Blonde sans culotte

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Il commen;ait ; faire sombre quand j'ai soudain entendu des voix et des rires. Les voix ;taient des femmes et venaient de quelque part ; gauche. Ma canne ; p;che restait immobile et il me devenait de plus en plus difficile de la voir. Il est temps de conclure. Mais qui pourrait-il ;tre sur le lac, et m;me ; une telle heure? Les endroits ici sont assez d;serts et rarement rencontr;s par les p;cheurs ou les touristes. Mais ce rire f;minin? Et s'ils s'y baignaient? Et peut-;tre nu? Mon coeur bat plus vite. Je posai la canne ; p;che sur la plaque et allai voir ce qui se passait l;-bas.

Marchant avec pr;caution dans la brousse, je m'approchai des voix et vis trois femmes se baigner. De chez moi, ce n';tait pas tr;s proche et il faisait encore plus sombre, je ne pouvais donc pas tout voir en d;tail. Quelque chose que j'ai vu, quelque chose de dofantaziroval. Trois belles filles (ou femmes) ont nag; au large de la c;te. Et ils ;taient nus! De temps en temps, au-dessus de la surface de l'eau, des pr;tres les ont ;merg;s, d'un blanc ;tincelant sur le fond d'une eau noire. Il n'y avait pas de soutien-gorge sur eux non plus, j'ai certainement vu des seins blancs. Ce dont ils ont parl; et se sont moqu;s de ne pas se faire remarquer.

Je me suis assis sous un buisson et ai regard;, regard; dans les corps des femmes. Oh, comme ils sont beaux! Comme c'est d;licieusement sexy! Comment j'aimerais me rapprocher et tout voir plus en d;tail. Il est m;me pr;f;rable d’;tre avec eux dans la m;me eau, si froide qu’elle refroidisse l;g;rement le sang chauff;. Trois baigneurs ont tous nag; et gambad;. L'un ;tait un roux, l'autre aux cheveux noirs et le troisi;me ;tait blond. Ici, finalement, les dames ont nag; et ont commenc; ; descendre ; terre. J'avais peur de rater les moindres d;tails. Le premier ; avoir les cheveux roux. Sa forte poitrine a ;t; expos;e, puis un ventre plat est apparu, les hanches ont commenc; ; appara;tre. Je me suis pench; un peu plus en avant pour essayer d'examiner, et ; ce moment-l;, la branche sur laquelle je me tenais ;tait fissur;e, cass;e, et moi, ayant perdu l';quilibre, nous nous sommes effondr;s d'un c;t;. Les filles ont cri;: «Ours! Oui, o; est l'ours? Et qui est-ce? Un homme Ils nous espionnent! »Sans analyser les routes, je me suis pr;cipit; vers ma canne ; p;che.

La nuit, je n'ai pas pu dormir longtemps. L'excitation n'a pas recul;. Qui sont ces beaut;s? D'o; venaient-ils tard dans la nuit sur le lac? Reviendront-ils?
On ne sait pas s'ils viendront, mais le lendemain soir, j';tais avec une canne ; p;che sur le lac. Encore une fois, pas picor;. Mon flotteur solitaire se tenait dans l'eau et ne pensait pas y plonger. Mais j'aurais plong;. A plong; en compagnie de ces beaut;s sexy. Seulement avec moi, ils plongent, bien s;r, ne le feront pas. De quoi est-ce que je parle? ; propos du bain articulaire, du bain sans culotte? R;ve, r;ve. Le soleil avait d;j; disparu derri;re les cimes des pins, mais il faisait encore jour. Et puis (encore une fois, de fa;on inattendue) j'ai entendu un rire. Rire de femme. C'est eux!

