Rends-toi compte enfin, je t'ai amen; ici pas pour te d;tendre. Il y a des endroits bien meilleurs ; se reposer. Simplement, je veux diminuer la probabilit; d';tre suivis. ; la diminuer jusqu'; la limite possible, peux-tu le comprendre? - Albert se justifiait. Et malgr; le m;contentement exprim; par l';pouse, il attendait pendant presque une heure, comme il avait projet;. Apr;s cela, il arr;ta une voiture qui allait dans la direction oppos;e, mais le chauffeur pour un bon prix accepta-t-il de revenir et il les livra directement ; l'entr;e. Nadezhda ;tait surprise. Quoiqu'il e;t peur d';tre suivi, et ; la fois planifiait-il de rendre visite ici souvent.
          Lena ouvrit la porte pour eux vite. Son comportement ; l';gard d'Albert ne distingua en rien de l'habituel. Il a compris qu'elle ne parlerait trop selon toute probabilit; et il n'a pas eu tort. Tous trois ;taient assis ; la table pendant pr;s de quarante minutes. En connaissant les coutumes des invit;s, Lena fit du th; fort pour eux. Enfin Albert promit d'arriver demain le soir, y compris, il dit qu'il prendrait maintenant le m;tro et irait ; pied jusqu'; la station pr;s de trente minutes ; se promener. Apr;s avoir tourn; le coin dans l'un des cours, il entra dans la premi;re entr;e vue, et apr;s s'assurer que personne n';tait autour lui, il t;l;porta directement chez soi.
          Albert remarqua assez vite que la tasse du th; qui n';tait pas bue jusqu'au bout, ;tait sous la table. Il la toucha. Le th; ;tait encore chaud. Un reflet de joie lui vint ; l'esprit. Il sortit le troisi;me volume du "Tantra" presque imm;diatement et ouvrit la page 343. Une note ;tait mise l;-bas:
          "Tu as fait une erreur et tu es suivi. Il nous faut rencontrer ; New York le 2... octobre, 18 heures, heure de Moscou, aussi 10 heures, heure de New York, au coin de Broadway et N avenue. Si tu ne peux pas venir ; temps, attends le prochain message. La carte de New York est mis dans le livre "A;rodynamique". D;truis cette note imm;diatement. Ton ami qui est sain et sauf. Tu le dois deviner".
          2... octobre ;tait aujourd'hui. C';tait midi. Il restait six heures jusqu'; la rencontre. Il n'existe pas avion qui le pourrait rattraper. Albert br;la la note sur la cuisini;re ; gaz. Le reste carbonis; il frotta au-dessus des toilettes, tira la chasse d'eau et lava les mains. Dans six heures il rencontrera l'ami qu'il consid;rait comme p;ri.