Chapitres viii-xiv. la teleportation. partie i

Áîðèñ Àðòàìîíîâ
             Chapitre VIII. La technique de s;curit;.
          Apr;s avoir pens; un peu, le vieillard Paul continuait:
          -Donc, ;coute- moi. Je vais ; commencer par les choses secondaires. En poss;dant une capacit; comme ;a, il est n;cessaire d';viter de se saouler ou se droguer de n'importe quelle autre mani;re. C'est ce qui m'est arriv; une fois r;cemment. Tout s'est bien termin;, sinon je ne serais assis maintenant devant toi.
          Il m'est arriv; de visiter le Kamtchatka dans la jeunesse. J'ai visit; plusieurs volcans dans l';poque-l;, y compris l'Avachinsky qui est situ; relativement pr;s de la ville Petropavlovsk-kamchatsky. Certains d'entre eux ;taient en condition active mais pas fortement. Je me le rappelle comme maintenant, un mur vertical m'a fait une impression ind;l;bile. J';tais debout en haut. Il faisait le cr;puscule du soir, contre lequel avait la lave qui bouillonnait en bas, l'air relativement brillant, et une forte chaleur venait de l;. C';tait terrifiant et amusant ; la fois. La beaut; d'enfer. Un genre de la sensation sublime qu'il est difficile de l'expliquer. Et il m'est arriv; de me saouler il y a deux ans en ;t;. J'ai senti que j'ai pris trop, n;anmoins je ne suis pas d;j; un gar;on; le c;ur peut marcher d'une fa;on incorrecte ou quelque chose encore qui est important pour la vie. Je me suis le rendu compte de ;a ; travers l'enivrement, mais c';tait bien qu'il faisait temps d';t;. J'ai d;cid; d'aller ; la ta;ga ; passer la nuit en plein air. C'est moins nocif que dormir so;l dans la chambre, m;me si elle est bien ventil;e. J'ai pris avec moi la boussole, les allumettes au cas o;, m;me je n'ai pas oubli; le rem;de contre les mosquitos. Apr;s ;tre pass; plus profond;ment dans la for;t ; peu pr;s deux kilom;tres, je m'ai tartin; avec le rem;de et me suis allong; sous le sapin. Et je me rappelais dans le m;me temps la jeunesse, les voyages. "Maintenant je vais ; dormir un peu, - je pensais, - puis voyagerai n'importe o;. Il faut plus souvent utiliser les cadeaux que Dieu a donn;s". Je me suis r;veill;. La nuit. Je suis so;l encore. Et cela s'est produit soudain instantan;ment, automatiquement, sans concentration ni m;ditation. Il y avait un casual mouvement et soudain il avait fait la journ;e ensoleill;e et la chaleur comme au sauna. Je suis debout sur la corniche ;troite du m;me mur vertical, il y a l'ab;me sous moi, la lave en bas et les fum;es sulfureuses m'atteignent. Il faudrait me concentrer et retourner. Mais au lieu de ;a, apr;s avoir vu qu'il y avait beaucoup de rebords ; s'agripper ou mettre le pied, j'ai commenc; ; escalader le mur, quoique je ne sois jamais un alpiniste. Le plus loin, c';tait le plus difficile ; monter, il ;tait d;j; impossible de descender et jusqu'; haut il y avait comme jusqu'; cinqui;me ;tage, ; peu pr;s vingt m;tres. Et il y avait les premiers signes de la gueule de bois, les mains tremblaient et le cerveau ne marchait pas comme d'habitude, c';tait probable ; cause des fum;es sulfureuses. Il ne fallait pas me d;p;cher, car on pouvait tomber ; bas. Mais il ne fallait pas m'arr;ter aussi, puisqu'on pouvait ;tre gaz;. C'est pourquoi il fallait escalader plus vite. "Soi tranquille, - j'ai dit ; moi-m;me, - s'il y a tel mur en endroit sans danger et pas en hauteur, pourrais-je l'escalader? Bien s;r, malgr; toutes les difficult;s. Je me d;p;chais, je m'en consolant toujours et continuais d'escalader. J'ai march; sur une pierre qui d;passait du mur, mais elle a tomb; du mur et j'ai commenc; ; tomber aussi directement au lac de feu. Je ne peux pas me rappeler de quoi j'ai r;ussi alors ; r;fl;chir. Une sorte d';nergie est entr;e en moi. Je ne suis pas tomb; encore jusqu'; bout, mais j'ai senti la br;lure. Est-ce la fin? Je me suis secou; et soudain je me suis av;r; dans un office. ; table, un homme d';ge moyen ;tait assis dans un costume avec une cravate et ;crit quelque chose. Il y avait des tableaux, des livres aux titres latins devant il sur la table. C'est naturel que cet employ; ait fix; les yeux ; moi, la bouche ouverte, et les yeux ;taient en condition de sortir de leur orbite. Je le comprends. J'avais l'air effray;, tout p;le, et les jeans fumaient dans certains endroits. C'est probable qu'il m'a consid;r; comme un d;mon de l'enfer. Il n'y avait rien plus encore pour avoir peur. Je me suis mis en rire de bon c;ur, m'a concentr; et suis revenu ; l'endroit, o; j';tais all; ; passer la nuit. Il n'est que commenc; ; faire de la lumi;re de l'aube l;-bas et, malgr; les nuits froides de Sib;rie, je n'ai pas imm;diatement ressenti la fra;cheur. C';tait une dr;le aventure, mais malheureusement, les aventures comme ;a ne se terminent pas toujours bien. C'est pourquoi, si nous poss;dons une capacit; inhabitude, nous ne devons pas m;me toucher quelque chose de stup;fiant.
          -Attends un peu, je vais ; revenir tout de suite, - Albert dit et sortit vite puis revint ; la cuisine avec un stylo et papier. Il s'assit et dessina deux rectangles, prit une pi;ce et la mit sur un des rectangles.
          -Regarde l;, supposons que ces rectangles soient des chambres, des cellules ou coffre-fort, c'est-;-dire n'importe quoi. Supposons que ce papier soit habit; par des ;tres ; deux dimensions et il n'y a que les deux dimensions de ce plan leur sont disponibles. Les c;t;s des rectangles soient un obstacle insurmontable pour eux, comme sont les murs pour nous. Maintenant, la monnaie est l;-bas. Les ;tres suppos;s la consid;rent comme une balle ; deux dimensions qui est le cercle pour nous.
          Albert prit la pi;ce et l'apporta dans l'autre rectangle ferm;, en expliquant:
          -Maintenant, ils consid;reraient cela comme la disparition de la "balle", et les habitants de l'autre rectangle comme l'apparition d'une mani;re inconnue et supernaturelle pour eux.
          -C'est exactement ce qui se passe.
          -N;anmoins, de cette mani;re peux-tu t';vader de n'importe quelle prison ou entrer au coffre-fort de n'importe quelle banque... - Albert regarda au vieillard d'un air interrogateur.
          -Bien s;r. Et quoi? Apr;s avoir appris ; faire ce que je fais, est-ce qu'imm;diatement attaqueras-tu la plus grande et riche banque? Apr;s tout, je ne vous bl;merai pas. Il ne serait aucun p;ch; ; cambrioler l';tat qui est comme ;a pour plusieurs milliards dollars. En tout cas serait utilis; cet argent ; nourrir toute une arm;e des gros lards, chacun d'eux occupe un poste ;lev;, mais ; la fois est-il en dessous de nous dans la capacit; intellectuelle en 99 cas sur 100. Et nous ne pouvons que joindre les deux bouts. En ayant une formation universitaire et ;rudition admirable, tu dois vendre les journaux. Mais ils n'ont termin; qu'IVVS: Institut de la Vilenie de la Vie Sovi;tique. De quelle fa;on encore peut cet argent ;tre utilis;? ; brouiller les radiodiffusions des pays libres? ; ;tirer mille kilom;tres encore du fil barbel;? Oui, maintenant il y a la d;mocratie, mais est-elle pour long temps? Le peuple est esclave, le peuple est un b;te, le peuple est une racaille, car il se rebelle contre la libert;. Il veut retour ; l'esclavage. ; faire la queue pour acheter la saucisse pourrie pour 2.20 et ; glorifier Lenin. De la m;me fa;on comme il y avait les r;bellions contre annulation du servage au si;cle dernier, maintenant se rassemblent des nuages ;;orageux ; l'horizon. Le b;tail veut le retour ; la stalle. Alors vas-tu ; cambrioler les banques?
          -Cela a l'air comme si tu me donnes une t;che d;licate, avec une astuce.
          -C'est d;j; plus proche. Allons, r;fl;chis. Tu es un homme intelligent.
          -Cela provoquera la panique. Des indignations ind;sirables dans certains cercles.
          -Plus proche encore. Bravo!
          -Tout le KGB s'inqui;tera ... comme il s'appel maintenant? Quoique ce ne soit pas une chose import;e, quel est nom.
          -Non seulement KGB. Tous les intelligents services du monde s'inqui;teront et non seulement ils. Tous les clans mafieux, les barons de la drogue, y compris les chercheurs solitaires des aventures et d'argent facile, des kamikazes, fanatiques. Il y aura entre eux les types, avec lesquels lutter serait-il tr;s difficile, m;me malgr; les super pouvoirs. Ce n'est pas quelque chose comme l'hypnose ou t;l;pathie. Ces choses peut-on voir souvent. C'est assez ; avoir une voix puissante et un regard s;r et sans aucun clignoter, peut-;tre un peu de l'imagination et de la fantasie encore. Aussi apr;s avoir v;cu plus longtemps pourras-tu tout de suite sentir, comme te consid;re l'une ou l'autre personne. M;me s'il parle un autre lange, tu pourrais r;sumer bien en tes propres termes en russe, comment te traite-t-il, pas litt;ralement, mais assez correctement. Mais c'est quelque chose de l'autre. Ce n'est ni hypnosis ni t;l;pathie, dont n'avais-je peur de parler en pr;sence de ta femme. C'est la T;L;PORTATION! As-tu remarqu; que j'utilise ce mot en premi;re fois? Et soi s;r qu'; la derni;re. Et je ne te conseille pas non plus. Est-ce que tu crois, comme si j'habitais tr;s longtemps le coin perdu de la Sib;rie et comme si ce serait pourquoi je parle le mot "monter" au lieu de... - le vieillard s'est mis ; chuchoter, - "t;l;porter"?
          -N;anmoins, qui croirait en cela? La majorit; des gens le consid;rent comme les d;lires d'un fou.
          -Pas d;p;che mais r;fl;chis. Je sais, tu te rendras compte, mais si je dis, ce sera plus vite. Il y a des d;partements dans les services sp;ciaux ou certains gens qui s'int;ressent tout, jusqu'; quoi la science n'a pas encore atteint. Et ils bien savent qu'entre millions d;lires et superstition un jour peut-on telle grande chose trouver! C'est comme une chasse de tr;sor. Et ils devinent qu'une d;couverte occasional peut avoir lieu qui n'a besoin des grands laboratoires et un cher ;quipement. Et malgr; ;a, telle d;couverte est capable de renverser le monde. Ou m;me, il est un seul chercheur des tr;sors et des aventures et il a un dispositif acoustique directionnel dans sa poche. Tu sais, dans notre temps il n'y a aucune n;cessit; de laisser un microphone dans l'appartement de quelqu'un pour espionner. Un type comme ;a prom;ne les rues et pointe son dispositif vers les fen;tres des appartements, s'en amusant et ;coutant, o; qui de quoi parle. Une fois quelque part et quelque chose de d;licat peut-il entendre. L'un d'eux peut l'utiliser pour le chantage ult;rieur, l'autre il m;me prit plaisir de ;a et ; la fois fait-il une t;che ou veut-il se faire bien voir ou gagner d'argent. Et ;; et l; y a-t-il un bavardage ennuyeux d'habitude. Puis l;-bas y a-t-il quelque chose plus int;ressante: le mari est ; la mission du travail et un voisin a visit;. Dans l'autre appartement peut-on ;couter, comme un chef de d;partement de l'usine secr;te laisse ;chapper un peu d'information secr;te, en buvant avec quelqu'un une bouteille de cognac. Il faut faire une note sur ;a. Un jour, si ce type entend, comme deux amis bavardent sur les anomalies ou l'OVNI, ne doute pas qu'il revienne vers cette fen;tre plus encore ; v;rifier, si c'est un d;lire. Oui, c'est la plus probable que c'est un d;lire, mais quoi s'il y a soudain un grand profit de ;a? Et si le grand profit a lieu, celui qui est stupide, il se d;p;chera de rapporter. Ces gens-l; feraient semblant de l'ignorer, mais en effet connecteraient des gens tr;s dangereux aux affaires qui sont nettement plus cool que les racketteurs ou ceux qui ont un plan ; l';gard de la coop;rative d'ami de Sveta. Quant ; celui-ci qui a rapport;, s'il fait quelque chose contre eux, ils ne le tueront m;me pas. Ils trouveront un article pour il dans le Code P;nal et l'emm;neront ; l'asile de fous. Et ils essayeront que tout ;a aurait l'air tr;s naturel. Celui-l; qui est plus sage, il sait d;j; ; qui et de quelle mani;re faut-il rapporter, mais malgr; cela ce serait un risque. S'il est chanceux, il se pourvoira pour la vie et vers la vieillesse deviendra-t-il fat, en scintillant avec les ;paulettes du g;n;ral... Mais l'affaire continuera ; marcher. Dans le renseignement, ce n'est pas important, s'il est interne ou externe, il y a toujours une fuite d'informations. C'est pour les gens ordinaires comme quelque chose que n'existe pas en effet, comme une anecdote, mais un homme qui peut quelque chose r;fl;chir, il est capable de se rendre compte que ce sont les organisations r;elles et elles existent non seulement ; frotter les pantalons sur les chaises. Parfois telles passions y sont d;cha;n;es qui ne viendraient ni ; l'esprit ni en r;ve. Les int;r;ts de tous les puissants de ce monde y se croisent dans les combinaisons les plus bizarres et les plus inattendues. Il y a un duel de machines infernales, qui briseraient un destin humain comme un tank ; une tortue. Il y a des gens l;-bas qui ne reculeront devant rien. Le destin ou la douleur de quelqu'un d'autre n'a aucune signification pour eux, tandis que dans l'int;r;t de la cause, certains d'eux sont capables de jeter soi-m;me sous un tank ou dans cette lave ; Kamtchatka, Dieu merci, o; je n';tais pas tomb;.
          Si tu r;fl;chis, tu verras tu m;me qu'il y a ces choses, pour lesquelles on peut se sacrifier, non comme un soldat qui serait so;l; par vodka, mais en ;tant sobre et s'en rendant compte, pesant tout, additionnant tous les avantages et inconv;nients. Pourquoi millions des gens sont pass;s ; travers enfer qui faisait rage pendant tout le vingti;me si;cle? Car il n'y avait pas un h;ros qui poss;derait l'information n;cessaire et aurait mordu dans l';uf la propagation de la contagion rouge-marron. Et s'il y avait un homme qui poss;derait de l'information, comment ;trangler dans l';uf le totalitarisme rampant et qui se rendrait compte de la signification et l';chelle ; laquelle cela se produit et ; la fois la possibilit; de changer tout ;a, il y a assez de chance qu'il aurait fait n'importe quoi, jusqu'; sacrifice de soi.
          Le danger principal n'est pas pour nous deux. Nous pouvons nous prot;ger avec les capacit;s pareilles, car je suis s;r que tu pourras bient;t "monter" de la m;me fa;on. Avant tout, se serait inacceptablement si quelqu'un ; part nous peut le faire, tu sais de quoi je parle. Si la libert; et dignit; sont les choses principales pout toi, si tu n'es pas un esclave de l';tat, c'est bien, n;anmoins tu peux ;tre tent; et donner cette grande d;couverte ; l'Ouest. N;anmoins, il ne faut pas le faire aussi et je crois que tu peux comprendre pourquoi. Allons nous nous souvenir la premi;re prolif;ration nucl;aire. En 1945, les ;tats Unis ont utilis; l'arme nucl;aire, mais d;j; en 1949 jouaient avec ce "joujou" Beria et Kourtchatov. Il n'y a ni service de renseignements ni cellule de prison qui pourrait ;tre assur; contre gonfleurs. Malgr; le danger mortel, mais le jeu vaut la chandelle et il y a des gens qui acceptent de jouer ; ces jeux potentiellement mortels. Notre avantage principal est ce que nous sommes deux. La deuce est le groupe le plus fiable et le plus stable. Savais-tu qu'entre les tueurs sont les groupes ; deux hommes les plus r;pandus?
          -J'en entends en premi;re fois.
          -Tu peux voir que le proverbe "un esprit est bien, mais deux sont meilleurs" est vrai. Tu m'enseignes quelque chose et je t'enseigne aussi. Je t'instruirai en mesure compl;te de mes connaissances. Beaucoup de choses que je parle, d;j; sont connues ; toi, mais je crois que ce soit plus pr;f;rable parler de tout, au lieu de parler en arrachant les parties qui tu sais de ma connaissance. M;me si tu entends de moi quelque chose de connue, ce n'est qu'utile. Ne n;glige jamais de la r;p;tition.
          Ainsi, le groupe ; dix hommes serait peu fiable, lourd et avec les fuites d'information. Mais la deuce est forte, mobile et cach;e. Comme tu d;j; as compris, il faut mettre toutes nos ressources ne pas cambrioler les banques, mais ; garder le s;cr;te. Il ne faut pas laisser quelqu'un nous suivre. S'ils suivent, il faut ;tre capables de les faire tomber, mais il serait meilleur ;viter la situation pareille. Notre invention s'apparente ; l'invention des armes nucl;aires. Rends-toi compte quelles opportunit;s peuvent ;tre d;couvertes par cette invention! Et c'est dangereux. C'est dangereux pour toute l'humanit;. Certains essayeront d'obtenir la domination du monde. Les autres se d;fendront. Les "d;fenseurs" auront un pr;texte d'avoir le pouvoir illimit; et on ne sait pas qui d'eux sera le pire. Ce n'est pas tout encore. Que dirais-tu ; l';gard de l'acc;s au bouton nucl;aire? Ce serait beaucoup pire qu'un coffre-fort avec argent. Et qu'est-ce qui se passerait si les forces de l';tats-Unis et de Saddam Hussein deviennent ;gales? Tout cela n'est qu'; premi;re vue.
          Albert r;fl;chit profond;ment. D'abord, il ;tait choqu; heureusement de telle nouveaut;, mais maintenant a-t-il vu la face arri;re d'elle. Le vieillard a raison. Ce miracle n'est pas du tout mieux que l'arme nucl;aire.
          -Et maintenant tu es all; ; l'autre extr;me. Je vois que tu es en condition de me conseiller d'emporter cette d;couverte dans ma tombe. N'est-ce pas?
          -Je suis d;sol; pour ;a, vraiment d;sol;! N;anmoins, peut-;tre serait-il meilleur comme ;a?
          -Tu es en train d'essayer encore de trouver la r;ponse de la t;che sans la r;soudre. Tu es intelligent. Tu la r;soudras et trouveras la r;ponse correcte. Mais pourquoi attendre longtemps? Surtout pourquoi attendre lorsque je d;j; ai la r;ponse. Je suis capable de g;rer ce ph;nom;ne d;s l'an 1957. Quel an est maintenant?
          -Quatre-vingt-dix troisi;me. Est-ce qu'ont emmen; mes capacit;s au d;sastre mondial?
          -Je n'observe rien comme ;a.
          -Tu n'es donc pas s;r de toi-m;me?
          -Au contraire. Peut-;tre que je suis s;r trop de moi-m;me. Sais-tu, pourquoi je n'aime pas aller par avion? Parce que si je m;me le pilote, je me sentirais bien meilleur.
