Haut Pays

Haut Pays.
Chapitre I. L'appel pour la Voie.

Tu viens de prendre ce livre aux mains. N'enquiers-toi pas de mon pr;nom, car cela dirait sur rien. Je ne suis ni un ange et ni un saint, mais je suis le m;me que tu, c'est-;-dire, un ;tre humain qui est n; sur la plan;te Terre au m;me milieu du si;cle agit; et contrastant, du si;cle XX; et je suis n; ; l'aube du soleil, quand il se trouvait au milieu de la constellation d';crevisse, et la Lune, en ;tant au d;clin, elle le suivait, en retardant de deux constellations zodiacales, quand les oiseaux aux for;ts ne s';veillaient pas encore, elle luisait comme lettre C dans le ciel matinal.
Je t'invite ; un voyage au pays des plus hautes montagnes; c'est plus haut que l'arr;t ultime o; l'autobus serait capable de monter. Et au-del; de ce point iras-tu ; pied solitairement.
Il y a des r;gles appropri;es dans ces montagnes. Celui-ci qui se trouve plus bas, pas toujours peut-il voir celui-l; qui se trouve plus haut, et m;me s'il lui voit, alors il ne le pourra pas comprendre.
Je crois qu'il y a un sommet dans ces montagnes, le sommet qui est plus haut que la Mont Everest, et cette croyance m'attire en haut l;-bas.
Et plus haut je monte, plus de beaut; s'ouvre devant moi, et cela raffermi ma foi que je suis sur la bonne voie.
Voil; pourquoi avec compassion regarde je ; la foule qui se rassemble ; l'arr;t ultime, au-del; de lequel l'autobus ne peut pas monter. Ils croient comme s'ils aient atteint leur but et tout le reste soit fait par un autre.
Ceux qui ont atteint cet arr;t d'autobus, ils croient aussi qu'il y a la Maison l;-bas sur la plus haut Montagne o; ils sont attendus toujours, n;anmoins comme s'ils n'y aient pas besoin d'y aller.
Certains d'eux br;lent d'envie de se mettre en route, mais en jetant un coup d'oeil ; la foule, ils perdent son assurance tout de suite.
Ceux-ci qui sont debout au bas, ils ne peuvent pas comprendre ceux-l; qui ont l'audace de monter plus haut, et ils crient: "tu te d;m;nes! Il est dangereux l;-bas! Tu as laiss; la voie vraie. Tu tomberas au Col F;tide! ;coute-nous, nous sommes dans le vrai, parce que nous sommes un grand nombre".
Et en ;coutant eux, et en confiant ; eux, celui-ci qui a failli se mettre en route, il retrace, en baissant la t;te et en ;teignant son regard, en prof;rant d'un air coupable: "c'est au-dessus de mes forces. Il sera mieux, je s;journe ainsi que toutes ensemble".
N;anmoins, il avait assez de forces, mais il les a perdu. En croyant que la majorit; ait raison toujours; il a perdu ses forces.
Bien s;r, cette foule porterait profit, si elle ;l;ve quelqu'un, qui p;rissait au Col F;tide, jusqu'; son niveau. Gr;ce ; eux, le sauv; fera un grand pas en avant, s'il se joint ; eux. N;anmoins, celui-ci qui br;lait d'envie de monter en haut, il ferait un pas en arri;re; sans d;sirer de se s;parer de l'entourage.
ET SANS D;SIRER DE SE S;PARER DE L'ENTOURAGE, IL N'EST PAS POSSIBLE DE MONTER PLUS HAUT QUE CET ENTOURAGE O; TU T'A TROUV; (OU TROUV;E) ; L'AIDE DE TON CHOIX PLUS QUE DES VICISSITUDES DU DESTIN.
Mais tu as pris aux mains ce livre, et je t'invite au voyage et je ne dissimule pas que ce voyage est dangereux. Et se pourquoi ;l;ve ta pri;re ; Dieu Unique que tu crois et pour que ni moi, ni quelqu'un d'autre, personne sauf Il-M;me ne soit te sauvegardera.
Crois en Dieu, et Il ne t'abandonnera pas et ne te laissera pas ; p;rir sur la voie qui est prescrite pour toi par Il.
Car si tu dis, "; quoi bon tout ;a ; moi?" et tu continues ; s;journer au niveau qui est atteint, plus longtemps tu restes l;-bas, plus fort une tristesse inexplicable t';tranglera.
Et n'importe quels biens de vie aurais-tu atteint, ils te r;jouiront pour deux-trois mois, mais tu t'accoutumeras ; eux vite et auras envie de quelque chose plus grand. En atteignant ce qui est plus grand, en r;jouissant toi par rayonnement excellent peu de temps, il tombera en poussi;re aussi.
ET UN JOUR TU APPRENDRA QUE TU MANQUES L'ESSENTIEL.
En voyant que tu s;journes ; la m;me place, des visiteurs mal venus commenceront ; te visiter ; titre des petits malheurs et d;sagr;ments. N;anmoins, si tu continues de faire des erreurs, alors tes visiteurs mal venus reviendront chez toi et chaque fois ils seront devenus plus grands et auront un aspect toujours plus effrayant et ils ne renonceront pas. Cela continuera jusqu'; ce que tu quittes tes erreurs et que tu comprennes tout un effroi de ton choix erron;.
Tu diras: "cela ne peut pas ;tre. S'il va comme ;a, ce serait cruellement et pas justement".
Mais il faut donc te r;veiller. TU ES N; ; VIVRE, MAIS TU AS CHOISI LA MORT. TU VIS UNE VIE QUI N'EST PAS COMPL;TE. ET LA RESPIRATION QUE TU RESPIRES, N'EST PAS COMPL;TE. IL N'Y A PAS D'ENTRAIN DANS TES YEUX.
Et la mort que tu as choisie, elle est compar;e avec un sommeil profond. Et plus profond;ment tu dormes, plus fort agira ce Qui R;veille.
Une fois tu as fait un choix erron;. Et plus longtemps tu persistes en cela, plus clairement verras-tu ta faute.
PARCE QUE LA VIE EST DONN;E ; TOI, POUR QUE TU TIRES DES LECONS.
Et ta faute, ta le;on d;sapprise appara;tra devant toi en plus et plus gros plan, et chaque fois toujours plus et plus laide. Et ... un jour tu comprendras tout.
Passant plusieurs cercles des souffrances qui seront toujours augmentants, tu chercheras la sortie, en voulant enfoncer toutes les portes.
Beaucoup de portes seront verrouill;es, mais si tu chercheras avec z;le, et tu seras forc; de chercher avec z;le, une foi tu saisiras une porte qui sera ouverte.
Et alors tu te recorderas qu'on t'appelait, mais tu ne venais pas. Et alors tu comprendras que tu perdais le temps en vain. N'est-ce pas mieux se mettre en route maintenant?

Chapitre II. Le Cantique.

N;anmoins, avant que se mettre en route, attendris ton coeur. Tourne-toi avec pri;re vers Dieu Unique en Qui tu crois. Et n'aie pas peur. Le chemin est dangereux, mais le Grand Gardant te gardera.
Secoue les d;p;ts de ton souvenir! Cherche tout ce l;-bas qui est gentil et cher ; toi. Soit ta joie douce augmente. Tire de l; tout qui est capable de t'emmener de la condition de s;cheresse et d'indiff;rence. Tire-le jusqu'; ce que des larmes, pas les larmes du chagrin, mais de la joie, soit elles ;tincellent sur tes yeux, en refl;tant la lumi;re vue. Et cela signifiera que l'Esprit Saint s'approche de toi, juste comme Il s'approchait du roi David. Cela signifiera que la Cantique commence ; r;sonner dans ton ;me, ce grand Cantique que les ;lus chantent. Le m;me Cantique, sans laquelle ne pourras-tu aller, et si tu vas sans ce cantique, alors tu ne pourras pas faire m;me un pas. Il ne sera que sembl; aller, mais seulement tu feras rire ceux-l; qui se trouvent plus haut et dont tu ne peux pas encore comprendre. Ils verront que tu continues ; rester au m;me lieu, quoique remues les pieds.
; forcer toi entendre ce Cantique, c'est la pri;re qui le peut. ; forcer toi entendre ce Cantique, les chansons s;culi;res pourront cela, ceux-l; d'eux qui sont consonants ; ton ;me. ; forcer toi entendre ce Cantique, les voix des oiseaux pourront, qui glorifient Dieu en lice, ; la for;t matinale au printemps, quand la verdure fra;che est venue ; la place de la mort froide et blanche et a rappel; sur la vie ;ternelle et l'indestructibilit; de personnel "moi".
Aie en vue que ce Grand Cantique est un tintement des cordes de ton ;me, sur qui, peut-;tre, tu ne devinais jamais, si tu sentais quelque chose en effet, t'y ne pouvais pas interpr;ter, et ce Cantique cessait ; cause des condamnant regards des gens de ton milieu. Mais ils n';taient pas coupables en ton ennui, ceux qui chantent ce Cantique. Et m;me ce ne sont pas les gens qui riaient de toi en effet ou en ton imagination. Mais tu m;me te d;tournais de ce qui est haut et saint, de quelque chose unique qui est capable de te faire heureux. Il est possible que maintenant tu sois malade en chair et enivres du vin ; cause de ;a. Ou les autres qui enivrent au fond du Col F;tide, ils t'appellent: "descends chez nous! Nous avons un rem;de contre l'ennui. ;vanouis-toi avec nous ensemble!" Et tu vas humblement comme un cheval qui est men; par la bride, en plongeant toujours de plus en plus profond;ment, ; concevoir tous les cercles de l'enfer, tous les labyrinthes de la g;henne, parce que tu dois te faire une br;ler pour que te r;veiller et chercher la sortie.
Donc sors tout de suite et cherche ce qui fera jouer les cordes de ton ;me! Tu demandes "quoi chercher?" Je citais d;j; les exemples, mais il y a beaucoup plus de ces exemples que j'ai cit;s. Il y a d'eux autant qu'il y avait, il y a et il y aura des gens sur plan;te. Parce que les cordes de l';me de chaque ;tre humain, elles sont accord;es ; sa propre mani;re, unique et incomparable. C'est pourquoi cherche jusqu'; ce que la r;sonance co;ncide, quand les cordes de ton ;me commenceront ; trembler, quand les larmes de joie ;tincelleront comme les diamants purs sur tes yeux, quand l'Esprit Saint s'approchera de toi, et tu entendras le Cantique qu'il est impossible d'interpr;ter ; l'aide de langues humaines, mais par les autres langues qui ne sont pas connues sur la Terre, quoique chacun sache les parler, n;anmoins, seulement ceux-l; qui sont mont;s assez haut, ils sont capables de commenter ces langues.
Et si tu as entendu ce Cantique, alors tu as fait le premier pas, seulement un pas unique mais important, car il est le premier d'eux. Et maintenant il faut le savoir, tu ne pourras faire m;me un pas dans ces Montagnes Hauts, si ton ;me se tait.

Chapitre III. Les religions.