Et encore une fois, les femmes ont d;cid; de nager au m;me endroit. Mais aujourd'hui, je me suis pr;par; ; l'observation avec plus d'attention. J'ai commenc; ; les approcher non pas le long du rivage envahi par la v;g;tation, mais de l'arri;re, pour ainsi dire, o; il y avait un endroit plus d;gag;. Et avec moi cette fois j'avais mes jumelles! Je me suis cach; derri;re le tronc d'un grand arbre et j'ai commenc; ; regarder avec excitation. Pendant que j'occupais mon poste, les nageurs s';taient d;j; d;shabill;s et ;taient entr;s dans l'eau. Ils ;taient compl;tement nus! Il commen;ait d;j; ; faire nuit, mais j'ai r;ussi ; tout voir. J'ai vu chaque pli et chaque taupe sur ces corps magnifiques. En effet, c';tait une brune, blonde et rouge. Et elles sont belles. Beaux visages. Belles fesses arrondies, impliquant r;silience et force. Belle nuque qui s’;tire fi;rement. Belles jambes minces et rapides. Beau dos droit, cisel;. De belles hanches, cachant des sources de plaisir incroyablement excitantes. Les femmes (ou les filles) sont entr;es dans l'eau et ont nag;. Ils ;taient aussi joyeux qu'hier et riaient aussi fort. A cette ;poque, de beaux inconnus ont navigu;. Je n'avais plus peur d';tre vu et je suis all; ; terre. Trois piles de v;tements gisaient sur l'herbe. Je me suis pench; et j'ai ramass; une culotte noire dans une pile. Une bande ;troite de mat;riel de dentelle. Pourquoi j'ai fait ;a? Je ne sais pas Si je voulais plaisanter ou exprimer mon admiration sexuelle. Avec un troph;e dans les mains, je suis rentr; ; la maison et quand je me suis couch;, je les ai mis sous mon oreiller. La nuit, j'ai sorti ma culotte plusieurs fois, je les ai coll;es ; mon visage et j'ai imagin; que je ne les touchais pas, mais la place du beau corps qu'elles recouvraient. Du tissu venait un l;ger parfum d;licat de parfum doux. Il a suscit; et rassur; en m;me temps. Avec la culotte sur l'oreiller, je me suis endormi.

La nuit, j'ai r;v; que je flottais sur un lac. Et rencontrer trois beaut;s: le rouge, le noir et le blanc. Et je leur demande ; qui j'ai pris le pantalon. Et ils disent, disent-ils, touchez lequel de nous est sous l'eau en short et qui est sans short. Je nage jusqu'; la brune, baisse la main plus profond;ment, touche le corps. Et ma main sent clairement les ;cailles, la queue de poisson. Qui est-elle, sir;ne? Je regarde dans les yeux des femmes. Oui, ils ont les yeux de poisson. Et les branchies au cou. Et voici les ailerons ... Je me suis r;veill; avec horreur.

Toute la journ;e, je me suis perdu au pays sans rien faire. Aller ou ne pas aller au lac ce soir? Veux-tu venir ou non l;-bas pour aller nager des beaut;s nues? Le soir, bien s;r, j';tais d;j; sur le rivage, dans une embuscade. Je n'ai pas mordu ; l'hame;on, seules des jumelles ;taient avec moi. Le temps a pass;, mais personne n'est apparu. La vue des jumelles s'est d;plac;e du rivage ; la for;t, de la for;t au sentier, du sentier au lac. Personne Le cr;puscule se glissa inaper;u. De regarder fixement les yeux ont d;j; commenc; ; faire mal. Soudain, sur la surface calme du lac, j'ai vu la t;te d'un homme. Il semblait? Non, quelqu'un a vraiment flott; sur le rivage. J'ai ajust; la nettet; des oculaires. C';tait une femme flottante, blonde. Celui qui est venu les soirs pr;c;dents ici avec des amis. Est-elle nue? Et o; flotte-t-elle? Pas de v;tements sur la plage l;-bas. Le nageur s'approchait.

La fille nageait lentement, son visage ;tait calme et serein. Boucles l;g;res, beau visage, ;paules arrondies. Ici, elle se retourna. Des seins, un ventre et des jambes blancs apparurent au-dessus de la surface de l'eau. Elle est nue! J'ai tendu mes yeux plus fort. Le spectacle est super. Les lignes douces du corps f;minin l'admiraient et lui faisaient signe irr;sistiblement. Le blond nagea jusqu'au rivage, se leva, t;tonnant du pied. L'eau a atteint sa poitrine. Que c'est bon! Les gros seins sont d;j; compl;tement ouverts. A commenc; ; appara;tre ventre. Puis j'ai vu le nombril. Bien! Viens! Mais la fille s'est arr;t;e.
- Valentine, viens ici, s'il te pla;t.
Seigneur, comment sait-elle mon nom? Comment sait-elle que je suis l;?
"Je sais que tu te caches derri;re un arbre." Sortez, nous devons parler.
Cacher ;tait stupide, je suis sorti de derri;re ma couverture.
- Approche-toi, n'aie pas peur.
- Je n'ai pas peur
- Eh bien, viens ici.
Je suis all; ; l'eau. Probablement, j'avais l'air stupide de l'ext;rieur, tenant cette stupide jumelle ; la main.

