La structure de l accident global

Àëåêñåé Òóð÷èí
DU MOUVEMENT RUSSE TRANSHUMANITAIRE.



A.V. Turchin

LA STRUCTURE DE L'ACCIDENT GLOBAL
Les risques de la disparition de l'humanit; du XXI si;cle

La traduction automatique du Russe



La pr;face de G.G. Malinetsky
Le mot d'introduction de N. Bostrom.
main page:
www. scribd. com/doc/7456007/LA-STRUCTURE-DE-LACCIDENT-GLOBAL

Le projet
Du Mouvement russe Transhumanitaire.



Moscou 2008

UNE S;RIE «LES DIALOGUES SUR LE FUTUR»
Ò.2
Les g;rants responsables :
I. V. Sledzevsky
De Valery Prajd
       
;

Le contenu
G.G.Malinetsky. Les r;flexions sur inconcevable 4
L'instabilit; globale 5
Psychologique äèñêóðñ 9
Le probl;me de l'outil 12
; la poursuite des pr;curseurs 17
N.Bostrom. Le Mot d'introduction 23
La pr;face 24
Les termes 31
L'introduction 33
La partie 1. L'analyse des Risques 35
Le chapitre 1. Les Remarques g;n;rales 35
Le chapitre 2. L'Arme atomique 57
Le chapitre 3. La contamination globale chimique 77
Le chapitre 4. L'arme biologique 82
Le chapitre 5. La superdrogue 91
Le chapitre 6. Risques li;s aux id;es autocopiantes (ìåìàìè) 95
Le chapitre 7. L'intelligence artificielle 96
Le chapitre 8. Risques li;s aux robots et les nanotechnologies 112
Le chapitre 9. Les moyens technologiques de la provocation des accidents naturels naturels 119
Le chapitre 10. Risques technologiques li;s ; principalement d;couvertes r;centes 123
Le chapitre 11. Risques cr;;s par les technologies spatiales 127
Le chapitre 12. Risques li;s au programme SETI 132
Le chapitre 13. Les risques li;s ; l';rosion des fronti;res entre humains et surhumains 152
Le chapitre 14. Risques li;s aux accidents naturels 153
Le chapitre 15. L';l;vation de la temp;rature globale 178
Le chapitre 16. Risques anthropiques non li;s aux nouvelles technologies 181
Le chapitre 17. Les raisons inconnues ; nous maintenant des accidents 187
Le chapitre 18. Les moyens de la d;tection îäíîôàêòîðíûõ des sc;narios de l'accident global 188
Le chapitre 19. Ìíîãîôàêòîðíûå les sc;narios 198
Le chapitre 20. Les ;v;nements changeant la probabilit; de l'accident global. 224
Le chapitre 21. Êðèïòîâîéíû, la course aux armements et les autres ñöåíàðíûå facteurs augmentant la probabilit; de l'accident global 243
Le chapitre 22. Facteurs influen;ant la vitesse du progr;s 260
Le chapitre 23. La protection contre les risques globaux 265
Le chapitre 24. Les moyens indirects de l'estimation de la probabilit; de l'accident global 296
Le chapitre 25. Le sc;nario le plus probable de l'accident global 314
La partie 2. La m;thodologie de l'analyse des risques globaux 319
Le chapitre 1. Les Remarques g;n;rales. L'erreur comme l'accident intellectuel 319
Le chapitre 2. Erreurs possibles seulement en ce qui concerne les menaces ; l'existence de l'humanit; 323
Le chapitre 3. Comme êîãíèòèâíûå les alt;rations, pouvant concerner n'importe quels risques, influencent l'estimation des risques globaux 339
Le chapitre 4. Les erreurs Obshchelogichesky, pouvant se manifester dans les raisonnements sur les risques globaux 376
Le chapitre 5. Erreurs sp;cifiques apparaissant dans les discussions sur le danger du d;veloppement incontr;lable de l'intelligence artificielle 387
Le chapitre 6. Erreurs sp;cifiques li;es par les raisonnements sur les risques de l'utilisation des nanotechnologies 397
Le chapitre 7. Les conclusions de l'analyse êîãíèòèâíûõ des alt;rations dans l'estimation des risques globaux 402
Le chapitre 8. Les r;gles possibles pour l'estimation relativement effective des risques globaux 402
La conclusion. Les perspectives de la pr;vention des accidents globaux 404
La litt;rature 405
Les remarques : 417