Qu'est-ce qui t'emp;che, es-tu mon fr;re ou soeur de la plan;te Terre, te mettre en cette route? Qu'est-ce qui r;pande les doutes et peurs dans ton coeur? Qu'est-ce qui a immobilis; tes jambes et emp;che aux cordes de ton ;me de r;pondre au parfait Cantique que tu cherches ; ;touffer?
J'ai devin; les peurs et doutes d'une grande partie des fr;res et soeurs de la plan;te: en g;n;ral ils ont peur de se mettre en marche ; la trace de l'homme d'une autre foi.
N;anmoins est-ce que j'ai dit une bonne fois que tu changes ta foi? Il s'agit de la foi en Dieu Unique, dont certains entre vous L'appellent Allah, les autres - ;lohim; certains - Absolu, les autres - Brahman; certains - J;sus, les autres - Krishna. Beaucoup des peuples appellent beaucoup des Noms du Dieu Unique, mais tu L'appelles par ce nom qui est en harmonie avec ta foi. Est-ce que j'ai t'invit; ; suivre apr;s moi sur les traces, comme un limier. Est-ce que j'ai dit que je viendrai au sommet plus t;t que toi dans tous les cas? Tous les croyants viendront t;t ou tard au sommet o; ils sont attendus toujours et o; il est pr;destin; ; faire le dernier saut ; la condition de l';me que les Hindous nomment Samadhi et J;sus la nommait comme "la Naissance de nouveau". Ne demande pas qu'il y aura, mais crois en Dieu et en Ses grands Prophets qui affirmaient que le bonheur vrai n'existe que l;-bas.
Tu demanderas: "de quel genre est l'arr;t ultime, plus haut duquel l'autobus ne peut pas monter et aller plus loin n'est possible qu'; pied, tout seul, o; il est dangereux, et il faut se tenir sa foi comme la rampe d'un escalier et o; les beaut;s de la nature s'ouvrent plus en plus si monter toujours plus haut, en s'approchant du Sommet?"
Je vais r;pondre: ce n'est pas un seul arr;t d'autobus, ce n'est pas un seul plateau o; la foule s'est rassembl; et ne peut pas monter plus haut. Il y a beaucoup d'eux, il y a d'eux autant que des croyances sur la Terre, et ces arr;ts sont les ;glises, les r;unions ou les communaut;s des croyants qui sont nomm;s d'une autre mani;re.
Il y a beaucoup d'eux. Ils sont situ;s aux niveaux diff;rents, mais m;me ceux-l; qui sont situ;s au-dessus de tous les autres, ils sont tr;s loin du Sommet principal, parce qu'il y a un limit pour la foule, plus haut duquel n'est-elle pas capable de monter, parce que la foule est stupide, et cette v;rit; est actuelle pour tous les temps et les peuples.
S'il n'est pas comme ;a, on n'aurait pas lapid; les prophets, en rendant la gloire ; eux au bout de plusieurs si;cles. S'il n'est pas comme ;a, la Terre n'aurait jamais ;t; gagn;e par le feu apocalyptique du totalitarisme, les adeptes duquel s'appelaient communists et national-socialistes, m;me ils faisaient la guerre entre eux, mais en fait ils proclamaient la m;me doctrine diabolique qui estime comme si la foule soit plus haute que la personnalit;.
Et les fruits ;taient terribles apr;s la doctrine qui estimait la foule plus haut que la personnalit;. Car Seigneur a estim; l';tre humain haut, plus haut que tous les anges, donc cela a provoqu; la jalousie de l'ange d;chu qui s'appelle en certains pays Lucifer et en autres pays - Iblis. Et il est devenu un adversaire de Dieu, donc Satan. Et il a ravi avec il une partie des anges qui sont devenu les d;mons. Et ils usaient les gens qui ont choisi le pouvoir de la foule au lieu du pouvoir Divine, d'univers. Et ces gens surpassaient en ses crimes tous les tyrans et sc;l;rats de l';ge obscur qui s'est all;, et ces tyrans et leurs obs;quieux compagnons d'armes, ils ont tu; plusieurs dizaines millions de personnes, en transformant le reste en troupeau du b;tail qui ne ressemble aux gens qu'en apparence, et seulement ceux-l; qui cherchaient la v;rit; et avait envie de monter plus haut, il y ;tait donn; de voir en vrai lumi;re tout ;a que passait et d';tre constern;.
Et les agents du Satan ont substitu; l'adoration de Dieu Unique par culte de fosses doctrines et idols. Et en comparaison des innocentes idoles foresti;res ou de pierre qui avaient l'air dr;le, ces monuments et momies ont port; ; l'humanit; les calamit;s innombrables. Les usines de la mort fonctionnaient jour et nuit et beaucoup plus qu'une ann;e, et les drapeaux des adeptes du diable, ils ;taient de la couleur ;carlate de sang. Est-ce que l'Ap;tre Jean le Th;ologien ne pr;venait-il pas de la b;te ;carlate? Est-ce qu'il ne pr;venait pas du dragon rouge? Voil; les fruits de l'ath;isme, de l'incr;dulit;! Voil; les infid;les vrais!
N;anmoins, la conflagration du totalitarisme n'est pas encore ;teinte. Elle faisait rage avec flamme ;clatante et maintenant elle couve, fume et m;me engloutit les gens, quoique au moins grande quantit;. Et ; tout moment elle peut s'enflammer plus encore si le vingti;me si;cle ne sert pas comme une le;on pour l'humanit; stupide.
Mais n'aie pas peur. La mort ne peut pas vaincre la vie. L'obscurit; ne peut pas vaincre la lumi;re. Ce n'est que les mat;riels didactiques pour les ;l;ves n;gligents. C'est comme les lourds ;quipements sportifs pas pour les muscles, mais pour l';me. C'est les ombres qui seulement soulignent la beaut; de la Lumi;re ;ternelle pour que tu estimes son bien. Est-ce possible d'enseigner un ;l;ve n;gligent ; aimer la libert; de l'autre fa;on que l'emprisonner? Pense-y. Et ne murmure pas contre ton Seigneur, et ne reproche pas Lui en cruaut;. Il a donn; les grands dons ; toi: la conscience, la raison, l'intuition et beaucoup d'autres que tu ne sais pas. Mais tu les as mis au frigidaire et apprends ; vivre de ceux-l; qui ont fait la m;me erreur.
Si tu uses ton intelligence, tu saurais qu'en notre ;poque apocalyptique il est possible d;j; de prouver scientifiquement l'existence de la Cause Premi;re raisonnable, car qui a construit le code g;n;tique de la cellule vivante? Et si un g;nie extraterrestre l'a construit, alors qui a cr;; le dernier?
Et qui est-il qui avait ajust; si exactement les mondiales physiques constantes fondamentales? Si elles juste un peu changent, et notre univers physique ne pourrait pas exister, mais il existe. Tu peux t'aller de la question, n;anmoins un jour ou l'autre tu devras la r;pondre.
C'est pourquoi ne doute pas en ta foi et n'aie pas peur des religions ";trang;res". Nous voyons tout, comme ; travers un verre terne, mais tout s';claircira, quand nous deviendrons Illumin;s.
Ne juge pas un arbre sans go;ter ses fruits. N'est-ce pas que J;sus l'enseignait? Chaque religion a son d;faut. Dans le cas contraire nous verrions un certain Eldorado sur la Terre, mais nous ne le voyons pas. Tous les gens sont p;cheurs mod;r;ment, partout il y avait les guerres, tout d'eux violaient les commandements divins. Tous les gens sont p;cheurs mod;r;ment, parce qu'ils croient tous ensemble, mais il y a la foule s'ensauvageant des ath;es qui sont dans une autre foule qui a engendr; les doctrines diaboliques inou;es jadis et les fruits de ces doctrines ont fait l'humanit; d';tre constern;.
Et donc reste dans ta foi, sp;cialement si elle est consonante avec ton ;me, mais pas avec la foule que t'entoure, n;anmoins ;vite l'ath;isme et l'idol;trie. N'adore pas les monuments et momies, les notions abstraites comme la "M;re Patrie", l';tat, un parti, une organisation - c'est des idoles, et ceux-ci qui sont sains spirituellement, ils n'ont pas de go;t ; tout cela. Et tout ;a qu'aiment ceux-ci qui sont sains spirituellement, soit c'est le gazouillement des oiseaux ; la for;t matinale, la fra;cheur d'une rivi;re ou lac, un beau coucher du soleil ; soir doux en ;t; ou bien au soleil levant au matin frais avec brouillard au-dessus de la rivi;re, les discours bons sinc;rement des amis ou parents, les corps enjou;s de tes bien-aim;es, de ceux-l; d'eux dont les ;mes ne sont pas mortes, ou une chanson pr;f;rable, ou bien quelque chose autre - tout qui t'a fait entendre celui-l; grand Cantique, ; cause duquel les cordes de ton ;me tremblaient - tout ;a ne r;pand pas, mais seulement refl;te cette Lumi;re invisible et ;ternelle, ce grand amour qui vient de ton Seigneur. Sois reconnaissant ; Lui, et Il te n'abandonnera pas, et il n'y a sur la Terre aucun gouverneur, mais seulement conducteurs de Ses biens, parce que sans cela sera-t-il difficilement, presque impossible de Le voir, pendant que tu es ; la condition de l'enfance spirituelle. Lorsque tu grandiras spirituellement et te renforceras, alors tu n'auras pas besoin de tout ;a, car ; quoi bon les r;flecteurs et conducteurs, tandis que Il M;me luit pour toi par la lumi;re ;ternelle et inextinguible?
N;anmoins aux idoles fausses n'y a-t-il pas Sa lumi;re, mais n'est que l'ombre. Les cordes de l';me ne r;sonneront jamais ; cause de la "M;re-Patrie", du parti, de l';tat ou de l'organisation, car il y aura l';loge des sots et boucs, la flagornerie obs;quieuse et flatterie, mais il n'y aura pas la lumi;re invisible qui vient du Seigneur, et l;-bas o; il n'y a pas Sa lumi;re, un ombre se trouve qui est le m;me enfer. Alors tu boiras l'eau bouillante du ruisseau f;tide et inhaleras la puanteur au bord plein d'une moisissure qui se d;compose, l';loge des sots t'hypnotisera, leur flatterie assoupira la douleur de ton ;me, et un jour tu te r;veilleras, en ;tant ;pouvant;, et feras p;nitence. Ne serait-il pas mieux le faire maintenant?
Tu te plains que sens mal ; ceux-ci, avec qui tu peux ;tre sinc;re, mais en pleine rue fais semblant comme si tout aille bien, car tu as peur de ne pas entendre l';loge des sots ; laquelle tu es accoutum; comme ; l'opium. Tu te plains que sens mal, alors cesse de marcher le long des labyrinthes de l'enfer, abandonne les!
Tu vas demander: "o; est la sortie donc?"
Reste seul o; rien ne pourra vous distraire. Ou reste t;te-;-t;te avec une personne, avec qui peux-tu ;tre aussi sinc;re et franc, comme avec soi-m;me, et ne reste avec elle que si vous, tous les deux, pouvez ;tre comme un.
Et lorsque rien ne te distraira, fais ton premier pas en haut: cherche avec z;le quelque chose qui fera r;sonner les cordes de ton ;me, trouve quelque chose qui fera tes yeux ;tinceler ; cause de larmes de joie, et si dont n'est d;truit rien, sache que c'est de Dieu. Et si tu ne croyais pas en Lui, demande pardon de Lui. Et si tu ne croyais pas en Lui ou bien croyais pas en Lui, mais vainement en quelque chose de quoi l';me ne peut pas chanter, alors remercie Lui pour cette joie, de laquelle Il t'a dou;. Tu ;tais aveugle et te d;tournais de la lumi;re, mais Il luisait ; toi et continue ; luire.
Mais peut-;tre tu as d;j; vu Son rayonnement invisible, n;anmoins tu ne L'as pas reconnu et as jug; comme si ce soit une lubie? Et peut-;tre, lorsque les cordes de ton ;me retentissaient, en ob;issant au conseil des sots, tu as jug; comme si ce soit une lubie? Il t'appelait, mais tu n'a pas reconnu sa voix, n;anmoins tu le sais maintenant.
Et si les cordes de ton ;me ont commenc; ; sonner, tandis que il n'est d;truit aucune vie ni sant;, alors ne doute pas, ta voie est juste. Et si ta joie est pareille ; la joie du roi David et ; cause de ;a rien n'est d;truit, alors tu es mont; un pas plus haut que la foule des coreligionnaires.
Maintenant souviens-toi: si ; l'autre bout de la Terre, m;me dans une autre religion, m;me ; un autre temple a-t-il une personne qui a pu entendre la Cantique en ne d;truire rien ; cause de ;a, alors c'est ton fr;re ou ta soeur de la foi, et quand tu l'apprends, tu feras ton pas deuxi;me. Si vous tous les deux avez fait ce PAS DEUXI;ME, vous n'estimerez plus l'un l'autre comme les infid;les. Il ne peut ;tre infid;le qu'une foule, mais pas ton fr;re ou soeur de foi. Dans le meilleur cas une foule peut ;tre faible dans la foi, c'est-;-dire, non d;velopp;e. Au pis aller - une synagogue de Satan. (Apocalypse 2: 9)
Souviens-toi que J;sus pr;chait une chose et soi-disant pr;tres - une autre. Et ;taient pr;s de Dieu ceux-ci qui ;coutaient J;sus dans la rue, mais pas la foule qui ;tait au temple. Parce que Dieu est l;-bas o; il y a la V;rit;. Parce que l; o; est l'Esprit du Seigneur, l; est la libert;. Parce que Dieu est amour. Et que ton coeur ne se trouble point: si tu es sinc;re ; la recherche de la v;rit;, mais tu s;journes dans l'erreur, ton erreur sera vue t;t ou tard, et alors il sera tr;s simplement ; l';liminer comme un ;clat de bois qui a ;merg; ; la surface d'un lac, et en jetant l'un mensonge apr;s l'autre, tu t'approcheras du Sommet.

Chapitre IV. Les nationalit;s.

