Doux cul

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Ma troisi;me voiture, la deuxi;me porte. Tous les matins, ; la m;me heure, j'entre dans cette voiture de m;tro et je prends ma place. Plus pr;cis;ment, j'essaie de le prendre, car le plus souvent, il est d;j; pris. Je fais sept arr;ts. Aller debout, car le train est encombr;. Certains compagnons de voyage me connaissent. Quelqu'un voyage dans cette voiture presque tous les jours.
Il n'y a rien de plus inconfortable et d;sagr;able qu'un trajet dans le m;tro aux heures de pointe. De pr;s, ;cras;s de toutes ses forces, certains parviennent ; aller m;me avec des choses. Il arrive qu'un porte-documents diplomatiques soit coinc; en vous et qu'ils essaient de le pousser entre leurs jambes ; tout prix. Mais il y a aussi des moments agr;ables en voyage. C'est ; ce moment-l; qu'une femme ou une fille humaine sera press;e par une vague humaine. Et tout de suite, le voyage devient sexy, confortable et rapide.

Une fois que c'est arriv;. ; l'arr;t de bus, un autre groupe de passagers press;s s'est gliss; dans la voiture. Et une femme int;ressante m'a impressionn;. Elle, d;sol;e, le cul, a bien serr; ma main contre le corps. Et je ne me suis pas press; de le rel;cher. Le corps de la femme ;tait ;lastique et sexy. J'ai senti le d;but d'une ;rection. Craindre que quelqu'un ne voie un renflement d;passant du pantalon ne valait pas la peine dans la foule. Il ne pouvait que sentir. Et le premier ; essayer ma bite sur moi-m;me, probablement, press; contre moi par la force des circonstances, la beaut;. La croissance, elle m'a mis au nez. J'ai clairement senti l'odeur exaltante de ses cheveux. D'apr;s ce que j'ai pu voir et ressentir ci-dessous, j'ai tout aim;. Cul rond particuli;rement serr;.

La voiture trembla et poussa. En cons;quence, les passagers sifflaient l’un l’autre. Mais en m;me temps, il y avait une certaine libert; pour diff;rentes parties du corps. Cela a d; ;tre utilis;, et tr;s lentement et imperceptiblement, lentement, j'ai commenc; ; bouger ma main. Le cul ;tait super sexy. Mon coq ;tait d;j; en pleine force. Et je ne pouvais pas l'enlever. Et la dame a continu; ; me presser et ; me presser avec son cul. Je me demande si elle sent mon p;nis?
; travers le denim de son pantalon, je sens la chaleur d'un corps jeune et en bonne sant;. Un corps con;u pour l'amour et le sexe. Le corps est capable de ravir, ravir et apaiser. Par exemple moi. Je bouge un peu plus ma main sur le pape de l';tranger. Cela ressemble d;j; ; une l;g;re caresse. La fille ne r;pond pas. Qu'elle s'en moque ou qu'elle ne remarque pas du tout ma main. Mais surtout, elle ne se retire pas et ne fait pas d'objection. Soudain, ma f;te ;rotique se termine. ; l'un des arr;ts, un compagnon de voyage sort. Et je suis avec un phallus, en train de d;chirer mon pantalon.

Le lendemain, l';tranger m'a de nouveau impressionn;. Cette fois, dans l’attente de ce moment merveilleux, j’ai r;ussi ; d;voiler de fa;on imperceptible les beaut;s de ma main sous mon cul. Et les doigts ont imm;diatement senti la chair f;minine ;lastique. Le compagnon de voyage cette fois ;tait en jupe. En jupe courte. Et la paume ;tait presque sur le bord. Juste en dessous, et les voici jambes nues.
La voiture tremble, une femme avance lentement le long de son pape et de sa paume. C'est sexy! Par chance, je baisse ma main plus bas. Cul rond se termine, c'est la cuisse et la jambe. Oh, quel endroit sexy! Prenant courage, je conduis ma main ci-dessous. Voici le bord de la jupe. Et derri;re lui ... Et derri;re lui se trouve la jambe nue d'une femme. Que je touche avec mes doigts. Mon compagnon de voyage ne r;agit pas au mouvement des doigts. Ne consid;re pas le contact sexuel ou simplement tol;rer. Ou peut-;tre qu'elle aime? Peut-;tre qu'elle veut aussi du sexe comme moi? Mes doutes sont interrompus par l'arr;t du train sur lequel la dame part. Oui, c'est son arr;t.

