La marche du port anapsky sur la conqu te d azov l

Âëàäèìèð Âîðîíèí 13
 LA MARCHE DU PORT ANAPSKY
SUR LA CONQU;TE D'AZOV
LA RAISON DE LA GUERRE POUR AZOV
Les extraits de la composition
du voyageur turc du XVII si;cle
EVLIYA ×ÅËÅÁÈ
LE LIVRE DU VOYAGE
Quand le Mourad-khan IV a pris aux Perses Bagdad bien am;nag;, comme le paradis, et Il est revenu avec la victoire  Au seuil de la  Prosp;rit;, les kyafirs se sont inqui;t;s fortement. Les ambassadeurs ont commenc; ; arriver(chez le sultan) de tous les c;t;s. Ils l’offraient  les dons abondants et faisaient les riches offrandes pour ;tablir la paix. Personne n'est arriv; seulement des chevaliers maltais.On ;quipait mille vaisseaux et on construisait deux navires de d;barquement avec trois centaines de canons pour la compagne contre eux . Quand la compagne a ;t; pr;par;e, le sultan le Mourat-khan IV est d;c;d;, car il est dit :« L'esclave propose, et Allah dispose». Cette fois tous les kyafirs ont lev;  les t;tes, comme le dragon avec les sept t;tes, et ont commenc; ; ;tendre le pouvoir sur les domaines osman. Avant tout les russes, nomm; les moskovites, ont commenc; ; voler et ruiner les domaines de la Crim;e et d’Azov. Bien que le khan de Crim;e rapporte cela au sultan Ibragim-khanou3 et  au grand vizir kara Moustafa-pacha, mais ils n'ont pas donn; aucune attention ; ;a. C'est pourquoi apr;s le d;c;s du sultan Mourad les r;voltes ont commenc; dans les troupes, et   ils ont con;u  la domination sur le grand vizir. Celui-l; ;tait plein de  d;sirs de commencer la compagne ; n'importe quelle direction, en ;tant d'avis que« la marche militaire casse le nez ; l'esclave ». Quand les rousses-cosqaues6 ont attaqu; la forteresse d’Azov, 70-80 mille leskyafirs  ont ;t; envoy;s ad patres, mais ; cause de la n;gligence malheureuse du khan de Crim;e et grand vizir cette belle forteresse a ;t; perdue7. Les cosaques appareillaient de nouveau sur les avirons aux 150 mouettes ; la mer Noire, volaient les navires de marchand, br;laient et d;vastaient les villes et kasaba sur la c;te de la mer Noire dans la m;me ann;e. Et quand les nouvelles sur cette position de la communaut; de Moukhammed8 se sont r;pandus dans tout le pays, ; tout les eyalaits de Roumelii les hommes de confiance ont ;t; nomm;  – kapudjibaschi et les rescrits ;minents ont ;t; envoy;s. Ìutesarrif Otchakovsky eyalait 9 Kodja Gjurdjou Kenan-pacha10 et le pacha Roumelii, (en ayant sur soi) jusqu';  de 28 livabeys, de 40 mille les Tatars de Boudjak, de 40 mille les cavaliers moldaves et les cavaliers de Valachie, de 20 mille troupes des villages de la Transylvanie et de 80 mille des Tatars de Crim;e rapides comme le vent, ont entr; en campagne et ont investi la forteresse l'Azov. ; la flotte de padischah, o; nous nous avons trouv; , ;tait compt; : 150 gal;res, êàëèòà et áàøòàðäà, 150 ôûðêàò, 200 mouettes et êàðàìþðñåëåé. En tout 400 vaisseux, et il y avait 40 mille marins enti;rement arm;s dessus les navires avec le kapudan Siyavouch-pacha ; la t;te. Press; tant;t le vent doux, tant;t par le vent imp;tueux, nous avons pass; la forteresse de Taman sur le conseil de kethoudy de l'arsenal maritime Piyale-ketkhoudy et du janissaire agi, dans sept milles de qui se trouve l'embouchure de la grande rivi;re de la Kuban, et on est arriv; vers le cap de Kilisedjik. ; notre droite, s'est trouv; le cap de Tchotchka, sur l';le de Taman, et ; gauche s'est trouv; le cap de l';le De Crim;e. La distance entre deux caps ;galise ; un mille. Il y a une mer qui s’appele la Mer D'Azov apr;s le d;troit. Cette mer est peu profonde. Nous avons pass; dans ce d;troit et au vent arri;re on a atteint le port de Balysyra. Ayant jet; l'ancre, nous avons ;t; amarr; les navires dans ce port. L';quipement, l';quipement militaire, les munitions, la nourriture, les boissons et les provisions diff;rentes on a charg; sur les santals, les fyrkats, les chekelevs, les zarbouns, les tounbazs. D'ici trente six milles jusqu'; la forteresse Azov. Cependant, puisque sur la voie de Balysyra ; Azov la profondeur de la mer pas plus que cinq archine, tels navires, comme les gal;res et les mouettes, ne peuvent pas passer jusqu'; lui, (pour eux) est tr;s peu profond. Ce port nomm; Balysyra et dispos; ; la p;riph;rie occidentale de la steppe de Khejkhat, pr;s de terres de l';le Taman, est la place d;sert. Cependant notre  troupe nombreux, comme la mer, a construit (ici) les stocks les boutiques du jonc et de la canne, et il a commenc; ; ressembler ; une grande ville. Cette place servait du quai
pour Azov. Beylerbey kafy  Bekir-pacha a amen; ici jusqu'; quarante mille des
troupes d';lite des tribus de Tcherkesstana : Schegake, Aane, Mamchoug, Takakou, Bouzoudouk, Bolotkaj, Khatoukaj, Besnej, Kabartaj, Taoustan du r;gent du Daghestan øàìõàëà17 le Sultan-makhmouda, ainsi que sept mille des chars. Il a envoy; de ce quai tous les vivre vers l'Azov sur les chars.