Et de nouveau condescends-je ; ceux-l; qui n'ont pas fait encore les deux pas en haut. Ou n'a fait que l'un, mais sans avoir pleine conscience d'il, en prenant le r;sonnement des cordes de l';me pour une lubie ou un amusement oisif. Et parmi ceux-l; qui ont fait le premier pas y a-t-il ceux-ci qui sont confus. Mais la cause de leur confusion se distingue de ceux-l; qui ;taient confus ; cause d'une foi ;trang;re. Ce temps je vais consoler ceux-l; qui sont confus ; cause des gens d'une autre nationalit;.
La nationalit; est l'une des associations humaines. Qui sont-ils que J;sus-Christ nommait les plus proches, plus proches que parents? Je vais rappeler qu'Il nommait comme ;a Ses disciples, ; dire plus pr;cis;ment, Ses adh;rents, les fr;res de foi qui L'entendaient de bon gr; et apprenaient. Ses parents de chair a-t-Il mis ; la deuxi;me place, en montrant aux disciples avec les mots: ils sont "mon fr;re, ma soeur et ma m;re".
Bien s;r, entre les parents de chair sont-ils naturels les choses, comme l'amour, la sympathie, la compassion, l'entraide.
N;anmoins, si ton parent s'est ;cart; de la v;rit;, soucie-toi que tout soit bien ; lui, mais ne suis pas lui. Si le s;jour commun au m;me foyer avec il m;ne aux querelles - quitte lui et ne cherche pas la r;union avec il. Ne tourmente-toi pour lui, car t;t ou tard chaque homme viendras au Sommet. Et maintenant remercie Dieu si entre vous il n'y a pas les controverses, mais l'affection de parent; et l'entraide.
En plus grande mesure les parents sont ;loign;s, plus grande est leur quantit; - c'est l'arithm;tique naturelle. Et maintenant imagine-toi que nous examinons une grande foule des compatriotes qui sont des parents ;loign;s par rapport ; l'un l'autre.
Enfin, nous examinons les plus ;loign;s parents, ;loign;s en tel degr; qu'on peut d;j; les consid;rer comme ;trangers pratiquement, quoique m;me ils ne soient pas ;trangers, car tous les gens sont venus d'Adam et ;ve. N;anmoins, ils sont ;loign;s l'un de l'autre ; tel point que quelqu'un qui habite un autre pays, il peut se trouver plus proche de sang qu'un soi-disant compatriot.
Qu'avons-nous vu au premier cas? - La fraternit; spirituelle des adeptes.
Qu'avons-nous vu dans au deuxi;me cas? - Les parents proches de chair.
Qu'avons-nous vu au troisi;me cas? Une grande foule des compatriotes.
Et qu'est-ce que nous avons vu au cas dernier? ; simplement dire, une foule. Une nationalit; est une foule. Une foule qui a des coutumes commune, dans une plus ou moins mesure, et elle poss;de un territoire commun qui s';tait form; historiquement et peut ;tre tr;s ;tendu.
Et si ton ;tat qui a incorpor; la communaut; humaine, que tu appelles une nationalit;, si cet ;tat t'incite ; la guerre contre une autre communaut; humaine, es-tu s;re que ne te battras quelqu'un qui est plus proche de toi spirituellement, en disputant les int;r;ts de tes ennemis id;ologiques? Est-ce que c'est excusable de perp;trer les homicides dans l'int;r;t des gens du territoire commun, sans d;terminer qui est donc plus proche de toi ; l'esprit? Y a-t-il la probabilit; de tuer les amis dans l'int;r;t des ennemis?
Tu te l;ves ; la formation de soldat ; commettre les meurtres. N;anmoins, est-ce que tu sais au juste qui d'eux est dans le vrai? Est ta guerre sainte? Va-t-elle d;fendre les v;rit;s ;ternelles: Dieu, l'amour, la v;rit; et la libert;? Est-ce que cette "m;re-patrie" ou "nationalit;", pour qui fais-tu la guerre, les d;fendent-elles? Ou ton idole va contre eux? Si tu fais la guerre, car dans le cas contraire le public te jugera, alors tu vas contre Christ. Et si tu te regards comme tel brave qui est capable se trouver ; la guerre r;elle, pourquoi tu ne tournes pas l'arme contre ceux-l; qui t'incite aux p;ch;s graves et crimes? Apparemment, il est dangereux dans tous les cas, ne serait-il donc mieux p;rir ; la guerre sainte, comme un homme juste, au lieu de risquer sa vie pr;cieuse sous le drapeau du Satan? Simplement ton esprit est aveugl; par l'idol;trie devant la "m;re-patrie", un parti, une nationalit; ou devant une organisation.
Donc jette les idoles et cherche ce qui vient de ton Seigneur: m;me Dieu, l'Amour, la V;rit;, la Libert;. Et s'il ne faut pas sans guerre, puis fais la guerre pour eux, et s'il est impossible se passer de carnage, puis ne r;pands pas le sang en vain, ni ton, ni quelque d'autres. Et si tu cherches la v;rit; avec bon coeur et l';me chantante, puis tu seras plus haut que n'importe quelle nationalit;, parce que la foule, m;me si elle monte tr;s haut, il y a un limit pour elle, et au-del; de ce limit on ne peut monter que tout seul. Et il y aura de la th;s bonne chance, si tu vois un compagnon de route, cherchant le m;me Sommet, en escaladant en haut sur les versants grandioses du Haut Pays.
Il y a des peuples qui sont mont; haut. Le peuple tch;tch;ne est mont; assez haut. Parce que, quoiqu'ils ne croient pas que J;sus-Christ ;tait crucifi;, mais ils respectent son commandement ; aimer Dieu et ses prochains. Il y a pas beaucoup de places ; terre o; peut-on trouver telle l'entraide et l'appui mutuel entre les gens. Quant ; l'aspect c;t; mat;riel, ils sont les parents ;loign;s entre eux-m;mes dans une plus grande mesure qu'une nationalit;.
Il y a en Inde aussi les communaut;s des croyants qui sont mont;es tr;s haut, car elles sont tol;rantes et interdiraient de faire le deuxi;me pas au Haut Pays moins que tous les autres.
Les pays anglophones sont y compris ceux-ci qui sont mont;s tr;s haut. La tradition ; cacher son foyer de regards indiscrets et bl;mant, en liaison de la foi protestante, tout ;a a mont; ces peuples ; la hauteur limite, et il est peu probable qu'une foule soit capable de monter plus haut. Et celui-ci qui est le plus fort entre eux, America, (c'est-;-dire, l';tats-Unis) il veille les droits humains partout ; terre, mais ne fais pas une idole m;me de ce pays. Et si America n'existe pas, il est assez probable qu'un ;tat m;chant et barbare exerce une influence ; l'humanit; et cet ;tat r;ussirait ; devenir le plus fort. Et alors dans chaque pays seulement les oppresseurs de la libert;, despotes et tyrans se sentiraient ; l'aise maltraiteraient ses sujets, comme ils voudraient, et n'oserait personne faire honte ; eux, en disant: "vous violez les droits humains!" Alors ill;galit;s inou;es s'augmenteraient partout ; terre, et beaucoup de ceux qui lit maintenant ces lignes, ils voudraient s'aller de cette vie pr;matur;ment, en ;tant sous une oppression sans limits.
       C'est pourquoi supplie ton Seigneur ; garder l'America, n;anmoins a condition que ce grand pays continue de veiller ces grandes v;rit;s: Dieu, l'Amour, la V;rit;, la Libert;, car ces v;rit;s ne viennent pas d'un ;tat, mais ; cause du tr;s Haut. Et un ;tat est capable d';tre ou bien un gardien, ou bien un brigand de ces tr;sors Divins. Et la pri;re n'est opportune que pour un gardien d'eux. Mais ne fais pas une idole du gardien. Il ne faut pas adorer n'importe quel ;tat, ce serait une idol;trie. Si adorer une nationalit;, une foule - c'est une idol;trie. "Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul"(Math 4: 10).
Et ne fais pas un jugement sur n'importe quelle nationalit;. Tu te prives la libert; par cela ; ;tre n; dans la vie suivante, en appartenant ; la nationalit; que tu juges.
Et comprends ce que n'importe quel sot est capable de comprendre: pas ton origine ethnique, mais le choix que tu feras, c'est lui qui d;finira ta situation au Haut Pays ou dehors d'il.
Et sais: si tu choisis vivre comme tout le monde autour de toi, tu te saliras par tous les p;ch;s et crimes de la foule, une partie de laquelle tu te crois. Parce qu'il n'y a pas une id;ale nationalit; sur la terre, le fruit de laquelle il pourrait ;tre quelque chose comme Eldorado, et chaque nationalit; a son d;faut. Ou des p;ch;s personnels ne sont pas assez?
Si tu fais la guerre, puis d;fends ceux-ci qui sont proches et chers ; toi, et dans ce cas ta guerre est sainte, car tu fais la guerre pour l'amour. Mais la nationalit;, quel rapport a-t-elle, cette foule?
Si tu fais la guerre pour tes propres convictions, pour ta foi, puis ta guerre est sainte, et tu la fais pour la Libert;. Mais la nationalit;, quel rapport a-t-elle, cette foule?
Si tu fais la guerre, car une foule veut ;a, il serait difficile ; trouver un p;ch; plus grave et le ch;timent pour il n'est pas loin. C'est le m;me qu'; exciter un tigre, en ;tant suspendu ; l'air ; l'aide une corde mince. Et si l'ennemi des ;mes humaines a besoin de te pousser au Col F;tide avec les ruisseaux de l'eau bouillante o; les bords sont form;s de charogne qui se d;compose, alors o; cela plus l'arrange de le faire, sauf ; la guerre injuste dans laquelle tu participes? N;anmoins, si ta guerre est sainte, et il n';tait pas possible de l';viter, puis tu es plus haut que toutes les communaut;s, et chacune ta perte, excusera-t-elle beaucoup de tes p;ch;s, et il n'y a pas la mort pour toi, mais une interruption du jeu int;ressante que tu appelles la vie et tu veux ; la regarder jusqu'au bout.
Sais: si tu as fait deux pas en haut au Haut Pays, puis maintenant tu es plus haut que toutes les nationalit;s ; terre et tu n'as rien ; voir avec les foules de la vie terrestre. Et il n'y a qu'un peu ceux-l; qui se trouvent plus haut que toi et qui continuent ; aller en haut et les Illumin;s qui ont atteint le Samadhi. Tu m;me et tes fr;res et soeurs de la foi, tout vous qui avez fait deux pas en haut et qui, en entendant le Cantique, avez reconnu les siens aux tous bouts de la Terre, vous ;tes l'unique nationalit; sup;rieure, ind;pendamment de la couleur de votre peau et de l'identit; nationale; et le reste des nationalit;s ne sont que des foules.
N'aie pas peur des foules stupides et ne te trouble pas, car selon leur raisonnement ils sont proches aux animaux. Et s'ils sont en condition d'antagonisme avec toi, recorde-toi qu'ils ne sont que seulement comme des enfants nigauds et un jour ils se trouveront ; ton niveau, lorsqu'ils grandiront spirituellement, alors ils se mettront en route au Sommet, et on ne sait pas qui de vous viendra premier. C'est pourquoi le Seigneur J;sus-Christ priait Dieu pour eux, quand ils L'avaient crucifi;. Parce que chaque unit; humaine est une potentialit;, c'est une semence qui germera t;t ou tard.
N;anmoins, si tu es un chercheur de vrai, la foule stupide ne doit pas te mener ; la suite. La foule stupide que tu appelles "nationalit;", elle ne peut ;tre ni un sujet de l'imitation, ni un objet d'adoration. Il est peu importe, en quelle hauteur une foule est mont;-elle, elle n'est qu'une foule seulement. En avenir ils germeront, mais en ce moment ils ne sont que semences. Si tu as les parents proches, aime eux, soucie-toi d'eux, mais ne tire pas le;ons d'eux, si tu sais ; vivre. Si tu es "germ;", les semences ne sont pas une autorit; pour toi.
Si les cordes de ton ;me sont capables de r;sonner, il est temps pour toi ; te s;parer de la foule, si ne pas s'aller physiquement, puis au moins mentalement. ;carte-toi d'eux et observe sans parler, autant qu'elle est stupide, la foule humaine o; tous d'eux pensent de la m;me mani;re et sont debout au m;me lieu. C'est les sots qui cherchent ; vivre et ; penser, comme tout le monde autour d'eux, et ; cause de cela ils ne se d;veloppent ni mentalement, ni spirituellement, et ils ont besoin de beaucoup de mal, pour que les faire sortir de sa stupeur.
N'importe quelle nationalit; n'est qu'une foule. N;anmoins, un penseur et chercheur, dans l';me duquel la Cantique est capable de r;sonner, il n'appartient plus aucune foule et est exempt de toutes les nationalit;s.

Chapitre V. Les pr;dilections sexuelles.