G.G.Malinetsky. Les r;flexions sur l'inconcevable
       J'envie Proust. En enivrant le pass;, il s'appuyait sur la base tr;s solide : le futur tout ; fait s;r vrai et incontestable. Mais pour nous le pass; est devenu le pass; deux fois, le temps est deux fois perdu, parce qu'ensemble avec le temps nous avons perdu le monde, dans lequel coulait ce temps. Il y avait une rupture. Le mouvement de progression des si;cles s'est interrompu. Et on on ne sait d;j;, quand, ; quel si;cle nous vivons et si sera chez nous au moins quelque futur.
       R.Merl'. «Ìàëüâèëü»
       Le tableau dessin; par moi, doit ;tre pas absolument le tableau de la tristesse compl;te : en effet, les accidents in;vitables est absents, probablement. Et, certes, les chances ;vite l'accident plus, si nous regardons courageusement l'accident en face et nous estimerons son danger.
       A.Azimov. «Le Choix des accidents»
       Un tel livre devait appara;tre. Son temps est venu. Il serait bon qu'elle soit ;crite des ann;es sur 20 plus t;t. Mais le pass; tu ne changeras plus, mais il faut penser du futur, le projeter et comprendre ses dangers, les risques et les menaces.
       Ce livre se trouve ; la limite entre l'aper;u des travaux consacr;s aux sc;narios de l'accident global, accompli au monde, entre l';tude futurologique et l'analyse m;thodologique des approches existant. L'auteur du livre – Alexe; Turchin – aspire ; l'analyse objective, vers le caract;re scientifique, vers la compr;hension int;gre des risques globaux. La dignit; absolue du livre est son honn;tet; intellectuelle, l'aspiration ; la division pr;cise des faits, les r;sultats, les hypoth;ses, les doutes, les conjectures.
       Probablement, plusieurs lecteurs auront une question naturelle, comme l';tude entreprise se rapporte aux travaux concrets de la gestion des risques et la conception du futur, qui sont conduits activement en Russie et dans le monde. Sur la "passerelle", joignant l'analyse des accidents hypoth;tiques et le travail du pronostic et la pr;vention des avaries r;elles, les d;sastres, les situations extraordinaires, probablement, se trouve dire dans la pr;face vers ce livre.
L'instabilit; globale
       … le macroprogr;s est une transformation de la civilisation, dans qui pivot est la technologie, mais on lance le progr;s par la pr;sence de la masse critique des gens qui se sont rendu compte de la n;cessit; de la r;novation du syst;me des valeurs.
       E.Laslo. Le "Macroprogr;s"
       Probablement, notamment maintenant l'humanit; fait le choix le plus important et signifiant dans l'histoire. Dans la th;orie de l'autoorganisation – ñèíåðãåòèêå (mot ; mot, les th;ories de l'action commune) – sont une principalement importante notion la bifurcation. Le mot est venu de la langue fran;aise, o; signifie la bifurcation, le branchage. Comme la bifurcation appellent le changement du nombre ou la stabilit; des d;cisions du type d;fini au changement du param;tre.
       Dans notre cas le param;tre est le temps (plus exactement, historique «le temps lent», comme son historien ;minent fran;ais Fernan Brodel' a appel;). La "D;cision" sont les param;tres les plus importants quantitatifs caract;risant æèçíåóñòðîéñòâî nos civilisations. Et pendant la vie d'une g;n;ration la trajectoire pr;c;dente du d;veloppement perd la stabilit;.
       Le certificat ;vident ; cela est la limite technologique, ; qui la civilisation a convenu. Pour les estimations des ;cologistes, si tout le monde commencerait ; vivre aujourd'hui selon les standards de la Californie, tous les stocks appris des min;raux suffiront selon uns aspects pour les 2,5, selon les autres sur 4. L'humanit; vit au-dessus de ses moyens – en un an il consomme une telle quantit; óãëåâîäîðîäîâ, sur la cr;ation de qui pr;s de la nature partait plus de 2 millions d'ann;es. Il y a quelques ann;es ;tait ïðîéäåí une importante fronti;re – plus de tiers de p;trole a commenc; ; ;tre obtenu sur le plateau continental et des profondeurs oc;aniques. Les campagnes br;siliennes et am;ricaines ont commenc; ; forer ; la mer sur les profondeurs de 2,5 kilom;tres. Cela, jusqu'; quoi il ;tait facile de prendre, est d;j; ma;tris; ou ;puis;.
       La science du XX si;cle n'a pas d;cid; la t;che de la production de la quantit; n;cessaire d';nergie bon march; propre et son accumulation effective. Le certificat ;vident de la crise actuelle mondiale p;troli;re la hausse des prix du p;trole avec 7 (quelques d;cennies en arri;re) jusqu'; 140 dollars pour le barrel. M;me concerne la production de l'alimentation, les sc;narios du d;veloppement ;conomique, les probl;mes s'aggravant ãëîáàëèçàöèè*. Devient ;vident qu'une ancienne trajectoire du d;veloppement de l'humanit; a perdu la stabilit;. Il faut d;lib;r;ment et raisonnablement choisir une nouvelle trajectoire, ou les circonstances la choisiront pour nous.
       ; ñèíåðãåòèêå est montr; que pr;s du point de la bifurcation il a lieu l'instabilit;. Et de petites raisons peuvent avoir de grandes cons;quences. Nous voyons la multitude de signes de l'instabilit; de la r;alit; moderne. De l'instabilit; ;taient toujours le compagnon du d;veloppement de l'humanit;.
       De l'instabilit;, comme montre ñèíåðãåòèêà, portent un diff;rent caract;re. Par exemple, dans les syst;mes lin;aires ils se d;veloppent d'apr;s la loi exponentielle ou que le m;me, selon la progression g;om;trique – au nombre identique des fois pour le temps identique. L'exemple le plus simple d'une telle croissance donne l';quation Ìàëüòóñà.
       . (1)
       Selon la supposition du pr;tre anglais et le professeur l'Est-indien de la compagnie Tomasa Mal'tusa (1766-1834), d'apr;s cette loi grandit le nombre de tous les aspects, y compris la personne. Des math;matiques d';cole on sait la d;cision de cette ;quation N (t) = N0•exp (? t). Si doubler les donn;es initiales, la d;cision augmentera deux fois : la r;sonance proportionnelle ; l'influence – la ligne totale de tous les syst;mes lin;aires.
       C'est la loi tr;s rapide. Conform;ment ; lui, par exemple, d;s 1960 ans, se d;veloppe l'industrie informatique. L; il s'appelle la loi Ìóðà : tous les 18 mois le degr; de l'int;gration des ;l;ments du circuit (mais avec elle et la puissance des ordinateurs) double.
       Il y a cependant des lois encore plus rapides caract;ristiques pour les syst;mes non lin;aires, par exemple, les syst;mes avec la liaison en retour positive. ; eux le rejet provoque la r;action du syst;me augmentant le rejet, augmentant plus fortement, que dans l';quation (1).
       Une telle instabilit;, par exemple, l';quation (2) d;crit
       . (2)
       Mais la loi de la croissance ici le tout ; fait autre
       . (3)
       Il a lieu ici le r;gime avec l'aggravation †, quand la valeur ;tudi;e augmente sans restriction pour le temps limit; tf, qui d;pend des donn;es initiales tf = 1 / ? N0.
       Tout cela n'est pas l'exercice math;matique, mais a la relation directe ; notre pr;sent et le futur. Les ;tudes des derni;res d;cennies le XX si;cles donn; ïàëåîäåìîãðàôîâ, ont montr; que notamment d'apr;s la loi (2), et non d'apr;s la loi (1) grandissait le nombre de l'humanit; ; la longueur de deux millions d'ann;es, et le moment de l'aggravation tf ? 2025.
       La loi (3) d;crit ñèíãóëÿðíîñòü la (particularit;). Les sp;cialistes en la pr;vision avec ñèíãóëÿðíîñòüþ lient le point hypoth;tique dans le temps pr;s de 2030, dans qui une s;rie ïðîãíîñòè÷åñêèõ des courbes partent ; l';ternit;. Plusieurs experts le lient au d;veloppement explosif du progr;s technique, surtout informatsionno-de t;l;communication, nano - bio-et êîãíèòèâíûõ des technologies (la r;duction anglaise NanoBioInfoCogno – NBIC), avec le changement qualitatif de l'humanit;.
       Nous raisonnerons comme les r;alistes se trouvant fermement par la Terre. De nous ne peut pas ;tre infini beaucoup. C'est pourquoi la loi (3), la croissance hyperbolique du nombre de l'humanit; – un principal ressort de l'histoire ; la longueur de plusieurs si;cles – doit changer. Et cela se passe. Se passe dans les derni;res 20 ann;es – ; la longueur de la vie d'une g;n;ration. Il s'agit du changement des algorithmes du d;veloppement de la civilisation. Le plus proche ;v;nement selon l';chelle – la r;volution n;olithique, dans le r;sultat ; qui ; l'humanit; r;ussit ; passer de la chasse et ñîáèðàòåëüñòâà ; l'agriculture et vers l';levage des bovins. Pour les estimations de la s;rie d'experts, au cours de cette r;volution le nombre de l'humanit; a diminu; presque ; 10 fois.
       On jette ; l'humanit; et la science l'appel, compar; avec qui n';tait pas encore. L';tat des ressources, les biosph;res, nous force ; renouveler les soci;t;s ; tr;s terme court de 15-20 ann;es ou radicalement changer toute la composition æèçíåîáåñïå÷èâàþùèõ des technologies (l'ing;nieur ;lectricien, la production de l'alimentation, le transport, la gestion de la soci;t; et plusieurs autres).
       Au fond, il s'agit du type de la bifurcation. ; ñèíåðãåòèêå distinguent les bifurcations molles, au passage de qui les trajectoires apparaissant se trouvent aux alentours ancien, perdant la stabilit;. Et ensuite graduellement, ýâîëþöèîííî s';loignent d'elle au changement du param;tre. Se fait un choix important et responsable, l'essentiel et la signification de qui se r;v;le plus tard, cependant le d;veloppement va ýâîëþöèîííî. C'est la variante du futur, que pr;voit le professeur de S de P. Êàïèöà.
       Mais les bifurcations rigides, quand une proche branche est absente arrivent et il y a, pour ainsi dire, un passage ; une autre branche, assez ;loign;e de la pr;c;dente. Cet ;v;nement r;volutionnaire. On ne veut pas penser que cela attend l'humanit; aux d;cennies plus proches, mais aussi exclure d'une telle variante on ne peut pas. Et le bon sens souffle que, en esp;rant sur le meilleur, il faut compter sur pire et, certes, s;rieusement r;fl;chir ; lui.
       C'est le leitmotiv du livre Mais. V.Turchina. Au fond, elle est premi;re scientifique (autant cela probablement ; l'analyse de tragique, extraordinaire, ne passant jamais) le travail consacr; au cercle donn; des probl;mes. La direction examin;e de l'id;e d;j; quelques d;cennies se d;veloppe ; l'ouest. Les travaux correspondants sont publi;s dans plusieurs revues autoritaires scientifiques, en particulier, ; Nature. Il est naturel de pr;senter cette direction des recherches, qui peut se trouver tr;s importante (qui est pr;venu, celui-l; est arm;) et le lecteur national.
       Dans le point de la bifurcation est tr;s grande l'incertitude. Et les promesses de l'avenir radieux voisine avec les sc;narios apocalyptiques. Mais aussi ceux-l;, et d'autres hypoth;ses doivent ;tre l'objet de la discussion s;rieuse et l'analyse. L'auteur beaucoup a convenu consciencieusement au probl;me. Il poss;de la logique excellente, l';rudition immense, le bon style et une belle capacit; de la classification. N;anmoins, il appelle le livre controvers;. Le pronom "moi" appara;t ; ses pages beaucoup plus souvent, que c'est accept; dans la litt;rature scientifique. Je pense que cette aspiration ; assumer la responsabilit; pour les affirmations faites m;rite le respect.
Psychologique äèñêóðñ
       Tout, tout que menace de la destruction,
       Pour le coeur mortel cache
       Sont inexplicables íàñëàæäåíüÿ –
       Áåññìåðòüÿ peut-;tre le gage!
       Celui est heureux qui parmi âîëíåíüÿ
       De ceux-ci retrouver et administrer pouvait.
       Mais. S Pouchkine
       La peur en g;n;ral et les transes de la mort est en particulier un important composant de la conscience individuelle et collective. La place, qu'il prend, d;pend de l';tat de la personnalit; et la soci;t;. Aux ;poques des changements, l'instabilit;, l'incertitude cette place devient tr;s grande. Sur cela on peut juger par la fronti;re du XX si;cle en Russie – la mode aux m;diums, la mystique, áîãîèñêàòåëüñòâî et áîãîñòðîèòåëüñòâî, Grigory Rasputin pr;s des sommets du pouvoir. Alexe; Turchin non cite par hasard ; titre de l';pigraphe des mots du spectacle, que mettaient les vill;giateurs ; ÷åõîâñêîé ; la "Mouette". C'est les mots sur la fin des temps, quand par la Terre il ne restait plus de rien vivant. Le probl;me de la mort et l'immortalit; – le pivot de n'importe quelle conception du monde religieuse.
       La p;riode critique, le temps du choix et l'incertitude du futur sont ;prouv;e maintenant par notre civilisation. Le projet du Moderne li; aux espoirs du progr;s technique, capable d'am;liorer qualitativement la vie des gens, sur plus effectif, raisonnable et juste æèçíåóñòðîéñòâî, sur le d;veloppement culturel, au devenir de la conception du monde scientifique ;prouve la crise profonde. Lui r;sistent le Postmoderne, ïîñòóëèðóþùèé la pluralit; des sens, les valeurs, de cognition le praticien, les types de la soci;t; et l';l;ment niant de l'objectivit; n;cessaire ; la comparaison, ainsi que la possibilit; elle-m;me du dialogue des cultures, les civilisations, les ;coles. La science dans la tradition postmoderniste est sur une planche avec les sectes religieuses, les m;diums, les extralucides. La philosophie servant dans le Nouveau temps du support du d;veloppement, commence ; d;semparer les bases ìèðîóñòðîéñòâà.« … la mort du Dieu nous tourne non au monde limit; positif, elle nous tourne ; ce monde que se cong;die dans l'exp;rience de la limite, de l'acte de l'exc;s, l'exc;s, l'abus, surmontant cette limite, franchissant par lui, violant lui », – un des classiques de la philosophie du postmodernisme de M Ôóêî ;crit de la m;taphore fondamentale de cette direction –« les morts du Dieu ».
       D'autre part, le projet du Moderne attaque le Contre-moderne li; au retour ; la tradition religieuse, avec le fondamentalisme, avec le refus d'une s;rie apparaissant au cours de la r;alisation du projet le Moderne des normes morales et morales, plusieurs acquisitions de la culture. La place de la science dans la conception du monde est prise par la mystique, la magie, la religion. C'est pourquoi ; un tel fond est social-psychologique m;me examiner les questions examin;es dans le livre, il est tr;s difficile. Et c'est pour cela que Mais. V.Turchin a choisi la forme rationnelle expr;s-s;che de l'aper;u priv;e la coloration ;motionnelle. Et cela semble tr;s raisonnable.
       ;videmment, il y a deux r;actions aux textes de telle sorte. Le premier est total, au niveau de la conscience ordinaire la r;action de la m;fiance. Je citerai l'exemple d'un tel raisonnement : «pourquoi ñòðàøèëêè sont si vivaces ? Eh bien, bien, bien, l'instinct de conservation … mais en effet, on sait que ces menaces, sur lesquelles parlent, et ces menaces, ; qui la personne se heurtera ensuite, se distinguent beaucoup … ainsi pourquoi l'inconscient collectif ne corrigera pas la relation ; la proph;tie des menaces ? Oui il est tr;s simple – non seulement l'histoire ;crite s';crit par les vainqueurs. Ils forment encore collectif inconscient … Voici ainsi et on corrige l'arch;type – les terreurs non r;alis;es s'oublient, mais l'amour vers ñòðàøèëêàì – vit» ‡. Je remarquerai dans les parenth;ses que pour que plusieurs terreurs ne se sont pas r;alis;es, ont ;t; n;cessaires dans nombre de cas les moyens immenses et les efforts de tr;s plusieurs gens.
       Le revers de cette m;daille – les tentatives de d;cider essentiel, social, psychologique, ìèðîâîççðåí÷åñêèå les questions par les moyens technologiques. On peut citer Ici en exemple les projets de la prolongation radicale de la vie (avec l'aide ñòâîëîâûõ des carreaux, les microrobots ou quelque peu autrement), êðèîíèêó (les blocages apr;s la mort, dans l'espoir que les descendants s'occuperont de l'animation, le traitement etc.), plusieurs initiatives du mouvement transhumanitaire. Par exemple, un des militants de ce mouvement, le collaborateur de l'Institut de l'analyse syst;mique de l'Acad;mie des Sciences de la Russie d'A.A.Kononov a propos; de conclure l'accord avec les descendants : «ce sera l'accord entre les g;n;rations! Nous ;crirons dans l'accord que travaillait pour le progr;s, d;pla;aient les technologies de la r;surrection, et les descendants nous ressusciteront.» §
       J'avais l'occasion d';tre sur le s;minaire, o; on examinait le projet Ãå÷âîê ("l'Arche" au contraire), o; on examinait la cr;ation des villes ; la profondeur de plusieurs kilom;tres sous la terre, qui seront utiles sur le cas de la collision de la Terre avec l'ast;ro;de gigantesque …
       Peuvent m'objecter, ayant dit que les r;veurs il est n;cessaire, et m;me citer en exemple russe êîñìèñòà N.F.Fedorova, l'auteur de la philosophie de la Cause commune li;e ; la r;surrection de tous les gens mourant, qui a exerc; une grande influence sur les savants de la plus haute distinction – le p;re de l'astronautique de K.E.Tsiolkovskogo et le fondateur ãåëèîáèîëîãèè – A.L.Chizhevskogo. Les r;veurs sont n;cessairs en effet. Mais amen; ici confirme seulement la r;gle – avec quel amour et la sagesse il faut se rapporte aux gens, en trouvant qu'ils m;ritent la r;surrection … Ici on voit aussi qu'au d;part profond ìèðîâîççðåí÷åñêèå les questions, et ensuite les ;tudes et les technologies …
       La science est aussi la partie de la culture et, naturellement, l'image la plus ;troite se trouve li; avec d'autres parties, en sentant sur lui-m;me l'esprit du temps.
       Il est facile d'observer ce ph;nom;ne psychologique ; l'exemple de quelques livres li;s ; tr;s lointain avenir et aux menaces globales, qui il porte.
       La Bible scientifiquement – la r;volution technique – «la Somme des technologies» (le d;but de 60 ann;es) **. D'aucuns doutes sur ce que l'on r;ussira ; surmonter toutes les barri;res sur les voies du d;veloppement technologique, social psychologique et parer toutes les menaces, qui peuvent appara;tre sur cette voie infinie.
       Le r;veur ;minent et le vulgarisateur de la science Àéçåê Àçèìîâ. Le livre consacr;
Aux accidents globaux : «le Choix des accidents» (la fin du XX si;cle). Son r;dacteur, le professeur de S d'A.Stepanov parfaitement a dit Sur ce livre : «c'est le livre brillant, tranquille de cognition, n;anmoins, appartient vers cette ;poque, qui part avec la derni;re d;cennie ÕÕ le si;cle. Àçèìîâ – comme le r;veur et comme le vulgarisateur de la science – est ;lev; par les si;cles de l'humanisme. Pour lui« la lumi;re naturelle de la raison », multipli; sur l'effort du g;nie, est par cette force, qui est capable de transformer les forces inconnues de la nature et le d;but irraisonnable dans l'essentiel humain …
       Dis me, quoi tu crains, et je dirai, qui toi. La personne de l';poque humanitaire craint les dangers, ; qui lui indique le bon sens : l';puisement des ressources naturelles, un mauvais gouvernement, la folie des savants, l'abondance des taches au soleil …
       Pour apprendre, quoi craint la personne moderne de la rue », il suffit de regarder les films, qui lui plaisent. La personne moderne craint personnel inconscient, l'impossibilit; du contr;le ;puisant des d;buts int;rieurs. Il craint que cr;era l'essentiel, qui supprimera son le plus (le mutant, le robot, le superordinateur). Il craint qu'il y a une loge cach;e des cosmopolites, qui gouverne la vie ;conomique et politique, ayant invent; pour ïîðàáîùåíèÿ des masses populaires Internet et les m;dias. Il craint beaucoup les nouveaux venus malfaisants proclamant d'absolument autres valeurs, que l'humanit;. Il ne croit pas aux comptes rationnels statistiques et suppose que la Terre dans un proche avenir attend la collision avec la com;te …
       Comment appeler l';poque ; venir ? Que de cela se soucie l';poque suivant. On peut seulement supposer que le si;cle futur ; quelque chose sera plus proche ; une ancienne perception du monde c par la relation magique ; la r;alit; et la sensation mystique de la pr;sence de l'Interlocuteur, proposant – une l'autre est plus int;ressant ; la personne de l';nigme ». ††
       Cette mode a abord; les vulgarisateurs, et les savants. Aux ;tats-Unis est n; le genre entier de la litt;rature consacr;e ;, comment dispara;tront avec le temps les traces du s;jour de la personne par la Terre, si un beau jour tous les gens disparaissent. On examine S;rieusement les probl;mes, qui appara;tront chez les cosmologues dans 100 trillions des ann;es et le probl;me de la finale : «nous, trouvons le Cross-country et Øåððåð qu'observ; Log; dans le lointain avenir attend le collapsus au trou noir que se passera au d;but et avec notre Galaxie» ‡ ‡.
Le probl;me de l'outil
       — Quelle probabilit; qu';tant sorti de l'examen vous rencontrerez le dinosaure ?
       — ?
       — Pourquoi ?
       — Parce que je d'il ou la rencontre, ou ne rencontrerai pas.
       De la conversation ; l'examen
       Les math;matiques sont la langue. Mais l'utilisation elle-m;me de la langue ne garantit pas la richesse du fond du jugement exprim; dans cette langue. Du math;maticien – l'outil effectif et pr;cieux. Cependant l'utiliser il faut raisonnablement et d'orifice.
       Non l'exception est le calcul des probabilit; (faisant l'impression illusoire de la simplicit;, l';vidence et le caract;re scientifique dans la conscience massive). L'utilisation âåðîÿòíîñòíûõ des arguments et les estimations dans le livre Mais. V.Turchina est un des moments "controvers;s". En effet, qu'est-ce que c'est la probabilit; ? Si partir sur la formulation priv;e, il faut mettre N des exp;riences identiques, ; n qui il y avait un ;v;nement nous int;ressant. Dans ce cas
        (4)
       Certainement, nous n'avons pas de possibilit; de mettre infiniment beaucoup d'exp;riences, et nous devons juger sur la probabilit; pn ; la base d'; des observations que donne la signification approch;e de cette valeur p (M). Et la th;orie math;matique montre autant p (M) il sera proche de la probabilit; v;ritable.
       Mais en effet, quand nous parlons sur la probabilit; des accidents globaux, qui, heureusement, n';tait pas, se servir du rapport (4) ou quelque chose par la chose semblable simplement on ne peut pas. Ici N = 0!
       Il n'y a pas de proph;te dans la patrie, et c'est pour cela qu'est convertible chez les proph;tes ;trangers pour montrer les lacunes typiques dans la logique de l'application de l'appareil math;matique. C'est la formule Ôðýíêà Äðåéêà pour le nombre des civilisations extra-terrestres (la rencontre avec qui Mais. V.Turchin, probablement, non sans raisons porte vers les risques globaux).
       , (5)
       O; N – le nombre des civilisations extra-terrestres, R – le nombre des ;toiles se formant chaque ann;e dans l'univers, P – la probabilit; de la pr;sence de l';toile pr;s du syst;me plan;taire, Ne – la probabilit; de ce que parmi les plan;tes se trouve la plan;te du type terrestre, sur qui la naissance de la vie est possible, L – la probabilit; de la naissance r;elle de la vie sur la plan;te, C – la probabilit; de ce que la vie raisonnable a suivi l'exemple du d;veloppement technologique, a ;labor; les moyens de communication et souhaite entrer en contact, T – le temps moyen, sur l';tendue de qui souhaitant entrer en contact la civilisation envoie les radiosignaux ; l'espace.
       Selon la forme le rapport (5) a l'air tout ; fait scientifiquement, mais est au fond d'une belle eau l'imaginaire avec le sujet, les suppositions et la morale. Dans cette formule un peu trop les inconnus, les significations de qui il est incompr;hensible en principe, comme peuvent ;tre d;finis.
       Nous admettrons la valeur R les astrophysiciens et les cosmologues, bien que dans le contexte de l'expansion de l'univers d;couverte avec l'acc;l;ration, la mati;re sombre et c'est la question non ;vidente peuvent estimer.
       Sur la valeur P encore r;cemment en g;n;ral de rien on ne pouvait pas dire – les astronomes pr;s des ;toiles except; le Soleil ne voyaient pas les plan;tes. ; dernier dix avec petit des ann;es ; l'astronomie il y avait une r;volution – on r;ussit ; examiner les syst;mes plan;taires pr;s de centaine avec superflu des ;toiles. Et les questions sur «le groupe terrestre», sur «la composition de l'atmosph;re» est un bord de devant de la science, et ici aussi le temps pour les jugements d;finis n'est pas venu.
       La valeur Ne part sur l'admission pas du tout ;vidente que pour la naissance de la vie la plan;te du groupe terrestre est n;cessaire.
       Plusieurs investigateurs croient la probabilit; de la naissance r;elle de la vie L … que la vie par la Terre est unique. Ôðýíñèñ laur;ats Nobel trouvent le Cri (ouvrant la spirale double de l'ADN) et encore quelques que la vie ne pouvait pas du tout na;tre par la Terre et est apport;e chez nous de l'espace. J'avais l'occasion de participer au programme de la Pr;sidence de l'Acad;mie des Sciences de la Russie consacr;e äîáèîëîãè÷åñêîé et les stades pr;coces de l';volution biologique (c'est-;-dire l'origine de la vie). Et les chefs du programme, l'acad;micien H;. M Ãàëèìîâ, a pos; la question devant les investigateurs : «Quelles conditions suffisantes de l'apparition de la vie ?» Malgr; les efforts s;rieux de plusieurs sp;cialistes principaux, ; en juger par les faits, cette t;che par le savant non selon les dents.
       Sur l'estimation de deux autres nombres ; additionner encore plus exotiques et les paroles sont absentes.
       Par une forte partie du travail donn; Mais. V.Turchina est l'attention s;rieuse vers les questions m;thodologiques, on leur donne la partie assez grande du livre. Ici, probablement, moi se trouve aussi apporter l'obole. Apparemment, avec la notion la "probabilit;" il y avait une aberration de la perception. Je l'expliquerai ; l'exemple concret.
       ; l'estimation des projets ;conomiques, technologiques scientifiquement-technologiques, y compris avec un haut niveau du risque, ; partir de XVI si;cle, se servent (au d;part par intuition, mais puis et d;lib;r;ment) de la formule
       , (6)
       O; S – l'utilit; attendue du projet, i – le num;ro du sc;nario possible, selon qui peuvent se d;velopper les ;v;nements, N – le nombre total des sc;narios examin;s, pi – la probabilit; de la r;alisation de l'i-;me sc;nario, xi – les b;n;fices ou les pertes en cas de l'i-;me sc;nario. La valeur xi, et les probabilit;s correspondantes – les valeurs objectives estim;es ; la base de l'exp;rience pr;c;dant. Les math;matiques actuarielles ont cr;; les m;thodes correspondantes, et les compagnies d'assurance se servent. C'est la base de l'estimation objective du risque. (Les probl;mes, qui sont examin;s aussi dans les math;matiques appliqu;es, sont li;s ; l'analyse et la modification de la formule (6) dans le cas o; S = ?. En cas des risques globaux nous avons affaire notamment ; cette situation, si dans le j-;me sc;nario il s'agit de la destruction tout vivant, S = ?).
       Cependant dans le XX si;cle ; l'analyse de la conduite des agents ;conomiques ;tait ;clairci que les gens, les compagnies, les ;tats, en prenant les d;cisions, assez partent souvent sur un autre rapport
       , (7)
       O; Ì – le nombre des sc;narios pris en consid;ration, gi (pi, xi) – la probabilit; subjective, c'est-;-dire la repr;sentation des personnes prenant les d;cisions, de la probabilit; i du-;me sc;nario, hi (pi, xi) – l'estimation subjective des b;n;fices et les frais en cas de l'arriv;e i du-;me sc;nario.
       La probabilit; subjective d;pend des installations psychologiques des chefs, les traditions, la l;gislation accept;e. Dans plusieurs son estimation est paradoxale. Par exemple, les ;tudes psychologiques montrent que pr;s de la plupart des gens gi (pi, xi) = 0, si pi <10 5, n';tait pas grand quoi que le pr;judice. En d'autres termes, si, quelque chose arrive ; un de 10 000, la personne est d'habitude assur;e qu'avec celui-ci de rien de la chose semblable ne se passera pas §§. C'est-;-dire, la probabilit; subjective – les "ombres" de la probabilit; objective, sa ressemblance parfois tr;s ;loign;e de l'original.
       Cependant, aux derni;res d;cennies «la probabilit; subjective» a re;u le droit de cit; et a commenc; ; se promener selon les pages des monographies, les manuels, les revues scientifiques (la formule Äðåéêà – l'exemple spectaculaire). Les probabilit;s des accidents globaux ;tudi;e dans le livre Mais. V.Turchina est bien souvent les probabilit;s subjectives.
       Ces valeurs – l'outil utile ; la tenue des ;tudes sociologiques ou est sociales-psychologiques, pour l'estimation du pessimisme ou l'optimisme des experts. Cependant vers l'essentiel de l'affaire ils peuvent ne pas avoir d'aucune relation. Et s'il n'y a pas d'objet (la probabilit; objective), la probabilit; subjective reste en l'air, acquiert non rationnel, mais le caract;re intuitif ou ;motionnel, devient l'ombre de l'objet inexistant.
       Encore une finesse m;thodique. Pour les avaries ordinaires et les d;sastres la loi est caract;ristique pour la distribution de la densit; de la probabilit; du pr;judice des gauss. La croissance des gens, le coefficient de l'intellectualit; et d'autres caract;ristiques et les capacit;s de la personne sont distribu;e d'apr;s cette loi :
       , (8)
       O; ? (x) – la densit; de la probabilit; de la variable al;atoire, M – son attente math;matique? 2 – la dispersion. Pour cette distribution il a lieu «la loi de trois ñèãì» – la probabilit; de ce que la variable al;atoire sortira de l'intervalle (M 3 ?, M+3) fait moins de 0,3 %. Les "Queues" de cette distribution baissent tr;s vite et on peut n;gliger la probabilit; des rejets gigantesques.
       Cependant, pour les tremblements de terre, les inondations, les trombes, boursier êðàõîâ, le pr;judice de la fuite de l'information confidentielle, les avaries aux stations atomiques ont lieu une tout ; fait autre statistique.
       . (9)
       C'est la statistique grave avec «les queues lourdes», ici les rejets gigantesques on ne peut pas n;gliger. Cela rappelle le monde terrible et surprenant des contes de f;e orientaux, auxquels les g;ants et le djinn agissent. La chance de les rencontrer est tr;s petit, mais la rencontre avec eux peut changer tout.
       Vraiment, dans le XX si;cle il y avait un tremblement de terre, qui a emport; plus de 1 million de vies, l'inondation, dans le r;sultat de qui il y avait sans abri plus de 28 millions personne, et l'avarie de Tchernobyl, le pr;judice de qui a exc;d; les pertes de tous les autres accidents dans l';lectronucl;aire.
       Est grande la tentation, ; partir de la loi (9), estimer les pr;judices li;s aux superaccidents, la probabilit; des risques globaux. Cependant, la formule (9) – l'approche, qui ; quelque niveau "se coupe" par les propri;t;s du syst;me, qui a les limites et les restrictions.
       C'est pourquoi il semble raisonnable, en examinant les risques globaux et leur aspect quantitatif, en s'appuyant sur les math;matiques et les r;sultats des sciences naturelles, concentrer l'attention sur trois directions :
       * La r;v;lation des proc;s de n'importe quels ph;nom;nes catastrophiques. Selon les estimations, par exemple, la hauteur de l'onde du tsunami ne peut pas exc;der le kilom;tre. Les estimations analogues existent pour une s;rie d'autres d;sastres;
       * Concret, d;j; les mod;les construits et ;tudi;s de plusieurs situations extraordinaires : des explosions nucl;aires, les r;sultats de la collision avec les ast;ro;des, les ;pid;mies, les diffusions des virus informatiques et une s;rie d'autres. Est Ici l'estimation, et les sp;cialistes, et l'exp;rience de l'analyse. Dans le livre sur plusieurs est mentionn;, mais dans les travaux suivants il faut l'analyse plus concr;te. Le dieu, et les lignes dans les d;tails.
       * Le passage du calcul des probabilit; des accidents globaux vers la th;orie de la possibilit; de tels ;v;nements. Les bases math;matiques de cette approche ;taient mises ces derni;res ann;es par le professeur Þ.». Potable. D'autant plus que dans le livre il y a quelques sc;narios tr;s int;ressants et non ;vidents du d;veloppement global íåóñòîé÷èâîñòåé.
       Probablement, tout cela sera examin; en d;tail dans les livres suivants consacr;s ; ces extr;mement importants sujets.
; la poursuite des pr;curseurs
       Toutes les mesures, qui peuvent augmenter quand m;me dans quelque mesure la s;curit; doivent ;tre accept;es, par quel ;trange, ; premi;re vue, ils ne semblaient pas.
       De l'intervention ; la conf;rence sur l'activit; antiterroriste.
       