          -Tu ne t'inqui;teras pas non plus pour moi, car j'ai pass; la p;riode probatoire de trente-six ans. On n'aurait pas raison de me douter apr;s cela. Il ne reste que tu seul, mais tu es s;r de toi. Je ne t'ai pas d;crit l'horreur du devenir de cette invention hors de contr;le pour que tu la refuserais avec grand regret. Alors ce serait plus correct de ma part ; cacher ;a de toi. Simplement, je voulais exposer ; toi, dans quel degr; est la technique de s;curit; importante et consid;rable. Tout d;pendra de toi. Garde ; l'esprit un point important encore. Si quelqu'un des gens tr;s cool veut faire r;v;ler l'information de mes et plus tard de tes "voyages" des personnes proches de vous, avant que les torturer, ils seraient capables de reconna;tre par leur apparence, s'ils savent quelque chose ou non. Voil; pourquoi sont ces informations dangereuses pour tes proches gens, et il serait meilleur s'ils ne savent rien. Les espions ne sont pas des sadiques et les tortures inutiles seraient pour eux, comme vendre les journaux sans profit pour toi.
          -N;anmoins, comment je m'entra;nerai? Je dois travailler, vendre. Sinon j';chouerai.
          -Tu prendras avec toi le sac ; dos et un sac, comme d'habitude. Mais au lieu de visiter Moscou, tu visiteras les autres endroits. Tu t'entra;neras de telle mani;re avec moi. Tu reviendras chez toi au temps, en apportant l'argent que je te donnerai.
          -Mais je ne veux pas avoir de dettes envers personne. Est-ce possible avoir des dettes envers celui qui t'a donn; une tasse d'eau? Pour moi, gagner cet argent n'est pas plus difficile. Quant ; moi, ; gagner cent dollars, un travail comme ;a n'est pas plus difficile que tu ferais le th;.
          -Tu viens de me donner une bonne id;e, - avec ces mots, Albert a vers; l'eau dans la th;i;re et d;vers; le contenu dans la cuvette. Ensuite il a allum; un br;leur sur la cuisini;re et a mis une bouilloire dessus, y ajoutant de l'eau. Le vieillard a sorti de la poche une pile de billets de cent dollars.
          -Je pourrais donner tout ;a ; toi, mais les gens autour comprendraient apparence ; cause de ton apparence que se passe quelque chose d'inhabitude avec toi. Tu ne pourras cacher cela. Il faut payer pour tout et je crois que s'abstenir de recevoir tout l'argent ; la fois, cette paie n'est pas tr;s grande pour les perspectives qui s'ouvrent devant toi.
          -Bien sur non.
          -N;anmoins, en pr;sence de ta femme et ses amies et tes parents serait-il mieux, si tu caches le fait que ton humeur a chang;. Lorsque la joie des changements heureux t'envahit, essaye de penser sur les c;t;s n;gatifs d'eux. Et au contraire aussi. Rappelle-toi leurs avantages si tu t'inqui;tes ; cause d'eux d'un cauchemar que tu as dessin; dans ton imagination. Maintenant essaye de r;fl;chir ; ce que la marche, la course, le transport - tout ;a est une stupidit;. Ne serait-il pas stupidit; ; atteindre cette cuisini;re ; gaz par un chemin ; cinquante kilom;tres? Ou de Mytichtchi ; Moscou aller ; travers le p;le Nord, l'h;misph;re occidental, l'Antarctique, Crim;e, Kharkiv et enfin Serpoukhov et Podolsk? N;anmoins, tout le monde fait comme ;a dans la vie quotidienne. Souviens-toi et n'oublie pas comment au temps M;di;val utilisait-on des copeaux, des bougies, m;me des torches, mais il n'y avait ni lamps ni lanternes ;lectriques. Ce n';tait pas ; cause des difficult;s technologiques, mais ; cause de l'ignorance. Mais maintenant tu sais et tu l'as vu. Il faut le voir beaucoup de fois encore.
          Au milieu du th;, la cloche sonna.
          -Je t'ai tout dit et je vais ; ;tre assis une demi-heure encore, c'est pour l'apparence. Puis je m'irai comme d'habitude,  sans trucs, - le vieillard a dit apr;s Albert qui s';tait lev; ; ouvrir la porte.
          Nadia entra seule, sans Sveta.
          -Bien, je vois que vous deux vous ;tes faits des amis compl;tement, - c';tait la premi;re chose qu'elle dit.
          Puis une conversation de la mani;re d;contract;e avait lieu dans la cuisine. Il ;tait vu que Nadia essayait de rapprocher la conversation au th;me de l'hypnosis, t;l;pathie et en g;n;ral des ph;nom;nes inhabitudes. Au milieu de la conversation a-t-elle questionn; comme si accidentellement:
          -Est-ce en effet que vous pouvez r;gler cette question l;-bas... dans la coop;rative?
          -Cela se r;glera de la mani;re ind;pendante. Moins soucies-tu de ;a, c'est mieux. Si chaque cas pareil se termine par un d;nouement sanglant, les cadavres seraient allong;s partout et ce serait la guerre de tous contre tous. Il y a quatre-vingt-dix pourcents que tout se r;glera m;me si n'intervient personne.
          -Est-ce que vous allez ; les hypnotiser en effet? Pardonnez-moi pour la question sans tact.
          -Je suis sp;cialiste dans mon domaine, - le vieillard a r;pondu strictement et clairement.
          Nadia a compris que d'autres questions auront non seulement l'air sans tact, mais aussi seront inutiles. Le visiteur, comme il avait promis, il s'est assis une demi-heure encore et a commenc; ; se mettre en route, disant au revoir ; ses nouveaux amis. Albert s'est lev; ; l'accompagner jusqu'; la porte.
          -Jeudi, plate-forme Kalistovo, neuf heures du matin; jeudi, plate-forme Kalistovo, neuf heures du matin, - le vieillard a r;p;t; deux fois ; son oreille, en chuchotant. - J'ai besoin de toute une information sur les types qui veulent poss;der la coop;rative sans suivre les r;gles. M;me un petit d;tail peut s'av;rer pr;cieux. ; cause de cela, laisse-le m'apporter toutes choses qu'est-il possible, jusqu'; petits d;tails, plus ; renseigner sur eux. Surtout sur leurs chefs, car les brutes ne font rien sans ordres venus d'en haut. ; bient;t.
          -Au bient;t.
          -Es-tu s;r qu'il ne participe pas en affaires obscures? - Nadia questionna, quand Albert fut revenu ; la cuisine.
          -Il faut apprendre l'arbre par son fruit. Quant ; moi, j'ai besoin de voir le copain de Sveta dans le futur proche. Au fait, comment s'appelle-t-il?
          -Il semble qu'Anatoly.
          Soit il me donne tout qu'il sait sur la "toit" sans invitation, tout jusqu'; petits d;tails. C'est tr;s important. Il faut que je le voie dans une place ouverte. Laisse lui m';crire toutes les informations n;cessaires, pour n'oublier rien. Je le r;;crirai de ma propre main. Apr;s cela on pourra d;truire ses notes.
          -Si je ne te savais, je croirais que tu as peur. N;anmoins, je vois que tu simplement veux jouer aux espions.
          -Si quelqu'un n'aime pas la mani;re de mes actions, je peux refuser, mais si je fais quelque chose, je ne la ferai que de la mani;re pr;f;rable de seulement mon point de vue, - Albert a r;pondu durable. - Et j'ai besoin de le voir dans les deux prochains jours.
          Nadezhda voulait disputer contre lui, mais elle s'est abstenue cette fois de cela.

                Chapitre IX. L'espionnage priv;.
          Albert et Tolik ne se sont appr;ci;s pas l'un l'autre depuis la premi;re rencontre, mais tous les deux ne l'ont pas montr;. Il ne s'agit pas qu'ils pussent devenir des rivals ; cause de Sveta d'un jour ; l'autre.  Seul Albert le savait, n;anmoins ;tait-il irrit; gr;ce ; la raison compl;tement diff;rente. La nature de Tolik, ;tait-elle compl;tement ;trang;re ; l';gard de lui. S'ils ;taient dans la m;me ;cole ou dans l'auberge ;tudiante, c'est assez probable qu'ils puissent devenir des ennemis irr;conciliables, parce que Tolik ;tait un homme typique de troupeau, c'est-;-dire, un homme typique du monde sovi;tique qui n'aimerait pas l'individualisme et son isolement. En esprit, il le consid;rerait comme un "intelligent" et tout le monde sait que ce mot est presque un juron dans la Russie. Quoiqu'il ne f;t pas un d;bile d'esprit, n;anmoins, son esprit assez primitif n';tait pas capable de voir qu'Albert peut ;tre beaucoup plus raide qu'il, mais seulement dans les cas quand il faut, pas pour vernis primitif. En ;tant semblable ; un homme qui se noie attrape une paille, il attrapait n'importe quelle possibilit; de d;samorcer la situation, en centre de laquelle sentait-il soi-m;me de la mani;re exag;r;e, mais en fait, c';taient les gens de sa "toit", c'est-;-dire, les racketteurs par consentement mutuel qui se trouvaient au milieu ;pouvantable des circonstances. Il se consolait par une id;e comme si ce nerd ne serait qu'un interm;diaire qui transf;rerait les informations ; quelqu'un ami raide ou ; des amis raides et il serait assez d;;u s'il voyait le vieillard Paul. Le jeudi, cette information ;tait d;j; dans la poche du vieillard. Mais avant de la mettre dans la poche, Paul la examinait longtemps et avec attention, d'abord en conseillant ; l'Albert d'utiliser le temps pour observer la nature et essayer de se sentir comme une partie d'elle. Enfin il dit:
          -M;me, si je ne r;ussis ; faire tout dans ce court laps de temps, laisse Anatoly payer les deux aux uns et aux autres, je donnerai l'argent pour ;a.
          Ce jour, il expliquait ; l'Albert la technique de concentration, y compris, la valeur de la capacit; de garder une pens;e sur un objet.
          -Cr;e mentalement un monde imagin; et fais l;-bas tout que tu veux. Essaye de le faire plus clair, plus exact, laisse les ;v;nements passer tour ; tour, non de la fa;on confuse, comme en r;ve. Apprends aussi ; entrer et s;journer consciemment au r;ve. Entra;ne cela chaque fois, quand tu te couches, sans omettre. Que ce ne soit pas un r;ve qui te serait arriv;, mais que tu contr;les les r;ves, que tu sois un ma;tre d'ils, mais pas un morceau de bois qui suivent le courant de la rivi;re. Et aucun transport, ni trains locals, ni l'autobus. Il ne faut aller nulle part, car tout est proche et accessible.
          D;j; apr;s midi avant que dire au revoir, Albert questionna:
          -Si ce n'est pas un secret, as-tu d;j; d;cid; que faire?
          -Non, c'est mon ami cadet qui occupe avec ;a.
          -Quoi?
          -Mon subconscient.
          Apr;s a serr; la main, le vieillard a disparu, en faisant un pas ; la direction qu'il a choisie. Pendant plusieurs secondes tenait Albert le vide avec sa main par inertie, puis il s'est dirig; vers la plate-forme dans ses pens;es.
          Comme est-il connu, chaque "toit" a son chef. Il dirige les actions des gens subordonn;s, mais il ne d;cide pas, o; faut-il se diriger et de qui faut-il demander de l'argent. Ce sont les sup;rieurs plus haut que d;cident cela.
          Dans ce monde de la mafia, il y a un pouvoir au-dessus de chaque individu. Le pouvoir est cruel et loin d';tre toujours juste. Si quelqu'un peut prendre l'initiative, il ne le peut que dans le cadre tr;s limit;. Le vieillard d;j; savait le nom du coupable de la situation form;e. L';claircissement du pr;nom et patronyme n';tait pas grand travail. Il ne faisait qu'a t;l;phon; ; plusieurs endroits sous pr;texte qu'il serait impoli ; s'adresser ; la personne comme ;a seulement par nom de famille et c'est pourquoi voudrait-il savoir son pr;nom et patronyme. Il ne travaillait actuellement ni dans le minist;re de l'Int;rieur ni dans les autres services specials, c'est pourquoi dans le bureau de renseignements a-t-on donn; l'adresse sans entrave, dont avait-il grand besoin. Le renseignement donn; au guichet du bureau menait ; la ville qui avait ;t; nomm;e d'apr;s le c;l;bre concepteur de vaisseaux spatiaux, mais la station du chemin de fer, o; il fallait descendre du train ; visiter cette ville, avait r;ussi ; garder le nom historique "Podlipki".
          De nombreux coins et recoins de cette ville avaient ;t; d;j; familiers au vieillard, et il est t;l;port; ; l'un d'eux. L'immeuble ;tait trouv; bient;t, mais l'entr;e s'est av;r;e cod;e. Paul n';tait pas particuli;rement embarrass; par ceci: il a attendu lorsqu'on s'en est sorti, c';tait une femme avec enfant, et il est entr; ; la porte ouverte qui s'est ferm;e lentement apr;s il. Son ;ge avanc; aida d';tre pass; ; l'int;rieur d'immeuble sans provoquer les soup;ons des passants. Il allait ; p;n;trer dans l'appartement de la fa;on d;j; bien connue: sonner ; la porte et quand le ma;tre ouvre la porte, inspirer lui ; l'aide de l'hypnosis, comme s'il n'y aurait eu personne et au m;me instant se glisser dans l'appartement. Il ne pouvait pas t;l;porter dans l'appartement, dont il n'avait vu encore ni d;cor ni meubles. Mais il ne s'est approch; pas encore la porte, un fort aboiement du chien en col;re a retenti au derri;re elle. D'apr;s la voix grave, le chien ;tait assez grand.
          -C'est naturel, - Paul pensa. On ne peut pas ;tre chanceux tout le temps. Maintenant, il faut bifurquer vers la surveillance ext;rieure qui est longue et ennuyeuse.
          Avec cette pens;e a-t-il mont; les escaliers et apr;s avoir atteint le palier du grenier, il se concentra, en absorbant tous les d;tails de ce coin tranquille pour pouvoir l'imaginer exactement et quand il a besoin d'appara;tre ici, sans passer l'entr;e devant les coups d'oeil indiscrets. L'exp;rience pluriannuelle a le fait capable d'absorber vite l'int;rieur n;cessaire pour le souvenir. Apr;s une courte m;ditation, Paul s'est av;r; imm;diatement dans un recoin abandonn; et revenait ; pied, puis il a trouv; un point discret de surveillance.
          Dans trois heures de la m;me entr;e s'est sorti un homme qui d;j; ;tait en train du commencement ; devenir chauve, mais ne vieux pas encore. Il ;tait avec un rottweiler en laisse. Le chien s'est mis en ses occupations de chien, en flairant le sol et parfois en regardant autour d'il. Mais l'homme essayait de toute son apparence de montrer son importance. Il n'y avait personne autour de lui et apparemment que c';tait l'habitude qui avait lieu. La vanit; comme ;a ferait rire un Am;ricain, mais entre les Slaves pourrait-ce causer en partie l'ob;issance, en partie l'admiration obs;quieuse. Le vieillard Paul bien savait que dans l';tats-Unis peut-on voir rarement les grimaces comme ;a et si on les voit malgr; tout, alors il s'av;re souvent que leurs porteurs sont arriv;s du monde sovi;tique qui ;tait maltrait; de fa;on permanente par les propri;taires d'esclaves des si;cles pass;s et par les communists dans le si;cle actuel. Quand les gens pareils marchent dans la rue, ils sont comme un trou noir, en capturant les ;mes des passants sous leur influence, en ajoutant la confusion dans leurs esprits, c'est-;-dire, ils les embarrassent et ;touffent leur volont;, en devenant recharg;s par leur ;nergie psychique. Les victimes sont en partie aussi coupables, puisqu'ils sont m;mes croyants en importance des "as arrogants" comme ;a. En Angleterre consid;rerait-on les comme des rustres et p;quenauds insolents, m;me sans les regarder. Sa voiture Mercedes et sa l'aisance financi;re qui n';tait pas grande trop de la mesure occidentale, ces choses n'impressionneraient personne.
          Malgr; le risque d'aggraver la situation, le vieillard imm;diatement a t;l;port; a la palier du grenier et descendu ; l';tage n;cessaire et il a sonn; ; la porte. Il n'y a retenti aucun aboiement du chien. Apr;s long silence enfin cliqua le verrou et ouvrit la porte une femme avec un air rustique, c';tait possible qu'elle f;t une m;nag;re. En haussant les ;paules, toute perplexe, car il lui sembla qu'il n'y eut personne, elle ferma la porte, mais le vieillard eut r;ussi en cet instant ; se glisser dans l'appartement. Elle alla ; la cuisine et le vieillard alla aux toilettes, parce que c'est juste ici il serait mieux d'appara;tre soudain. Maintenant il fixait la vue ; l'int;rieur des toilettes, en prenant en compte qu'il devra monter ; travers l'espace exactement ici et il est assez probable qu'; plusieurs reprises. Puis il est sorti sans bruit au couloir, puis il a grimp; le placard, o; le v;tement ;tait suspendu, de la m;me mani;re sans bruit. Il ne devait pas attendre longtemps. Paul a entendu, comme on ouvrait la porte de l'appartement.
          -Zina, commen;ons les pr;paratifs d'un petit voyage, nous allons ; la datcha vers ma femme et ; la fois j'ai besoin de rencontrer les copains, mais ce ne sera pas long.
          -Je dois avertir ma famille que je pars.
          -Quel est le probl;me? Voil; le t;l;phone. Appelle-les.
          -Combien de temps devrais-j'y s;journer?
          -Non moins que deux jours. Tu nous aideras avec les travaux m;nagers, comme d'habitude. Qu'est-ce qui ne va pas? Est-ce que je te paye pas assez?
          -Il ne s'agit pas de ;a. Quelqu'un a sonn;. J'ai ouvert. Rien, personne.
          -Ce n'est pas grave. J';tais dans la cour avec chien. Ils ne sont pass;s dans l'entr;e que les gens ordinaires qui revenaient chez soi apr;s le travail. Je suis s;r que c';taient les enfants qui faisaient la b;tise.
          -Mais si?..
          -Un tueur? - Le ma;tre a ri aux ;clats. - Personne n'oserait. Et il me d;j; fusillerait dans les escaliers. Ou je lui...
          Soudain, le fort aboiement de chien a retenti et on n'entendait plus qu'il.
          Le vieillard ;tait pr;t pour ;a et t;l;porta imm;diatement au recoin pr;par;, alla ; pied vers la station du chemin de fer, attrapa une bouch;e, en achetant un hot-dog et un verre de caf;. Il faisait un soir doux et agr;able, comme il y a beaucoup d'ann;es. La terre continuait encore de vivre, fleurir. Les saisons changeaient encore de la m;me fa;on. Comme dans la jeunesse, il voudrait voyager loin. N;anmoins, tout ;tait proche. Soit New York o; maintenant faisait-il midi, soit Krasno;arsk o; le minuit est d;j; venue, soit les for;ts autour de Moscou qu'il ;tait pass; en long et en large depuis longtemps et tous les coins sont devenus connus.
          Le vieillard grimp; sous la plate-forme pour personne ne verrait et a t;l;port; ; une des for;ts pr;f;rables. Il a sorti les allumettes. Le feu de joie s’alluma vite. Les ;toiles premi;res ont apparu dans le ciel. La vie continuait toujours de r;jouir. En quatre-vingt-dix cinqui;me fois voyait-il, comme la nature du climat temp;r; a chang; la blanche col;re d'hiver en blue verte bienveillance et caresse.