Dans les chapitres pr;c;dents j'ai expliqu; les choses tr;s simples et accessibles ; comprendre, n;anmoins il y a peu de ceux qui sont capables de les comprendre. Il s'agit de ceux qui ont peur de monter au-dessus de leur entourage et de faire les premiers pas au Haut Pays. N;anmoins je vois encore beaucoup de ceux qui sont doutant et vibrant, vivant avec beaucoup de questions dans la profondeur de leur conscience, et ces questions troublent leur paix, et il ne veut personne ; r;pondre les questions ; eux. Vainement tentent-ils d'apprendre la v;rit;, car les contradictions ;videntes en ce ; quoi ils ;taient instruits, ne sont pas cach;s de leur regard.
Il est probable, qu'il n'y ait plus un seul ph;nom;ne qui serait port; aux nues et renvers; aux plus profondes couches de la g;henne ; la fois. C'est peu probable que tu entendes davantage des contradictions et r;ticences autour une autre objet. Parfois la m;me personne tant;t avec le m;pris nomme-t-il cet objet le plaisir charnel ou m;me le d;vergondage, tant;t en faisant semblant des suffrages nomme-t-il l'amour, de mani;re sublime, ainsi s'en contredisant ; soi-m;me. Et son astuce est ;vidente, parce que s'il sait et dit la v;rit;, il ne se contredirait pas.
Mais tu, la main sur la conscience, collecte toute la connaissance sur ce ph;nom;ne, que les hypocrites appellent, en d;sapprouvant, un plaisir charnel, et les "avocats", la majorit; duquel sont hypocrites aussi, ils l'appellent amour. Et les derniers sont hypocrites aussi, parce qu'ils tentent d';mettre ses jugements sur un objet, duquel ils m;mes n'ont r;ussi rien ; apprendre, et tous leurs mots ne sont qu'une r;p;tition de tout ;a qu'ils oyaient en foule. Et il arrive qu'il soit profitablement pour cet homme dans certaines places de louanger quelqu'un, et il parle: "ils s'aiment", dans une autre place il a besoin de vilipender quelqu'un, et alors il parle sur ses voisins: "ils sont des d;bauch;s!" La plupart du temps il est comme un ;cho: d'abord il r;p;te ce qu'il entend ;;, puis ce qu'il entend l;, et maintenant il est facile ; comprendre la cause des contradictions.
Et sais que tu as de la tr;s bonne chance si tu trouves une personne qui ne mentira pas, ne fera pas l'hypocrite, n';vitera pas de r;pondre questions sur ce sujet et s'il se sera trouv; qu'il bien sait le sujet dont tu demandes, alors deviens son disciple sans douter.
N;anmoins, essaye de trouver la v;rit; ind;pendamment. Quand tu recueilles ensemble toutes les ;nonciations sur ce sujet que tu as entendu pendant toute la vie, tu verras qu'il y a quelque chose plus grand qu'un plaisir charnel. Il y a quelque chose plus grand et plus sublime, mais cette sublime partie ne peut pas ;tre ouverte pour ceux qui la jugent et jettent le bl;me.
Et m;me si tu entends que quelqu'un a l'intention de tuer quelqu'un d'autre ; cause de la jalousie ou il veut se tuer ; cause de l'amour non partag;, puis dans ce cas le motif n'est pas l'amour, mais l'orgueil, c'est-;-dire, la crainte pour son ego. Un jaloux ne d;fend pas l'amour, mais l'orgueil. Il venge ; un homme qui selon l'opinion de la foule, a fait l'un malchanceux. Il est sourd et aveugle et a oubli; que m;me il y avait des rois qui ;taient tromp;s.
Un autre se consid;re comme un malchanceux de l'amour non partag; et il va se suicider ou simplement s;journe en tristesse. Il est sourd et aveugle aussi, parce qu'il n'a pas r;fl;chi et ne sait pas qu'il aime une personne qui n'est pas capable d'aimer. C'est comme s'il estime un cadavre soit vivant, commence ; parler avec il, mais le mort ne r;pond pas ; lui, et il se tourmente ; cause de ;a: "on ne veut pas ; parler avec moi, donc je ne suis pas respect;, c'est pourquoi je suis mis;rable".
Il ou elle qui se languit de l'amour non partag;, s'ils sauraient que le partenaire, comme si soit capable d'aimer, il est invent; par eux. Et m;me s'il ou si elle acc;de ; leurs d;sirs, ils recevraient le bonheur pas plus que d'un plaisir charnel ordinaire, non plus que de la masturbation. Un plaisir charnel ordinaire peut-on acheter pour l'argent relativement pas grand. Quant ; la masturbation, on ne doit pas du tout ; payer. Et il n'y a pas aucun probl;me, mais il est invent;.
Si tu es un de peu de gens qui sont capables d'aimer et qui savent qu'est-ce que c'est l'amour, donc l'amour est un flambeau inextinguible de ton ;me qui te fait heureux d;j; seulement lui-m;me, et si tu as eu pleine conscience de ;a, tu est d;j; heureux (ou heureuse), et ne laisse pas que cette flamme s';teigne, car seulement elle te donne ; regarder compl;tement d'une autre mani;re ; l'univers et ; tout qui se trouvent au-dessus de lui. Et l'extinction de cette flamme ;quivaudrait au renversement ; l'enfer.
Si tu portes d;lib;r;ment la torche de ton ;me, puis tu peux d;j; ;tre heureux, toi-m;me, sans quelqu'un et sans quelque chose. Mais tu te trouves dans l'enfance spirituelle pour le moment et il n'y a que cette raison que tu as besoin de ce jeu infantile, c'est-;-dire, le sex. Ta vision spirituelle n'est pas devenu encore plus fort, c'est pourquoi tu as besoin d'un (ou une) partenaire pour qu'; l'aide d'eux sentir la beaut; de l'univers et la gloire du Cr;ateur. Tu n'es pas mont; encore en Haut Pays jusqu'au niveau o; peut-on imm;diatement ;prouver la beaut; de l'Univers et tu as besoin d'un m;diateur, comme ceux-l; qui apprennent ; marcher, ils ont besoin d'un appui suppl;mentaire. Tu ne peux pas encore ressentir la pl;nitude du bonheur, en s'isolant et en regardant aux ;toiles la nuit sans nuages ou en inhalant le brouillard matinal au-dessus d'une rivi;re et en ;coutant le chant des oiseaux en surimpression de la chanson fluviale. Pour que le bonheur soit complet, tu as besoin d'un m;dium auquel aurais-tu la possibilit; d';pancher cet amour qui est et ;tait toujours dans toi. Mais sais: quand tu te l;ves assez haut, ces jeux infantiles cesseront de t'int;resser. Quelqu'un d'adulte et m;r, peut-il s'int;resser au jeu aux ;checs, mais on ne peut pas l'int;resser au jeu ; Tic-tac-toe, et un b;b; n'est pas cr; encore jusqu'; jouer aux ;checs. C' est pourquoi un jeu plus int;ressant para;t lui incompr;hensible et ennuyeux. Voil; pourquoi l'ap;tre Paul a pr;f;r; le c;libat. Il avait cr; d;j; spirituellement au-dessus des jeux infantiles qui avaient cess; de l'int;resser, mais il l;guait ; ses enfants spirituels ; se marier, en disant que sinon: "mais ces personnes auront des tribulations dans la chair, et je voudrais vous les ;pargner".
Et ne sois pas confus, si la nature personnelle pousse toi aux jeux inhabituels que la soci;t; nomme les perversions, certainement, si ces jeux n'apportent pas mauvais fruits. Car si tu ;coutes ce que les gens parlent, tu ne bougeras pas en d;veloppement et tu ne feras pas m;me un pas au Haut Pays. Ce n'est pas Dieu, mais la soci;t; qui est un ennemi de Dieu et qui juge tout ;a. Mais Seigneur J;sus enseignait ; apprendre l'arbre selon ses fruits. C'est pourquoi je ne te demande pas, ; quels jeux joues-tu, mais je demande: quels sont les fruits de ces jeux? Et si tes jeux ne d;truisent pas la vie et sant; de quelqu'un, puis tu es parfait (ou parfaite) en ;tant tel que tu es, mais il serait un p;ch; en fait de tenter d';tre, "comme tout le monde", parce que le Seigneur ne clonait pas les gens et ne cr;ait pas eux identiques, mais chacun et chacune d'eux sont uniques et incomparables, et la trahison de l'essence de soi-m;me, elle n'entra;ne rien que le mensonge, le d;senchantement, la perte du but en vie, car le but en vie est l'amour.
Certains de vous diront qu'intrins;quement ils sont port;s ; jouer aux jeux agressifs et demanderont, pourrait-on jouer ; eux? Et je les demanderai plus encore: "quelles sont les cons;quences de ces jeux? Est-ce que vous ;tes stupides ; tel point que ne pouvez pas distinguer les ;gratignures et les bleus inoffensives des blessures mortelles et estropiant? N;anmoins, il y a ceux qui vont trop loin et les limites de ce qu'est admissible, ont l'air diffuses, ind;termin;s, et ils exigent la r;ponse, comment d;terminer pr;cis;ment cette borne, au-del; de laquelle il est inadmissible d'aller? Et je vais r;pondre ; eux: "si vous ne pouvez pas d;terminer pr;cis;ment la borne entre choses admissibles et inadmissibles, n'approchez-vous pas pr;s d'elle". Car il serait mieux ne la atteindre pas, au lieu d'aller au-del; d'elle, en apportant les mauvais fruits. Tout est bon avec mesure.
Quoique rarement, n;anmoins il y a des gens qui enclins aux jeux mortels et destructeurs. Et je vais d;couvrir devant eux une v;rit; que tout le monde cachait d'eux: "vous avez la probabilit; de tomber tr;s bas et de se trouver dans la plus morose place au Col F;tide, en devenant un tueur en s;rie des victimes innocentes. Mais celui-ci qui a la probabilit; de tomber tr;s bas, la m;me personne a les chances de monter tr;s haut, en devenant un grand Yogi, et alors le reste de la voie jusqu'au Sommet principal ne sera pas loin. Il est interdit d'aller selon la voie du Tantra dans ce cas, en acceptant toi-m;me tel, comme tu es, mais n'aller que selon la voie du Yoga. N'ab;me pas ton Karma, car tu auras ; payer pour tout. Tu apporteras beaucoup de chagrin et d';preuves ; chacune des victimes, n;anmoins, tu m;me subiras tous ces chagrins ensemble, tant dans cette vie que dans les vies suivantes aussi. Et en comparaison de ces ;preuves que tu subiras justement, les inconv;nients que tu sentiras, s'en refusant ; faire ces crimes, auront l'air du paradis. Tu ressembleras ; ;sa; qui avait ;chang; la primog;niture contre un plat de lentilles.
Et je ne te demande pas ; quels jeux joues-tu, n;anmoins ne laisse personne ;tre malheureux. Tes jeux ne doivent pas rompre les familles form;es et faire les gens ;tre les ennemis entre eux. Bien s;r, si l'excitation intentionnelle des ennemis l'un contre l'autre ; la guerre Sainte n'a pas lieu dans ce cas.
Les gens deviennent malheureux souvent ; cause de leurs pr;jug;s. Si tu es tomb; amoureux (ou tomb;e amoureuse) d'une personne de foule qui porte, comme les cha;nes de l'asc;te, les pr;jug;s et pr;ventions que la foule a les impos;s ; eux, d'abord aide-les ; jeter et ; rompre ces cha;nes et ; quitter la communaut; qui entrave de marcher en avant. Si tu crois que ce soit possible, alors tente la chance de lib;rer le prisonnier de la superstition, mais "ne jetez pas vos perles devant les pourceaux", comme avait dit le grand Professeur, et ne continue pas ; le tenter, si tes mots restent sans ou;r. Tu ne peux pas aimer un mort, m;me si tu le veux. En avenir des forces les r;veilleront, dont tu ne disposes pas, car il n'est que la force de Dieu avait-elle pu ressusciter Lazare. Quitte ce cadavre qui ne peut pas r;pondre ; ton effusion de coeur, jusqu'; ce qu'il revive. Tu ne l'aimes pas mais une image que tu as sortie de la profondeur de ton ;me, c'est-;-dire, cette image qui est toujours avec toi, en difficult; et en joie, quand il fait chaud et quand il fait froid.
Et n'essaye pas cette belle image aux cadavres puants, car l'amour qui s;journait toujours ; la profondeur de ton coeur, il ;tait toujours avec toi, il y sera toujours et quand tu grandiras spirituellement, tu l'apprendras, mais maintenant tu confie que c'est un ph;nom;ne Divin et il peut exister sans une apparence corporelle.
Et ne l'insultes pas, en accusant toi-m;me de la faiblesse et de l'impressionnabilit;, car l'amour ne fait personne faible. C'est au contraire, avec il tu seras plus fort, intr;pide, et les sots ou bien les ennemis ne te d;routeront pas du chemin vrai. Si tu as con;u l'amour et maintenant tu le mis ; la porte, un jour il t'ob;ira et s'ira et alors tout le monde transformera en enfer pour toi et n'importe quels biens ne pourront pas te consoler, ni spirituels, ni mat;riels. Si seulement les drogues qui ;tourdissent et privent de la raison pendant quelque temps, apr;s de quoi la r;alit; para;tra devant toi plus encore triste.
Si tu viens de commencer ; avoir pleine conscience de l'amour qui ;tait toujours avec toi, puis garde-le, d;lecte de lui, remercie le tr;s Haut pour ce don clair, et soit cet amour te fera ou;r la Cantique, et soit il chante, mais la soci;t; dans ton esprit, soit elle se tait, car le bonheur et la soci;t; ne sont pas compatibles.
Joue ; n'importe quels jeux qui plaisent ; toi, s'ils n'apportent le mal ; personne, sois libre. Sans rien dire fais ton coup et ne rends pas compte devant les gens sur les choses, qu'ils ne sont pas capables de comprendre, parce qu'ils ont choisi une voie incorrecte.
Sais: avant de t'user ; ses propres fins, comme un esclave ou comme un guerrier ; la guerre injuste, la soci;t; a besoin de tuer l'amour en toi. La foule avait telle exp;rience pendant mill;naires et continue d'agir par inertie, parfois m;me sans se rendre compte, pour que faire te rougir de la pudeur erron;, pour que provoquer tes remords faux. Mais ce n'est pas conscience, mais la peur basse de foule, et cette peur n';tait pas approuv;e par le Sermon du Christ sur la montagne o; il avait dit: "Malheur, lorsque tous les hommes diront du bien de vous..." (Luc 6: 26), mais les pr;tres et les autres qui sont les moralisateurs, tout ils passent sous silence cette partie de la v;rit;, en tentant ne parle rien sur elle, assez souvent ils font la le;on pour ses ouailles ; chercher approbation ; la foule.
Il y a une connaissance secr;te que le c;t; sexuel de la vie contient une ;nergie ;norme, et autrefois cette connaissance ;tait tomb;e dans les mauvaises mains, et pour qu'user une personne dans leurs buts, les adeptes du mal influencent-ils sur son c;t; sexuel de la vie avec l'aide des interdictions mal fond;es, la morale hypocrite, les mots injures - avec l'aide de tout ;a ils cherchent ; faire pour que cet homme de foule bannisse-t-il l'amour dehors de son coeur.
Ils cr;ent les barri;res l;-bas o; il n'y a pas besoin de ;a, mais l'amour n'habite pas une cage et il en s'envole. Ainsi ils jettent sa victime dans l'enfer, en cr;ant d'elle un usuel supp;t de l'enfer qui les sert "en tout bien tout honneur".
Aime de la fa;on, comme tu veux, et n'aie peur de personne, et n'aie pas honte. N'apporte pas les mauvais fruits, c'est l'unique interdiction. Sois libre! Sans rien dire fais ton coup, sans augmenter le nombre des ennemis autant que possible, car ils sont m;mes qui te trouveront. Ils ne sauront pas mais sentiront que tu n'es pas de leur plan.
Sois libre, n'imite personne, c'est un p;ch; ; imiter quelqu'un. Si le Seigneur a envie, il te ferait ressemblant ; Christ, ou bien ; Mohammed, ou bien ; Bouddha, ou bien ; Krishna. Mais il n'y a aucune r;p;tition entre milliards des gens, entre trillions des cr;atures.
Sois libre et joue ; n'importe quels jeux, seulement ne nuis ; personne. Sois libre et sache prot;ger ta libert;, sache prot;ger ton amour, sache prot;ger la v;rit; et la foi, car tout cela vient de Dieu.
Sois toi-m;me et apporte la v;rit; l;-bas o; on peut t'entendre, mais ne tente pas de faire parler les morts. Sois toi-m;me, aime comme on te pla;t, prends soin de l'amour dans ton coeur, seulement sans nuire. Sois toi-m;me, apprends la v;rit; et la science ;ternelle de la vie - tout ;a sont des appuis, sans quels tu tomberas. Autant que possible, sois en paix avec tout le monde et n'attaque pas le premier.
Sais: si tu vis comme tu souhaites et ne nuis ; personne, mais on t'attaque, tu as droit de faire la guerre contre eux, et le Seigneur est au ton c;t;. Et dans ce cas la guerre sera sainte, et n'importe quelles pertes subirais-tu dans cette guerre, tu seras r;compens;. Mais si tu sans faire semblant, mais tentes sinc;rement d';tre comme tout le monde, puis tu perdras tout et pour long temps.

Chapitre VI. La sainte guerre.

