L enleveur enigmatique

Áîðèñ Àðòàìîíîâ
L'enleveur ;nigmatique.

Chapitre 1.

Ses yeux viennent de s'ouvrir, on dirait, d'eux-m;mes, en brisant le cours des pens;es vides, qui sont m;ch;es au l;ger sommeil matinal. Les pens;es qui n'avaient gu;re d'importance en soi, ce sont elles qui l'ont forc;e pour un certain temps ; oublier la r;alit; dont on se rappelle avec peine d'habitude, tout juste en r;veillant. Le premier instant de l'arr;t de ces pens;es et de l'indiff;rence; cet instant a succ;d; en ;tonnement: ; l'un clin d';il Inga vient pas d'apprendre mais de sentir que la r;alit; va ;tre beaucoup plus qu';trange. Dans l';trange int;rieur ;troit, ; travers les murs ray;s semblables en gros toile, il p;n;trait le jet de lumi;re du soleil matinal.       
       Inga s'est remu;e instinctivement. La faible douleur cuisante qui a signal; de son dos, c'est elle qui l'a aid; ; se rappeler tout. Le destin donnait une inverse course inhabituelle. Il la lan;ait pas d'un r;ve cauchemardesque ; la r;alit; insouciante, mais au contraire. Cela qui para;t comme un r;ve, il manifestait de soi en pr;tendant ; la plus r;elle existence. Cela, en quoi personne n'aurait ajout; foi, si raconter, ;tait tout ; fait palpable.
       Et il sembla;t que la nature n'a voulu point ; reconna;tre l'effroi de la situation. La for;t verte grouillant des vies diff;rentes ;tait retentie par joyeux gazouillement des oiseaux. Comme si tout cela dehors aurait voulu contre bon sens ; exprimer le salut et les f;licitations pour elle et pour fait qu'elle s'est trouv;e en captivit;. Quelque part dans la profondeur secr;te de sa conscience elle a d;voil;e une pens;e tra;tresse: " ;  quoi bon tu perds la t;te, ; ce qu'il dit? Regarde un peu, comme il est admirablement tout autour! Il n'y a rien d'effroi. Est-ce qu'il faille des petits ennuis ;..." Une autre pens;e a jug;e la premi;re mais sans mots. Tout ; coup il l'a sembl;s les parents, il l'a sembl;s les anciens condisciples, toutes les connaissances du grande quartier moscovite, de plus petits aux plus grands... S'ils tous apprendront?!.. Tous les d;tails?!.. Si ils apprendront qu'elle toute de suite vient de fermer les yeux sur "cela"?! Mais bon sens toute de suite a coup;e cette pens;e, puisque ce serait trop fort. Donc ils n'atteindront jamais jusqu'; ses m;ditations clandestines. Est-ce qu'ils soient comme Messing? (Messing - un Juif polonais qui s';vada en URSS au temps de la deuxi;me guerre mondiale et devint un c;l;bre clairvoyant - la note de l'auteur).
       Pourtant, il n'y avait rien de terrible pour le moment. Si ce monstre voudrait la tuer, il avait eue grande multitude d'instants bien convenables pour cela, et il aurait profit; de la situation depuis longtemps pour r;alisation n'importe quelles fantaisies qui peuvent venir ; l'esprit coupable de maniaque. Mais il ne la a viol;e m;me pas jusqu'; pr;sent. Et quoique dans ce temps de Brejnev personne de ses connus n'oserait pas tenir cet homme comme un homme normal, mais comme exactement il a calcul; tout! Elle eut jou; en esprit les ;v;nements des deux semaines derni;res: son enleveur n'avait pas l'air de faire des erreurs. Soit il un toqu; - malgr; tout il est le toqu; intelligent, malin et prudent et c'est douteux qu'il puisse ; perdre la t;te pour son d;triment ou au d;triment de l'affaire de laquelle il avait l'intention.
       Inga s'est surpris qu'elle pense; elle pense ind;pendamment et en ordre logique qui fut inaccoutum;. Jusqu'ici il lui ne fallait jamais ; fonctionner en esprit comme ;a. On pensait, on dirait, tout ensemble: elle et les autres qui ;taient c;te ; c;te. Et il n'y avait point de crainte ; se perdre: on l'aurait rajust;e tout de suite. Il semblait que tout le monde sache "le chemin" et sache, si peut-on ;noncer comme ;a - "un horaire" o; il est indiqu;, dans lequel ;ge quoi faut-il faire et quoi il ne faut pas, "l'horaire" selon lequel tous les gens normaux agissent. Mais ce qui est arriv; ; elle en ces derniers jours, cela n'est pas fourni par "l'horaire". Maintenant elle est jet;e soit au temps fort ancien, soit sur une autre plan;te, peut-;tre est-ce ; l'autre monde, et enfin, si on comparait tout cela ; la vie r;elle, c';tait quelque chose le plus ressemblant ; l'arrestation brusque et l'emprisonnement pour ceux qui dans ses pens;es n'ont tenu jamais quelque chose comme ;a.
       Aujourd'hui sa t;te vit clairement et exactement et elle devina de quoi. Avant-hier son tourmenteur l'avait faite boire un certain philtre, c'est possible, il avait ajout; quelque chose dans le th; avec confiture, dans le m;me th; qui ;tait pr;par; ; la gamelle et vers; en chopes. En apparence il m;me ;tait all; vers une certaine ville, car il en ;tait revenu avec deux grands sacs ; dos avec denr;es alimentaires et toutes sortes de bagatelles n;cessaires dans la for;t. Et hier elle s';tait r;veill;e bien apr;s midi, quelques minutes avant son retour et il ne s'agit point de l';vasion mais ; cause de l'effet un certain stup;fiant ou somnif;re donc elle n'avait pas envie m;me de remuer les doigts. Malgr; tout elle aurait eu le temps ; s';loigner quelque cent m;tres, cela ;tait pass; une fois et elle savait qu'il serait pour elle de cause de cela. Elle n'eut point envie de r;p;ter cela.
      Pourtant, il n'y a ;t; rien de particuli;rement heureux. Ce matin, comme celui l'autre, elle eut attendus la honte, le froid et la douleur.
     -Es-tu r;veill;e, grue?! - Il ;tait une voix grosse et rauque de l'ext;rieur. (Malheureusement, ce n';tait pas Vysotsky, bien que sa voix et ressemble ; lui).
     -Quoi? Est-il temps?
     -Dix heures et demie. Tu peux ; somnoler demi-heure encore. -Il serait mieux d'attendre jusqu'au temps.                -   -La loi est de ton c;t;, ma belle,- son tourmenteur sourit malicieusement.
      Cependant, dans dix minutes elle en eut assez cette attente fatigante et elle d;cida de pr;cipiter ce rituel d;sagr;able du matin: plut;t le d;but - plut;t la fin. Et pour comble, en dormant bien comme jamais auparavant, elle ne voulut plus rester inactive. Conform;ment aux ordres de ce rite de folie elle se d;barrassa du pull ; col roul;, du soutien-gorge, du fuseau et m;me du slip et quitta la tente toute nue de m;me qu'on se jette au tournant.
     -C'est ;a. On n'a pas envie apr;s tel repos d';tre couch; encore. Alons, tourne le dos!
       Inga ob;it. Tout le dos fut couvert de couleurs fra;ches des traces a cause des rites de folie et de petites fautes imprudentes d'hier, d'avant-hier et un peu plus t;t. Plus bas se distinguent les traces consid;rablement p;les d'une flagellation cruelle et m;morable pour l';chec de l';vasion et la r;sistance. L'autre fois, il l'avait rejointe et saisi son oreille, avait la pench;e vers le sol. Elle l'avait essay; ; frapper avec pied sur la place d;termin;e mais avait manqu; le but. Puis il l'avait men;e tranquillement et calmement. "C'est possible qu'autrefois on e;t men;e Jeanne d'Arc ; la m;me mani;re selon le chemin dernier", - cela elle se souvint d'une le;on d'histoire. Puis Inga avait eu peur et elle a essay; de cacher cette peur en questionnant na;vement:
     -Tu ne me gronde pas donc. Pourquoi est-ce?
     -Maintenant mon fouet va te gronder.
      En chemin vers ex;cution du ch;timent, involontairement elle avait souvenu l'enfance. Parfois le p;re l'avait fess;e avec ceinture, mais la m;re la d;fendait toujours en nommant lui "un toqu;" ou "un perverti". Cela lui jetait au rouge de la honte, et puis il tol;rait longtemps les fautes d'Inga.
      Cependant la m;me m;re en l'occasion d'une faute grave elle la punissait tr;s rare mais cruellement. ; la fois derni;re Inga avait re;u un grave savon ; l';ge de quatorze ans, quand les nombreuses falsifications de signatures par des parents sous un nombre augmentant obstin;ment des mauvaises notes au livret scolaire ;taient d;couvertes. Brusquement elle ;tait s'enhardie en raisonnant en esprit: "ce n'est terrible que pour les petits enfants. Jusqu'; quel ;ge j'aurai peur de la fess;e? On parle, maman me botterait le cul et quoi?"
      Alors elle ;tait ob;ie ; la m;re en mettant ; nu son cul qui ; ce temps d;j; ;tait beau et bomb; et en donnant ; serrer sa t;te entre deux jambes. Elle avait support;s silencieusement les premiers sept ou huit claques de la corde ; sauter. La fess;e ;tait devenue insupportable et Inga enfin avait donn; sa voix en ayant l'intention malgr; tout ; cacher la douleur augmentante:
     -Maman... mais ce fait mal...- cela ;tait r;sonn; avec une intonation bien d;daigneuse qu'on avait pu traduire en langue habituelle de cette fa;on: "Maman, quoique cela donne un peu mal, mais tu fais des b;tises".
      Mais la corde ; sauter avait continu; ; fesser en sifflant, et maintenant Inga avait perdue la patience et cri; ce que d'habitude des filles crient aux occasions pareilles:
     -Oh, que fais-tu!.. Mais j'ai mal donc! J'ai ma-a-al! Oh, no-o-on! Oh, je ne ferai plus comme ;a-a-a!- et enfin elle avait cri: Oh, je n'en puis plus! - apr;s quoi son cri ;tait devenu incoh;rent, fr;n;tique et confus qui ;tait coup;, toute de suite apr;s la claque derni;re et se changea en sifflement et faible g;missement. La m;re avait fouett;e Inga encore une fois en grondant quelques mots injurieux ; l'adresse d'elle, et maintenant une seule claque de la corde avait provoqu; fort hurlement de la gosse. Apr;s punition elle avait jet; un regard par la fen;tre et vu de ses yeux rougis par les larmes un gaillard adulte. C';tait un g;od;sien qui ;tait debout avec mire de nivellement au coin de sa maison en pr;tant l'oreille. Elle avait eu honte: s;rement il avait entendu comme on lui avait bott; le cul toute de suite et c';tait bien qu'il n';tait pas un connu.
      Mais cette r;cente fess;e pour ;vasion, c'est elle qui avait surpass; tout qu'Inga avait ;prouv; ; l'enfance. L'autre fois il avait ordonn; ; elle embrasser un gros arbre, puis il avait li;s les poignets qui n';taient pas atteints un peu l'un l'autre, sous les aisselles il avait tra;n;e encore une corde en enroulant les ;paules et il avait attach;s les extr;mit;es de la corde ; une branche, pour la fille n'aurait pas pu ; s'accroupir. Puis le malfaiteur avait attach; chaqun pied isol;ment pour elle n'aurait pas pu ; couvrir les fesses par eux. Lentement, il avait tir; de la poche un fil roul; et pli; en deux, de cuivre au-dedans et envelopp; d'isolation de chlorvinyl, rond ; sa section. Le fil pli; en deux ;tait un peu plus long que demi-m;tre. Un sifflement m;lodieux de la cravache avait retenti. En ceignant la hanche gauche et la fesse gauche, les extr;mit;s flexibles de la cravache s';taient enfonc;es ; la fesse droit. Au premier instant Inga n'avait senti rien, mais toute de suite la douleur de laquelle il avait failli couper la respiration, cette douleur ;tait s'enfonc;e en elle et ne l'avait point rel;ch;e.
     -O-oh,- la jeune fille avait prononc; d'une voix tra;nante, tout bas, en inclinant la t;te en arri;re. Deuxi;me coup, m;lodieux et ceignant, ;tait-il suivi vite, puis troisi;me et quatri;me, et il tous ;taient tomb;s sur la m;me place. Un hurlement fort avait retenti l'air dans la for;t. La barri;re de la patience ;tait ruin;e. En montrant les dents et en regardant d'un air suppliant aux yeux du monstre, Inga avait hurl; de toutes ses forces, mais cela lui n'avait point arr;t;. En se passionnant, il avait continu; ; balafrer au m;me rythme et impitoyablement ses belles fesses, blanches et ;lastiques, de lesquelles elle avait tourn;e en bondant, et ce g;teau ;tait bien app;tissant m;me pour ceux qui avait vues toutes les couleurs. Sa chair avait esp;r; d'instinct ; esquiver la douleur, inaccoutum;e et cruelle, et elle-m;me ;tait pr;te ; tout que le maniaque demanderait d'elle, pourvu que cesser la torture.
     -Qu'est-ce que tu veux? J'ex;cuterai tout! A-a-aah! Que veux-tu? Je ferai tout! - elle avait cri; d'une voix enrou;e et d;chirante en effarouchant les oiseaux et les sangliers des alentours. Et le fouet avait continu; ; s'enfonñer impitoyablement tant;t ; l'un endroit, tant;t ; l'autre, plusieurs fois de suite ; chacun d'eux, et cela lui avait sembl; qu'il f;t all; ; fouetter elle jusqu'; mort et si on va ; telle mani;re - soit plus vite. Les pens;es pareilles en ;tant accompagn;es du cri d;chirant n'avaient-elles fui harmonieusement comme d'habitude, mais elles s';taient enflamm;es et avaient disparues comme les foudres en nuit. Et voil;, il l'avait caress;e d;j; le long de cheveux, en tiraillant avec douceur les oreilles. Ainsi de quoi avait-elle continu; de crier? Inga s';tait tue et avait ;clat; en sanglots. La cascade des larmes l'avait d;barrass;e de tout qui est lourd et pressant sur le coeur; de tout qui s';taient accumul;s dans l';me pendant ces six ann;es de la vie adulte o; on commence ; avaler les affronts et les ennuis et en taisant pour feindre l'indiff;rence hypocritement, de quoi l';me se durcit, le regard s';teint, chaque v;tille pr;cipite sur les mains en s'accumulant pour vieillesse comme un poids lourd du pass; duquel l';tre humain se courbe le dos vo;t;, et les montagnes, des mers et les for;ts, les aubes et le soleil couchant - tout cela ne causent plus de la joie ; lui.Inga avait sanglot; en voix et la douleur se calmant ;tait chang;e au sentiment agr;able du nettoyage. C'est bien cela un for;t se nettoie apr;s averse d'orage qui vient de passer en coup de vent. Elle ;tait devenue une petite fille plus encore qui ;tait pr;te ; ex;cuter n'importe quel caprice des parents cruels qui viennent de punir elle et elle en ;tant tomb;e en extase de l'enfer de douleur cruelle ;tait-elle venue de promettre leur ; ob;ir sous tous les rapports, pas avec feinte mais sinc;rement tout ; fait.
       Une sentiment agr;able de l';me et de la chair tremblants en sanglots, c'est il qui s';tait chang; graduellement en d;pit de sa faiblesse de l';me en comparaison au regard de premi;res martyres du christianisme, de partisanes l;gendaires de la R;sistance et de victimes de l'inquisition. "Elles ne se furent pas soumises, mais je viens de me rendre de la fess;e ordinaire. Maintenant, il est probable qu'il me mettra ou m'obligera au sex oral. Soit! Je n'ai que ce que je m;rite. Soit s'enflammera tout!" Une pens;e h;sitante passant comme un ;clair: "il semble qu'il soit un mec vieux, mais il n'est pas mal", - cette pens;e ;tait ;touff;e toute de suite par les images de physionomies ululantes de toutes les collectivit;s qui ;taient dessin;es dans son esprit et lesquelles ;tait-elle oblig;e ; fr;quenter ces derniers temps.
      -Tu as envie de supporter la douleur, mais tu uses un proc;d; incorrect. J'y t'apprendrai, grue, mais en son temps. Tu es morte... Et tu es morte pas ici, pas aujourd'hui; mais longtemps avant que je t'ai enlev;e. Maintenant tu es morte et j'ai une envie de te faire vivante et j'arriverai ; mes fins si Seigneur n'a pas rien contre cela. Il avait regard; ; elle avec douceur et exaltation et il avait continu;:
     -D;sormais, tu es une grue de for;t, mon amie de for;t. Tu m'ob;iras sous tous les rapports. Je te forcerai ; ob;ir! Envers moi tu dois ;tre plus sinc;re, plus franche que tu sois avec soi-m;me, car tu ne connais pas ton ;tre. Tu ne sais que ton image fausse. Tu as fait entrer tous ton ;tre au subconscient et tu as cru que tu sois comme tout le monde est. Mais Dieu n'avait point cr;; les gens identiques. Sur la Terre tu ne trouveras jamais un couple des gens identiques et de m;me tu ne trouveras pas deux empreintes digitales identiques. Il n'y a pas des mouches identiques, il n'y a rien ; dire sur les gens. Donc donne-toi la peine d'apprendre QUI ES-TU!
     -Je m'appelle Inga. Ainsi maman m'a nomm;e en l'honneur une gymnaste ou patineuse, j'en ne sais pas exactement.
     -On t'a pu nommer Marie, ou Valentine, ou Svetlane et en prison m;me Nicolas, il y a telles choses dans la vie, je te raconterai plus tard. Donc donne-toi la peine d'apprendre ta propre essence! Pas l';tiquette qu'on a coll;e ; toi. Une sc;ne muette fut venue de suivre apr;s ces mots. Il avait regard; ; elle en face; elle s';tait perdue un peu, en t;chant de saisir le sens d'entendu.
     -Je suis ton monsieur, le ma;tre. Je suis ton professeur. Tu es sous mon pouvoir. Est-ce que tu as une envie que je te fesse de m;me comme je viens de te fesser il y a quinze minutes?
      Inga s';tait alarm;e, ses l;vres s';taient mises ; trembler; ses yeux s';taient mis ; fureter, et elle ;tait tomb;e ; genoux.
     -Tu es mon professeur! Tu es mon ma;tre! Je suis ton amie! Je suis ta grue de for;t! Je ferai pour toi tout. Fais envers moi tout que tu voudrais! Mais j'implore la gr;ce: pas avec tel mal, non ainsi cruellement! - elle avait bl;mi et les larmes s';taient mont;es sur les yeux.
     -Cela ne d;pend que de toi. Malgr; tout, je te fesserai chaque matin, mais doucement; pour la forme, pour tu n'oublieras pas ta place. Et tu m;me devras ; demander ;a de moi. Maintenant, descends le ravin vers ruisseau, te lave, puis tu apprendras le code de la conduite pour captive. Tu es donc ma captive ; pr;sent, il avait m;dit;.- Et peut-;tre un jour tu serais reconnaissante ; moi de tout ton coeur.
      Cette journ;e elle avait appris le code de captive qui eut ;t; tap; ; la machine et son tourmenteur ne l'avait pas touch;e plus ce jour. Et voil;, maintenant, elle fut debout devant lui, toute nue, en tournant son dos fouett;, et il comme un peintre examina le dessin z;br; sur sa belle chair, svelte et jeune.

Chapitre 2.