UN SI;GE MAUVAIS
DE LA FORTERESSE AZOV
Tous les gazi musulmans sont entr;s dans les tranch;es, (creus; autour) la forteresse18, et sans permit ( les kyafirs) ouvrir les yeux, on l'a assi;g; de sept parties. Les combats et les batailles allaient jour et nuit. Sept vizirs, dix-huit mirmirans, soixante-dix mirlivs20 ont secouru19 D'Anatoly . Le Dieu est grand, tout le jour les canons et les fusils tiraient que, probablement, a d;chir; en morceaux les nuages sur trois sph;res c;lestes et ils sont tomb;s sur la terre. Pour conserver la troupe de l'attaque du dehors, il ;tait ordonn; au khan tatar d'exposer dans les places menac;es Son altesse s;r;nissime le khan a expos; de toutes quatre parties de la troupe musulmane les gardes des d;tachements s;rs et d’;lite de la troupe de Crim;e : Oulou-nogaj, Ketchi-nogaj, Chejdyak-nogaj, Ourmam-bet-nogaj, les Largeurs, Mansour. Sedjeut, Mankyt, Nakchouvan, Djenichke, le Baht, Or, l'Uhlan, le Bordel, des tribus d'Arslanbeka, Tchobana, Devi, Navrouza. Ils prenaient le service de garde. Cette nuit les cosaques rebelles assi;g;s dans la forteresse, ont commenc; si ; tirer des fusils que la forteresse Azov a flamb;, ; la fa;on de l'oiseau salamandre dans le feu de Nemrouda. Et ayant battu aux tambours de toutes ses forces , ils ont rempli la forteresse des cris «J;sus! J;sus!» Ils ont d;cor; toutes les tours et les murs de forteresse par les croix. Il se trouve que  dix mille des kyafirs ont secouru ; la forteresse, dans cette nuit sombre en rivi;re de Ten-Don! Et puisqu'ils ont commenc; ; tirer les canons d;s matines et les fusils sans r;pit, six cents personnes (de nous) sont tomb;es martyrs. Le lendemain, le matin, le khan tatar et le pacha de Silistry le Kenan-pacha ont mis les gardes dans l'embouchure de la rivi;re Don. On envoyait aux quatre coins du monde les bandes volantes, les pourvoyeurs de l'alimentation et les fourrages. On indiquait ; tout les mirmirans la place pour chaque leur d;tachement. (Les troupes) sont parties de nouveau sur (le creusement) des tranch;es, et sept s;ries de tranch;es ;tait arrach;. Ils ;taient men;s au bord du foss;, o; logeait  le turb;  Jogourttchou-Baba. Le camp musulman ;tait hors d'atteinte pour les canons des kyafirs. Durant le matin du jour suivant le commandant en chef honorable Hussein-pacha avec la troupe semblable la mer, a occup; les tranch;es du c;t; du turb; la Jogourttchou-Baba, et  le  kapudan Siyavouch-pacha a d;barqu; la troupe avec une mille fyrkat et il est entr; (dans les tranch;es) du c;t; de la Tour Aquatique.  Ils ont cach; les navires ; Olju-Ten;, Diri-Ten;, Kanlydje et pr;s de l';le de Timourlenka. Plus haut Tour Aquatique, du c;t; du Sud, le pacha D'Anatoly est entr;  avec sa troupe dans les tranch;es, huits canons bal-emez et dix ode du janissaire. Le pacha Karamana et six ode ( du janissaire) sont entr;s dans les tranch;es en face du mur du sud et ont pr;par; vers le combat six canons bal-emez. Du c;t; de l'Ouest, du c;t; de la banlieue kartayak, le pacha silistrowski Kenan-pacha s'est install; dans les tranch;es avec dix ode (d;tachement) les janissaires, une ode(d;tachement)  des armuriers, une ode(d;tachement)  des canonniers et dix canons bal-emez. Le pacha Roumelii s'est affermi dans la tranch;e avec dix canons le bal-emez du c;t; de la Tour de guet. Et voici comme la mer, la troupe musulmane, ayant occup; soixante-dix tranch;es avec soixante-dix canons – les couleuvrines, les schahs, les zarbazans, –il a investi la forteresse de sept parties. Et alors la bataille a commenc; dans toutes les r;gles de l'art de la guerre entre les kyafirs m;prisables qu';taient assis ; l'int;rieur de la forteresse, et entre les troupes victorieuses c;l;bres se trouvant chez ses murs. La terre et le ciel tremblaient du fracas de la canonnade de part et d'autre. Ayant commenc; au petit jour, pendant sept heures il y avait une telle bagarre et le pugilat que la bataille semblable ; celle-ci, l'oeil du destin ne voyait pas encore, probablement. Apr;s qu’au point du jour (s'est trouv; que) sept cents personnes de sept d;tachements de la troupe ont bu la coupe de la mort, le bien (perdus) ;tait transmis au Tr;sor. Le feu des canons a ;t; ouvert de nouveau avec les pri;res et les louanges ; (Allah)  dans la matin;e. Les portes et les murs de la forteresse ;taient cass;es et d;truites, et les maisons ;taient mis en lambeaux ; l'int;rieur de la forteresse. Mais les tours et les renforcements construits par les G;nois, ont tenu ferme, puisque ils ;taient solides. Dans les m;mes places, qui ;taient d;truits par les coups de feu de nos canons, les kyafirs sont morts pour br;ler par le feu d'enfer. Mais dans la nuit suivante les kyafirs ont mis tout ; fait brusquement des chausse-trapes de sanglier, les boucliers, les palis, se sont retranch;s, et le combat a commenc; avec une nouvelle force. Et ainsi pendant sept jours sans cesse les destructions apparaissaient ; la forteresse, s'ouvraient toutes les nouvelles et nouvelles br;ches. une belle personne Le commandante en chef, une belle personne avec la face sinc;rement gaie et le rire, marchait de la tranch;e vers la tranch;e, soutenait les arm;es musulmanes et l'incitait vers la guerre. Il manifestait ; la troupe la noblesse et la caresse par ses bienfaits et sa faveur. Chaque fois il envoyait (; la troupe) les vivre n;cessaires de l'arsenal d';tat. Sa troupe personnelle a pr;judici; ; la forteresse plus que toutes les autres troupes. Pour quell travail il ne se met pas , le travail r;ussissait, puisqu'il le faisait, en consultant (avec les autres). Enfin quelques gazis, s';tant jet; ; d'assez larges br;ches perc;es dans (les murs) de la forteresse par les canons, ils ont arbor; l; les ;tendards. Cependant les cosaques ont vu que (les gazii), qui les poursuivaient d'abord, ne sont pas entr; tout contre les br;ches. Les kyafirs rus;, ;tant profit; de la situation cr;;e, ont tir; sur celles-l; gazii avec les feux crois;s, de sorte que tout de suite centaines d’eux ont bu la coupe de la mort.