Tu lis ces lignes, parce que tu cherches le plus haut Sommet. On ne cherche qu'un tr;sor avec tel z;le. Tu recorde-toi une citation de la grand Livre: "car l; o; est ton tr;sor, l; aussi sera ton coeur". (Math. 6: 21). Autant que haut cette Montagne est debout, d'autant profond;ment son contraire est enterr;, la plus profonde cavit; au Col F;tide, la cavit; est pleine tel mal que tu manques la fantasie ; le t'imaginer. C'est, on dirait, l';tat-majors principal de celles arm;es, contre quelles tu dois t'avancer. Est-ce que tu t'imagines, quelle est la force de la tension qui a lieu entre ces deux contraires? Tu vas au-devant de l'ennemi acharn;, mais n'imite pas son mal. N'imite pas son mal et n'aie pas peur. N'aie pas peur, car le Seigneur Unique est avec toi.
Recorde la premi;re r;gle, ce n'est pas moi qui l'ai invent;: le meilleur combat est ce combat qui n'a pas eu lieu.
C'est pourquoi il faut ;viter les conflits. Chaque collision avec ennemi, si elle est physique ou mentale, c'est une descente ; l'enfer, c'est-;-dire, une promenade dans sa profondeur. Si tu fais cela souvent et chercher ; combattre, tu seras gagn; par son mal et deviendras aussi que son, c'est-;-dire, de l'enfer, supp;ts. Voil; pourquoi un autre grand livre, Coran, recommande ; d;m;nager d'infid;les, pour que ne pas vivre avec ennemis et ne pas s'impr;gner par leur f;tidit;. Car la condition de guerre dans leur monde bas est une condition naturelle pour eux. Dans la guerre sainte tu ne dois rien avoir ressemblant ; leur chamaillerie canine, parce que tu n'appartiens pas ; leur monde. Soit ton ;me s;journe plus longuement possible au Haut Pays, s'en impr;gnant par l'odeur salubre des herbes et fleurs montagnardes, mais non par puanteur cadav;reuse et merdeuse du monde hostile pour toi. Il y a une raison encore ; ne pas rester dans l'enfer une fois superflue, parce que tu perds les forces l;-bas, mais tu les retrouves de nouveau au Haut Pays.
Aussi ne cherche pas les ennemis, car ce sont-ils qui te trouveront, et ce n'a pas importance, comme loin es-tu d'eux. Et s'il n'y a pas de la possibilit; d';viter la collision, tourne-toi vers l'ennemi et accepte le combat, n;anmoins selon tes propres r;gles. Use une arme qui est efficace. Recorde que le Seigneur avait donn; l'intelligence Divine, ; toi comme ; tout le monde, cette intelligence est beaucoup plus fort que les mains. La plus grande chose que tu peux faire ; l'aide les mains, c'est un trou au mur de brique. ; l'aide de l'intelligence peux-tu ruiner une ville d'ennemi. Si quelqu'un a une mitrailleuse, un couteau n'est pas une arme principale, mais n'est qu'auxiliaire. Ainsi n'use l'arme auxiliaire que si une situation sp;ciale contribue ; cela.
Rappelle-toi: la plus forte arme que tu as, c'est la pri;re, en ta langue natale comme en autres langues. La deuxi;me arme efficace est ton intelligence et ta connaissance et le reste n'est qu'apr;s tout ;a.
;conomise l';nergie et ne la disperse pas en vain. Pour lutte contre l'enfer utilise sa propre ;nergie.
Quand la b;te rouge avec l';toile ; cinq branches et l'autre b;te rouge avec svastika, tous les deux s'accrochaient dans l'escarmouche mortelle, le reste de l'Ouest n';tait pas alarm; jusqu'; tel point qu'ils m;mes ;taient. C';tait une preuve de la sagesse. Et ne salis-toi pas les mains dans le sang en vain. Si tu veux ; tuer ton ennemi, mais d'abord attends une f;te, n'importe quelle. Peut-;tre tes ennemis se so;leront et, en ;tant dans une stupeur ivre, ils d;truiront l'un l'autre sans ton aide. Et seulement ; la rigueur, s'il n'agissait rien ; celui-l;, dont avais-tu besoin de se d;barrasser, alors proc;de et soit tes faits seront les plus efficaces, car tes ennemis sont plus stupides que toi.
Ne combats jamais comme un samoura;, mais combats toujours comme un ninja. Sache que l'un et l'autre ont besoin de bravoure, tous les deux sont courages ;galement, c'est pourquoi n';coute pas un parler des gens qui dans le meilleur cas sont stupides. Et au pis aller son jugement peut se trouver comme une provocation pour que tu t'exposes et les arm;es lumineuses subissent des pertes.
Sache que les duels sont les actions de diable. Tes ennemis sont ;gaux approximativement ; toi en force physique, n;anmoins, il y a une grande quantit; d'eux. En esp;rant vaincre des dizaines et des centaines des combats corps ; corps, tu provoques ton Seigneur ; faire des merveilles rares. Ainsi le Satan tentait de s;duire Christ o; Le persuadait ; sauter ; bas de l'aile du temple. pour que le Seigneur fasse une merveille et celui-ci qui est tomb; de grande hauteur, ne se meurtrisse pas. Le suicide n'est pas un courage, mais une erreur.
Et tu ne te trouble pas ; cause de la dignit;. Tu es un ;tre humain et c'est assez. Et ta dignit; l'Ange de Lumi;re avait envi;, c'est pourquoi il est devenu un ange des t;n;bres Iblis ou autrement dit, le Satan. Si tu vas en direction de Lumi;re, puis tu d;couvres ta dignit;. Si tu vas ; l';cart de la Lumi;re, puis tu le perds. Et il n'y a pas une autre mani;re ; le perdre.
Celui-l; qui cherche l'approbation de foule, il va ; l';cart de la Lumi;re. N'aie pas peur de rester seul, en ;tant pers;cut; et m;pris; pour la V;rit;. L';vangile t'en l'enseigne. N'aie pas peur de rester seul, car si tu es avec Dieu Unique (Allah), puis tu as tout. Le Coran t'en l'enseigne. Sois libre de n'importe quelle soci;t;, cas en ;tant libre, tu deviens plus encore fort.
Sois vigilant et v;rifie, si ta guerre est sainte.
Sache que tu as droit d'avoir celle-l; couleur de peau et ceux-l; face et chair qui sont donn;s ; toi de Dieu. Dieu a cr;; chaque ;tre humain et il n'y a rien des gens qui soient cr;;s par Satan. Ton corps et beau tel, comme il est, et le corps de n'importe qui est beau tel, comme il est. Si tu entra;nes et perfectionnes ton corps, tu seras mieux, parce que cela plaira ; Dieu.
C'est pourquoi personne n'a l'audace de t'attaquer ; cause de tes appartenances raciale ou nationale, de la configuration du corps, de la mine, de la d;marche ou du temp;rament personnel. Si tu n'aspires pas ; la perfection, ce n'est que l'affaire de Dieu. Et si les gens s'ing;rent dans les affaires d'autrui, puis en premi;re fois essaye ; expliquer ; eux qu'ils agissent contre Dieu et la foi vraie, s'ils interdissent d';tre soi-m;me ; quelqu'un. S'ils te n'ont compris ou n'ont pas voulu te comprendre, puis cherche ; te trouver hors leur soci;t;. N;anmoins, s'il n'est pas possible de t'aller d'eux, puis mets-toi en d;fense, parce que ta guerre sera sainte dans ce cas.
Sache que personne n'a droit de s'immiscer dans la vie intime de toi, dans tes pr;f;rences sexuelles. Si tu n'apportes pas les mauvais fruits, alors tu es beau tel, comme tu es, et tu es belle telle, comme tu es aussi, et personne n'a pas l'audace de te forcer ; changer l'orientation ou bien te pers;cuter pour la libert; que tu manifestes.
Si tu as intention d'emmener un fils ou une fille de quelqu'un, il faut qu'ils sachent clairement ce qui les s'y attend et qu'ils te suivent sans h;siter. S'ils doutent, puis aide-les ; apprendre eux-m;mes. Enseigne ; eux cette v;rit; que tu es enseign;. Si tu r;p;tes ; eux le m;me, mais ils ne te comprennent ou ne veulent pas ; comprendre, puis quitte eux. Il ne peut justifier le vol des enfants conscients des parents que l'amour r;el. S'ils ne te comprennent, donc ils sont mort, et l'amour r;el avec un mort n'est pas possible, et tu ne pourras te justifier ni devant leurs parents, ni devant Dieu Unique. N;anmoins, entre les gens qui sont conscients et libres de la soci;t;, c'est-;-dire, entre les gens vivants, si leur orientation sexuelle co;ncide partiellement ou enti;rement, l'amour r;el est possible, et tu as droit de le prot;ger avec l'arme aux mains. La guerre pour l'amour est sainte.
Si tu enl;ves une personne et as intention de vivifier ce mort par force, tu ressembles un chirurgien que s'est mis ; une op;ration risqu;e, et tu subiras toutes les cons;quences. Si tu d;livres cette ;me du sommeil mortel, l'honneur et la louange ; toi. Mais s'il s'av;re que tu as d;rang; cette personne et ses parents en vain, puis tu subiras le p;ch;.
Si quelqu'un menace de mort ou de l;sions corporelles ; ceux qui sont proches et chers ; toi, alors ta guerre est sainte, parce que dans ce cas tu fais la guerre pour l'amour aussi.
Rappelle-toi: en avant envie de punir un malfaiteur, tu n'as pas droit ; se tromper.
Si on t'inculpe d'un crime que tu n'as pas commis, puis ta guerre est sainte, car les accusateurs n'ont pas droit ; se tromper. Et alors m;me si les gens te jugent, Dieu te disculpera.
Si on te persecute et harc;le, mais ils ne veulent pas ; expliquer clairement ; toi un motif valable de ;a, ils mentent et ;vitent ; r;pondre, en utilisant les man;uvres verbales, alors il est la plus probable, comme l'exp;rience v;cue indique, ils veulent ; interdire ; toi d';tre toi-m;me, et la guerre est sainte dans ce cas, parce que tu fais la guerre pour la libert;.
S'ils menacent de t'emprisonner ; l'aide de pots de vin ; la police et aux juges ou en utilisant les r;pressions de l'appareil de l';tat totalitaire, c'est-;-dire, de l';tat satanique, alors ta guerre serait sainte, parce que tu la ferais pour la libert;.
Si on te force de servir ; une arm;e qui est r;put;e par ses crimes contre la libert; et droits humains, puis ta guerre contre cette arm;e est sainte, car tu feras la guerre pour la libert; et v;rit;.
Si on te force de rejoindre ; un groupement qui est r;pugnant pour toi, et ce n'est pas important, s'il est l;gal ou ill;gal, alors ta guerre pour la libert; est sainte.
Si on fait irruption chez toi ou va la faire, n;anmoins tu n'as pas commis crimes, puis ta guerre est sainte, car tu la fais pour la libert; et l'amour.
Si on te pers;cute ; cause de tes convictions, et tu n'as pas appel; ; causer la mort ou un grave pr;judice ; la sant; aux gens ; cause de leur appartenance ; une race ou nationalit;, y compris ; cause de leur foi ou l'orientation sexuelle, si tu n'as pas appel; ; instituer un pouvoir, sous lequel sera-t-il difficile ou impossible de vivre librement, d'aimer librement, de faire le commerce equitable, de n'appartenir pas ; un cercle auquel tu n'as pas envie, de retirer de la soci;t;, de se d;placer librement au pays ou partir d'il; alors ta guerre pour la v;rit; et la libert; soit sainte.
Si on ne te laisse pas entrer ; un pays ;tranger, c'est leur droit. Si on t'interdit de te d;placer librement au pays que tu habites ou de partir d'il, puis ta guerre soit sainte, car cette guerre est pour la libert;.
Si ceux-l; qui sont venus apr;s toi, t'entravent de vendre quelque chose consciencieusement ou de mendier, et ils cherchent ; te bannir par force de la place, n;anmoins, ; cause de ;a tu ne perds pas les moyens d'existence, puis abandonne cette place, car la plus probable qu'elle est sale. Mais si tu perds ces moyens et tu as ; la charge les gens qui sont proches et chers ; toi, alors ta guerre contre ceux qui t'entravent, soit sainte, car ce serait la guerre pour l'amour et la libert;.
Si tu vas dans la rue avec les gens qui sont proches et chers ; toi, prends par avance avec toi telle arme que l'utilisation prenne ;tre brusque et efficace contre la sorte d'attaque qui a lieu habituellement dans ce pays. La guerre pour l'amour est sainte.
Si tu es tomb; dans le pi;ge et entour; par les ennemis de tous les c;t;s, et ne vois pas d'issue, alors prie ton Seigneur pour trois choses: ou bien s'Il ferait un miracle, ou qu'Il t'aide ; quitter ce monde avec le moins regret, ou qu'Il t'aide ; vendre plus cher possible ta vie. Il est possible que c'est l'essai de ta foi. Plus de foi tu as, moins tu te meurs. Plus de la foi - moins de la mort.
N'oublie pas que le duel est un p;ch; et crime. Ceux qui vont le faire, ils sont plut;t stupides, pas de braves. S'ils sont courages, puis ils seraient hors de la soci;t; et ses valeurs faux. Mais ils sont poltrons, parce qu'ils sont esclaves de la soci;t;.
N'oublie pas: le mieux combat est ce qui n'avait pas lieu. Avant que faire la guerre, v;rifie, si la guerre in;vitable. Car il y a assez des carnages sur la Terre m;me sans cela.
N'oublie pas: la premi;re force se trouve dans la pri;re, la deuxi;me est dans l'intelligence et dans la connaissance, la troisi;me est tout le reste.
Ne presse-toi pas de r;pandre le sang o; il y a du temps ; penser. Calcule, si peut-on faire heurter les ennemis l'un contre l'autre? Dans la guerre contre l'enfer utilise l';nergie de l'enfer, n'utilise ta propre ;nergie qu'au cas limite.
Si cela sent la guerre, va ; toutes les informations sur les ennemis plus vite, cherche leurs points faibles.
Si tu ne peux pas expliquer pourquoi fais-tu la guerre, puis tu es un assassin et grand p;cheur.
Si tu fais la guerre ; cause de la volont; de quelqu'un, mais pas selon ta propre volont;, alors tu es un poltron qui est forc; ; commettre les crimes graves. Parce que tu ne trouveras la r;ponse qu'en toi-m;me, comment agir juste, mais ne crois pas les gens, car ils t'induiront en erreur.
Il n'est pas possible de pr;voir et d;crire tous les cas, n;anmoins, il est dit ; la Bible: "pas la lettre, mais l'esprit". Cherche la v;rit;, p;n;tre-toi de son esprit. En toi-m;me faut-il chercher les r;ponses ; toutes les questions. Il y a la connaissance de tout en ton essence immortelle. Un jour tout s'ouvrira devant toi, mais seulement moyennant que tu le chercheras, car il est dit: "cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira" (Mat. 7: 7). Et le renoncement ; chercher la v;rit; est un grand p;ch;.
Si tu cherchais la v;rit;, mais ne l'as pas trouv; encore et avais commis un carnage vain par ignorance, puis la demande contre toi est comme une demande contre un b;b; qui n'est pas encore appris.
N;anmoins, si tu ne voulais rien ; savoir, et puis le destin t'a mis en face d'un probl;me, et sans savoir le r;soudre, tu as fait un carnage vain, alors tu subis le p;ch; pour la n;gligence criminelle. Ainsi ta mauvaise volont; ; chercher la v;rit; est transform;e en crime.
Si tu savais qu'agissais injustement, n;anmoins tu as pr;f;r; de se cacher de la v;rit;, c'est-;-dire, de duper toi-m;me, comme si tu fermes les yeux avec pr;m;ditation et apr;s cela tu te justifies: "je n'ai vu rien". Tu peux duper y compris toi-m;me, mais tu ne duperas jamais Lui qui voit et sait tout. Tu serais vilain et d;risoire devant Lui, car ton p;ch; est grand et est bien en ;vidence. Cela est comme si tu fermes les yeux et croies que personne ne te voie.
C'est pourquoi ; la recherche la v;rit; ne n';vite pas et ne te cache pas des questions. Et tout cas tu devras les r;pondre, et plus t;t tu te mis en recherche les r;ponses, il sera mieux pour toi.

Chapitre VII. Derri;re les lignes ennemies.