-Quelle tu es belle donc! Soit ton dos prend un peu de repos, mais quant ; cette espi;gle, ;videmment elle vient de s'ennuyer sans quelque chose et il faut un peu jouer avec elle,- dit il en pincant Inga doucement par beau milieu de la fesse droite.- Eh bien! Maintenant va sur rondin! C';tait leur chalet de n;cessit;. L'enl;veur pr;para de papier hygi;nique. Chier dut-elle sous les yeux de lui, en regardant en face, sans droit de d;tacher ces yeux. Ainsi il formait en elle la sinc;rit;, la franchise passant toutes les bornes. Elle dut ; d;couvrir toutes les parties de la chair, toutes les profondeurs de l';me qu'il est possible ; d;couvrir. Les moustiques se r;unirent peu ; peu, en sentant la prise gratuite. Deux d;j; la piqu;rent par ses trompes ; la hanche, plusieurs au dos, un en fesse, encore un ; la plus intime place en provoquant le prurit insupportable. Inga fit un effort et se vida d;finitivement. -J'ai achev;. Son je;lier, comme d'habitude, ne fit fi de rien, s'approcha d'elle avec papier et l'essuya soigneusement. Inga n'eut point d'envie ; s'habituer ; cela et rougit de honte. Il jeta le papier sur charbonni;re et alluma lui. En ob;issant ; la coutume de folie, Inga alla vers la rivi;re par sentier pratiqu; o; n'allait personne sauf les deux. Le malfaiteur suivit les traces d'elle. La rivi;re ruissele parall;lement d'un ruisseau se jetant dans elle avec l'eau glaciale de source. Ce ruisseau coula par fond d'un ravin profond et l;-haut se trouva leur tente. M;me dans la revi;re l'eau fut plus froide que dans l'autres rivi;res des alentours, car autour il y a beaucoup tels ruisseaux froids et les tous se jetent dans la m;me rivi;re. En ayant descendu la haute berge couvert par bois, Inga entra ; l'eau un peu plus que jusqu'aux genoux. L'enl;veur qui d'habitude n'est habill; toujours que slip de bain pendant telles actions, il entra derri;re, prit du savon, en ayant quitt;e la bo;te ; savon ; la berge. En ayant lav; un peu d;chet de celui-ci qu'il avait failli ; essuyer avec papier, ill enfon;a son m;dius savonn; ; l'anus d'Inga. Elle se tordit involontairement. Il est probable que cela ait ;t; bien agr;able pour elle, si la pens;e de l'autres gens ne la jeta au rouge de la honte. Il y eut dix journ;es elle par son intelligence n'avait appris que telle action puisse-t-il bien ; l'enflammer la volupt;. Maintenant elle d;couvrit que son tourmenteur, on dirait, ;tait ; cran dans tels instants, mais cela on pouvait ; expliquer que la fess;e s'approcha et elle avait appris d;s premiers jours, avec laquelle passion il la fouette. Il serait curieux de savoir pour elle, est-ce que c'est le m;me sadisme duquel elle n'avait entendu que d'une oreille auparavant? Ou le sadisme est quelque chose l'autre? Inga s'estimait comme une jeune fille qui est comp;tente d'une famille honn;te. Elle est circonspecte, elle ne se mettrait au pilori et ne mettrait des b;tises. Bien sur, d;j; elle n';tait pas une vierge, mais elle ne manquait pas de l'intelligence et de la malice ; ne faire pas une telle gaffe que quelqu'un apr;s "cela", en indiquant ; la d'un air moqueur par doigt, raconterait ; ses copains so;ls comment il aurait ;t; avec elle, de quoi il aurait fait avec elle et ainsi de suite. Comme tout le monde autour d'elle, elle ;tait ;lev;e sans Dieu, mais au lieu de Dieu elle avait l'opinion publique pour laquelle elle aurait pu ; sacrifier tout n'importe quoi, sans h;siter. Et si un culte d'un service ; l'opinion publique existerait-il (que Dieu pardonne moi comme l'auteur), nous aurions la Sainte-Inga parmi l'autres Saints. Mais dans cette for;t avec cette b;te sa propre opinion d'elle-m;me fut ;t; bris;e ; plate couture et le mod;le n;cessaire, tel ; qui elle aurait d; ;tre conforme, ce mod;le pour le moment n';tait pas d;termin;. L'inqui;tude rel;chant de sa vie, la peur de la douleur - maintenant elles se chang;rent au sentiment de ses propres infamie et mis;re, qui, il est possible, surgissent chez "tantes" viol;s r;cemment ; la prison. Pourtant, ; la diff;rente d'eux, elle avait la possibilit; ; cacher b;aucoup de choses ou les orner, alors l'opinion publique sur elle qui ;tait pu chanceler apr;s l'enl;vement d'elle, maintenant cette opinion pourrait revenir en ;quilibre de nouveau. Cela la ne consola qu'en partie, puisque maintenant elle dut ; jouer double jeu. Ce fut d;sagr;able, car ce fut inaccoutum; et d'une mani;re bl;mable aussi. -Est-ce que tu viens d'oublier?! Sept fois te plonger! Au J;richo les murs ;taient tomb;s de nombre "7",- r;p;ta-t-il sa phrase habituelle. Inga ob;it, elle se plongea sept fois ; l'eau froide jusqu'au cou. Ces sept "coups" du froid la mettaient hors de soi comme sept coups de fouet mais d'une autre fa;on. Sur J;richo elle n'avait entendu qu'il y avait eu un certain "tuyau de J;richo", et elle ne savait rien encore sur ces ;v;nements ;loign;s en temps. Elle se jugeait d;velopp;e. Encore elle habite Moscou, presque le centre, mais chaque jour cette b;te de for;t la surprenait avec sa ;rudition par comparaison de laquelle Inga se sentait comme une sauvagesse ill;ttr;e et il n'y avait qu'une seule consolation qu'elle-m;me n'est pas pire que tout de monde autour d'elle. Apr;s le bain elle se dirigea en haut. En arrivant ; la place convenue, elle s'arr;ta, se tourna vers lui et dit ; voix tremblante: -Monsieur professeur, il me faut fesser plus souvent, en me faisant mal, pour je serais une fille ob;issante. Fessez-moi s'il vous pla;t,- les mots derniers Inga pronon;a presqu'; voix bas et eut peur qu'il la punirait plus fort pour ;a. -Je vai satisfaire ta pri;re, grue de for;t, tu va recevoir quinze verges. -Quelle position faut-il prendre? -A genoux, ; quatre pattes, la t;te s'appuye sur sol, les mains tress;es en arri;re, pas s;parer! Ne mets-toi pas sur le flanc - autrement je recommencerai le compte. Le malfaiteur sortit les verges tremp;es dans une flaque de for;t en agitant ; l'air par eux. (Le mercredi et le vendredi une cravache de fil agitait). Inga fut d;j; pr;te et pensa en se taisant: -Il serait mieux, qu'il me mette, le toqu; mis;rable! Il caressa doucement la p;rin;e avec bout de la verge, tra;a entre les fesses jusqu'au dos et ne tra;na plus. La verge fendit l'air, une claque savoureuse... le silence... Deuxi;me... Troisi;me... -A;e!- Inga poussa un cri per;ant apr;s celle quatri;me. Maintenant ces "A;e!" altern;rent ils avec sanglots r;serv;s et devinrent plus longs vers bout de la fess;e. Au m;me bout de celle-ci elle se redressa sous l'ordre, en continuant ;tre debout ; genoux, puis elle remercia ; travers les larmes pour utilit; re;u. Puis elle se leva et poussa un soupir de soulagement avec joie - la souffrance eut pris fin. Ils se dirig;rent vers tente ; deux. Inga aida ; son ma;tre allumer le feu, pr;parer le d;ner, le th;. Le rite matinal de chaque jour fut fini. Maintenant on pourra se frotter par rem;de contre moustiques et se sentir sans souci. Malgr; qu'il ait pu la fesser de nouveau pour n'importe quelle faute fortuite, ces petites punitions, quoique donc eux-m;mes elle ne pouvait gu;re ; supporter sans hurlements et larmes, mais elles ne provoquaient pas telle peur panique. Inga ne fit que maintenant attention ; la beaut; sombre et s;v;re de la for;t de sapin et de bouleau, de la for;t qui est accident;e par ravins, pentes et c;t;s, la place de sorte non-typical pour r;gion de Moscou, et le ciel ; grand part couvert par couronnes des arbres, c'est il qui ;tait impr;gn; de l'azur riche, comme lav;, ; la diff;rence de celui-ci pr;s de grandes cit;s. Il y eut beaucoup de choses de quoi l';me se serait r;joui, mais Inga ne pouvait pas se donner la libert; de cela. On ne l'avais apprise personne qu'observer le monde pour ;tre de m;me comme toutes les gens, t;cher que ne se distinguer pas de l'autres. Les comptoirs livresques ;taient encombr;s par bavardage communistique et dithyrambes chant;s ; l'adresses de la "M;re-patrie", de Lenine et du Parti communiste. Il n';tait pas possible acheter la plus innocence litt;rature belles-lettres par rapport ; la politique, quoique un peu sens;e, libre de la propagande officielle. C';tait le d;ficit qui en ;tant vendu sous le manteau, co;tait dix fois plus cher de sa prix r;elle. Et d'o; pouvait cette pauvre jeune fille d'apprendre le conseil pr;cieux de Karnegui: "Si la vie a pr;par; un limon pour toi - fais de limonade de lui!". On n'en voit pas la couleur ni Karnegui, ni l'autres. On n'entend personne de lui. L'enl;veur ;nigmatique surveilla la jeune fille, en faisant semblant de s'occuper d'une affaire. -Retiens!- retenti sa voix. Inga jeta un regard.- Retiens! Il n'y a aucun crit;re objectif de l'attitude juste ; l';gard de la vie. Cette attitude, dont n'importe qui se sent heureux - elle est juste. Cette attitude ; l';gard de la vie, dont un ;tre humain se sent malheureus - elle n'est pas juste. Retiens cela! Je questionnerai. Tu as le droit n';tre pas d'accord, mais retiens! IL N'EST QUE L'ATTITUDE JUSTE A L'EGARD DE LA VIE TE FERA HEUREUSE. -Est-se que tu crois que je puisse ;tre heureuse ici? -En r;alit; tu ne peux ;tre heureuse que ici. Est-ce que tu retiens, je t'ai dit que tu ;tais mort depuis longtemps? Dans la vie que tu as v;cu, il n'y a point de bonheur. Telle vie n'est pas mieux que la mort. Regarde aux femmes qui ont quarante ans! Si tu passera leur chemin, tu arrivera l;-bas o; elles sont arriv;es. En effet, ; l';ge de quarante ans on peut aimer et ;tre aim; de meme comme ; l';ge de vingt. Mais elles se sont enterr;es d;ja. Elles ont renonc; ; tout. Ont renonc; ; tout en pronon;ant la phrase banale: "Nous n'avons besoin de rien" et m;me elles tentent de braver par cela. -Tout le monde vit comme ;a. -Elles ne vivent pas, elles mangent de la poubelle. Il ne faut pas discuter. Il faut essayer un, essayer l'autre. Ainsi t;t ou tard la v;rit; m;me se d;couvrira. Son ge;lier devenait de plus en plus causeur. Cette fois il se passionna jusqu'; tel degr;, si quelqu'un aurait apparu, de loin il aurait cru que ce soient des touristes avec magn;tophone qui ;coutent les chansons de Vysotsky. -Eh bien, ma belle. Nous nous mettons au travail. Quitte le maillot de bain et assieds-toi ; talons! Reste immobile pendant dix minutes! Puis les asanas d';tirement auront lieu. Inga ex;cuta les exercices irr;prochablement qui fut inattendu m;me pour lui. Au bout de l'ex;cution elle se coucha sur le dos, se d;tendit et dormit pendant deux minutes. Dans demi-heure il l'appela. -Hol;, fille! Voil;, un probl;me math;matique pour toi. Prends le stylo, le cahier, n;anmoins d'abord ;cris ce qu'il faut! En effet il fallut ; ;crire sept fois: "Sois studieuse, ; fille, pour on ne te fesserait pas!" Bien s;r, Inga r;ussissait ; l';tre assez studieuse pas chaque fois. Petites punition suivantes apr;s ses fautes toute de suite, maintenant elles provoquaient chez elle pas peur mais de quelque sorte aversion de la m;me intensit; comme n'importe quelles proc;dures m;dicales d;sagr;ables, quelque chose pareil ; la piq;re douloureuse ou au lavage d'une blessure ou ; l'autres choses pareiles. Lorsque la phrase rituelle fut achev;e, l'enl;veur toute de suite parla: -Toute attention ; moi! Nous avons un segment avec un point au beau milieu. Nommons ce point "un centre". Nommon le segment "une sph;re unidimentionnelle". Inga jeta un coup d';il ; lui. -Tu as envie ; se convaincre soit je viens de d;railler, soit non? D'abord, ;coute jusqu'; bout, puis r;sous, si tu n'a pas d'envie ;tre fess;e de nouveau, et seulement apr;s tout cela tu tireras une conclusion. Si j'aurais d;raill;, il n'aurait aucune de r;solution, mais j'en ai dans la poche, ;crit sur papier, achev;e, et quant ; toi, tu vas faire une d;couverte de celui qui ;tait d;couvert depuis longtemps. Ainsi, le volume-1 de la sph;re unidimentionnelle est ;gal 2R. Prenons une sph;re en deux dimensions - c'est le cercle. Le volume-2 de la sph;re en deux dimensions est ;gal...- Il regarda ; Inga interrogativement... -Pi R au carr; - c'est le volume-2, c'est-;-dire, l'aire d'un cercle,- Inga r;pondit volontiers, en s'engageant au jeu et en se rejouant de sa promptitude. Il voulut ; r;pondre avec l'ironie: "Grue, s'est tu qui est perspicace", mais il se reprit ; temps, en comprenant toute de suite qu'il ne faudrait pas assombrir son int;r;t s';veillant ; la math;matiques. -C'est juste! Et le volume-3, c'est-;-dire, le volume de la sph;re ordinaire est 4/3 pi R au cube. Voil;, grue, en math;matiques on peut agir ne seulement pas dans trois dimensions, mais dans quatre, cinq et plus celles, jusqu'; l'infini. C'est dans le monde physique o; nous ne savons pas les dimensions plus que trois, ne savons que tracer trois directions perpendiculaires r;ciproquement. En revanche dans la math;matiques on peut v;rifier tous les calculs des solides multidimensionnels. Tout co;ncide - cela signifie que la th;orie est valide. Maintenant, voil;: d;duis la formule du volume-4 de la sph;re ; quatre dimensions! Je te donne une demi-heure pour ;a. Inga s'inclina au cahier, en tira la feuille ;bauche, tourna la page pour ne voire pas ces mots: "pour on ne te fesserait pas" - il est assez possible qu'il se passerait comme ;a. Elle plongea au travail. Toute une demi-heure en s';mouvant comme ; l'examen, chercha-t-elle une r;gularit; parmi les trois formules connues de l';cole, mais ne r;ussit pas la trouver. Elle aper;ut que cet homme ;trange fut debout derri;re et regarda au brouillon o; le course de ses pens;es fut exprim; en processus de la recherche fi;vreuse. Inga se retourna. Son tourmenteur debout tint ; la main droite un morceau de papier o; il ;tait ;crit gros et joliment: V4=1/2 pi au carr; R ; la 4-;me puissance. -De quoi on t'apprenait ; l'institut? Tu as achev; donc un cours. Toutes vous ;tes arriv;es jusqu'aux ;quations diff;rentielles qui sont compliqu;es au bout et cela n'est que l'integration simple, pas compliqu;e. Eh bien, regarde: la longueur d'un segment est une somme int;grale des points, l'aire d'un cercle n'est que la somme int;grale des cordes parall;les, y compris le diam;tre; le volume d'une sph;re c'est la somme int;grale des cercles qui sont form;s d'intersection la sph;re avec plans parall;les, y compris le grand cercle. Et enfin, ma fille, le volume-4 d'une hypersphere ; quatre dimensions n'est que la somme int;grale des sph;res. Puis c'est les calculs qui ont lieu. Maintenant tu sais qu'il faut faire, tout de m;me je vais souffler. Il prit d'Inga le stylo, le cahier, fit tous les calculs n;cessaires qui eurent r;duit d;j; au r;sultat connu. -Que est-ce que tu a donc ; dire? -On me doit fesser,- et ajouta d'une voix basse: Comme il faut. -Je vais satisfaire ta pri;re, grue de for;t. -Quelle pose dois-je ; prendre? -Enl;ve le maillot de bain! Tu sera debout droite, les mains au del; de la t;te, on peut crier et sauter, il est d;fendu de s'accroupir et de s;parer les mains. Il est d;fendu de se pencher trop. Apporte les verges. Je te fou;tterai sur les hanches, par devant, dix fois. Inga se mit ; nu de nouveau. Elle eut envie de pleurer par d;pit de la stupidit; au cours de la solution du probl;me. On ne sait pourquoi elle ne sentit pas de la peur. Au lieu de celle-ci il y avait un sentiment d;sagr;able, le sentiment de quelqu'un qui est le dindon de la farce.

Chapitre 3. L'enl;veur ;nigmatique

En passant pour verges, un sujet s;duisant sur l';vasion vint chez elle ; la pens;e, n;anmoins elle ne pouvait point s'orienter, et son ge;lier avait assez de temps pour ;claircir cela. Le lendemain apr;s le rapt il l'avais fess;e doucement parce qu'il lui avait ordonn; ; cueillir des branches s;ches pour faire un feu cent m;tres ; l'ouest mais elle s'en ;tait all; ; l'orient au grand soleil ; midi. Au jour gris elle pouvait ; faire un cercle et arriver ; la m;me place et au soleil, si prendre une seule direction, on ne sait pas quelle distance aurait-il fallu ; marcher, il ;tait possible ; rester sans l'eau longtemps pendant il faisait chaud. Marcher le long de la rivi;re il n';tait possible qu'en aval et il aurait rattrap;e elle vite, et en amont il y avait un marais spacieux o; il ne pouvait pas se perdre mais perdre la chaussure ; la fondri;re et s';terniser. Inga ne savait pas o; ils se trouvaient. Elle avait ;t; en visite chez une amie qui s'appelle Tania au village laquelle cette amie habitait pour l';t; ; se reposer. Dans ce village-l; tous les habitants connaissent l'un l'autre, la campagne est relativement perdue et on n'a peur personne d'un intrus de loin. Alors, en se trouvant au bout de village oppos; de la maison habit;e par Tania et ses parents soudain elle avait eu besoin de pisser. Elle ;tait entr;e aux arbrisseaux, avait achev;e l'affaire et... tout ; coup quelqu'un avait jet;e la jarreti;re sur au cou. Une voix enrou;e avait prononc;: -Vas o; je te dirai! Sinon tu n'arrivera h;ler, tout d'un coup la corde se serrera et je t'entra;nera sans connaissance! La r;sistance est inutile malgr; tout! Tu sera donc plus mal! Ils ;taient all;s ; peu pres cinq minutes. Elle avait ;t; toute p;le, avec la corde au cou. Puis il la avait d;barrass;e de la corde. Inga s';tait retourn;e et avait vu devant elle un type inconnu, pas armoire ; glace mais endurant, aspect soign;, l';ge ind;terminable, quoique bien plus a;ne qu'elle-m;me. Ses yeux expressifs avaient rayonn;s de joie ; cause de la proie captur;e avec succ;s. -Maintenant, ;coute, grue! -Je ne suis pas ta grue! -Il s'agit de l'autre. Je te sais. Je sais quelle rue habite-tu ; Moscou. Il y a trois fen;tres dans votre appartement,- il avait pronon;;e sa adresse personnelle, o; travaillent ses parents, quand et qui se trouve chez soi. Il avait racont;s beaucoup de l'autres d;tails, m;me ce que la m;re l'avait fouett;e ; l';ge de quatorze ans en derni;re fois. -Et quoi d;sire-tu de moi?! - Inga avait essay; de passer ; l'offensive. -Il y a une bonne nouvelle et une mauvaise celle-ci. Bonne: je ne vais pas te tuer ou violer. -Merci, quand m;me, pour ;a. -Et voici la nouvelle mauvaise: je t'enl;ve! D;sormais, tu est sous mon pouvoir, tu est sous les ordres de moi au total. Je voudrai - je te forcerai ramper ; quatre pattes toute nue dix kilom;tres, et t'en ex;cuteras. -Plus souvent! Est-ce que te veux de pine? La main d'inconnu dangereux avait fait un mouvement rapide comme l';claire. Il y avait eu un coup de sifflet. Inga avait tressailli et ;tait arriv;e ; penser: "Ah, quelle sotte suis-je que je viens de mettre lui hors de soi! Il est donc un psychopathe, il va me tuer!" Quelque chose avait ceint la cuisse gauche, en sifflant, et l'avait piqu;e au travers fuseau. La douleur ;tait devenue de plus en plus fort et toute de suite il y avait eu encore une claque. Inga s';tait cramponn;e par main le point sensible et l'avait frott; en sifflant de douleur. Elle eut appris toute de suite que cela ;tait la fess;e, pas un attentat ; la vie d'elle. Il l'avait cingl;e encore quand elle avait commenc; ; s'accroupir: une fois sur fesses, un fois sur dos. Inga avait hurl; et saut;, les yeux grand ouverts. L'inconnu l'avait empoign;e ferme par la main, en disant: -Maintenant, je te n'ordonne pas ramper ; quatre pattes; nous allons ; pi;d car tu est devenu s;dentaire, bedonneras et perdras la beaut;, et tu est belle grue, quoique de canaille comme toutes les autres; mais chez moi tu sera comme un agneau. Toute de suite je vais enl;ver ton fuseau, je viens d;j; de te donne cinq coups de fouet, le reste est quatre-vingt quinze, hein? -Ne fais pas comme ;a! C'est donc mal. S-s-s,- avait siffl; la jeune fille, en ;tant pr;te ; se soumettre et en frottant le dos par la main libre. Il lui avait mis un bandeau noir sur les yeux, pour elle n'aura pas vu o; on va et il l'avait men;e longtemps, en la pr;venant avec soin des mottes, des petites fosses, des branches se dirigeant en face. Ils ;taient all;s ; pi;d pendant deux heures, puis le bandeau ;tait enl;v;. Le ciel ;tait devenu couvert mais sans pluie. L'enl;veur v;rifiait souvent la dir;ction ; la boussole en ordonnant lui ; tourner le dos chaque fois. Ils allaient tr;s longtemps et ;taient arriv;s ; la destination le troisi;me jour. Deux nuits ils couchaient ; la belle ;toile. Plusieurs fois encore il lui mettait le bandeau sur les yeux et il semblait trois fois d'eux traversaient-ils des certaines routes. Bien s;r ils s';taient all;s ; peu pr;s cinquante kilom;tres et assez possible que maintenant il e;t fallu revenir ; Moscou par un autre chemin de fer, pas par celui-ci. On peut autant qu'il est possible ; ratisser la for;t alentours - tout serait en vain. Et quand on s'apercevrait de l'absence d'elle et apprendrait qu'il n'y a qu'un enl;vement a lieu - ce cerait tr;s tard: il n'y a pas de chien qui serait capable ; suivre les traces. -Quel fouinard!- pensa la jeune fille.- Comme il m'a prise ; l'improviste! Dans le village o; les bruits r;pandent instantan;ment partout, personne n'avait pas aper;u d'homme suspect qui la guettait sans faute plusieurs jours, peut-;tre plusieurs semaines. Pour le moment Inga commen;ait ; comprendre du bout de la conscience que le proverbe "La connaissance est la force" n'est pas un son creux. En ;tant ; la territoire de l'Etat puissant qui avec cela aime s'ing;rer dans toutes les affaires jusqu'; l'adult;re et l';ducation des enfants en esprit du marxisme-l;ninisme, maintenant elle se trouve ; l'un autre ";tat" compl;tement, o; il n'est que deux personnes: il - le ma;tre, et elle - l'esclave, laquelle qui est une fille adulte, il la fouette toujours et il l'a fait se soumettre comme une petite fillette. C'est bien qu'il n'a... Mais qu'est-il arriv; ; elle? Une vague agr;able fit un tour ; bas au bas-ventre. Inga serpenta par les hanches et tout ; coup se ressaisit. En revenant et en tendant les verges ; son bourreau, elle pronon;a en premi;re fois de tout son c;ur sinc;rement: -Fouette-moi s;v;rement. En fait il me faut fesser vertement,- et elle ajouta ; soi-m;me mentalement: "Pour je ne voudrais pas ; baiser avec ce fou!" En se tenant droit elle mit les main au del; de la t;te et ferma les yeux. Le sifflement retentit et la verge en frappant par milieu sur cuisse droite, s'enfon;a ; celle-ci gauche. Les claques suivirent l'un apr;s l'autre. Inga ouvrit les yeux qui bient;t, on dirait, virent des ;toiles en plain midi, puis elle commen;a ; bondir comme un jouet m;canique. Quand la fess;e finit, elle se pencha, en frottant les ;raillures, se serrant, g;missant. Il n'y eut pas des larmes. Puis elle revint ; soi, se mit ; genoux et dit comme d'habitude: -Merci pour la le;on, mon ma;tre! Il caressa ces cheveux, joua un peu avec les oreilles. -Est-ce que tu a oubli; qu'il y a une le;on encore aujourd'hui, c'est l'autoflagellation. Ah, comme elle d;testait ces le;ons! Il l'accoutumait ; se fouetter comme une religieuse medievale. Il exigeait trois claques du fouet en tout mais il exigeait ceux sans aucun bousillage. Il ;tait d'usage de dix claques pour une pas assez rude celle-ci et encore il pouvait ; fouetter plus douloureusement que la m;re avec sa corde ; sauter. -Aujourd'hui tu te fustigeras sur la cuisse droite. Voil;, tiens!- Il tendit ; la jeune fille le m;me fouet de fil ;lectrique. Inga prit l'outil de la torture ; la main droite et ;carta les jambes largement. La maudite vague agr;able passa ; travers d'elle de nouveau. "Non! Pour cela non!" Elle se cingla ; tour de bras que la milieu du fil effleura par devant et le bout, en ayant ceint la hanche, s'enfon;a derri;re. Toute de suite elle se cingla ; tour de bras en deuxi;me fois et elle laissa echapper un long "A-ah" presque tout bas. Elle a eu le courage de se frapper en troisi;me fois. Apr;s cela la face de la jeune fille rougit de douleur et les larmes suint;rent des yeux. -Tu est une gaillarde courageuse, grue! Tiens compte que ce n'est que la chair qui sent de la douleur! Cela ne te regarde point ; toi-m;me. C'est difficilement ; t'expliquer par les paroles, tu en apprendra par l'exp;rience. Seulement un exemple. La douleur t';crase comme une charge lourde et tu t;che la de vaincre par ses propres forces, n;anmoins tu n'a pas assez d'eux. On ne joue pas avec douleur le jeu "qui l'emportera par le poids". On en se va. Voil; les questions clefs qu'il faut se demander: 1. Qu'est-ce que c'est la douleur? 2. Comment elle me regarde? -Comment tu m'a fouett;e pour l';vasion - toute la th;orie aurait ;t; inutilisable au total. -Tu l'as bien voulu, gosse polissonne! J'ai un pressentiment que nous jouerons encore aux "glapissements et sautillements",- pronon;a-t-il et ne put pas ; cacher son transport.- Tu as de l'envie ; vaincre toutes les difficult;s ; la fois. J'ai introduit les le;on de l'autoflagellation justement pour tu commencerais de simples choses. On n'apprend pas livres de dixi;me classe en premier an de l';tude. Mais parfois on peut ; transformer la douleur ; la joie. Bien s;r, cela d;pend de l'individualit;. La douleur peut avoir certaine multitude des nuances aussi ainsi que les couleurs, les sons, les odeurs ont ceux-ci. Est-ce que tu as remarqu; que la douleur est diff;rente, par exemple, celle-ci de la verge et celle-ci de la corde ; sauter? -En fait, la douleur est diff;rente de la corde ; sauter de maman, du ceinturon de papa, n;anmoins on me fessait rarement. Cela n'y avait lieu qu'en cas hors ligne. -Cela n';tait pas mal qu'on te fessait rarement. Mais le mal est qu'on te cessait ; fesser t;t. Quoique qui sait? Peut-;tre ;a va pour le mieux. On ne doit punir que celui-l; qui peut enseigner ; quelque chose. N;anmoins je ne viens pas d'achever sur la r;action diff;rente envers la douleur, jusqu'; la joie. Est-ce que tu sais que les flagellants espagnols se balafraient par fouets jusqu'au sang en passant dans la rue et lorsque des jeunes filles passaient au-devant d'eux, ils t;chaient de plusieurs gouttes du sang seraient tomb;s sur les filles? Et les spartiates filles, on les fessait non seulement pour punition, mais de plus d;velopper la sensualit; aussi et parfois pendant la fess;e elles avaient plusieurs orgasmes. Inga ;carquillait les yeux de plus en plus d';tonnement, en regardant au narrateur bizarre. -Encore j'ai entendu, je ne sais pas, est-ce la v;rit; ou non, qu'anciennement certaines gens eussent fait cela pour r;ussir dans n'importe quelle affaire, elles avaient embouch; un ma;tre exp;riment; ; la fustigation, c'est-;-dire, un ma;tre de cette affaire; puis elles avaient d;shabill;e compl;tement et s';taient donn;es ; lier et avaient cri; de la douleur comme tu as cri; l'autre fois et apr;s cela elles avaient remerci; et m;me pay; l'argent. N;anmoins je ne sais pas de quoi ;tait plus dans cette chose: de la superstition ou en fait, d'une v;rit; mystique. Bien s;r, tu estime que je sois un psychopathe polard de la flagellation. N;anmoins, on ne sait pas de quoi tu sera polarde lorsque tu deviendras soi-m;me. -Je veux ;tre comme tout le monde normal. -Mais alors tu serais malheureuse. La soci;t; humaine r;elle n'est pas compatible avec bonheur. Jean Jacque Rousseau ;tait juste que l'homme est malheureux dans la soci;t;. "Je me h;te de gagner ; grands pas la campagne; sit;t que je vois la verdure, je commence ; respirer. Faut-il s';tonner que j'aime la solitude! Je ne vois qu'animosit; sur les visages des hommes, et la nature me rit toujours". Cela il avait ;crit dans son livre dernier "Les r;veries du promeneur solitaire". Et ce grand homme avait eu une envie d';difier une soci;t; heureuse sur la Terre - voil;, de quoi est sa faute tragique. En fait on trouve que les m;mes notions "le bonheur" et "la soci;t;" sont incompatibles. -Puis-je m'asseoir sur la souche car je suis fatigu;e. -Assieds-toi, ma belle, j'en te permets. Seul maintenant il remarqua qu'elle bien passionna de la conversation avec lui que non seulement elle oublia ; v;tir le maillot de bain, mais encore elle continua ; tenir le fil ;lectrique dans la main. Elle s'assit par fesses vraiment nues sur la souche rugueuse. On piqua dans certaines places apr;s la fess;e d'aujourd'hui. (Apr;s cette terrible fess;e-l; pour l';vasion Inga n'avait pu s'asseoir ni au-m;me jour, ni le lendemain). -De quoi viens-je de parler toute de suite? Inga t;cha de se rappeler en ayant peur. -Donne-moi la cravache! Inga ob;it et se rappela toute de suite. -Tu viens de parler que le bonheur et la soci;t; sont incompatibles. Son tourmenteur enroula le fil ;lectrique et l'accrocha vers cache-sexe par une borne speciale. -Je ne te fais croire pas par la force en cela. Ne fais que retenir: il existe telle opinion aussi. Je suis d'accord avec cette opinion et toi, tu pourras se persuader par ta propre exp;rience de suis-je juste ou non. Mais je ne te conseille pas de tra;ner en longueur avec l'exp;rimentation: alors ta vie pourrait se trouver pass;e en vain. -Mais comment peut-il ;tre le bonheur dans la solitude? Ce n'est pas possible. -Le pouvoir sovi;tique a intimid;s tous vous soit-disant un seul homme n'est que rien. Il faut ;tre atteint de beaucoup des v;rit;s et on peut les prouver en paroles pas toujours. Mais il arrive... que les partisans des m;mes id;es trouvent l'un l'autre, o; beaucoup des choses co;ncident dans leur points de vue, dans leur penchants autant que c'est possible. L'histoire de l'humanit; connait telles grandes unions. Puis il apparait une envie d';largir le cercle. D'abord ils re;oivent les novices avec pr;caution, c'est-;-dire, en outrant son jeu; puis au contraire, en jouant son role pas jusqu'au bout, en recevant a la communaut; n'importe qui, et on va, on roule: les d;lateurs, les l;che-bottes, etc. Et enfin la grande union se transforme ; la soci;t; banale; et la soci;t; n'est que le troupeau humain comme Rousseau avait ;crit un fois. S'efforcer de cr;er la soci;t; heureuse, c'est la m;me chose que s'efforcer d';chauffer dehors en hiver o; en fait, il faut ;chauffer la maison et fermer les portes solidement. D'ailleurs, tu viens d';tre fatigu;e, c'est trop ; la fois. Autrement l'information viendrait ; travers une oreille et disparaitrait ; travers l'autre,- en disant il encore tapota les oreilles d'elle.- A propos, ma belle, il sera mercr;di demain et je te fouetterai par le fil ;lectrique, conform;ment au "Code de la conduite pour captive". Bon courage, grue!- le tourmenteur sourit gaiement. Et Inga s'excita assise sur le souche. Elle ne put pas se d;livrer des sentiments agr;ables qui eurent inspir;s par toutes les choses autour d'elle: et la souche rugueuse, et le grand air de la for;t, rafra;chant sa chair de la fra;cheur plaisante car le soleil vient de se cacher toute de suite au del; d'un nuage, et la voix de cet inconnu original qui en premi;re fois eut parl; avec elle si longtemps, et la part de sa chair, bien excit;e sur le slip. Soudain, elle eut l'envie de se donner ; lui, d';tre ; califourchon, empal;e. Et advienne que pourra! Ou s'agenouiller et se donner ; lui de m;me comme elle s'a donn;e ; ses verges aujoud'hui, en s'appuyant avec la t;te sur l'herbe et crier du bonheur de m;me comme elle eut cri; de la douleur. Est-ce que le bonheur existe dans la vie terrestre? Mais qu'est-ce que dira le monde?! Mon Dieu! Elle est chang;e ; un tel point qu'elle est assise sur le souche toute nue, m;me a oubli; mettre le maillot de bain et elle est assise devant le moujik bien excit; qui n'est habill; qu'en cache-sexe! Inga sauta debout et commen;a mettre le maillot de bain. L'enl;veur l'observa. Elle s'assit sur le souche de nouveau. L'envie s'en allait. Si quelqu'un vient de voir cela! Tous les deux faudrait-il enfermer ; la maison de dingues - et on agirait comme ;a. Mais ce que c';tait si bien! -La soci;t; et la bonheur sont incompatibles,- Inga laissa ;chapper tristement d'un air pensif et une larme roula des yeux en bas qu'elle essuya vite par paume et s'accusa en esprit pour sentimentalit; qu'elle n'avait pas jadis. -Il est possible que tu commence ; comprendre quelque chose,- il se d;tourna en frottant le slip par devant. Sa prisonni;re ce remarqua et la vague de la volupt; fit un tour ; travers son corps, surtout ; la part basse de la colonne vert;brale de nouveau. Soudain, il se tourna brusquement vers elle en regardant fixement en face, le transport dans les yeux. -Tu es d;j; pr;te, et demain, apr;s le rite du matin je te d;couvrirai la grande V;rit; qui est d'actualit; de tous les temps, chez toutes les peuples.
Posted 13th May by Chatvert