          Il ;tait le temps ; revenir. Paul ;touffa le feu soigneusement, en portant plusieurs fois dans les paumes l'eau du ruisseau proche. Est-ce qu'il souvient l'int;rieur des toilettes bien? Il se pr;cipita l;-bas. Il a r;ussi, mais maintenant se trouvait-il dans les t;n;bres. Il aboya comme chien plusieurs fois au cas o;. Ne suivit aucune r;ponse. Il sortit et regarda ; la chambre. La vue depuis la fen;tre a dissip; tous les doutes. C';tait le m;me appartement. Il poss;dait beaucoup du temps, n;anmoins, il fallait agir soigneusement, en remettant toutes les choses apr;s les avoir examin;s, aux m;mes endroits, o; elles ont ;t; avant. Le ma;tre ne devrait rien soup;onner. Quant au chien, en tout cas ne racontera-t-il, pourquoi avait apparu ce grand d;sir d'aboyer among la paix commune et le silence g;n;ral.
          La disposition des objets dont le vieillard pourrait oublier plus tard, il l';crivait sur une feuille s;par;e en chiffre que personne ne comprendrait, sauf il m;me. Il serait une t;che impossible de parcourir toute cette documentation ici et maintenant. Un gros boulot avec l'information l'attendait. Heureusement, il d;j; n';tait pas un d;butant dans cette affaire. Il fallait photocopier tout, apr;s remettre ; sa place et plus tard examiner les photocopies. Les fen;tres donnaient au Nord ; cette heure-ci, c'est pourquoi faisait-il un peu plus clair et cela donnait l'occasion de se guider dans l'appartement sans allumer la lumi;re.
          Petit ; petit fouilla-t-il tous les meubles dans les trois pi;ces, y compris fouilla-t-il ; la cuisine et ; la salle de bain. Il ne s'int;ressait que l'information. Il fallait renseigner sur cet homme autant que possible, car il para;t qu'il ne f;t que sa propre initiative de faire tout ;a. Le vieillard s'est lev; m;me sur le rebord de fen;tre et a d;viss; avec un tournevis les bouts de la barre des rideaux. Le rideau ;tait attach; ; la barre par anneaux et ouvert. Le ma;tre avait oubli; ou ne voulait pas le fermer. Paul ;claira avec lanterne au-dedans de la barre canalisable. Rien. Parmi les livres y avait-il une cachette dans l'un d'eux. Une pile ;paisse de billets de cent dollars ;tait cach;e l;-bas. Il l'a mis ; place, elle ne dispara;tra nulle part. Cela n'est pas encore tout. Il a aussi la datcha.
          Il para;t que le travail f;t ex;cut;. Il n'y avait que le placard en reste. En palpant les v;tements, il sentit quelque chose de dur. C'est bizarrement. Une robe de chambre qui comme si ne serait pas neuve, il y avait une poche au niveau de poitrine et il y avait quelque chose de rectangle dans la poche, soit un livre, soit une vid;ocassette. N;anmoins, il y avait beaucoup de cassettes dans l'appartement, en g;n;ral les films policiers et d'horreur. Elles gisaient toutes dans des bo;tes avec gros titres. Mais celui-l; ;tait mis pour certaines raisons ; l'endroit inhabitude. Paul a d;cid; de la voir, s'il aurait besoin, la r;;crire et mettre retour. Il fallait aussi tous les papiers photocopier et mettre retour. Le plus vite sera le mieux.
          Il faisait la nuit. Comme tout le monde sait, en nuit sont tous les services de photocopie ferm;s. Paul s'est concentr; et trouv; dans l'int;rieur de la vieille maison en bois. Olesya qui avait quinze ans, ;tait en train de dormir profond;ment, comme on dort d'habitude dans la jeunesse. Le vieillard mis la cassette sur la table, se concentra de nouveau et apparut ; Petropavlovsk-Kamtchatski. Dans ce coin perdu, deux clochards l'accompagn;rent des regards de surprise. Il d;j; faisait pleinement jour ici. C';tait l'heure de pointe de matin. Le vieillard trouva la photocopie vite, mais elle devait s'ouvrir dans quinze minutes. Il fallait attendre. Dans une heure tout fut fait. Le premier client s'est av;r; profitable. Apr;s avoir re;u les copies des papiers, le vieillard revint chez soi ; la R;gion de Krasno;arsk, mis toutes les photocopies parmi les livres et t;l;porta dans le m;me appartement plus encore. Il faisait sombre, mais il para;t comme s'il serait plus sombre apr;s le matin ensoleill; au Kamtchatka. Le vieillard d;cida de se reposer sur la chaise et dormit ; peu pr;s d'une heure. Il dormait l;g;rement et s'il y avait quelque chose d'impr;vu, il se r;veillerait et r;ussirait ; dispara;tre ; temps. Il ;tait vu qu'il y a l'alarme non seulement ; la porte, mais aussi aux fen;tres. N;anmoins, cette alarme ne marchait que contre les intrus qui p;n;treraient ; travers les fen;tres ou la porte. Telle merveilleuse voie d'intrusion comme la t;l;portation n';tait pas pr;vue.

                Chapitre X. Une fosse aux serpents.
          Apr;s ;tre r;veill;, le vieillard ;tait assis sans sommeil ; peu pr;s d'une heure. Quand il est devenu assez l;ger dans la chambre, il a commenc; ; distribuer toutes les choses ; leurs appropri;es places, un travail qui a pris beaucoup de temps aussi. Enfin, tout ;tait fait et on pouvait s'aller. Imm;diatement, le vieillard est revenu ; sa propre maison campagne en r;gion de Krasno;arsk. Sur l';cran du t;l;viseur avec son gang frimait le ma;tre d'appartement que le vieillard vient de quitter. Olesya ne dormait pas mais ;tait assise toute p;le en regardant la t;l;. Les larmes roulaient sur les joues.
          -Tu sais? Ils l'ont tu;e. Ils l'ont forc;e de creuser la tombe pour soi-m;me puis l'ont tu;e par quelque chose de lourd ; la t;te. Peuvent-ils te tuer? Il n'y a personne avec moi sauf toi. Personne d'autre ne me comprendra. Personne ne me fera ce que tu fais.
          ;a le flattait. Cette fille-l; qui ;tait la p;riode de temps fantastique plus jeune qu'il, c'est-;-dire, quatre-vingts ans plus jeune, ne pouvait pas vivre sans lui. C';tait la v;rit;. S'il est mort, elle sera abandonn;e toute seule, t;te ; t;te avec ce monde m;chant et ext;rieur. Elle n'est pas pr;te. Elle peut s'av;rer cass;e. Il doit prendre soin d'elle. Pourquoi perdait-il cela de vue jusqu'; pr;sent?
          -Est-ce que tu, Olesya, as-tu vu peu du mal dans la vie? - enfin, le vieillard a r;pondu. Pourquoi es-tu surpris?
          -Oui, j'ai vu beaucoup du mal, mais comme ;a... Personne n'a ;t; tu; devant moi! Je n'ai vu jamais autant de sang!
          -C'est peut-;tre un film? Les acteurs jouent? Non. Pas acteurs. C'est vrai. Regarde le toi-m;me.
          -Alors le regardons et r;crivons. Puis faut-il remettre la cassette.
          Le vieillard a rembobin; la bande au d;but et l'a appuy; sur play. Au d;but tout avait l'air comme un film ;rotique. Les hommes de main attiraient de mani;re dr;le des jeunes filles dans la voiture, parfois ils les tra;naient par force. Ce qui passait apr;s, peut difficilement ;tre consid;r; comme un traitement psychologique. Certaines jeunes filles qui ;taient capables d'insulter un gar;on timid, m;me de l'emprisonner pour viol qui n'avait eu point lieu en fait (les occasions communes dans ce pays), mais ici comportaient-elles comme si ces types seraient leurs amis vieux. Ou au moins faisaient-elles semblant comme si se serait comme ;a. Gentiment, de la m;me mani;re comme avec l'amant bien connu, en r;sistant un peu pour ne pas para;tre une putain, chaque fille passait ; travers la copulation ordinaire, puis orale et anale. Apr;s cela elle ;tait comme d'habitude assise ; table, ils donnaient ; manger et prendre du vin ; elle, parfois donnaient-ils ; elle un peu d'argent de 1000 roubles (en 1993) jusqu'; 10 dollars, chacun d'eux pouvait dans ce cas prendre l'initiative librement. Apr;s tout ;a elle fut accompagn;e ironiquement, en disant "Bienvenue ; rendre visite ; nouveau" et elle devait dire devant la cam;ra quelque chose de "Merci, gar;ons. C';tait dr;le avec vous". Un des cons essaya de jouer de la trompette "Adieu d'une Slave" de la fa;on assez discordante. Ainsi, une sc;ne r;guli;re finissait, autre commen;ait.
          L';rotique a laiss; la place enfin aux sc;nes d'affaire, si peut-on les nommer comme ;a. Des truands avec ses chefs pers;cutaient les coop;rateurs, les entrepreneurs individuels et en g;n;ral tous les travailleurs ind;pendants. Si le film ;tait muet, on pourrait croire que ce fussent les conversations d'affaire. C';tait la technique de faire du chantage qui fut ;labor; en avance. Cela passait sans crier, m;me dans les limites de la d;cence, mais trop monotone, et devenait ennuyeux ; regarder. D'abord ils s'insinuaient dans le champ d'attention de la victime, en essayant d;barrasser ce champ des objets ;trangers pour que rien ne distrait, pour que toutes les choses, si possible, s'aillent aux arri;re-plans, et qu'au premier plan ne resterait rien que les ma;tres puissants et invincibles. Apr;s cela essayaient-ils de prouver ; l'aide de la logique qui paraissait irr;prochable ; premi;re vue, pourquoi ne faut-il agir que de cette mani;re et pas d'une autre. Et maintenant l'accent ;tait mis sur la "normalit;" du compromis propos; et qu'"on ne fait pas" autrement.
          Pour ne pas aller trop loin et ne pas mener les clients au d;sespoir, ils faisaient croire comme si la compassion serait une partie de leurs intentions, c'est-;-dire, ils pourraient agir beaucoup plus cruellement et injustement, mais ils sont des ";tres humains" aussi et sont capables de "comprendre tout" et c'est naturel qu'ils exigent de la compr;hension mutuelle. N;anmoins, dans le m;me temps exigeaient-ils de refuser de la mani;re s;v;re aux personnes du "toit" de gangster qu'ils paient constamment, ce qui ;tait au-del; de l'acceptable. En m;me temps ils promettaient d'aider contre eux, en affirmant que les gangsters ; qui ils payaient jusqu'; pr;sent ne sont que des pitoyables nullit;s et candidates mortuaires, o; ils, en ;tant omnipotents, les enverront, s'ils osent bouger ou s'en prendre. Les clients devaient rester moralement battus et d;vast;s apr;s "conversation" pareille. Soit les ma;tres nouveaux sont omnipotents en fait, soit ils les pi;gent pernicieusement, mais ils n'avaient le choix. La voie propos;e ;tait limit;e tr;s durement, le long de laquelle il fallait aller, sans d;vier d'un petit peu ni ; gauche ni ; droite, ind;pendamment de que ;a plaisait ou non. L'ancienne vie libre qui n';tait limit;e que le paiement du tribut, est devenu un r;ve chim;rique.
          -C'est strange, pourquoi comportent-ils comme il ne faut pas? - le vieillard a pens; ; voix haute. - Laissons ;a. D;m;lerons apr;s.
          Les offices sont remplac;s par la ville. Moscou. Centre-ville. Il para;t que c'est pr;s du Goum. Une jeune fille qui est debout aux cheveux sombres mais pas noirs sous le foulard. Elle a l'air que n'est pas locale. Il y a beaucoup de choses pr;s d'elle, les valises, les malles. C'est probable qu'elle est rest;e sur les ; garder un oeil. Des mains fortes l'ont attrap;e soudain par-derri;re et elle s'est av;r; comme prise en ;tau. Il n'est pass; que quelques secondes et deux dos larges aux costumes chers ont bloqu; l'image. Il para;t que l'objectif de la cam;ra ;tait avec distance focale changeable, parce que toute la compagnie s'est d;plac;e vite, sans secousses, en devenant quatre fois plus loin.
          -Bonjour, Tanika! Tu es incroyable! Nous te cherchons ; travers toute Moscou pendant toute la journ;e. Allons avec nous ensemble. Il te versera un verre en prime...
          ; regarder de l'ext;rieur, cela avait l'air d'une sc;ne des aventures d'une compagnie so;le et gaie, mais on ne sait pas pourquoi, les regards de passants ont tourn; ; la direction oppos;e. Quelqu'un qui filmait cette vid;o, maintenant il a tourn; l'objectif dans la m;me direction.
          Soudain, Olesya a appuy; la "pause" et rembobin; un peu la cassette en arri;re, puis elle a appuy; "play" et cette fois a-t-elle appuy; la "pause" ; temps, quand la fille "provinciale" a apparu sur l';cran de nouveau, apr;s d';tre bloqu;e par les types v;tus en costumes. Le vieillard a presque commenc; ; gronder sa fillette ;l;ve aim;e, mais il a prononc; au lieu de cela:
          -Quelle r;action! Voil;, c'est la jeunesse. Je l'ai presque perdu de vue.
          -Elle est  inconsciente ou presque comme ;a et ils l'am;nent comme une so;le, en badinant gaiement. Quelqu'un des types en costumes a ;tourdi la fille par frapper.
          On pouvait voir clair sur l'instantan; que les types ne menaient plus la fille, mais ils la supportaient pour qu'elle ne pas tomberait sur les jambes pli;es.
          Olesya laissa aller la cassette de nouveau, et de nouveau ont les passants commenc;s ; se tourner ; la direction "incorrecte". Maintenant, on pouvait voir comme deux jeunes types cheveux courts qui combattaient entre eux ; l'autre c;t; de la ruelle. Le combat s'accompagnait d'obsc;nit;s, de menaces et d'insultes mutuelles, pour lesquelles pourrait-on ;tre tu; au camp de prisonniers. N;anmoins, il y avait dans ce combat quelque chose d'ostentatoire. Malgr; le sang du nez qu'un d'eux d;j; avait, il y avait beaucoup de sauts complexes et mots forts.
          -Connard! Assez! les flics viennent!
          Les deux soudain ont cess; de se battre et se sont all;s ; un rythme rapide et ont disparu dans la foule. Chacun qui a regard; ce film, il comprendrait que ce n'est qu'une distraction ordinaire, mais les passants dans la rue qui sont occup;s par ses propres affaires, ils ne pouvaient remarquer que la lutte, ; la raison de laquelle ont-ils manqu; l';v;nement principal. M;me les flics ne sont pas des surhommes et pourraient manquer l'enl;vement et s'ils auraient remarqu; et attraperaient, la compagnie malgr; tout avait beaucoup de chance de s'en sortir et de n'avoir que petit chaud aux fesses ou de rembourser.
          Et voil;, il y a la victime enlev;e sur l';cran. Elle d;j; est expliqu;e pourquoi est-elle ici. Elle est assise ; table. Ses interlocuteurs ne sont pas vus. Elle parle lentement et avec un accent particulier.
          -C'est peut-;tre comme un jeu pour les filles de votre pays, mais je ne peux pas faire comme ;a. Notre coutume l'interdit. Je ne serai pas la m;me apr;s ;a.
          -Est-ce que tu crois que tes sentiments nous inqui;tent?
          -Les sentiments ne sont pas seuls. Si vous ne me touchez pas, vous pouvez obtenir dix mille dollars pour moi ; condition que je revienne la vierge. Ils n'ont plus d'argent que ;a. Si vous avez besoin plus, ma vie est finie. Si vous me touchez, vous n'obtiendrez rien. C'est l'infamie. C'est possible que je meure et personne ne vous donnera de l'argent.
          -Et tu parles sur cela de telle tranquille mani;re?
          -J'ob;is ; la volont; d'Allah.
          -En fait. Nous avons quelque chose de r;fl;chir, - une voix plus s;rieuse a d;clar;. Nous ne filmons que pour envoyer la cassette ; tes proches. Si tu demandes que nous ne te corromprions pas, est-ce que ;a veut dire que nous ne t'avons pas touch;?
          -C'est vrai comme ;a, - la voyageant fille a r;pondu avec un accent inhabitude sur "a".
          -; quelle adresse faut-il ;crire. D'abord, nous avons besoin de connecter avec eux, - le m;me homme a dit avec pragmatisme dans la voix derri;re l';cran.
          -Itchk;ria. Il est pr;f;rable ;crire "la r;publique Tch;tch;nie", sinon peut-on perdre la lettre... R;gion de Chatoy...
          -Tu es hors de ton esprit! - la voix d'un voyou retentit de nouveau. Tu sais que... Tais-toi!
          -Oui, je le sais. Et je sais plus que toi, - la voix de "l'homme d'affaires" a prononc; de nouveau. Olesya ne savait pas pourquoi se sentait-elle mal ; l'aise ; cause de cette voix. -
          -Maintenant, je viens de me rendre compte de ;a. Notre Ñolonel aime l'exotique.
          -Tu te tairas enfin? - et transforma sa voix imm;diatement en gentile et doucereuse: Continuez, s'il vous pla;t.
          La jeune fille tentait de se rendre compte de l'idiome russe sur un colonel et l'exotique, mais il para;t qu'en vain. Elle a nomm; le village, nom et pr;nom et dit qu'il faut ;crire l'adresse compl;tement pour que la lettre parvienne. Elle se rendait compte ce que ces gens n'iront pas l;-bas ; aucun prix, m;me si leur conscience serait pure devant les proches d'elle. Elle savait leurs habitudes plus qu'ils savaient le caract;re de son people.
          -Votre proposition est assez s;duisante, et probablement que nous l'accepterons, - enfin a retenti la voix de "l'homme d'affaires". N;anmoins, nous devons vous emmener ; l'endroit s;re pour nous.
          Changement de l'image. Apparemment, c'est une datcha.
          -Camarade Colonel. Un troph;e pr;cieux est captur;. Une gonzesse. Sais-tu d'o; est elle? De la m;me Tch;tch;nie! Tu n'as pas eu encore d'exp;rience avec quelque chose de pareille! - fi;rement a rapport; le jeune propri;taire de la voix impertinente. Maintenant, il fut sur l';cran, mince, long, avec petite moustache et presque tous les cheveux sont coup;s. Il ne portait aucun uniforme. Son rapport ne vient d';tre qu'un bavardage vide.
          -Assez bouffonner, connard! - la voix de "l'homme d'affaires" a retenti. Il-m;me enfin a apparu au champ de vue. C';tait un homme d';ge moyen, dans des lunettes de soleil ; la mode et bien nourri comme un chat gros.
          -Colonel. Sans blague. Je prendrais garde au cadeau pareil. Ils sont capables de pourchasser pire que la police criminelle.
          -Il ne poss;de personne que moi ici la voix d;cisive, - le Colonel dit et il m;me enfin est tomb; dans l'image.
          -C'est-il lui, - c';tait le mot qui du vieillard s'est ;chapp;. Il regardait ; l';cran, ayant l'air mena;ant, et continuait:
          -;a veut dire que ton surnom est Colonel? Je crois que tu ne devras pas commander longtemps apr;s ;a. Olesya, est cette jeune fille de Tch;tch;nie qu'ils ont tu;e?