Si tu es n; ; l';tat totalitaire et es un chercheur de la v;rit;, alors tu as compris d;s l'enfance l'essence m;chante et satanique de cette soci;t;, car tu as compris son abomination d;s le bas ;ge. Tu ne te trompes pas. La soci;t; qui a engendr; tel ;tat, et l';tat qui maintient telle soci;t;, tout ;a est une engeance du Col F;tide, c'est-;-dire, de l'enfer. Le signe essentiel de tels ;tat et soci;t; s'exprime dans leur politique qui est dirig;e pour que forcer tous les gens d';tre identiques. En d;pit de l';tablissement Divin ; cr;er chaque ;tre vivant exceptionnel, les gardiens des traditions totalitaires qui sont monstres et d;g;n;r;s de par sa nature, boucs que les profondeurs de l'enfer veulent ; les engloutir s'ils ne feront pas p;nitence, ces types surveillent les avec attention aux tous les niveaux, si quelqu'un diff;re de l'entourage o; tout le monde a accept; cette tradition satanique d'avoir l'aire identique.
Ceux qui sont en haut, ils manipulent les masses stupides qui sont en bas, imposant ; eux les valeurs faux et en manoeuvrant avec leurs instincts bas. Ils cultivent les traditions pour que la vie priv;e de chaque personne soit en vue d'eux, et ils implantent la tradition de l'intol;rance ; ceux qui ont os; de se distinguer des autres par quelque chose. Ce qu'est impos; le plus souvent, c'est l'ignorance, le racisme, le sexisme, le chauvinisme et l'antis;mitisme. Ainsi dans la Russie depuis longtemps l'ignorance est impos;e, le mot "intelligent" est un juron en fait, et une aur;ole romantique est attribu;e au comportement des imbeciles so;ls. Au Cambodge sous Pol Pot d'abord ;taient extermin;s les intellectuels, puis on commen;ait ; exterminer ceux qui savaient lire et ;crire. Il est plus l;g;rement de faire entrer au Col F;tide ceux qui sont un b;tail ignorant. En Cor;e du Nord il est interdit d'accrocher les rideaux sur les fen;tres pour que chaque famille soit sous surveillance et contr;le des d;g;n;r;s et salauds communistes.
Quelqu'un qui est pensant et cherchant, il diff;re in;vitablement, car il est dit en ;vangile qu'une lumi;re au top d'une colline ne peut pas se cacher. Ainsi si tu t'es mis en direction juste d;s l'enfance, alors tu subissais la pers;cution et les moqueries d;j; ; l';cole. M;me si tu entra;nais les muscles et apprenais ; te battre bien contre eux, cela ne t'aurait pas aid;, parce que tu es un ;tranger dans ce monde, tu es d;j; au paradis, mais ils trouvent au Col F;tide et s'immergent de plus en plus profond;ment. Ce peuple est d'autrui et hostile ; ton ;gard, cet ;tat est d'autrui et hostile ; ton ;gard, et le but principal pour toi, c'est survivre et apporter sur la vie la torche de v;rit;.
Tout ce qu'est ;crit ici, il est su dans la profondeur de ton "moi". N;anmoins il serait longtemps d'attendre une remont;e en surface de ces v;rit;s, et en lisant ses lignes, tu l'apprendras plus vite. Si tu crois que cette doctrine est incorrecte, t;che ; trouver une erreur, puis ce travail que tu feras, sera une partie utile de la recherche de v;rit;. Apr;s avoir ex;cut; ce travail, tu te convaincras que mon but est d'all;ger ta voie et de pr;venir des fautes.
Si tu as commenc; ta voie derri;re les lignes ennemies, c'est-;-dire, sous le joug d'une puissance satanique, la plus probable error est l'abattement. Tu es heureux, mais tu t'as cru, comme si tu sois un infortun;. L'honneur qui a ;chu ; toi, il est haut, mais tu te d;courages. Si tu as lu la Bible, beaucoup de ;a venait ; toi ; travers d'un oeil s'est all; ; travers de l'autre; venait ; travers d'une oreille et s'est envol; ; travers de l'autre. Je ne sais pas, jusqu'; quel point as-tu appris toute l';criture, n;anmoins il est clair que la Sermon sur la montagne n'est pas appris par toi, si tu estimes comme si tu sois n; sous une mauvaise ;toile et te d;courages.
Sache: toutes les infortunes terrestres que tu as subies, s'en trouvant sous le joug de l';tat o; l'ant;christ essaye ses forces pour que vaincre tout le monde dans l'avenir, d'une part tout ;a est les mat;riels sportifs qui ne sont pas pour corps, mais pour l';me et raison; et de l'autre part tu payeras les p;ch;s dans les vies pr;c;dentes et tu ne seras plus un oblig;.
En ;tant n; ; l'Ouest dans un pays libre et normal, tu vivrais dans conditions plus favorables, n;anmoins sans apprendre tout ;a que tu apprendras ici. En ;tant tremp; par les vents des infortunes terrestres et avec le bagage du Karma, dont tu t';tais charg; dans les vies pr;c;dentes et qui maintenant est beaucoup plus l;ger, tu conquerras facilement les cr;tes pleines de neige du Haut Pays et atteindras le Sommet principal plus vite.
N'oublie pas qu'il y a beaucoup de pi;ges id;ologiques sont plac;s dans le royaume de l'ant;christ, beaucoup de chemins fraudant et faux pour que t'emmener ; l';cart de la v;rit; et, autant que possible, ; t';liminer de cette vie. Pas tous, mais beaucoup des ;tats totalitaires cr;ent artificiellement une ambiance de cochonnerie et de l'absence de spiritualit;, cherchent ; faire pour que la quantit; des gens ignorants augmente, pour que plus de peuples soient en prisons et aux camps des prisonniers, parfois au d;cuple qu'aux pays libres. Ainsi en Russie, en utilisant les traditions de voleurs qui avaient lieu avant la r;volution, il est cr;;e une religion fausse de voleurs, qui pr;che maintenant les "valeurs" impies, c'est-;-dire, "notions". (понятия)
; c;t; avec mensonge, sp;cialement en ;poque du pouvoir sovi;tique, il y est impos; la propagande du sacrifice de soi dans les accidents et d;tresses qui avaient lieu ; cause de l'incurie et l'insouciance qui sont provoqu;s par l';tat et avec pr;m;ditation. Ils savaient pour que sauver les gens qui sont subis un d;sastre ou m;me les valeurs mat;rielles, ; premier tour ces personnes se pr;cipitent qui cherchent la v;rit;, ainsi les dirigeants de l'enfer tentaient d';liminer ces gens par leurs propres mains.
N;anmoins la vie d'un chercheur est beaucoup plus pr;cieuse que la vie d'un membre ordinaire de la soci;t; totalitaire qui a choisi la voie de b;tail. Le sacrifice de soi au profit de ces gens, s'ils ne sont pas tes fr;res de foi ou tes parents, serait la m;me chose que le sacrifice de soi pour sauver un animal. Donner ; manger ; un chien affam; serait un bon acte. N;anmoins, sacrifier sa vie pour il, cela serait dans la plupart des cas un sacrifice disproportionn;. Il y aurait plus de bien, si tu sauves quelqu'un qui cherche la v;rit;, de l'emprisonnement ou d'une autre danger au lieu de sauver cent personnes qui refusent de la recherche de v;rit;, en risquant ta vie. N'oublie pas qu'en sacrifiant de soi, tu diminuerais la force de l'arm;e de lumi;re sur la Terre. C'est pourquoi ne risque pas en vain. Et ne tombe pas dans l'autre exc;s: ne cache-toi pas o; faut-il lutter en fait et o; sacrifier soi-m;me serait justement et en proportion du but.
Et ne venge pas tout de suite pour les insults. Un ennemi ne t'insulte jamais o; tu es dangereux pour il. Il t;cherait toujours le faire entre les gens du monde, auxquels tu n'appartiens pas, pour qu'ils ou bien viennent en aide ; lui, ou bien, au moins, poissent t;moigner contre toi en inique de la cour.
Ses insults n'ont aucune importance. Ses mots ne sont terribles que pour ceux qui adorent les valeurs fausses. N;anmoins il est coupable, parce que, en voyant que tu n'appartiens pas ; ce monde, il te provoque pour l'an;antissement ou pour l'affaiblissement de soi-m;me. Laisse que le vent du temps emporte l'outrage caus;, mais si le sentiment d'injustice n'a pas pass; avec le temps, d;truis l'ennemi, N;anmoins, en agissant, choisis la situation avantageuse pour toi, pas pour lui. Ne venge pas pour l'insult, mais pour l'attentat ; la libert; d';tre soi-m;me. Mais si ton ennemi est chang; et s'est repenti sinc;rement, puis pardonne-lui pour tout.
Aux pays totalitaires on aime ; effrayer par solitude. N'aie pas peur de la solitude, car cela n'est pas de perte, mais un bien pour toi. Juge toi-m;me: ne serait-il pas une b;tise se d;soler ; cause de cochons qui se sont d;tourn;s et ont abandonn; toi, parce que tu n'avais pas envie de devenir un cochon? Et tout ;a tandis que Dieu est au c;t; de toi! Tout est au contraire: leur soci;t; est l'enfer o; tu perds les forces, mais en restant seul, tu les accumules de nouveau, sp;cialement si tu te trouves ; la nature, l;-bas c'est plus probable que tu verras les affaires de Dieu et te r;jouiras.
En se trouvant entre les adeptes des t;n;bres, s'il est dangereux ; diff;rer des autres, fais semblant comme si tu sois comme tout le monde, mais ne le fais pas longtemps et souvent. Ce serait demi-mal s'ils te d;voilent. Ce serait le grand mal si tu deviens comme tout ils sont en fait, car m;me dans l'aisance leur vie est pis que la mort pour toi. Leur richesse est pis que ta mis;re. Leurs palais sont pis que ta tente ; la for;t. Tu peux ne me croire pas, mais le temps passera et tu le verras.
S'ils t'entourent avec douceur et flatterie, sois poli, amical, remercie-les pour l'hospitalit;, mais examine et apprends eux et ne r;jouis pas pr;matur;ment, pour que ne pas d;cevoir am;rement dans la suite.
Sois solitaire et libre. En solitude accumule tes forces. S'il devient tristement, alors va ; pr;cher ce que tu sais. S'ils pr;tent l'oreille, reste quelque temps avec eux. S'ils ne t';coutent pas, puis va-toi. N;anmoins, en pr;chant la v;rit;, prends garde de ne pas tomber en vain sur les poings, les couteaux, la lapidation ou la prison. Le Grand J;sus ne risquait pas aussi en vain; en pr;chant, Il s'esquivait des intrigues des ennemis, pour qu'aller le long de son chemin de vie jusqu'aux luttes principales, jusqu'; la Croix, la R;surrection et l'Ascension.
C'est pourquoi lorsque tu apportes la v;rit; aux gens, pr;vois par avance les probables intrigues des ennemis et dangers, les probables actions de la police secr;te politique, les chemins d'une reculade probable. Il est mieux de pr;cher d'o; tu habites loin et sans d;pendre de personne. Outre la s;curit;, cela donnera les forces ; toi et le sentiment de la s;ret; de toi-m;me. L; o; la police secr;te politique fait rage, ne nomme pas les choses par ses noms ; haute voix. Fais la conversation pour que l'auditeur lui-m;me devine. Au cas de danger, insiste comme si on t'ait compris incorrectement. Fais de telle mani;re pour que ce soit l'empreinte du sens de ton sermon qui reste, au lieu de l'empreinte de ton apparence et les donn;es ; te trouver. L;-bas o; il n'est pas dangereux, tu peux choquer la foule stupide par tous tes attributs insolites, s'ils existent, ou bien par la libert; soulign;e des moeurs, qui est exprim;e y compris au comportement. Mais en pr;chant parmi beaucoup d'ennemis, la chance aidant, tu peux trouver un peu des amis ou amies. N'indigne pas ceux qui peuvent devenir tes compagnons pour longtemps. Ce qu'ils seront capables de comprendre demain, ils peuvent ne pas comprendre aujourd'hui. Ne choque pas les amis probables pr;matur;ment, pour que tu les n'effrayes pas.
N'oublie pas qu'avec une grande probabilit; tu trouverais tes partisans entre les gens de ton orientation sexuelle, parce que la puissante ;nergie du sex serait ; ton c;t;. Et dans ce cas il serait mieux ; pr;cher entre les partenaires possibles mais pas entre rivals possibles o; l';nergie du sex servirait une entrave, pas un stimulant.
Aux ;tats totalitaires, parfois en cherchant si ne pas v;rit;, mais quand m;me un abri, ceux qui sont pers;cut;s de temps ; autre tentent-ils de se joindre ; communaut;s ill;gales qui paraissent ; eux comme si soient oppos;s aux ordres injustes, mais c'est une tromperie. Ainsi en Russie les communaut;s criminelles sont des cellules de la m;me soci;t; sovi;tique, avec les m;mes traditions. Ces communaut;s ne sont diff;rentes qu'en apparence, mais elles expriment la m;me essence et poursuivent les m;mes buts: non-libert;, l'asservissement spirituel, l'identit; ext;rieure forc;e.
Il est repr;sent;e l'opinion officielle et comme s'il y ait celle-ci d'opposition, c'est-;-dire, "populaire". N;anmoins sache: cette "opinion populaire" est form;e par les services secrets, et ils le font habilement et avec consid;ration, mais le peuple est stupide comme partout, ici ils sont stupides m;me dans une plus grande mesure. Ici on fait semblant comme si le sermon de la v;rit; soit une b;tise et la propagande oppos;e est un risque injustifi; et une bravade futile, parce que inutile. Mais sais: en convertissant une ;me ; la V;rit;, tu l;serais par cela au royaume du mal plus que si tu tuerais cent commissaires rouges ou bruns et leurs larbins du people. 
Aie peur de commettre une action inconsid;r;e, mais n'aie pas peur d';tre audacieux l;-bas o; il le faut. N'aie pas peur de la mort, mais aie peur de gaspiller ta vie pour rien ou en vain. N'aie pas peur de frapper les ennemis dans la guerre sainte, mais aie peur de frapper quelqu'un innocent. Tu ne dois pas te soucier, pour qui passeras-tu parmi le peuple stupide, un poltron ou un h;ros, un monstre ou une sainte nitouche, un tra;tre ou un ami fid;le. Tu as les buts propres: ; savoir d;fendre les valeurs ;ternelles qui sont inali;nables de toi et qui viennent du plus cher ;tre Sup;rieur, du Seigneur Qui a engendr; ton essence et donn; la libert; ; toi.
Ceux qui avaient eu pleine conscience de ces valeurs, ils se m;laient au combat, m;me allaient sur b;cher. Et les compagnons de la foi trouvaient les forces ; franchir toutes les infortunes possibles, car ces forces ;taient donn;es ; l'aide du lien avec le Monde Divin Sup;rieur. Tu dis que tu es faible, et je crois que c'est possible, parce que tu t'es p;n;tr; par v;rit; pas assez encore. Tu es faible, parce que ton lien avec tout Divin est faible. Tes d;fauts sont comme une grande r;sistance au circuit ;lectrique dont des flambeaux ne peuvent pas s'allumer. Et cette r;sistance est tr;s grande si tu ne cherchais pas, mais parlais: "; quoi bon me tout ;a? Je n'ai pas besoin de rien". Mais maintenant, si tu as compris qu'en fait tu as besoin de tr;s beaucoup de choses, soit ta vie sera la recherche et les ;tudes, la recherche et r;flexion, la recherche et l'attention aux cordes de ton ;me. Et alors graduellement la r;sistance changera en conductibilit;, les forces viendront ; toi, et m;me tu pourras les diriger, s'il le faut. Quoique tu ne seras pas encore au Sommet, mais tu seras d;j; m;r pour le saut final. Et en dehors de la recherche principale, apprends tes propres capacit;s. Cherche en toi ces dons-l;, dont Dieu t'a dou;, et les utilise. Car chaque personne est n;e comme un g;nie, mais il ne l'est pas devenu, parce qu'il ne cherchait pas.
En ;tant n; et enferm; au monde hostile ; toi, au pays ennemi, construis ton chemin personnel, passe selon lui et l'enseigne les autres qui le souhaiteraient, car chaque personne a les forces ; surmonter le royaume de mal, mais non chaque personne souhaite de trouver les forces en elle et les utiliser.
Apprends quel pays habites-tu. Si tu ne peux pas ; l'instar du Go;land Jonathan Livingston, s';carter de la foule et chercher la v;rit; librement, alors ce pays est ennemi.
Au pays ennemi sois pr;par; ; n'importe quel instant d'entrer en la clandestinit; et vivre ; la nature et malgr; tout survivre et sans perdre courage. Si le climat est froid, fixe une mission ; l'adaptation au froid. Si c'est la jungle ou les montagnes, apprends comment devenir un habitant de la jungle ou des montagnes. Soit la nature qui t'entoure devient-elle comme ton foyer paternel, m;me plus que cela.
Sois soi-m;me! Sache faire semblant, mais sache conserve ton propre "moi" aussi. Le dernier est plus important.
Garde-toi de l'ignorance, de la mauvaise volont; ; apprendre et te d;velopper.
Garde-toi de l'abattement et pessimisme. Sache que la tristesse est une tromperie. Si tu le comprends, elle s'ira sans peine. Non sans raison l'ap;tre Paul disait: "rendez gr;ces en toutes choses".
N'oublie pas qu'il y avait et il y a tr;s peu des professeurs sur la Terre, dont peut-on avoir confiance. Les v;rit;s qui ;taient dites par les grandes personnes, apprends ; les essayer sur toi comme une robe, les "mettre" justement et les "porter" justement. Cherche en toi la confirmation de ces v;rit;s.
N'oublie pas que parmi les infortunes ta dette karmique diminue.
Si la tristesse ne s';carte pas obstin;ment, cela peut ;tre ; cause de la fatigue, d'un maladie, mais plus probable ; cause du manque de la foi.
Au pays totalitaire traite les mouvements, soi-disants, d'oppositions, avec un grain de sel et vigilance, car il est souvent qu'ils ne les sont pas en fait. Ou tandis qu'ils ;taient cr;;s, une service secr;t est intervenu pour que d;figurer et profaner leur essence. Cela concerne les ;glises dans une non moindre mesure.
Ne sacrifie pas toi sans faire grande injure ; l'ennemi ou en sauvant les gens indignes.
Si tu t'ennuies, va ; pr;cher, n;anmoins n'estime pas cela comme un travail, mais comme un jeu int;ressant. C'est agr;able de partager la joie venant de vie qui est s;par;e du troupeau.
L'opinion des gens sur toi, si ces gens ne sont pas dangereux pour toi, elle ne doit pas t'int;resser plus que l'opinion des singes dans un jardin zoologique.
N'oublie pas que personne ne peut t'infliger un affront r;el et diminuer ta dignit; en fait. Il ne peut que tu m;me faire cela, en d;tournant de Dieu et s'en tournant ; la foule.
En avant l'air heureux, choque ceux qui ne sont pas dangereux pour toi et ne peuvent pas devenir tes amis ou adeptes dans la suite.
Comme un ;claireur apprends les orientations sexuelles des gens autour toi. Cela aidera d'un part ; briser les ennemis, de l'autre part ; renforcer l'arm;e lumineuse.
N'oublie pas que tes sermons qu'on a entendus sont plus importants que les ennemis que tu tuasses.
Adapte-toi au climat et ; la nature ce pays-l;, lequel tu ne pourras pas quitter sans peine.
N'aie pas peur de commettre un acte hardi, mais aie peur commettre une b;tise qui affaiblirait l'arm;e lumineuse.
N'oublie pas que tu ;tais n; ; chercher la v;rit;, ; ;tudier et ; conqu;rir les sommets. Tu es libre de suivre ; cette destination, et alors tes faiblesses et difficult;s se sauveront comme les rats. Tu es libre d'agir de l'autre mani;re, mais alors ces "rats" t'emporteront en enfer. Voici la justice sup;rieure! Si tu as pr;f;r; de te nourrir de la poubelle, ne plains-toi pas que le go;t est d;sagr;able.