Les restants, se sont exclam; : «Tourner bride ne convient pas de l'honneur musulman!» – trois jours et trois nuits menaient le combat avec les kyafirs sur les fortifications, tant;t en reprenant le dessus, en allant aux cerises, et d;fendaient contre les coups les kayfirs ivres. Mais finalement ils se sont retir; avec les combats en arri;re, ayant laiss; sur les constructions de la forteresse la multitude d';tendards et les martyrs. Tous les gazii ont exprim; leur respect et la consolation, en disant : « Cette victoire est destine ; s'accomplir dans un autre jour». Les troupes ont commenc; la bataille de nouveau, et encore six jours, sans faire ouvrir aux kyafirs les yeux, ils creusaient les tranch;es avec z;le autour de la forteresse. Une fois quatre mille cosaques batailleur, brave comme les boeufs, ont accost; sur la rivi;re Don sur quarante fyrkats pour venir en aide ; la forteresse Azov. Alors  le vali silistrowski Kenan-pacha a lanc; sur la rivi;re ; ces navires, les gazi-musulmans de sa troupe, qui ;taient pr;ts dans l'embuscade avec les canons le bal-emez,25 tous bless; ils les ont noy; et ont supprim; et ceux qui sont sortis sur le bord, en pensant : «Eh bien, voici je suis sauv;!» – ils ont fait prisonnier, li; et bris;. Toute la troupe a pris une grande production. Alors les crieurs ont commenc; ; crier : «la Productionest pour les gazis musulmans!». Cette nuit-l; tout les gazis ;taient heureux; ayant fait l'ablution compl;te, ils ranimaient (leur gaiet;) la nuit jusqu'au matin. Le Dieu plaira nous irons ; l’assaut dans la matin;e!» – Ils disaient l'un ; l'autre. Ils se pr;paraient les choses  n;cessaires (militaire) et l'arme. Ces jours-l; une tour sont rest;s seulement des constructions de la forteresse au bord de la rivi;re Don, une tour du c;t; de la terre, sur le terrain (du tombeau) de Jogourttchou-Baba, et une tour sur le c;t; de l'Ouest. Les autres tours ;taient cass;es et d;truites de fond en comble. Cependant, puisque les kyafirs assi;g; ; la forteresse, ; la fa;on de Ferkhad per;ant les montagnes, ils ont ;t; enfouis ; la terre et ont y arrang; le Quartier g;n;ral, ils se sont cach;s ainsi de (notre) feu de canon et ont assur; l'inaccessibilit; de la forteresse. De quelle partie on ne s'en serait pas approch;s furtivement avec la sape et la mine, ils, comme les taupes, recherchaient les sapes et couvraient la terre creus;e des sapes ; l'inverse en une nuit. Enfin, leurs connaisseurs de l'affaire (de mine) s'adressaient ; tous artifices et arrangeait les sapes eux-m;mes. Dans l'art de faire les sapes ils ont manifest; le plus grand savoir-faire, que les souris de terre. Ils ont m;me montr; la ma;trise de la tenue des sapes sous l'eau de la rivi;re Don, en utilisant pour cela les bateaux goudronn;, arros; de la poix. Tandis que les affaires allaient ainsi, les combattants de l'Islam ;taient inactif. Et alors les diff;rents bruits et les comm;rages ont commenc; ; appara;tre ; l'arm;e.Les kyafirs ont refus; maintenant l'envoi des renforts aux navires. Mais chaque nuit (; la forteresse) ont commenc; ; passer jusqu'; cinq cents-six cents cosaques, qui, s';tant d;shabill; et s';tant immerg; ; l'eau de la rivi;re Don, (nageaient), en respirant avec l'aide du jonc pris ; la bouche. Ainsi ils sont arriv;s ; la forteresse Azov, et elle a commenc; ; se rassembler les forces fra;ches. De jour en jour la combativit; (des cosaques) grandissait, ils ont commenc; ; faire les incursions sur nos tranch;es et entreprendre les attaques de nuit, et ensuite se cacher sous la terre. Les certaines choses n;cessaires, l’;quipement et les armes ils ont fait passer ; la forteresse, en les mettant sur de grandes et petites outres et en lan;ant au fil de l'eau de la rivi;re Don. Enfin les gazis musulmans ont d;pist; sur ces ruses diaboliques. Ils ont enfonc; les m;ts de vaisseau et pieus , au fond de la rivi;re Don, en faisant le barrage. Ainsi les musulmans ont retir; bequcoup de mat;riels des kyafirs de la rivi;re Don et ils se sont enrichis, et les kyafirs se sont attrist;s de nouveau. Cependant ils marchaient sans toute peur par les marches souterraines, faisaient les orifices dans les palissades, dans les abatis et tuaient les membres de la communaut; de Muhammed, qui se mettaient en avant. Le m;contentement m;rissait graduellement dans les tranch;es.  