          -Oui, Paul. C'est terrible! Quelque temps a pass; d;s qu'a-t-Olesya appuy; "la pause". Le vieillard n';tait pas contre et continuait la conversation:
          -Je sais, tu n'as trait; jamais ;a. Tch;tch;nes sont un peuple admirable, bien s;r, si peut-on parler comme ;a de n'importe quel peuple de tout. Encore dans l';poque de Staline ont-ils sauv; des vies de beaucoup de dissidents. Ils les cachaient et ainsi de suite. Soljenitsyne a ;crit de ;a. Ils n'ont pas l'habitude de maltraiter quiconque sans raison. Pour ;a ont-ils la coutume de venger. S'ils sont vindicatifs, je suis le m;me. Je ne peux pas oublier certaines faces du camp de prisonniers. S'il y a un d;sir, je suis capable de les tuer tout de suite. Es-tu surpris que je dis les choses pareilles, en ;tant un chr;tien.
          -Explique.
          -Le Seigneur pardonne les gens qui viennent de se repentir. Mais ne se repent presque personne. Par exemple, je pardonne ; Balda pour tout, car il est mon fr;re de la foi, malgr; le fait qu'il est un baptiste. La chose principale que je sais, sa repentance est sinc;re. Tu le sais. Il habite ce village.
          Olesya hocha. Elle connaissait tous les habitants du village, laisser les la voir serait un risque. Le village ;tait en voie de disparition, car il y ne reste que les vieillards et vieilles. Les autres se sont all;s aux villes. Olesya laissa aller le bouton de "pause" qu'elle avait appuy; en commencement de la conversation avec Paul.
          Colonel regarda ; la fille Tch;tch;ne s;v;rement et m;prisant. Quant ; "l'homme d'affaires, son surnom s'av;ra "Donut", il ne retira encore ses lunettes jusqu'; pr;sent. Il s'approcha de Colonel, se leva la pointe des pieds et chuchota ; lui quelque chose ; l'oreille. Le regard de Colonel  devint plus mal;fique. Enfin pronon;a-t-il:
          -Tu entends, b;te? Nous n'avons pas besoin de ton argent! Deshabille-toi!
          Il para;t que la fille ob;issante commen;a ; d;boutonner sa robe en haut. Soudain, elle sortit un grand couteau du sein et frappa Colonel dans l'abdomen, n;anmoins l'acier brillante cogna quelque chose de dur. C';tait un gilet pare-balles situ; sous la veste en jean. Elle a r;ussi ; frapper en deuxi;me fois, mais elle manqua le but et au lieu du cou frappa le couteau dans un os en haut de la poitrine. Elle n'avait assez de force ; percer l'os. En m;me instant, la fille attaquante fut faite tomb;e par Donut. Il la frappa ; coup de pied dans le plexus solaire presque de toutes ses forces, mais cri aigu de Colonel "Arr;te!" le mit dans un ;tat second et le coup s'est av;r; doux.
          -Je viens de vouloir de mieux, pronon;a le type dans lunettes, avec l'air coupable. - Elle te pouvait blesser gravement.
          Colonel d;boutonna la chemise en haut. Le sang suintait un peu de la blessure fraiche.
          -C'est vous, deux pigeons qui ont manqu; la fouiller. On pouvait voir que Donut ;tait pr;t ; se mettre ; genoux. - Eh bien. Les balafres ornent. Allez, Donut, appelle Malingre, - ordonna le colonel.
          -Malingre! Malingre! - Donut cria de toutes ses forces jusqu'au degr; qu'il est rougi.
          Malingre est venu en courant avec grand bruit, ; en juger par le son, il vient de monter l'escalier de telle mani;re, en respirant difficilement.
          -Vous deux, la surveillez. Je me vais ; me panser. Vous devrez travailler, comme un ch;timent pour ce que vous avez manqu; de la fouiller.
          Maintenant, la fille se leva.
          -Allonge-toi! - Colonel et Donut ont cri; ; la fois.
          -Ne la frappez pas. J'ai besoin d'elle fra;che. Elles sont toutes vierges l;-bas, m;me lorsqu'elles ont 18, si ne sont pas encore mari;es. Si elle r;siste, mettez ses deux bras derri;re dos et jusqu'; la nuque et la laissez m'attendre.
          -Peut-;tre nous la laissons aller? - Malingre a prononc; de la mani;re obs;quieuse et implorante. - S'ils nous trouveront, qui ira se passer ensuite? Ils sont pire que les flics, vengeront. On d;solera pour la jeune fille.
          -Quand as-tu appris ; d;soler? Peut-;tre veux-tu te justifier devant la cam;ra? Fais pas ta fiotte. Malgr; le fait que je tiens des cassettes pareilles, il y a l'alarme. Tous les flics sont n;tres. Les voleurs me connaissent et ne risqueront pas. Peut-;tre les humano;des arriveront-ils ; voler la cassette puis moucharderont ; son aoul montagnard? Je vais ; revenir et nous la m;nerons en excursion, - Colonel a souri vicieusement et est sorti.
          Il y a eu changement de l'image. C'est comme si un souterrain. C'est probablement dans un une cave ;quip;e de la mani;re particuli;re. La jeune fille est encore habill;e, m;me dans le foulard. Il y a une grille tr;s ;paisse et un jeune homme au-del; de la grille. C'est terrible ; regarder ; la face, toute bleue et avec les ;coulements du sang dess;ch;s. Un ;il est ferm; et d;pass; comme une boule. Le deuxi;me est regardant sans aucune ;motion.
         -Bonjour, nullit;. Oh non. Votre majest;. Comment avez-vous dormi? Comment les mouches n'ont pas chi; sur vous? Je vois que l';il n'est pas crev;, - Colonel se tourna ; Malingre. - le boxeur es-tu m;diocre, -   puis au prisonnier de nouveau. - L';il pourrait gu;rir, mais tu ne survivras pas jusqu'; ;a. J'ai amen; la femme ; toi. Nous marierons vous deux aujourd'hui, postmortem. Est-ce que tu avais besoin de deux yeux, si tu n';tais pas capable de voir que personne que moi est le pouvoir ici? On t'a pr;venu que cet endroit est le mien maintenant, - apr;s dire cela il se tourna ; la fille.
          -Colonel, dis ; elle plus lentement, elle n'est pas capable de comprendre russe assez bien.
          -Est-ce que tu as un d;sir de voir telles choses qui ne peuvent d'habitude d';tre vues m;me au cauchemar? Non. Nous ne te toucherons pas mais te mettrons sur une chaise et attacherons. Et tu verras tout, comme au th;;tre au premier rang. As-tu vu jadis comme un ;tre humain br;le vif? Ou comme on ins;re un fer ; souder ardent au cul de quelqu'un? Ou par exemple, comme on force ; manger propre main coup;e avec garniture? - Il disait ces choses terribles de telle fa;on et intonation, comme si demanderait-il sur les voyages: "Avez-vous ;t; en Floride. Avez-vous ;t; aux ;les Canaries? Est-ce que vous a visit; Rio de Janeiro? Puis Colonel continuait:
          -Ici c'est moi qui suis le pouvoir. Et le pouvoir doit ;tre cruel et horrible, sinon ce n'est pas de pouvoir.
          -Mais qu'en est-il du pr;sident des ;tats Unis? Il ne tue personne et ne brule, - l'inconnue fille malheureuse commen;ait ; ouvrir les yeux dans la situation extr;me.
          -Ca c'est une putain! De quoi dit! Tous vous regardez l;-bas. Traitres. C'est juste qu'on vous a expuls;. Mon grand-p;re au NKVD travaillait. Il cassait les gueules ; tels traitres en 1937 et apr;s. Il les accrochait par les cheveux, for;ait ; ;tre debout pendant deux semaines. Si tu r;sistes, nous torturons horriblement cette b;te qui est au-del; de barreau et ne le laisserons mourir deux heures et tu regarderas ; tout ;a.
          -N;anmoins, vous nous tuerez malgr; tout.
          -Si tu ob;is, nous ne vous deux que fusillerons tranquillement et c'est tout.
          Elle enleva son foulard ostensiblement.
          -Pr;parez la chambre pour nous.
          -Que veux-tu dire?
          -Retirez de vue tous les objets perforants et coupants.
          Il y a le changement de l'image encore. La m;me sc;ne ;rotique puis suivait, n;anmoins sans le sex oral, parce qu'on pouvait attendre n'importe quoi de cette fille des montagnes.
          -Filmez, filmez-le sans timide, - la victime disait avec un accent particulier et elle comme si regardait directement dans les yeux du vieillard et d'Olesya.
          On ne pouvait pas le nommer un jeu d'amour. M;me ce n';tait aucune pornographie. C';tait un crime qui m;ritait en fait de la vendetta. En savant ce qu'avait eu avant et ce que va suivre, c';tait impossible de se distraire devant ces images.
          Voil; une image neuve. La lisi;re de la for;t. De gens scintillent dans la for;t, n;anmoins, c'est la bande de Colonel. On peut voir assez loin ; travers le champ. La fille est habill;e de nouveau et creuse la terre avec la pelle. Elle a l'air triste mais sans pleurer. Comme si elle creuse la tombe en fait, mais pas pour soi-m;me mais pour quelqu'un de proche. Colonel a siffl;. Donut et Malingre sont sortis de la for;t.
          -Est-ce que vous souvenez ma promesse de vous charger par un travail comme un ch;timent?
          Les complices viennent de faire attention et de rester immobiles, en attendant un ultimatum s;v;re.
          -Tout est assez simple. Elle ne peut pas s'enterrer avec ce con ensemble. Vous ;tes ceux qui les enterreront.
          Un soupir de soulagement retentit imm;diatement. Leurs visages et corps tendus devinrent vifs de nouveau.
          -Est-ce que vous voyez quel gentil suis-je aujourd'hui? M;me j'essayerai de causer la mort l;g;re ; eux, - Colonel dit pointant ; la jeune fille.
          Puis la cam;ra a pris le m;me type avec le visage cass; qui a ;t; derri;re la grille. Il fut couch; dans l'herbe haute partiellement attach;.
          -Je vais aussi ; expresser l'humanit; ; l';gard de ce type. S'il est battu je laisse travailler la fianc;e au lieu d'il. On parle de ce que les spectres viennent pendant quarante jours. Tu, ami, viens chez moi ; raconter, comme passerait votre nuit de noces chez vous dans l'autre monde. Tu promets?
          Le prisonnier taisait. Colonel cracha ; lui avec m;prise et s';carta. Apparemment, la fille creusait longtemps et la cam;ra ne fixait que petite partie du travail. La fosse assez profonde fut bient;t montr;e.
          -Bien jou;, fianc;e! Avant la mort as-tu travaill; bien. Ce sera estim; dans l'autre monde. Acceptes-tu de donner une interview avant la mort?
          Elle ne s'est pas fig;e, mais imm;diatement en rassemblant son courage, encore avec le m;me accent, mais clairement a-t-elle exprim;:
          -Je ne sais pas si les gens me jugeront, peut-;tre, Allah me punira ou pardonnera. Il est mis;ricordieux. Je peux faire des erreurs, mais je crois que j'ai agi correctement. J'ai commis honte afin que sauver un ;tre humain des terribles tourments.
          Olesya regardant tout cela avec attention, elle a ;clat; en sanglots en deuxi;me fois, elle a tomb; la t;te sur la table et a bloqu; le visage par les mains.
          -Tu es impressionable, c'est bien, reste comme ;a, mais essaye d';tre aussi robuste. Pas sans c;ur, mais sensible et robuste ; la fois. La chose comme ;a est possible.
          Voil; les prisonniers sont tous les deux ; genoux. Colonel est apparu en derri;re. Il tient le pistolet Makarov ; la main.
          -Je suis votre pouvoir, votre juge et votre bourreau, - Colonel pronon;a solennellement. Il ;tait bien remarquable qu'; l';gard de mot "pouvoir" n';tait-il point indiff;rent. Ce n';tait ni sadisme ni simple mal cruel, mais c';tait la soif de pouvoir sans mesure qui l'avait fait comme ;a. Ce n';tait que cette corde que le diable jouait, en anticipant de recevoir l';me d'il.
          On leur a montr; devant de nouveau. L'homme taisait triste, comme une idole mutil;e et d;pressive et la jeune fille eut mis les mains en pri;re et chuchotait quelque chose en langue natale et ses ;paules tremblaient.
          Et de nouveau la vue de la derri;re. Un coup de feu a sonn;. L'homme tomba sur le c;t; avec un trou dans la nuque.
          -Venir ; ton sens! Allah te punira! - la condamn;e ; mort a cri; soudain. Olesya a ;clat; en sanglots de nouveau. La fille p;rissante ;tait du m;me ;ge.
          Coup de feu encore. Deuxi;me, troisi;me... Le chargeur d;j; est vide, mais la fille continuait de prier, en pleurant. En rechargeant le pistolet, Colonel a cri; avec frustration:
          -Quelqu'un de vous! Apporte le pied-de-biche!
          Il a vid; le chargeur encore, mais la fille, en ;tant aux genoux, priait encore. Il ;tait un bon tireur, mais il paraissait que les balles s';cartassent de la trajectoire pr;d;termin;e. La col;re et l'horreur superstitieuse et inconsciente l'ont domin;. Il a arrach; le pied-de-biche des mains de Donut qui vient d'arriver, est couri ; la victime et l'a frapp; sur la tempe du c;t; droit. Il ;tait entendu clairement comme quelque chose a craqu;, un faible cri et le sang, beaucoup de sang...
          Un gros plan du visage affole du coupable principal de la trag;die qui vient d'arriver, est apparu sur l';cran.
          -Chacun et chacune qui est contre nous, ils finiront de la fa;on pareil, car nous sommes le pouvoir! Le pouvoir! Le pouvoir! il r;p;tait fr;n;tiquement comme un orateur naziste.
          Donut et Malingre, ils jet;rent les cadavres ; la tombe qui vient d';tre creus;e. Ils ;taient comme si des maisons avec foyers qui ne se sont refroidis encore, les ma;tres de lesquelles viennent de se mettre en voyage inconnu. Un jour reviendront-ils dans ce monde ; ;tudier la science ;ternelle de la vie, mais dans l'instant donn; ont commenc; ; tomber des mottes de terre sur eux. Deux complices nivelaient soigneusement ce point de terre perturb;e ; la fin du travail. Ils faisaient le gazon qui ne distinguerait pas de l'environnement et l'ont arros;. Dans quelques jours, il ne restera aucune piste de la trag;die, mais un simple ramasseur de champignons qui marcherait ici par hasard, il essayera de passer cet endroit plus vite, sans savoir pourquoi.
          Colonel est apparu sur l';cran de nouveau pr;s d'une cl;ture de pierre au-del; de laquelle les chemin;es d'usine fumaient. Il y avait une quinzaine des hommes du gang avec il. C';tait une bravade devant la cam;ra sous la forme du rapport sur les "prouesses" de la bande criminelle. Ils parlaient sur des morceaux friands qu'ils avaient r;ussi ; arracher dans les trois arrondissements. Comme il est apparu, le jeune homme qui est fusill; ; l'or;e de la for;t, il ;tait un chef d'une "toit" de gang. Il se pr;cipita ; monter l'escalier social par la voiture d'enfer comme un papillon de nuit au feu et il ;tait ;cras; par cette voiture. Ils gardaient prudemment le silence sur la fille Tch;tch;ne. Un des salauds se s;para du groupe et pronon;a brusquement, en regardant directement dans les yeux des spectateurs.
          -Nous sommes le pouvoir et ils doivent avoir peur de nous. Nous promettons que la s;rie deuxi;me sera plus horrible.
          -Je vais essayer que la s;rie deuxi;me ne sorte jamais, salauds! - Paul pronon;a avec la haine dans la voix. En premi;re fois le vit Olesya f;ch; comme ;a. Il se rendait compte que ce serait une b;tise mais il avait d;sir ; jeter quelque chose de lourde ; l';cran.
          -Est-ce en fait que tu es capable les vaincre?
          -Je te d;j; dis que je suis un magicien et on peut les vaincre facilement si on agit correctement.
          -Et quel magicien es-tu, m;chant ou bon? - Olesya questionna de la mani;re s;duisante.
          -Je tellement veux ;tre bon! Mais je ne sais si je pourrais, - le vieillard r;pondit. - Alors, je vais me reposer, quant ; toi, r;cris la cassette. Les le;ons et tout d'autres sont annul;s aujourd'hui. Parce que tu as re;u une grande le;on! Elle est plus importante que toutes les autres!
          Apr;s avoir r;fl;chi un peu encore, Paul a r;sum; ce qu'il avait vu:
          -Je ne voulais qu'aider les amis de mes amis et j'ai telle fosse aux serpents, J'AI D;TERR; TELLE FOSSE AUX SERPENTS!

                Chapitre XI. Le linge sale.
          Les cataclysmes sanglants des ann;es trente et quarante qui frappaient presque tout le monde comme les ;pid;mies de peste au moyen ;ge, maintenant ils sont devenus silencieux, en partant, ont-ils clignot; comme deux soleils mortels au-dessus du Japon. La glace froide sans vie a gel; le soi-disant le camp socialiste. ; premi;re vue parfois pouvait-on voir des gens dans la rue qui souriaient, m;me riaient et parlaient vif. N;anmoins, c';tait des zombies. Ils r;fl;chissaient d'identique mani;re, ils ;taient habill;s de la m;me mani;re, ils aimaient (comme si) les chansons et films identiques, m;me des partenaires sexuels choisissaient-ils aux crit;res identiques. Quant ; ceux qui ne pouvaient pas ou ne voulaient pas d';tre identiques, on les an;antissait, mais maintenant on le faisait de l'autre fa;on et discr;tement.
          Le harc;lement ; l';cole, le harc;lement ; l'arm;e, la perte d'emploi, le lancement eux jusqu'aux ;chelons les plus bas de l';chelle sociale, les conflits accidentels et fatals, les maisons de fous, les concentrations camps qui distribuaient l'homosexualit; avec l'hostilit;; la mentalit; et l'opinion publique qui pr;nait en fait l'impi;t;, l'ivrognerie, l'agression et le suicide en cas de certaines sortes des ;checs dans la vie. Tout cela fonctionnait comme les pi;ges bien mises pour ceux qui ont os; exprimer une dissension. Apr;s avoir mis les pi;ges, le chasseur peut mettre son fusil de c;t; et se reposer.
          Comme un faisceau de petite lanterne dans l'obscurit; totale, il ne fait que souligne cette obscurit;, de la m;me mani;re le d;gel de Khrouchtchev, a-t-il servi comme le m;me contraste, en soulignant la fermet; et inviolabilit; de l'ordre public corrompu et glacial. Le mal apocalyptique a fait l';change. En faisant certaines concessions, il a re;u en retour "la paix et l'ordre". Beaucoup de gens dup;s croyaient comme si cet ordre serait ; jamais. Beaucoup d'entre eux aussi croyaient comme si les gens vivent de cette fa;on partout et les pays ne sont que rivals qui reprochent l'un l'autre en d;tails, en ;tant identiques en fait. En r;alit;, cet ;quilibre ampoul; ;tait comme une souche pourrie. Et voil; enfin, grace ; les presque imperceptibles mouvements de la vie qui ne peut pas s'arr;ter, cette "souche" a commenc; ; se ruiner.
          La respiration fra;che de la vie se pr;cipitait dehors et ;tait-elle en train de casser les obstacles anciens comme l'herbe de printemps casse l'asphalte. C';tait la fin de d;sespoir et de d;solation! Enfin, on peut vivre comme on lui plaire; on peut aimer comme il est propre ; la nature personnelle d'individu; acheter et vendre librement; faire affaire librement, ouvrir une entreprise propre et n';tre pas consid;r; ; cause de cela, comme un criminel. Assez beaucoup de gens exprimaient les plus brillants espoirs et c'est naturel. De la m;me fa;on au printemps, lorsque la temp;rature atteigne 5 d;gres au-dessus de z;ro, il para;t que l';t; est en train de commencer. De la m;me fa;on quelqu'un qui a re;u un bon prix, il se sent comme s'il deviendrait Rothschild.