Chapitre VIII. La foi v;ritable.

Il y a beaucoup de religions et croyances au monde, des grandes et petites. Et toutes elles entra;nent en directions diff;rentes, comme si elles aient peur de d;couvrir ce qu'il y a les points communs entre eux. Et chaque croyance, ainsi qu'un violeur, poursuit un but: ; saisir une ;me et l';craser par son poids. Des nombreuses ouailles, donc les recettes sont grandes. Les ouailles ob;issantes, parce qu'elles sont oppress;es, alors c'est une force orientable, qui peut ;tre utilis;e ; son propre but. Ici on voit la tentation de l'argent et la tentation du pouvoir pour les pouvoirs en place.
Beaucoup d'eux ont les Saintes ;critures. C'est la v;rit; l;-bas, n;anmoins les commentateurs mettent les accents ainsi qu'il est profitable pour les pouvoirs en place. Si tu cherches la v;rit; ind;pendamment, tu ouvriras plus une fois la v;rit;, mais personne ne te pourra d;router par les accents qui sont mis incorrectement. L;s v;rit;s qui sont trouv;es ; l'aide de ta propre exp;rience, c'est comme l'argent qui est gagn; ; l'aide ton propre travail: tu les garderas et prot;geras. Les v;rit;s qui sont offertes, c'est comme l'argent facile que tu trouves sur la route. Tu le n'estimeras pas et m;me pis: tu douteras en eux. Les m;mes ;critures n'annulent pas la recherche personnelle, sinon il ne serait pas ;crit: "cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira".
Observe attentivement par tes propres yeux, calcule par ta propre raison, tu verras in;vitablement que les v;rit;s des grands professeurs (J;sus-Christ, Lao-Tseu, Osho Rajneesh) contredisent aux v;rit;s qui sont venues des ;glises et des autres foules. Les foules font les ;mes d';tre prisonni;res. Les professeurs les lib;rent: "vous conna;trez la v;rit;, et la v;rit; vous affranchira". (Jean 8: 32). Les ;glises enseignent ; se refuser le sexe et les biens terrestres. N;anmoins, l'Ap;tre Paul, il m;me a les refus;s, quand il a atteint le haut o; il n'avait plus besoin d'eux, mais quant ; ses disciples qui n'ont pas encore l'atteint, il ne recommandait pas de se refuser: "mais ces personnes auront des tribulations dans la chair, et je voudrais vous les ;pargner" (1Cor 7: 28)
Conform;ment ; l'opinion des ;glises, si une couple qui habite ensemble et ils n'ont pas le sceau au passeport (avec embl;mes sataniques) qu'ils sont mari;s, donc ils commettent l'adult;re, mais s'il y a le sceau (avec "faucille et marteau" et l';toile rouge), puis ils ont mariage juste. En fait, beaucoup de ceux qui ont l;galis; le mariage officiel, ils non seulement font adult;re, mais aussi la prostitution, parce que le mariage est contract; de raison.
"On a fait le catholicisme embarrassant au lieu de l';vangile lib;rant". (A. Herzen) Les catholiques et orthodoxes (qui sont les m;mes catholiques) se sont brouill;s ; cause d'un diff;rend sur les choses, sur quelles ils m;mes ne comprenaient rien. En effet, ils ont r;ussi ; mettre tout sens de la doctrine chr;tienne dessus dessous. Quant aux Protestants, je les nommerais demi-Protestants, parce qu'ils forment sa doctrine non jusqu'au bout, n;anmoins m;me cela a donn; d;j; grand effet qui a engendr; l'Ouest libre. N;anmoins les Protestants ne pouvaient pas aller jusqu'au bout, parce qu'il y a un limit, au-del; lequel la foule n'est pas capable de monter.
C'est pourquoi je ne te demande pas, si tu te signes ou quelque part en Tch;tch;nie montagnard t'exclames-tu: "Allah akbar!" Tu ne trahirais ta foi, en changeant de l'un temple ; l'autre. Tu ne deviendrais un infid;le qu'en commen;ant ; nier la v;rit; que tu m;me l'as trouv;, c'est-;-dire, si tu te d;ciderais ; un mensonge pr;m;dit;. Et tu ne seras pas parfait en foi, si tu te refuses de la recherche personnelle.
Et ce n'est pas ; cause de l'argent obtenu que je reproche aux ;glises, mais ce qu'elles ne m;ritent pas cet argent. Au contraire: Osho Rajneesh avait m;rit; cinq milliards dollars, si en effet, comme ;crivent certains journaux, il les avait gagn;. Dans ce cas il les avait m;rit; parce qu'il apportait la V;rit;, l'Amour et la Libert;.
Et tu qui lit ces lignes maintenant, n'aie pas peur d';tre toi-m;me. N'aie pas peur de devenir libre et ne d;pendant de personne. N'aie pas peur de chercher la v;rit; ; l'aide de l'intellect, de grand coeur et de l';me chantante. Car il est dit ; l';vangile ton Seigneur Unique et Affectueux, Il ne te donnera pas un serpent si tu cherches la nourriture spirituelle.
Les foules humaines t'appellent ; refuser ta propre raison et ; ;couter qu'elles disent. Mais ici il est propos; ; devenir un homme de barre de ton propre destin. Elles proposent ; refuser les biens terrestres en faveur des biens c;lestes. N;anmoins, c'est un march; et en outre un march; d;pourvu de noblesse. Si tu tentes d'aller par voie asc;tique (le Yoga), alors cherche les professeurs du Yoga, pas ceux qui ne s'y entendent pas du tout en Yoga et parfois ils se contredisent. Leur but n'est pas un sauvetage de ton ;me, mais un ;tre ob;issant pour les pouvoirs en place. Mais ici il t'est propos; d'aller ; travers de la voie de Tantra, ; la suite de Lao Tseu et Rajneesh. Et dans la doctrine de Christ le Tantra pr;domine aussi, n;anmoins le Yoga a lieu un peu. Tu n'es pas oblig; aller ; travers du Yoga si tu n'es pas enclin ; tuer pour plaisir.
Ces foules te proposent de retrouver le bonheur en ;ternit;, en te refusant provisoirement de toutes les joies. Mais on peut atteindre le Sommet sans sacrifier le bonheur terrestre. C'est assez ne pas confondre les r;elles et les fausses joies terrestres. Ne confonds pas dans le m;me tas l'amour terrestre, la sant;, le s;jour ; la nature avec l'alcool ou les drogues. Ne confonds pas la chasse ; l'argent pour l'argent m;me, les biens faux et le respect dans un troupeau avec l'aspiration ; la richesse pour la libert; et l'ind;pendance ;conomique. Ne confonds pas dans le m;me tas la soif de faire part de v;rit; obtenu avec les amis neufs et le pouvoir sur les foules stupides. J;sus ne convertissait personne ; sa foi par force. C'est les rois terrestres qui le faisaient et ils ont trahi la confiance qui est donn;e ; eux du ciel et ; cause de ;a ils ont souill; ses noms.
Si tu cherches, puis sans savoir les grandes ;critures d;couvriras-tu ce qu'y est contenu. Si tu ne cherches pas, puis les ;critures ne seront pas utiles ; toi.
Les foules qui se nomment ;glises, elles asservissent. Mais ces lignes te lib;rent. Les foules interdisent de penser ind;pendamment. Mais ici on te donne ; comprendre que personne ; Terre ne te donnera plus de conseils utiles que tu m;me, parce que c'est Dieu qui t'a donn; la raison. Les foules te proposent de se refuser de tous les biens terrestres, y compris de ceux qui sont r;els. Ici on t'annonce une nouvelle joyeuse que le Seigneur n'interdisait pas les joies r;elles de la vie terrestre. Seulement sache ; distinguer les biens terrestres v;ritables de faux de m;me que tu sais distinguer les champignons comestibles des v;n;neux. Et si les champignons v;n;neux existent, cela ne signifie point comme s'il ne faille pas manger toutes les esp;ces des champignons. Le Seigneur a t'octroy; la capabilit; de distinguer. Donc cette capabilit; est un don de Dieu. La mauvaise volont; d';tudier, de perfectionner et d'affiler ces dons, c'est-;-dire, l'intellect, le sentiment de la justice et l'intuition, c'est le plus grand p;ch;, car tous les malheurs et malentendus ne viennent que de ;a. Si ces dons sont d;velopp;s, tu ne commettras pas un p;ch;, de m;me mani;re qu'en jouissant de la vision et l'exp;rience d;velopp;es, tu ne confondrais pas les champignons comestibles et v;n;neux. Et en ;tant mis au pied du mur par circonstances, tu distingueras o; est la guerre sainte et o; sont le crime et p;ch;.
Ici on ne te donne pas une religion neuve. Justement on te propose d';ter les fers, dont la soci;t; t'a mis d;s le bas ;ge. Et quand tu les ;tes, puis tu te pr;cipiteras en haut par ;tape facile aux sommets ;tincelants et pleins de neige avec une pri;re joyeuse et gratitude, o; il n'y a pas du froid rigoureux, ni de la faim et ni de la tristesse, mais seulement la beaut; et la joie v;ritable sans limits, et Il te prot;gera des avalanches mortelles, dont nom tu esp;res.
Le prisonnier lib;r; qui quitte le bandeau des yeux, il ma;trisera les grandes ;critures maintenant par les yeux libres: les V;das, les Upanishads, le Bhagavad Gita, la Bible et le Coran. Et il n'h;sitera pas maintenant dans les points difficiles, et si le Satan lui dit: "regard, qu'il est ;crit", juste comme J;sus il r;pondra: "il est aussi ;crit...", et sans pouvoir d;router le chercheur qui maintenant est devenu sage, l'ennemi s'ira en ;tant couvert de honte.
Ce n'est pas une doctrine neuve, mais n'est qu'une cl; ; ceux anciennes v;rit;s qui sont d;j; bien oubli;es et elles sont oubli;es, parce qu'elles ;taient lis comme si avec les yeux soient band;es.
Ici on ne donne pas les connaissances neuves et ; quoi bon elles seraient, si on te rappelle simplement qu'il y a la connaissance de tout, laquelle est cach;e en toi depuis le d;but du monde. Cherche et tu le trouveras!
Ici on ne propose pas ; cr;er une neuve ;glise ou bien mosqu;e, ou bien secte, ou bien organisation. ; Dieu ne plaise! Ici on ne propose que d';ter des yeux le bandeau pour que les voir en lumi;re v;ritable, cette soci;t; des esclaves, des zombis et des cadavres.
Tu iras un seul et, comme ;lie le Proph;te, tu croiras comme si tu sois un seul chercheur, mais ce n'est pas vrai. Il y a des p;lerins solitaires dans ces montagnes, et si par hasard tu rencontres un compagnon de route qui cherche le m;me Sommet, cela sera une grande joie, et il ne pas interdit pour vous ; continuer le chemin ensemble, sans changer vos essences. N;anmoins, si tu ne rencontres personne, dont il n'y a pas grand malheur dans cela. Tu te r;jouiras d;s les premiers pas de la beaut; et grandeur de ces montagnes et bient;t chanteras les chansons en autres languages qui refl;teront par ;cho de tous les c;t;s et quand tu monteras plus haut encore, puis sentiras que le mieux Compagnon Qui n'a pas Son ;gal, Il est avec toi toujours. Et Il ;tait avec toi toujours et partout et lorsque tu tr;buchais et tu ne pouvais pas aller, Il portait toi dans ses bras. Naturellement tu ne pouvais pas cela voir. C'est pourquoi n'aie pas peur de rien, mais aie peur de perdre le temps en vain, qui est t'allou; ici pour la recherche et connaissance.
Et ne d;daigne pas les dons sup;rieurs de Seigneur qui ne peuvent ;tre expliqu;s ; l'aide de la science s;culi;re, c'est-;-dire, de physique qui en fait n'est qu'un cas particulier d'une plus grande science. Car J;sus promettait: "celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes", mais les foules Le calomniaient, en disant comme s'Il gu;risse ; l'aide des forces du Belz;buth. Oh, comment familier cela! Il n'est qu'un aveugle peut ne pas voir les intrigues de la soci;t;, de la foule des justes faux, des chr;tiens faux et des inquisiteurs. Si on doit expier ses fautes, alors pas pour la nature des forces utilis;es, mais pour les buts qu'on obtenait ; l'aide de ces forces.
Si ; la guerre sainte tu as tu; ; coups de pistolet un soldat ennemi, puis l'honneur et louange ; toi. Mais si tu as tir; sur un prochain, par exemple, ; cause d'envie, alors tu as le grand p;ch; sur toi. Non parce que tu as appliqu; un pistolet. M;me si tu ;trangles sans instruments une victime innocence, cela ne servirait ni comme une justification, ni comme une circonstance att;nuante.
Ce qui d;passe les fronti;res de la physique, on appelle d'habitude la magie. La magie qui apporte les bons fruits, c'est la magie blanche. La magie qui apporte les mauvais fruits, c'est la magie noire. C'est autant simple et compr;hensible que m;me un imb;cile de naissance le comprenne. C'est pourquoi n'importe quelle intention de nier ce fait, en compliquant cela par les manoeuvres astucieuses des mots, ne serait qu'une intention de d;tourner de la v;rit; et imposer un mensonge. Et qui est le menteur et le p;re du mensonge, on le sait de la Bible, c'est le diable.