La peur a pris les gazis musulmans, et ils disaient : «Est-ce qu’on peut faire la guerre par un tel moyen honteux ?». Les rumeurs nombreuses sont apparues, comme si le roi moscovite va avec les troupes de deux cents milli;me.28 Les gens ont perdu la raison. En r;alit; ces potins ;taient r;pandus par l'ennemi. Cependant ; cette ;poque-l; ils faisaient peur ; la troupe. C'est pourquoi les vizirs, àyans, les gens notable et non notable, tent; dans les affaires, les connaisseurs de l'affaire (militaire) se r;unissaient ensemble et d;lib;raient un grand conseil. Et ils ont dit :« Il n'y aura pas autre voie vers la victoire, except; comme ne pas remettre d'un jour ; l'autre notre bataille (d;cisive) et m;me p;rir ; cause de cette forteresse enti;rement. (Il faut se rappeler que) les janissaires se r;volteront du jour au lendemain et partiront des tranch;es, en disant : «Il n'y a pas de telle loi pour que nous restions (dans les tranch;es) plus de quarante jours!». D'une part, l'hiver s'approche impitoyable, comme le sabre; la mer d'Azov g;lera sur deux kulach. L'hiver se prolongera cinq mois, encha;nera les chemins. O; nous trouverons le recel pour les troupes d’Islam? O; nous hivernerons? D'autre part, la r;ception du renfort et les vivres est un objet impossible d'impossible … Si, n'am;ne pas Allah, il y aura une famine et la chert; dans la troupe d'Islam, que tout cela s'ach;vera? Sur qui nous devons laisser celui-ci l'arsenal du padicha? Et ; quelle partie ; nous nous  ;branler? D'une part est  la mer, au nord est kyafiristan, sur l'est et le sud est la steppe de Khejkhat!». Chacun donnait mille conseils en r;ponse ; cela. Kodja le Kenan-pacha et kethuda de l'arsenal maritime du Piyage-agha ont ordonn; ; l'issue de ;a : «La d;cision juste sera tel. Que les crieurs l'annoncent aujourd'hui, et qu'ils pr;viennent :« le Matin est  l’assaut totale. Qu'il vient chacun, qui veut (recevoir) timar, ziamet et le titre sipaehiya. Que de (tous) sept d;tachements de la troupe on inscrit sept mille maris les plus dignes et d;vou;s ». (Vous) mettez pour le combat mudjahid des gazis musulmans! Nous regarderons que le miroir magique du destin nous montrera». Ils ont fini le conseil sur cela et ont lu Fatikhou. (Et alors) l'all;gresse et la joie sont venus parmi les gazis. Selon le registre d'arm;e, de l'arsenal du padicha sept mille les sabres, deux mille les boucliers, deux mille fusils, auqrqnte mille des fl;ches, cinq mille les arcs, six mille lances, cinq mille bombes-bouteilles de main, ainsi que les vivres vers la plus diverse arme ;tait distribu;s parmi les musulmans. Puis, ; la bonne heure, de sept parties les canons et les fusils ont tir;, et du  camp de la troupe (musulmane) l’appel a retenu : «Allah!» . L'air a commenc; ; s'assombrir du feu de fusil et la poussi;re tourbillonnant noire. Mais un vent fort a dispers; tout, et on voit, o; les amis et o; les ennemis. Les troupes des musulmans se sont enfonc;es ; la forteresse par les ;p;es aigu;s. En d;truisant les kyafirs ; droite et ; gauche, ils les ont conduit ; la citadelle. Et voici pendant huit heures il y avait une m;me bataille acharn;e, comme la bataille ; Mokhatche.30 Les combattants experts, ayant vu une telle position des kyafirs, ont p;n;tr; vers les chausse-trapes de sanglier ;tablies dans les passages souterrains, et ont dress; l'embuscade. Cependant (les kyafirs) maudit ont fait exploser les obus souterraines, ayant appliqu; la ruse diabolique pour que comme l'hirondelle gaspiller ; l'air la troupe d'Islam.  Le plomb d;truisait ceux qui s'approchaient des meurtri;res. L'heure de l'heure la troupe d'Islam a commenc; ; porter (plus grand) les pertes par les tu;s. L'aide ne venait pas de l'arri;re, et les gazis ont vu qu'est venue l'heure d;cisive. Mais non seulement l’;me et leur cerveau (;taient ext;nu;s), leurs estomacs ;taient vides, les mouvements sont devenus lents, de la chaleur terrible et la soif ils sont arriv;s ; la limite de la mort. (C'est pourquoi), d;s qu'est venu l'heure du coucher du soleil, les alaj-tchavouchi sont arriv;s au galop et ont commenc; ; appeler les gazis, en s'exclamant : «Tournez bride, oh les gazis! La force dans vos mains! D;j; le soleil se couche. Allez manger et se reposer. La nuit porte conseil!». Ils ont pris du champ de bataille la production militaire – les t;tes (des kyafirs), 31  les fusils, les armes diff;rentes et les autres objets, ont charg; les corps (des musulmans) p;rissant sur les prisonniers, 32 et chaque leur d;tachement s'est dirig; vers sa place. Ayant fait feu des fusils et la salve des canons, ils ont dit la pri;re des tomb;s au combat et ont enterr; leurs corps. On a assign; les moyens pour la nourriture et on a envoy; des m;decins-chirurgiens pour bless;s. ; celui qui a apport; la t;te (d’ennemie), ;tait conf;r; cent kuruch, 33 qui a amen; de la langue est un prisonnier, on fixaient les iyelenkis  sur le bonnet. On octroyait (aussi) par l'avancement dans le grade, les timars, les ziamet. Et le bien de deux cents mille musulmans, tomb; au champ d'honneur, ;tait remis au tr;sor public. Cette nuit-l; le kyafirs travaillaient de nouveau, comme Ferkhad, et les murs d;truits de la forteresse ont fait aussi solide, (comme autrefois). Ils ont restaur; (les cachettes pour) les embuscades et la meurtri;re et ont ;rig;  comme un nouveau Mur d'Iskander. Les Gazis-musulmans, tout ayant vu, sont venus ; la tristesse. Que tu feras! «L'esclave propose, à Allah dispose!» — avec ces mots ils ont confi; ses vies au Dieu. Et de nouveau a ;t; engag; le combat ;; et l;. Cependant il n';tait pas d;j; conduit avec tout le coeur et