Chapitre 4. 'L'enl;veur ;nigmatique'.

Demain le matin commen;a comme d'habitude, sans compter que la prisonni;re intrigu;e par le secret allant s'ouvrir, elle ne put pas s'endormir jusqu'; trois heures de matin. Elle se reveilla ; dix heures en dormant une heur moins qu'elle avait besoin de dormir ; l';ge ; vingt ans. N;anmoins, cela ne l'accabla rien, plut;t au contraire. Le matin sa curiosit; ternit un peu, en changeant pour agitation qui a lieu d'habitude chez enfants devant cabinet dentaire ou piq;re car aujourd'hui le rite matinal, comme on sait, alla durcir, conform;ment aux lubies du tourmenteur. Par ailleurs, elle avait assez de faire semblante une jeune fille irr;prochable, la nature demandait le tribut, et ; la tente elle eut laiss; d;j; aller toutes les fantaisies, et maintenant les images ;rotiques des positions diverses de la copulation avec l'inconnu myst;rieux entr;rent-elles dans les portes grand ouvertes de sa conscience, et parfois dans ces images on refl;tait telle choses qui n';taient pas venues et n'avaient pas pu venir ; l'esprit auparavant. Auparavant elle-m;me ne s';tait pas attendu telle d;pravation ; son avis maintenant.
      L'impossibilit; lire de sa pens;e par l'autres un peu consola Inga, n;anmoins, elle eut honte un peu, et elle se sentit comme un novice dans vol qui a p;n;tr; dans une maison d'autrui, tr;s s;re car elle n'est pas gard;e o; il y a bien duquel on peut profiter et le ma;tre de la maison s;journe dans un pays lointain. Dans cette prison verte o; elle s'est trouv;e par les caprices du destin, quelque chose revenait vers lui ; bon droit, cela qui ;tait ot; par le monde, mais Inga qui ;tait bien oppress;e par l'id;ologie de ce monde, en examinant cela r;troc;d; par la nature, cela qui devait appartenir d'elle avec juste raison, elle estimait comme objets vol;s par elle-m;me. A part tout cela, par hasard  elle se surprit qu'au lieu frisson de la peur devant punition relativement cruelle, elle ;prouva la curiosit;, dans laquelle position elle serait fouett;e aujourd'hui. Et elle remarqua encore qu'elle eut une envie d';tre debout devant lui comme c';tait hier, ; genoux, le cul haut et avec cela ;tre humili;e, pi;tin;e, viol;e par mani;res raffin;es. Encore une question alarma la obstin;ment: est-ce qu'une simple passion ecuma ; l'int;rieur ou elle devint fou?
      D'abord, le rite matinal passa comme d'habitude. mais lorsqu'il eut enfonc; l'index en elle dans l'ouverture interdite, elle se replia, en renversant la t;te en arri;re et poussa un cri voluptueux et long.
     -Qu'est-ce que tu as: le mal ou le plaisir. Je te rappele que tu doives ;tre franche avec moi.
     -Je viens d'avoir mal,- Inga mentit sans succ;s.
     -Tu mens, fillette de for;t!
      Inga apprit que la punition serait plus cruelle qu'elle attendait.
     -J'attends d'explication.
     -Je viens de mentir, ma;tre professeur. Fouette-moi pour ;a comme une ch;vre de plus qu'est ;tabli.
     -Je vais satisfaire ta demande, grue de for;t. Je vais ajouter encore dix ; quinze projet;s. Et ne me mens plus. Si tu a parl; la v;rit; - rien ne serait comme ;a. Je sais donc que c' est agr;able pour toi. Il te faudrait ajouter une vingtaine mais ces dix par-dessus, soit les seraient avec sursis, jusqu'aux blagues suivantes - alors tu recevra une trentaine. R;ponds-moi: quel ;ge avais-tu quand tu a perdue la virginit;?!
     -Quinze.
     -Qui a ;t; avec toi?
     -Un binoclard timide du voisin immeuble.
     -As-tu beaucoup aim; cela?
     -Je m'attendais ; mieux.
     -Dans laquelle position faisiez-vous l'amour?
     -Il ;tait sur moi. Rien plus. Graduellement nous nous d;sint;ressions r;ciproquement.
     -Je doute que c'est tout.
     -Il y avait un autre. Je lui aimais plus. Mais j'avais peur qu'il en ;bruite ; ses amis. Il est arriv; que j'ai appris sur lui telles choses... pas une, deux choses, et la divulgation chacune d'eux aurait ;t; envers lui de m;me que la mort.
     -En deux mots, qu'est-ce que c';tait?
     -Premier: non loin de nous on a d;pouill; un magasin d'objets manufactur;s, o; il participait. On a emprisonn;s trois d'eux. Les menntes (agents de la police-note d'auteur) croyaient que ce soit tous les complices, n;anmoins il ;tait le quatri;me. Simplement il a eu trop de la chance et c';tait un hasard. Les mennts ont tous faits c;der vite et en r;v;lant les trois, ont estim; que cela est assez et cessaient de forcer. Bien par hasard, ind;pendamment les uns des autres, tous les trois avaient l'intention de nommer son nom ; dernier tour. Petite part des objets vol;s est rest;e chez lui mais ; la police on croyait qu'ils vendent ; vil prix et mangent toutes les choses ; temps.
     -Et Deuxi;me?
     -Des canailles lui ont viol; pendant so;lerie ; l'autre bout de Moscou, ; Tchertanovo. Ici donc, parmi les racailles il fait un peu autorit;, et quoique personne n'a appris rien de cela mais il s'est pendu. Sa cousine lui a debarrass; de la corde ; temps, et alors il lui seule a racont; tout ;a, en d;clarant qu'il se tuerait malgr; tout. Elle conversait avec lui longtemps. A grand-peine elle a r;ussi ; lui inspirer qu'il tienne sa langue au chaud et alors tout ira bien et soit il-m;me t;che d'oublier tout et se souvenir de rien.
      Un jour, en se bourrant d'une sorte de comprim;s, elle en a ;bruit; et a ;t; pr;te ; ;bruiter ; l'autres mais je l'ai emp;ch;e. J'ai l'emmen;e chez elle, puis je s;journais chez eux jusqu'au l'aube, jusqu'; l'instant o; elle s'est endormie. A l'aube il est revenu de la rue et je me lui suis donn;e. Comme l'autres aux occasions pareilles il me jurait de l'amour jusqu'au tombeau, mais je l'ai averti que j'avais certaine information sur le magasin et quelque chose encore. Il me mena;ait de couteau, m;me en mettant le sous la gorge, mais j'ai dit qu'il me ne devait que l'un: ne bavarder pas sur notre liaison. Il m'a mise plus encore, et puis nous nous voyions longtemps, jusqu'; ce qu'on l'a saisi ; l'arm;e. Et cette nuit-l;, du samedi, apr;s que j'eus d;couch;, ; l'instant de retour, mon p;re avain l'intention de me fesser par corde ; sauter, d;j; en l';ge de dix-huit ans, mais la m;re m'a d;fendue en traitant lui de perverti et d'inceste. Puis ils ne parlaient plus quelques jours.
     -Dans laquelle position tu t'as donn;e ; ce deuxi;me gars?
     -Premi;re fois - de m;me,- Inga s'est troubl;e.
     -Et puis? Parle, grue!
      Inga rougit comme une ;crevisse bouillie et pronon;a ; voix rauque:
     -De m;me dans laquelle tu m'a fess;e le matin, hier.
     -Est-ce tout?- Son tourmenteur demanda s;v;rement.- Regarde me en face!
     -Encore, nous essayions, il ;tait couch; sur le dos et je suis assise sur lui, on dirait, ; cheval.- Inga rougit jusqu'aux oreilles.
     -En vain tu te tourmente comme ;a. Je salue les libert;s.- puis lentement, en articulant chaque mot, de m;me il aurait ;mis la nouvelle de l'agence t;l;graphique de l'Union Sovi;tique sur le commencement de la guerre nucl;aire, il ajouta:
     -VOUS N'ETES PAS LIBRE, SI VOUS N'ETES PAS LIBRE SEXUELLEMENT.
     -Toutefois. tu me d;sapprouve. Je me donnais au gars, en sauvant qu'il est un p;d;.
     -Je m'en fiche de ce qu'on lui a mis. C'est pis qu'il n'y a que deux circonvolutions dans son cerveau. Sa cousine, quoique elle est une psychopathe mais plus intelligente.- L'enl;veur sourit et ajouta une phrase peu connue de Poushkin des "Sc;nes du temps des chevaliers":
     -Eh bien. Son tour pour la chanson, son tour pour la potence. La cravache est avec et je te vais fesser ici,- ses yeux lanc;rent des ;clairs diaboliques.- N;anmoins, d'abord plonge-toi dans l'eau sept fois! Surtout en cet instant o; il est utile de te refroidir. Tiens, comme tu viens de rougir!
      Inga alla en rivi;re, fit de quoi il vient d'ordonner, puis monta le rivage. Pendant cela le malfaiteur lavait les mains.
     -Quelle pose dois-je prendre?
     -Tout comme hier: ; genoux, la t;te sur le sol, les mains en arri;re, fermer et pas s;parer, pas se mettre sur le flanc!
     -Je t'en prie, lie-moi! Et si je ne supporterai pas vingt-cinq par le fil ;lectrique?- Inga p;lit.
     -Accoutume-toi supporter! Si tu ne commences pas ;tudier quelque chose - tu n'en apprendras jamais. En se mettant en route, si tu ne fais pas les premiers pas - tu n'atteindra jamais ton but. Si tu tombes sur le flanc ou te prot;ges j'ajouterai les claques. Tu ne mourras pas de cela, ma belle, mais seras plus saine.
      Et quoi pit-elle ; faire contre ;a? En trouvant un terrain presque seul plan sur la pente escarp;e du rivage, la jeune fille nue prit la pose qui fut ordonn;e. Mais qui est arriv;? La peur se fut affaiblie, et au lieu d'elle un d;sir bien fou arriva, pour on entrerait en elle dans cette position.
      Le sifflement retentit soudain. Le bout de la houssine s'enfon;a bien entre deux fesses, non loin de l'entr;e interdite. L'onde voluptueuse qui l'envahi d'avant, et se fut curieusement, elle continua de coexister avec la douleur grossissant. A la deuxi;me fois, en ceignant les rotondit;s lascives, le bout de la houssine s'enfon;a aux confins de la hanche et de la fesse.
     -S-s-s,- Inga siffla. Et apr;s la claque troisi;me l'"a;e" tr;s long retentit et il fut impossible d';tablir la diff;rence entre ce cri et un cri voluptueux. La douleur l'excita. Elle eut envie de sauter et de tournoyer, en dansant une certaine danse sauvage. Il y en eut donc quelque chose attrayant, mais avec chaque nouvelle claque il devint de plus en plus insupportablement et la douleur remporta la victoire d;finitive; apr;s la dixi;me claque le premier "a;e!" ;clatant retentit. Apr;s quelques "a;e!" pareils encore la jeune fille entendit la voix de son bourreau:
     -C'est d;ja quinze et tout finirait, mais tu ne viens pas d';tre sins;re. La prochaine fois tu  ne m'oses plus mentir! Attrape, attrape! Tu ne m'oses plus mentir! Attrape, attrape!
      Apr;s la dix-neuvi;me claque Inga tressaillit en sanglotant, et les doigts serra avec toute la force car il y eut une envie tr;s forte d'empoigner les fesses tout fouett;es et en frotter. Toute rougie, elle mordra le sol avec l'herbe, et les larmes chaudes tomb;rent comme si il aurait plu.
     -C'est tout, grue. Tes souffrances ont pris fin. On peut s;parer les mains.
      Inga, en continuant d';tre ; genoux, s;para les mains, se redressa, en frottant les fesses fouett;es, puis elle essuya les larmes, cracha le sol avec l'herbe et poussa un soupir. Les mains continu;rent de tressaillir.
     -Merci pour lesson, ma;tre professeur! Puis-je me laver?
     -Pas puis; il faut.
      Inga descendra le rivage, lava le reste d'herbe et de sol pr;s de bouche, lava les yeux, poussa quelques soupirs et marcha ; pas rapide l;-haut. Son bourreau se joindra. La douleur per;ante se changea en fi;vre et picotement doux. Les cicatrices rouges, certaines fonc;es ;a et l;, elles avaient l'air bien marqu; et ornaient ; sa mani;re le chair assez belle et svelte de jeune fille. Inga fut forc;e de nouveau ; s';tonner de soi-m;me. Toute nue, fouett;e tout ; l'heure, elle eut de nouveau l'envie de se donner ; cette b;te et elle ne se sentait point humili;e ou malheureuse avec tout cela. Maintenant un entrain apparut aux yeux espi;gles qui n';tait jamais auparavant. Elle ;tait heureuse aussi de son enl;veur qui devenait plus causeur. Maintenant elle avait l'envie de bavarder avec lui le jour et la nuit.
     -Ma;tre professeur. Hier tu m'a promis d'ouvrir un certain grand secret,- Inga s'adressa ; lui avec animation.
     -Et est-ce que tu es pr;te ; ;couter?- Il jeta un regarde ; elle.- Quel c'est tr;s bien. Toute de suite on te vient de fesser, mais en regardant en face, je vois que tu es pleine d'optimisme. J'y approuve. N;anmoins, est-ce que tu puisses ;couter avec attention suffisante pour retenir, apprendre et n'oublier jamais?
     -J'esp;re,- r;pondit la jeune fille en souriant.
     -Tiens, tu as le droit d';tre d;saccorde avec l'opinion, je ne vais pas inspirer mes convictions ; ton joli cul par cravache, mais tu dois ; SAVOIR que telle mani;re de voir les choses existe et RETENIR le contenu. Ta obligation n'est pas d'approuver. Ta obligation est de retenir tout. Si tu ne retiens pas, je te fouetterai. Et tu sais le code de captive. Une affaire, ne s'acquiter pas d'une t;che difficile. L'autre affaire, ne comprendre pas ce qu'on a mach;e la besogne ; toi. Tu auras mal d'asseoir, cela sans faute. Toute l'attention ; moi, grue! - Tout ; coup son ton changea d'amical et de l;ger celui-ci en s;v;re et imp;rieux. Puis il ajouta plus doucement:
     -Assieds-toi sur la souche et ;coute.
      Elle s'assit. La souche rugueuse encore piqua les fesses nues et fouett;es. Quoique Inga ne se tourmenta pas pour la punition arriv;e r;cemment, n;anmoins elle n'avait pas l'envie en r;p;ter. Elle refl;ta une grande attention pour n';tre pas punie plus encore.
     -La part premi;re de cette grand v;rit;, elle consiste en quatre mots: LA PLUPART DE LA FOULE DE MONDE SONT STUPIDES. Qu'en dis-tu?
     -J'esp;re je ne serais pas punie si je parle sans d;tours. Est-ce que tu fasses une farce? Est-ce que ce soit un grand secret? Une fois j'ai entendu quelque chose pareil.
     -Tout de quoi il s'agit, cela n'est que la premi;re part qui une seule parle rien. Et voil; la deuxi;me: SELON LEUR PROPRE CHOIX. Maintenant les commentaires sont n;cessaires. C'est pourquoi il faut ;couter avec attention.
      Chaque personne est n;e comme un g;nie. Chacun dans quelque chose propre peut-il atteindre telles hauteurs qui sont comparables ; Newton ou ; Einstein. L;-bas, du premier regard il y a une contradiction: toutes les gens sont g;nies et toutes les gens sont idiots ; la fois. Tout est l;: la libert; est donn;e ; chaque personne: elle peut CHOISIR le chemin de g;nie ou le chemin d'idiot. Et enfin elle peut se jeter ; l'un chemin et ; l'autre ou aller longtemps selon le chemin d'idiot, puis se ressaisir et "en man;uvrant une aiguille" poser le pi;d sur le chemin de g;nie. En quoi y a-t-il l'essence du chemin de g;nie? CHERCHER, chercher ; l'interieur de soi-m;me un riche filon le rendement duquel serait in;puisable. Prends une radio pour exemple. Il gardera le silence jusqu'; l'instant o; on la r;gle ; certaine onde. On CHERCHE par manivelle du r;glement. Notre destination, sit;t apr;s nous entrons dans la phase de raison de la vie, ; commencer cette recherche. Le commencement de la recherche, c'est la m;me "p;nitence". Le mot de la Gr;ce ancienne qui ;tait traduit comme  "p;nitence", ce mot signifie litt;ralement "le changement de pens;e". Est-se que tu m';coute, grue? Si tu oublie quelque chose, je te fesserai.
     -Raconte! C'est int;ressant pour moi.
     -Si tu m';coute, en fait cela doit ;tre int;ressant. Puisque dans ces conditions sovi;tiques il n'y a pas de place o; tu aurais pu entendre cela. Aux m;mes pays libres la majorit; des gens vont selon le chemin d'idiot, et quoi attendrais-tu ici? Tout revient ; ce qu'on pousse violemment une personne vers la collectivit; dans ce pays, pourtant ; tout prix, en effet, quelqu'un profite trop de cela. M;me si une f;te co;ncide avec samedi ou dimanche, on ne donne pas la possibilit; ; user beaucoup des jours de repos ; la fois. On t;che de forcer tout le monde travailler ces jours suppl;mentaires, en payant ces jours ou en les reportant au cong;. Et comment autrement? .Un homme peut rester t;te ; t;te avec soi-m;me et MEDITER. Si il m;dite, il a bien chanse de DECOUVRIR quelque chose. Si quelqu'un commence penser par sa propre t;te, il tout d'un coup devient surpassant le monde environnant d'une t;te. Un homme, comment peut-il se d;velopper, comment peut il trouver son riche filon ou se r;gler ; certaine onde o; m;me chez les croyants la soci;t; habite en esprit ce lieu qui ne doit ;tre habit;e que par Dieu? Chacune sa d;marche il v;rifie par l'opinion social, chaque v;tille routini;re de la quotidiennet;. Quoique en esprit, si il s';carte d'un millim;tre du comportement g;n;ralement re;u - instantan;ment dans l'imagination la soci;t; ;clate: des tantes, des comm;res, des moujiks frappants lui en face, grondant et insultant lui par les mauvais mots...
     -Mais cela dans tout le monde comme ;a...
     -Comparons! Un Anglais parmi le monde, il peut jouer n'importe quel r;le, il observerait les r;gles g;n;ralement re;ues m;me mieux qu'un Slave. Mais le mieux ami peut ignorer, en quels termes il est avec sa femme: ils s'aiment ou ils vont divorcer. La soci;t; est stupide dans tout le monde, mail l;-bas il n'y a pas tel contr;le, il n'y a pas telle intervention dans la vie priv;e. Plut;t c'est une mani;re bl;mable ; fourrer son nez aux affaires d'autrui au lieu de s'occuper de ses propres probl;mes. L'isolement n'est pas estim; comme quelque chose r;pr;hensible. C'est pourquoi nous avons l;-bas la soci;t; qui est plus d;velopp;e sous tous les rapports, y compris dans la situation ;conomique. C'est pourquoi l;-bas la voie est fray;e pour ceux qui rendre compte de soi-m;me comme une individu fort.
      Quand tu faisais tes ;tudes ; l';cole, est-ce qu'il y avaient les occasions de la pers;cution quelqu'un seul?
     -Oui... je m'en souviens...
     -Les autres ;taient enseign;s par les grandes personnes: "Observe l'autres, sois comme tout le monde!" A quoi cela a ;t; ramen;? A ce que le droit d';tre soi m;me est tabouis;. Comment peut-on trouver le riche filon ; condition qu'il ne faut pas s';loigner de la place ordonn;e? Comment une radio peut-elle ;tre regl;e ; certaine onde ; condition qu'il est interdit ; tortiller la manivelle du r;glement? De ce fait nous avons une soci;t; repr;sentante l'attroupement des idiots. Un est estim; comme un intelligent, l'autre est estim; comme un sot, n;anmoins ne cherche pas le peuple intelligent parmi eux: il n'est pas l;. Retiens! Il ne te conseillerait personne jamais rien de sens;, et si tout ; coup leur conseil se  trouvera correct, ce serait un hasard tr;s rare, de m;me rare comme une grande somme de l'argent trouv;e sur la route accidentellement. Il n'y a qu'une personne aux conseils duquelle tu peus pr;tler l'oreille. Un seul homme sur toute la Terre.
      Inga sourit avec ironie et d;tacha les yeux ; c;t;. "Il a trop haute opinion de soi. Est-ce la m;galomanie?"
     -Regarde-moi en face, grue de for;t! Dans tout la plan;te Terre il n'y a qu'un seule personne dont il faut prendre au s;rieux ses conseils. Toute de suite tu viens de penser qui est ce personne et tu ne viens pas de deviner. CETTE PERSONNE EST TOI-MEME!
      Le beaut; nue, assise sur la souche fut bien saisie la bouche grande ouverte d';tonnement.