          Le mal ne voulait pas s'aller. Tandis que beaucoup ;taient heureux gr;ce aux changements et commer;aient librement o; qu'ils soient, le mal recherchait fr;n;tiquement les moyens nouveaux de s;jour dans cette partie de la terre. Il n'y avait pas difficult;s avec ;a, parce qu'il y avait eu assez des exemples de la prosp;rit; du mal en condition de l'entreprise occidentale libre, y compris, en Sicile et dans les plus arri;r;s quartiers nationals de New York. Sur le territoire de l'ex-URSS, l'essence humaine en ;tant bien corrompue par l'esclavage et le rouge fascisme, elle s'est av;r;e tr;s convenable pour les exp;riences neuves. Tous d'un pays transformait graduellement en similitude d'un quartier arri;r;. Il y ;tait en train d'avoir une division du territoire. Tous ceux qui faisaient des affaires, ils devaient maintenant payer soi-disant "toits de gang", dont repr;sentants ;taient en fait les soldats des formations ill;gales qui ex;cutaient si n;cessaire des fonctions de s;curit; et si n;cessaire des fonctions punitives. Il y avait au-dessus d'eux des fonctionnaires corrompus locals et des employ;s anciens des dissous d;partements du KGB qui ont commenc; ; servir des admirables instructeurs de la violence et des actions punitives, car ;'avait ;t; leur sp;cialit;.
          L';tat s'est lav; les mains. Il pouvait maintenant ;tre consid;r; comme celui-ci d;mocratique, consid;r; comme un pays qui permet d’esp;rer qu'il s’am;liorera devant les pays occidentaux avanc;s, pour obtenir plus les pr;ts occidentaux et d'autres avantages des relations internationales qui sont en train de s'am;liorer. Et le sale boulot, ; cause de lequel le pays ne pourrait pas s'approcher du monde civilis;, maintenant ;tait ex;cut; par les m;mes "toits de gang". Non seulement l'argent allait aux mains en haut avides gr;ce ; ces groupements. Les gangs aidaient au pouvoir ; garder toute l'entreprise sous contr;le. C'est ce qui est tr;s important pour les coutumes de l'esclavage f;odal de ce pays, o; les gens libres avec le respect de soi ;taient toujours d;test;s et consid;r;s comme effrayants. Ces gens pourraient cr;er beaucoup de corporations ind;pendantes, sans salet; traditionnelle de l'entreprise russe qui est un grand obstacle du d;veloppement ;conomique. Gr;ce ; l'absent de la salet; r;ussiraient-ils beaucoup et les idiots arrogants seraient abandonn;s sur la touche, comme la ris;e du monde entier. Mais les gens qui ne sont pas paresseuses qui sont pr;tes ; travailler bien, ils vivraient sans doute dans le contentement et la prosp;rit;. Ce serait la fin pour les "rois" locaux, c'est pourquoi les id;es contre l'Ouest ;taient mis en t;te aux hommes ordinaires.
          Les initiatives les plus brillantes et les plus avanc;es de l'Ouest, apr;s avoir atteint les fronti;res de la Russie, subissaient une transformation monstrueuse, en devenant des caricatures d;form;es au-del; de la reconnaissance de soi-m;me. Un exemple avec "Herbalife" est assez. C'est ;videmment si comparer combien des gens avaient ;t; qualifi;es dans les ;tats Unis, en Allemagne et en Isra;l et personne en Russie. (Selon les donn;es du revu "Herbalife to-day" en 1995)
          Voil; pourquoi on jouait la carte patriotique si passionn;ment. Les communists qui ont ador; en premier lieu l'idole de la "M;re-Patrie" et en deuxi;me lieu l'idole de L;nine, ils non seulement n'ont pas ;t; expos;s ; la "chasse aux sorci;res", mais il n'y avait eu aucun proc;s ; la Nuremberg contre eux, pour mettre au pilori la diabolique science de Marx ; jamais, car le fruit de cette science a ;t; devenu le g;nocide inou;.
          Le mal apocalyptique en l'URSS ancien avait besoin de deux conditions: 1)Que la communaut; globale le tol;rerait. 2); garder le plus de ses postes possible. Comme en 1956, de la m;me mani;re en 1991 devait ce mal faire des concessions qui n';taient pas petites. Et la soi-disant d;mocratie, malgr; toutes ses difformit;s ;tait-elle bien meilleure que l'injustice ancienne du pouvoir sovi;tique. C';tait encore loin de "l';t;", n;anmoins, "l'hiver" d;j; s'est fini. La plus probable que ce f;t "le d;but du printemps".
          La guerre qui n';tait pas trop perceptible entre les "toits gang" pour les sph;res d'influence, allait terminer. Qui devait ;tre au-dessus de ces "brigades", c';tait d;cid; "en haut". Le groupe qui oserait menacer sans accord "du haut", elle serait an;antie par l'OMON imm;diatement. Le destin de chaque son membre ne distinguerait pas du destin d'un petit voleur qui est arriv; ; la ville inconnue et a essay; de faire les poches et est attrap;.
          Colonel travaillait ; l';poque de Brejnev en Mordovie comme un investigateur, au rang de capitaine de la milice. Sa passion maniacal de devenir un colonel, a ;t; la raison du surnom qui n'est pas si rare. Il avait sur les bras beaucoup de victimes innocentes, beaucoup de personnes qui ;taient emprisonn;es sans ;tre coupables et beaucoup d'ann;es que ces gens avaient y souffert. Beaucoup de ceux qui ne voulaient pas avouer les crimes qui avaient ;t; commis par les autres, ;taient-ils mutil;s par il avec ses coll;gues. Cela aidait ; ressentir lui la puissance, ; se d;lecter d'elle. Cela aidait lui aussi ; lutter pour plus de puissance. Cette passion ;touffait en lui tout le reste d'humain. ; cause du mode de vie comme ;a ne pouvait-il pas faire sans attaques du mal de quelque chose d'inexplicable. Parfois, il r;ussissait ; neutraliser partiellement ces attaques de la d;pression ; l'aide de la d;monstration du pouvoir sur les pr;venus et suspects. Malgr; sa vanit; et son catissage brillant, il ;tait tr;s malheureux et rendait kes autres malheureux.
          ; l';poque de la perestro;ka, lorsqu'on a commenc; ; l'appeler un chat un chat d'abord timidement puis ; la mani;re assur;e, il ;tait d;masqu; soudainement pour lui-m;me. Pendant le travail en Minist;re de l’Int;rieur a-t-il r;ussi ; voler beaucoup et encaisser des pots-de-vin et aussi ; obtenir des connexions qui se sont av;r;es maintenant tr;s utiles. Mais la plus importante aide que les protecteurs puissants pouvaient apporter ; lui, ce n';tait que le d;barrasser de l'emprisonnement prolong; aux camps. Il ne se rendait compte qu'apr;s quelque temps que la proposition de partir de son propre fait et de partir de Mordovie ; jamais avait ;t; la plus grande aubaine pour lui. N;anmoins il l'a compris comparativement vite. Y compris, un homme de ses amis de haut rang, dont le grand-p;re a ;t; un bourreau dans la Loubianka aussi, ils ;taient ; table tous deux avec une bouteille de cognac et cet homme ont expliqu; ; lui ce qu'il m;me d;j; commen;ait ; comprendre:  le retour ce qu'il a ;t; avant la perestro;ka n'est pas possible. M;me s'il est possible, il ne sera rien qui ressemblerait au pass;. Il faut chercher sa place jusqu'; ce qu'il ne soit pas trop tard, c'est-;-dire, ; occuper sa propre niche dans la situation qui s'est chang;e.
          Apr;s avoir  vendu l'appartement ; Saransk, Colonel a achet; une datcha pr;s de Moscou. Il imm;diatement ;tait mis comme le brigadier d'un des "toits de gang", bien s;r, une aide "du haut" a eu lieu. Apr;s avoir re;u cette place en fait bien r;mun;r;e, il a fait des ;conomies pour l'appartement ; Podlipki et il s'est install; fermement dans la r;gion de Moscou, en enlevant des meilleurs morceaux un par un des autres hommes d'affaires. Les protecteurs l'arr;taient d'habitude, quand il allait au;del; des mesures, ils lui faisaient des allusions, o; on peut et o; on ne peut pas, et il avait appris ; comprendre ces allusions bien. ; son tour essayait-il d';tre utile ; ses ma;tres, mais l'intuition leur sugg;rait m;me sans ce fait qu'il est l'homme qui appartient ; leur cercle. Il se rendait compte bien que presque tout est permis ; lui. Il n'y avait qu'une line qu'il ne fallait pas traverser; c';tait la perturbation de l'opinion publique, mais il n'avait aucun besoin de cela. Quant aux fusillades tandis qu'il y a la division de territoire, tout le monde y est d;j; habitu;. S'il m;me ou les gens de son gang "s'amusaient" avec les jeunes filles, les victimes ;taient choisies selon certains few signes et le principal d'eux ;tait le fait que la victime elle-m;me voudrait faire comme s'elle serait invit;e ; venir et est venue ici gr;ce ; sa propre initiative, parce qu'elle ;tait sans pr;jug;s et choisissait une option raisonnable, apr;s de laquelle le loup est repu et la brebis est indemne, et elle se rendait compte que r;sister ou plaindre serait impensable et inutilement. ; objectivement le regarder, il ne serait pas correctement, si le consid;rer comme un crime grave, parce que la plupart des victimes ne sentaient qu'un petit malaise moral. Tr;s diff;rent si la victime consid;rait que sa vie est ruin;e apr;s cela. Comme d'habitude c';taient les filles qui sont venues des campagnes lointains diff;rents. En cas comme ;a, ils la faisaient de boire de la vodka ou des drogues bon march; et les poussaient hors de la voiture sur la route loin de leurs repaires. Quand une jeune fille de la nationalit; qui est capable de se d;fendre ;tait attrap;e, Colonel a d;cid; d'agir sans c;der. Ce ne l'a que provoqu;. ; montrer ; tout le monde, y compris, en premier tour ; soi-m;me qu'il n'y a rien qui pourrait ;tre exception ; l';gard de son pouvoir. Afin de ne pas cr;er un probl;me inattendu, il a tu; la victime et un concurrent d;sob;issant avec elle, au cas o;.
          En travaillant avec les documents vol;s, Paul est arriv; ; conclusion que l'initiative de capturer des points rentables allait en g;n;ral de Colonel qui avait le soutien des personnes assez influentes du minist;re de l'Int;rieur. Bien qu'ils ne se soucient pas de l'ordre dans lequel les dollars ont ;t; m;lang;s ci-dessous, n;anmoins, ils ne voulaient laisser ;tre offens; leur chien fid;le qui les avait bien servis. Si leur enfant emporte des jouets o; il ne sera pas des cons;quences ind;sirables, laisse le s'amuser.
          Paul se rendait compte, comme grand chanceux a-t-il ;t;, mais regrettait ; cause de tr;s lourd prix que certains gens avaient pay;: la vie de la victime innocente est perdue. Il pourrait ;liminer cet homme sans cela, monter les salauds l'un contre l'autre, comme avait fait-il dans le pass; plusieurs fois. ;galement regrettait-il, car il comme si tire sa poudre aux moineaux. Seulement, lorsqu'il avait eu soixante-dix, il a compris que la profession d'un ;claireur, c'est-;-dire, de l'agent secret serait pour il plus pr;f;rable que celui-l; de l'acteur. Il se rendait compte que selon sa vocation serait-il mieux pour il de na;tre au Japon m;di;val, par exemple, en clans Iga ou Koga, o; il pourrait devenir un ninja de haut degr;. N;anmoins, Seigneur a d;cid; de l'autre mani;re et ;a signifiait que ce destin est mieux pour il, cette exp;rience est plus utile pour il que n'importe quelle d'autre qui para;t que plus s;ductive et ; premi;re vue plus convenable. N;anmoins, c';tait un peu ennuyeux malgr; tout, car o; est-ce qu'il pourrait ;tre un professionnel et obtenir un r;sultat similaire les mains vides, mais au lieu de cela devait-il appliquer un outil si puissant, ; l'aide de lequel pourrait-on renverser le monde.
          Mais il ;tait consol; ; cause des t;ches plus difficiles qu'il m;me a invent;es et avait ; accomplir. ; enseigner Albert non seulement la t;l;portation qui ;tait comparativement facile, mais aussi faire de lui un agent du monde vif et ; infiltrer lui en ce monde des gens stupides et m;chants. Aussi quant ; Olesya. M;me souvenant le nom d'elle, il se sentait plus jeune. Pendant un certain temps, il ne faut pas l'enseigner la t;l;portation, mais apr;s la mort d'il doit-elle ;tre capable de se d;fendre. Elle devra r;ussir ; trouver autre amant, soit il sera vieil s'elle aime tels amants, mais soit il ne sera ni idiot ni traitor.  ; tout prix, pendant il est vif, il faut faire d'elle une citoyenne des ;tats-Unis. N;anmoins, il n'est capable t;l;porter que seule. Le vieillard ne savait pas de mani;re approfondie l'essence du m;canisme de la t;l;portation qu'il utilisait. C'est probable que l'aura environnante lui emporte avec elle le v;tement qu'il porte et toutes les choses qui sont dans ses poches grandes, y compris m;me la hache. Mais il ne pouvait pas prendre les autres gens avec il, m;me en ;tant c;lin;s. Il ne pouvait pas prendre avec il une grande valise aussi. En dernier recours pouvait-il par exemple t;l;porter ; New York en restant la main qui est en train de tenir la valise en r;gion de Krasno;arsk, puis laisser la valise et sortir la main ou revenir enti;rement sans l;cher la valise de la main. On ne pouvait pas t;l;porter avec des personnes et grandes choses.
          Le vieillard r;fl;chissait de tout ;a, en accomplissant un travail monotone. Bas; sur les mat;riaux collect;s, il ;tait en train de r;diger un texte qui aiderait aux proches de la tu;e fille Tch;tch;ne ; ex;cuter l'acte de juste r;tribution. Le texte sur lequel y avait-il beaucoup de ses empreintes digitales, il a photocopi; et ne touchait qu'; travers des gant;s ou plus souvent ; travers d'autres papiers. Il a d;j; r;crit plusieurs fois cette vid;o sinistre. La cassette originale d;j; est remise ; sa place depuis longtemps. Quand tous les mat;riels ;taient pr;ts ; transf;rer, il allait comme d'habitude ; dire au revoir ; Olesya et auparavant avait dit qu'il parte et reviendrait ; minuit. Elle ne savait rien pour la t;l;portation et croyait que le vieillard va ; la ta;ga personne ne sait pa pourquoi. Elle croyait que toute cette "fosse aux serpents", comme le vieillard l'avait intitul;, se trouve ; Krasno;arsk. N;anmoins, s'il se rendrait ; Krasno;arsk par transports en commun, en ;tant sorti de la maison t;t le matin, ce serait un probl;me de r;ussir ; revenir ; minuit de la m;me journ;e. C'est probable qu'il fait de l'auto-stop pour l'argent. Le cool vieillard-amant d'elle ne cachait pas le fait qu'il a beaucoup de dollars dans les poches. Les paysages du film ne la faisaient pas suspecter comme si Paul parte lointain et rapidement. Les m;mes bandits avaient pu visiter les villes ;loign;es, en premier lieu ; la Capitale, o; ils avaient enlev; la jeune fille. ; la fin, le vieillard pouvait influencer la situation par l’interm;diaire d’amis qu'elle ne savait pas.
          Elle-m;me ne pouvait pas s'exposer devant les habitants du village. Ils pouvaient connecter avec la milice et elle pourrait ;tre ramen;e de force ; l'orphelinat o; ceux salauds-l; la maltraiteraient de nouveau. Sans d;sir rester chez soi quand il fait tel bon temps, elle a demand; ; se promener dans la ta;ga. Le vieillard l'a amen; ; travers le passage secret. La cl;ture s;parait de la for;t la partie arri;re de la cour. Il y avait une porte discr;te dans la cl;ture. Elle a vu que les poches de vieillard ;taient remplies ; la limite. Apr;s ;tre march;s un kilom;tre et demi, ils ont dit au revoir et le vieillard a interdit strictement ; elle de lui suivre. Il y a cinq minutes, comme il s'est all; et, n;anmoins, elle a d;cid; de le suivre. Elle a couru sans bruit au c;t; o; il pouvait se trouver, mais Paul comme s'il soit tomb; dans l'oubli.

                Chapitre XII. Itchk;rie.
          Le vieillard Paul n';tait jamais dans la Tch;tch;nie montagnarde, mais il ;tait ; Grozny plus d'une fois. Directement de la ta;ga a-t-il t;l;port; ; une des ruelles sombres de cette ville. Cet endroit ;tait proche de la gare routi;re. Il y a quelques jours, il d;j; a ;t; ici pour apprendre l'horaire. Il ;tait encore t;t le matin. Le seul autobus vers Shatoy devait se mettre en marche dans d;mi-heure. Paul a achet; un billet de bus et essayait de rester plus imperceptible. Il ne prenait jamais le passeport avec il, ce n';tait que des exceptions rares, sinon Albert juste ne croirait pas quel ;ge a-t-il et il passerait devant l'ami neuf pour un menteur et par cons;quent comme un homme pas assez intelligent. M;me maintenant dans l';poque d;mocratique pouvaient-ils le d;tenir ; milice sans raison, juste par vieille habitude, notamment sans passeport. N;anmoins, il serait pire avec passeport, parce que l;-bas il est ;crit, qui est cet homme et d'o; est arriv; celui-ci qui est capable de dispara;tre de la cellule de telle fa;on merveilleuse. Ils emporteraient les preuves qui sont recueillies contre gang de Colonel, y compris la cassette, et il devrait travailler de nouveau et puis aller ; travers ce point plus encore. En addition, sa personne int;resserait les autorit;s comp;tentes plus que tous les crimes de la "fosse aux serpents" ensemble.
          Tout a pass; bien et dans demi-heure ;tait-il assis sur le si;ge arri;re de l'autobus pr;s de la fen;tre. La ville bient;t ;tait quitt;e en arri;re et l'autobus roulait maintenant ; travers la steppe un peu vallonn;e et monotone et la petite diversit; ;tait ajout;e par les villages avec petites maisons blanches en briques de l’adobe.
          La vue de fen;tre a chang; imm;diatement dans le grand settlement Tchichki. Encore en avant d'arriver ; ce village, des pentes herbues de petites montagnes ont paru au-devant qui ;taient couvertes par endroits par les arbres, peu ressemblaient et ces collines peu ressemblaient aux collines de la Sib;rie orientale. ; Tchichki d;j; ;taient debout les montagnes de tous c;t;s. Beaucoup de monde sont descendus de l'autobus, autres gens sont entr;s. Ils parlaient beaucoup entre eux en langue qui la prononciation de laquelle semblait dure mais belle, avec les inhabitudes intonation et rythme. Il semblait que personne ne faisait attention au vieillard, mais ce n';tait pas en fait comme ;a.
          Sur le chemin plus loin, la gorge a commenc; ; se r;tr;cir vite. Au lieu des pentes avec l'herbe verte claire les murs s;v;res de pierre ;taient debout maintenant, parfois presque verticals, parfois plus hauts que l'Empire State Building ; New York. La route bien serpentait au bord de l'ab;me et on pouvait entendre comme la rivi;re Argun rugissait en profondeur pr;s de soixante-dix m;tres malgr; le bruit de moteur. ;; et l; pouvait-on voir les pierres des tombes avec inscriptions en arabe. Parfois pouvait-on voir plusieurs tombes ensemble. C';tait donc que plusieurs victimes d'accident de voiture ont trouv; sa fin ici. Le vieillard regrettait qu'il n'e;t ;t; ici avant. Teberda o; il avait voyag; est une chose et ceci en est une autre. Chaque r;gion est belle de sa propre mani;re. Toute la Terre est belle et vari;e. Il avait eu tort quand depuis longtemps apr;s avoir visit; Teberda, il avait cru, comme s'il conna;t bien maintenant tout le Caucase.