le d;sir, de l';me, comme c';tait plus t;t. Quoi qu'il en soit, ils ne manifestaient pas maintenant (un ancien) z;le et l'ardeur, et les r;pits des batailles n';taient pas ni le jour ni la nuit. (Cependant) pendant quarante jours restait jusqu'au jour Kasyma35. En disant : «Que s'ach;veront nos affaires ?» – tout les vizirs, les vikils, les connaisseurs de l'affaire, se sont r;unis ensemble. Ils ont tenu conseil, selon la sentence connue :« Et ils conf;raient sur les affaires », ont pris la d;cision d'envoyer le khan Bekhadyr-Girey avec une soixante-dix -milli;me troupe et les cavaliers 36 sur le pillage du pays du roi moscovite jusqu'; sa capitale. Quand le khan Bekhadyr-Girey avec sa troupe des tribus tatares est arriv; de nouveau sous les murs de la forteresse Azov pour un quatorzi;me jour apr;s l' envoi et s'est joint ; l'arm;e d'Islam, (ayant livr;) quarante cinq mille des prisonniers, deux cents mille des chevaux pris, le nombre innombrable des objets pr;cieux du cuivre, l';tain et la porcelaine, 37 la vie nouvelle s'est allum;e dans les coeurs s';teignant des arm;es musulmanes. Et ils ont arrang; sous la forteresse Azov une telle revue (des troupes) tatares, ainsi que le monde n';tait pas vue d;s temps (confirmation) de la g;n;ration Tchingizidov. Quand les kyafirs (de la forteresse) ont vu que les Tatars ont fait prisonnier et ont amen; si beaucoup de leurs compatriotes battus et humili;s, leurs g;missements et les exclamations du chagrin sont mont;s jusqu'au ciel. La m;me nuit le groupe des gens affam;s et malheureux est sortie de la forteresse et ;tait saisi. Ils ;taient amen;s chez le commandant en chef. Uns d'eux dou;s, les autres ;taient honor;s ; la r;ception ; l'Islam. (Puis) ils ;taient exp;di;s ; la forteresse de Khoros-keman se trouvant de la forteresse Azov sur la distance (audibilit;) les chants de coq. ;tant donn; que la troupe tatare est venue avec une grande production et le bien ;tait beaucoup. Le cheval ;tait vendu pour un, et la jeune fille non mari;e pour cinq kuruches. La salve triple des canons et les fusils ;tait donn; pour la prosp;rit; des Tatars. Cependant, l'hiver impitoyable de la mer d'Azov commen;ait ; se faire sentir d;j;. Tous craignaient l'hiver cruel et se sont r;unis de nouveau sur le conseil. Tout les hommes expert en affaires et les doyens d';ge tatars ont redig; la demande sur le nom le plus haut, ; l'unanimit; compl;te et l'accord, ont mis trois cents sceaux ; lui  et ont envoy; ; la capitale de l';tat. Son contenu ;tait tel : «Cette ann;e la conqu;te de cette forteresse est impossible. L'hiver est arriv;. Les pillages et la d;vastation ont fait jusqu'; une plus ancienne capitale du roi moskovite. On fait prisonnier d'environ soixante-dix mille des kyafirs. Cent leurs mille est hach; par les sabres. Le roi moskovite  d;cemment il a eu son affaire ». Apr;s on envoyait ce message, deux prisonniers, comprenant le turk, par la n;gligence (intentionnelle) on donnait la possibilit; de s'enfuir ; la forteresse. S';tant trouv; au-dedans de celle-ci, ils ont communiqu; qux cach;s ; la forteresse :« Les Turcs disent :« Il y avait notre but principal une forteresse, nous la prendrions au cours du mois. Mais nous voulions seulement donner la le;on au roi moscovite, piller et d;vaster  voil; combien de ses terres et les domaines, faire prisonnier de ses gens. Et nous avons fait cela ».Oh, la sagesse de Dieu, dans la nuit, quand les messagers sont partis vers Porog, 42 il y avait un tel froid rude que la troupe d’Islam, ; peine se trouvait ; la terre. Apr;s cela (les combattants) ont compris qu’ il n'y a pas de g;te s;r dans la steppe Kyptchaksky et sur la mer Noire pour eux. Finalement la troupe a d;sesp;r;. Quand dans l'accord la noblesse et les roturiers ont refus; sa conqu;te, une gauche aile droite et de la troupe ont jou; sur les tubes le signal de la retraite et, ayant charg; l';quipement sur les navires, il a fait marcher de la forteresse, n'ayant pas obtenu la victoire et en disant :« Est telle, on voit, la volont; du Dieu, est telle l'indication du Dieu». (Les troupes) sont arriv;es ; Balysyra, et la flotte du padicha les attendait l;. Les combattants de tous eyalets ;taient livr;s et qui sont partis par la terre, qui par mer. Ceux qui sont partis par voie de terre, pour un sixi;me jour (sont venus sur) la Kuban, et sont partis de l; pour les domaines de Tcherkassk et sur l';le de Taman. Les autres sont partis aux terres de Tcherkassk, qui se trouvent pr;s de la p;riph;rie du nord de la steppe de Khejkhat. Quand la flotte dupadicha devait lever l'ancre pour se diriger vers Porog de la Prosp;rit;, moi, futile, j’ai re;u la permission du commandant en chef Hussein-pacha, et nous nous sommes dirig;s ; la terre de Crim;e avec le khan de Crim;e.


LES REMARQUES

1 Mourad IV (1612–1640) – le fils du sultan Akhmeda I, le sultan turc (1625–1640).
2 ; 1657–1641 Bekhadyr-Gyrey I ;tait le khan de Crim;e (a mouri en 1641), le fils du khan Selyamet-Gireya.