       Chez moi, comme probablement et les lecteurs plusieurs autres pour la premi;re fois qui ont pris ce livre ; la main avaient une question : si a le sens examiner tous ces sc;narios tragiques, d'autant plus que les probabilit;s de chacun d'eux sont tr;s pas grandes, mais les donn;es scientifiques sur correspondant íåóñòîé÷èâîñòÿõ sont fragmentaires, mais sont douteux en plusieurs cas ? S'il faut enlever par le savant le pain aux r;veurs et les auteurs des thrillers ?
       Cependant, sur ces questions il y a des r;ponses convaincantes. Des raisons pour la relation s;rieuse ; telles ;tudes un peu.
1. L'analyse et la pr;vention des risques globaux sont capable de parer ou ;loigner les dangers de l';chelle plan;taire.
       L'exemple spectaculaire – les travaux du modelage des proc;s climatiques, qui pr;s de trente ans en arri;re ;taient conduits dans le Centre informatique ÀÍ l'URSS sous la conduite de l'acad;micien N.N.Moiseeva. L'ensemble cr;; ; cette ;poque-l; de programme permettait aux investigateurs de modeler le syst;me l'atmosph;re – l'oc;an – la biosph;re. L'estimation des cons;quences de l';change gradu; par les coups nucl;aires entre les superpuissances est devenue un des r;sultats du modelage. Les comptes pass;s sous la conduite de Í N.Moiseeva et V.V.Aleksandrova ont montr; que "l'hiver nucl;aire» et le changement de la circulation globale de l'atmosph;re serait devenu la cons;quence d'un tel ;v;nement de longue dur;e. Ces r;sultats se sont conform;s aux donn;es des savants am;ricains travaillant sous la conduite de K.Sagana.
       Ce travail a re;u une large c;l;brit;, elle ;tait rapport;e dans le Congr;s des ;tats-Unis, le Vatican, sur la multitude de forums internationaux. En fin de compte, elle est devenue un des arguments signifiants aux n;gociations sur le contr;le des armements strat;giques dirig;s pour ne pas admettre un tel ;change pour les coups nucl;aires, ainsi que - le point de d;part pour la multitude de travaux ult;rieurs de cette direction.
       La situation pareille avait lieu avec le programme am;ricain des "guerres des ;toiles" li; ; la conclusion de divers types de l'arme ; l'espace. Le mod;le du professeur de G.Majer-Kressa, montrant est devenu un des arguments contre ce programme que la pr;sence antisatellite et ïðîòèâîïðîòèâîðàêåòíîãî de l'arme non seulement n'augmentera pas la s;curit; d'aucun des parties, mais aussi en tout aggravera rudement la situation et aura l'effet d;stabilisant. Celui-ci et les arguments plusieurs autres ont permis de remettre aux dizaines des ann;es la cr;ation de l';chelon spatial des armements, absolument, gros des risques globaux.
       La renaissance de l'initiative spatiale de la d;fense dangereusement et sur la spire suivante. En septembre 2006 l'administration du pr;sident Bush a approuv; une nouvelle doctrine nationale spatiale des ;tats-Unis, conform;ment ; qui ;tats-Unis «ne reconnaissent pas la restriction du droit fondamental des ;tats-Unis r;aliser l'activit; et recevoir l'information dans l'espace». Trois mois apr;s la Chine ;taient supprim;s par le compagnon m;t;orologique, ayant engendr; une grande quantit; de fragments dans l'espace ***.
       Ici nous nous heurtons ; un nouveau risque strat;gique. Pendant plusieurs ann;es dans l'Institut des math;matiques appliqu;es par lui. M de V.Keldysha de l'Acad;mie des Sciences de la Russie travaille le groupe de l'analyse des ordures spatiales, traquant les trajectoires plus de 30 mille objets dans l'espace. Pour les estimations des sp;cialistes de ce groupe, la situation avec les ordures spatiales, et donc, et avec la s;curit; des mises en marche des vaisseaux spatiaux ult;rieurs, s'aggrave vite.
       En d'autres termes, en l'absence des mesures sp;ciales il y avoir se passer «un passage de phase» – la Terre dans la perspective peut se trouver sans segment spatial òåõíîñôåðû avec toutes les cons;quences d;coulant d'ici.
2. L'analyse des cons;quences globales de l'activit; de la personne permet plus ad;quatement d'estimer ces risques, qui sont sous-estim;s.
       En 2007 au Minist;re de situations d'urgence de la F;d;ration de Russie il y avait un conseil Expert des situations extraordinaires, dans qui les savants principaux de la Russie travaillant dans ce domaine et une s;rie des chefs du minist;re sont entr;s. L'analyse pass;e par le conseil des ;tudes conduites dans le pays a montr; que l'on donne ; quelques importants blocs des dangers maintenant en Russie ;videmment pas assez d'attention. Parmi eux
       * «Les avaries hypoth;tiques» (de ceux-ci examinent ; c;t; des "protozoaires" et «çàïðîåêòíûìè») – les ;v;nements extr;mement peu probables avec le pr;judice gigantesque (l'exemple – l'avarie De Tchernobyl, – avant qu'elle s'est pass;e la probabilit; de la situation extraordinaire d'une telle classe estimaient comme 10 6 an 1 – une avarie ; un million d'ann;es, l'avarie sur les quais maritimes de sondage, qu'il y avait d;j; des dizaines, et la probabilit; de qui ; la conception est estim;e 10 7 an 1).
       * Les nouvelles g;n;rations des actes de terreur, les victimes de qui peuvent devenir centaines de mille et des millions personne (un tel attentat peut avoir les cons;quences globales, ayant r;duit «le seuil impossible» dans la conscience de la soci;t; et les ;lites, juste comme c';tait fait en temps et lieu par les bombardements am;ricains nucl;aires d'Hiroshima et Nagasaki).
       * Les risques post-industriels li;s au vieillissement de l'infrastructure, les d;chets accumul;s, les pollutions cr;;es au stade industriel du d;veloppement. Par exemple, dans l';tat dangereux se trouve pr;s de 50 r;servoirs d'eau, certains de qui soutiennent selon 6-8 kilom;tres cubiques de l'eau. Ils ;taient construits du compte dans 50 ans, qui ont pass; d;j;. La modernisation de ces constructions (la grosses r;paration, la reconstruction, probablement, avec la descente des r;servoirs d'eau) – grand, lourd et la question en suspens. En m;me temps la rupture de telles digues peut amener aux cons;quences tr;s lourdes changeant la relation vers òåõíîñôåðå, et vers la s;curit;, et vers la vie humaine.
       * Les risques de la nouvelle g;n;ration des technologies. Aux ;tats-Unis et dans le monde se d;veloppe activement NanoBioInfoCogno – le paradigme technologique et scientifique. Dans chacune de ces sph;res il y a des menaces tr;s s;rieuses. Aux ;tats-Unis, par exemple, les dizaines des centres c;r;braux sont prises par l'analyse des sc;narios du d;veloppement des nanotechnologies, l'estimation de leurs risques et les m;thodes ïàðèðîâàíèÿ des futurs dangers. Autant que je sache, en Russie les travaux semblables ne sont pas commenc;s.
3. Les syst;mes complexes sont beaucoup plus fragiles, qu'il semble ; premi;re vue. La garantie de leur s;curit; est ins;parable de l';tude de tels objets et la cr;ation des syst;mes effectifs du monitoring et la gestion des risques de leur d;veloppement et le fonctionnement.
       La complexit; appara;tra tr;s souvent comme le r;sultat de l'adaptation, le r;glage du milieu ambiant et l'entourage. Ce r;glage peut amener ; l'apparition des m;canismes sp;cifiques et les liens prichinno-d'instruction, qui au changement des conditions peuvent amener vers íåóñòîé÷èâîñòÿì, ayant les ;chelles gigantesques. Et le temps de la sortie de la situation de sous le contr;le dans ces syst;mes peut ;tre tr;s petit. De plus, les syst;mes complexes, effectifs bien prot;g;s ont d'habitude le talon d'Achille (le paradoxe d'Achille) – le paiement pour la capacit; ; r;agir au changement de l'entourage, en corrigeant les strat;gies et en reconstruisant la structure.
       On peut amener ; titre d'exemple les finances mondiales – le dispositif de commande le plus important par l';conomie mondiale. Son instabilit; s'accro;t pr;cipitamment. Les r;sultats de son ;chec peuvent maintenant faire des cons;quences, compar; avec les cons;quences de la guerre mondiale. Cela peut amener ; la formation du nouveau syst;me æèçíåóñòðîéñòâà, avec les nouveaux sens, les valeurs, les algorithmes du d;veloppement (l'analogue plus proche – les si;cles sombres, dans qui a pass; l'humanit;). C'est la voie vers la crise plan;taire syst;mique, dans le r;sultat de qui plusieurs, cr;; aux si;cles pr;c;dents, peut s'adresser contre l'humanit;.
4. Sur la discussion de plusieurs menaces globales, les bases de l';tre des civilisations s;par;es, la future humanit;, est en r;alit; inflig; au tabou qu'est tr;s dangereux.
       * Les probl;mes de l';chelle d;finie se trouve quoi qu'en dehors de l'aire d'influence de la communaut; scientifique et la conscience massive. Les probl;mes insignifiants secondaires couvrent les essentiels. Les livres semblables au travail d'A.Azimova et Mais. V.Turchina, aident ; ajuster l';chelle des ;chelles de ces ph;nom;nes, qui doivent inqui;ter l'humanit;.
5. Une grande attention m;ritent les pr;curseurs des accidents extraordinaire avant l';chelle.
       L'histoire des accidents du XX si;cle montre que les cataclysmes gigantesques et les accidents destructeurs technog;nes avaient d'habitude des pr;curseurs – les malheurs du m;me type, en voie de d;veloppement selon le sc;nario pareil, mais beaucoup une plus petite ;chelle. Et ces pays, qui ont pu estimer leur sens et la signification et prendre les mesures n;cessaires, ont ;vit; plusieurs ;v;nements tragiques. Les ;tats, ignorant des pr;curseurs, subissaient souvent les pertes immenses. Dans le Minist;re de situations d'urgence de la Russie on acceptait en temps et lieu le principe : «chaque accident doit apprendre». Et beaucoup mieux apprendre, en comprenant les pr;curseurs, qu'en ;prouvant l'accident global.
       L'extrapolation (suite) – la proc;dure incorrecte (de petites erreurs dans les donn;es initiales peuvent amener ; de grandes erreurs dans le pronostic), mais d'autre part – et extr;mement important. Au fond, c'est un des moyens les plus importants ;viter les dangers. Nous citerons l'exemple r;cent concret montrant que l'extrapolation raisonnable pourrait sauver centaines de mille vies.
       Maintenant la Russie prend les positions principales dans le monde dans le domaine du pronostic ; moyen terme des tremblements de terre (1-5 ann;es). Toutes les m;thodes principales dans le monde s'appuient sur les approches ;labor;es dans l'Institut de la physique de la terre de l'Acad;mie des Sciences de la Russie et d;velopp;es ; pr;sent dans l'institut International de la g;ophysique math;matique et la th;orie du pronostic des tremblements de terre de l'Acad;mie des Sciences de la Russie.
       ; la suite des ;tudes pass;es il y avait une m;thode tr;s effective du pronostic des tremblements de terre pr;s de 8 points. L'essentiel de cette approche est proche de l'id;e du barom;tre ou le thermom;tre. Le barom;tre m;me sans d;cision des ;quations d;crivant le dynamisme, "tombe" du temps variable, et s'il "tombe" tr;s fortement, on peut attendre la temp;te. Le thermom;tre m;dical montrant la temp;rature du corps est plus haut 37 ?, parle sur la n;cessit; de faire l'attention ; l';tat de l'organisme.
       Les donn;es des dispositifs sismiques, îñðåäíåííûå selon le cercle du diam;tre de 1333 kilom;tres (notamment sur un tel territoire se pr;parent les tremblements de terre 8-de bal), permettent de former 8 ôóíêöèîíàëîâ – les analogues de la temp;rature ou la pression pour l';corce terrestre. Puis s'organisera le monitoring et quand 7 ôóíêöèîíàëîâ exc;dent la ligne dangereuse (qui est d;fini ; la base de la pr;histoire se trouvant sismique de la r;gion), on annonce l'alarme †††.
       En d;cembre 2004 le tremblement de terre gigantesque ; l'oc;an Indien a engendr; l'onde du tsunami, qui, dans le compte final, a emport; les vies plus de 300 mille personnes. ; la surprise des investigateurs, il se trouva qu'il n';tait pas pr;dit par les centres principaux mondiaux s'occupant du pronostic des tremblements de terre. Si un tel pronostic ;tait, ce serait une puissante motivation pour la cr;ation des syst;mes de la pr;vention. En pr;sence de tels syst;mes on r;ussirait ; r;duire le nombre des victimes, pour les estimations expertes, jusqu'; 5 mille personnes.
       L'analyse r;trospective a montr; la raison de cette erreur. Au cours du travail pr;c;dant il n'y avait pas tremblements de terre 9-de bal. Les tremblements de terre d'une telle force se pr;parent sur le territoire du cercle par le diam;tre de 3000 km. Personne, sans attendre le tremblement de terre gigantesque, n'analysait pas simplement telles ;chelles spatiales. L'erreur ;tait que les ;v;nements de l';chelle gigantesque exc;dant tout âèäåííîå, n'avaient pas en vue simplement.
       En faisant le bilan, on peut dire que le livre Mais. V.Turchina peut jouer un grand r;le positif dans la gestion des risques strat;giques. Non tout dans elle est irr;prochable, et avec certaines estimations et les approches on voudrait discuter. Et, probablement, dans le futur vers ces probl;mes il faut revenir.
       Cependant l'essentiel pour que ce futur ait lieu. Ici l'estimation raisonnable scientifique des sc;narios des accidents possibles globaux, ; qui on consacre le livre, est tr;s importante.
       

N.Bostrom. Le Mot d'introduction
       
       La multitude de savants acad;miques d;pense la masse du temps, en pensant de la multitude d'objets. Malheureusement, les menaces ; l'existence de l'aspect humain ne sont pas encore un d'eux. Nous devons esp;rer que cette situation changera, et il est possible, le livre donn; stimule plus d';tudes de ce probl;me.
       Je tentais d';tudier de divers aspects de ce probl;me, mais les ;tudes des menaces ; l'existence se trouvent encore dans le niveau rudimentaire. Je vois ces probl;mes comme une importante partie de la t;che immense se trouvant devant nous. Dans la mesure de la croissance de nos possibilit;s technologiques et ;conomiques et dans la mesure de la croissance de notre compr;hension scientifique, nous devons de plus en plus soigneusement et critiquement r;fl;chir aux questions r;ellement gradu;es se trouvant devant l'humanit;. Nous devons convenir ; ces questions, au moins, avec le m;me niveau de l'attention vers les d;tails et la s;v;rit; analytique, quel nous attendons des ;tudes scientifiques des moyens de la multiplication de la mouche de fumier ou la structure des anneaux du Saturne. Nous connaissons que les r;v;lations sur ces petits objets viennent non de l'air, et il ne nous faut pas attendre que la sagesse sur ? ëüøèõ les probl;mes sera atteinte plus facilement. Mais si nous entreprenons les efforts, et si nous t;chons d';tre intellectuellement honn;tes, et si nous utilisons la quantit; immense d;j; les connaissances accumul;es relevantes scientifiques, nous, probablement, atteindrons le progr;s d;fini avec le temps. Et ce sera le d;p;t essentiel dans le bien de l'humanit;.
       
       Íèê Áîñòðîì, Oxford, le 7 d;cembre 2007.

La pr;face

La menace ; l'existence est cette menace, dans qui l'issue n;gative ou supprime la vie raisonnable qui est apparu par la Terre, ou est irr;versible et r;duit consid;rablement son potentiel.
N.Bostrom. «Les Menaces ; l'existence : l'analyse des sc;narios de la disparition humaine».
       