          N;anmoins, il fallait r;fl;chir sur l'affaire aussi. Il savait depuis longtemps que le peuple vit ici de l'amiable mani;re et ne laisserait  pas offenser ; ses voisins du village, mais malgr; cela ne voulait-il pas que quiconque sauf les plus proches relatifs de fille p;rie voie les documents qu'il transportait avec lui. C'est pourquoi quand il est descendu de l'autobus, il essayait de ne parle avec personne et de ne questionner, comment se rendre jusqu'au village, dont il avait besoin. Il savait approximativement le chemin sans questions, car le village souhait; se trouvait sur la carte.
          Il d;j; a pass; Chatoy. La route se s;para de la gorge et maintenant passait ; travers du terrain accident;. Les pentes herbues approchaient de la route parfois s'en rompant abruptement, parfois doucement et devenaient la pelouse plate, comme pr;s de Moscou. Les arbustes se tenaient parfois sur les c;t;s, et il serait difficile ; les traverser. La for;t parfois aussi pouvait-on voir sur les montagnes, mais loin. Apr;s avoir march; pr;s de six kilom;tres, Paul est entr; de nouveau au grand village.
          Les passants que le voyaient au village, le regardaient avec curiosit;. Apr;s avoir pass; le centre du village, il s'arr;ta, en essayant d'incarner l'endroit dans la m;moire au cas o;, ; t;l;porter ici imm;diatement, sans faire un d;tour long ; travers Grozny. Trois gar;ons qui avaient environ dix ans coururent devant il et ils questionn;rent non assez correctement en russe:
          -Tu vas sur montagne?
          -Oui, - Paul r;pondit seulement, car il ne savait parler tch;tch;ne.
          Il alla plus loin et passants le suivaient par des regards surpris. Il comprenait, s'il parfois avait provoqu; l';tonnement des gens ; Moscou, dans cet endroit avait-il l'air notamment comme un corbeau blanc et la milice peuvent s'int;resser ; lui. Il alla plus vite et quand sortit du village, il s'arr;ta. Il ;tait en train d';tre debout pendant environ cinq minutes en apprenant le paysage pour t;l;portation de nouveau.
          En risquant de r;p;ter tous le voyage long, il t;l;porta ; un endroit de nocturne New York qu'il connaissait bien. Il ne pouvait s'habituer tout de suite ; t;n;bre et marchait presque aveugl;ment et bient;t sortit ; Broadway et il y avait eu autour de lui des tours, des grands immeubles, des magasins, des boutiques, des offices ferm;s et des paroles anglais malgr; l'heure tardive. Le bruit l'inattendu de beaucoup de voitures frappa les oreilles. Tout ;a l'excita un peu et quand il t;l;porta en retour, en couvrant les yeux par les mains, afin de ne pas r;duire la vue ; cause de la lumi;re soudaine du jour, il fut heureux, parce qu'il a r;ussi ; revenir ; l'endroit n;cessaire, en d;pit du fait que les paysages inhabituels ;taient plus difficiles ; m;moriser. Il faillit continuer de marcher avec sourire contente, mais il se rappela qu'il ne pouvait pas avoir l'air heureux, en portant le message tel terrible. Il s'arr;ta, pria et continua son chemin.
          Il restait trois kilom;tres ; marcher, de plus en plus pr;s. Au bord du village o; il vint, il y avait quatre hommes qui avaient environ de trente ; quarante ans. Ils ;taient debout et parlaient en leur langue. Le vieillard Paul s'approcha d'eux et pronon;a lentement et clairement:
          -J'ai besoin des proches de la jeune fille Souleymanova.
          Tous ils se fig;rent comme sur commande et le regard;rent comme si en questionnant.
          -J'ai besoin des tr;s proches relatifs de Souleymanova, - le vieillard r;p;ta lentement et clairement, - de la m;me fille qui s'est all;e ; Moscou et n'est revenue pas.
          Maintenant ils parlaient vite, comme si s'interrompant l'un l'autre. Enfin ce qui ;tait le plus ;g;, il cria brusquement quelque chose puis il pronon;a un monologue incompr;hensible. Apr;s cela se tourna-t-il au vieillard par dire:
          -Tu dois aller avec nous ensemble.
          Tous ils l'ont entour; et se sont dirig;s, d'abord au centre du village. Le vieillard ne parlait rien contre cela.
          -Est-elle vivante? - questionna un d'eux.
          -Non. N;anmoins, je sais qui a commis cela. J'ai toute l'information avec moi. Je suis venu pour raconter et montrer. Mais d'abord est-ce les plus proches relatifs qui devaient ;tre inform;s plus t;t que les autres.
          -Nous sommes tous proches relatifs d'elle et tu vas avec nous, o; il faut.
          Tous ils ont fronc; les sourcils et ont parl; tch;tch;ne de nouveau. Il y avait le seul homme qui eut parl; avec Paul, ;a voulait dire qu'il parlait russe mieux que les autres. Maintenant autre d'eux pronon;ait une longue tirade, comme s'il serait en train de jurer de quelque chose et ; la fois regardait-il ; Paul comme ; un cafard. Il paraissait que les autres le maintenaient dans le calme.
          -Je te questionnai: "Est-elle vivante?" Tu r;pondis: "Non", mais tu sais qui le fit. ;a veut dire, tu arrivas non demander d'argent, mais tu veux d;noncer ; nous ceux qui le firent. Sont-ils tes ennemis? Est-ce que tu ;tais la mafia, puis as-tu une querelle avec eux? Tu voulus que nous vengions?
          -Il n'y a rien de mauvais que je vais raconter et montrer la v;rit; ; vous. Mais d'abord, c'est les plus proches relatifs d'elle qui doivent ;tre conscients de ;a. Ils peuvent ne pas avoir d;sir de le montrer aux autres habitants du village. Elle est p;rie. Ils ont mal. Et tous le village le verrait.
          Celui-ci qui ;tait au lieu de traducteur, il se tourna ; celui-l; qui ;tait le plus agressif. Le regard m;prisant, bien qu'il ;tait encore sombre, mais maintenant, il vient de devenir interrogatif. Le traducteur se tourna au vieillard de nouveau:
          -Pourquoi dis-tu "montrer"? Pourquoi "tous le village verra"? Tu as une cassette vid;o? Donne-la ; nous, n'aie pas peur. Je ne plaisante pas et ne te triche pas. Cet homme, - il toucha par palme l'homme qui ;tait en train de regarder ; Paul, - il est le fr;re d'elle. De quel relatif proche encore peux-tu avoir besoin?
          Paul s'est rendu compte que m;me les Russes dans cet ;tat de choses, c'est la plus probable qu'ils s'abstiennent de tricher et de canular. Il a tendu au fr;re de la victime la cassette et plusieurs feuilles de papier reli;s par trombone. Il y avait toute l'information qui aiderait ; p;n;trer "au-del; des lignes ennemies". Les habitudes et inclinations des complices probables ;taient ici d;crites. Y comprises, tous les d;tails, m;me les codes des entr;es des immeubles n;cessaires, les sch;mas des appartements, les num;ros de t;l;phone et adresses, les plus probables endroits des s;jours de chaque complice certains jours de la semaine.
          -Ici, tout est film; qui s';tait pass; vraiment. Et ici, j'ai r;ussi ; rassembler toute l'information pour les trouver et les attraper.
          -Es-tu s;r que nous vengerons?
          -S'elle ;tait ma fille ou ma petite-fille, je m;me vengerais pour elle. Vous verrez que j'appris tout sur eux et c'est la t;che plus difficile que les tuer. Je-m;me pourrais le faire, mais d'abord faut-il apprendre la v;rit;.
          Il ;tait visiblement qu'ils ont aim; ce que le vieillard a dit. Celui-ci qui ;tait au lieu de traducteur, il a dit leur quelque chose, c'est probable qu'il ait traduit les mots de Paul. Ils parlaient longtemps et le traducteur enfin se tourna au vieillard.
          -Je m'appelle Sultan. Je suis d;sol;, n;anmoins tu nous as dit telles choses, nous devons v;rifier et apprendre tout mieux, c'est pourquoi nous te ne pouvons laisser aller. Jusqu'; l'instant quand nous saurons tous les faits, tu dois s;journer chez nous. Nous n'allons pas rapporter de toi ; milice, mais tu n'essaye pas de t';vader. Celui-l; que te gardera, il s'appelle Khalid. Si tu tentes de courir, il tira. Si tu es un homme honn;te, nous te laisserons aller apr;s tout. Si ce que tu as ;crit ici et as dit soit la v;rit;, nous pouvons m;me aider ; toi. La milice te cherche?
          -Non. Mais cet homme qui a commis cela, il a les connexions avec hauts patrons dans la milice. Ici, il est ;crit tout, - le vieillard pointa aux papiers pli;s en deux que le fr;re de la fille tu;e tenait dans la main gauche.
          -Nous avons nos propres connexions. Ses connexions n'aideront pas ; lui.
          -Tu ;vadais de la clinique psychiatrique qui est situ;e dans la ville Bragouny? - le fr;re de la victime a pos; la question de la mani;re inattendue. Il ;tait vu qu'il ne blague pas, mais se raccroche ; n'importe quelle version, comme ceux que se noient, ils se raccrochent ; une petite herbe. Parce que si tout cela est d;lire d'un fou, puis sa s;ur peut ;tre vivante.
          Ils ont quitt; la route il y avait longtemps et ils marchaient maintenant le long du sentier qui sinuait d'une fa;on compliqu;e parmi les arbustes. Ils ont atteint le haut, mais il vient de devenir clair que ce n'est pas un point haut, mais une diminution de la d;clivit;. La mont;e toujours continuait et est devenue bient;t escarp;e plus que qu'elle ;tait avant. Ils continuaient ; monter le sentier jusqu'; ce qu'ils se sont tourn;s ; gauche et leur chemin est devenu comparativement horizontal.
          Apr;s avoir entendu leur conversation, un homme ; la barbe noire sortit ; la rencontre. Il ;tait habill; en camouflage et portait le papakha malgr; l';t;.
          -As-salaam alaikum.
          -Wa alaikum as-salaam.
          La conversation continua de courte dur;e. L'homme barbu se tourna au vieillard:
          -Maintenant, tu vis chez moi. Je m'appelle Khalid. Ici, tu t'alimenteras normalement. Tu visiteras aussi la toilette comme d'habitude. Mais n'ose pas fuir, - et il pointa ; l';tui lat;ral, puis ; l'escalier, lequel le vieillard devait descendre.
          Il le descendit. La porte ;tait ouverte. Avant ;tre entr;, il se tourna ; Khalid et dit:
          -Tu n'auras pas ; tirer, parce que je te le jure que je n';vaderai pas ; travers la porte. J';vaderai ; travers le mur.
          -Il y a dix m;tres de la roche de pierre. Tu la rongeras par dents ou gratteras par ongles? Apr;s l'avoir dit, Khalid ;clata de rire d'une voix tonitruante, mais s'arr;ta soudain. Tous les quatre hommes qui l'accompagnaient, ils le regardaient et il a compris qu'on ne peut pas rire maintenant. Seulement, ils n'ont pas encore dit ; lui qui s'est pass; ; Moscou.
          -Ne laissez qu'un stylo et une feuille de papier ; moi, - le vieillard demanda, quand ils le fouillaient.
          -Tu veux ;crire des m;moires? - Khalid questionna. - M;me tu n'as pas l'arme?
          -Je suis arriv; non faire la guerre, mais ; raconter la v;rit;, c'est-;-dire ce qui s'est pass;.
          Apr;s avoir fouill; Paul, Khalid parla en tch;tch;ne de nouveau avec les accompagnateurs. Apr;s avoir parl; un peu, il se tourna au vieillard, en disant:
          -Il y a le repas dans la table de nuit. Voici la couchette. Il y a une toilette au-del; de cette porte. S'il est n;cessaire nous appeler, appui sur ce bouton. Voil; un interrupteur ; s'allumer la lampe. Ne casse rien. Sinon tu devras travailler ; compenser le dommage. Nous allons te traiter bien, car nous croyons que tu es innocent. N;anmoins, pas de mauvais tours.
          Khalid parlait russe avec grand accent, mais plus correctement que Sultan.
          -N;anmoins, je m'irai ; travers le mur, parce que je ne suis pas un ;tre compl;tement humain. Un homme ordinaire ne pourrait pas voler cette cassette de la mafia.
          -Ce serait bien si tu es un fou que se soit ;vad; de Bragouny. Puis pourrait-on esp;rer que sa s;ur soit vivante, - Sultan dit de la mani;re triste, en pointant Souleymanov.
          Tous ils sont sortis de la cave ; l'escalier et seulement maintenant remarqua-t-il que ce que se fermant derri;re lui est la porte lourde avec un judas comme en prison.
          Il fut assis ; table, sortit le stylo et un morseau de papier qu'ils laiss;rent ; lui. Il essayait d';crire en lettres d’imprimerie le long des lineas. Le feuill ;tait arrach; du cahier quadrill;.
          "Chers amis. Je ne voulais qu'aider ; vous. Quand vous le v;rifiez, vous verrez que tout ;a est la v;rit;. Puis vous comprendrez que je suis votre ami. Ne reprochez pas ; Khalid, car m;me un r;giment de soldats ne me pourrait pas garder, parse que je suis un extraterrestre. Allah suit avec vous! Pardon et au revoir ; jamais!"
          Un seul mouvement et il est dans la ta;ga. La nuit est comparativement lumineuse.
          -Hey! Olesya! Olesya! - Il cria de toutes ses forces.
          La voix r;pondit faiblement. Olesya ;tait ; port;e de voix, mais assez loin. Il se mit en marche ; la direction de la voix et bient;t ils r;unirent.

            Chapitre XIII. Meurtre de vendetta.
          Colonel n';tait pas un clairvoyant, ;a c'est s;r. S'il attendait un danger, puis du c;t; compl;tement diff;rent. Deux ses complices, Malingre et Donut, ils avaient toujours les pistolets avec eux et ils ne s;paraient jamais d'eux. Le chien de garde, fort et enseign;, ;tait toujours avec il aussi, quoiqu'il aboy;t souvent derni;rement sans raison.
          Personne ne voyait le fait qu'un travail ;tait en train de devenir plus actif et quelque chose ;tait en train de pr;parer. Certains gens ;taient en train d';tre trouv;s qui ne provoqueraient pas suspicion. L'information donn;e par un visiteur ;trange qui disparut de la m;me inattendue mani;re comme il apparut, ;tait en train de v;rifier et rev;rifier.
          Quant ; visiteur, tout le monde appris sur il ; une vitesse ;tonnante, d'abord les relatifs et les miliciens de Tchichki ; Itoume-Kal;. Il y avait des rumeurs diff;rentes, mais voil; ce qui ;tait connu avec certitude: les signes du vieillard ;trange et qu'il ne faut pas enqu;ter sur cette affaire ; l'aide du D;partement de l’Int;rieur et il ne faut pas laisser aller lui au-del; de la gorge d'Argun, mais en cas de la capture le retourner ; l'endroit et on d;ciderait que faire ; l';gard d'il. Il ne faut pas le tuer sans cas de n;cessit; absolue, car cet homme a aid; ; quelqu'un, n;anmoins, il est une personne contradictoire. Soit il est un homme de la mafia moscovite, soit il est un fou qui a ;vad; de Bragouny, soit m;me un extraterrestre d'une soucoupe volante. Les habitants locaux ;taient post;s comme observateurs ; tous les points o; le visiteur pouvait passer. Ils se rendaient compte que les compatriots ont des probl;mes et il faut aider ; eux. Ils faisaient semblant d';tre chasseurs ou des gens qui promenaient juste pr;s de leur village. Il para;t que tous les sentiers fussent bloqu;s et il ne peut qu'un alpiniste avanc; avec l';quipement appropri; glisser inaper;u ; travers tous les observateurs. Personne n';tait attrap;. Non seulement l'homme qu'ils cherchaient, mais personne des Russes n';tait remarqu;e du tout. Khalid et les relatifs de la victime ;taient perplexes ; cause de l'apparition d'une note encore. La note ;tait faite par l'imprimante et mise sur la table dans la cave solidement verrouill;e, o; il n'y avait eu personne.
          "Khalid, si tu peux, pardon moi pour le souci. Tu apprendrais bient;t, tout que j'ai ;crit est la v;rit; et je suis votre ami. Je veux juste que la justice soit faite. Si je n'avais que besoin d';liminer l'ennemi film;, je pourrais aussi le faire de l'autre fa;on. Mais alors, vous n'auriez pas su ce qu'a ;t; pass; en fait. C'est prudemment ; d;truire cette note".
          Il y avait une carte faite maison du lieu de s;pulture de la jeune fille h;ro;quement d;c;d;e sous la note avec une r;f;rence g;od;sique aux points de jonction les plus proches des voies ferr;es et des autoroutes.
          Au demain ont-ils apparu les espions ressemblant aux Slaves et ne provoquant pas des suspicions. C';tait en g;n;ral des femmes, y compris, m;me des gar;ons. Ils ne parlaient pas beaucoup pour cacher leur accent. Le groupe des ex;cuteurs - on les nommerait ; l'Ouest comme ;a - ;tait compos; de trois hommes d';ge moyen, habill;s de la fa;on identique, de costumes et de chapeaux gris, avec les moustaches et petits barbes. Ses chapeaux cachaient le fait que tous trois avaient la t;te ras;e ; avoir digne des musulmans d;vou;s qui consid;rent que c'est ind;cent ; montrer les cheveux nus sur la t;te. En ;poque de Brejnev ils seraient d;tenus et fouill;s, mais pas maintenant. Dans le contexte des groupes extravagants de la jeunesse, par exemple les hippies, les punks et les autres, ces hommes avoient l'air non trop ;trange. Aux ;tats-Unis seraient-ils consid;r;s comme si des trois fr;res qui sont arriv;e de l'Am;rique Latine ; faire leurs affaires.
          Un jour qui ne distinguait des autres jours, Malingre est venu chez Colonel. Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Seulement dans quelques minutes s'est rendu compte le ma;tre que le chien n'eut aboy; et ni eut couru ; la porte, comme il faisait d'habitude. Ils tous deux l'ont trouv; sous le lit dans un ;tat de sommeil profond. Dans la tentative de r;veiller lui, le chien ouvrait les yeux, b;illait et imm;diatement les fermait de nouveau. Avec les deux complices, Donut allait venir bient;t par sa voiture ;trang;re, Colonel se sentait en s;curit; de la m;me mani;re, comme Balda n'avait pas peur de la perte de l'argent d;j; depuis longtemps.
          -Appelle un v;t;rinaire, - ordonna-t-il ; Malingre, et Malingre a commenc; ; appeler, en utilisant son t;l;phone portable.