3 Ibragim de I Delhi (1615–1648) – le fils du sultan Akhmeda I, le sultan turc (1640–1648).
4 Kara  Moustafa-pacha Kemankech (les Fl;ches de l'arc, pr;s de 1592–1644) – le grand vizir (1658–1644) au conseil d'administration des sultans turcs de Mourada IV et Ibragima I.
5 Il faut comprendre ce proverbe ainsi : «La marche militaire ne laisse pas l’envie , le temps sur les r;voltes et les r;voltes chez les soldats».
6 Dans la traduction de Khammera indiqu; le nombre des cosaques – 100 000.
7 Dans la traduction de Khammera est ajout; : «… apr;s le si;ge de 40 jours».
8 Communaut; de Muhammed  sont  les musulmans («muhammedan;s»). Muhammed (pr;s de 570–652) – l'arabe descendant de La Mecque. Le pr;dicateur religieux, ;tant consid;r; par le fondateur de la religion (Islam) musulmane; selon les traditions musulman th;ologiques est «le plus grand et dernier» proph;te.
9 Otchakovsky eyalet ; ÕVII s. ;tait la province de l'empire Osman. La partie consid;rable d’eyalet se trouvait sur le territoire de l'Ukraine modernes et la Moldavie. De principaux points d'appui des Turcs ; eyalets ;taient les villes-forteresses d'Otchakovs, Bendery, Akkerman, Izma;l, Kiliya.
10 Kenan-pacha kodja Gjudjkou (un Grand G;orgien, a mouri en 1659) – le dignitaire turc au conseil d'administration des sultans de Mourada IV et Ibragima I.
11_ L'agha du janissaire ne prenait part pas dans cette marche, et son kethuda le Khajdar-agha-zade.
12 Kilise (turc.) est l' ;glise chr;tienne. Kilisedjik est la petite ;glise.
13 La p;ninsule moderne de Taman dans le pass; r;cent historique (jusqu'au milieu ÕIÕ s.) ;tait l'archipel des ;les s;par;es l'un de l'autre par les bras de la rivi;re  Kuban.
14 Tchotchka – du russe. "le cochon " (porc). Le nom de la langue de terre le cochon, comme le cap de la p;ninsule de Taman est appel; et jusqu'; pr;sent, ceci est imputable aux dauphins de la Mer Noire, qui la population locale appelait depuis des temps imm;moriaux comme «les porcs maritimes». Au temps orageux les ondes jetaient les dauphins en grande quantit; sur le banc de sable sablonneux.
15 Dans la traduction de Khammera il y a tels mots : «… les gal;res et les mouettes ne peuvent pas sont utilis;s ici, car ils ont le tirant d’eau de cinq pieds, et la profondeur de la mer sur les voies de Balysyra ; Azaka n'exc;de pas 2–3 pieds».
16 Dans la traduction de Khammera apr;s les mots "des tribus de Tcherkesstana» il y a un suppl;ment «ajout; vers les provinces de kafin».
Jean; (æàíý) est la tribu adygh;enne. Elle ;tait extermin; presque enti;rement vers le d;but de XIX s. par la suite les collisions continues avec les voisins les Tatars. Ses restes ont fusionn; avec la tribu natukhai. Buwuduk est la tribu adygh;enne (áæüýäûãüó). Les bjedug sont entr;s dans l'ethnie adygh;enne ; pr;sent. Leur descendants disent sur  le dialecte bjedug de la langue adygh;enne. Bolotokai est la tribu adygh;enne. On peut supposer qu'ici il s'agit d'une des tribus les plus fortes et puissantes adygh;ennes — temirgoyc (êIýìãóé). Les repr;sentants visibles du pouvoir princier ;taient consid;r;s Bolotokovy de cette tribu du nom de ce nom princier. Evliya Tchelebi pouvait engendrer le nom de la tribu. ; pr;sent les temirgoyc sont entr;s dans l'ethnie adygh;enne. Leur descendants disent sur le dialecte temirgoyc de la langue adygh;enne. Hatuquay (õüàòèêúóàé) est la tribu adygh;enne, est consid;r;e une des subdivisions des temirgoyc. Bedney est la tribu adygh;enne de Beslenej (áýñëüíèé). Les belsemey sont entr;s dans la nation kabardienne socialiste ; pr;sent. Leur descendants disent sur le dialecte belseney du kabardien. Kabartay (êúýáýðäýé) est la tribu adygh;enne. Il s'agit des Kabardes d'un Grand Kabardy dispos; sur la partie de la rive gauche de Terek. Il y avait des ;tablissements des Kabardes du Petit Kabardy sur la partie de la rive droite. Les Kabardes vivent aux republiques autonomes socialistes sovietiques de Kabardino-Balkarie et font la nation commune socialiste ; pr;sent. Taoustan (ou Taousoultan) est la tribu adygh;enne. Il s'agit des Kabardes du Petit Kabarde. Taoustan (ou Taousoultan) est le fondateur de la g;n;ration princi;re ayant les domaines la plus consid;rable dans un Petit Kabarde.
17 Chamkhal est le titre du plus grand r;gent f;odal au Daghestan Du nord, le chef des terres de koumyk, ayant la r;sidence de Tarki (pr;s de Makhatchkala). Les seigneurs feudals de koumyk rivalisait constamment qvec les chamkhal de tqrkovsk, la forteresse d'Enderi (; pr;sent Andrejoaoul sur la rivi;re d'Aktach en r;gion Khasav'jurtovsky de Daghestan RASS) ;tait sa residence.
18 Dans la traduction de Khammera il y a une date de commencement du si;ge d'Azov – 21 chaban. Si, en se fondant sur notre hypoth;se de la datation du d;part de la flotte turc du port Anapsky, supposer qu'il faut lire ici le nom du mois non chaban, et safar, la date de commencement du si;ge de la forteresse sera 21 de safar 1051, i.e. le 2 juin 1641
19 L’aide d'Anatoly est venue selon Khammer, 25 Chaban, i.e., probablement, 25 safan 1051 que 1641 correspond le 6 juin.
20 Dans la traduction de Khammera il y a un suppl;ment ; l’;num;ration de l'aide militaire ; la troupe turque pr;s d’Azov : «… 200 alabeys, les zaims et les timariyot, qui avec leur djebeli il y avait 47 mille personnes».
