Une Histoire d hiver

Åëåíà Øàðîí
C’;tait l’hiver neigeux et froid. La neige tombait de grandes ;toiles et recouvrait tout autour au tapis blanc. Mais chez moi il faisait chaud et confortable.
Au centre de la sale il y avait le sapin d;cor; des jouets et des bonbons. J’;tait assise dans un fauteuil vert avec un livre int;ressant ; la main.
Je regardes des images quand tout ; coup j’entendai une voix douce:
-Joue avec moi, s'il te plait. Je suis si seul.
A c;t; du sapin je vis le petit.
-Qui es-tu? – le demandai-je.
-J’ai perdu mon ami. Il est pilot. Il a eu un avion. Il a vol;…
-Parle-moi, s'il te plait, comment cela s’est arriv;?
Il poussa profondement et prononca:
-Lorsque j’avais six ans j’ai vu, une fois, une magnifique image…
Je compris tout.
-Je t’ai reconnu, le petit prince, et je connais ton ami. Parle-moi, s'il te plait, qu’est-ce qu’il t’a arriv;s plus tard quand vous vous ;tiez s;par;?
-Je suis rentre sur ma planete.
Le petit prince tut, ensuit il ajouta doucement:
-Je veux le trouver. Tu sais ou le chercher?
-Je le fais d;j; assez longtemps. J’ai lu beaucoup de papier. J’ai lu beaucoup de livres. Tous affirment qu’il a vol; sur sa plan;te. Elle se trouve pres de la Terre, mais on peux la voir seulement une fois par an la derni;re semain du d;cembre. Regarde-la, montrai-je sur la fen;tre, c’est elle.
Au-dessus de la fen;tre il y avait l’Etoile de No;l, mait tout pres d’elle se trouvait une petite qui brilliant comme l’arc-en-ciel.
-Quelle est belle, - chuchota le petit prince admir;, - comme je voudrais la visiter.
-C’est simple, le petit.
Nous ferm;mes nos yeux, compt;mes jusqu'; dix et tout de suit nos nous trouv;mes dans une grand ville qui fut entour; de la mur de pierre blanche. Nous v;mes des milles de personnes dans  cette ville. Chacun s’occupa de son affaire: l’un cuira du pain, le second fit la fer, l’autre cousa des robes.
Nous grimp;mes au sommet de la montagne qui se trouvait au centre de la ville. Quel jardin magnifique qui nous s’ouvrit: beaucoup de roses, d’arbres, de papillons et d’oiseaux.
-Entrez, s’il vous plait, - entend;mes nous une voix gaie. Un homme tres haut s’approcha de nous, en souriant. Le petit prince sauta ; son cou. Et d’un millon de papillons se lev;rent en l’air.  Elles se tourn;rent dans leurs dances autour nous. Elles ressemblerent ; des etoiles au ciel de la nuit…
Je ne parlerai pas de la recontre de deux amis. Cela n’est pas n;cessaire.
Quand j’ouvrais mes yeux ; nouveau, je fus assise dans mon fauteuil avec le livre ; la main. Sur la page ouvert il y avait une grande rose blanche.

H;l;ne Charon, 01.01.2001.