Chapitre 5. "L 'enl;veur ;nigmatique".

      -Ce n'est pas moi qui a invent; cela,- l';trange professeur poursuivait.-Deux sciences anciennes sont connues pendant plusieurs mill;naires, c'est elles qui confirment que la CONNAISSANCE DE TOUT ce cache ; l'interieur de notre substance. C'est la Divinit; qui est cach;e ; l'interieur de chacun de nous. Il ne faut que se souvenir d'Elle, ;ter tous les obstacles, se pr;parer accueillir la R;alit; en face et ;tre capable y supporter. Et c'est la soci;t; qui est le premier obstacle entravant la route. Tu est capable d;j; de faire quelque chose juste maintenant,-il ralentit le rythme de conversation.- Si tu ne ruses pas avec soi-m;me, tu distinguerais toujours et sans faute o; tu es heureuse d'o; t'en n'es pas.
     -Et si ce bonheur n'est pas normal, eh bien? Je parle franchement. Dans ta captivit; quelques fois je me sentais heureuse aux situations dans lesquelles un homme normal ne peut-il pas ;prouver un bonheur. Je me trouve sous ta domination, tu a la force, mais tu me demandais d'etre franche envers toi. Tu m'a asservi et j'en peux devenir folle. Chaque jour je me sens telles choses qui ne pouvaient venir a l'esprit autrefois. Si je raconterais cela a quelqu'un... En gros, je ne sais pas de quoi, ou bien de ce que tu me fesse chaque jour, ou bien de ce que tu m'influences ; l'une autre fa;on, toutefois je sens que bient;t en ;tant avec toi je deviendrai folle. Est-ce que ton but est de me faire folle? Pour je deviendrai folle, finie?
     -Je parierais ma propre vie que tu n'es pas menac;e d'une folie r;elle. Ce que tu commence ; d;couvrir ; l'interieur de l';me, cela y s;journait toujours. Tu n'en pourras jamais d;barrasser, par ailleurs tu ne pourras jamais acqu;rir ce que tu n'avais pas. Tu vivais dans l'obscurit; et pratiquement ne te connaissais point. Il ;tait interdit pour toi d'user de la lumi;re de ta propre connaissance, de la lumi;re de ta propre observation, de la lumi;re de ta propre compr;hension. Et voil;: mon choix a tomb; sur toi, et avec l'aide de moi tu viens de se trouver loin des gardiens de ton ignorance. En scrutant avec pr;caution, tout de m;me tu a os;e ;clairer craintivement avec l'aide de cette lumi;re sa propre essence et maintenant tu sais un peu plus de toi. Si tu ;claires plus fortement, tu apprendras de toi plus encore.
     -Et quoi si j'apprends ce qu'il serait mieux de ne savoir point? Si dans la profondeur de ma propre essence un d;sir s'ouvrira de tuer moi-m;me ou l'autres? Qu'est-ce que t'en me parles?
     -J'en ai quelque chose ; parler et j'attendais longtemps cette question. Ces occasions ont lieu tr;s rare, mais il ne faut pas, il ne les faut point ; retrancher du compte. Tu dois t'assimiler tout que je vais dire. Je m;me ne te donnerais si beaucoup de l'alimentation pour m;ditation ; la fois. N;anmoins, je vois que ton int;r;t vient de s'echauffer ainsi que tu n'a pas peur d';tre fess;e si tu oublierais quelque chose que je dise. Et si il y a l'int;r;t vif ; certain sujet, alors ce sujet serait mieux assimil;. Ainsi, ;coutes-moi avec attention!
      Il y a deux voies vers Dieu, c'est deux sciences anciennes: le Yoga et le Tantra. Ce n'est pas des r;ligions. Ce sont les sciences. Ce sont des th;ories qui fonctionnent bien. Un yogi peut ;tre soit un hindou ou un chr;tien, et musulman. On peut dire de m;me sur Tantra. Le but principal de chaque ;tre humain est l';claircissement. Les Hindous cela nomment le Samadhi et J;sus cela nommait la Naissance de nouveau. Jusqu'; ce que tu l'obtiendras, que n'importe quel bonheur soit arriv; chez toi, malgr; tout tu manquerais on ne sait pas quoi. Tu auras envie de quelque chose plus et attendras demain avec impatience. Si tu atteinds le Samadhi, tu serais heureuse dans n'importe quelles circonstances, m;me dans la solitude absolue, m;me dans l'enfer, ; vrai dire nulle part et rien ne soit un enfer envers ; toi.
      La plupart d'ayant atteint s'avancaient selon la voie du Tantra. Le Tantra pr;domine dans la doctrine de Christ, quoique il y a un peu de l'Yoga aussi. Le Tantra renseigne d'accepter le monde tel qu'il est, y compris soi m;me; il part de l';tat dans lequel la personne est. Ainsi le Tantra part du commencement, et l'Yoga part de la fin, c'est-;-dire, de l';tat dans lequel la personne s;journerait o; le voile d'un dernier obstacle serait enl;v;e. Ceux qui sont enclins ; tuer soi-m;me ou l'autres et non ;tant ; la station de guerre avec ces autres ; la fois, ils doivent suivre selon la voie de l'Yoga. Si ce fait est publi;, beaucoup de vies seraient sauv;es. Les maniaques tuant ne doivent pas suivre selon la voie du Tantra en recevant soi-m;me tel qu'il est. En suivant selon leur penchants, ils produiraient des probl;mes plus que r;solvent, et avec cela pour eux-m;mes en premier tour. N;anmoins, il serait mieux ; suivre selon la voie du Tantra pour tout l'autres. Il m;nera au but plus vite, malgr; que l'Yoga est attrayant pour la majorit; du peuple qui sont enclins ; satisfaire leur egos, mais cela est en dehors de notre sujet d'aujourd'hui.
      Sache donc assimiler l'essentiel! Jusqu'; ce que tu ne sois pas encline ; ruiner sans cause toi-m;me ou l'autres, tu est parfaite telle que tu es. Si tu suis avec plus concordance avec ta propre essence, alors tu serais plus parfaite et plus belle. Et l'opinion du monde ne doit pas t'int;resser plus que l'opinion des singes au parc zoologique. Hier tu a reconnu avec tristesse que le bonheur et la soci;t; ne sont pas compatibles. En quoi est le probl;me donc? Jette dehors la soci;t; comme on jete une petite pierre emp;chant ; marcher de la bottine!
     -Est-ce que tu proposes que je seule sois contre tout le monde? De m;me comme Tchatskiy? Est-ce que tu estimes que finalement je serais une triomphatrice?
     -Conform;ment ; la conception de Griboi;dov, Tchatskiy a dix-huit ans. N'avant pas de l'exp;rience de la vie, n'apprenant pas au total qu'il a l'affaire, on dirait, avec robots programm;s ; l'un certain comportement; il esp;re aussit;t qu'il leur donne une simple formule de la v;rit;, ils le ecout;raient toute de suite, et le monde se renverserait en bon sens; que de tout soit mis chacun ; sa place. Mais rien ne vient d'arriver et il est de;u. Il bien ne sait pas que cette tentative est condamn;e ; l';chec par avance. Il est ;crit donc ; l'Evangile: "ne jetez pas vos perles devant les pourceaux", mais il n'en vient pas de tenir compte. Faire changer d'avis de ce peuple est de m;me qu'on renseigne un chien ; parler langue humaine. Il vient de tenter, on dirait, de r;parer une machine d;traqu;e d;sesp;r;ment et le m;canisme dequelle n'est pas su. Non, cela n'est pas ; quoi je te renseigne. Je te renseigne que tu fasses ton affaire silencieusement et n'admettes pas des ;trangers au "sanctuaire" de la vie priv;e. Malheureusement, dans cette soci;t; g;teuse c'est l'usage parfois, quoique au figur;, ; faire irruption ; l'un chez-soi et fouiller au linge ou demander un rapport de la vie priv;e. La retenue est une s;dition. En ce cas il faut ;tre pr;te ; r;sistance qualifi;e et je t'en renseignerai.
      Tu as peur d'agir seule contre tout le monde? Il n'en pas besoin. N;anmoins, en cas de la pers;cution collective, il faut donc, avoir un contrepoison. Et retiens: la force humaine se trouve dans l'intellect. La plus grande chose qu'une forte main puisse faire, c'est ; casser un m;r de brique. Pendant quelques minutes un fort esprit peut d;truire une ville d'ennemi. Une vieille bossue et avec b;ton, si elle est dou;e de l'intelligence et si elle a une aigu; envie de vaincre, elle pourrait d;truire plusieurs dizaines des moujiks robustes, la fantaisie de lequels ne traverse pas certaines limites comme, par exemple, casser la gueule ; quelqu'un, venir avec racailles ou d;noncer aux flics, mais en fait il y a milles moyens de la lutte. Toute de suite je ne vais pas raconter en d;tail, nous apprendrons cela plus tard. Retiens le premier: si quelqu'un t'ourdit des intrigues - recueille l'information de lui! Accroche-toi ; n'importe quelles nouvelles car la plus innocente information tout ; coup peut devenir tr;s utile! Et certes, recherche les faibles lieux ; lui! Tu as donc un example dans la vie, ton deuxi;me mec-l;: tu as recueillie l'information de lui et tu es devenue plus forte. Si ;a va ; l'autre fa;on, peut-;tre tous le quartier aurait appris quelle tu es en faisant d'amour, comment tu fais ;a et en outre avec tous les d;tails.
      Tout ; coup Inga se rappela qu'elle eut oubli; de mettre le maillot de bain encore comme hier. Le premier ;lan fut ; se lever brusquement et en se couvrant courir jusqu'; la tente ;tant tout pr;s et s'habiller l;-bas, mais elle comprit ; temps que se soit stupidement maintenant et ce serait mieux qu'il admire l'elle. Elle se leva lentement en rapportant doucement: 'je vais m'habiller", se tourna harmonieusement, en brillant des traces de la fess;e et arriva ; la tente, mit le maillot de bain et apparut de nouveau.
     -Maintenant, ma belle, nous allons prendre du th;, et tu me vas raconter tout que tu viens d'assimiler. Je viens de te donner la mat;re pour ;tude plus qu'il soit assez.- Ils commenc;rent ; pr;parer du th;, ouvrirent le poisson en tomate de conserve et sortirent le pain. Le lait condens; qui ;tait eu en r;serve d;ja d'avant d'enl;vement d'Inga, il prenait fin car il ;tait un d;ficit.
     -Tu peux commencer toute de suite.
     Inga r;p;tait bri;vement que la plupart du peuple sont stupides selon leur propre choix, que chacun peut ;tre un grand homme ; condition qu'il trouve son "riche filon" ou en disant figur;ment ; l'autre fa;on, ; condition qu'il se r;gle ; certaine onde, qu'en URSS on tente de pousser violemment les gens vers la collectivit; pour les d;tourner de la recherche soi-m;me; elle se rappela donc encore que "si quelqu'un commence penser par sa propre t;te, il tout d'un coup devient surpassant le monde environnant d'une t;te", elle compara les pays anglophones et ceux-si slaves. Puis elle versa le th; fort en chopes et continuait de r;pondre la le;on. Elle r;p;ta qu'il soit mieux de ne consulter pas avec n'importe qui, puisque chacun peut trouver la "connaissance de tout" ; l'interieur de son ;me. En d;couvrant soi-m;me, une personne peut d;couvrir ce qu'elle ne savait pas de soi d'avant, mais elle en avait chez soi toujours, et si certaines tendances dangereuses pour soi-m;me ou pour l'autres sont d;couvertes, alors il serait n;cessaire d'aller selon la voie de l'Yoga, et il est mieux aller selon la voie du Tantra en toutes les autres occasions pour accepter et aimer soi-m;me qu'elle est, accepter le monde tel qu'il est. Et on ne satisfait pas pendant on n'a pas pass;e la voue jusqu'au bout o; on atteindra la condition de Samadhi, c'est-;-dire, de l';claircissement ou de la Naissance de nouveau. Et enfin, il faut jeter dehors la soci;t; pour ;tre heureuse, non s'armer contre lui, mais faire son affaire silencieusement. Ne permettre ; personne de fourrer son nez dans la vie priv;e, et si on va t'attaquer, il faut pr;parer la guerre: recueillir toute l'information qui tombe de l'adversaire, en accentuant sur la chose pricipale, c'est-;-dire, sur ces faibles, n;anmoins ;tre forte, au premier tour au d;triment de son intelligence.
     -Tu a oubli;e une chose: vous n';tes pas libre...
     -Si vous n';tes pas libre sexuellement- Inga r;pondit en pr;cipitant les mots.
     -Parfait! Si apr;s telle r;ponse il y a envie de te fesser, on ne trouverait pas de quoi.
     -Pourquoi pas au lieu de moi tu enl;verais un gaillard? C'est int;ressant qui de vous deux serait fess;?
      Inga pensa que toute de suite c'est les menaces qui suivraient, mais son ge;lier r;pondit en souriant:
     -Si j'ai envie de gaillards, je ferais donc comme ;a, mais d'abord je me mettrais en forme sportive bien convenable, n;anmoins heureusement pour toi ou, si tu veux, malheureusement, j'ai envie de filles?
     -Et sp;cialement ; faire leur mal.
     -Tu es juste et ce n'est pas tout. Mes fantaisies sont bien plus diverses, que tu sais.
     -Oui, sp;cialement le matin. Est-ce que tu aies r;fl;chi que par hasard les touristes ou les chasseurs aient pu passer? Et que j'aie pu ;tre telle mouvaise fille qui montrerait les traces de ta lubie sur la chair et demanderait leur aide?
     -Je ne t'a pas pr;venu ; l'une cause. Je sais ces lieus tr;s bien et je sais que maintenant ici ne va personne. Mais admettons l'incroyable que le miracle se serait donc produit et ils ont apparu. Si ils ne sont pas des b;tes, leur r;action serait comme ;a: "Copains, vous m;mes r;solvez vos probl;mes et ne nous m;lez pas!" C'est dans les villes o; il sont tels braves. Le plupart de ceux, lequels tu estimes pareils aux chevaliers, en fait ils ne sont que capables ; quatre ou ; cinq battre quelqu'un seul ; terre et non loin de flics. Et si la victime sort une arme, m;me une arme blanche, alors les "h;ros" pr;f;reraient de chercher le soutien chez flics et chez peuple, et encore en prouvant, l';cume ; la bouche, qu'ils concordent au total avec standards sovi;tiques. Mais si tes "sauveurs" passant ;taient des b;tes, les remords de conscience t'obc;deraient jusqu'; la fin de si;cle: je les tuerais, je sais comment faire cela, c'est un secret. Eh grue, il te faudrait m'aider les enterrer.
     -Mais tu suis tes penchants car tu n'as pas envie de tuer, n'est-ce pas? Est-ce maintenant il est temps ; se changer ; l'yogi?
     -Ne m;le pas les inclinations d'amour avec guerre. Un certain sage ; l'Est avait dit depuis longtemps que la guerre est une voie du tromperie. Mais les meurtres sont justifi;s ; la guerre aussi. En pr;sence des ennemies chez moi dispara;trait au total l'envie sexuelle et les jeux connect;s avec elle. Si tu ne tues pas, quelqu'un autre te tuera. Dans cette soi-disante "Terre Sainte" reposent dizaines millions cadavres de personnes tu;es par les Sovi;tiques. Parmi eux aurait pu se trouver moi, aurait pu te trouver toi, tes proches; personne n'est assur;. Ton deuxi;me mec a faillir se trouver parmi eux puisqu'il est arri;r;. Etre un intelligent ;tait d;fendu pour lui, sinon ses amis lui ne respecteraient plus; on lui a inspir; que ce soit tr;s terrible ;tre en solitude et se prom;ner ; sa guise comme un seul chat. Il est devenu comme tout le monde, peut-;tre du manque de courage, mais plus probablement de la surabondance de b;tise, est-ce que cela lui a sauv;? Il est, on dirait, "un h;ros". Il est capable de casser la gueule d'un passant inconnu pour tenir compagnie, de d;trousser un magasin sans n;cessit; absolue, de violer quelqu'un son pareil qui est arriv; d'un quartier ;loign; et enfin on lui a trait; de m;me. Cette soci;t; lui a d;form; moralement, la soci;t; qui est int;ress;e qu'il soit plus de brutes, qu'il soit plus des salauds so;ls, puisqu'il est plus l;g;rement ; gouverner les brutes et les salauds. Si la soci;t; se compose de peuple libre avec respect de soi, alors tout ces l;nines, stalines, molotovs et kaganovitches seraient pitoyables et risibles. Maintenant ils ne tuent pas carr;ment, quoique il a lieu comme ;a, mais rare. Ton connu qui a faillir se pendre, il est un exemple parfait. Soit on te dit comme un avertissement: tu as peur de s'opposer contre tout le monde, mais il a vecu comme tout le monde et aurait p;ri. C'est un cas heureux que la cousine lui a sauv;. Conclusion? Vivre comme tout le monde, ce n'est pas moins dangereux. Il faut vivre comme il te plaira et savoir se d;fendre et dans ce cas ne combattre que selon ses propres r;gles.
     -Tu as les r;ponses ; toute les questions. Tu me renseignes, fouettes, enseignes les le;ons d'autoflagellation, comme tu parles. Pourquoi ne pas si toi comme un professeur ; moi comme ; l'une ;coli;re, tu me montrerais un exemple sur toi-m;me. Je m'int;resse ; ta propre capabilit; de supporter la douleur.
     -No problem! Il y a longtemps que j'avais l'intention de te mettre cela en ;vidence et maintenant c'est ; propos comme jamais d'avance.
      Ce fut en premi;re fois: il enl;va le slip en pr;sence d'elle, en d;crochant du slip la cravache de fil ;lectrique. Inga vit de ses propres yeux comme il fut exit;. Elle examina la chair de l'inconnu avec une sourire de joie. Elle vit y compris ce qu'elle n'avait pas vu auparavant. La passion l'arr;ta la respiration. Il sembla que l'air de l'outil de torture ; la main augmenta cette passion.
     -Tu peux courir autour, regarder bien en face, bien au profil. Mais tiens-toi de la s;curit; car si tu t'attires sous la claque - ne f;che-toi pas contre moi,- tout cela il pronon;a ; voix basse comme un conspirateur. Ce fut possible que la passion l';touffa aussi.
      Le premier sifflement retentit. Inga regarda charm;e et ne crut pas ses yeux. Apr;s sixi;me son exitation fut neutralis;e de douleur, n;anmoins il continua de se flageller comme si de rien n';tait, m;me en comptant les claques ; mi-voix. Inga courut en arri;re de lui. Les cicatrices fra;ches devinrent vermeilles sur les fesses musculeuses et ces raies furent termin;es par gouttes du sang. Puis les ;gratignures neuves apparurent sur les cuisses et sur le dos. L'objet de l'attention fixe d'Inga acheva le compte jusqu'; trentaine.
     -Et puis la main commence ; bousiller. C'est possible que le corps rapporte lui une protestation, on ne sait pas ; quelle fa;on, et la main ob;it. Je te donne la cravache. Fouette-moi trente fois plus encore, et soit aucune claque fausse! Je vais v;rifier.
      Ce dr;le homme donna lui l'outil de torture et tourna le dos de nouveau.
     -Et comment tu vas ;tablir la diff;rence entre mes et tes traces?
     -Fouette-moi sur le dos plus haut que cette ligne soit,- il passa la main une ligne imaginaire, apr;s quoi s'accrocha ; l'une branche de bouleau, debout en face de lui.
      Aux premiers instants Inga t;chait de ne pas g;cher son travail, puis ;a la exita, n;anmoins elle avait peur de surpasser la mesure.
     -Et comment apprendre, qu'une claque n'est pas d;mesur;e?
     -Il ne faut pas que le sang soit ;tendu le long de toute une cicatrice, mais n';tre vu qu'au bout d'elle.- r;pondit enl;veur, en respirant p;niblement.
      Sa voix coptant les claques un peu changea, mais il-m;me supporta la fess;e jusqu'au bout tranquillement, seulement en se tordant un peu.
     -Est-ce que tu ne m'ailles pas venger? Je ne suis pas une coupable. C'est tu-m;me qui a ordonn; cela. D;sob;ir ; toi, c'est quelque chose co;teux.
      Elle s'approcha de lui par devant, en lui tendant la cravache, mais il debout, d;tournant du monde, l'expression de la joie aux yeux, et il fut vu que sa exitation sexuelle augmenta vite.
     -Venger? A toi? Je suis donc heureux que telle beaut; m'a fess;! Voil; nous venons de faire la connaissance encore plus intime.
      Inga sentit que d;tourner le regard ce soit au-dessus de ses forces. Elle sourit avec joie.
     -Il s'est trouv;, tu te plais qu'on te donne le fouet.
     -Cela t'aimes aussi. J'y ai remarqu; plus t;t que toi. Pour le moment tu ne t'es pas orient;e en soi-m;me, n;anmoins je m'oriente bien aux choses pareilles. Est-ce que tu m'oses mentir que deux journ;es derni;res tu prends la pose de punition avec grand plaisir? La douleur diminue ta passion qui apr;s revient plus forte. Donc, il devrait l';tre! J'ai de la chance! Dieu merci!- J'ai de la chance! Tu est telle que je suis, et ce n'est par hasard qu'on m'a l'attir; ; toi.
     -Je te vais dire franchement, tu aimes donc la franchise. Dans cette position j'avais une envie de me donner ; toi hier et aujourd'hui. N;anmoins cela ne signifie point que je sois de m;me d;traqu;e comme tu es.
     -Si tu n'aimes pas qu'on te donne le fouet, ; ce moment-l; tu n'aurais pas r;v; du sexe. Est-ce que tu croies que les masochiste ne crient pas de la douleur? En fait, la passion peut neutraliser au total la douleur, mais la ne peut qu'; l'instant de l'orgasme. V;rifions! Enl;ve ton maillot de bain, et je te donne une seule claque de fouet assez forte. Tu m;me vas voir, quoique tu viens de s'exciter, mais alors tu vas exciter plus fortement.
      Inga enl;va le maillot de bain et le jeta sur l'herbe, mais dans l'esprit elle eut les intentions enti;rement autres. Elle ecarta les rondeurs orn;es des cicatrices.
     -Tiens! Fouette! Pas la premi;re fois.
      Il lui donna une claque avec plaisir. Le sifflement connu et la douleur augmentant directement en milieu, pr;s de la fente s;parant les fesses. Inga sans g;ne saisit la main sur la zone touch;e, en frottant.
     -Eh bien! Observe-toi! Est-ce que ta passion est renfors;e, fillette?
     -Alors, plus vite! Fais ;a! Ne te g;ne pas!
     -Je ne me g;ne pas. Je veux ce qu'il soit de mieux.
     -Ne tortures pas toi et moi!
      Inga se tourna ; son amant prochain et vit ; ses propres yeux que l'excitation atteignit le maximum. Elle saisit la main sur le point crucial de la passion de lui et sentit qu'elle m;me finissait.
     -Voil;, joue avec! Ce cerait mieux que tu te calmes.
     -J'ai d;j; fini, n;anmoins ce n'est pas assez.
      La jeune fille tourna le dos ; lui et se pencha, en essayant d'introduire le p;nis ; ses entrailles br;lant d'impatience. Le dr;le homme lui donna un coup de fouet sur les reins.
     -Ne polissonnes pas, grue! Sinon tu sera fess;e cruellement.- Le p;nis fut pris de convulsions. Inga poss;d;e par la passion ne sentit guere le coup de fouet, et son partenaire finissait en respirant p;niblement, en se tordant.
     -Alors, pourquoi tu m'as enl;v;e? Pour torturer et bourrer le cr;ne par la philosophie d;lirante?
     -Bien s;r, tu ne sais pas qu'on puisse recevoir de cette affaire le d;lice ; dizaines fois plus grand. Si je te raconte toutes les d;tails ; la fois, ce ne serait pas int;ressant. Sache! Le grand amour existe! Et le grand bonheur existe dont tu n'as point r;v;. Pas seulement un court-circuit et la d;livrance de l';nergie superflue. Bient;t tu t'en aurais assez de tout cela; bient;t ce sera ennuyeux. Ceux deux types avec lesquels tu ;tais, ils ne pouvaient rien. Et tu ne savais pas donc soi-m;me jusqu'; la rencontre avec moi. M;me maintenant tu se connais pas jusqu';u bout. Attends un peu ; cueillir le fruit pendant il est vert! Soit il m;rit. Alors nous arrangerons la grande f;te sexuelle!
     -Je veux avec toi toute de suite. Il y a deux journ;es je m;ditais que je n'aurais jamais le courage de le dire comme ;a, et maintenant si quelqu'un entend cela, on me mettrait ; l'asile d'ali;n;s avec toi ensemble. Je le sais, n;anmoins je me laisse prendre ; n'importe quoi. Allons, je te vais fesser par osier, et alors t'en pourras encore: tu aimes donc cela. Ou tu me fesse! Par osier et non fortement. Ce va t'exciter et ; quoi bon dissimuler: moi aussi. Ce n'est pas que tu ;a demandes de la "grue de for;t" mais elle en demande de toi.
     -Mon apprentie me doit comprendre ; demi-mot, mais nous r;p;tons la m;me chose, et je sent qu'il faille t'expliquer le m;me jusqu'; l'infini. Ce n'est pas toi qui peut ressembler ; l'une chipie! Ou bien, soumets-toi! Ou bien je vais te fouetter plus fortement qu'il a ;t; le matin!
     -Fouette-moi!
     -Apporte le cordes! Je vais t'attacher ; l'arbre.
      Il vit ; sa grande surprise qu'Inga alla dans la tente humblement, sans dire. Les contradiction internes la divisaient. En ;tant troubl;e de la discussion, jusqu'; pr;sent elle ne se rendit compte, quelles ;preuves elle a attir;es sur soi-m;me. Y comprit Inga sentit qu'elle a certaine envie d';tre une victime, ;prouver les souffrances, la douleur jusqu'aux larmes, elle en commen;a trouver quelque chose sublime, inexplicable. Elle sut que bient;t regretterait cela, n;anmoins elle laissa aller devenir li;e, en sentant la joie.
     -Combien claques vas-tu donner ; moi?
     -Soixante-quinze claques te feraient contente, ma belle?
     -Alors, pour l';vasion, combien tu m'a donn;es.
     -Il y avait une centaine.
     -En ce cas tes soixante-quinze sont un rien.
     -On va voir.
      Le sifflement connu. La douleur connue.
     -Maintenant je vais souffrir,- pronon;a la jeune fille tout bas, en devenant s'enhardie.  .
       Elle s'imagina soi-m;me ; temps du moyen ;ge ; la place publique. La foule pousse des ho et des ha, certains plaignent, l'autres se r;jouissent de sa malheur, et un bourreau impitoyable au chaperon rouge, il la fouette selon toutes les r;gles. Elle g;mit doucement de douleur, se tord joliment, en augmentant certain nombres des admirateurs, des sympathisants, des gens extasi;es, ceux qui sont s;duits,ceux qui sont boulevers;es.
     -Ouille... ouille... ouille,- Inga g;mit d;j; en r;alit; qu'on entend ; peine.
      Le sexe s'alla, l'obsession s'allait, la douleur resta. Cela n'est pas dangereux, cela m;me n'est pas offensant, cela est p;nible, il faut tolerer. La jeune fille en s'effor;a, se tordit, la face rougit. La douleur devenait p;n;trante, impitoyable, insupportable. Le visage devenait baign; de larmes.
     - A;e! A;e! A;e! Ne fais plus ;a!- elle cria ; tue-t;te.
      "Oh, comme il est difficile de souffrir d;ment",- la pens;e traversa l'esprit.
     -Est-ce que tu vas ob;ir, grue?!
     -J'ai mal donc! Assez! A;e!- Toute en larmes.- A;e! Que fais-tu! Je n'en peux plus! J'ai ma-al!
     "Il ne passe pas fi;rement et joliment,- fusa une pens;e encore.- Je manque ; tolerer".
     -A-a-a-a!
      Il n'y a plus de sifflement. Est-il possible que ses souffrances ont pris fin?
     -A-a;e,- les cris et les hurlements changent ; g;missement ressemblant ; celui-ci pendant l'orgasme. Inga se tord de nouveau.
     -Quoique d;lie les mains!- elle parla ; voix suppliante. Voil; les main furent d;li;es. Il la regarda avec enthousiasme et douceur. Il la embrassa sur les yeux pleins de larmes, en disant:
     -Je te felicite! Tu a re;u ces tourmentes ; l'intention de l'Amour!