21 Dans la traduction de Khammera il s’agit du khan de Crim;e n’a pas expos; les gardes de Crim;e, et des troupes nogai. Oulou-Nogai est les grands nogajs. La partie principale de la horde Nogaj rest;e apr;s qu'; la fin des ann;es 50 XVI s. elle s'est d;sagr;g;e sur deux parties – une Grande et Petite horde. Le prince Ismail ;tait ; la t;te d'une Grande horde alors (a mouri en 1565), dans la lutte sanglante intestine trouvant le soutien pr;s de l';tat Russe. Une grande horde errait dans  la basse Volga, sur une partie gauche. Sous la menace des Kalmouks arrivant de l'est, les nogai d'une Grande horde sont partis pour la Volga et erraient entre la Volga et Dontsom en 1613. En 1616 ils sont revenus sur  les territoires de campements anciens, mais en 1654 l'arriv;e des Kalmouks les a oblig; de partir de nouveau pour la Volga. L; les Grands Nogais se sont unis avec les Petits et ont commenc; ; faire les incursions communes sur les p;riph;ries russes. En 1656 le khan de Crim;e les a oblig; ; d;m;nager ; la Crim;e. En 1659, apr;s en 1657 les cosaques du Don ont pris Azov, la partie des nogai d'une Grande horde est revenue dans le territoire pris entre deux fleuves du Don et la Volga et a donn; le serment dans la fid;lit; au roi russe. En 1642 la grande partie de la horde a quitt; la Crim;e et a pass; ; la suj;tion russe.  Ketchi-Nogais sont les petits nogais. De la deuxi;me moiti; de XVI s. les nogais d'une Petite horde ; la t;te avec Kazy-Mirzoj (a mouri en 1577) se sont install;s entre Kabarda et Azov dans la suj;tion nominale au sultan turc, et en r;alit; – dans la suj;tion de Crim;e. Plus tard les plusieurs mirzas d'une Petite horde se sont apparent;s ; la noblesse de la s;rie de tribus de Circassien et kabardiennes. Du milieu de XVII s. la petite horde nogai se divisait sur deux moiti;s – Ourakovou et Kasaevou. Chejdyak-Nogai sont les nogais Chejdyaka. Le prince Nogajsky Chejdyak ;tait le grand-p;re du fondateur de la Petite horde de Kazy-Mirzy. Mais ici, le plus probablement, il s'agit du fils du prince de la Grande horde d'Our-Mambeta – Chijdyak - mirza, le contemporain d’Evlii Tchelebi. Ourmambet-Nogaj sont les  nogai Ourmambeta. Dans les sources russes Ourmamet est le prince de la Grande horde (90 ann;es de XVI s.) le fondateur des mirzs Ourmametovykh. Notamment les mirzs Ourmametovy ne sont pas revenus ; la suj;tion russe apr;s 1659, ;tant rest; dans la Crim;e. Chirin est le premier de quatre couches anciennes et notables tatares, la noblesse militaire-f;odale de qui – karachei – jouaient le r;le visible ; la vie non seulement les nogais, mais aussi de Crim;e et, dans le pass;, les Tatars de Kazan. Karachei sont les chefs de quatre le plus notables couches, ;taient les participants imp;ratifs de la c;r;monie de l'av;nement au tr;ne (les augmentations sur le tapis) un nouveau khan de Crim;e. Mansour est la g;n;ration notable tatare. Son ;l;vation a commenc; par la premi;re moiti; de XVI s. dans la Crim;e Au d;but du XVII s. cette g;n;ration a fait partie d;j; des couches de quatre karacheev, parmi qui elle a pris la quatri;me place. Sedjeut est la g;n;ration notable tatare. De la premi;re moiti; du XVI s. les khans de Crim;e l'ont ;galis; dans les droits et les privil;ges avec quatre karacheis, l'ayant mis sur la cinqui;me place. Au d;but de XVII s. il a pris d;j; la troisi;me place parmi quatre karacheev. Mankyt, ou mangyt, est le nom d'un des tribus nogai du peuple mansour, ;tait nomade ; la Crim;e au d;but de XVI s. Nakchouvan, djenichke, le bat, îr sont les noms des d;tachements tatars mis en relief par les villes correspondantes. On sait que Nakhchouvan est le nom turc du Nakhichevan de Crim;e. Les r;fugi;s de Nakhichevan caucasien ont fond; l';tablissement sous le m;me nom dans la Crim;e au pied de la montagne Tchatyrdag encore dans le moyen ;ge pr;coce. Dans les ann;es 70 XVIII s. les marchands arm;niens et les artisans (;tait c;l;bre particuli;rement de ceux-ci «nakchuvan l'acier de damas») Nakhichevan de Crim;e ont d;m;nag; sur le territoire de l';tat Russe. Et alors ils se sont install;s dans l'embouchure du Don. ; pr;sent ce Nakhichevan "russe" est le composant de la ville de Rostov-sur-Don. Djenichke est Genitchesk moderne, Or est Perekop. Le bat, probablement, est l'ethnonyme d;form; de Tat. Les tatamis les Tatars appelaient la population chr;tienne Tat-Eliisky sandjak d’eyalait kafins (la r;gion de montagnes entre la Soudak et une Vieille Crim;e) – les Grecs et les Arm;niens ayant l'autogestion limit;e. Donc, il faut comprendre le virement amen; ainsi : les Tatars de Nahichevan (si seulement ce ne sont pas les Arm;niens). Les ulans (oglans, i.e. les fils) dans le khanat de Crim;e s'appelaient les seigneur f;odaux du rang sup;rieur, les princes du sang dynastique. En g;n;ral, c';taient les karachei, apparent; avec la dynastie gouvernant Gireev par voie du mariage sur les filles de khan. Par le mot le bardak (ou badrak) Evliya Tchelebi d;signe tous les sujets du khan de Crim;e. Le mot darak (ou tarak) d;signe le trident. Patrimonial tamga – les armes Gireev – se dessinait en forme du trident. On peut comprendre la combinaison badarak comme «avec le trident», i.e.«du trident» (les dynasties Gireev) les sujets. Dans l'application vers le cas donn; les d;tachements tatars l'ulan et le bardak pouvaient d;signer les troupes des princes patrimoniaux et la garde personnelle du khan. ;num;r; puis les noms des chefs nogai des tribus se rencontrent souvent dans les sources russes du milieu de XVII s.  Arslanbek-mirza de la moiti; de la Petite horde de Kasaevoi, le fils Kaspoulat-mirzy, le petit-fils Kasaya est le prince de la moiti; de la Petite horde (le milieu de XVII s.). Tchoban-mirza d'une Grande horde, le fils Ourazly-mirzy, le petit-fils Ourakovoj de la moiti; de la Petite horde, le fils Can-mirzy; Navrouz-mirza de la moiti; de la Petite horde de Kasaevoi, le fils du prince Kasaya.