       Si dans le XX si;cle la possibilit; de la disparition de l'humanit; contactait en premier lieu la menace de la guerre globale nucl;aire, au d;but de XXI nous pouvons sans effort appeler plus de dix diverses sources des risques de l'accident irr;versible global pour l'essentiel cr;;s par le d;veloppement des nouvelles technologies, et le nombre cela grandit constamment. L';tude de cette question reste en arri;re ;trangement sur les questions plusieurs autres plus priv;es qu'est visible quand m;me par la quantit; des travaux scientifiques ; ce sujet. (Probablement est telle la propri;t; de la nature humaine : en temps et lieu Äåéë Êàðíåãè se plaignait que dans la biblioth;que il y a beaucoup de livres sur les vers (worm), mais il n'y a pas de livres sur "l'inqui;tude" (‘ worry ’) – o; ; un plus important sujet.) Les probl;mes de l';puisement du p;trole, le futur de l';conomie chinoise ou la mise en valeur de l'Espace attirent beaucoup plus de l'attention, que les accidents irr;versibles globaux, mais les ;tudes, ; qui de diff;rents aspects des accidents globaux sont compar;s l'un avec l'autre, se rencontrent moins souvent, que les discussions objectives sur les risques s;par;s. Il semble cependant absurde examiner le futur de la civilisation humaine avant que l'on re;oit l'estimation raisonnable de ses chances de la survie. M;me si ; la suite d'une telle ;tude nous apprenons que le risque ïðåíåáðåæèìî est petit, dans tous les cas consid;rablement cette question ;tudier. Mais, malheureusement, je peux dire ; la fois que nous ne recevrons pas un tel r;sultat encourageant. Monsieur Martin Ris1 estime les chances de la survie de l'humanit; dans le XXI si;cle comme 50 sur 50, et j'incline ; ce que c'est l'estimation tout ; fait argument;e.
       Le livre propos; au lecteur «la Structure de l'accident global» est consacr; peu de sujet ;clair; dans la litt;rature nationale : ; l'aper;u syst;matique «des menaces ; l'existence», c'est-;-dire les risques de la destruction irr;versible de toute la civilisation humaine et la disparition de la personne. Le but de ce livre – donner un aper;u large et au maximum authentique du sujet. De plus, cependant, le livre porte le caract;re controvers;. Elle est appel;e tant ; ne pas donner les r;ponses d;finitives, il est combien de pousser l'id;e du lecteur et de cr;er le sol pour les discussions ult;rieures. Plusieurs hypoth;ses exprim;es peuvent se montrer trop radical. Cependant, en parlant sur eux, je me guidais par "le principe de la pr;caution», qui recommande d'examiner plus mauvais des sc;narios r;alistes, quand il s'agit de la garantie de s;curit;. Le crit;re du r;alisme des sc;narios pour moi est ce qu'ils peuvent appara;tre ; la pr;servation du rythme actuel du d;veloppement des technologies pendant le XXI si;cle et ne violent pas les lois connues de la physique.
       L';tude du caract;re des menaces globales et eux âåðîÿòíîñòíàÿ l'estimation sont n;cessaires pour d;finir, autant est grand le risque et quelles mesures il faut accepter en ce qui concerne lui. Et bien que dans ce livre on examine les mesures possibles pr;ventives, il n'y a pas ici de recette universelle de la lib;ration des risques globaux. On ne voudrait pas inspirer cependant au lecteur la sensation de l'imminence de la destruction. Je crois que, malgr; les difficult;s et les risques, attendant l'humanit; dans le XXI si;cle, les gens ont la chance de survivre et, de plus, construire le monde plus parfait. Cependant la pr;servation de l'humanit; est la condition sine qua non pour n'importe quel monde parfait. De nouveau, dans ce livre nous n'examinons pas la question sur celle quel pourrait ;tre le monde parfait, dans laquelle les nouvelles technologies sont utilis;es au bien, et non pour la destruction.
       Dans ce volume vous trouverez ma monographie «la Structure de l'accident global», ainsi que trois articles des autres auteurs dans l'application ; elle, les sujets n;cessaires ; la compr;hension plus claire. La monographie comprend deux grandes parties – proprement les ;tudes des risques et la m;thodologie de l'analyse. L'analyse des menaces concr;tes dans la premi;re partie comprend leur liste au maximum d;taill;e avec les r;f;rences aux sources et l'analyse critique. Puis on ;tudie les effets syst;miques de la coop;ration des diff;rents risques, on examine les moyens âåðîÿòíîñòíîé les estimations des risques globaux et d'autres questions, li;es ; celles-ci. La m;thodologie propos;e dans la deuxi;me partie, comprend pour l'essentiel l'analyse critique de la capacit; de la mentalit; humaine vers la pr;diction et l'estimation des risques globaux ‡ ‡ ‡. Elle peut ;tre utile, avec de petits changements, et dans n'importe quelles autres ;tudes futurologiques. Dans le m;me paragraphe on donne une s;rie de recommandations comment il faut r;aliser notamment l'analyse des risques [ò1].
       Des documents de l'Application, il faut, en premier lieu, marquer l'article novateur du savant am;ricain E.Judkovski «l'intelligence artificielle comme le facteur positif et n;gatif du risque global», pour la premi;re fois traduit par moi en russe. §§§ E.Judkovski – le collaborateur scientifique principal Singularity Institute du (Institut Singuljarnosti) en Californie, qui s'occupe de l';laboration du syst;me de l'intelligence universelle artificielle et les probl;mes de sa s;curit; ("convivialit;"). Il est l'auteur de quelques travaux des probl;mes de la cr;ation des syst;mes ÈÈ (l'intelligence artificielle) et la garantie de leur "convivialit;", a introduit la conception autod;veloppant Ðîñòêîâîãî ÈÈ (Seed AI), ;crivait beaucoup des probl;mes de la futurologie et possible Technologique ñèíãóëÿðíîñòè – l'acc;l;ration rude du d;veloppement des technologies dans le futur. Son institut a ;labor; «SIAI les recommandations sur la cr;ation amical ÈÈ» 2, qui pr;tendent pour commencer le standard de branche dans la s;curit; ÈÈ.
       Íèê Áîñòðîì – su;dois [ò2] le savant et le philosophe pr;sidant l'institut Future of Humanity («le Futur de l'humanit;») ; Oxford, l'auteur des ;tudes selon l';thique, les calculs des probabilit;s, la futurologie et la philosophie. La partie de ses travaux du calcul des probabilit;s est consacr;e peu connu en Russie au paradoxe logique appel; Doomsday argument, nous traduirons le nom de qui comme «le Th;or;me selon la Fin de la lumi;re». Il y a beaucoup de diff;rentes opinions sur son authenticit;, la fausset; et les fronti;res de l'applicabilit;, cependant il nous semble important faire conna;tre au lecteur cette direction de l'id;e moderne. C'est pourquoi dans l'Application le lecteur peut prendre connaissance de l'article Íèêà Áîñòðîìà «l'Introduction au Th;or;me selon la Fin de la lumi;re pour les d;butants». Bien que la communaut; scientifique avec la prudence examine ce probl;me, les articles sur elle sont publi;s dans la revue am;ricaine Nature dans le paragraphe de l'hypoth;se que parle sur le niveau d;fini de la reconnaissance.
       Enfin, le collaborateur scientifique de l'Institut de l'analyse syst;mique de l'Acad;mie des Sciences de la Russie, le candidat des sciences d'A.A.Kononov dans l'article «les d;buts Id;ologiques de la th;orie totale íåóíè÷òîæèìîñòè les humanit;s» convient au probl;me des risques globaux du point de vue de la strat;gie, ; savoir, la n;cessit; de la r;alisation de la t;che «íåóíè÷òîæèìîñòè les humanit;s». Il nous semble important publier ici cet article, puisqu'elle pr;sente l'int;r;t augmentant parmi les savants russes vers les probl;mes des menaces globales et dessine les perspectives de la d;cision de ce probl;me [ò3].
       Si a le sens en g;n;ral ;crire en russe des accidents globaux ? Je pense qu'a, pour les raisons suivantes :
       1. Ce sujet est peu ;clair; dans la litt;rature russe et est rendue sur la ferme aux sectateurs de type diff;rent et les pr;dicateurs de l'apocalypse. Les ;tudes principales ne sont pas traduites (apr;s l'exception environ 10 articles selon le probl;me, traduit par moi en 2006-2008). La discussion ouverte de ces questions peut ;tre int;ressante non seulement les sp;cialistes, mais aussi le grand public.
       2. Le retard technologique de la Russie n'est pas tellement grand pour servir de la garantie de ce que chez nous on ne peut pas ;laborer les technologies dangereuses et il y a des produits dangereux ; leur base. Au contraire, la F;d;ration de Russie poss;de le potentiel technique pour le d;veloppement de plusieurs aspects des technologies dangereuses, en premier lieu, dans le domaine de l'arme nucl;aire et biologique. Il y a aussi dans notre pays des groupes travaillant au domaine de II. Sont pass;s et âûñîêîýíåðãåòè÷íûå les exp;riences physiques.
       3. La Russie plus d'une fois ; l'histoire ou d;passait le monde dans d'importantes ;laborations technologiques (le compagnon, la premi;re personne dans l'espace), ou les menait ; la limite gradu;e le ("Roi-bombe"). En outre sur le territoire de l'URSS se sont pass;s certain les plus grand dans la g;n;ration dans l'histoire de l'accident (×åðíîáûëü).
       4. L'irresponsabilit; et la corruption influen;ant l'organisation de la production ("peut-;tre", le "recul", l'orientation vers le profit ; court terme), ont amen; ; ce que l'on ne donne pas aux questions de la s;curit; assez d'attention. G.G.Malinetsky dans les livres et les expos;s dessine le tableau d;sastreux dans le domaine de la pr;vention des accidents technog;nes en Russie. Les accidents globaux attirent encore moins d'attention.
       5. L'information sur les risques li;s aux nouvelles technologies cr;;es ; l'ouest, p;n;tre dans la conscience massive plus lentement, que les technologies elles-m;mes, et ? ëüøàÿ la partie des travaux au sujet des risques globaux n'est pas traduite jusqu'ici en russe.
       6. L'absence du contr;le rigide permet d'exister ; un grand nombre des concepteurs ill;gaux des programmes informatiques («les pirates russes»), et il peut ;tre extr;mement dangereux, si le m;me se passe dans le domaine des biotechnologies.
       7. La Russie a h;rit; de puissantes contradictions g;opolitiques et le "complexe d'inf;riorit;" ; la suite de la d;sagr;gation de l'URSS («ïîñòèìïåðñêèé le syndrome») que peut contribuer ; la r;alisation des projets dangereux.
       8. Les publications peuvent exercer en russe l'influence positive sur la science ;trang;re et l'opinion publique, en augmentant «la saturation du mercredi» par l'information sur les risques globaux. Les obtentions uniques des investigateurs russes peuvent apporter le d;p;t dans la cause commune du sauvetage du monde et la civilisation. La litt;rature russe sera aussi accessible dans les pays de la CEI. Plusieurs ;tudiants russes dans le futur apprendront ou travailler dans les institutions ;trang;res, en transf;rant les connaissances accumul;es dans notre pays. Il y a un groupe assez consid;rable des investigateurs ;trangers lisant en russe ou l'origine russe.
       9. La Russie peut se trouver dans les circonstances, quand son existence elle-m;me comme les parties du grand monde, se trouvera d;pendant des circonstances ext;rieures vers elle, et l'acceptation rapide des d;cisions ad;quates dans les conditions du manque aigu de l'information deviendra n;cessaire. Dans ce cas il y aura un besoin de l'information et les gens. La compr;hension claire par les gouvernements des diff;rents pays de la nature des risques globaux est n;cessaire.
       10. La largeur et la libert; de la conception du monde, comme j'esp;re, propre aux penseurs en Russie, peut donner un nouveau regard sur les probl;mes humains, ouvrir nouveau de la vuln;rabilit; et indiquer les nouvelles voies de la pr;vention des risques globaux.
       11. Si notre pays ïîçèöèîíèðóåò d'; titre de la grande puissance, d;veloppe les nanotechnologies, va participer au projet du vol sur le Mars etc., elle doit jouer le r;le de confiance dans la garantie de s;curit; de toute l'humanit;.
       Plusieurs, dit ici sur la Russie, se rapporte et ; d'autres pays, par exemple, vers l'Inde et la Chine, o; les technologies se d;veloppent vite, mais la culture de la pr;vention des risques est aussi basse.
       Je vois aussi le sens profond que mon livre sort sous l';gide de l'Institut de l'Afrique de l'Acad;mie des Sciences de la Russie. La vie raisonnable par la Terre est n;e au continent Africain, et au m;me endroit pour la premi;re fois elle s'est trouv;e sur ãðàíå de la disparition, quand 74 000 ans en arri;re ont amen; les cons;quences de l';ruption du supervolcan Òîáà (sur le territoire de l'Indon;sie moderne) au refroidissement de longue dur;e du climat, et ont mis Homo sapiens sur la limite de la disparition. En Afrique d'aujourd'hui se d;ploient plusieurs ;v;nements, qui peuvent servir des mod;les locaux des risques civilisables, en premier lieu — l';pid;mie totale de SIDA et ëåêàðñòâåííî de la tuberculose stable. ; l'Ouganda en 1999 âîçíêëî la mycose dangereuse UG99 frappant le bl;, et sa diffusion en Afrique et apr;s ses limites menace de la famine mondiale. L'Uranus utilis; dans la bombe, enlev; sur Hiroshima, ;tait obtenu ; Congo. Sur le territoire du Gabon on d;couvrait le r;acteur unique naturel uranique, dans qui la r;action en cha;ne ;tait soutenue ; naturel çàëåæàõ de l'uranium. Et jusqu'ici sur ces mines il y a une production, bien que l'on ne sait pas, ; qui cet uranium est livr;. La relation de la personne aux hominiens de l'Afrique – les chimpanz;s et les gorilles, mettant, particuli;rement dernier, sur la limite de la disparition, peut ;tre l'avertissement pour tout ceux qui croit que l'intelligence artificielle surpassant humaine, sera absolument bonne ; la personne.
       Je veux exprimer la reconnaissance aux gens, qui m'ont soutenu pendant l'orthographe de ce livre. En premier lieu je veux remercier E.Judkovski et N.Bostroma, qui m'ont inspir; ; l';tude du sujet des risques globaux par les articles clairs et per;ants, ainsi qu'ont permis de publier aimablement les traductions de ces articles sur le Russe. Absolument, ce livre ne pourrait pas appara;tre sans cette influence, qu'E.D.Plavinskaja a donn; sur moi. Je suis reconnaissant Et. V.Sledzevskomu, qui a aid; ; donner la forme finie ; ma narration et a mis la masse des efforts sur son ;dition. Est particuli;rement grande ma reconnaissance au conseil De coordination du Mouvement Russe Transhumanitaire en personne Valery Prajd et Danily Andr;;vitch Medvedeva, l'aide donnant mat;rielle et morale dans l';dition de ce livre. Je peux exprimer la reconnaissance au premier professeur de M de M Àëëåíîâó, donnant ; moi le mod;le de la clart; et la sagacit; de l'id;e. Je suis reconnaissant ; ma m;re Ksenia Bogemsky, mon p;re Valery Turchinu, le fils Stanislav et sa m;re Anna Sobolevoj, contribuant par l'existence elle-m;me ; mon travail, ainsi que ma marraine Natalia Segal. Je suis reconnaissant ; tout ; celui je ne peux pas appeler qui du nom, y compris les lecteurs de mon blog, qui m'ont aid; par les commentaires innombrables.
       Mais. V.Turchin


       

Les termes
       Dans ce travail la s;rie de termes est utilis;e dans les significations suivantes (plus en d;tail chaque terme sera expliqu; dans le texte) :
       Doomsday argument – le Th;or;me selon la Fin de la lumi;re, ou parfois le raisonnement sur la fin de la lumi;re du Carter-lesli, en abr;g; – DA.
       La NBIC-convergence – signifie la tendance observ;e dans la science moderne ; la fusion et l';change d'information, les m;thodes et les r;sultats entre quatre technologies cl;s nano-bio-info-cogno.
       L'agent – la substance, le virus, la bact;rie ou n'importe quel autre facteur se r;pandant de l'influence causant la mort.
       L'accident global – l';v;nement amenant ; la disparition irr;versible de tous les gens. Les ;v;nements, qui abordent tout le monde, mais n'am;nent pas ; la disparition totale, s'appellent dans ce texte «de tr;s grands accidents».
       "Amical" ÈÈ – universel fort ÈÈ, le syst;me des buts de qui est arrang; ainsi qu'il ne fera pas du tort aux gens et diminuera le risque de l'accident global. Sa contrari;t; – hostile ÈÈ, le syst;me des buts de qui conduit ; la mort des gens et m;me la disparition de l'humanit;.
       La loi Ìóðà – se rapporte initialement au redoublement du nombre des transistors sur les microprocesseurs toutes les deux ann;es. En parlant sur la loi Ìóðà, nous aurons en vue la loi Ìóðà au sens large du terme, comme le proc;s de la croissance exponentielle de la s;rie de technologies cl;s avec la p;riode du redoublement dans quelques ann;es.
       ÈÈ – l'intelligence Artificielle comprise comme l'intelligence Universelle artificielle, capable vers le perfectionnement moral et n'importe quelle activit; intellectuelle accessible ; la personne.
       La voiture du dies irae, l'arme du dies irae – n'importe quelle installation, la substance ou le moyen, qui sont ;labor;s sp;cialement pour la destruction d;finitive et irr;versible de l'humanit;.
       Les erreurs – en anglais ‘ cognitive biases’ que l'on peut traduire comme les "pr;ventions" ou «les rejets au cours des raisonnements», ou, si utiliser le terme exact psychologique, «êîãíèòèâíûå les alt;rations».
       Le monde postapocalyptique – celui que la Terre, au cas o; sur elle il y aura un tr;s grand accident peut devenir, cependant survivra quelque nombre de gens.
       Les supertechnologies – les principalement nouveaux moyens de l'influence sur le monde ext;rieur, capable lui transformer et/ou cr;er enti;rement les risques globaux, en premier lieu cela íàíî, áèî, êîãíî et les Ii-technologies
       Ñèíãóëÿðíîñòü – le point hypoth;tique dans le temps du c;t; de 2030, quand une s;rie ïðîãíîñòè÷åñêèõ des courbes partent ; l';ternit;. Contacte la croissance extr;mement rapide du progr;s technique, particuli;rement les ordinateurs, nano - et les biotechnologies, les ;tudes du cerveau et les syst;mes ÈÈ et suppose le changement qualitatif de l'humanit;. Le terme est mis en usage Âåðíîðîì Âèíäæåì en 1993.
       La structure de l'accident – la corr;lation des erreurs scientifiques, les d;fauts d';tudes, les erreurs d'op;rateur et la r;action en cha;ne des facteurs de la destruction conduisant ; l'accident.
       
       

L'introduction
       
       Les gens, les lions, les aigles et les perdrix, les cerfs cornus, les oies, les araign;es, les poissons silencieux habitant dans l'eau, les ast;ries et ceux qui on ne pouvait pas voir par l'oeil donc les vies, toutes les vies, toutes les vies, ñâåðøèâ le cercle triste, se sont ;teints... D;j; mille si;cles, comme la terre n'a pas aucun essentiel vivant, et cette lune pauvre allume inutilement la lanterne. Sur la prairie ne se r;veillent plus avec le cri les grues, et les hannetons il n'arrive pas est audible dans les bois de tilleul. Froidement, froidement, froidement. Est vide, vide, vide. Terriblement, terriblement, terriblement.
A.P.Chehov. La "mouette"
       
       Bien que des livres avec l'aper;u total du probl;me des risques globaux soit publi; dans le monde un peu, s'est dessin;e d;j; la tradition d;finie dans la discussion de l'objet. Elle comprend dans la discussion de la m;thodologie, la classification des risques possibles, les estimations de leur probabilit;, les moyens de la protection et puis – l'aper;u des paradoxes logiques li;s ; ce probl;me, ; savoir, «les Th;or;mes selon la Fin de la lumi;re» (Doomsday argument). De la source la plus essentielle moderne selon le probl;me trois. C'est le livre de l'astrophysicien Dzh. Ëåñëè «la fin de la lumi;re. La science et l';thique de la disparition humaine» 3, 1996, monsieur de Martin du Riz «Notre derni;re heure» 4, 2003 et le recueil des articles sous la r;daction Í Áîñòðîìà «les Risques de l'accident global» 5, 2008 Encore une fois nous nous adresserons ; la litt;rature se trouvant dans le paragraphe «l'histoire Br;ve de l';tude de la question» dans le 1-er chapitre, y compris nous mentionnerons les travaux des auteurs sovi;tiques et russes, cependant, trois livres ;num;r;s seront nos points d'appui principaux.
       Le livre propos; au lecteur se distingue consid;rablement des livres des pr;d;cesseurs, en premier lieu, la largeur de l'aper;u. Par exemple, dans l'article Þäêîâñêè6 est examin;, bien que soit tr;s d;taill;, seulement les 10 erreurs possibles syst;matiques influen;ant l'estimation des risques globaux, tandis que dans notre livre on entreprend la tentative de dresser leur liste compl;te ins;rant 150 points. ;galement dans le paragraphe consacr; ; la classification des risques, sont mentionn;s plusieurs risques, sur qui il n'y a pas de paroles dans un de trois livres. Si compter les risques tous possibles, y compris ïîäêàòåãîðèè et compos;, leur nombre aussi peut franchir facilement centaine qu'exc;de la somme des 15 risques examin;s Áîñòðîìîì7. Enfin, je propose la classification des variantes du Th;or;me selon la Fin de la lumi;re, quoi est absent dans les sources ;trang;res connues ; moi.
       La particularit; du livre propos; est l'aper;u d;taill; critique des divers moyens de la protection contre les risques globaux. De plus j'aspirais ; donner le regard syst;mique sur le probl;me, qui permettrait de s'arracher au virement des divers risques et voir cela total qu'est dans chacun d'eux, ainsi que - comme de diff;rents risques, en se liant, peuvent former la structure. Notamment on explique ; ceux-ci le choix du nom du livre.
       Le travail donn; est adress; par n'importe quel futur et ; pr;sent aux organisations existant, qui pr;viendront les accidents globaux ou selon la g;n;ration de l'activit; leur se heurter, y compris les gouvernements, les instituts scientifiques, les services secrets, les militaires et les fonds non gouvernementaux, leurs chefs et les collaborateurs, ainsi que les futurologues, de jeunes savants et tout, qui d'une mani;re int;ressante futur les humanit;s. Le but du travail – donner le tableau des risques de l'accident global d;finitif. Est en vue l';v;nement, qui, au dire de Áîñòðîìà, «exterminera la vie raisonnable par la Terre ou est irr;versible endommagera son potentiel» 8. La disparition compl;te de tous les gens est la forme la plus probable d'un tel ;v;nement, et ensuite d'apr;s le texte sous les mots «l'accident global» sera en vue notamment cet ;v;nement.
       