Chapitre 6. "L'enleveur ;nigmatique".

 Enfin Inga fut d;li;e enti;rement. Elle sentit la chaleur aux fesses. Elle passa la paume le long des places fouett;es. La peau-l; fut tr;s rugueuse. Elle jeta un coup d';il ; la paume. Un peu traces du sang y rest;rent.
     -Est-ce que tu y susses? Tu m'as fouett;e jusqu'au sang.
     -Il n'y a rien de terrible. La chair est capable de supporter beaucoup plus que tu as. C'est bien la charge plus nerveuse que celle-l; physique. Ton c;ur est sain, c'est pourquoi il n'y a rien de danger. Si tu ne viens pas d'avoir une envie d'ob;ir et se soumettre, on peut r;p;ter le m;me plus encore.
     -Vraiment, il n'y en aura pas besoin.
     -Et tu r;ussis, ma belle. L'autre fois comme tu criais! Et apr;s cela comme tu as pleur; nerveusement! Et comme joliment tu viens de se tenir cette fois! C'est dommage que je n'ai pas une cam;ra. Tu ne t'es ;gosill;e qu'avant la fin.
     -Puis-je entrais ; la tente me reposer?
     -Reposes-toi pendant deux heures. Puis nous pr;parerons le d;ner. Puis il faudra t';tudier. Nous avons peu de temps, mais j'ai l'envie de te renseigner beaucoup.
      En se couchant ; la tente, Inga flatta, palpa les traces des "adventures" d'aujourd'hui. Les attouchements provoqu;rent une faible douleur, mais cette douleur la r;jouit.
      "On vient de me punir. J';tais une fillette d;sob;issante et on vient de me fouetter si fortement que j'ai mal ; m'asseoir. Si je polissonne, on me fessera encore. Je viens de passer par de rudes ;preuves". Inga se sentit heureuse de telles pens;es. Il y eut encore quelque chose duquel Inga se sentit heureuse, s'est pourquoi un neuf monde s'ouvrit devant elle, le monde inconnu jadis qui en fait, coexistait avec elle toujours.
     -Oh;, mon ma;tre! Est-ce que je sois une d;traqu;e? Une masochiste?
     -Et quoi? Est-ce que tu as oubli;e la le;on? Tu es la plus exellente telle que tu es.
     -Je me souviens. Mais j'en doute un peu.
     -Tu accoutumeras.
     "Soit, soit,- Inga dit ; soi-m;me.- M;me si tu m';corches, je te violerai malgr; tout".
      Elle s'endormit avec ces pens;es pour quelque temps. Le sommeil de courte dur;e r;tablit ses forces vite. Inga fut heureuse. Elle se souvint avec quels d;senchantement et d;pit elle s';tait ;veill;e hier le matin. Et alors elle avait regrett; qu'elle s';tait ;veill;e. Maintenant elle regardait enti;rement ; l'autre fa;on ; l'univers qui fut apparu beaucoup plus grand et plus joli. En limitant sa locomotion dans l'espace, le myst;rieux inconnu, m;me le nom de lequel ne lui fut pas connu jusqu'; pr;sent, il lui avait ouverte la libert; plus grande incommensurablement, on dirait, un ;norme pays heureux, lequel maintenant elle va apprendre, fl;ner en jouissant de lui, selon ses excellentes all;es de paradis, en se r;signant ; payer p;riodiquement pour cela par la douleur, les hurlements et les larmes. Le jeu valait la chandelle.
      Lorsqu'ils eurent allum; le feu et pr;par;rent le d;ner, son enl;veur ;nigmatique et maintenant d;sir;, il s'adressa ; l'Inga:
     -Je dois te pr;venir d'avance. Quand tu reviendras ; la cit;, tu ne la reconna;tras pas. Bien s;r, ; condition que tu s'avances assez selon la voie de perfection. En revenant au monde auquel tu n'appartiens plus, tu verras que c'est une prison et tu prendras ses habitants et le m;me en haine. Tu auras envie de faire des extravagances et, si on peut s'exprimer comme ;a, tu contreviendras les r;gles de la s;curit; de la guerre contre la soci;t;. Alors, la soci;t; te brisera et te fera revenir ; la stalle ancienne. Dans la premi;re jeunesse je plusieurs fois perdais mes amis de cette fa;on. En ;tant enflamm;s de mon esprit de r;volte, ils faisaient des b;tises et s'attiraient des ennuis: certains ;taient plac;s ; l'asile d'ali;n;s par ses parents, l'autres ;taient emprisonn;s. En se remettant des ennuis, pas assez menus, ils me d;claraient que maintenant ils "grandissent", qu' ils devinssent "raisonnables", qu'ils "ne retombent plus en enfance". Ils me prenaient en haine, en estimant que je sois la seule cause de tous les ennuis qui sont tomb;s sur eux. Ils ne revenaient jamais plus sur la Voie, au moins, dans cette vie. Maintenant ils s';tiolent: les uns de l'eau de vie, les autres des maladies; c'est pourquoi il vient jusqu'; certaine part de leur subconscience, pr;cisement QUOI ils ont perdu. Je ne voudrais point que cela soit arriv; ; toi.
      Je te voudrais appr;ter justement conform;ment ; cette cause. Toute les ;tudes que nous pratiquions, ce n'est pas une de mes lubies. Tu seras oblig;e ; revenir au monde, auquel tu n'appartiens plus. Tu y s;journeras comme une ;claireuse dans l'arri;re d'ennemi. Tu seras oblig;e ; devenir une actrice, c'est-;-dire, ; jouer un r;le. Ce n'est pas difficilement, mais c'est plus difficilement avec cela de ne pas oublier que ce n'est qu'un r;le. Ton masque ne doit pas devenir ta face. C'est pourquoi d'abord il faut ;viter ; s;journer dans la soci;t; longtemps, m;me parmi les amies. Ou bien elles remarqueront quelque chose, ou bien tu commenceras ; descendre au niveau ancien. Il n'y a pas de voie en arri;re. Tu as re;u les connaissances et elles sont avec toi, tu ne peux plus rendre l'ignorance. N;anmoins sur la voie une halte est possible et telle halte rend une personne malheureuse, cela m;ne aux maladies graves et aux hasards fatals.
      Il faut t'apprendre ; lire dans les pens;es des personnes pr;sentes, ce n'est pas si difficilement comme il semble au premier regard. Retiens! Chaque face concorde avec certaines pens;es. Le peuple avec riche exp;rience de la vie, il peut en user. Outre cela, il existe une capabilit; mystique ; lire dans la pens;e, qu'on peut d;velopper par la m;ditation orientale.
      Il faut te savoir t'adapter au froid. Tu habites le pays froid et en cas du changement ; la clandestinit; il est pr;f;rable de se cacher ; la nature, ; la belle ;toile m;me en hiver. Chaque personne a le grand pouvoir de la r;sistance au froid, mais c'est rarement qu'on le d;veloppe.
     -A quoi bon le cacher? Je ne commets ni pillages, ni meurtres.
     -Peut-;tre t'estimes qu'en temps de Staline tous les fusill;s et les laiss;s moisir en prison fussent des pillards et des meurtriers? Il y avait beaucoup de philistins qui traitaient le peuple pers;cut; par les Sovi;tiques avec d;sapprobation, mais dans quelques mois ils m;mes se trouvaient ; leur place. Et si ; quelqu'un d'entre eux une pens;e ;tait venue ; l'esprit, sans attendre quand leur jour fatal viendrait, ;chapper ; la nature et y vivre toute l'ann;e - soit leur sort serait dur, toutefois bien mieux que celui-l; de prisonniers de Goulag. C'est leur propre l'idiotisme qui les a ruin;s; l'idiotisme qui est inh;rent ; la plupart du peuple. Et si aujourd'hui tu vis en bonne harmonie avec cet ;tat, n;anmoins la situation politique peut se changer pendant quelques semaines, quoique pour le moment elle change ; mieux. Quand un syst;me totalitaire fonctionne ; pleine puissance, seulement ta d;marche, ou une expression de ton visage, que n'aimaient pas un voisin so;l et son copain d'ivrognerie qui est un agent de KGB, cela peut causer de ta perte.
     -Oh, c'est ;a! Tu m'as enlev;e ; sauver de diff;rentes r;pressions du totalitarisme. Et quoi si je me trouve une ;coli;re incapable? Si je quitterai la Voie et vivrai comme tous les gens normaux?  -Ce ne serait pis que pour toi, et je garderai les m;moires agr;ables de toi. Je veux ; faire co;ncider l'agr;ment et l'utilit; ; la fois. Bien, l'utilit; dispara;tra mais l'agr;ment restera malgr; tout. Le Maure vient d'ex;cuter son affaire, et alors Dieu sait.
     -Est-ce que tu es un croyant?
     -Je ne crois pas. Je SAIS que Dieu existe. Une fortuite r;action chimique n'a pas pu engendrer la vie, bien ; former le code g;n;tique. La vie est cr;;e de la Vie sup;rieure Qui n'a aucune cause.
     -Est-ce que tu visites un ;glise? Te confesses les singularit;s sexuelles?
     -Tout d'abord, il n'est pas ;tabli ; se confesser ; chaque ;glise. Deuxi;mement, la foule qui va ; l';glise, c'est la m;me foule qui a crucifi; le Christ. Tous le texte de l'Evangile est mis contre la soci;t;, n;anmoins c'est la soci;t; qui a mis tout sens dessus dessous. Les premiers si;cles le Christianism avait ;t; pers;cut;. Et tout ; coup il est convenu pour tous le monde. Ce n'est pas un hasard. On avait besoin de si;cles que la foi v;ritable soit transform;e en son antipode. L'inquisition - c'est un germe du totalitarisme. Et il n'y a qu'un seul oppos; du totalitarisme, c'est le Christianism v;ritable.
     -Le Christianism, est-ce qu'il permette le sexe, d'autant plus, celui-ci qui n'est pas traditionnel?
     -Nous sommes encore des enfants, voil; nous jouons aux jeux infantiles. Malgr; que j'ai les connaissances beaucoup plus que tu as, mais pour le moment j'ai ne suis pas devenu un bouddha, c'est-;-dire, un Illumin;. Quand nous atteignons ce stade-l;, nous n'aurons plus besoin de ces jeux. C'est un enfant qui peut s'int;resser au jeu au morpion, mais pas un adulte. Il s'agit voil; o; g;t le li;vre! Dans le sexe une ;norme ;nergie est concentr;e. En quels cas il est plus probable qu'un chien se d;tache d'une cha;ne? Un ;tranger qui a p;n;tr; ; sa territoir - c'est en deuxi;me tour, et c'est donc une autre chienne qui provoquerait cela en premier tour. Un homme si son orientation sexuelle n'est pas destructive pour lui-m;me ou pour les autres, s'il d;savoue de ses inclinations pour n'importe quels biens ; l'avenir, et sp;cialement pourvu que le monde ne lui bl;me pas, tel homme n'est pas moins piteux et moins nul qu'un pleutre qui s'est ;chapp; o; on attaquait sa partenaire. Au cas dernier il a le droit moral ; tuer les attaquants, s'il ne les peut pas forcer se refuser ; l'agression ; l'autre fa;on. La soci;t; en transformant un homme en nullit; ; la fa;on de mettre des obstacles dans la plus charg;e d';nergie partie de la vie, apr;s cela elle peut manipuler de lui, en utilisant lui aux guerres criminelles et les autres buts ignobles.
     -Tu n'as pas peur de faire des erreurs et de se trouver en enfer?
     -Le paradis et l'enfer sont les ;tats de l';me, pas les espaces g;ographiques. M;me si le sort m;ne ; l'erreur, il serait mieux expier mes fautes que celles des autres. Si deux maux in;vitables sont devant toi, il faut choisir un d'eux. Je ferai mieux, si nous traversons une ville, un troupeau des idiots nous attaque et je commets un meurtre, que je commette celui-ci dans la guerre douteuse qui est d;cha;n;e par criminels haut plac;.
      Je te r;p;te: il faut apprendre beaucoup de choses: faire semblant d';tre une autre, en restant soi-m;me; lire dans la pens;e d'autrui, en cachant propres celles; se cacher dans l'environnement froid, savoir les mani;res de la neutralisation d'ennemis forts en n'importe quel sens, sp;cialement savoir trouver leurs points faibles. Parfois certaines choses assez innocentes au premier regard, ils peuvent servir comme une arme terrible aux mains d'un homme instruit.
      Que-ce que ferait un homme ordinaire, si quelqu'un essaye de fouler ses int;r;ts? S'il fait les tentatives de r;sistance, il agit inhabilement, perd et capitule avec d;shonneur. La faute principale: il tente d'organiser un groupe s'opposant, en exprimant ; l'autre mani;re, cr;er une soci;t;, mais la soci;t; est une hydre polyt;te et lourdaude. Il ne peut vaincre que sous un commandant g;nial en cas de la soumission ; celui-ci sans murmure, mais dans telles occasions il y a beaucoup de d;lateurs et aucune organisation. Un saboteur bien enseign;, il peut faire plus qu'un troupeau ; cent hommes.
     -Alors pourquoi tels individus toute-puissants ne sont pas utilis;s ; la guerre?
     -D'o; peut on les se procurer? Quel sera le co;t pour les enseigner? Et surtout: et s'il apprendra tout ;a et se tournera contre ceux qui l'enseign;rent?
     -Et quoi si j'en apprenant tout  je me tournerai contre toi?
     -D'abord tu as d;j; connu le go;t de la vraie libert;, et ; te tourner contre moi, ce serait de m;me que te retourner contre toi-m;me. Quoique il y a une tradition dans nos parages ; se nuire ; tout alentour, y compris ; soi-m;me. Il existe donc un proverbe: "Soit ma vache va crever, pourvu que celle-l; de mon voisin ne v;lera point" -N;anmoins tout ;a est une b;tise. Je te r;p;te encore: je serai consol; des choses agr;ables que j'ai re;ues de toi. Il ne tombera que les choses utiles, les choses agr;ables resteraient. Et alors, comme on chante dans une chanson connue: "Je ne t'oublierai jamais, je ne te verrai jamais" (ß òåáÿ íèêîãäà íå çàáóäó, ÿ òåáÿ íèêîãäà íå óâèæó). Deuxi;mement: ; propos de me nuire, d'abord trouve-moi! Supposes-tu que j'aie l'intention de s;journer ici dix ans avec toi?
     -Et quoi si la police te trouvera?
     -Ils ont de chances de me trouver un peu plus que tu les as, et si tu seras une bonne ;coli;re, ils les ont moins. D'accord, ils trouveraient la place de mon enregistrement du passeport, mais qui leur r;pondra, o; SUIS-JE? ;a y est, ma belle,- et il lui donna en jouant une claque de paume sonore et forte sur place o; la cravache s'est promen; recemment. Inga grima;a de douleur. D'ailleurs, je ne te conseille pas de polissonner aujourd'hui car ; l'occasion de quelque chose je te punirai sur les fesses de nouveau. Alors tu auras plus mal. Cela pas malsain, pas dangereusement, n;anmoins tu ne pourras nullement t'asseoir pendant deux jours. Inga s'imagina cette perspective avec horreur et s;rieusement d;cida en esprit de ne taquiner plus son pr;cepteur s;v;re.
       Cette journ;e ils ;tudiaient beaucoup, il l'enseignait ; marcher par for;t sans bruit, en indiquant ses fautes.
     - Tu n'as que commence tout juste ; marcher comme ;a, - parla son enleveur.- Et pour le moment ces jours je n'ai qu'indiqu; tes fautes, mais dans quelques jours je te punirai pour celles-l;. Retiens: dans la vie r;elle telle faute peut ;tre pareille ; mort.    
       Toutefois, il la cinglait par branche sur les cuisses quelques fois o; elle ne devinait pas ses intentions; ce fut une ;tude de lire dans la pens;e d'autrui. Le m;me jour il la commen;a ; l';clairer, comme il m;me dirait, dans la plus applicable en vie partie des math;matiques, c'est le calcul des probabilit;s. Devant le coucher du soleil elle lui avoua:
     -Je ne peux rien ; me faire, j'ai envie de toi. Mais tu m'as d;fendu cela. Tu parles que l'abstinence provisoire soit mieux pour tous les deux.
     -C'est vrai en fait. Si tu ne crois pas - on peut ne pas croire, n;anmoins tu dois m'ob;ir et il sera mieux que tu n'essaies pas ; r;sister ; moi. Tu n'en supporterais malgr; tout.
     -Mais je ne pourrai pas m'endormir.
     -Frotte-toi par cr;me contre les moustiques comme on y fait ; l'approche de la nuit, assois-toi sur les talons ; la position Vadjrasana! T;che de m;diter de rien pendant trois minutes!
       D'abord Inga se mit ; genoux, puis ;carta les talons et s'assit sur eux. Plusieurs fois son enleveur siffla par cravache en air pour faire peur, en disant:
     -J'ai dit: aucune penser!
      Trois minutes pass;rent.
     -Change de position en Virasana.
      Inga ;carta les pieds sans ;carter les genoux et s'assit sur le sol. Cela elle bien savait. Encore trois minutes pass;rent.
     -Et maintenant couche-toi sur le dos. Tu en as presque obtenu ces jours. Excellemment! Voil; enfin! Maintenant oublie tout! Concentre-toi au plexus solaire! C'est-;-dire ; chakra Manipoura.
      D'abord les sensations en jambes et en pieds n';taient pas agr;ables, mais dans deux minutes elles disparurent. Il a bien fallu se souvenir qu'elle est fouett;e fortement aujourd'hui. Derechef il devina trois fois qu'elle oubliait la concentration et siffla par cravache en air d'un air m;na;ant.
     -L;ve-toi! Maintenant t;che t'asseoir en position Siddhasana!
      Elle en obtint. Aujourd'hui, il ;tait bien bonne journ;e, ; l'exception de l';preuve difficile, laquelle la coquine avait provoqu;e le matin. Elle eut un peu mal en ;tant assise. Dans cinq minutes elle changea les jambes au commandement.
     -Maintenant va pour le petit besoin, habille-toi et endors-toi en position de cadavre, c'est Chavasana.
      Ainsi Inga fit tout: elle se coucha sur le dos, se d;tendit, s'en imaginant qu'elle entr;t toute nue dans un lac pur qui est entour; par les alentours pittoresques et toutes les parties de sa chair qui se trouvent sous l'eau, elles faiblissaient et dissolvaient. Bient;t elle s'endormit. Elle vit en r;ve une altitude effrayante d'o; on avait des chances de tomber. En ;tant debout l;, elle devait lancer en bas des pierres assez grosses mais, sans manquer ; mettre eux en branle aux mains avant de lancer. Cela la ;gayait trop. La gaiet; confondait avec frayeur de l'ab;me tellement proche et de beaucoup des chances de tomber du bord tellement ;troit. Il ne fut plus possible un sommeil avec telles ;motions orageuses, et Inga se r;veilla.
      Il n'eut personne pr;s d'elle. Inga devina que son pr;cepteur soit assis pr;s du feu dehors. Il ;tait tr;s sensible au r;veil d'elle et conform;ment au "code de captive" la nuit, pour ;viter une punition dure, elle lui devait rapporter qu'elle vient de se r;veiller. Elle rapporta et demanda la permission de sortir de la tente. Il l'en permit.
      Les couleurs incomparables, les sentiments incomparables de la nuit s'achevant de juin, tout cela s'ouvrirent devant elle. La douce fra;cheur caressante avec le silence de la for;t qui n'eut pas encore reveill;;, tout cela intensifi;rent l'impression. On en voulait quelque chose de plus.
     -Je n'entendais jamais, comment tu chantes.
     -Je n'en r;ussirai pas.
     -Pour savoir nager, - il parlait lentement et presque tout bas, - il faut entrer dans l'eau. Apprendre th;oriquement ; nager - c'est impossible. ; chanter - aussi. Je vais t'aider. Je vais commencer et tu vas se joindre ; chanter graduellement.
      Oh! Ñåla n';tait pas en vain qu'Inga lui comparait ; Vysotsky! "Êîãäà âîäà âñåìèðíîãî ïîòîïà..." (de russe: "Lorsque l'eau du d;luge universe...") - commen;a le pr;cepteur, en imitant assez heureusement le g;nie de chant qui s';tait all; ; jamais, il y eut non si longtemps. Ce chant rendit Inga d;finitivement ; certaines barri;res de la f;licit;, en traversant lesquelles, on peut ;clater en sanglots de bonheur. Quand on vint jusqu'au refrain, elle, en contenant ; peine les larmes de joie, se mit ; chanter, et il semblait, elle chanta en ajoutant toute sa propre essence ; cette chanson:
     -ß ïîëÿ-à âëþáëåííûì ïîñòåëþ-ó. Ïóñòü ïîþò âî ñíå è íàÿâó-ó..." (J';tendrai les champs pour les amoureux. Soit ils chantent en r;ve et en r;alit;...)
      Elle chanta le refrain jusqu'; bout et ne reconnut pas sa propre voix. Cette belle voix, gr;le et d'autre part forte voix de jeune fille, m;me un peu couvrant son partenaire du duo surgi spontan;ment, cette voix exprima tous les sentiments: et ceux qui sont contenus au sens des mots chant;s, et ceux que les mots ne peuvent pas exprimer, et ceux que le g;nial auteur ressentit, et ceux qui du f;erique paysage nocturne entr;rent dans l';me grand ouverte ; travers une porte interdite et autrefois ferm;e mais maintenant la porte grand ouverte en faisant enrager la soci;t;, et ces sentiments furent entr;s non comme des trouble-paix, mais comme ses amis bienvenus de lesquels sa jolie ;me si s'ennuyait; l';me qui si longtemps languissait enferm;e! Inga en chantant avec telle grande ferveur, elle bien ne pouvait fausser ni une seule note et avec souffler, car elle ne savait pas tous les mots, elle chanta cette chanson admirable jusqu'; bout.
     -Es-tu heureuse?- Il savait que la question est superflue, tout ;tait vu sans demander. Les larmes de joie roulaient en bas selon joues de la fille.
     -Oui! - r;pondit Inga tout bas, avec passion.
     -N;anmoins remarque! Toi et moi, nous n'avons rien fait. N'avons que chant;. Maintenant compare: le bonheur de l'abn;gation, le bonheur d'une certaine douleur, le bonheur de la volupt; sexuelle, le bonheur d'une jolie chanson ou d'une po;sie - tout cela comme les tableaux: un celui-ci d'une certaine couleur, un autre celui-l; - d'une autre. Et c'est une b;tise ; discuter, quelle couleur est mieux, quoique la foule stupide essaye de diviser le bonheur en pur et impur. Cette id;e n'est pas une neuve. Cette division en pure et impure ;tait r;fut;e par Tantra il y a cinq mille ans. Le Nouveau Testament a r;fut;e la m;me division aussi. Quand on a envie de pleurer de bonheur - cela est l';tat d'amour. Ce n'est pas d'une grande importance de quoi cet ;tat est provoqu;. ; l'instant pareil nous nous approchons vers Divinit; et nous devenons d;ment heureux.
      N;anmoins d'abord nous avons besoin d'une porte pour entrer en ;tat de l'amour. La porte peut ;tre toi. La porte peut ;tre une chanson. La porte peut ;tre cette nuit f;erique. Nous attribuons notre bonheur aux objets, comme si tout d;pendrait des circonstances ext;rieures qui nous fournissent ces objets. Nous pr;f;rons les objets humains et soit ils nous payeraient de retour. C'est notre enfance spirituelle. Quand nous cro;trons jusqu'; la maturit; spirituelle, nous sentirons, et en th;orie j'y bien sais au pr;sent, que nous puissions ;tre heureux, que nous puissions ;tre en ;tat d'amour, que nous puissions s'approcher de la Divinit; - et tout cela est possible sans aucune sorte d'objets - il suffit assez un seul "moi".
      Tu es heureuse si tu te trouves en l';tat d'amour, ;a ne fait rien, est-ce qu'on te paye de retour ou non. Tu es malheureuse-l; o; cet ;tat dispara;t, m;me si tu serais debout ce temps-l; sur la sc;ne et les admirateurs fanatiques te couvriraient de fleurs. Alexandre de Mac;doine et Napol;on conqu;raient le monde. On avait peur d'eux, on les saluait, on les applaudissait. Mais ils-m;mes s'estimaient malchanceux. Remarque! Ceux qui conqu;raient le monde, ils s'estimaient malchanceux. Et tout cela parce qu'ils ne savaient pas aimer. Ils ne savaient que faire la guerre.
     " Ïîòîìó ÷òî åñëè íå ëþáèë -
      Çíà÷èò òû íå æèë è íå äûøàë".
     (Parce que si tu n'aimais pas - ce donc que tu ne vivais pas et ne respirais pas),- son pr;cepteur chanta expressivement la derni;re ligne de la chanson qu'ils eurent chant;e r;cemment, puis il proposa:
     -Chantons encore!
     -D'accord! Quoi allons-nous chanter?
      Le pr;cepteur entonna une chanson qui ;tait ex;cut;e depuis longtemps par Mark Bernes "Si tu cesses d'aimer". Inga de m;me avec z;le de tout son c;ur chanta en se joignant ; lui. Apr;s avoir achev;e la chanson il la regarda bien en face et expliqua expressivement:
     -Dans ces deux chansons que nous avons chant;es aujourd'hui, il se trouve des r;ponses si pas ; toutes les questions mais ; tr;s nombreuse quantit; d'elles. Bien s;r, tu as entendues les auparavant?
     -Oui.
     -Est-ce que tu n'as pas remarqu; rien? Je le sais. Et le Tchatsky n'a pas remarqu; une ligne ; l';vangile et s'est rendu ; jeter ses perles devant les pourceaux. ;a y est, ma belle. Apprends des erreurs! S'il n'aurait pas besoin de te punir pour le;ons oubli;es de derniers jours, est-ce que tu sais que cela signifiera? Cela signifiera que pendant ces derniers jours tu aies re;u tant de connaissances, combien d'autres personnes ne re;oivent pas pendant toute leur vie. Maintenant tu sais ce que la plupart des gens n'apprennent pas jusqu'; neuvi;me dizaine de leurs vies.
     -Peut-;tre, mais pour le moment ;a ne me regarde pas car j'ai envie de toi,- en ce disant, elle serra son pr;cepteur dans ses bras et embrassa lui sur la bouche. Il r;pondit au baiser et la serra dans ses bras aussi.
     -J'ai envie de toi pas moins.
      Inga vit et sentit au travers v;tement qu'il ne ment pas.
     -En outre, soit cela passe en ville, toute de suite je profiterais de l'accessibilit; pour notre lien ne se brise pas, mais dans le cas pr;sent j'ai le temps.
     -Aujourd'hui tu as admir; de moi que j'ai re;u les tourmentes ; l'intention de l'Amour et avec cela tu m'as fouett; que j'ai mal s'asseoir. Je devine que tu as besoin de ma douleur, de mes souffrances.
     -J'ai besoin que l';tat d'amour s'augmente en toi jusqu'; certaines limites et que dans tel ;tat tu te me donne. Plus amour est en toi, plus de la douleur supportes-tu. Ta bonne volont; des ;preuves indique la sinc;rit; et la force des sentiments. Aujourd'hui o; tu t'es r;sign;e ; soixante-quinze claques, j'ai appris que la graine de ton amour a donn; un fruit fort et viable. Il ne faut que donner ; lui la possibilit; d';tre m;r.
     -Pourquoi de ne pas montrer la force de ton amour aussi? Souffrons avec moi ensemble!
     -Malheureusement, ce qui est une torture pour toi, la m;me est une bagatelle pour moi. Pour produire de m;me effet ; moi que la fustigation-l; pour l';vasion a produit ; toi, il faudrait m'infliger au supplice douloureux. Nos forces sont in;gales. As-tu envie d'essayer? R;cemment il a ;t; la nouvelle lune. Jusqu'au huiti;me journ;e de lune il est utile de caut;riser un point sur la jambe. je ne sais pas en d;tail, comment on fait cela selon toutes les r;gles et parfois je caut;rise ce point sans me g;ner par simple cigarette.
      Il ;ta son pantalon et s'assit sur le tronc d'un bois mort o; ils conversaient et d;naient souvent en ;tant assis. Puis il sortit un stylo ; bille, couvrit son genou par paume, tra;a sur la jambe une ligne horizontale de bout du doigt du c;ur, puis celle verticale selon continuation d'auriculaire. Apr;s cela il alluma la cigarette par un b;tonnet mince du feu, et quand la cigarette se fut allum;e, il l'approcha graduellement et puis il la serra tout contre le point d'intersection des lignes. Inga un peu sentit l'odeur de brul;, mais son interlocuteur bizarre m;me ne remua pas.
     -Eh bien, essaye-le. Soit il sera encore une ;preuve de mon amour.
     -Je sens la paresse de t'attacher.
     -Allons, je me couche sur le sol, sur le dos, je mets les mains en arri;re et les unis. Puis je jette les jambes sur la bille. Tu t'assois sur mes hanches et une ta main retient ma jambe, l'autre celle-ci me caut;rise.
     -Eh bien, c'est une id;e. Mets la paume sur le genou! Il l'aida de mettre la main correctement et de m;me dessina une croisette indiquant le point n;cessaire.
     -Couche-toi, grue!
     -Oh, comme je le crains,- Inga se lamenta en couchant.- Je m;me en ai demand;.
      Elle continua de se lamenter quelque chose tout bas, tandis qu'il lui s'assit sur la hanche et alluma la cigarette. Tout ; coup le cris aigus coupa ces lamentations. Au loin les buissons secou;rent. Quelque chose gros s';loignait avec craquement comme s'il cassait tout en for;t.
     -Pauvre sanglier! Comme tu le viens de l'effrayer!
      Inga sourit en r;ponse.
     -Oui, je suppose qu'il est le plus malheureux de nous trois, quoiqu'on le n'ait pas caut;ris;.
     -Quelles impressions sont-ils?
     -La douleur de cravache est longue, accablante et celle de cigarette est aigu;, explosive. Toutefois telle br;lure est mieux qu'une longue fustigation soit.
     -Il ne faut pas souvent ce faire. Sinon le corps va ;tre marqu;.
     -Je t'aime malgr; tout, - en disant cela, la jeune fille lui serra dans ses bras.
     -Je t'aime aussi.
     -Si je n'ai pas envie de dormir, je t'importunerais et s'attirais des cent claques de cravache.
      Toute de suite il sentit l'envie de dormir aussi. L'aube s'approchait. Dans la tente il pansa la br;lure d'Inga, puis son propre celle-ci. Bient;t ils s'endormirent.