L'autre jour, je conduisais "seul". Le compagnon de voyage n’est pas entr; dans la voiture ; son arr;t. Probablement, nous nous sommes manqu;s. Ou aujourd'hui, elle a un jour de cong;. Ou malade. Mais il peut y avoir plusieurs raisons.
Le lendemain, nous ne nous sommes pas encore rencontr;s. Et le lendemain aussi. Il est arriv; au point que j'ai quitt; la maison t;t et suis sorti ; son arr;t. Et il a commenc; ; garder. Garder, garder, jusqu'; ce que je sois presque en retard pour le travail.
Mais un jour ... Une belle inconnue s'est retrouv;e dans mes bras. Voyant qu'elle coulait dans la voiture, j'ai r;ussi ; me retourner devant elle et ; mettre deux mains ; la fois sous un joli cul. Des fesses rondes et serr;es sont naturellement apparues dans mes mains. C';tait d;j; une sorte de sexe de vacances. Les mains serraient un joli cul et le p;nis ressuscit; se posa entre elles. J'ai manqu; ma propre beaut; (comme j'ai d;j; appel; la fille) que j'ai commenc; ; agir plus activement. Mes mains caress;rent mon cul et je sentis (j'aurais pu jurer) qu'une femme me r;pond. Parfois, les muscles des pr;tres se contractaient, ; un autre moment, la compagne de voyage elle-m;me se pressait davantage contre moi. Mais! Mais elle va bient;t sortir. Que faire La suivre? Et si je voyais une fille comme mon affection? Soudain, elle va me renvoyer ou gifler une gifle? Tandis que je r;fl;chissais ; comment ;tre, la voiture s’est arr;t;e, une jupe courte est sortie et je suis repartie.

Nous nous sommes revus quelques jours plus tard. J';tais pr;t Je d;sirais une r;union! Voici un ;ne rond entre ma paume. Je me sens comme une fille s'accroche ; moi, ce n'est plus une faute tremblante. Elle demande, demande mes caresses. Je caresse une fesse, personne, bien s;r, ne voit pas. Je ne me cache pas. Les mains doucement et doucement, mais en m;me temps goul;ment, en t;tonnant les fesses, descendent en bas. Les doigts touchent la jupe, je sens la froideur d'une peau lisse et nue. Y a-t-il des culottes sous la jupe? Bien que je ne les ressente pas. N'y a-t-il rien ici? La t;te tourne. Je me baisse et la fille enti;re dans le cou. Elle se retourne et murmure doucement: "Suivez-moi." Je ne l'ai pas entendu? Mais il n'y a pas de temps pour r;fl;chir. L';tranger sort, c'est son arr;t. Je suis

Nous allons ; la transition. Ahead est une fille en jupe verte courte, suivie par moi. Beaucoup de gens et doivent partir sur le sentier. «Mais qu'en est-il du travail», je pense. Oh, rien, alors je t'appellerai. Nous passons ; une autre station, allons au quai. A ce moment la composition est servie. Mais c'est vide. Apparemment, aller au parc. «Il n'y a pas d'atterrissage dans le train», annonce une voix dynamique. La fille entre r;solument dans la voiture vide. Je la suis Nous nous tenons ; la porte et nous nous regardons.
- Comment t'appelles-tu?
- Vika.
- Et moi Dima. O; allons-nous?
- Vous verrez bient;t - sourit myst;rieusement un compagnon de voyage.
Notre train vide s'arr;te dans le tunnel sans atteindre la gare. Les portes s'ouvrent, Vika et moi descendons les escaliers. Les portes de la voiture se ferment avec un accident, le train part et nous restons dans un tunnel semi-sombre et sombre.
Vika ouvre la porte en fer et p;n;tre dans un long couloir sombre. Je la suis L'endroit est sinistre. Pourquoi je la suis? Voulu Sexe? Et maintenant, ici ils vont me voler et me tuer. Bien qu'il n'y ait rien ; prendre de moi. Alors, tue.
En passant dans le couloir, nous entrons par une autre porte. Puis ; nouveau le couloir, ; nouveau la porte. L'int;rieur est compl;tement noir.
- Vika, es-tu l;?
Le silence O; est-elle all;e? Et o; aller? Je sens le mur de pierre brute.

Soudain, une lumi;re brillante clignote. Les lampes ont frapp; droit dans le visage.
- ; genoux, prizhimanets!
J'essaie de regarder autour de moi. Au m;me moment, le fouet coupe sur les jambes, derri;re pouss; dans le dos. Et je tombe ; genoux. Devant moi se trouve une femme nue, de c;t;, avec des fouets, deux autres. Ils sont ;galement nus jusqu'; la limite. La dame qui se tient devant moi (selon toutes les apparences, elle est la principale ici) ne porte qu’une large ceinture en cuir, des bottes en cuir et un diad;me sur la t;te. Elle est belle et sexy O; suis-je all; Est-ce une sorte de dramatisation ou une blague? J'essaie de me lever de mes genoux. Battre plus fort que la vieille jambe.
- ;a fait mal!
- Allez, racaille! Sois patient et tais-toi. Tais-toi et ;coute.
- Qui es-tu?
Un coup de fouet tr;s douloureux me frappe le dos.
- J'ai ordonn; de me taire.
J'ai serr; les dents.
- Toi pervers, tu es all; en prison. En prison pour les prizhimants. Et si vous partez d'ici, vous laisserez une autre personne, - la femme nue a myst;rieusement souri. - Tr;s probablement, nous allons vous castrer.
- Qui es-tu?
Le Fl;au lui br;le ; nouveau le dos. Je me suis presque ;vanoui de douleur...

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