La partie 1. L'analyse des Risques

Le chapitre 1. Les Remarques g;n;rales
L'espace des possibilit;s
       Dans la premi;re partie du livre nous esquisserons et nous analyserons «l'espace des possibilit;s», dans lequel il y avoir se passer un accident global.« L'espace des possibilit;s »– le terme remontant au livre« l'Imaginaire et la futurologie »de Stanislav Lema. Il est oppos; aux repr;sentations sur les sc;narios s;par;s et les possibilit;s. Ëåì am;ne les comparaisons suivantes pour l'explication de ce terme : bien que la quantit; de partis possibles d';checs infiniment, la description elle-m;me des r;gles du jeu et les principes de base de la strat;gie prenne le volume final et óìîïîñòèãàåìî. ; titre d'exemple il am;ne l'espace des possibilit;s de" la guerre Froide », qui ;tait donn; par l'apparition de la technologie d;finie, et ; l'int;rieur de qui se d;ployaient n'importe quels sc;narios de l'opposition : la crise Des Cara;bes, la course aux armements etc. La description des sc;narios est pratiquement inutile, puisque, bien que chacun puisse ;tre intriguant beaucoup, la probabilit; notamment ses r;alisations est extr;mement petite. Plus dans le sc;nario des d;tails concrets, moins il est probable – bien que la visibilit; de la vraisemblance de cela augmente. D'autre part, l'analyse des sc;narios s;par;s nous donne la tranche de l'espace des possibilit;s, et c'est pourquoi est utile.
       Un des moyens les plus importants de l'acquisition de la s;curit; – le compte des sc;narios tous possibles conform;ment ; leurs probabilit;s, c'est-;-dire la construction de "l'arbre des refus». Par exemple, la s;curit; des transports a;riens est atteinte, en particulier, pour le compte de ce que l'on prend en consid;ration les sc;narios de toute sorte de l'accident jusqu'au niveau d;fini, exactement calcul; du risque. La description de l'espace des possibilit;s de l'accident global poursuit le but de sa pr;vention. Donc, il doit se concentrer sur ces points cruciaux, la gestion par qui permettra de r;gler le risque comme on peut du nombre plus grand des sc;narios possibles catastrophiques. En outre la description doit donner l'information confortable pour la compr;hension et utile pour pratique utilisation – et il est d;sirable que cette information soit adapt;e pour ces consommateurs, qui r;aliseront la pr;vention directe des risques globaux. Cependant la t;che de la d;finition de ces consommateurs n'est pas simple elle-m;me.
       Ferez l'attention qu'; la lecture uns moments peuvent se vous montrer ;vident, les autres int;ressant, mais troisi;me – les b;tises criantes. Ferez aussi l'attention, autant votre r;action se distinguera de la r;action d'autres, pas moins form;, que vous, les gens. Cette dispersion des estimations est, en fait, la mesure de l'incertitude dans ce que nous connaissons et nous pouvons conna;tre le futur.
       Toute l'information est prise des sources ouvertes amen;es dans la liste de la litt;rature.
Le laps de temps examin; : le XXI si;cle
       Il y a deux diverses classes des pronostics – sur ce que se passera notamment, et quand cela arrivera. Le pronostic id;al doit r;pondre ; deux ceux-ci de la question. Cependant, puisque jusqu'; l'id;al dans les pronostics d'habitude loin, uns pronostics vaut mieux on dit qu'est, mais les autres quand. On peut recevoir le meilleur r;sultat en ce qui concerne le temps de l';v;nement, n'examinant pas du tout l'essentiel r;el des ;v;nements, mais en analysant les ;v;nements d'apr;s les statistiques. Par exemple, si conna;tre que la r;cession aux ;tats-Unis arrive en moyenne une fois de 8 ann;es avec la dispersion plus le moins deux ans, on peut bien deviner le temps de la r;cession suivante, sans examiner ; elle en r;alit; les raisons. C d'une autre partie, en analysant les raisons fondamentales des ;v;nements, on peut faire l'erreur consid;rable dans l'estimation du temps de leur arriv;e, qui d;pend souvent d'accidentel et íåâû÷èñëèìûõ des facteurs. Par exemple, nous pouvons affirmer sans faute que t;t ou tard du c;t; de la Californie il y aura un puissant tremblement de terre par la force jusqu'aux 9 points, li; avec le changement de l';corce oc;anique sous continental, c'est-;-dire nous connaissons qu'il y aura un tremblement de terre, mais nous ne connaissons pas, quand.
       En ;tudiant les accidents globaux possibles dans le XXI si;cle, nous dans notre travail tentons de r;pondre aux deux questions, puisque nous d;crivons non seulement leurs m;canismes, mais aussi nous affirmons que ces m;canismes peuvent se r;aliser pendant quelques dizaines plus proches des ann;es. Probablement, certains lecteurs il sera plus facile d'admettre la possibilit; de la r;alisation de ces m;canismes non par 30, mais, nous admettrons, dans 300 ans. Tels lecteurs peuvent dire que, ; partir du principe de la pr;caution, nous examinons le sc;nario le plus dangereux du d;veloppement le plus rapide de la situation, et qu'est possible en effet que les m;mes ;v;nements se passeront consid;rablement plus tard. Mais il faut remarquer que R.Kurtsvel, en examinant la question de l'acc;l;ration des rythmes du temps historique et la vitesse du progr;s technologique, propose de trouver le XXI si;cle ;gal par le volume des innovations aux 20 000 ans pr;c;dents du d;veloppement humain.
       Dans notre livre on analyse les menaces ; l'existence de l'humanit;, qui peuvent appara;tre et se r;aliser pendant le XXI si;cle. Apr;s cette fronti;re l'incertitude est tellement grande que nous ne pouvons pas maintenant de rien ni pr;dire, ni pr;venir. De plus, probablement, m;me la fronti;re de 2100 est trop ;loign; (voir ensuite sur le pic ïðîãíîñòè÷åñêèõ des courbes du c;t; de 2030).
       Certains sc;narios ont les cons;quences d;finies, qui peuvent se faire sentir apr;s le XXI si;cle (par exemple, l';l;vation de la temp;rature globale), et dans ce cas nous les examinons. La fronti;re de la 2100-;me ann;e nous permet de ne pas examiner ; titre des risques de l'accident global les ;v;nements spatiaux ;loign;s dans le temps, comme la transformation du Soleil en le g;ant rouge. On prend cette fronti;re non par hasard. Notamment 100 ans sont le d;lai caract;ristique pour les accidents globaux, et non 1 an, non et non 1000 est 10 ans deviendra ;vident de l'analyse ult;rieure des risques concrets.
       Autrement dit, n'importe quelles combinaisons des sc;narios amen;s plus bas de l'accident global peuvent se r;aliser pendant quelques dizaines plus proches des ann;es. Cependant puisque je comprends que mon estimation du temps contient, probablement, l'erreur insurmontable, je l';largis jusqu'; 100 ans. Cependant mon estimation du temps peut contenir et l'erreur en sens inverse que signifie que chez nous est absent ni de cent ans, ni vingt, mais seulement quelques ann;es jusqu'; ce moment, quand la probabilit; de l'accident global atteindra le maximum. (Puisque ïîãîäîâàÿ la probabilit; de l'accident global grandit, et puisque ne peut pas se prolonger ainsi ;ternellement, cette densit; de la probabilit; a une certaine bosse, qui signifie le moment du temps, quand la probabilit; de cet accident est maxima – sur, s'il l'y aura dans quelques ann;es, dans 23 ans ou dans 100 ans et il y a une conversation. Plus en d;tail cette question sera examin;e dans le paragraphe «l'Imminence de l'acquisition de l';tat stable» les chapitres 19 «Ìíîãîôàêòîðíûå les sc;narios».) Certainement, il y a une probabilit; qu'elle arrivera et demain, cependant je l'examine comme insignifiant.
       En r;alit;, en parlant sur le XXI si;cle en tout, j'inspire, probablement, le sentiment faux du calme, puisqu'il y a une classe des sources des risques globaux, la probabilit; de l'apparition de qui augmentera consid;rablement dans les 10-20 ans ; venir. Les paroles vont, en premier lieu, sur les applications dangereuses pratiques des biotechnologies (voir plus loin dans le chapitre 4). C'est pourquoi il est possible, il fallait parler sur la premi;re moiti; du XXI si;cle. Autrement dit, les accidents globaux peuvent arriver non ; nos descendants, ; savoir avec nous. J'admets que pour la personne vivant maintenant ordinaire la chance de mourir de l'accident global plus haut que la probabilit; de la mort naturelle.
Les probl;mes du calcul des probabilit;s des divers sc;narios
       Je commencerai par la citation de l'essai «Sur l'impossibilit; de la pr;vision» S Ëåìà : «Ici l'auteur proclame la vanit; des pr;visions du futur fond;es sur âåðîÿòíîñòíûõ les estimations. Il veut montrer que l'histoire comprend enti;rement les faits, tout ; fait inconcevable du point de vue du calcul des probabilit;s. Le professeur Kouska transf;re le futurologue imagin; au d;but du XX si;cle, ayant octroy; de ses toutes connaissances de cette ;poque pour lui donner la s;rie de questions. Par exemple :« Si tu trouves probable qu'ouvriront bient;t le m;tal argent;, semblable au plomb, qui est capable de supprimer la vie par la Terre, si deux h;misph;res de ce m;tal avancer l'un ; l'autre pour que le globe r;sulte la valeur avec un grand orange ? Si tu trouves possible que cette vieille cal;che, ; qui monsieur Bents a fourr; le moteur stridulant par la capacit; ; 1,5 chevaux, bient;t se propagera ainsi que des vapeurs ;touffantes et les gaz d';chappement dans de grandes villes le jour s'adressera dans la nuit, mais fourrera ce char quelque part tellement difficilement que dans les m;galopoles les plus vastes du probl;me il ne sera pas plus difficile que celle-ci ? Si tu trouves probable que gr;ce au principe des p;tards et les coups de pied les gens pourront se promener bient;t selon la Lune, mais leurs promenades ; une m;me minute verront dans centaines de millions de maisons par la Terre ? Si tu trouves possible qu'il y aura bient;t des corps c;lestes artificiels approvisionn;s en les installations, qui permettront de suivre de l'espace n'importe quelle personne au champ ou dans la rue ? S'il est possible, ; ton avis, de construire la voiture, qui sera mieux te jouer aux ;checs, composer la musique, traduire d'une langue sur l'autre et accomplir pour quelques minutes du calcul, que pour toute la vie n'accompliraient pas tout dans le monde les comptables et les comptables ? Si tu trouves possible que bient;t au centre de l'Europe il y aura des fabriques immenses, auxquelles noieront les fourneaux par les gens vivants, et en outre le nombre de ceux-ci malheureux exc;dera des millions ? »Il est clair, le professeur Kouska parle qu'en 1900 seulement l'ali;n; reconna;trait tous ces ;v;nements au moins un peu probable. Mais en effet, ils se sont accomplis. Mais s'il est arriv; total de l'invraisemblance, de quel cela ñòàòè arrivera soudain l'am;lioration cardinale et d;sormais ce commencera ; se r;aliser seulement qu'il nous semble probable, possible et possible ? Pr;disez le futur, comme voulez, il s'adresse aux futurologues, ne construisez pas seulement les pr;dictions sur les plus grandes probabilit;s...».9
       Le tableau propos; des risques globaux et leur coop;ration provoque l'un avec l'autre le d;sir naturel de calculer les probabilit;s exactes de n'importe quels sc;narios. Il est aussi ;vident que de plus nous nous heurtons aux difficult;s consid;rables. C'est li; ; l'insuffisance importante de l'information dans nos mod;les, l'imperfection des mod;les eux-m;mes, ainsi que - avec le caract;re chaotique de tout le syst;me.
       D'autre part, l'absence de quelques estimations nivelle la valeur des constructions. De plus, la r;ception de certaines estimations num;riques m;me est absurde aussi, si nous ne connaissent pas, comment nous les appliquerons. Nous admettrons, nous ;claircirons que la probabilit; de l'apparition dangereux hostile ÈÈ fait 14 % dans les dix ans ; venir. Comment ; nous appliquer cette information ? Ou, s'il y aura quand m;me un accident global ayant l'estimation de la probabilit; ; 0,1 %, nous n'apprenons pas en tout cas, quel ;tait en effet la probabilit;, puisque cet ;v;nement unique, et n'est pas clair, de quelle multitude se fait l'extrait. Autrement dit, le fait lui-m;me de l'accident ne nous dira rien sur, s'il y avait cet ;v;nement r;gulier, ou nous simplement n'avions pas de chance beaucoup.
       Je me base sur ce que les estimations de la probabilit; il est n;cessaire, avant tout, pour la prise de d;cisions sur celui-l;, ; quels probl;mes se trouve accorder l'attention et les ressources, mais quel on peut n;gliger. Cependant, le prix de la pr;vention des diff;rentes classes des probl;mes est divers : il est assez facile pr;venir uns, mais les autres il est en r;alit; impossible. C'est pourquoi pour le calcul des probabilit;s nous nous servirons áàéåñîâîé de la logique **** et la th;orie de la prise de d;cision dans les conditions de l'incertitude. R;sult; ; la suite du nombre seront les probabilit;s non r;elles (au sens par les distributions statistiques des diff;rents risques globaux selon la multitude de sc;narios possibles), qui nous sont inconnus, mais nos meilleurs estimations subjectives de ces probabilit;s.
       Ensuite, un tel calcul doit prendre en consid;ration la succession temporaire des diff;rents risques. Par exemple, si le risque Mais a la probabilit; ; 50 % dans la premi;re moiti; de XXI s., mais le risque – 50 % dans la deuxi;me moiti;, nos chances r;elles de p;rir du risque – seulement 25 %, parce que dans la moiti; des cas nous jusqu'; lui ne vivrons pas.
       Enfin, pour de diff;rents risques nous voulons recevoir ïîãîäîâóþ la densit; de la probabilit;. Je rappellerai que l'on doit appliquer ici la formule de l'accroissement continu des pour-cent, comme en cas de la d;sint;gration radioactive. (Par exemple, ïîãîäîâîé le risque de 0,7 % donnera 50 % de la disparition de la civilisation en 100 ans, 75 % pour 200 et 99,9 % en 1000.) cela signifie que n'importe quel risque donn; sur un certain laps de temps, on peut r;gler sur la "demi-vie", c'est-;-dire le temps, sur qui il signifierait 50 % la-;me probabilit; de la disparition de la civilisation.
       Autrement dit, la probabilit; de la disparition pour la p;riode du temps [0; T] est ;gale :
       P (T) = 1 – 2,
       O; Ò – le temps de la semi-d;sagr;gation. Alors ïîãîäîâàÿ la probabilit; sera P (1) = 1 – 2, le tableau Suivant montre le rapport de ces param;tres calcul; avec l'aide de la formule cit;e ci-dessus pour de diff;rentes conditions initiales.
       Le tableau 1. Le lien du temps attendu de l'existence de la civilisation avec ïîãîäîâîé par la probabilit; de la disparition.
       
T0 — La p;riode, pour qui l'accident global arrivera ; la probabilit; 50 % :
P (1) — la probabilit; de l'accident global dans l'ann;e ; venir, le %
P (100) — la probabilit; de la disparition de la civilisation en 100 ans (c'est-;-dire vers 2107ã). Du %
1–P (100) — les chances de la survie de la civilisation en 100 ans :
La p;riode de la disparition garantie avec la probabilit;
99,9 %, les ann;es :
       10 000
       0.0069 %
       0,7 %
 99,3 %
       100 000
       1 600
       0.0433 %
       6 %
 94 %
       16 000
       400
       0.173 %
       
       12,5 %
 87,5 %
       4 000
       200
       0.346 %
       25 %
 75 %
       2 000
       100
       0.691 %
       50 %
 50 %
       1 000
       50
       1,375 %
       75 %
 1 vers 4
       500
       25
       2,735 %
       93,75 %
 1 vers 16
       250
       12,5
       5,394 %
       99,6 %
 1 vers 256
       125
       6
       10,910 %
       99,9984 %
 1 vers 16 536
       60
       