Chapitre 7. L'enleveur ;nigmatique.

Le jour suivant passa comme d'habitude, c'est-;-dire, avec rite matinal, avec ;tudes, le th; et les conversations longues pr;s du feu. Le sommeil nocturne n'est pas interrompu aussi. N;anmoins vendredi Inga est fouett;e cruellement comme jamais auparavant. De m;me qu'il y a trois jours, la jeune fille obstin;e par la passion ; son instituteur s;v;re, ; dessein elle provoqua telle assez dure ;preuve pour elle. Voil; comment cela passait:
      Pendant la fess;e rituelle de matin Inga s;para les doigts ; dessein et se jeta sur le bourreau avec embrassades et d;clarations d'amour. Il s'embrassa avec elle mais n'approuva pas les pr;tentions. Maintenant les trente claques menac;rent au lieu de quinze. Lorsqu'il demanda ; cesser de polissonner et de prendre la position exig;e, elle n'ob;it pas en premi;re fois mais courut de lui ; travers la for;t en riant. Il l'a fallu bien courir avant qu'il ait r;ussi ; l'attraper. La fille attrap;e le gifla, ;clata de rire et tenta de se jeter ; courir de nouveau. Alors il la saisit par la main, mit la main jusqu'; la nuque si haut qu'elle fit entendre un piaulement de douleur. Cela la d;grisa pour ainsi dire.
     -Voyez-vous quelle vilaine filette! Maintenant tu vas ronger le sol! - pronon;a le tourmenteur s;v;rement mais en souriant.
      De douleur au bras la jeune fille devint toute rouge et ne rit plus. Donc, il l'emmena, en l'obligeant ; se plier jusqu'; tel point que la t;te est situ;e plus bas que les fesses nues, d;cor;es par cicatrices de la fess;e r;cente. En la ramenant vers un arbre tomb; pr;s de la tente, il la tira les cheveux, les oreilles, douloureusement mais bien pas de toutes ses forces, en craignant de causer un dommage.
     -Ce n'est qu'un avant-go;t mais maintenant...
      Inga rougie ;tait debout devant lui, et les larmes roulaient selon deux joues.
     -Je t'aime malgr; tout. Je suis pr;te ; passer les ;preuves lesquelles tu m'as pr;par;es. Fouette-moi, sans plaindre!
     -C'est maintenant que tu parles comme ;a. Et de quoi chanteras-tu o; je te fouetterai?
     -Ne fais pas l'attention pour ;a qu'on parle sous torture! Il est mieux d';couter ce que je parle maintenant et parlerai apr;s. Quand en premi;re fois j'ai re;u un savon de toi, tr;s fortement, j'en ai appel; ; de la piti;, ; de la compassion, j';tais pr;te ; tout pour toi, pourvu qu';viter la douleur. Maintenant ne me plains pas! Je veux de ton cruel amour. Je glapirai, je demanderai gr;ce ; toi, mais tu ne me plains pas! Sois un bourreau! Jouis des hurlements et des g;missements, des larmes! Je crierai, mais tu fouette-moi malgr; tout, douloureusement, jusqu'au sang! Je t'aimerai plus en plus.
      La jeune fille se jeta ; genoux et se mit ; embrasser lui sur les jambes poilues.
     -L;ve-toi, Inga, - en premi;re fois il s'adressa ; lui par son nom. - Elle remarqua qu'il est touch;, m;me les yeux s'humect;rent un peu. - Mais en effet tu es mon r;ve! Ton amour est excellent! Et tu es devenue excellente! Tu n'es morte plus! Tu viens de r;veiller! Tu viens de r;veiller du sommeil profond, le sommeil mortel dont toutes tes connues dorment ; Moscou. Ma jolie amie, jolie amie de for;t, de m;me jolie comme toute la nature, jolie comme la m;me vie, comme l'amour! Es-tu pr;te ; l';preuve? Je satisferai ta demande, ma s;urette d'esprit! Apporte les cordes! Je vais t'attacher ; cet arbre. Il indiqua ; l'un arbre mot, couch; sur le sol. - Je vais te conduire aux hauteurs du paradis ; travers les profondeurs de l'enfer! - le bourreau devenu d;sir; maintenant, il acheva la tirade.
      Inga apporta les cordes et lui tendit.
     -Couche-toi, fillette audacieuse, c'est toi!
      Inga se coucha comme si se jetterait ; l'ab;me. L'horreur se confondait avec extase ; la fois. Avec un sourire polisson elle pronon;a d'une voix tra;nante comme si elle chanterait:
     -Oh quel savon va m'arriver!
     -Attends un peu! Il va arriver toute de suite.
      Il la lia longuement et avec z;le. La cravache de fil ;lectrique se mit ; siffler brusquement et sans piti;, sans arr;ter. La jeune fille d;j; g;missait et pleurnichait plaintivement.
     -Voil; quinzaine. Il aurait ;t; la fin, mais maintenant ce n'est que commencement.
      Vers claque cinquante elle cria d;j; des lamentations comme alors ; l'enfance, sous la corde ; sauter de m;re. Les hurlements augmentaient toujours. Elle sentit que ses fesses, il ne la fouettait que sur eux, on dirait, s'engourdirent et la douleur n'est plus telle poignante. Sur l'herbe plusieurs petites gouttes du sang scintillaient d;j;. En glapissant plaintivement et en sanglotant, Inga sentit une onde agr;able et douce se r;pandait en chair. Le mot "euphorie" aurait ;t; le plus convenable ; cet ;tat d';me. Elle finissait. Puis il y fut la douleur insupportable plus encore. Et encore les hurlements s'augmentant et l'euphorie de nouveau - Inga finissait en deuxi;me fois. Encore quelques sifflements et claques d;chirant la chair.
     -Maintenant, tu es vraiment fouett;e comme une ch;vre. Es-tu contente?
     -Oui, - Inga tenta de sourire mais toute tressaillait. - Combien tu m'a donn;?
     -Cent cinquante, n;anmoins ce n'est pas tout.
     -Mais je ne pourrai pas me mouvoir!
     -Qui dit que j'aille te fouetter.
     -Et qu'est que tu vas faire, br;ler?
     -Non, grue polissonne. ; saler, - il sourit.
      Tout ; coup le sens des mots atteignit elle. Inga effraya pas en vain. Son bourreau puisa une poign;e du sel et le mouilla un peu avec l'eau de la gourde, puis il y frotta les places fouett;es pas fortement mais soigneusement.
     -A;e! A;e! A;e! A;e! Que fais-tu?! S-s-s, - elle s'efforce de tol;rer, rougit, enfin ne put se retenir et sanglota. Il commen;a ; la d;lier.
     -Peux-je aller ; la rivi;re? - La jeune fille le demanda, tout en larmes.
     -On peut.
      Inga arriva au rivage, longtemps descendait jusqu'; l'eau, y entra, tenta de passer la main ; faire tomber le sel et poussa un cri. Elle eut mal ; toucher les fesses. Alors elle ;tait debout en eau ; peu pr;s cinq minutes. Le courant de rivi;re ; tout probable dut laver le sel. Elle alla en clopinant en arri;re, une fois oublia, s'assit sur la souche et toute de suite bondit avec glapissement. Son bourreau frotta avec pr;caution les cicatrices par l'onguent qu'il sortit de la trousse de m;dicaments. Cette fois Inga fut fouett;e dans les r;gles classiques, avoir mal ; toucher, jusqu'au sang, avec traitement par sel. On ne pouvait regarder aux fesses qu'avec peine: elles furent enfl;es, les rouge-violet taches un peu saign;rent ;; et l;.
     -Habille-toi en fuseau sportif, ne mets pas le maillot de bain car il peut s'enfoncer en cicatrices.
     -Est-ce que je suis fouett;e d;ment aujourd'hui, comme une ch;vre? Vraiment?
     -Oui, ma chevrette d;sob;issante, qui tu es.
     -Est-ce la derni;re ;preuve?
     -Il reste une encore. D'abord il faut te reposer quelques jours; soit que les traces se gu;riraient. Ton cul est en relief, attrayant, sans dire. N;anmoins, si on te fessait ; l'enfance plus souvent, c'est pr;cis;ment que tu sois une reine de beaut;. mais n'ennuie-toi pas! Je t'aime malgr; tout.
     -Quant ; me fustiger, est-ce que tu le feras sur les m;mes points sensibles encore?
     -Non. Beaucoup des claques seront r;guli;rement sur toute la chair, sauf la face et les seines.
     -Tu as raison. Il faut essayer tout. Et si je ferai polissonner avant la gu;rison?
      En r;ponse, il la gifla sur les points d;j; sensibles.
     -A;e! - la jeune fille poussa un cri fort et long, elle renversa sa t;te en arri;re -. M-mm, a;e, comme ;a fait mal! S-s-s.
     -Eh bien, est-ce que tu as envie de faire des b;tises?
     -Non, vraiment.
     -Il la claqua par paume avec la m;me sonore. La fille poussa des cris per;ants, s'inclina, s'accroupit, rougit.
     -Et maintenant je vais te claquer une fois par cravache, veux-tu?
     -Non! J'en peur!
     -Tu te conduiras comme un agneau, grue?
     -Comme un agneau, vraiment! Demain, je t'en prie, ne me fustige plus sur les fesses!
     -Si tu te comportes bien, je fouetterai sur les autres places.
      Inga apprit qu'il soit mieux ne pas faire des b;tises, quoique pendant plusieurs jours.
     -Maintenant va te reposer. Nous supprimons les ;tudes pour aujourd'hui.
      Cette journ;e parfois pendant conversation en plaisantant il la claquait par paume sur le cul et chaque fois cela provoquait les cris d'elle, les cris douloureux et protestants. Tout ; fait elle ne pouvait pas s'asseoir. N;anmoins ce jour et demain, chaque rappel qu'elle est bien fouett;e procurait ; l'Inga le sentiment de la f;licit;. Elle approuva en esprit qu'elle ne peut ;tre d;ment heureuse qu'ici avec cet inconnu ;nigmatique qui r;unissait en soi les attributs, il parait, incompatibles: un moujik grossier v;tu presque en natte, un inquisiteur raffin;, un philosophe et un po;te ; la fois.
      Dans une semaine Inga plus encore provoqua "les tourmentes pour l'amour", apr;s cela toute la chair est fouett;e r;guli;rement, m;me les bras. Il n'y eut pas d'orgasmes car c'est les points qui ne sont pas touch;s autrefois, ils recevaient les coups de cravache, c'est pourquoi il ne s'engourdissait rien, il ne perdait rien la sensibilit; ; douleur. La douleur ;tait p;n;trante, il y avait assez des hurlements, des larmes et des lamentations. Il y avait des claques de m;me cent cinquante, mais il ne souffrit rien apr;s cela. Quand elle fut d;li;e, sa passion enflamm;e du jeu cruel, comme il l'avait nomm;: le jeu en "glapissements et sautillements", cette passion atteignit son apog;e. Son partenaire du jeu fut excit; pas moins. Inga fut s;re qu'il tient son mot.
      En ;tant d;li;e, toute de suite elle prit la pose d'une female d;sirante. Cette fois il n'y eut pas de besoin de le supplier. Il entra en elle harmonieusement et profond;ment. Inga hurla du plaisir en mesure de ses secousses. Ce lui semblais que la for;t et la terre chancellent-elles de concert avec eux. Tout changea alentour. N'importe quel d;tail ne signifiant rien, maintenant il recevait une grande signification, la signification du triomphe de la Vie et de l'Amour. N'importe quelle v;tille: soit c'est un feuillet pendu d';rable qui se trouva sous les yeux par hasard, quelque bruit de for;t ou m;me une odeur - dans l'avenir lointain en ;tant tir;e de la r;serve de m;moir cette v;tille brillerait tout ; coup de la lumi;re ;clatant en ;clairant et en ornant la gris quotidiennet; de la vie courante et alors chaque d'eux sans preuves mais avec assurance et sans aucun doute pourrait-il r;pondre ; n'importe quel pessimiste ou sceptique ; question du sens de la vie que sens de la vie est l'Amour. Et au pr;sent chacune telle v;tille fut une note concordante avec les autres celles en harmonie de la grande liesse de la Vie et de l'Amour. Tous les deux, en ;tant abasourdis par finals accords de cette symphonie, pendant quelques minutes ils ne purent pas reprendre ses sens en se figeant dans la m;me position dans laquelle ils eurent fini.
      Enfin Inga sauta sur ses pieds et tourna la face en lui. Ils s'enfonc;rent en l;vres l'un avec l'autre et ne purent se s;parer longtemps. Transport;s de passion ils pinc;rent l'un l'autre jusqu'aux bleus sur les dos et ne remarqu;rent cela.
     -Reposons-nous un peu, puis continuons! - ce fut la jeune fille qui  premi;re proposa cela.
      Il acc;da ; la proposition, et tous les deux all;rent ; la tente, puis ils s'habill;rent un peu et ;taient couch;s pendant une heure.
     -Eh bien, ma belle; qu'est-ce que nous allons faire avec toi? - il fut le premier qui coupa le silence.
     -Bravo! Tu as r;tablies tes forces rapidement comme un ; l';ge dix-huit ans! Sais-tu? Je suis telle perverse! Je suis telle chienne! J'ai telles envies honteuses!
     -Est-ce que je ne te disais pas auparavant que les envies sexuelles sont sacr;es o; elles ne sont pas dangereuses? Je te fouetterais car tu oublies les le;ons, mais toute juste je suis trop paresseux pour le faire.
     -Je voudrais que tu me viole la deuxi;me virginit;, - tout bas et avec l'air de conspiratrice la fille pronon;a et les yeux espi;gles lanc;rent des ;clairs de passion. Il comprit mais ; tout hasard il questionna:
     -Qu'est-ce que cela signifie?
     -Que tu es peu sagace! Le matin, o; tu me touches avec doigt ; la rivi;re? Voil;, tu as eveill;es telles envies en moi. Je sais que ;a fait mal mais je n'ai pas besoin de m'habituer, - elle passa au chuchotement et ses yeux s'enflammaient passionn;ment. - J'ai envie d';tre empal;e. Tu te couches sur le dos et je m'assi;rai sur cette chose du haut ; la pose d';cuy;re et sauterai.
     -Eh bien, ma belle, aujourd'hui il est ta f;te. En passant les souffrances tu as le droit au choix. A vrai dire, j'ai envie de m;me, - il sortit de la trousse de m;dicaments le m;me onguent et sortit de la tente. - Faisons cela ici, sur l'herbe!
     -Faisons! - la jeune fille r;pondit tout bas, avec passion.
      Il enduisit de l'onguent l'objet qui s'augmenta jusqu'; ses limites de nouveau, et se coucha sur le dos. Inga, toute tremblante, enjamba le partenaire couchant ainsi que les deux pieds se trouv;rent de diff;rents c;t;s de celui-ci, et tourna vers lui, s'accroupit, prit son outil aux mains et commen;a ; s'asseoir sur lui.
     -A;e!-  En se mordant la l;vre ou bien de la douleur, ou bien de la passion, elle se mit en mouvement, d'abord lentement et doucement, mais peu ; peu plus fort et plus rapide et ; la fois elle g;missait au m;me rythme. Avant qu'il finit, elle r;ussit ; finir plusieurs fois et en derni;re celle-ci o; ils finirent ; la fois, les g;missements rythmiques se transform;rent en cris avec lamentations: "Moi, donc moi, la vilaine grue, d;chire-moi!.." En entendant de loin et sans voir cela qui passait, on aurait cru qu'elle soit fouett;e de nouveau. Au sommet de la volupt; elle hurla et rugit comme un ;tre sauvage. Bient;t ils all;rent vers la rivi;re ; se laver.
     -Maintenant sens-tu qu'il y a trois semaines que tu habitais un monde enti;rement autre, mort celui-ci? Que pendant ces semaines tu as fait le grand saut du monde mort et gris en celui-ci vivant et pittoresque?
     -Comme si cela aurait un sens de questionner!
     -Eh bien, alors... N'oublie pas cette journ;e et ne reviens jamais l;-bas. L;-bas il y a une obscurit;, un enfer. L;-bas sont la mort, le cancer, alcoolisme.
     -Est-ce que tu as envie que je reste avec toi ; la for;t ; jamais?
     -Malheureusement, ce n'est pas possible et il s'agit de l'autre chose. C'est simplement: en se trouvant physiquement dans leur monde, reste dans ton propre! En faisant semblant d';tre de m;me comme ils sont, reste soi-m;me. M;me pour un instant n'oublie pas qui tu es. Envers eux tu es comme un agent d'ennemi qui ne doit pas se d;couvrir mais en aucun cas se ranger de leur c;t;. Sinon, tu trahirais ton essence et il ne serait mal que pour toi, pas pour moi. Quoique envers moi tu est une esclave, une grue de for;t que je fesse et fesserai chaque jour; mais envers tous eux tu es une princesse, et ils sont des pl;b;iens, nullit;s qui ont m;connu les talents donn;s leur du ciel. N'oublie jamais ni les connaissances-la, ni le bonheur-l; que tu as trouv; ici.
      Et le soleil se d;pla;a au-del; du ravin et s'inclina au coucher, en jetant des longues ombres. Tous les deux s'embrassaient, parlaient et chantaient des chansons pr;s du feu. La nuit approchait, et bient;t elle se donna ; lui encore.