          Puis les tous deux discutaient d'un plan d'aujourd'hui. La sonnette ; la mode a p;pi; dans vingt minutes. Colonel alla ; ouvrir la porte il m;me, en frimant son invuln;rabilit;. Ce serait tr;s vite pour v;t;rinaire, la plus probable est-ce Donut. Quant au chien, c'est assez passible que quelqu'un des voisins ait jou; une blague cruelle. Il a ouvert la porte sans questionner, sans regarder au judas. Donut ;tait debout ; l'entr;e dans des lunettes noires, comme toujours, mais Colonel qui avait travaill; comme un juge d'instruction dans le pass;, il a compris imm;diatement que le complice a de gros ennuis. Puis qui est-il qui avait os; d;ranger la paix du groupe omnipotent et invuln;rable? M;me les autorit;s c;l;bres du monde criminel, bien s;r, ils ne s'inclineraient pas devant lui, mais pr;f;reraient passer poliment devant il sous silence, sans attention grande, et il agirait de la m;me fa;on ; l';gard d'ils.
          -Qu'est-ce qui ne va pas? Est-ce que tu es drogu;? Depuis quand... Il n'a pas fini de dire, quand quelque chose a claqu; et la douleur insupportable en genou l'a fait oublier tout. Presque ; la fois a retenti le couinement de Donut poignard; par trois couteaux longs.
          Apr;s il vient de ressentir quelque chose de mal, Malingre a saisi son pistolet TT et s'est pr;cipit; vers la porte. Il n'est sorti encore de l'appartement, mais tout ; coup a ;tendu sur le sol ; cause d'un pied mis habilement. Colonel hurlait et se roulait par terre, en attrapant le genou. Donut ;tait assis dans la flaque de sang, tout p;le, mais vivant encore.
          -Quant ; toi, nous n'allons pas toucher toi. Apr;s tout, tu avais dit que ce soit mieux ne pas la tuer, n'est ce pas?
          Malingre leva les yeux. La fille jeune mais d;j; form;e, habill;e en uniforme scolaire et au foulard, elle ;tait en train de regarder directement ; lui de la photo noir et blanc. Trois hommes ressemblant l'un l'autre avec petits barbes ;taient debout au-dessus de lui arm;s par pistolets. Un d'eux ;tait en train de tenir la photo directement devant ses yeux. Soudain, il s'est rendu compte tous l'horreur de la situation.
          -Ce n';tait pas moi - aaa! - Malingre a hurl; sauvagement. Il sursauta et se pr;cipita n'importe o;, plus loin des inconnus terribles, d'abord ; la chambre, puis sur le rebord de fen;tre, et avec le bruit de verre cass; a-t-il saut; de la fen;tre, en ;tant encore en train de crier jusqu'; la rencontre avec asphalte. Colonel habitait le septi;me ;tage.
          -Tu, chacal, vas mourir pour notre s;ur! - un vengeur pronon;a tranquillement mais vicieusement, en tournant la photo ; Donut qui ;tait assis pr;s du mur.
          Une main forte l'a taillad; sur la gorge par lame de couteau qui ;tait aigu; comme un rasoir. Cela donnait une garantie de mort dans plusieurs minutes.
          Puis tous trois se tourn;rent ; Colonel qui ;tait en train de se tordre sur le sol. -
          -Regarde ici, salaud!
          La jeune fille tu;e par il regardait maintenant ; il de la photo. Il a compris tout et dit, en surmontant la douleur au genou:
          -Mon d;sir dernier devant la mort: dites, comment m'avez-vous trouv;? La cassette est ici, personne ne la prenait, il y a des alarmes de porte et de fen;tre.
          -O; est la cassette?
          -Voil;, elle est dans le placard. Il y a un peignoir gris, la cassette est dans la poche du haut.
          -Soi prudemment, une bombe peut ;tre l;-bas! - un d'eux a cri; en russe et ajout; soudain:
          -Il faut plus vite, je vais moi-m;me...
          Il se pr;cipita au placard et trouva la cassette vite. Aucune explosion ne suivit.
          -Nous la prenons avec nous.
          -N;anmoins, dites, s'il vous pla;t, comment avez-vous renseign; cela?
          -Un vieillard ;trange a apport; la cassette ; nous dans l'Itchk;rie, c'est probable que c'est une copie. Et il a donn; une lettre ; nous, de quelle mani;re peut-on te trouver avec tes chacals. Apr;s ;a, il a disparu de la chambre verrouill;e. Tu sais mieux, ; qui encore as-tu chi; jusqu'; tel degr; qu'ils voulaient te tuer par nos mains. Peut-;tre, t';tais-tu querell; avec les soucoupes volantes, car ton ennemi dispara;t de la chambre verrouill;e sans enfoncer la porte?
          La peur mystique saisit le condamn; ; mort. Ce qu'aucune piti; ne serait pas ; l';gard d'il, il ne doutait pas. Il y a beaucoup de temps depuis, il avait lu Shakespeare avec passion. Dans la soci;t; pleine de la cochonnerie et absence de spiritualit; avait-il oubli; ;a compl;tement. Et on ne sait pas, de lesquels coins perdus de sa conscience troubl;e viennent d';merger les lignes:
                "Si la terreur de quelque chose apr;s la mort,
                Contr;e inexplor;e dont, la borne franchie,
                Nul voyageur ne revient, ne d;routait la volont;,... "

          Soudain vient-il de prendre conscience le point principal. La vie pouvait ;tre si belle sans ce d;sir de pouvoir, sans ces gueules stupides et d;test;es, soit au travaille D;partement de l’Int;rieur ; Saransk, soit au gang pr;s de Moscou, soit dans les offices des puissants de ce monde! Il s'est souvenu qu'il sentait et connaissait cette beaut; de la vie. Mais il ;touffait tous les sentiments beaux ; chaque instant de leur apparition d;s la jeunesse. Il refoulait toutes les joyeuses expressions de son ;me, m;me il se moquait d'elles mentalement. Il vient de se souvenir: il y avait des moments, d'habitude en ;t; ou au printemps, lorsque la vie de la nature montrait soi-m;me surtout expressivement, et il avait un d;sir de remercier quelqu'un, il ne savait pas qui fallait-il remercier pour cette joie procur;e, la raison de laquelle n';tait pas connue ; lui. Et il s'imaginait imm;diatement, comme les camarades d';cole se moqueraient de lui et de son ;lan des sentiments, et il avait d;cid; qu'il faut devenir un "gars normal", comme tout le monde. Non, il faut bannir cette faiblesse (comme il para;t ; lui) ; une mauvaise m;re, bannir ; bas cette folie exalt;e! Donc il la bannissait et il avait r;ussi cela. Rien de saint ne resta plus pour il. La seule chose qu'il se permettait de respecter, c';taient lois non ;crites du gang, les "comme il faut" orales de tous les niveaux du peuple stupid, avec lesquels faut-il traiter. Il croyait comme s'il dominait ces bastards, mais comme il vient de se rendre compte maintenant, c';tait ils qui programmaient toujours tous son comportement, ce qui devrait-il ;tre et comment devrait-il vivre, de quoi et comment penser, qu'il faut faire et qu'il faut ne pas faire, qui est normal et qui n'est pas normal. Tout le monde ;tait coupable: les parents, les professeurs, les camarades d';cole, les coll;gues, les gens du gang. Il fallait ;tre une autorit; et il s'est devenu une autorit;, Il fallait ;tre une brute et il s'est devenu une brute, Il fallait ;tre un cool et il s'est devenu un cool. La soci;t; tirait ses ficelles toujours et il ob;issait, il ob;issait avec mention. Et maintenant est-il fort, cool et avec connexions, mais ceux-l; qui sont venus ; le tuer, ils ne donnent aucune importance ; son pouvoir, ; ses forces et connexions. N;anmoins tout pouvait passer de l'autre fa;on. S'il pr;f;rait ne pas bannir, mais d;velopper ces sentiments de joie qui le visitaient, tout f;t all; de l'heureuse mani;re. Rien de terrible ne serait arriv; alors. Apr;s tout, il pouvait faire les siennes en silence, sans discuter et sans querelles? Ainsi m;me s'il devait mourir aujourd'hui, la courte vie serait v;cue heureusement. Mais tout ;tait au contraire. Il ;tait tr;s mis;rable en fait et c';tait son propre choix. Il soi-m;me est ordonn; comme ;a. Il ne voulait pas, quand il fallait, ;couter sa voix int;rieure, utiliser sa propre t;te, et en voici le r;sultat! Non. Ce n'est pas la mort qui est si mal, mais la vie mis;rable et sans sens!
          Il s'est souvenu de Raskolnikov, le protagoniste du roman d'apr;s Dostioevsky. Non. Il n'avait pas besoin maintenant du meurtre de vieille usuri;re ; ;claircir s'il est Napol;on ou un pou. Il avait ;t; libre ; choisir comment ;tre, compl;tement libre, et il a choisi: devenir un pou grand, d;go;tant et malodorant. Toute sa vie est une faute. Tragique faute!
          La crainte s'est all; et il ;tait m;me joyeusement, car tout ;a ;tait en train de finir et car il est en train de payer ses dettes compl;tement. Apr;s ;tre viol; par l';ducation ath;e, il ne comprenait pas maintenant qu'il est en train de passer ; travers LE V;RITABLE REPENTIR.
          Dans les premi;res secondes n'a-t-il senti pas comme on eut poignard; le couteau aiguis; dans l'abdomen. N;anmoins, le vengeur apr;s avoir poignard; le couteau, il a commenc; ; le tourner dans le sens antihoraire. La douleur insupportable a fait lui d;j; ; la deuxi;me fois oublier tout, et quand cette terrible douleur a pris sa retraite et tout est devenu facile et tr;s facile, la derni;re chose de laquelle il a r;ussi ; r;fl;chir dans ce monde, c';tait la lib;ration de la terrible dette, et il ne savait pas d'o; est venue certitude ; l'il a re;u une le;on pr;cieuse et qu'il a appris quelque chose de tr;s importante. Un jour il reviendra sur la Terre avec cette connaissance nouvelle, avec les yeux ouverts ; tout, mais il est temps maintenant d'aller chez Professeur qui a donn; cette le;on.
          Les vengeurs ont achev; leur travail, en ex;cutant la partie d;testable et lourde: ils ont coup; la t;te de l'ennemi tu; et l'ont mis ; l';vier dans la cuisine. Ils ;taient d;go;t;s jusqu'; la naus;e, mais des principes inconnus l'exigeaient. Ils n'ont pas remarqu; comme dans la porte qui ;tait imprudemment laiss;e ouverte, le v;t;rinaire vient d'entrer qui ;tait appel; chez le chien, et il est en train de les observer avec horreur. Ils n'ont pas remarqu; aussi, comme il vient de sortir, en tremblant ; la cause de la crainte. Mais quand est-il descendu et sorti et s'est dirig; au t;l;phone, une femme qui allait devant il comme si accidentellement, soudain a-t-elle fix; ; lui. "C'est probable que j'ai l'air ;trange apr;s ce que j'ai vu", le v;t;rinaire a pens;. Maintenant, la passante s'est arr;t;e et ;tait en train de le fixer, sans cacher ;a du tout. Quelque chose d'attractive ;tait en elle, quelque chose d'inconnue qui n'est pas local. Il est devenu embarrass;, sans savoir que dire et soudain le jet du poivron rouge a frapp; les yeux.
          -Pendant un heur ne peux-tu pas appeler nulle part ni parler ; personne de rien, sinon tu seras mort. Il est ex;cut; le ch;timent juste et tu ne dois pas interf;rer, - la voix de l'inconnue rus;e avec accent qui n'est pas d'ici a expliqu; ; lui.
          Pendant ce temps, les trois vengeurs se trouvaient encore dans l'appartement. Ils ont examin; toutes les chambres. Il y a eu un grand silence, dans le contexte de lequel pouvait-on entendre un ronflement de quelqu'un.
          Souleymanov, le fr;re de la fille tu;e, entra dans la chambre o; on peut entendre la respiration, et regarda sous le lit. Le rottweiler ;tait en train de dormir, sans r;veiller. D'abord par la main sanglante toucha-t-il la patte de chien, puis caressa la t;te, en disant en russe approximatif avec l'accent:
          -Pauvre bon chien, il a pris de sodium barbiturique et dort. Il se r;veillera et hurlera, car il n'y a pas le ma;tre. Les chiens servent aux gens et ne peuvent comprendre que le ma;tre peut s'av;rer un salaud. Il ne sentait pas avoir assez des putains moscovites et d;shonora et tua ma s;ur, - apr;s le dire, Souleymanov horrifi; sentit que les larmes vont ; monter aux yeux. Apr;s tout, le montagnard courageux ne doit pas pleurer. Il a pris une profonde inspiration et ;touffa ce d;sir. Deux autres vengeurs exigeaient en tch;tch;ne, durement et de la mani;re imposante, mais sans insult, ; ;tre pr;t ; partir plus vite, sinon non seulement il m;me, mais tous le groupe peut s'av;rer expos;.
          Tous leurs costumes ;taient tach;s du sang, n;anmoins c';tait pr;vu auparavant. Ils sortent un grand sac plastique d'une valise apport;e du palier et les costumes neufs, cette fois les costumes de sport. Il n'y a eu pas encore cinq minutes, ils ont se sont chang;s pour les v;tements neufs et ont lav; toutes les armes blanches et les costumes sanglants ;taient mis dans le m;me sac et couverts par un journal lu. En fait fallait-il se d;p;cher. Heureusement pour eux, fen;tre de laquelle Malingre s'est saut; ne donnait pas au sud ; la cour, o; il y a des entr;es dans l'immeuble, mais au nord, comme nous d;j; savons, o; la cour ;tait s;par;e par une cl;ture, et les clochards visitaient souvent cet endroit ; pisser. Apr;s s';tre ;cras; gravement de la chute du septi;me ;tage, Malingre est mort dans l'h;pital dans plusieurs heures, sans reprendre conscience.
          Trois vengeurs ont claqu; la porte et ont descendu les escaliers, en courant. La dette ;tait remplie, justice a ;t; rendue. N;anmoins, Suleimanov commen;ait ; se sentir d;;u. Ils se sont av;r;s capables de tuer les ennemis forts et vils. Mais ils ne pourront jamais faire ;a qu'il puisse voir sa s;ur cadette de nouveau dans cette vie, pour il parlerait avec elle, jouerait avec elle. C'est impossible pour n'importe quel argent. Aucune force ni aucune arme n'aiderait ; faire comme ;a. Mais il croyait qu'elle est vivante. Simplement, elle est parti au pays tr;s ;loign; et elle attendra l;-bas lui et les parents, et les autres fr;res et s;ur. Et s'il ne provoque la col;re d'Allah, un jour, il soi-m;me partira dans ce pays et l; verra tous les gens qu'il a perdus dans ce monde.
          Beaucoup de voisins se rendaient compte qu'il a pass; quelque chose de terrible. Tout le monde savait que dans cet appartement rassemblent les mafieux, mais jusqu'; aujourd'hui il ;tait tranquillement. Et voil; enfin, c'en est fini mal. Les certains des voisins ont regard; ; travers le judas apr;s entendre la course dans les escaliers. Trois hommes avec petits barbes et v;tus identiquement ont ;t; entrevu vite, soit Caucasiens, soit Ukrainiens. ;quipe d'enqu;te n'a pas r;ussi ; cr;er un portrait-robot. Les vengeurs sont mont;s sans obstacles dans un taxi qui les attendait pr;s de l'entr;e. Une femme ;tait assis sur le si;ge arri;re, c';tait comme si une passag;re passante. Ils n'avaient rien contre le fait que le chauffeur l'avait laiss; entrer quand elle debout faisait du stop sur l'autoroute d'Iaroslavl, et elle aussi n'avaient rien contre le fait que ces trois passants d'affaires iraient chez leurs pendant vingt minutes ; changer le v;tement.
          Le chauffeur ne savait pas que cette "provinciale" a un pistolet Walther dans sa poche, plusieurs pulv;risations de gaz et t;l;phone mobile. Il ne devinait pas aussi que tous les quatre sont une seule ;quipe. Tous ils conduisaient la voiture en silence. Les trois, soit des amis soit des fr;res, ils voulaient arriver ; Bolchevo, la femme allait le long du m;me chemin mais un peu plus loin: ; Voronok. Quand les trois hommes sont descendus et le chauffeur a roul; demi-kilom;tre encore, elle a sorti le t;l;phone du sac ; main et compos; un num;ro n;cessaire et a prononc;:
          -Quel bon temps fait-il aujourd'hui! - c';tait un sign.
          -Oui, c'est temps le plus convenable ; aller ; la plage, mais on doit travailler, - r;pondit le chauffeur du taxi qui ne soup;onna rien.
          Ainsi, il n'a appris rien. La passag;re est descendu ; Voronok, en payant d'argent, comme convenu, et dit presque dans un murmure "merci".
          Et au moment quand elle a fait un coup de fil et a dit du bon temps, une voiture "Lada" de neuvi;me mod;le est arriv; vers les arbustes ; Bolchevo. Les trois hommes sont sortis des arbustes et mont;s dans la voiture. Il y avait d;j; leur homme infiltr; au volant. Ils se sont d;barrass;s des preuves incriminantes sur le chemin, en jetant le sac avec les v;tements sanglants ; une poubelle dans une cour parmi b;timents ; plusieurs ;tages quelque part ; Pouchkino. Puis ils roulaient le long de la route de contournement d'abord ; Morozki, puis ; Povarovo. L;-bas ont-ils dit au revoir ; leur chauffeur. Maintenant, jusqu'au soir fallait-il atteindre par trains locaux jusqu'; la ville Vyshny Volochek, o; des parents ;loign;s les d;j; attendaient.
          L';quipe d'enqu;te avec les t;moins officiels, ils ne sont arriv;s que dans plusieurs heurs dans l'appartement. D'abord, ils allaient ; questionner les habitants de l'appartement ; cause du jeune homme qui s'est jet; par la fen;tre, mais personne n'ouvrait la porte.
          L'enqu;teur principal doutait d'abord de l'exactitude de sa version et faisait des coups de fil ; plusieurs coll;gues ; s'assurer. Il n'a pas eu tort. C';tait la vendetta. ;a voulait dire que c';tait inutile ; chercher. Les auteurs de l'infraction sont partis on ne sait pas ; quelle r;publique ensoleill;e, et ils y seront perdus. M;me s'ils seront trouv;s, tout aura l'air comme si de rien n';tait, car les preuves seront disparus ce temps-l;. D’ailleurs, leurs amis et relatifs les cacheront, et tout le monde local ne permettra pas ; un enqu;teur en visite d'agir trop activement, en enfreignant la loi. Les temps ont chang;. L'enqu;teur se rendait compte que c'est une affaire bien insoluble. La seule chose qui le consolait, c';tait que les chefs ;taient bien inform;s des situations pareilles, c'est pourquoi ne chicaneront-ils l;-dessus pas trop. Plus tard, un expert qui avait l'exp;rience y compris avec les affaires de la vendetta, il a sugg;r; comme si la probability de ce que les auteurs de l'infraction fussent des habitants de la Tch;tch;ne-Ingouchie au Caucase, est pr;s de 70%. Il n'a pas expliqu;, d'o; il a pris ce chiffre. L'utilit; du message comme ;a, ;tait pratiquement nulle. Il y avait aussi une ;tranget; dans cette affaire. Rien de choses n'est disparu que l'argent dans la cachette d'un livre ;pais. Les Tch;tch;nes et Ingouches ne volent rien, lorsqu'ils sont en train de venger, et g;n;ralement, avec m;pris du vol, ils pr;f;rent piller ; la mani;re ouverte, c'est-;-dire, "pour ne pas ;tre l;che". Enfin, le ma;tre assassin; de l'appartement, il pouvait soi-m;me sortir son propre argent de la cachette.
          Deux journ;es avant de la date d;sign;e, Albert a donn; ; Sveta le n;cessaire montant d'argent en dollars, afin que Tolik peut payer au "toit" de gang neuf et autoproclam;.