       Ferez l'attention ; la partie inf;rieure de ce tableau, o; m;me une tr;s grande r;duction des chances de la survie pour tout le XXI si;cle ne change pas dans une grande mesure la "demi-vie" T0, qui reste au niveau de l'ordre de 10 ann;es. Cela signifie que m;me si les chances d';prouver le XXI si;cle sont tr;s petits, en tout cas nous avons presque sans faute encore quelques ann;es jusqu'; «la fin de la lumi;re». D'autre part, si nous voulons ;prouver le XXI si;cle sans faute (faire 1–P (100) comme on peut plus haut), nous devons approcher ïîãîäîâóþ la probabilit; de la disparition P (1) pratiquement du z;ro.
       Dans notre m;thodologie nous avons examin; la liste par environ 150 erreurs possibles logiques, qui peuvent changer de mani;re ou d'autre l'estimation des risques. M;me si le d;p;t de chaque erreur fera pas plus d'un pour-cent, le r;sultat peut se distinguer de juste ; des fois et m;me sur les ordres. Quand les gens entreprennent quelque chose pour la premi;re fois, ils sous-estiment d'habitude le caract;re risqu; du projet ; 40-100 fois qu'est visible ; l'exemple ×åðíîáûëÿ et ×åëëåíäæåðà. (; savoir, la navette ;tait compt;e sur une avarie sur 1000 vols, mais une premi;re fois s'est bris;e d;j; sur le 25-;me vol, comme souligne Þäêîâñêè que, parle que l'estimation de la s;curit; ; 1 vers 25 serait plus juste qu'; 40 fois moins d'estimation initiale; les r;acteurs ;taient construits avec le compte une avarie sur un million d'ann;es, mais la premi;re avarie gradu;e s'est pass;e dans environ 10.000 stations-ann;es de l'exploitation, c'est-;-dire, l'estimation de la s;curit; ; 100 fois plus bas serait plus exacte.) E.Judkovski dans l'article fondamental «les erreurs Syst;matiques aux raisonnements influen;ant l'estimation des risques globaux» 10 am;ne l'analyse de l'authenticit; des ;nonciations des experts sur de diverses valeurs, qu'ils ne peuvent pas calculer exactement, et sur celui-l;, quels intervalles 99 % de la-;me assurance ils donnent pour ces valeurs. Les r;sultats de ces exp;riences accablent. Je permettrai la grande citation :
       «Nous admettrons, je vous demanderai de faire la meilleur supposition possible ; propos du nombre inconnu, un tel, comme la quantit;« des M;decins et les chirurgiens »dans l'annuaire de Boston, ou sur la production totale des oeufs aux ;tats-Unis dans des millions de pi;ces. Vous donnerez ; la r;ponse une certaine valeur, qui ne sera pas sans faute tout ; fait exacte; la valeur originale sera plus ou moins que vous avez suppos;. Puis je vous demanderai d'appeler la fronti;re inf;rieure de ce param;tre, quand vous óâåðåííû sur 99 % que la valeur originale se trouve plus haut cette fronti;re, et la fronti;re sup;rieure, par rapport ; qui vous sur 99 % ;tes assur;s que la valeur cherch;e se trouve plus bas elle. Ces deux fronti;res forment votre intervalle 98 % de la-;me assurance. Si vous il est bon îòêàëèáðîâàíû, sur 100 questions semblables chez vous sera seulement environ 2 chutes pour les fronti;res de l'intervalle.
       Àëüïåðò et Ðàèôôà ont donn; aux candidats de 1000 questions selon les sujets bien connus, semblable mentionn; ci-dessus. Il se trouva que 426 significations originales se trouvaient en dehors de 98 % des-;mes intervalles de l'assurance donn;s par les candidats. Si les candidats ;taient correctement orient;s, il y avait seulement 20 surprises. En d'autres termes, les ;v;nements, ; qui les candidats ajoutaient la probabilit; de 2 %, arrivaient ; 42.6 % des cas.
       Un autre groupe de 35 candidats demand; d';tait estim; par 99.9 % fronti;res sup;rieures et inf;rieures de l'assurance. Ils se sont trouv;s sont injustes ; 40 % des cas. D'autres 35 sujets ;taient interrog;s sur les significations maxima et minimales on n'a personne du param;tre et se sont tromp;s ; 47 % des cas. Enfin, le quatri;me groupe de 35 sujets devait indiquer une "incroyablement petite" et "incroyablement grande" signification du param;tre; ils se sont tromp;s ; 38 % des cas.
       Dans la deuxi;me exp;rience on accordait au nouveau groupe des candidats la premi;re composition des questions avec les r;ponses, la cote de popularit; des estimations, avec le r;cit des r;sultats des exp;riences et l'explication de la conception du calibreur – et puis eux ont demand; de donner 98 % intervalles de l'assurance pour un nouveau groupe des questions. Les sujets qui ont pass; la pr;paration se sont tromp;s ; 19 % les cas que manifeste par lui-m;me l'am;lioration consid;rable de leur r;sultat de 34 % avant la pr;paration, mais encore beaucoup loin de bien îòêàëèáðîâàííîãî du r;sultat ; 2 %.
       Les niveaux semblables des erreurs ;taient d;couverts et chez les experts. Õèíåñ et Âàíìàðê ont interrog; sept mondialement connu ãåîòåõíèêîâ ; propos de la hauteur de la digue, qui provoquera la destruction du fondement des races argileuses, et ont demand; d'estimer l'intervalle 50 % de la-;me assurance autour de cette estimation. Il se trouva qu'aucun des intervalles propos;s ne comprenait pas la hauteur juste. Kristien-Salanski et Áóøèõåä ont interrog; le groupe des m;decins ; propos de la probabilit; de la pneumonie chez 1531 patients avec la toux. Dans l'intervalle le plus exactement indiqu; de l'assurance avec l'authenticit; d;clar;e dans 88 %, la part des patients en effet ayant la pneumonie, ;tait moins de 20 %.
       Le Liechtenstein produit l'aper;u de 14 ;tudes en vertu des 34 exp;riences accomplies par 23 investigateurs, ;tudiant les particularit;s de l'estimation de l'authenticit; des conclusions personnelles par les gens. D'eux la conclusion la plus puissante suivait sur ce que les gens toujours ñâåðõóâåðåíû. Dans les ;tudes modernes sur la superassurance ne tournent plus l'attention; mais elle continue en m;me temps ; se manifester presque dans chaque exp;rience, o; il est permis de donner aux sujets les estimations des probabilit;s maxima.
       La superassurance se manifeste dans une grande mesure dans la sph;re de la planification, o; elle est connue comme la fausset; de la planification. Áþõëåð a demand; les ;tudiants-psychologues de pr;dire un important param;tre – le temps de la remise de leurs dipl;mes d';tudes sup;rieures. Les investigateurs ont attendu, quand les ;tudiants se sont approch;s de la fin des projets d'un an et puis les ont demand; r;alistement d'estimer, quand ils remettront les travaux, ainsi que, quand ils remettront les travaux, si tout va «si mal, d;s que peut». En moyenne, les ;tudiants ont ;t; n;cessaires 55 jours pour terminer les dipl;mes, pour 22 jours plus qu'ils attendaient, et pour 7 jours plus qu'ils attendaient au pis aller.
       Áþõëåð a demand; les ;tudiants d'estimer le temps de la remise des dipl;mes d';tudes sup;rieures, duquel ils sont assur;s sur 50 %, sur 75 % et sur 99 %. Seulement 13 % des participants ont fini les dipl;mes vers le moment, ; qui ajoutaient 50 % la probabilit;, seulement 19 % ont fini au moment de 75 % de l'estimation et 45 % ont fini vers 99 % au niveau. Áþõëåð ;crit : “les r;sultats de la sortie sur le niveau 99 % de l'authenticit; particuli;rement âïå÷àòëÿþùè. M;me quand ont demand; de les faire la pr;diction la plus conservatrice, sous la relation de qui ils sentaient l'assurance absolue que de lui est atteint, en tout cas l'assurance des ;tudiants de leurs estimations temporaires surpassait beaucoup leurs r;sultats r;els”11»
       Donc, il y a des raisons s;rieuses de trouver que nous devons extr;mement ;largir les fronti;res de l'assurance en ce qui concerne les probabilit;s des risques globaux pour que la valeur cherch;e se trouve ; l'int;rieur de l'intervalle donn;. Autant nous devons ;largir les fronti;res de l'assurance ?
       Nous d;signerons par la valeur N le degr; de l';largissement de l'intervalle de l'assurance pour une certaine valeur A. L'intervalle de l'assurance sera le suivant : (A/N; A ? N). Par exemple, si nous avons estim; un certain param;tre ; 10 %, et ont pris N=3, l'intervalle r;ussira (3 %; 30 %). Certainement, si nous estimons la probabilit;, l'intervalle ne doit pas s';largir au-del; de 100 %. Quel doit ;tre N pour les risques globaux, dire il est difficile. Mon estimation — N=10. Dans ce cas, nous recevons d'assez larges intervalles de l'assurance, ; qui, probablement, se trouvera la valeur cherch;e. De plus, les intervalles de l'assurance seront divers pour de divers aspects du risque (puisque nous estimons leurs probabilit;s diff;remment).
       Un autre moyen de la d;finition N – ;tudier une moyenne erreur admise par les experts, et introduire une telle correction, qui couvrirait la fausset; ordinaire des opinions. Ce que dans les projets du r;acteur nucl;aire et la navette spatiale la signification r;elle N ;tait entre 40 et 100 (voir plus haut), parle que, probablement, nous sommes trop optimistes, quand nous acceptons par son ;gal 10. Cette question a besoin par la suite l';tude.
       Cette g;n;ralisation ne r;duit pas la valeur de tels calculs, puisque la diff;rence des probabilit;s des divers risques peut faire quelques ordres. Mais pour la prise de d;cision sur l'importance de l'opposition de n'importe quel danger nous devons conna;tre l'ordre de grandeur du risque, et non la signification exacte.
       Donc, nous supposons que l'on peut estimer la probabilit; des accidents globaux, dans le meilleur cas, ; pr;s l'ordre (et en outre, l'exactitude d'une telle estimation sera plus-moins l'ordre) et que d'un tel niveau de l'estimation assez pour d;finir la n;cessit; de l';tude ult;rieure attentive et le monitoring du probl;me ††††. Les exemples semblables des ;chelles sont les ;chelles De Turin et Palermsky du risque des ast;ro;des.
       Îäèííàäöàòèáàëüíàÿ (de 0 jusqu'; 10) l';chelle De Turin du danger ast;ro;dal «caract;rise le degr; du danger potentiel, la Terre mena;ant du c;t; de l'ast;ro;de ou le noyau de la com;te. Le point selon l';chelle De Turin du danger ast;ro;dal s'est appropri; ; un petit corps du Syst;me solaire au moment de son ouverture en fonction de la masse de ce corps possible ; la vitesse et la probabilit; de sa collision avec la Terre. Dans la mesure de l';tude ult;rieure de l'orbite du corps son point selon l';chelle De Turin peut ;tre chang;» 12. Le z;ro signifie l'absence de la menace, dix – la probabilit; plus de 99 % de la chute du corps par le diam;tre plus de 1 km. L';chelle Palermsky se distingue de De Turin par ce que prend en consid;ration ;galement le temps rest; jusqu'; la chute de l'ast;ro;de : le temps il y a moins de, plus haut point. Le point selon l';chelle Palermsky est calcul; selon sp;cial ôîðìóëå13.
       Il serait int;ressant de cr;er l';chelle analogue pour l'estimation des risques des accidents globaux conduisant ; la disparition humaine. Puisque le r;sultat de n'importe quel accident de telle sorte par la d;finition m;me, il ne faut pas prendre en consid;ration l';chelle ici. D'autre part, la signification de principe le degr; de l'incertitude de notre connaissance selon le risque et notre capacit; l'acquiert pr;venir. Ainsi, l';chelle des accidents globaux doit refl;ter trois facteurs : la probabilit; de l'accident global, l'authenticit; des informations sur le risque donn; et la probabilit; de ce que l'on r;ussira ; pr;venir le risque donn;.
       En vertu de dit il semble naturel de proposer suivant âåðîÿòíîñòíóþ la classification des risques globaux dans le XXI si;cle (on examine la probabilit; ; la longueur de tout le XXI si;cle ; condition qu'aucuns autres risques ne l'influencent pas) :
       1) les ;v;nements In;vitables. L'estimation de leur probabilit; – de l'ordre de 100 % pendant le XXI si;cle. L'intervalle de l'assurance : (10 %; 100 %)
       2) les ;v;nements tr;s probables – l'estimation de la probabilit; de l'ordre de 10 %. (1 %; 100 %)
       3) les ;v;nements Probables – l'estimation de l'ordre de 1 %. (0,1 %; 10 %)
       4) les ;v;nements Peu probables – l'estimation 0,1 %. (0,01 %; 1 %)
       5) 0,01 % et sont plus petits que l';v;nement avec la probabilit; minime – l'estimation. (0 %; 0,1 %)
       On peut n;gliger les points 4) et 5), apparemment, puisque leur d;p;t total moins que le niveau des erreurs dans l'estimation des premiers de trois. Cependant, n;gliger ne se trouve pas, puisque l'erreur consid;rable dans l'estimation des risques est possible. Ensuite, la quantit; d';v;nements avec une petite probabilit; est importante. Par exemple, si probablement quelques dizaines des diff;rents sc;narios avec la probabilit; 0,1 % – 10 %, au total cela donne la dispersion de la probabilit; de 1 % - 100 %. Aux ;v;nements in;vitables se rapporte seulement ce fait que pendant le XXI si;cle le monde changera beaucoup.
       Si la somme des probabilit;s des risques s;par;s globaux doit ne pas exc;der 100 % ? Nous supposerons que nous exp;dions au voyage l'automobile d;fectueux. La probabilit; de ce qu'il subira l'avarie puisque chez lui on perce le pneu, est ;gale 90 %. Cependant, nous supposerons que chez lui, en dehors de cela, sont d;fectueux les freins, et si les pneux ;taient bons, la probabilit; de l'avarie de la panne des freins faisait aussi 90 %. De cet exemple on voit que la probabilit; de chaque risque global calcul;e dans la supposition (il est ;vident, faux) qu'est absente d'autres risques globaux agissant en m;me temps, ne peut pas simplement se former avec les probabilit;s des autres risques globaux.
       Dans notre exemple les chances de la voiture de gagner la fin de la voie 1 % (0.1õ0.1=0.01) mais les chances de c'est ;gal que chacun de deux risques – 49,5 % est devenu la raison de l'avarie. Nous supposerons, cependant que les premiers mi-chemin le chemin est tel que l'avarie peut se passer seulement ; cause des pneux d;fectueux, mais deuxi;me – seulement ; cause des freins d;fectueux. Dans ce cas la fin sera gagn;e aussi seulement ; 1 % des voitures, mais la distribution des d;p;ts de chaque risque sera l'autre : 90 % des voitures se briseront sur la premi;re section ; cause des pneux, et seulement 9 % sur deuxi;me ; cause des freins d;fectueux. Cet exemple montre que la question sur la probabilit; de n'importe quel aspect de l'accident global est incorrecte, on n'indique pas les conditions exactes.
       Dans nos raisonnements nous nous servirons largement "du principe de la pr;caution», c'est-;-dire, nous supposerons que les ;v;nements peuvent se former par la plus mauvaise image r;aliste. De plus r;aliste nous trouverons les sc;narios suivants : ne contredisant pas les lois de la physique possible ; condition que la science et la technique se d;velopperont avec les m;mes param;tres de l'acc;l;ration qu'; pr;sent. Le principe de la pr;caution correspond indiqu; Þäêîâñêè et la r;gularit; contr;l;e sur plusieurs exp;riences (voir plus haut citation de lui) que le r;sultat, que les gens re;oivent en ce qui concerne le futur, est d'habitude plus mal leur pire îæèäàíèé14. ; l';largissement âåðîÿòíîñòíûõ des intervalles il nous faut accorder l'attention, en premier lieu, l';largissement ; la partie pire, c'est-;-dire — ; l';cart de l'augmentation de la probabilit; et la r;duction du temps rest;. Cependant, si un certain facteur, par exemple la cr;ation du syst;me protecteur, peut nous aider, il faut augmenter les estimations du temps de son apparition. Autrement dit, l'estimation conservatrice du temps de l'apparition des ing;nieurs domestiques des biovirus sera 5 ans, mais le temps de l'apparition du m;dicament contre l';crevisse – 100. Bien que, probablement, cela, et l'autre apparaisse dans une paire des dizaines des ann;es.
       Dans l';conomie on applique la m;thode suivante de la pr;diction – le sondage des experts principaux sur le futur n'a personne du param;tre et le calcul moyen. ;videmment, cela ne permet pas d'apprendre la signification valable du param;tre, mais permet de former «best guess» – la meilleur supposition. On peut appliquer la m;me m;thode, avec la prudence d;finie, et pour l'estimation de la probabilit; des accidents globaux. Nous admettrons, en ce qui concerne l';l;vation de la temp;rature globale de mille experts seulement un parle qu'elle am;nera sans faute ; la disparition compl;te de l'humanit;. Alors l'application de cette m;thode donnera l'estimation de la probabilit; de la disparition, les 0,1 % ;gaux.
       Les consid;rations exprim;es nous seront utiles ; l';tude ult;rieure et la classification des accidents. ; savoir :
* Le caract;re exponentiel de la croissance de la probabilit; totale ; la constante ïîãîäîâîé les probabilit;s,
* La n;cessit; de l';largissement des fronti;res de l'assurance donn;es par les experts,
* La n;cessit; de l'application áàéåñîâîé de la logique au calcul des corrections vers les probabilit;s connues,
* L'application des ;chelles, comme De Turin, pour l'estimation des diff;rents risques,
* L'influence sur l'estimation de la probabilit; d'un risque global des probabilit;s des autres risques et de l'ordre de leur parcours
* L'application du principe de la pr;caution pour le choix de la plus mauvaise estimation r;aliste.
       