Chapitre 8.

  Il passait l'ann;e 1985. Cette ann;e l';t; s'est produit doux, sec et pas tr;s chaud. Dans tous les aspects de la vie les changements se posaient, de l'existence lesquels la plupart du peuple ne suspectait pas quoiqu'elle en avait soif. M;me dans la nature il n';tait pas tout tranquille. Il ;tait clair que le changement climatique futur ne peut ;tre ;vit;, les chercheurs ne discutaient que selon lequel sc;nario cela passera, et le trou d'ozone se manifestait sur l'Antarctide en mena;ant.
      Cette ann;e a pos; le commencement de la fin de la plus inhumaine id;ologie qui n'a port; ni ; l'un seul pays les promis bonheur et prosp;rit;, mais au lieu d'eux la faim, la guerre, le sang, la l;chet; et la trahison. Et tout cela est fabriqu; avec l'aide de la substitution des sentiments religieuses naturels, propres ; chacune ;me humaine, par certaines adorations aveugles et forc;es, formelles et s;ches adorations devant les idols fausses. Il est possible qu'on ne sait pas d'o; de l'espace cosmique et il est plus probable que des autres dimensions inconnues, un virus mortel s'est enfonc; au corps de la b;te ;carlate du totalitarisme, la b;te encore est forte et ne suspectant rien, la b;te qui est bien amus;e au festin sanglant du vingti;me si;cle, la b;te qui a d;truit dans certains pays plusieurs dizaines de pour cent de la population en transformant le reste des peoples en zombis marchants sous la houlette diabolique. Il m;rissait le commencement de la fin de la forme de son existence, la forme qui est la plus hypocrite et la plus viable, c'est le communisme qui a r;ussi la concurrence sans merci contre fascisme qui est un ph;nom;ne moins viable n;anmoins se produisant sous le drapeau rouge aussi. Les deux id;ologies ont bien av;r; par ses drapeaux la pr;diction du Saint Ap;tre Jean sur la b;te ;carlate.
      Durant tout le si;cle les sorts humains se m;langeaient et se battaient comme les cartes en jeu. Ainsi que sur la surface de l'oc;an fantastique Solaris, les perturbations ;tranges, les courants myst;rieux se formaient dans la soci;t;, en pr;parant la grande onde des changements. En ressentant sa fin, la b;te bless;e r;sistait en d;truisant les vies humaines et en remportant des victoires temporaires mais en g;n;ral la mort ne pouvait vaincre la vie de m;me comme l'obscurit; ne peut pas vaincre la lumi;re. Au total ce n'est pas la mort mais la vie qui remportait et remportera la victoire toujours. Pr;cis;ment l'une de telles victoires bien passait dans cette for;t perdue, en arrachant une ;me ; jamais des pattes osseuses de la soci;t; morte, la soci;t; qui ne savait l'amour, ne savait le printemps, la soci;t; dans laquelle m;me "il n'y avait pas de sexe", une ;me humaine sans prix en est lib;r;e. Son pr;cepteur comprenait que c'est plus important que planter un arbre, c'est plus important que b;tir une maison, m;me c'est plus important que mettre au monde un gar;on, en cas que le sort veut qu'il ne devienne pas une Personnalit; en restant un mis;rable incapable de raisonner ind;pendamment jusqu'au bout de la vie. Cette saison estivale est pass;e comme une jolie perle plac;e ; l'ornement de son destin agit; et plein de lutte. Pour ce grand auquel il a contribu; ; s'accomplir, il recevait la r;compense ici et maintenant. Inga est devenue sa ma;tresse, une disciple dou;e, une esclave soumise et fid;le.
      Il continuait la fouetter r;guli;rement pour le moins ;chec ; n'importe quel objet de ceux auxquels il la renseignait n;anmoins elle a appris ; recevoir les punitions avec r;signation, courage et joie, sans broncher, sans g;mir. Et ce n'est que le peuple bien la connaissait, selon des changements subtils de la couleur ou l'expression de son visage, s'il a vu, aurait pu deviner quel genre de douleur elle ;prouvait ; l'instant m;me.
      Les punitions ;taient s;v;res comme toujours, et la jeune fille un peu craignait devant eux au fond d'elle-m;me, bien qu'elle n'en rien laissait voir. Cela et y compris sa m;ditation lib;r;e des pr;jug;s de foule, tout ;a contribuait au forcement puissant du processus de son apprentissage. Et il l'enseignait aux arts martiaux d'Orient et ; la science m;di;vale du Japon ; se glisser et p;n;trer, cependant il l'accoutumait ; travailler au point de vue intellectuel. Avec lui, elle a con;u beaucoup de la science des plaisirs sexuels. Avec peine, mais il a r;ussi ; laisser lui la possibilit; d'estimer la pr;f;rence du sexe tantrique, mais apr;s cela il l'a pr;venue:
     -Si tu remarques chez toi les capacit;s quelconques inhabituelles, n'en raconte jamais ; personne, m;me ; moi ou ; la plus proche personne dans le monde l;-bas.
     -Afin de ne pas perdre ces capacit;s? - Elle jeta un coup d';il sur le pr;cepteur en face et apprit qu'elle ne s'eut pas tromp;e. Il se taisait longtemps et enfin prof;ra:
     -Tu es en progr;s!
      En fait, Inga r;ussissait en tout y compris ; l'autoflagellation. Maintenant, elle pouvait se fouetter sur les plus sensibles places jusqu'; vingt claques sans arr;t, et la main droite et celle-ci gauche, toutes les deux l'ob;issaient. Z;br;e, mais heureuse pouvait on l'entrevoir dans la for;t, l'esclave d;vou;e envers lui et la fi;re princesse pour tout le reste du monde. Parfois, lorsque le pr;cepteur, en la regardant, se rendait compte de ce qui elle ;tait et de ce qui elle vient de devenir, les larmes de joie montaient de l'int;rieur. Ce qu'il a fait d'elle? Elle fut ou bien une amazone, ou bien une espionne, et il est probable qu'elle put rivaliser avec la m;me Mata Hari. Elle est devenue telle qu'elle peut p;n;trer l;-bas o;, il para;t, il est impossible de p;n;trer; que peut faire son affaire laquelle, il para;t, il est incroyable ; l'ex;cuter; et elle peut dispara;tre ; la m;me fa;on, furtivement, en laissant l'adversaire ; toute l'ignorance ou en rendant lui en horreur superstitieuse, cela d;pend du but de la mission.
     -; propos, est-ce que tu me pr;pares au pillage d'une banque, peut-;tre?
     -Pendant toute ma vie la plus grande chose que j'ai vol;e, c';tait deux kilogrammes du saucisson cuit au libre-service. Je n'avais pas faim et j'avais assez d'argent, mais j';tais juste en col;re contre ces "magasineurs" arrogants pour le fait qu'ils ont organis; une queue brutale o; il fallait ;tre debout pendant deux heures dont on bien pouvait se passer, et je suspecte que c';tait avec une mauvaise intention. Ces d;biles de l';poque de Brejnev aiment ; manifester ; telle mani;re sa sup;riorit; illusoire. Et je n'avais juste que besoin de me d;charger psychologiquement. Quant ; l'avenir, il pourra arriver n'importe quoi, mais en tout cas, je ne voudrais point ; jouer un mauvais tour ; toi. Le fait est que je t'ai aid; ; devenir heureuse et libre et ta libert; doit ;tre bien prot;g;e. Est-ce que tu souviens comme tu avais peur d'aller ;tant une seule contre tout le monde? Maintenant tu n'as rien ; craindre, parce que tu SAIS comment le faire. Ne prends jamais un parti inconsid;r;! N'oublie pas: chacun peut tomber dans l'erreur. En ;tant ici avec toi, j'ai fait une erreur.
      -Tu as imit; le Vysotsky, en chantant.
      -Tu y es! C'est la divination g;niale! Et tiens compte: en tout cas, il ne faut jamais imiter n'importe qui, cela il ne faut qu'; l'occasion de la n;cessit; absolue, mais m;me en ce cas t'efforce de ne rendre point cette situation longtemps retard;e. Ai-je commis des fautes encore?
      -Non.
      -Mais d;j; il est un mois que tu poss;des de telles capacit;s qu'un sanglier peut te flaire pas toujours, pas seulement moi. Tu te serais ;vad;e et si je t'ai rattrap;e, maintenant on ne sait pas qui aurait vaincu.
      -Tu savais que deux mois entiers je t'aime toujours. Il est plus probable qu'une chienne de berger s';vade de son ma;tre.
      -Et maintenant retiens: Tu ne reviendras jamais ; ce monde-l;, lequel tu habitais auparavant.
      -Cette fois Inga ne devina pas:
      -Les nuits sont plus longues, les feuilles jaunissent et les oiseaux s'envolaient au Sud?
      -Non. Tu reviendras ; Moscou, mais ne la reconna;tras. Maintenant, c'est tout ; fait une autre ville, enti;rement un autre peuple.
      -Tu ;coutes r;cepteur donc. C'est toi qui as dit que les changements ne se produiront que dans cinq ans, non plus t;t, - Inga ne devina pas de nouveau.
      -Ce n'est pas Moscou qui est chang;e; c'est toi.
      -Et quant ; toi?
      -Je ne peux pas y aller. Et ce n'est pas Sud o; je vais partir. Si je ne fais pas cela maintenant, ensuite l'occasion peut ne se pr;senter jamais. Prie pour moi! Il sera plus difficile qu'enlever des grues.
      -Tu vas ; la Car;lie.
       Maintenant il fut son tour ; ouvrir bouche d';tonnement. Il se retint, mais dans la profondeur de son ;me un effet fut provoqu; comme une explosion.
      -Je crois en toi! Tel comme tu es, tu r;ussiras. N;anmoins, apprends ; tout hasard: ; l';tranger je n'ai personne et mes parents n'ont personne aussi. Lorsque tu te d;grossiras l;-bas, si tu m'envoies l'invitation, je saurai que ce sera de toi, je viendrai ; toi. Est-ce que bient;t on rendra la libert; de partir?
       Il ne r;pondit pas longtemps parce qu'il ne put pas se remettre du choc toute de suite. Maintenant donc elle savait lire dans la pens;e de lui. Enfin, il affirma:
      -Tout y va, comme ;a.
      -Et quand nous partirons d'ici?
      -Demain, le matin.
      -Donc tout s'ach;ve?
      -Tu te souviens? Je t'ai renseign;: tout change et on ne peut pas l';viter. O; que vous alliez, quoi que vous cr;ez - tout va changer.
      Brusquement, Inga tomba ; genoux et sanglota en embrassant ses jambes:
      -J'en ne veux pas, je ne veux pas d';tre s;par;e de toi! Jamais plus! Je ne trouverai jamais plus tel comme toi! C'est rare, cela ne peut pas r;p;ter!
      -Inga, domine-toi! Tu fais preuve de faiblesse. Un ennemi intelligent ne manquerait jamais de profiter de l'instant.
      -Il n'y a personne que nous.
      -Tiens compte de ;a pour l'avenir! Et maintenant dis-toi: "Par-dessus tout, je suis une Ninja!" Cela bien encourage.
      -Mais je ne suis pas une Ninja et ne suis pas n;e au Japon. Je m'entra;ne pas d;s la naissance, mais d;s l';ge de vingt ans. Quoique je r;ussis, n;anmoins c'est loin jusqu'eux.
      -; certains ;gards, non, mais en quelque chose de plus qu'un ninja. Ils ;taient des ex;cuteurs aveugles, ils avaient un devoir. Ils servaient quelqu'un, mais tu es libre de tout le monde. Tu es une forte personnalit; ind;pendante. Avec moi tu ne fais que tes ;tudes, mais c'est toi-m;me qui feras le combat, selon ta propre initiative. C'est toi-m;me qui consid;reras et prendras un parti.  Je suis ton pr;cepteur, professeur, mais pas un commandant ; la guerre.
       Inga se mit ; tranquilliser un peu.
     -Je ne veux pas ; s;parer de toi aussi. L;ve-toi, - il se mit ; l'embrasser et caresser. - Saisis donc! Si nous nous s;parons demain, il y a trop beaucoup des chances que dans quelques ann;es nous nous r;unissions de nouveau et dans les conditions plus s;res. ; la fronti;re de Car;lie-Finlande je connais d;j; tous les tenants et les aboutissants. Mais si nous continuons, alors, il est possible que nous ne nous voyions jamais plus. Ici, sous mes pieds la terre br;le. Tu en renseigneras... ; Moscou.
     -Il est d;j; longtemps que tu n'as me fouett;e pas cruellement, comme une fois-l; pour l';vasion ou une autre fois-l; o; je me suis te donn;e en premi;re fois. Attache-moi! Arrange me une br;l;e cruelle en guise d'adieu! Parce que demain il n'y aura pas du temps. Soit pendant trois journ;es j'ai mal m'asseoir, pourvu que pendant ces trois journ;es je me souvienne plus clairement de toi et de tout ;a, - et elle fit un mouvement circulaire par main.
     -Ma ch;re amie foresti;re! Je t'aime et vais satisfaire ta demande. Prends les cordes et allons!
      Enfin elle sourit.
     -Sais-tu? Elle jeta les yeux avec espi;glerie sur lui et pronon;a sa phrase devenant pr;f;r;e en cas pareils:
     -Oh quel savon va m'arriver!
     -Tu es une fillette brave! Telle que tu te tiennes, tu me plais plus, et m;me on ne voudrait pas ; te donner la fess;e. Mais notre amour, bien que cruel, mais excellent, parce que l'amour est excellent dans toutes ses manifestations. Et nous gardons ses r;gles, soit!
     -Quelle pose faut-il prendre?
     -Cette fois, en guise d'adieu, c'est toi-m;me qui choisit.
       Inga y r;fl;chit. D'abord, comme d'habitude, elle voulut ; se mettre ; quatre pattes, mais, en se souvenant ses imaginations sur la peine corporelle dans la place publique, au lieu d'ex;cution, et la cravache est ; la main du bourreau habill; au chaperon rouge couvrant la face et avec fentes pour voir, enfin elle se d;cida:
     -Allons! En ;tant debout comme une fois-l;, pr;s de l'arbre. Pr;s de cet arbre, - elle passa la main en direction d'un sapin s;culaire.
     -Laisse ;a aller ; ta guise. - Inga apporta les cordes et il se mit ; l'attacher. - C'est probable que je m'en occupe en vain. Avec moi tu es devenu comme de l'acier.
     -N;anmoins, d';tre attach;e est plus int;ressant. Les pr;parations finirent. Inga se disposa d;j; ; l';prouver, serra les l;vres et fixa les yeux sur le sol. Voil; la proc;dure commen;a, mais la jeune fille fut debout comme de l'acier en fait. Elle supportait ; la spartiate cette douleur qui semblerait insupportable pour beaucoup des gens. Les premi;res cicatrices ;clatantes, avec gouttes du sang au bout d'eux, au fond desquelles les anciennes celles p;lirent, orn;rent d;j; les rondeurs lascives, mais le visage ne changea pas, ne fut que rougi un peu, et la quantit; des traces du jeu cruel s'augmentait et s'augmentait toujours. Cela dura longtemps. Ensuite, quand la derri;re devint bien fouett;e, quelque chose toutefois changea au visage, et il fut difficile ; expliquer en mots et plus difficile ; discerner qu'est-ce que se passa avec elle tout de m;me. Elle... finissait mais s'effor;a de ne sourciller ni douleur, ni passion. Le fouet continua ; siffler et elle a r;ussi ; finir deux fois plus encore. Quand tout s'acheva et il s'approcha d'elle pour la d;lier, elle dit d'une certaine voix chang;e:
     -Attends! Maintenant frotte de sel! - l'intonation fut ;trange. Il n'entendait jamais celle-ci auparavant d'elle.
     -N'est-ce pas trop pour toi?
     -Je viens de dire donc, frotte! - le ton fut bien imp;rieux. - Les derniers mots furent dits avec une certaine joie fanatique.
      Il s';loigna et bient;t revint avec une poign;e du sel mouill;, toute de suite en se mettant la frotter. Une larme roula des yeux de cette jeune fille, maintenant telle audacieuse, et elle sourit. Il fut impossible de comprendre de quoi il y eut plus: de souffrance ou de f;licit;.
     -Maintenant, je t'aimerai plus fortement. Et toujours, si on me fait tristement, je me rappellerai ;a qui vient d';tre toute de suite. Cette douleur f;roce sera ma consolation pour longtemps. Et ; pr;sent j'ai envie de me donner toute attach;e ; toi.
      Tous les deux finirent ; la fois et vite et comme si se transporteraient ; l'un certain monde fantastique. D;sormais cette journ;e derni;re luira toujours comme un projecteur ;clatant ; l'avenir lointain. Chacun d'eux pourra affirmer avec assurance et sans douter que le bonheur existe dans la vie. Il ne faut que le tirer de la profondeur de propre "Moi". Dans cette for;t ils concevaient le bonheur sans l'observer d'un c;t; mais en ;prouvant sur ils-m;mes, en voyant la grande quantit; de ses pans bizarres, en apercevant la grande quantit; de ses possibilit;s, vaste et intarissable.
      Et les arbres se taisaient. Les arbres non seulement se taisaient. En se taisant, ils racontaient de quelque chose qui n'est pas traduisible en langue humaine. Et les arbres taisent, comme jadis quelqu'un inconnu avait dit, sur le paradis perdu, lequel Adam et ;va habitaient. Les confessions diff;rentes interpr;taient aux mani;res diff;rentes qu'est-ce qui g;t au fond de la chute et toutes elles ont manqu; l'essentiel. Pourquoi ils, ceux qui parlent si beaucoup de l'amour envers notre Seigneur J;sus-Christ, n'ont pas profit;-ils de Sa doctrine: ; reconna;tre les arbres ; leurs fruits? Et quel ;tait le premier fruit qui est apparu toute de suite apr;s la chute? Eh bien, tel qu'Adam et ;va ;taient devenus confus et s';taient mits en pagnes. L'opinion publique ;tait apparue: "qu'est-ce que les gens diraient?!" Ou: "Qu'est-ce que dira la princesse Marie Aleksevna?" (la citation de Gribo;dov-note d'auteur) Il n'est pas possible qu'ils eussent honte pour nudit; devant Dieu Qui les a cr;;s comme tels comme ils sont, le m;le et la femelle, comme ils sont. Ils ;taient devenus confus devant l'opinion publique, laquelle ils avaient mise au lieu de Dieu. Ils ;taient devenus confus devant ce monde, le prince duquel est le m;me Satan. Et ce n'est pas si important, deux d'entre eux ;taient l;-bas, ou deux mille. Ils avaient cr;; leur propre monde, lequel ils avaient appel; "civilis;", mais il n'avait pas fallu entrer dans ce monde avec l'INSTINCT CONFORMISTE qui sauvait l'homme primitif l;-bas des d;sastres, n;anmoins ici, il se trouve un c;t; le plus vuln;rable pour intrigues de diable.
      N;anmoins, l'humanit; reviendra en paradis perdu. Toute l'histoire se d;veloppait selon le meilleur sc;nario de ceux ;ventuels, ind;pendamment, jusqu'; quel degr; certains instants nous semblent terribles ou inesth;tiques ceux-ci. Les noms des pionniers revenus sont ;crits dans l'histoire par lettres d'or: J;sus-Christ, Siddhartha Gautama, Mohammed, Krishna, et dans notre si;cle de contrastes - Osho shri Rajneesh. Apr;s eux, certains autres tendent d;j;, en reconqu;rant de l'obscurit; avec des efforts titanesques sentim;tre apr;s sentim;tre.
      Les gens avaient perdus les jardins d'Eden parce qu'elles ne pouvaient pas les appr;cier ; leur juste valeur. Personne sauf ceux qui a connu la prison, il sait la valeur de la libert;. Personne sauf ceux qui a travers;es les t;n;bres et franchies les plus difficiles barri;res, pour se sauver d'eux, c'est ils qui sont capables d'avoir aim;e la Lumi;re ;ternelle avec toute la sinc;rit;. Voil;, pourquoi il avait ;t; besoin de ces t;n;bres, de ces souffrances. Tout ;a a servi pour le bien. Afin que l'humanit; revienne au monde perdu en plus, mais en condition m;re, avec les neuves connaissances, qui ne peuvent pas ;tre re;ues en th;orie, ne peuvent pas ;tre re;ues qu'en endurant par sa propre exp;rience de chaque individu, qu'en franchissant toutes les obstacles, qu'en passant toute la voie jusqu'au bout.
      Maintenant, nos h;ros allaient selon cette voie tous les deux. L'enleveur myst;rieux, par les caprices du destin, s'est mis en route le premier. Il a attrap;e grossi;rement une amie de laquelle il  s';tait ;pris et laquelle dormait ; la d;charge de l'histoire humaine. Il l'a r;veill;e grossi;rement et ouverts ses yeux. Maintenant elle est capable d'aller sur la voie toute seule et elle ne reviendra jamais plus ; cette d;charge.
     -De quelle mani;re ferons-nous nos adieux? - Inga questionna le matin.
     -Ici, dans la rivi;re il y a une place peu profonde, je t'aiderai ; passer ; gu;. Nous parlerons et reculerons en arri;re jusqu'; l'instant o; nous cesserons d'entendre l'un l'autre. Alors, chacun ira son propre chemin. Comment ; passer, je t'ai dessin;, au nord-est, mais ce serait mieux si tu trouves un sentier. L;-bas, il est sept kilom;tres jusqu'; l'arr;t d'autobus. L'autobus passe quelques fois en jour jusqu'; ville qui s'appellera bient;t Sergiev Posade.
     -Et au pr;sent?
     -Zagorsk.
     -Oh voil;! O; nous nous sommes rappliqu;s de Rogatchevo! Et o; avons-nous travers; le canal?
     -Est-ce que tu souviens, tu t';tonnais que la nuit je t'aie men;e, les yeux band;s, sur une certaine route asphalt;e? Alors, c';tait que nous avons travers; le pont pr;s du village Morozki.
     -Et toi, vers Dmitrov?
     -Tu as devin;. L;-bas le plus lent train passe jusqu'; Piter (en langage populaire, alors Leningrad, maintenant Saint-P;tersbourg - note d'auteur), mais je contournerai Piter, en descendant ; la station Mga.
      Il fit les bagages, donna lui deux sacs. Dans celui l'un il versa de noix, dans celui l'autre - d'armillaires de miel qu'ils avaient cueillis, donna lui l'argent pour voyage, transporta la sur les ;paules ; la berge orientale de la rivi;re et revint ; son c;t;.
      Tout ; coup Inga se ressaisit.
     -Attends un peu! Ne va-toi pas! Je n'ai pas questionn; l'essentiel: comment as-tu appris de moi, ce que j'existe dans le monde?
     -Il y a six ans, je travaillais au domaine des travaux g;od;siques. Une mission ; cit; Voljsky, situ;e pr;s de Volgograde, ;tait r;voqu;e. Nous ch;mions et notre ;quipe ;tait mise pour une commande d'un jour ; Moscou dans ta ruelle au cartier Sokol. Tandis que mon co;quipier prenait d'un croquis, j';tais debout avec mire au coin de ta maison et tout d'un coup j'ai entendu comme on te fessait. Alors j'ai pris tel bon buzz! J'ai d;cid; m;me ; distance regarder cette fille, toi. Cela n';tait pas difficile. Je t'ai trouv;e r;pondante ; mon go;t. Il ne suffit pas de dire comme ;a. Je t'ai trouv;e le meilleur mon r;ve! N;anmoins tu ;tais tr;s jeune, quoique d;j; form;e comme jeune fille. "Grandis plus vite, ma belle, et je t'enl;verai" - c';tait ma propre d;cision. J'avais beaucoup d'affaires, mais le temps de bien planifier et pr;parer l'op;ration de t'enlever, j'y avais plus que suffisant.
     -Donc ce mauvais jour-l;, o; j';tais bien fouett;e, se trouve le plus heureux? Quel miracle! Voil;, comme il arrive parfois! Mais il semble que tu fusses plus jeune; est-ce que je t'ai vu par la fen;tre?
     -Tu n'as pas discern;. J'ai rabattu le chapeau tricot; sur les yeux, en cachant les rides sur mon front, il les y avait d;j; alors. Quant ; la constitution, j'en ai svelte toujours. M;me maintenant, parfois on me crie: "Hol;, gar;on!", mais si je me retourne, on me pr;sente ses excuses.
      Inga fut heureuse. Cette information respira une nouvelle vague en prise de conscience de son propre bonheur. Ils se mirent ; s'aller lentement en se reculant et continuant la causerie.
     -Je bien comprends CE que tu as fait pour moi! Si sans toi, j'aurais v;cu jusqu'; tr;s ;g;e, les yeux ferm;s. Comment ; remercier toi?
     -LUI remercie! - Il leva son index en haut. - Et n'oublie pas ; prier Dieu, pour ne se trouver ; l'autre c;t; de barbel;s ni toi, ni moi. Tu ne me dois rien. Tu es libre, tu es libre absolument.
     -M;me d';tre infid;le ; toi?
     -Tu ne peux point ;tre infid;le ; moi. Tu ne peux pas ;tre infid;le ; l'Homme, en couchant avec un chien. Avec ceux-l; que tu rencontres, m;me si leur orientation sexuelle co;ncide la tienne, tu n'aurais pas en commun outre le sexe. Essaye d'ouvrir leurs yeux, mais n'oublie pas les perles et les pourceaux. En effet, ce sont jaloux-l; qui avaient peur de se trouver pis que les autres. Mais je n'en pas peur, en tout cas, je connais ma valeur.
     -En disant adieux m;me, dis-moi, comment tu t'appelles!
     -Je suis un homme de la plan;te Terre. Mon nom symbolise la vieillesse, et peut-;tre la sagesse, quoiqu'il n'y a rien de quoi pourrait-on apprendre de nos a;n;s; ils sont stupides comme une oie, ce sont les suites des Sovi;tiques. Mon pr;nom vient du mot «vie» et le nom patronymique - du mot «homme». Cela tu apprendras ; Moscou.
     -Quoi?!
     -Tu apprendras ; Moscou-u! - maintenant il cria, en montant d;j; la haute berge de la rivi;re.
      Ils reculaient avec pr;caution en arri;re et maintenant cessaient d'entendre l'un l'autre. Et alors, son amoureux, en ressemblant toutes ses forces, cria:
     -Adieu, Inga! Je t'aime!!!
     -Adieu, mon amoureux! Prenez soin de toi! J'ai besoin de toi!
     -Nous nous r;unissons ; nouveau! Nous devons rencontrer! - Les ;choes retentissaient dans toute la for;t.