          Tolik attendait penant tous un jour, mais personne n'est venue. Au demain, Sveta retourna l'argent ; l'Albert, en lui disant ; retenir temporairement l'argent au cas o;.
          Apr;s la mort de Colonel, il y avait beaucoup de fusillades de rue et des meurtres sans arme ; feu aussi. Seulement pendant quelques jours, la moyenne annuelle "norme" statistique fut d;pass;e. Le gang autoproclam; fut dispers; violemment. Seul Albert savait qui a "aid;" ; cela que s'est produit. Il expliquait ; tout le reste comme si tout ;a s'est produit d'une mani;re spontan;e.

              Chapitre XIV. Manteau et le truc de poignard.
          Un major-g;n;ral de contre-espionnage, Paukov Innocent Nikolaevich ;tait en train d';tre assis sur son lieu de travail ; l'office d;cor; dans le confort s;v;re. Le confort fut s;v;re, car le luxe ne sautait pas aux yeux et s'on ne pr;tait pas attention, par exemple, ; l'ordinateur cher sur la table, ; la communication vid;o interne ; l aide de laquelle il pouvait observer les actions de ses subordonn;s, s'on ne connaissait le prix des appareils t;l;phoniques de derni;re g;n;ration, ; premi;re vue pouvait-on croire, comme si cette grande chambre avait l'air assez asc;tiquement. Il faisait la chaleur de June dehors et les passants frappaient paresseusement sur l'asphalte chaud, mais il faisait l'air frais dans l'office, car les climatiseurs marchaient. Les fen;tres qui donnaient ; sud, ;taient couvertes par les rideaux. La lumi;re de soleil qui p;n;trait ; travers ces rideaux, n';tait pas assez apparemment, c'est pourquoi les tubes au n;on mont;s au plafond directement au-dessus de la table servaient de l';clairage additionnel. Contrairement aux lampes pareilles quelque part ; un atelier de couture, ces lampes fluorescentes ne clignotaient ni bourdonnaient, mais la lumi;re venue d'eux ;tait constante, en peu agr;able et l;g;rement chaude. Les fen;tres toujours sont couvertes par les rideaux dans les institutions pareilles, cette coutume est partout dans le monde et on peut le comprendre, pour cacher les secrets des yeux indiscrets. Les rideaux d'habitude prot;gent de la chaleur aussi, mais dans ce cas, sauf tout ;a, les rideaux ex;cutaient une function additionnelle: ils aideraient ; cacher de vue le pi;destal, d'o; l'idole ;tait jet;e vers le bas il y a presque deux ans. Pourtant, cette idole ;tait en train de regarder au g;n;ral depuis le portrait qui ;tait mis au mur au-dessus de la porte maintenant, donc un visiteur pouvait rater de le voir, mais quant au ma;tre de l'office soi-m;me, il est probable qu'il re;ut des forces suppl;mentaires ; l'aide de cet "art".
          Oui. Il d;j; est presque il y a deux ans, quand beaucoup de titres et appels ;taient jet;s ; la poubelle de l'histoire avec F;lix de fer. M;me cette institution ;tait renomm;e de nouveau, mais personne n'aurait le courage de nommer le g;n;ral "monsieur". Pour la majorit; des coll;gues ;tait-il camarade, bien s;r, g;n;ral. Quant au sens de ce mot "camarade" en Russe, depuis l'invasion des hordes de Gengis Khan ;tait le sens suivant: camarade (òîâàðèù) est un ami au troupeau de b;tail qui est form; spontan;ment, mais qui n'est point form; des int;r;ts pareils. Pour peu de coll;gues plus proches ;tait-il encore Innocent Nikolaevich. Et quant ; les plus proches coll;gues, non d'emploi mais de relation form;e, la familiarit; souhaitable ;tait permise ; eux, afin que le nommer "oncle Kecha".
          Bien connue face dodue de Kovalev apparut sur l';cran, c';tait le chef d'un d;partement qui ex;cutait un travail assez d;licat, c'est-;-dire, ; contr;ler presque tous les coll;gues de cette institution s;rieuse.
          -Camarade g;n;ral, permission de parler, j'ai une information int;ressante, mais je ne dois pas agir sans consulter avec vous.
          -Et quoi, est-ce que ;a ne peut pas attendre? Y a-t-il une question de secondes? Est-ce que les gens peuvent p;rir? Y a-t-il la possibilit; de la fuite de l'information strat;gique? A lieu quelque chose de susmentionn;?
          -Non rien, camarade g;n;ral.
          -Arr;te avec ce "camarade g;n;ral" et viens chez moi ici une heure avant de la termination du jour de travail, et nous converserons.
          -Ce sera fait.
          Ce que para;t consid;rablement aux d;butants et aux coll;gues plus z;l;s, mais pour le g;n;ral ;tait tout ;a un combat de ce pays contre tout le reste du monde qui ;tait ;tir; pendant des d;cennies. Si "les leurs" ont donn; un coup aux "n;tres" aujourd'hui, puis "les n;tres" auront donn; un coup "aux leurs" demain. Soit nous avons une fuite de l'information, soit "ils" ont une fuite de l'information. Soit certains agents passent de "nous" ; "eux", soit certains agents passent "d'eux" ; "nous". ; l';chelle des grands ;tats ;tait-ce des petites choses, comme un ;change de piq;re d';pingle, m;me on commen;ait ; s'ennuyer. Il y avait des coups plus graves parfois, presque des knock-outs, comme le cas concernant Pegnkovsky il y a beaucoup d'ann;es, mais les ;checs pareils avaient lieu rarement ; l'autre c;t; aussi. On ne pouvait qu'; l';chelle du demi-si;cle se rendre compte plus clairement qui prenait le dessus finalement, et il ;tait peu probable que ces bonnes chances et mals chances fugitives pussent aider ; se d;barrasser changements qui approchaient lentement et implacablement.
          Dans les ann;es 80, le g;n;ral constata avec amertume que la propagande "d'eux" n'avait aucun besoin de mentir du tout, mais il serait assez ; parler la v;rit; connue de tout le monde sauf "les n;tres" gens ordinaires qui sont plus stupides et plus oppress;s. Pourtant la propagande de "n;tres" ne pouvait que se justifier par les arguments assez douteux comme le "droit au travail" et la possibilit; de prendre le m;tro pour 5 kopecks. Et il sentait que bient;t ils n'auront rien que dire sauf une b;tise, comme, par exemple, le radio de l'Albanie socialiste une fois dit avec fiert;: "maintenant y a-t-il une lampe ;lectrique qui brille dans chaque maison de notre pays".
          N;anmoins le g;n;ral KGB qui savait penser de la mani;re sobre et pratique, il devait ;tre chagrin; pas pour longtemps. Il observait le tourbillon des changements avec m;fiance et quand comme si la fum;e de l'environnement troubl; s'est dispers; et il a compris que "Nuremberg-2" n'aurait pas lieu, il s'est rendu compte aussi que l';tat sans lequel ne pourrait-il exister, n'irait nulle part et son service d'autant plus. Et alors, le d;partement qui ex;cutait la fonction de la secr;te police politique, a ;t; dissous, et quoi? La configuration de son institution natale a chang;, mais l'institution elle-m;me est tout fort comme auparavant, beaucoup de d;partements travaillent sous son commandement comme avant, m;me s'il fallait quelque part changer la fa;on du travail, quant ; personnellement pour lui, ce n';tait aucune trag;die ; cause de cela. La seule chose qu'il fallait faire, c';tait l'ex;cution monotone de son travail, savoir mettre appropri; "B" en r;ponse ; chaque "A". Bien s;r, il ne fallait pas fermer les yeux sur les ;v;nements diff;rents sans r;action, mais l'agent exp;riment; de contre-espionnage ne devait pas r;primer des ;motions maintenant, parce qu'il n'avait plus la raison d'apparition d';motions.
          Malgr; son ;ge de soixante ans, il faisait des exercices le matin, courait quelques kilom;tres, c'est pourquoi m;me s'il ;tait un peu en surpoids, mais alerte et agile. Sans uniforme de g;n;ral, de laquelle ne se s;parait-il jamais, on pouvait le consid;rer comme un employ; de bureau ordinaire ; cause de son calme. Les subordonn;s marchaient toujours en civil et ne mettaient l'uniforme que dans des cas particuliers.
          Au temps fix;, Kovalev s'est venu devant la porte, a rajust; sa cravate, a touss; une fois ; correcter la voix et a frapp;.
          -Entre, Gricha. Ne sois pas timide.
          -Innocent Nikolaevich, - Kovalev vient de commencer, mais l'omnipotent chef a l'interrompu imm;diatement:
          -Jusqu'; quand dois-je expliquer? Appele-moi oncle Kecha, assieds-toi et parle calmement, que-ce que tu as, et je vais ;couter. Ne sois pas timide, c'est int;ressant. C'est tr;s int;ressant.
          Kovalev s'est senti comme un chat qu'on vient de caresser. Il d;pendait compl;tement du g;n;ral omnipotent et il n'avait aucun crit;re de v;rit; sauf, "oncle Kecha", autres crit;res ne pouvaient exister. Son humeur d;pendait ins;parablement de relation du patron ; l';gard d'il. Et tout le reste, la famille, la vi priv;e n';tait que les choses de second rang. Aussi maintenant, la timidit; s'est disparu it il a commenc; ; raconter:
          -Bien, oncle Kecha, je gardais longtemps silence, car on doit travailler par soi-m;me, sinon qui un travailleur s'il a besoin de l'aide ; chaque instant. Pourtant, l'affaire commence maintenant ; prendre une ampleur consid;rable. Connaissez-vous Kashine?
          -Bien s;r, je le connais. Quelle est la question? - "oncle Kecha" r;pondit avec ;tonnement. - Son d;partement suit les personnes ;trang;res, effectue parfois une surveillance secr;te de personnes avec l'immunit; diplomatique. Alors, parle.
          -Il a oblig; son adjoint ; faire presque tous le travail. Bien s;r, il est content de servir, car il s'attend ; un b;n;fice dans l'avenir, notamment si son chef perdrait sa place.
          -;a veut dire que le patron a surcharg; son adjoint de travail, tandis qu'il lui-m;me va ; bars pour rencontrer des femmes, n'est-ce pas?
          -S'il va comme ;a, je ne serais pas venu ; vous, nous l'arrangerions entre nous, sans vous d;ranger. Mais le vin et les femmes ne sont pas sujets de son passe-temps. ; dire plus exactement, il s'int;resse aux femmes, mais avec l'autre intention du tout. Bref, il est en train de construire son propre r;seau d'intelligence. Il a deux coll;gues fid;les ; lui, les subordonn;s de son d;partement, c'est-;-dire, nos travailleurs qui sont aux postes m;diocres. Peut-;tre a-t-il r;ussi ; les attirer par la promesse d'une perspective joyeuse. Ils recrutent les gens de la rue. On n'a pas r;ussi encore ; d;finir, de lequel crit;re sont choisis ces gens, n;anmoins, il y a beaucoup de femmes entre eux qui cherchent des adventures d'amour. Presque toutes d'eux ont ;t; dans son lit. Les femmes sont une partie du r;seau qui ex;cute le travail principal. L'autre partie du r;seau les finance. C'est un groupe mafieux qui n'est pas grand et ce groupe est recrut; ; l'aide d'il. Le groupe profite de privil;ges, y compris, des certificats de notre Service de S;curit; qui sont donn;s ; eux ill;galement. Cela facilite grandement le processus de gagner de l'argent ; eux. Certainement, ils consid;rent qu'avoir nos employ;s au-dessus d'eux au lieu des "brigadiers" ordinaires est une chose plus agr;able. Ils n'aggravent pas trop la situation dans la dimension criminelle, c'est possible gr;ce ; l'influence de n;tres. En g;n;ral, ils gagnent ; l'aide de rackets et l'affaire pareille passe assez paisible dans notre temps. Les hommes d'affaires payent volontiers, parce qu'ils se sentent avec ils en s;curit;. Cette attitude ne pourrait passer sans accord avec les autorit;s criminelles, et une v;rification a confirm; que tel est le cas. La fuite des informations ne peut pas ;tre ; cause d'eux, parce qu'ils ne savent rien. Cette partie, je le r;p;te, n'est cr;;e qu'; financer le r;seau qui effectue le travail principal. Quant au travail principal, c'est la collecte d'informations sur ph;nom;nes anormaux, et cette partie principale du r;seau est enseign;e de nos m;thodes de renseignement. En g;n;ral, ; collecter les informations, la surveillance, les arts martiaux, mais le dernier n'est qu'un peu. Parfois, ils leur donnent une t;che de suivre quelqu'un qui ne repr;sente rien en fait. Les t;ches comme ;a servent ; l'entrainer et v;rifier les capabilit;s. Leur travail n'est pas pay; cher, mais les gens qui ont v;cu dans la pauvret;, ils le consid;rent de l'autre mani;re. Il para;t qu'ils consid;rent Kashine comme un type assez g;n;reux. Apr;s ;tre attir;s par l'argent, ils sont soumis ; une intimidation l;g;re et prudente, pour ainsi dire. On peut voir la fa;on principale ici: personne ne dit ; eux par texte ouvert, mais comme s'ils devinaient eux-m;mes qu'en cas de la d;sob;issance ils peuvent ;tre ;limin;s avec une forte probabilit;.
          -C'est int;ressant, int;ressant... Est-ce qu'ils g;rent ; trois comme ;a?
          -Non. Parfois ils utilisent nos coll;gues qui ne suspectent rien. Apr;s tout, ils ne sont pas mis toujours en courant de ce quoi se repr;sente cette personne qu'ils doivent suivre. Il est ordonn; et ils observent l'objet. Qui est l'objet, c'est l'affaire des chefs, ils savent mieux. N;anmoins, ils associent nos employ;s non inform;s ; ses affaires quand ils manquent de personnel ou quand ils ont besoin d'utiliser l';quipement et les autos. Curieusement, Kashine sait organiser de telle mani;re que cette activit; suspecte ne parasite pas du tout au fonctionnement de notre Comit;. C';tait d;j; observ;, quand ils re;oivent des t;ches s;rieuses, il est capable interrompre soudain tout le travail de sa "tirelire personnelle" et passer ; ce que le Service exige de lui. C'est juste un virtuose.
          -Oui. Il faut donner une grande prime pour le travail comme ;a, - le g;n;ral sourit ironiquement. Alors, continue.
          -C'est clairement que l'activit; est ;lev;e, mais qu'en est-il de la direction de cette activit;? Il est dangereux. Il est dangereux ; l';gard de tout le Service.
          -Dangereux ; cause de quoi? De fuite d'information?
          -Bien s;r.
          -Est-ce que tu as r;fl;chi. Il poss;de une information confidentielle comme n'importe quel autre chef et chacun d'eux a la possibilit; de donner sa connaissance au renseignement ;tranger et cela ferait un impact tangible apr;s lequel nous ne nous remettrions pas vite. Il y avait les cas comme ;a, mais d'habitude, ceux qui nous ont trahis, ils ne jouaient pas jeux bizarres avec une telle impudence. S'il veut servir pour nous, c'est tr;s original. Et nous ne pouvons pas nier son talent. Et si nous tuerons la poule qui est fixant tous les ;ufs d'or? Quoi, Gricha?
          -Mais il a la possibilit; ... - Gricha r;fl;chit.
          -Non avec plus grande probabilit; que quiconque autre.
          -Mais il enseigne ...
          -Et quoi? Des femmes commenceront ; utiliser nos m;thodes pour suivre ses amants? Pourtant, Il faut les enseigner beaucoup d'ann;es ; les faire dangereuse en fait.
          -Mais si?.. Vous vous-m;me avez dit qu'il est talentueux. S'il d;couvre quelque chose de tel grand, et soit ils parleront, soit il ...
          -Qui "ils", tous ils ; la fois?
          Kovalev vient de sentir qu'il arr;te de penser clairement en pr;sence de haute autorit;.
          -Oncle Kecha, je n'aurais probablement pas d; vous d;ranger.
          -Non, non, Gricha. M;me tu ne sais pas, comme bien as-tu fait que tu as nous d;rang;s, - il a fait un accent ironique sur le mot "nous". - S'il d;couvre quelque chose, il ne sera pas debout ; une plaza, en rapportant sur sa d;couverte devant vieilles illettr;es qui sont en train d'aller acheter l'alimentation. Je te voudrais questionner sur l'autre mati;re. Si tu utilises l';chelle ; cinq points comme un professeur d';cole, comment estimerais-tu, c'est-;-dire, quelle marque mettrais-tu pour la condition g;n;rale tous les d;partements qui sont dans ta comp;tence au pr;sent?
          -Je leur mettrais "quatre".
          -Parfait! Tu n'as pas tort dans les choses pareilles d'habitude. ;a veut dire, les personnes et les ;quipements sp;ciaux ne sont pas surcharg;s. Voil;, regarde: Kashine est un hame;on d'app;t ; qui doit ;tre attrap; un poisson, dont nous avons besoin. Quand le poisson vient d';tre attrap;, la pire chose qui peut passer, si quelqu'un d'autre le poss;de. Le poisson ne doit ;tre que le n;tre. Et ce n'est pas important qu'ils planifient. S'ils travaillent sous notre contr;le tacite, puis ils travaillent en fait pour nous. Tandis que la condition g;n;rale de tous les d;partements qui est dans ta comp;tence, est estim;e encore par "quatre", je te permis ; utiliser jusqu'; la moiti; des ressources, soit les personnes, soit les ;quipements, bien s;r, si c'est n;cessaire. Aucune conversation entre eux ne doit ;tre manqu;e, ni du h;ros de l'occasion, ni entre tous ses subordonn;s, y compris, des recrut;s par il. S'il y a un petit soup;on du discours all;gorique, il faut l'enregistrer et apporter ; moi. Tu sais, nous avons des sp;cialistes de la communication all;gorique.
          -Et qu'en est-il de la partie de mafia qui les finance?
          -Nous devons nous assurer sans doute, s'ils soient au courant de quelque chose ou non.
          -J'ose poser une question, dois-je reste sans savoir? Pourquoi faut-il fait beaucoup d'attention ; eux comme ;a?
          -Cher ami, Gricha. Il y a les consid;rations ;conomiques en premier lieu. Dans notre temps de la presse sait chaque enfant que nous avions un d;partement comme ;a. Et selon toute vraisemblance, il n';tait pas en vain. Malgr; le fait que tous ces probl;mes avec diablerie sont tr;s peu ;tudi;s. N;anmoins, peux-tu t'imaginer, combien un tel d;partement d;vore? Tu es bien inform;, quel joli sou co;te un tel plaisir. Tandis que vous avez tout est calme, tous vous poss;dez du temps libre, alors faites-le. Et puis il n'y a aucun besoin d'obtenir du financement et de cr;er un buzz autour le d;partement exotique, et tout ;a ne ferait que contribuer ; la fuite d'informations. Et il s'av;re: le d;partement n;cessaire est, et en m;me temps il ne l'est pas. Il est comme le moteur perp;tuel: il ne consomme rien et les commer;ants payent les d;penses en silence, en croyant comme s'ils payent ; la mafia. Que cela ne t'embarrasse pas, Gricha, les temps ont chang;. C'est un temps de l'approche pragmatique. Et ne t'inqui;te pas. Les patriots ne dorment pas, - et il a jet; un clin d'oeil sournoisement ; Kovalev.
          -Vous ;tes un g;nie, oncle Kecha!
          Le g;n;ral ;tait assez flatt; ; cause telle remarque, m;me il ne l'a pas essay; de cacher.
          -Simplement, je suis en train d'occuper la place appropri;e, - il a r;pondu avec un sourire fier.
          Les deux se sont s;par;s en bien humeur.