Les estimations quantitatives de la probabilit; de l'accident global, donn; par de divers auteurs
       Ensuite j'am;ne les estimations connues ; moi des experts principaux dans celle-ci îáëàñòè15. Äæ. Ëåñëè, 1996, «la Fin de la lumi;re» : 30 % dans les 500 ans ; venir avec le compte de l'action du Th;or;me selon la Fin de la lumi;re sans lui – 5 [ò4] du %.16
       N.Bostrom, 2001, «les Menaces ; l'existence. L'analyse des sc;narios de la disparition humaine et les dangers semblables» : «Mon opinion subjective est qu'il sera erron; de croire cette probabilit; plus petit, que 25 %, et l'estimation plus ;lev;e peuvent ;tre consid;rablement plus …» 17.
       Monsieur Martin le Riz, 2003 «Notre derni;re heure» : 50 % ; XXI âåêå18.
       Peut se montrer que ces donn;es non se s;parent fortement l'un avec l'autre, puisque dans tous les cas figurent les dizaines des pour-cent. Cependant, le laps de temps, sur qui on donne cette pr;diction, chaque fois est r;duit (cinq cents ans – deux cents–), ; la suite de quoi ïîãîäîâàÿ la densit; de la probabilit; grandit. ; savoir : 1996 – 0,06 % – 0,012 %, 2001 – 0,125 %, 2003 – 0,5 %.
       Autrement dit, en dix ans l'estimation attendue de la densit; de la probabilit; des accidents globaux, ; l'avis des experts principaux dans ce domaine, a augment; presque ; 10 fois. Certainement, on peut dire que trois experts il y a pas assez de pour la statistique, et que ces opinions peuvent mutuellement influencer l'un contre l'autre, cependant la tendance d;sagr;able. Si nous avions droit d'extrapoler cette tendance, en 10 ans de XXI s. nous pouvions attendre les estimations ïîãîäîâîé de la probabilit; de la disparition ; 5 %, mais dans les ann;es 20 – ; 50 % que signifierait l'imminence de la disparition de la civilisation jusqu'; 2030. Malgr; tout ñïåêóëÿòèâíîñòü, cette estimation co;ncide avec d'autres estimations re;ues ensuite dans ce livre par de diff;rents moyens ind;pendants.
       D'autre part, dans les ann;es de la guerre froide l'estimation de la probabilit; de la disparition ;tait haute aussi. L'investigateur du probl;me des civilisations extra-terrestres le fond Õîðíåð ajoutait «; l'hypoth;se de l'autodestruction ïñèõîçîÿ» les chances ; 65 %19. Le fond Íåéìàí trouvait que la guerre nucl;aire est in;vitable tout dans elle ïîãèáíóò20.
Les accidents globaux et l'horizon de la pr;vision
       Le but du travail donn; est la tentative de p;n;trer un peu ensuite, que nous permet l'horizon ordinaire de la pr;vision – l;-bas, o; en dehors du pronostic univoque sont vus les contours brumeux des diff;rentes possibilit;s. Je crois que l'horizon r;el du pronostic univoque, que nous pouvons faire avec l'authenticit; consid;rable, fait 5 ans, tandis que l'espace apr;s l'horizon, o; nous pouvons voir de diff;rentes possibilit;s, fait encore 20 ans apr;s ce moment. Et ce moment est suivi par l'impr;visibilit; absolue. Je t;cherai d'argumenter cela.
       L'estimation dans 5 ans est apparue de l'extrapolation des intervalles historiques, sur qui dans le pass; la situation dans le monde variait tellement que les tendances concr;tes politiques et technologiques vieillissaient. Ainsi, de l'ouverture de la r;action en cha;ne ; bombe atomique a pass; 6 ans, encore 7 – jusqu'; premier hydrog;nique, mais de ce moment – encore 5 ans avant la mise en marche du premier compagnon. Environ jusqu'; 5 ans duraient les deux guerres mondiales, 6 ans ;taient pris par l';poque de la reconstruction. En entrant ; l';cole sup;rieure pour les 5, la personne ne conna;t pas d'habitude, o; il de lui ira travailler et quel choisira la sp;cialisation. Pour les 5 choisissent d'habitude les pr;sidents, et personne ne conna;t, qui sera le pr;sident dans le d;lai. L'URSS ;tait dirig;e ; la base des plans quinquennaux. La p;riodicit; de l'apparition des principalement nouveaux produits et leurs march;s immenses : PC, Internet, les t;l;phones cellulaires – a aussi l'ordre de quelques ann;es. Les plans de l'introduction des nouvelles technologies des microprocesseurs font aussi pas plus de quelques ans. De plus par la force principale dans les attentes sur plus proche quelques ann;es sont «la force de l'inertie», c'est-;-dire nous pouvons parler avec une haute probabilit; que pendant les 5 ans ; venir sera environ aussi que maintenant, ; l'exception d'une s;rie de tendances en voie de d;veloppement. Cependant, quand nous parlons sur les d;lais plus de 5 ans, plus probable l'affirmation a l'air sur ce que la situation changera fonci;rement, que ce qu'elle sera m;me, comme maintenant. L'effet de l'acc;l;ration du temps historique, sur qui nous parlerons plus loin, probablement, r;duit ce d;lai le pronostic univoque.
       Ainsi, nous pouvons dire que jusqu'au d;but «lignes du brouillard» dans les pronostics univoques du futur chez nous sont environ 5 ans, c'est-;-dire, c'est 2013 du moment, quand j';cris ces lignes. En tout, nous pr;sentons vaguement les technologies plus tardives, bien qu'il y a des projets s;par;s techniques du d;lai de la r;alisation ; 2020 ans (le r;acteur thermonucl;aire ÈÒÝÐ ou la construction de la base de lune), et sommes les projets commerciaux, qui sont compt;s sur le d;lai jusqu'; 30 ans, par exemple, l'hypoth;que ; long terme. Mais notamment cinq ans est un d;lai approximatif, apr;s qui l'incertitude dans l';tat global de tout le syst;me commence ; pr;dominer la pr;cision dans de diff;rents aspects de l'activit; humaine. Il faut marquer aussi qu'avec le temps tout la grande incertitude vient non sur les projets technologiques, mais sur les ouvertures. Et bien que nous puissions dire que certains projets sont faits pour les 20 en avant, nous ne connaissons pas, quels facteurs seront le principal dans le d;veloppement ;conomique, politique et technique. [ÂÏ5]
       Il semble ; la limite absolue dans les pronostics 2030, en r;gion le courant de qui sont suppos;s possible d;velopp; de la nanotechnologie, l'intelligence artificielle et complet par l'acquisition par la bio;tude (Cette opinion se divise par plusieurs futurologues). Il nous semble qu'il n'y a pas de sens maintenant dans les estimations des courbes de la croissance de la population ou les stocks de la houille sur cette p;riode, puisque nous ne pouvons rien dire comment les supertechnologies influenceront ces proc;s. D'autre part, une grande incertitude est dans le choix de cette date la plus. Elle figure souvent dans de diff;rentes discussions sur le futur des technologies, sur quoi les paroles ira plus loin dans le chef sur Technologique Ñèíãóëÿðíîñòü. Il est ;vident que l'incertitude la date «2030» pas moins cinq ans. S'il y aura un certain accident non d;finitif, elle peut rudement ;largir l'horizon de la pr;vision simplement pour le compte du r;tr;cissement de l'espace des possibilit;s (par exemple, dans l'esprit du sujet :« Maintenant nous serons assis dans le bunker de 50 ann;es »). Bien que la plupart des futurologues ;crivant au sujet des nouvelles technologies, supposent que les supertechnologies m;riront vers 2030, certains portent l'apparition des nanotechnologies m;res et ÈÈ vers 2040, cependant peu de gens se d;cide de donner argument; la pr;diction aux dates plus tardives. En outre en dehors de l'incertitude li;e ; notre ignorance des rythmes du d;veloppement de diff;rentes technologies, leur convergence au cours de Technologique Ñèíãóëÿðíîñòè donne l'incertitude d'un plus haut ordre li;e ce que nous nous ne pouvons pas pr;dire la conduite de l'intelligence consid;rablement surpassant notre.
       Il faut avoir en vue aussi que le temps de la pr;visibilit; diminue constamment en rapport avec l'acc;l;ration du progr;s et la croissance de la complexit; des syst;mes. C'est pourquoi, en faisant les suppositions selon la fronti;re de la pr;visibilit;, nous faisons d;j; un certain pronostic du futur – quand m;me sur ce que le degr; de sa variabilit; se gardera. ;videmment, cependant que la fronti;re de la pr;visibilit; peut [ÂÏ6] augmenter pour le compte de notre meilleure pr;vision et les succ;s dans la cr;ation de la soci;t; stable.
       Ici le paradoxe des pronostics ; moyen terme aussi agit. Nous pouvons dire que sera avec la personne demain (environ le m;me qu'aujourd'hui), ou dans les dizaines des ann;es (il est possible, il deviendra vieux et mourra), mais nous ne pouvons pas dire que sera dans 10 ans. ;galement sur l'humanit; nous pouvons dire qu'il ; la fin du XXI si;cle ou passera ; la phase postindustrielle avec les nanotechnologies, l'intelligence artificielle et l'immortalit; presque physique, ou vers ce moment p;rira, n'ayant pas subi la rapidit; des changements. Cependant le pronostic de 15 ann;es est beaucoup moins ;vident.
       En vertu de dit, bien que nous ;tudiions les menaces de l'accident global ; la longueur de tout le XXI si;cle, le plus grand l'int;r;t pour notre ;tude pr;sente l'intervalle ; environ deux d;cennies entre 2012 et 2030. Jusqu'; cette p;riode la probabilit; de l'accident global est connue et petite en tout, mais apr;s lui – nous perdons, apr;s une s;rie des exceptions, la possibilit; quelque chose de supposer exactement.
L'histoire br;ve des ;tudes de la question
       La marche totale des ;tudes du probl;me des accidents globaux, conduisant ; la disparition humaine, on peut bri;vement exposer comme il suit :
       1. Les repr;sentations antiques et m;di;vales sur la fin de la lumi;re au gr; du Dieu ou ; la suite de la guerre des d;mons.
       2. XIX si;cle. Ðàííåíàó÷íûå les repr;sentations sur la possibilit; de "la mort thermique» l'Univers et les sc;narios semblables. Dans la premi;re moiti; du XX si;cle il y a des descriptions des accidents grandioses naturels dans l'imaginaire, par exemple, ; G.Uellsa («la Guerre des mondes), Êîíàí Äîéëÿ.
       3. La compr;hension vive de la capacit; de l'humanit; s'exterminer — ; partir de 1945, en rapport avec l'apparition de l'arme nucl;aire. 1950 – les inventions de la bombe du cobalt Ñöèëëàðäîì, la compr;hension des voies de la destruction totale de l'humanit; avec l'aide de la contamination radioactive. Avant la premi;re explosion de la bombe atomique est cr;; confidentiel, mais maintenant ðàññåêðå÷åííûé le rapport sur les risques ïîäæèãà les atmosph;res de la Terre au premier essai de l'arme atomique LA-602, qui et garde maintenant la valeur m;thodologique par le regard raisonnable et impartial sur le probl;me. Les travaux connus de cette p;riode : G.Kun [ÂÏ7] (Herman Khan) «la guerre Thermonucl;aire» (1960), Øþò Í "Au bord", article 1961 le Fond Õîðíåðà avec la discussion avec l'explication des raisons possibles du paradoxe Ôåðìè21. L'explication principale [ÂÏ8] de l'absence des signaux des civilisations extra-terrestres, propos; par lui – une haute probabilit; de la disparition des civilisations au stade technologique.
       4. Dans les ann;es 1960-1980 il y a une deuxi;me onde de l'int;r;t pour le probl;me, li; avec la compr;hension des menaces de biologique, íàíîîðóæèÿ, hostile ÈÈ, le danger ast;ro;dal et d'autres risques s;par;s. Un important r;le dans cela l'imaginaire scientifique, particuli;rement l'oeuvre de Stanislav Lema joue, son roman "Invincible", les ;tudes futurologiques «la Somme des technologies», «l'Imaginaire et la futurologie» et d'autres travaux. Erick Dreksler ; 1986 ;crit «la Bible des nanotechnologies» - le livre «la Voiture de la cr;ation», dans qui on examine d;j; les risques principaux possibles li;s avec íàíîðîáîòàìè. ; ; Àñèëîìàðå la premi;re conf;rence de la s;curit; des biotechnologies passe. Sortent les travaux de N.Moiseeva et K.Sagana en hiver nucl;aire.
       5. L';tape suivante est une apparition des travaux g;n;ralisant l'apparition des travaux g;n;ralisant d'A.Azimova22 (1980), Ëåñëè (1996), de Martin du Riz (2003), Ïîçíåðà23 (2004), ; qui on entreprend la tentative de donner tout le tableau des risques globaux. De plus la tonalit; du travail Àçèìîâà se distingue rudement de la tonalit; des travaux ult;rieurs. Si chez Àçèìîâà les risques principaux d;fendent loin dans le temps, ñ÷âÿçàíû avec les ph;nom;nes naturels et sont surmontables en tout ñèëäàìè de la raison humaine, dans les travaux ult;rieurs pr;domine ïåññèìñòè÷åñêèé oriente, li; ce que les risques principaux apparaissent áëèæàéùèå ou deux cents ans notamment en raison de l'activit; humaine, et les perspectives de leur ;limination beaucoup òóìàííû.
       6. ; 1990 å les ann;es se d;veloppe la branche des ;tudes li;e ; l'analyse des paradoxes logiques, li; avec les risques globaux – Doomsday argument sous de diff;rentes formes. Les participants principaux de la discussion - Ëåñëè, Áîñòðîì, Ãîòò, Êåéâ.
       7. Simultan;ment dans la deuxi;me moiti; du XX si;cle il y a un d;veloppement ñèíåðãåòèêè et l'appel ; l'analyse syst;mique du futur et l'analyse syst;mique des diff;rents accidents. Il faut marquer les travaux Ïðèãîæèíà, Õàíçåíà et les auteurs russes de S de P. Êóðäþìîâà, G.G.Malinetskogo, A.P.Nazaretjana etc.
       8. D;s 1993 – l'apparition de la conception Technologique ñèíãóëÿðíîñòè (Âèíäæ) et la compr;hension du lien entre elle et les risques globaux.;;;«;; N.Bostroma, E.Judkovski, Êàïèöû, A.D.Panova, M ×èðêîâè÷à.
       9. ; la fin de XX d;but du XXI si;cle sortent les articles avec la description des principalement nouveaux risques, la compr;hension de qui est devenue possible gr;ce ; l'analyse cr;atrice des possibilit;s des nouvelles technologies. C'est les travaux de R.Frajtasa «le Probl;me de la mucosit; grise» (2001), si R.Kerrigena «(2007) P.D.Smit et« la guerre Accidentelle nucl;aire »(1993) Áðþñà Áëåðà suit d;sinfecter les signaux SETI» (2006), M ×èðêîâè÷à «la G;oing;nierie qui est all;e íàñìàðêó» (2004), les livres «Doomsday men».
       10. Au d;but du XXI si;cle ðîèñõîäèò la formation de la m;thodologie de l'analyse des risques globaux, le passage du virement des risques vers la m;taanalyse de la capacit; humaine d;couvrir et il est correct d'estimer les risques globaux. Il faut sp;cialement marquer Ici les travaux Áîñòðîìà et Þäêîâñêè. ; 2008 ; Oxford sous la r;daction Áîñòðîìà sort le recueil «les Risques de l'accident global» et on passe la conf;rence. Aussi en 2008 sort l';dition sp;ciale de la revue Futures sous la r;daction Áðþñà la Tonne, consacr; aux risques humain âûìèðàíèÿ24.
       11. Au d;but du XXI si;cle il y a des organisations publiques faisant la propagande de la protection contre les risques globaux, par exemple, Lifeboat Foundation et CRN (Centre for responsible Nanotechnology). On tourne le film Technocalipsis.
       12. L';tude de la question en Russie moderne. Cela – Mais. P. l';tude Íàçàðåòÿíà (2001). Les crises civilisables dans le contexte de l'histoire Universelle. Est sorti le livre d'E.A.Abramjana «le Destin de la civilisation» 25 (2006), s'est ouvert le Projet Internet d'A.Kononova sur íåóíè÷òîæèìîñòè öèâèëèçàöèè26. A.V.Karnauhov passe les ;tudes des risques de serre êàòàñòðîôû27. Sont sortis les articles des auteurs s;par;s selon diff;rent ãèïîòåòîè÷åñêèì aux risques, y compris E.M.Drobyshevskogo, V.F.Anisichkina etc. j'ai accompli les traductions de plusieurs articles mentionn;s ici, qui sont accessibles dans Internet, mais la partie d'eux est publi;e dans le recueil «les Dialogues sur le futur» et dans l'application ; ce livre. Dans le recueil ÈÑÀ les Acad;mies des Sciences de la Russie en 2007 sont sorties deux mes articles sur les risques globaux : «Sur les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe sont possibles les raisons de la sous-estimation des risques de la destruction de la civilisation humaine» et «».
       L';tude des risques globaux va selon la cha;ne suivante : la compr;hension d'un risque global et le fait de la possibilit; de la disparition dans un proche avenir,-puis la compr;hension encore quelques risques globaux, – puis les tentatives de la cr;ation de la liste ;puisant des risques globaux, puis la cr;ation du syst;me de la description, qui permet de prendre en consid;ration n'importe quels risques globaux et d;finir le danger de n'importe quelles nouvelles technologies et les ouvertures. Le syst;me de la description poss;de áîëüøåé ïðîãíîñòè÷åñêîé la valeur, que simplement la liste, puisque permet de trouver les nouveaux points de la vuln;rabilit;, juste comme le tableau Ìåíäåëååâà permet de trouver les nouveaux ;l;ments. Et puis la-;tude des fronti;res de la mentalit; humaine des risques globaux en vue de la cr;ation de la m;thodologie c'est-;-dire le moyen de trouver et estimer effectivement les risques globaux.
       