22 Evliya TcHelebi comparent tr;s souvent les forteresses envelopp;es de la fum;e et la flamme des salves des canons de si;ge et les fusils de leurs garnisons, ; l'oiseau salamandre dans le feu de Nemrouda. Une telle comparaison souligne deux fois l'innocuit; de ce feu pour la forteresse. L'oiseau salamandre, ou l'oiseau ph;nix est l'oiseau mythique, qui apr;s l'incin;ration rena;t des cendres personnelles. Le feu de Nemrouda – selon la l;gende biblique, est le feu immense divorc; sur l'ordre du r;gent d'une ancienne M;sopotamie, le constructeur Vavilo-sur – Nemrouda. Quand on jetait le proph;te Avraam ; ce feu, le feu n'a pas caus; seulement au proph;te du dommage, mais, au contraire, s'est transform; en jardin admirable.
23 Sur le tombeau (turb;) la Jogourttchou-Baba voir ò. VII "du Livre du voyage».
24 Ici Evliya Tchelebi ;num;re trois manches principales du Don, qui s'appellent ; pr;sent : Donets Mort, un Vieux Don et la Kalancha. L';le de Timourlenka dans l'embouchure du Don, sur qui il y avait quelque vieille forteresse d;truite et qui Evliya Tchelebi appelle aussi comme l';le de Cinq collines, probablement, ;tait dispos; du c;t; du village ;lisab;thain. Il y avait l;, une ancienne ville et la multitude de tumulus V–III si;cles avant J.C. (Knipovitch T.N.) L'exp;rience de la caract;ristique de la ville pr;s du village de l'exp;dition Elisavetovsky selon les trouvailles GAIMK en 1928 – IGAIMK. Pub. 104, 1955, S 11-201).
25 Dans la traduction de Khammera on indique le nombre des cosaques tu;s est plus de 1000 personnes.
26 Ferkhad est le h;ros des l;gendes orientales, en accomplissement des v;ux de la bien-aim;e Chirin per;ant les rochers.
27 ; 1613–1645 le roi russe ;tait Mikha;l Fiodorovitch (1596–1645) premier roi de la dynastie de Romanovykh.
28 Dans la traduction de Khammera il s’agit de 20-milli;me troupe "du roi de Moscou».
29 Les auteurs M;di;vaux orientaux, la steppe de Khejkhat (ou Kyptchaksky), appelaient les espaces immenses des steppes russes sud. Dans les sources russes apr;s ces territoires on avait fix; le nom le champ Sauvage.
30 Sous Mokhatchem (au sud de la Hongrie) en 1526 il y avait une bataille entre les troupes du sultan turc Soulejmana II et l'arm;e vengro-tch;que. Les Turcs ont remport; la victoire, dans le r;sultat de laquelle ils prenaient la partie de la Hongrie.
31 Dans la traduction de Khammera il s’agit de 3 mille cosaques.
32 Dans la traduction de Khammera il s’agit de 1600 prisonniers.
33 Dans la traduction de Khammera il s’agit de le r;c;piss; ;tait donn; pour chaque t;te  sur 100 piastres.
34 Dans la traduction de Khammera il s’agit de on remettait le bien de 700 janissaires tu;s au tr;sor, et de tout on tuait 1200 musulmans.
35Le jour de Kasyma est la f;te emprunt;e par les Turcs du calendrier chr;tien. Sa date correspondait au jour du St. Dmitry – le 8 novembre (le 26 octobre selon anc.). Ce jour marquait les pr;mices de l'hiver. Apr;s le jour de Kasyma toutes les troupes terrestres et maritimes devaient suspendre les hostilit;s et partir sur les quartiers d'hiver. On pouvait commencer les hostilit;s seulement apr;s le jour Khyzyril'yasa (correspondait au jour du St G;orguy) – le 6 mai (le 23 avril selon anc.).
36 Dans la traduction de Khammera il s’agit de 70 000 troupes r;guli;res et 200 000 cavaliers.
37 Dans la traduction de Khammera il s’agit de les objets pr;cieux, les pelisses, les riches v;tements etc.
39 Les khans de Crim;e sortaient de la g;n;ration du khan mongol et le chef militaire Chengishan (pr;s de 11 55-1227).
40 Dans la traduction de Khammera on indique le nombre des cosaques-transfuges – 70 personnes.
41 Evliya Tchelebi d;crit  Khoros-Kerman ( La forteresse de coq) ; ch. VII.
42  Dans la traduction de Khammera contient le suppl;ment : «… et le gar;on est pour 6 piastres».
43 Porog, ou Porog de la Prosp;rit;, est une des d;signations d'Istanbul, la r;sidence du sultan turc, la capitale de l'empire Osman.