Chapitre 9.

Bient;t Inga d;boucha au sentier, presque envahi par bois, et se dirigea sur lui au Nord-Est. Elle attendait l'autobus ; peu pr;s une heure. Dans l'autobus, plein du peuple, elle fut debout. ; Zagorsk ; la place pr;s de la gare, deux types stupides indiqu;rent elle par doigt en souriant malicieusement. Inga se souvint que maintenant elle se trouve au monde hostile et se mit ; multiplier en esprit des nombres de trois chiffres. Cela rendait certaines humeurs imperturbables et aidait ; retenir les vibrations d'aura qui ne sont pas propres au milieu environnant social. Pendant qu'elle attendait le train ;lectrique, on questionna quelques fois d'elle "quelle heure est-il?" ou "comment passer?" mais en fait, ;videmment, tous ils bien tentaient de la discerner.
      Au train, puis au m;tro, elle fut assise, en surmontant la douleur suivante apr;s les aventures d'hier. Les parents l'attendaient au jour le jour. Ils bien s';taient calm;s d;j;. Inga en savait. Son enleveur, maintenant l'amant, il en avait pris il y a quelques ann;es, en avant prises possessions de plusieurs ses cahiers d';cole; cela n';tait pas trop difficile pour sa nature constante. Il avait bris; beaucoup de papier avant d'apprendre ; contrefaire l';criture d'Inga et de faire la premi;re lettre consolante pour les parents d'elle, qu'il ne p;t discerner cette falsification qu'un expert professionnel. Voici le sens de la lettre dont il s'agissait que maintenant elle est une adulte avec sa propre vie et un de ces jours elle a l'intention ; s'esquiver du village en direction inconnue, qu'elle se m;fie de l'amie Tania, c'est pourquoi celle-l; ne saura rien aussi. En s'assurant de l'enl;vement de jeune fille est bien pr;par;e et en rendant compte que l'interruption de l'op;ration pratiquement n'est pas probable pendant quelques jours, il m;me envoya la lettre ;crite, soi-disant, par main d'Inga, de la ville Konakovo. Il savait que les lettres vont lentement d'une province d'une autre r;gion et le timbre de Konakovo sur l'enveloppe embrouillerait les traces de la fille perdue.
      Les lettres suivantes ;taient ;crites par la fille, en fait. Inga les avait ;crites et aurait fait cela bien sans peur de la punition. En cas de disparition et sans nouvelles de la disparue, l'imagination de parents aurait pu dessiner des tableaux bien plus terribles que ce qui passait en r;alit;. Leur inqui;tude aurait ;t; en vain. Il n'aurait pas ;t; possible de la trouver, m;me si la s;curit; du Bureau politique de la Partie Communiste serait-elle d;pendue de ;a. S'ils ne peuvent pas l'aider, soit quand m;me ils se calmeraient.
      Il allait ; Moscou acheter les provisions de bouche et en envoyait lettres ; la fois et pour revenir ; temps et la "grue" n'aurait pas r;ussi ; s';vader, en prenant le taxi, il d;pensait l'argent comparable au salaire mensuel. Il revenait ; temps toujours, avant que la prisonni;re, qui ;tait nourrie furtivement par psycholeptiques, rev;nt ; soi enti;rement. Dans la derni;re lettre la "fille prodigue" promit qu'elle reviendrait ; l'un de ces jours et n'indiqua pas auquel celui-ci. Apr;s la troisi;me lettre, les parents malgr; tout se d;cid;rent ; faire savoir la police ; tout hasard, en donnant leur toutes les trois lettres. Ils se remirent d;j;.
      Le juge instructeur Pouzyrkov s'engraissant et avec double menton, il est surcharg; par deux cambriolages et pour comble un meurtre de couteau un indig;ne taquin, mufle et ivrogne. Le meurtre fut commis par un homme qui bien n'habitait pas ce quartier. Il r;ussit avec grande peine ; se d;barrasser de cette affaire qui fut rejet;e sur les mains d'un coll;gue. De tout ;a, il ;tait pr;t ; s'emporter et injurier les visiteurs car il passait pour un cynique, un grossier personnage et un amateur des anecdotes grivoises parmi ses coll;gues. Si les gens peu connus devinaient sa profession ; n'importe quelle cause et questionnaient lui sur cela sans d;tours: "Est-ce que vous avez un emploi aux organes?", Pouzyrkov transformait cela en plaisanterie, en r;pondant: "Je ne travaille bien aux organes que dans ceux-ci, de femmes". N;anmoins, en avisant un couple ; l';ge ; peu pr;s cinquantaine et tous les deux bien habill;s et ;taient conformes aux standards sovi;tiques en temps de Brejnev, il se d;cida ; ne pas se laisser aller et ; pr;ter attention ; l'essence de l'affaire. Il n';tait pas stupide au point qu'il montre ces visiteurs son m;contentement et de plus en forme habituelle.
       L'information apport;e par eux le r;jouit car elle ne le chargea d'aucun devoir. Il y eut bien insuffisamment de motif juridique ; intenter un proc;s criminel selon n'importe quel article. M;me mieux que cela. Un son copain du Comit; (KGB) Zatsepin, le cabinet de lequel se trouvait au bout du corridor, il lui donnait souvent certains conseils sages, gr;ce ; lesquels ses clients, c'est-;-dire, criminels sont pinc;s un peu plus heureusement. En r;ponse ; cela, comme il convient, Pouzyrkov devait montrer les signes d'attention r;ciproquement, en donnant l'information qui peut par hasard se trouver utile. L'essentiel est de faire semblant qu'il t;che lui d'aider. C'est le plus probable que tout cela est une b;tise, mais parfois il  y a des cas o; la "b;tise" peut bien aider. Il savait qu'au pr;sent le Comit; est rendu perplexe par la recherche d'un certain ;crivailleur insaisissable enrichissant la litt;rature dissidente et de plus r;pandant les tracts avec instructions de d;sob;issance au pouvoir sovi;tique et de la lutte contre lui. Un jour Zatsepin lui avait racont; que cet ;crivassier recherch; est enclin ; l'enlever les jeunes filles. Depuis longtemps, il y a plus que dix ans, il ;tait convaincu de la pr;paration pour enl;vement une amoureuse au quartier Kountsevo, o; il importunait ; parents d'elle au point qu'on lui avait emprisonn; pour quelque temps, en accusant lui de voyoutisme. Il ;tait impossible ; prouver le fait de la pr;paration pour enl;vement  et la d;couverte d'intention n'est pas une chose punissable, comme on sait. L'article deux cent six est une baguette magique pour ceux qui veut se d;barrasser de quelqu'un mais et il n'y a pas de pr;texte.
      "Si c'est lui-m;me? Il ne faut jurer de rien. Il est plus probable que ce ne soit pas lui et qu'il n'y e;t aucun enl;vement, n;anmoins, il ne faut pas manquer l'occasion ; manifester pour Zatsepin que toutefois je fais quelque chose pour lui. Si ;a va - il se r;jouira, esp;rera que maintenant peut-;tre il aille pincer ce graphomane et que ses chefs lui aille aille ajouter plus une bagatelle sur pattes d';paule, - ainsi Pouzyrkov calcula en esprit.
     -Bien s;r, je sais - dit-il ; haute voix -. Vous sentez inconfortable, mais ne vous inqui;tez pas. Vous voyez la jeunesse contemporaine, quelle elle est. Votre cas est mieux que ceux-ci pareils chez les autres. La vie la renseignera, elle deviendra plus sage. Il n'y a rien de terrible. Nous avions beaucoup d'occasions pareilles: les filles disparaissaient, m;me elles n';crivaient aucune lettre, alors, en effet, nous d;vions s'occuper de l'affaire avec peine. Puis elles s';taient trouv;e, comme d'habitude, apr;s une querelle avec l'amant. M;me d;centes, aussi dans les bonnes familles. Mais ici, malgr; tout, elle ne vous oublie pas et envoie les lettres ; vous. ; propos, en cas, est-ce que vous puissiez laisser ces lettres chez nous?
     -Bien s;r, prenez, s'il le faut.
     -J'en vous rendrai apr;s. Et encore une demande, s'il vou pla;t, apportez quelque chose ;crit par sa main, un ancien cahier d';cole, par exemple, ou...
     -; votre service, nous en apporterons tout juste aujourd'hui, l;-bas, quelque chose est sauv;.
     -Donc, ne vous inqui;tez pas! Elle n'est nulle part ; jamais m;l;e dans une certaine histoire n;gative. Seulement, ; vrai dire, s'il y a l'exigence de l'argent dans les lettres, la situation aurait ;t; assez dangereuse.
     -; Dieu ne plaise! Vous-m;me voyez, elle ne demande pas de l'argent, elle ne nous que tranquillise et maintenant elle a "la vie priv;e" comme si la serait naturelle.
     -Et quoi vous vous inqui;tez? Elle musarde pendant l';t; et reviendra, peut-;tre, en devenant plus sage. Si elle envoie les lettres plus encore, s'il vous pla;t, apportez-les chez nous. Non. Tout est bien avec elle. C'est naturellement, quoique nous ne puissions accuser de rien ce type, donc la fille est adulte, n;anmoins, il le faut faire venir ; conversation, pour il ne se cacherait plus et ne ferait plus s'inqui;ter le peuple. Quoique une fois il ait pu venir, se montrer ; vous.
      Les parents apport;rent les anciens cahiers d'Inga le m;me jour. Pouzyrkov demanda un autre copain qui ;tait un professionnel de l'expertise d';criture, ; faire lui l'amiti;, en passant sur canaux officiels, de v;rifier la main dont les lettres ;taient ;crites. C';tait une affaire de rien du tout pour expert, mais... il devait ; v;rifier quelques fois, n'est-ce pas une faute. Il s'est trouv; qu'il y a quelque chose d'impur. En fait, deux lettres ;taient ;crites par la m;me main que les cahiers d';cole ;taient ;crits, n;anmoins la premi;re lettre fut un faux fait avec z;le.
      Pouzyrkov galopa chez Zatsepin avec cette nouvelle r;jouissante. D'abord Zatsepin fut envahi de la passion de chasse, mais lorsqu'il pesa le pour et le contre, il apprit qu'il ne r;ussira jusqu'; l'instant o; la jeune fille perdue reviendra.
     -Toute de suite, d;s l'instant qu'elle reviendra, envoie-lui la citation ; compara;tre ; la police, - Zatsepin recommanda ; Pouzyrkov, - et moi, je converserai avec elle.
      Enfin, lorsque l'automne bien arriva, au milieu de l';t; de la Saint Martin, deux d;lateurs de Pouzyrkov qui ;taient retrait;s tous les deux et assis sur le banc pr;s de l'entr;e toujours, c'est ils qui d;nonc;rent qu'Inga faillissant ;tre perdue, elle apparut vers le soir au v;tement sportif en mauvais ;tat, en chassures sportives bien us;es et deux sacs pleins des champignons et des noix avec elle.
      La grande ville ne fit pas une impression repoussante toute de suite. Malgr; tout c';tait une certaine nouveaut;. Pendant quelques mois la for;t lui a r;ussi ; ennuyer, mais cette place lui ennuierait pendant quelques jours. N;anmoins, pour le moment, avec curiosit; regarda-t-elle ; larges rues grondantes par ses autos qui encore n'importun;rent pas et l'asphalte plan, sans pentes et sans mont;es, sur lequel on marcha si l;g;rement, donnait lui le sentiment de l'aisance et de l'insouciance. Les parents la rencontr;rent amicalement comme une ;gale. En r;ponse elle leur inventa aussi amicablement qu'elle e;t habit;e une datcha avec un amant en contr;e de Konakovo et l'amant racontait peu de sa personnalit; car il est employ; ; l'institution de police. Puis il lui avait importun; et ils s';taient querell;s et il avait dit si elle ou quelqu'un d'autre essaierait de le compromettre, en r;ponse ce sont les ennuis qui suivraient. Finalement ils s';taient s;par;s comme les gens nobles, ; tasse de th;, il lui avait donn; les champignons et les noix et elle ;tait d;marr;e.
      Inga fut pleine de compr;hension et de piti; ; l';gard des parents, lesquels elle avait d;pass;s bien loin en d;veloppement. Ces propres gens pour trente ans plus a;n;es qu'elle fut, malheureusement, ils n'auraient pu l'enseigner de rien. Si elle essaya de faire part de ses connaissances ; leur, ils s'auraient bouch;es les oreilles, et m;me si ils entendirent et discut;rent, malgr; tout ils n'auraient compris rien. Elle eut mal en ;tant assise ; table, mais elle n'en rien laissait voir et m;me cela l'excitait ; l'une certaine mani;re. Mais alors il fut ajout;e la col;re ; l';tat qui avait transform;s ses proches en "zombies" avec perception du monde des Sovi;tiques, et il y eut quelques mois elle avait ;t; de m;me et avait eu beaucoup de chances d';tre laiss;e comme ;a pour tous le reste de la vie, et toutes les amies rest;rent comme ;a, et maintenant il ;tait peu probable qu'il f;t int;ressant ; fr;quenter d'eux. Et le seul homme avec lequel elle eut de quoi parler, avec lequel elle aurait pu parler avec sinc;rit; passant toutes les bornes, toute la journ;e, maintenant il s';loignait par train avec grande vitesse ; nord-ouest.
      Le jour prochain elle passa chez soi, en se reposant, en s'habituant ; l'int;rieur domestique, en dressant un plan pour les journ;es prochaines. Enfin le jour passa, le soir est venu. Un peu elle regarda le t;l;viseur qui bient;t l'ennuierait aussi. Et le matin elle a re;u la convocation de police.
     -Va, ma fille, sinon il est inconvenant ; se cacher. Pouzyrkov est un bon homme, il nous plaignait. Il s'int;resse ; ton copain, n;anmoins, il semble que les loups ne se d;vorent pas entre eux.
      La m;re lui conseilla de s'habiller mieux. Inga ob;it mais en cachette maintenant elle pr;f;rait de ne pas porter le linge de corps sous-v;tement. Elle sortit dehors. Il ne sait pas pourquoi elle se rappela comme son amant, en paraphrasant l';vangile, lui avait dit soit pour rire soit pour de bon, il y eut quelques jour avant s;paration: "Encore un peu de temps, et tu ne me verras plus; et puis encore un peu de temps, et tu me verras".
      Et elle le vit... Il regardait ; lui du stand sous inscription "Ils sont recherch;s de la police."
 
LA POLICE EST A LA RECHERCHE D'UN
DELINQUANT DANGEREUX, NAISSANCE 1940
SEDYKH VITALY ADAMOVICH...
LA POLICE EN SERAIT RECONNAISSANTE...
 
      Inga parcourut le texte jusqu'au bout. L;-bas il n'y eut plus m;me un seul mot de quoi ce "d;linquant", pour lequel il est faite telle grande attention, a commis.
      Ce fut son "homme de la plan;te Terre", le nom de Sib;rie, le pr;nom russe de l'origine latine et le nom patronymique polonais. Si vieux selon calendrier et si jeune dans la vie en tous les sens.
      Inga bien intrigu;e, mais ne manifestante aucune ;motion, elle entra dans le poste de police et salua poliment l'agent de service.
 
L';PILOGUE.
 
      On la reconduisit vite de Pouzyrkov au cabinet de Zatsepin; en passant, elle r;ussit ; voir une part d'inscription sur la porte "...affaires de la s;ret; d';tat".
      Apr;s avoir produit de l'impression d;cente sur tous les agents au cabinet de Pouzyrkov et au corridor, au cabinet de Zatsepin Inga fit lui les yeux doux en l'appelant "le chevalier de cape et d';p;e". Il t;cha de parler s;v;rement avec elle comme il fut possible, sortit la photo de son amant forestier, en nommant lui un "tra;tre ; la m;re-Patrie", mais elle r;ussit de ne manifester aucune ;motion ; propos de tout ;a et d;clara qu'elle ne conna;t pas cet homme et son amant r;el, lui-m;me travaille ; la police et sa place d'employer bien n'est pas derni;re l;-bas.
     -Et ne grimacez pas, s'il vous pla;t. Je ne sais rien et je suis s;re que vous ne me cr;verez pas les yeux ou ne m'enculerez pas par soudoir br;lant, ou ne me ficherez pas les clous sous ongles!
     -N;anmoins, je vais vraiment te fesser. Je peux te retrousser la jupe et fesser par ceinture! Alors tu chanteras ; certaine autre fa;on!
     -On vous a d;j; d;pass;, - ; ces mots Inga se leva, en souriant, tourna le dos retroussa la jupe sous laquelle il n'y avait aucun v;tement. Les traces de la cruelle fess;e r;cente ne restaient aucun pr;texte pour doute. - Vous pouvez apporter votre obole. Pourtant je vais m;nager votre r;putation, ne pas crier. Fermons la porte!?
     -Assois-toi! Sotte!
      Toute de suite il comprit que ce n';taient pas les parents qui avait fait cela. Il les avait vus, ce n';tait pas leur travail. Alors... il est clair du tout. Elle est une masochiste et son amant est un sadique. Zatsepin travaillait ; l'organisation o; tout le monde bien savait ces choses-l;. N;anmoins, il n'y avait rien de tel au dossier de son "client". Si c'est-il lui, alors la capabilit; de jouer double jeu dans la vie priv;e l'honore. Mais ... bonne salope!.. Le dialogue entre eux changea au sujet plus abstrait, celui-ci de vie car l'opposition suivante pouvait ab;mer sa r;putation en fait. Ce n';tait point une certaine Machka-Obligation, une mauvaise personne retenue ; la gare de Kazan, mais la jeune fille audacieuse, brave et rus;e, calculatrice, r;serv;e o; il faut et tout ;a ; la fois. La jeune fille qui eut r;ussi ; se faire une bonne r;putation devant les autres agents de police au-dedans de ces m;rs.
      Ils tous les deux profiteraient du rapprochement pour tirer l'un de l'autre l'information sur le m;me homme. Quant ; elle, ; renseigner de quoi il avait commis et qu'est-ce que lui mena;ait; quant ; lui, ; s'assurer de ce qu'il n';tait pas le m;me "client" qu'il fall;t saisir et emprisonner, mais un autre toqu; qui aimait ; fesser les jeunes filles et qui n'avait aucun rapport ; la dissidence. La conversation finit que Zatsepin lui laissa le num;ro de t;l;phone, puis ils se rencontr;rent et devinrent les amants pour un temps.
      M;me deux fois il a bien fess; Inga avec ceinture selon sa demande. Plusieurs fois ils ont visit; un restaurant. Son milieu sovi;tique ;tait bien d;go;tant pour elle, c'est-;-dire, tous ces gens d'affaires maussades, ennuyeux et regardant de travers elle avec hauteur, les gens qui fait sa carri;re ; l'aide du chagrin et malheur des autres qui ne serait jamais estim; comme un criminel dans n'importe quel pays libre. Il ;tait vu qu'ils n'approuvaient pas le choix de Zatsepin aussi, et avec cela ils savaient qu'il le faisait pour r;ussir dans l'affaire. Zatsepin a r;ussi ; renseigner de tout cela qu'il ;tait ind;pendamment de fait, ou bien son amant cruel ;tait le m;me dont il avait besoin ou bien ne pas ;tait celui-ci, il est peu probable qu'elle-m;me s;t o; il se trouvait au pr;sent. Elle a r;ussi ; renseigner ; son tour qu'on le recherche ne se fondant que du motif politique, et on a envie de l'emprisonner pour longtemps, en l'accusant de propagande antisovi;tique et autant que possible l'ajouter l'article 64 "Haute trahison". Quant ; son crimes les plus "graves" ceux, il n'y savait personne sauf elle-m;me, c'est l'enseignement de Yoga et de karat; qui ;tait d;fendu par Code criminel de la Russie. Quant ; l'enl;vement, elle-m;me n'avait pas envie de se s;parer de lui. En fait, depuis longtemps il avait bless; quelqu'un, mais c';tait fini pour victime par l'h;pital pour quelque temps et pour l'enleveur par petits d;boires , n;anmoins d'un point de vue moral il ;tait un acte plus h;ro;que que d'un crime. Avec Zatsepin, elle avait peu de commun, sauf sexe. Maintenant, il fallait penser, a quelle fa;on se d;barrasser de lui.
      Un jour Inga pr;senta Zatsepin ; Milka qui ;tait une de ses amies et estim;e, pas assez juste, la premi;re beaut; dans la classe d'ecole. Elle le pr;senta comme s'il ;tait le m;me amant, avec lequel elle avait ;t; perdue tous l';t; ; la datcha de Konakovo. Cette ex-amie-l; fut faite mourir d'envie jusqu'aux br;lures d'estomac, et Inga joia un peu la jalousie, mais sans surjouer, laissa enlever graduellement ce "bonheur". Zatsepin qui avait trente-cinq ans, il fut d;j; importun; de la vie de c;libataire et demanda Milka en mariage, puis ils se mari;rent en f;vrier 1986. Son milieu trouva Milka plus pr;f;rable.
      En 1991 apr;s le putsch, l'administration cinqui;me de KGB, o; Zatsepin travaillait, fut dissous, et il se trouva sans travail. En intentant ; rattraper la perte, il se mit en aller et retourner en Turquie pour trafiquer et dans deux ans un jour, en se brouillant de quelque chose avec maffia, fut tu; en escarmouche. Milka devint une ivrogne inv;t;r;e et est tomb;e bien bas jusqu'aux trois gares ; Moscou, en s';garant au milieu des clochardes et des putains bon march;es de l;-bas.
      En outre, en 1991 Inga prit connaissance d'un citoyen d'Argentine de la classe moyenne, partit ; son pays et ils conclurent un mariage officiel. Ne soyez pas chagrin;s chers lecteurs et lectrices, je viens de pr;parer une surprise pour vous: Antonio Pereiro et Vitaly Adamovich est la m;me seule personne. Ils ont cr;;e une communaut; pas nombreuse, c'est pourquoi peu connue celle-ci, qui continue l';uvre d'Osho Rajneesh qui a quitt; ce monde r;cemment, mais ils agissent conform;ment ; sa propre fili;re. Qu'est-ce que peut-on dire sur les relations au sein du groupe? Le peuple est assez cachottier l;-bas, et il est difficile ; deviner le c;t; sexuel de leur vie, n;anmoins au climat relativement torride tout le monde est habill; l;g;rement et temps ; temps on peut voir les traces ou bien de verge ou bien de cravache sur les parties ouvertes des corps. Tous ils ont l'air content et heureux. Il n'est pas entendu dire d'un certain conflit grave au sein du groupe. Il n'y a plus les Slaves sauf Inga et son Vitaly qui maintenant s'appelle Antonio. Il a tr;s peu gens du pays aussi, principalement la communaut; consiste en gens de l';tats-Unis ou de l'Europe. Dans les conversations entre l'un et l'autre, nos h;ros sont de plus en plus de passer ; l'anglais ou l'espagnol. La communaut; ne brille pas par une richesse extraordinaire, mais toutes les apparences qu'ils ont assez pour vivre tr;s bien.
      Presque chaque ann;e nos h;ros visitent la Russie. Les amis de la communaut; les accompagnent. Ils prennent les sacs ; dos et vont faire du camping. D'habitude, leur parcours commence ; partir du village pr;s de Rogatchevo et prend fin ; la m;me place o; l';me, vou;e ; une existence mis;rable dans l'ennui et l'ignorance jusqu'; la fin, a acquis les connaissances, la libert; et la voie vers perfection.
      Il est remarqu;, quand nos h;ros avec ses fr;res et s;urs d'esprit s;journent ; la Russie, dans le triangle Moscou-Taldom-Alexandrov il ne pleut pas toujours. Peut-;tre, c'est une co;ncidence fortuite...

F I N
;crit en russe 5-30 ao;t, 1999.
Traduit en fran;ais d;s avril 23 jusqu'; l'ao;t 8, 2012.
Le texte complet en russe: http://www.proza.ru/2009/12/20/1217