La femme s'est d;tach;e, d;tendue, elle n'a pas cach; sa nudit;.
- Comment savez-vous que je m'appelle Valentine?
- Je sais, ch;rie. Viens sur toi. D;shabillez-vous, allez dans l'eau.
- pourquoi
- Nous devons parler et je ne peux pas sortir de l'eau.
- pourquoi
- pourquoi Parce que tu as vol; ma culotte. Pourquoi l'avez-vous fait?
- Je n'ai rien pris.
- Vous mentez, pris. Allez, enl;ve tes v;tements et viens ; moi.
Beaut; nue m'a appel; ; elle. Comme dans un r;ve, je me suis d;shabill;e pour entrer dans l'eau.

Nous nous sommes rapproch;s.
- Ne t'inqui;te pas, je ne mords pas. Donne moi ta main.
Je tendis la main, la blonde prit la sienne dans la sienne. Il faisait d;j; nuit, mais ; la lumi;re de la lune, je vis presque tout son beau corps, je sentis la pr;sence nue de chaque cellule de ma nature primitive masculine.
- J'appelle Rusanna. Je nage constamment ici. Aimez-vous mon corps?
J';tais g;n; et je n'ai pas r;pondu.
- Je vois ce que tu aimes. Mets ta main sur mon ;paule.
J'ai pos; ma main sur son ;paule, nos visages ;taient tr;s proches. Rusanna m'a regard; avec ses grands yeux magnifiques. Et je ... j'ai commenc; une ;rection.
- Enl;ve ton pantalon, ils te d;rangent. Personne ne nous verra ici.
J'ai enlev; la culotte et les ai jet;s au rivage.
- ;coute, Valya, j'ai besoin de ma culotte. Amenez-les, s'il vous pla;t, demain soir. J'ai vraiment besoin d'eux, et vous n'avez besoin de rien. Apportera? Promesse.
- Je promets.
- Bien, d'accord, je te crois.
- O; sont tes amis?
"Vous ne les reverrez plus." Ils sont venus me rendre visite, ; mon lac. Mais maintenant, quand vous avez pris ma culotte, ils craignent de perdre la leur aussi.
- Pourquoi ces culottes sont-elles si ch;res?
"Je ne peux pas tout te dire." Mais souvenez-vous que si vous ne me les retournez pas, ils vous apporteront du chagrin, ; la fois.
- Je donnerai, je l'apporterai demain.
- Bien et bien. Veux-tu m'embrasser?
- Je veux.
«Embrasse-toi», rit Rusanna et s'allongea sur l'eau.
Je mets mes mains sous son corps magnifique.

Une belle femme nue gisait dans mes bras. Elle sourit et lui fit signe.
- Embrasse ta poitrine.
Je me suis pench; et ai touch; mes l;vres au bouton de la poitrine. Il s'est av;r; ;tre ferme et ;lastique. Tous les seins blancs et lisses de Rusanna se sont av;r;s ;lastiques. Sous mes mouvements, elle h;sitait l;g;rement dans le temps avec tout son corps. Des gouttes d'eau sont tomb;es sur ma langue lorsque je les ai promen;es sur cette peau d;licate et fra;che. Puis j'ai embrass; le ventre de la fille. Il ;tait juste devant mon visage, mais ;tait l;g;rement recouvert d'eau. La poitrine et les ;paules de Rusanna d;passaient de l’eau, de l’autre, les beaux genoux aux jambes fines. Enhardi, j'ai ;cart; ses jambes, la femme n'a pas r;sist;. Et puis ma main a commenc; ; caresser ces jambes sexy, l’int;rieur des hanches. Levant la main plus haut, je me suis repos; dans l'aine d'une belle femme, dans un pubis dur et aux fesses arrondies. Il aurait d; y avoir une fissure pr;cieuse. Et elle ;tait l;. Mon doigt entra avec enthousiasme dans le trou. Rusanna g;mit doucement. J'ai augment; la pression, le baigneur a r;pondu plus fort. Elle ;tait allong;e sur l'eau, soutenue par moi et myst;rieusement, me semblait-il, elle souriait. Ma convoitise est arriv;e ; la limite, je ne pouvais plus la supporter...

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