; moins que n'essaie pas d'intervenir s;rieusement dans le plan divin. Un cas, si tu interromps une agitation ; la mer, dissipes un nuage ou bien r;duis en cendres un ennemi m;chant o; les r;it;r;es exhortations sages et justes n'ont pas fait son effet, et il est dangereux. N;anmoins ne tente pas de faire sauter le Soleil ou bien d;placer la Terre de l'orbite, ou m;me de mener en arri;re les proph;ties de l'Apocalypse. Le Seigneur le n'admettra pas et il peut avoir lieu une catastrophe personnelle pour toi, apr;s laquelle tu devras errer longtemps aux places d;sagr;ables.
Et vous, croyants, ne soyez pas porteurs des comm;rages et ne jugez personne, surtout si vous ne savez pas clairement sa faute. Soit chacun de vous n'affirme pas par les mots ce qu'il n'est pas inform;. Si l'unit; de Dieu, est-elle unitaire ou triple, il est peu probable que quelqu'un p;t se convaincre en cela sur sa propre exp;rience. C'est un pr;texte pour la guerre, mais pas pour la sainte guerre, mais pour l'hostilit; coupable et les guerres pillardes. Et ne disputez pas, ; quel point J;sus-Christ ;tait Divin et ; quel point humain. Soit chacun t;che de l'apprendre ind;pendamment, s'il le peut. Vous ne vous inqui;tez pas de ce que ne pouvez pas savoir, le Seigneur n'exigera pas pour ;a, mais Il exigera pour ce qui ;tait compr;hensible pour vous, n;anmoins vous n'avez pas eu envie de comprendre.
Vous, musulmans, sachez que les chr;tiens ne sont pas vos ennemis. Et vous, chr;tiens, sachez que les musulmans ne sont pas vos ennemis, et chacun ne r;pond que de soi-m;me, c'est pourquoi si tu juges et raisonnes, puis ne dis pas "nous", mais dis "je". Vous n';tes pas ennemis les uns des autres. Ceux-l; sont en mauvais termes qui sont arri;r;s, mais ceux qui sont mont; en haut, ils sont en paix les uns et les autres. Croissez chacun dans votre foi, et alors vous serez capables d'estimer les uns des autres comme les fr;res.
Mais ils ne sont pas vos fr;res ceux qui br;laient les h;t;rodoxes sur les places. Ils ne sont pas vos fr;res qui ont fait sauter les tours ; New York. Ils ne sont pas vos fr;res qui ont introduit ; l';poque de Gengis Khan pour beaucoup de si;cles l'id;ologie conformist et satanique comme une ruche. Chaque homme n'est pas un membre d'une ruche ou fourmili;re, mais il est cr;; par le tr;s Haut, comme un individu qui doit raisonner ind;pendamment.
Et la partie de l'humanit; qui avait accept; cette conception, elle a rejet; la foi chr;tienne et musulmane, juda;que et bouddhiste, et elle implantait l'ignorance, les tortures, les fusillades et les camps de concentration, et elle enseignait les autres nations faire comme ;a.
; partir de Nord-Ouest ils ont transport; la capitale ; la ville situ;e sur les sept collines, ils ont arbor; le drapeau rouge l;-bas et de l; ils gouvernaient par cette bacchanale qu'ils tentaient de la propager ; toute la Terre. Ils ont introduit le culte de certaine "M;re-Patrie", c'est-;-dire, de la prostitu;e babylonienne, mais ils ont d; d;cevoir. ;videmment, il n'est pas encore le temps pour que la proph;tie de l'Apocalypse du saint Jean se r;alise o; l'antichrist montera sur le tr;ne au-dessus de toute la Terre, et cela n';tait qu'un essai des forces.
C'est aussi maintenant ils m;rissent le projet ; transformer la Terre en enfer. Ils attaqueraient l'America, mais ce n'est pas donn; ; eux. Et alors ; la fin de la bacchanale rouge (communiste) ils ont fait semblant de la repentance, n;anmoins ils ne se sont point repentis, mais au lieu de ;a ils se sont arm;s contre la peuplade qui a envie d';tre ind;pendant et se nomme "nokhtchitcho" (c'est la Tch;tch;nie). Quoiqu'ils ne consid;rent J;sus-Christ comme le Seigneur, n;anmoins en ;tant en rapports entre eux, ils respectent les commandements du "Proph;te Isa" par rapport aux prochains dans une plus grande mesure que ceux-l; qui se nomment "chr;tiens", mais ils ont trahi sa foi et permettaient les soldats de l'Arm;e rouge de faire irruption aux temples avec les chevaux, en prof;rant des gros mots et en brigandant, ils permettaient de tuer les rois qui ;taient les plus liberals et ils ont ador; la b;te rouge et fasciste et ses valets, Lenin et Staline. Et le fascisme allemand, c';tait le mal qui s'est d;tach; d'eux.
; la suite de d;cennies d;truisent-ils tant les autres nations que le leur, et ils se livraient ; la boisson et emprisonnaient ses voisins qui osaient de diff;rer d'eux en quelque chose, et ; pr;sent ; titre de la lutte contre banditisme perp;trent-ils le g;nocide au Caucase. Ils sont l'obscurit; et ne vaincront jamais la lumi;re. Ils devront payer pour tout, et si quelqu'un parle: "ce sont les n;tres", alors il partagera leur sort s'il ne fait pas p;nitence. Et la guerre contre eux est sainte. Comme le premier Shamil au XIX si;cle, aussi le deuxi;me (Basaev), ils ne sont pas bandits mais les saints guerriers. Le Seigneur a donn; toi la raison, l'intuition et les autres dons, c'est assez pour que prendre de d;cision juste, dont c;t; se battre.
Et pour que te faciliter l'admission ; ces dons internes, le Seigneur t'a donn; les ;critures. En lisant les psaumes de David et les autres ;critures tu apprendras, comment finira l'ennemi qui prosp;re temporairement. L'histoire enseigne le m;me. T;t ou tard tous les ;tats totalitaires et leurs supp;ts seront subis par le m;me sort que Hitler et ses supp;ts ;taient subis. Quittons-les.
D;j; pendant le troisi;me chapitre errons-nous le long des labyrinthes infernaux, en apprenant leurs ombres bizarres et terribles, parfois abominables. C';tait quelque chose comme une excursion d';tudes. Il le fallait comme parfois faut-il diss;quer les cadavres pour sauver les vies dans la suite. Et sache que chaque ;tre humain est n; pas pour souffrance mais pour f;licit; ;ternelle pour laquelle on n'a besoin que d'une chose unique: le consentement propre de cet homme.
Abandonnons-nous les cadavres f;tides et allons-nous l;-bas o; la vie prosp;re! O; est la vie, l;-bas il y a l'amour. Et un jour nous viendrons l;-bas o; il n'y a pas de mort.
Quittons-nous la prison, dont les d;tenus ha;ssent l'un l'autre et sont pr;ts de d;chirer l'un l'autre. Et les gardiens cruels les maltraitent qui sont dans les m;mes relations entre eux. Prenons-nous la cl; de champs, de la cellule ;touffante et enfum;e au plein air! Abandonnons-nous cette place o; on verse la lavure dans la rivi;re, l'air est intoxiqu; par la fum;e d'usine et le ciel a perdu son bleu.
Courons-nous l;-bas o; les ruisseaux murmurent, en apportant ses eaux cristallines dans la rivi;re vierge. Courons-nous l;-bas o; les oiseaux sur les branches glorifient le Seigneur! Quand apr;s longue vanit; tu t';loignais ; la for;t, peut-;tre, il semblait qu'ils saluent toi. N;anmoins, si tu as cru et maintenant tu sais ; Qui saluent-ils, puis il ne sera pas moins de joie, c'est pourquoi, en ;tant heureux de ses chansons, tu ne te trompais pas dans cette ;poque-l; aussi.
Fuyons-nous le bruit et la vanit;! Plus loin est-il de la vanit;, plus de silence y a-t-il. Et un jour tu remarqueras, l;-bas o; le s voix et sons s;culiers cessent, la voix du silence d;clare soi plus en plus hautement, criant ; l'aide de son silence, et elle est exquise cette voix! Parce qu'il rapporte sur quelque chose cher et significatif, et il n'est pas possible l'exprimer par les mots. Les arbres gardent silence avec douceur sur quelque chose grand et significatif, quand il ne fait pas du vent, et chaque brin d'herbe transmet cette grande essence l';tre. Sur ce monde o; il n'est ni pass; ni avenir, mais il n'y a que le pr;sent, l'instant ;ternel maintenant, ; sa mani;re racontent les rochers qui se sont fig;s pendant beaucoup de si;cles et m;me les pierres inanim;es des autres plan;tes. Dans la nuit les ;toiles te donnent par son grand nombre ; savoir sur la grandeur de l'univers, de ton havre temporaire, et le matin l'une apr;s l'autre elles se dissolvent aux rayons du soleil qui est comme eux, et la vieille lune, s'en ;teignant, comme si elle t'envoie un salut doux de tout l'univers. Mais au silence nocturne un canard effray; prend son vol au-dessus d'une rivi;re, et une ;toile survole dans le ciel nocturne parmi les millions yeux stellaires qui regardent ; toi tous immobiles, mais tout ;a ne troublerait pas ce silence exquis, mais seulement le soulignerait. Et ce silence indique ; la pr;sence ;ternelle de Lui que nous ne sommes pas capables de concevoir enti;rement et m;me ; voir.
Un jour les cordes de ton ;me commenceront ; sonner et en passant ; travers d'un peu nettoyage, tu auras envie de plus. Et en trouvant la plus belle place en for;t, peut-;tre tu auras envie de telle place belle qu'il est impossible de trouver sur la terre. Et essayant la joie avec la plus belle bien-aim;e (ou bien aim;), un jour auras-tu envie de la "tromper" avec telle (ou tel) partenaire qui n'existe pas dans le monde physique. Parce que au-del; de tout ;a, il est cach; l'unique beau. L'Unique Signification de l';tre ;ternel.
Tu sentiras que la joie peut s'accro;tre et tu souhaiteras d'elle, mais il est peu probable que ton corps physique fr;le puisse soutenir si beaucoup de lumi;re et f;licit;, et tout le reste qui est connect; avec cela. Mo;se disait non sans raison qu'en voyant Dieu, l';tre humain mourrait imm;diatement.
N;anmoins il serait une faute se chagriner que tu n'aies pas m;ri encore pour que tu rencontres avec Cela face ; face. Donc c'est comiquement qu'un b;b; se chagrine qu'il n'est pas encore adulte. D;j; l'attente de la rencontre te donnera de la joie, cette rencontre quand tu seras pris au Sommet o; tu es attendu toujours.
Dans la croissance et maturation spirituelle, ; la m;me mani;re que celle physique, il y a certains "toxiques" qui peuvent ralentir et arr;ter la croissance. Il y a des substances utiles aussi. C'est-;-dire dans la vie spirituelle il y a les sp;ciales "toxiques, "vitamines" et ";lixirs de croissance". Tu es libre ; choisir ind;pendamment.
Le Sommet ;tincelant t'attendait et t'attend toujours. Et l;-bas il a tout que tu manquais ici et de quoi il n'est pas possible de raconter ; l'aide de mots, n;anmoins les Hindous tentaient de l'exprimer approximativement par trois mots: "Sat, Chit, Ananda" donc: l'Existence, la Conscience, la F;licit;.
Et si tu as lu ce livre jusqu'au bout, tu es pr;t pour la recherche et promets beaucoup.
Et si tu as lu ce livre avec joie et sympathie, puis tu es plein des promesses comme un chercheur.
Maintenant adressons-nous ; notre Dieu Unique par ce nom qui est conforme ; ta foi. Si tu es un musulman, appelle-Lui Allah. Si un Juif, appelle ;lohim ou J;hovah. Si un chr;tien, adresse-toi ; la Sainte Trinit; ou ; J;sus.
Demande pardon pour tes p;ch;s que tu te rappelles et que tu ne rappelles pas.
Remercie-Lui pour toutes les joies et chagrins, et pour ce que tu lis ces lignes maintenant.
Demande-Lui pour qu'Il indique tes fautes que tu n'as pas relev;es encore. Demande-Lui pour qu'Il t'aide ; comprendre celles-l; questions o; tu n'es pas s;r comme celles qui sont remarqu;es et celles qui ne sont pas remarqu;es. Demande-Lui de la joie qui affermisse ta foi, car si la foi est grande, alors il n'existe ni mort, ni chagrin.
Souviens-toi, comme J;sus-Christ avait dit un jour: "aspirez aussi aux dons spirituels" (1 Cor 14: 1). Demande pour que Dieu donne ces dons, mais pas pour le "jeu de la magie"; mais pour l'affermissement de la foi. La foi te donnera le salut. La foi te donnera la joie. La foi te donnera les forces et capabilit;s ; survivre et te retenir parmi les ennemis. Une foi aveugle en absurde, comme une abn;gation, elle peut ne pas trouver lieu en notre si;cle violent, quoique dans le pass; elle p;t aider. Soit ta foi se fonde sur l'amour, la raison et sur l'intuition.
Mais je ne fais pas mes adieux ; toi, parce que je crois: nous nous rencontrerons au Sommet o; tout se r;unira, l;-bas o; nous recevrons tout dont nous nous ennuyons ici et m;me plus que cela, et go;terons quelque chose, m;me de quoi nous ne r;vions pas.
Et alors nous conna;trons la signification de l';tre: cela de Quoi les arbres gardent silence, cela de Quoi les oiseaux chantent, cela ; cause de Quoi les ruisseaux et cascades s';gaient. Nous conna;trons ce Qui p;n;tre l'espace, la dur;e et tout qui est outre cela. Donc ce nom de Seigneur pr;serve toi, auquel tu esp;res. Amen.
      (Il est ;crit au printemps en 2001. Il est traduit en fran;ais par l'auteur en hiver 2014/15)