Les menaces des accidents moins gradu;s : les niveaux de la d;gradation possible
       Bien que dans ce livre nous ;tudiions les accidents globaux, qui peuvent amener ; la disparition des gens, facilement remarquer que les m;mes accidents ; d'un peu plus petites ;chelles peuvent ne pas supprimer l'humanit;, mais le rejeter est fort en arri;re. ;tant rejet; au d;veloppement, l'humanit; peut se trouver sur l'inter;tage, de qui on peut marcher comme vers la disparition ult;rieure, et la restitution. C'est pourquoi la m;me classe des accidents peut ;tre par la raison de la disparition humaine, ainsi que le facteur ouvrant la fen;tre de la vuln;rabilit; pour les accidents suivants. Plus bas, au virement possible îäíîôàêòîðíûõ des sc;narios de l'accident, nous indiquerons leur potentiel vers la destruction d;finitive, ainsi que vers la baisse totale de la stabilit; de l'humanit;.
       En fonction du poids de l'accident se passant il y avoir ;tre des divers degr;s du recul en arri;re, qui se caract;riseront par de diff;rentes probabilit;s de la disparition ult;rieure, le recul ult;rieur et la possibilit; de la restitution. Puisque le terme la "postapocalypse", bien que soit îêñþìîðîíîì, est utilis; par rapport au genre de la litt;rature d;crivant le monde apr;s la guerre nucl;aire, nous aussi l'utiliserons en ce qui concerne le monde, o; il y avait un certain accident, mais la partie des gens a surv;cu. On peut s'imaginer quelques degr;s possibles du recul :
       1. La destruction du syst;me social, comme apr;s la d;sagr;gation de l'URSS ou l';chec de l'Empire romain. Il y a Ici une cessation du d;veloppement des technologies, la r;duction de la coh;rence, la chute de la population sur quelques pour-cent, cependant certaines technologies essentielles continuent avec succ;s ; se d;velopper. Par exemple, les ordinateurs dans le monde postsovi;tique, certains aspects de l'agriculture dans le moyen ;ge pr;coce. Le d;veloppement technologique se prolonge, la production et l'application des armements dangereux peut se prolonger qu'est gros de la disparition ou le recul encore plus bas ; la suite de la phase suivante de la guerre. La restitution est tr;s probable.
       2. La d;gradation consid;rable de l';conomie la perte de la structure de l';tat et la d;sagr;gation de la soci;t; sur les unit;s faisant la guerre entre. La forme principale de l'activit; – le pillage. Un tel monde est repr;sent; dans les films «Fou Ìàêñ», «le monde D'eau» et dans les oeuvres plusieurs autres au sujet de la vie apr;s la guerre nucl;aire. La population est r;duite ; des fois, mais, n;anmoins, des millions de gens survivent. La reproduction des technologies cesse, mais les porteurs s;par;s des connaissances et la biblioth;que se gardent. Un tel monde peut ;tre uni dans les mains d'un r;gent, et commencera la renaissance de l';tat. La d;gradation ult;rieure se passera, plut;t, est accidentel : ; la suite des ;pid;mies, les pollutions du mercredi, avenues
       3. L'accident, dans le r;sultat par qui survivent seulement de petits groupes s;par;s des gens non li;s l'un avec l'autre : les explorateurs du p;le, les ;quipages des navires maritimes, les habitants des bunkers. Avec un parties, de petits groupes se trouvent m;me dans la position plus avantageuse, que dans le cas pr;c;dent, puisque ; eux il n'y a pas de lutte d'uns gens avec les autres. D'autre part, les forces, qui ont amen; ; l'accident de telles ;chelles, sont tr;s grandes et, probablement, continuent ; agir et limiter la libert; du d;placement des gens des groupes survivant. Ces groupes seront oblig;s de lutter pour la vie. Ils peuvent r;aliser la mise au point de certaines technologies, s'il le faut pour leur sauvetage, mais seulement sur la base des objets survivant. La p;riode de la restitution aux circonstances les plus favorables prendra centaines d'ann;es et sera li; au remplacement des g;n;rations qu'est gros de la perte des connaissances et les habitudes. La base de la survie de tels groupes sera la capacit; de la reproduction par la voie sexuelle.
       4. Seulement quelques personne a surv;cu par la Terre, mais ils sont incapables ni garder les connaissances, ni donner naissance ; une nouvelle humanit;. M;me le groupe, dans qui il y a des hommes et les femmes, peut se trouver dans une telle position, si les facteurs embarrassant la reproduction ;largie, p;sent la capacit; de lui. Dans ce cas les gens, probablement, sont condamn;s, s'il n'y aura pas certain miracle.
       On peut aussi d;signer le niveau "de bunker" – c'est-;-dire le niveau, quand ces gens, qui se trouvent en dehors du milieu ordinaire survivent seulement. Il les y a l; ou expr;s, ou est accidentel, si les groupes s;par;s des gens ont surv;cu par hasard dans certains espaces ferm;s. Le passage conscient au niveau de bunker est possible m;me sans perte de la qualit; – c'est-;-dire l'humanit; gardera la capacit; et plus loin d;velopper vite les technologies.
       Les sc;narios interm;diaires du monde postapocalyptique sont possibles, mais je crois que quatre variantes ;num;r;es sont les plus caract;ristiques. De chaque niveau plus catastrophique existe áîëüøåå la quantit; de chances de tomber encore plus bas et moins de chances de se lever. D'autre part, la petite ;le de la stabilit; au niveau des communaut;s s;par;es patrimoniales, quand les technologies dangereuses sont tomb;es en ruines d;j; est possible, les cons;quences dangereuses de leurs applications ont disparu, mais les nouvelles technologies ne sont pas encore cr;;es et ne peuvent pas ;tre cr;;s.
       Il est incorrecte penser de plus que le recul en arri;re cela simplement la traduction des fl;ches du temps historique pour un si;cle ou le mill;naire au pass;, par exemple, sur le niveau de la soci;t; XIX ou XV si;cle. La d;gradation des technologies ne sera pas lin;aire et simultan;. Par exemple, un tel objet, comme le kalachnikov, oubliera difficilement. ; l'Afghanistan, par exemple, local óìåëüöû ont appris ; tourner les copies grossi;res Êàëàøíèêîâà. Mais dans la soci;t;, o; il y a un automate, les tournois de chevalerie et les arm;es de cavalerie sont impossibles. Ce qu';tait l';quilibre stable au mouvement du pass; vers le futur, peut ne pas ;tre l';tat d';quilibre ; la d;gradation. Autrement dit, si les technologies de la destruction d;g;n;rent plus lentement, que les technologies de la cr;ation, la soci;t; est condamn;e au glissement continu en bas.
       Cependant nous pouvons classifier le degr; du recul en arri;re non par la quantit; des victimes, mais selon le degr; de la perte des connaissances et les technologies. ; ce sens on peut utiliser les analogies historiques, en comprenant, cependant que çàáûâàíèå les technologies ne seront pas lin;aires. Le maintien de la stabilit; sociale au niveau de plus en plus bas de l';volution demande tout le plus petit nombre de gens, et c'est le niveau est de plus en plus stable au progr;s, ainsi que vers la r;gression. Telles communaut;s peuvent appara;tre seulement apr;s la p;riode de longue dur;e de la stabilisation apr;s l'accident.
       Quant ; la "chronologie", les variantes suivantes de base de la r;gression au pass; (partiellement analogue ; la classification pr;c;dente) sont possibles :
       1. Le niveau de la production industrielle – les chemins de fer, le charbon, l'arme ; feu etc. Le niveau de l'automaintien demande, probablement, les dizaines des millions personne. Dans ce cas on peut attendre la pr;servation de toutes les connaissances de base et les habitudes de la soci;t; industrielle, quand m;me au moyen des livres.
       2. Le niveau, suffisant pour le maintien de l'agriculture. Demande, probablement, de mille ; millions de gens.
       3. Le niveau du petit groupe. L'absence de la division du travail complexe, bien que quelque agriculture soit possible. Le Nombre de gens : de dix ; mille.
       4. Le niveau de la vol;e ou «ìàóãëè». La perte compl;te des habitudes culturelles humaines, les paroles, ; la pr;servation en tout l'h;ritage g;n;tique. La quantit; de membres de la "vol;e", probablement, d'un ; cent personnes.
Îäíîôàêòîðíûå les sc;narios de l'accident global
       Dans quelques chefs suivants nous examinerons le point de vue classique sur les accidents globaux (civilisables), qui comprend dans le virement de la liste aucunement les facteurs li;s, chacun de qui est capable d'amener ; la destruction instantan;e de toute l'humanit;. Cette description non d;finitif est claire que, il n'examine pas ìíîãîôàêòîðíûå et non-instantan; les sc;narios de l'accident global. L'exemple classique de la consid;ration îäíîôàêòîðíûõ des sc;narios est d;j; l'article ;tant mentionn; Áîñòðîìà «les Menaces ; l'existence» 28.
       Ici nous examinerons aussi certaines sources des risques globaux, qui, du point de vue de l'auteur, tel ne sont pas, mais l'opinion sur le danger de qui est assez r;pandue, et nous leur donnerons l'estimation. Autrement dit, nous examinerons tous les facteurs, qui s'appellent d'habitude ; titre des risques globaux, m;me si puis nous d;mentirons le point de vue donn; et nous rejetterons ces facteurs.
Les principes de la classification des risques globaux
       Le moyen de la classification des risques globaux est extr;mement important, puisque permet, comme le tableau Ìåíäåëååâà, d;couvrir «les places vides» et pr;dire l'existence des nouveaux ;l;ments. En outre cela donne la possibilit; îòðåôëåêñèðîâàòü la m;thodologie personnelle et proposer les principes, selon qui il y avoir se trouver des nouveaux risques. Ici je d;signerai ces principes, de qui se servait et a d;couvert dans d'autres ;tudes.
       L'approche la plus ;vidente de l';tablissement des sources possibles des risques globaux – l'approche historiographique. Il comprend dans l'analyse de toute la litt;rature accessible scientifique selon le sujet, en premier lieu, d;j; les travaux accomplis panoramiques des risques globaux. Cependant, cela ne donne pas la liste compl;te, puisque certaines publications passaient par les articles s;par;s dans les disciplines sp;ciales, ;taient cit;s peu ou ne contenaient pas les mots courants cl;s. Une autre variante – l'analyse des oeuvres fantastiques en vue de la mise en relief des sc;narios hypoth;tiques des accidents globaux et puis — l'analyse critique de ces sc;narios.
       Le principe de l'augmentation des petits accidents comprend dans la mise en relief des petits ;v;nements et l'analyse de, s'il y avoir se passer un ;v;nement analogue aux ;chelles beaucoup plus grandes. Par exemple, si une telle grande bombe atomique pour qu'elle d;truise tout le monde est possible ? Lui adh;re le moyen des analogies, quand, en examinant un certain accident, par exemple, la chute de l'avion, nous cherchons dans cet ;v;nement les r;gularit;s totales structurales et puis nous les transf;rons sur l'accident hypoth;tique global.
       Le principe pal;ontologique comprend dans l'analyse des raisons ayant lieu ; l'histoire de la Terre massif âûìèðàíèé. Enfin, le principe de "l'avocat du diable» comprend dans l';tude intentionnelle des sc;narios de la disparition, comme si par notre but d;truira la Terre.
       Óïîðÿäî÷èâàíèå des sc;narios d;couverts de la disparition il est possible selon les crit;res suivants : selon leur source (anthropique/naturel), selon le degr; de la probabilit;, selon, autant sont pr;tes pour eux les technologies, selon celui-l;, ; quelle distance dans le temps de nous d;fendront les ;v;nements dangereux et selon le moyen de l'influence sur les gens.
       Les risques globaux, se divisent sur deux cat;gories : les risques li;s aux technologies, et naturel, c'est-;-dire, les accidents naturels et les risques. De plus, les accidents naturels sont actuels pour toute sorte d'essentiels vivants (l';puisement des ressources, la surpopulation, la perte ôåðòèëüíîñòè, l'accumulation des mutations g;n;tiques, l';vincement par l'autre aspect ici entrent, la d;gradation morale, la crise ;cologique). Les risques technologiques ne sont pas tout ; fait identiques aux risques anthropiques, puisque la surpopulation et l';puisement des ressources tout ; fait àíòðîïîãåííî. Le signe principal des risques technologiques est leur originalit; notamment pour la civilisation technologique.
       Les risques technologiques se distinguent selon le degr; de leur volont; de "la base d';l;ment». Uns d'eux sont techniquement possibles ; pr;sent au temps, alors les si autres sont possibles ; la condition du d;veloppement de longue dur;e des technologies et, probablement, ; certaines ouvertures importantes.
       En cons;quence, on peut mettre en relief trois cat;gories des risques technologiques :
       Les risques, pour qui la technologie est enti;rement ;labor;e ou demande un peu la mise au point. Entre ici, en premier lieu, l'arme nucl;aire et nous dirons, la pollution du mercredi.
       Les risques, la technologie pour qui se d;veloppe avec succ;s et on ne voit pas de quelques obstacles th;oriques pour son d;veloppement dans le futur (biotechnologie) accessible.
       Les risques, qui demandent pour l'apparition de certaines ouvertures importantes (l'antigravitation, le d;gagement de l';nergie du vide et ò ä.). Il ne faut pas sous-estimer ces risques – la partie pond;rable des risques globaux dans le XX si;cle s'est pass;e des ouvertures principalement nouvelles et inattendues.
       La partie consid;rable des risques se trouverait entre les points et ;, puisque, du point de vue d'uns investigateurs, il s'agit des objets principalement inaccessibles ou infiniment complexes, mais du point de vue des autres – tout ; fait òåõíîëîãè÷åñêè r;alis; (íàíîðîáîòû et l'intelligence artificielle). Le principe de la pr;caution nous force ; choisir cette variante, o; ils sont possibles.
       Dans le virement propos; au lecteur des risques globaux dans les chefs suivants ils sont r;gl;s selon le degr; de la volont; des technologies n;cessaires ; eux. Puis il y a une description des risques naturels et îáùåâèäîâûõ des risques non li;s aux nouvelles technologies.
       
       
Le chapitre 2. L'Arme atomique
       
       Il y a une quantit; immense d';tudes selon l'arme atomique et les cons;quences de son application. Ici nous pouvons proposer au lecteur seulement l'aper;u bref et incomplet des conclusions principales examin;es exceptionnellement seulement du point de vue de, si peut amener par n'importe quel moyen n'importe quel les l'applications de l'arme nucl;aire ; la disparition humaine. Je marquerai que la partie consid;rable de l'information sur l'arme nucl;aire est toujours confidentielle, et en vertu de cela les conclusions propos;es ne peuvent pas ;tre absolument authentiques.
       L'exemple classique de la menace de la civilisation humaine et l'existence des gens est la menace de la guerre nucl;aire. D'habitude sur la guerre nucl;aire on dit qu'elle am;nera ; "la destruction de toute la vie terrestre». Cependant, ; en juger par les faits, cette affirmation est une certaine exag;ration. L'arme nucl;aire a trois facteurs potentiels de la d;faite globale : direct la d;faite de toute la place de la Terre, la contamination radioactive de toute la Terre et l'effet de "l'hiver nucl;aire». (En outre l'arme nucl;aire peut initier certains autres proc;s dangereux que nous examinerons plus tard). Ensuite nous montrerons que bien que chacun de ces effets peut amener dans les circonstances exclusives ; la disparition de l'humanit;, la guerre ordinaire nucl;aire, probablement, n'am;nera pas ; la disparition compl;te (bien que de la victime seront immenses).
       La guerre classique nucl;aire ne suppose pas l'attaque contre toutes les places de la r;sidence des gens, mais seulement sur l'adversaire et ses alli;s, et donc, ne peut pas amener ; la disparition des gens pour le compte des facteurs directs frappant de l'arme nucl;aire. Cependant, on peut examiner la situation hypoth;tique, quand le coup nucl;aire est port; selon toutes les places de la r;sidence des gens. Nous estimerons, quelle quantit; d'ogives est n;cessaire pour supprimer tout sans exception les gens, si les coups nucl;aires sont r;guli;rement et sont port;s simultan;ment selon toute la surface de la Terre. Pour la destruction de tous les gens sur la terre seraient n;cessaires pas moins (mais il est probable, et est consid;rable plus) 100 000 ogives de la classe m;gatonique. (Si trouver qu'une ogive frappe la place dans 1000 km sq. qu'est probable, est sur;valu;. La destruction garantie demandera du nombre beaucoup plus grand des charges, puisque m;me du c;t; de l';picentre de l'explosion ; Hiroshima ;taient survivant – dans 500 m;tres du point de l'explosion.) En m;me temps, les terrains immenses de la terre sont inhabit;s. Il est raisonnable de supposer que 100 000 ogives mettront les gens sur la limite de la survie, bien que ne suppriment pas tous les gens est garanti, puisque restent les navires, les avions, les refuges accidentels survivant et souterrains. La destruction garantie de tous les gens demandera, probablement, des millions d'ogives. Il faut marquer que sur le pic de la guerre froide les puissances principales poss;daient la quantit; d'ogives de l'ordre de 100 000, mais les stocks accumul;s du plutonium (2000 òîíí29, bien que tout lui "d'armes", c'est-;-dire, le plutonium-239 propre selon la composition isotope; cependant, les essais pass;s en ;tats-Unis ont montr; que l'on peut utiliser le plutonium non d'armes pour les explosions nucl;aires, mais avec une plus petite sortie ýíåðãèè30) permettent de produire encore quelques ñîò de mille ogives. D'autre part, aucun sc;nario de la guerre nucl;aire ne suppose pas le coup ;gal pour toute la place de la plan;te, D'autre part, il est th;oriquement possible de cr;er une telle quantit; de bombes et les moyens de la livraison pour porter le coup pour toute la place. Vers les conclusions analogues – sur ce que la guerre nucl;aire ne peut pas amener elle-m;me ; la disparition humaine, il vient autres èññëåäîâàòåëè31. En outre les publications, qui indiqueraient aux risques de la disparition compl;te humaine ; la suite de l'influence directe des explosions nucl;aires de la capacit; ordinaire (et non les effets ult;rieurs en forme de la contamination radioactive et l'hiver nucl;aire manquent.)
2.1"hiver Nucl;aire»
       En ce qui concerne l'hiver nucl;aire il y a deux facteurs inconnus : premi;rement, autant elle sera de longue dur;e et froid, mais deuxi;mement, dans quelle mesure l'hiver nucl;aire signifie la disparition de l'humanit;. En ce qui concerne le premier facteur il y a des diverses estimations : d'extr;mement s;v;re (Ìîèñååâ, Ñàãàí) jusqu'aux conceptions assez molles «l'automne nucl;aire» 32. La critique existant de la conception de l'hiver nucl;aire se concentre autour des questions suivantes :
       * Quelle quantit; de suie appara;tra et sera jet; ; la troposph;re en cas de la guerre de grande ;chelle nucl;aire ?
       * Quelle influence elle donnera sur la temp;rature de la Terre ?
       * Combien de temps elle se trouvera dans les couches sup;rieures de l'atmosph;re ?
       * Quelle influence donnera la diminution de temp;rature sur la survie des gens ?
       Les ;tudes s;par;es se concentrent sur l'analyse de chacun de ces facteurs, en acceptant comme la r;alit; les r;sultats du pr;c;dent. Par exemple, l';tude r;cente am;ricaine du probl;me de l'influence de l'hiver nucl;aire sur le climat accepte ; titre des donn;es initiales la quantit; de suie dans la troposph;re, ;gal 150 millions de tonnes. Dans l'analyse initiale de N.N.Moiseeva33 cette quantit; ;tait 4 milliards de tonnes, et en cons;quence, la diminution de temp;rature a fait 20, et non 50 degr;s, comme chez Ìîèñååâà. Dans l'article d'I.M.Abduragimova "sur l'inconsistance de la conception" de la nuit nucl;aire "et" l'hiver nucl;aire "en cons;quence des incendies apr;s la d;faite nucl;aire" 34 on am;ne la critique rigide notamment par la quantit; de la suie, qui se s;cr;tera ; la suite de la guerre ; grande ;chelle nucl;aire. ; l'incendie de for;t br;lent en moyenne seulement 20 % de la masse combustible, d'elle seulement la moiti; est selon la masse le carbone propre, et ? ëüøàÿ la partie de ce carbone br;le enti;rement, c'est-;-dire, – sans formation ÷àñòè÷åê du charbon. De plus, seulement la partie de la suie sera tellement ìåëêîäèñïåðñíîé que pourra pendre dans la troposph;re et obscurcir la Terre. Pour transporter cette suie ; la troposph;re, o; elle peut ";tre bloqu;e" en raison de l'absence l; les convections, on demande l'apparition du ph;nom;ne sp;cifique – la trombe de feu (puisque le globe lui-m;me du champignon nucl;aire partant haut ; la troposph;re, a une tellement grande temp;rature que dans lui tout ÷àñòè÷êè de la suie br;le). La trombe de feu se forme non ; toutes les explosions nucl;aires, il ne doit pas se former dans les villes modernes construites pour qu';viter de cet effet, par exemple, dans les villes d'ex-URSS. Et, en outre il am;liore rudement la combustion, comme les fourrures dans le four ; fondre, en vertu de quoi de la suie dans lui beaucoup moins.
       Ces particularit;s distinguent la suie ; l'hiver nucl;aire des cendres volcaniques ordinaires, qui sont tir;es exactement sur la stratosph;re de la chemin;e volcanique. De plus, les cendres volcaniques comprennent de plus lourd îêñèäà du silicium et tombe beaucoup plus vite de la troposph;re.
       Cependant, on peut s'imaginer quand m;me la situation hypoth;tique, quand dans la troposph;re se sont trouv;es centaines de millions de tonnes ìåëêîäèñïåðñíîãî du carbone. On peut s'imaginer et les sc;narios alternatifs ; la guerre nucl;aire de son atteinte l;-bas, par exemple, l'atteinte de l'ast;ro;de dans le gisement de la houille, ou l'explosion volcanique sous tels çàëåæàìè, ou le r;sultat d'une certaine activit; humaine, ou m;me la multiplication incontr;lable íàíîðîáîòîâ, couvrant la lumi;re solaire, comme suppose Ôðåéòàñ35. Les comptes initiaux Ìîèñååâà se faisaient pour la place des villes br;lant et les bois ; 1 millions km sq. La place totale des bois par la Terre fait environ 40 millions km sq., et ils contiennent pr;s de 240 milliards de tonnes de bois. Cela signifie la possibilit; th;orique du tr;s grand rejet de la suie ; l'atmosph;re m;me ; beaucoup plus petite part de la formation de la suie, mais seulement – en cas de la destruction intentionnelle de la civilisation, puisque peu probablement au cours de la guerre ordinaire nucl;aire bombardent les bois.
       Le temps de la pr;sence de la suie dans la troposph;re est estim; diff;remment, mais l'estimation ordinaire – de quelques mois jusqu'; 10 ëåò36. Est ;galement les th;ories alternatives l'influence de la guerre nucl;aire sur le climat, par exemple, la th;orie sur ce que pour le compte de l'effet de serre du carbone br;lant et la formation îêèñëîâ de l'azote et leur influence sur d'ozone ñëîé37 la temp;rature de la Terre augmentera rudement.
       Il faut dire aussi que les refroidissements soudains et de longue dur;e signifient pas absolument la disparition humaine. Par exemple, les ;tats-Unis et la Suisse ont pas moins que le stock de cinq ans strat;gique ïðîäîâîëüñòâèÿ38, bien qu'en tout les informations sur les stocks strat;giques se rapportent vers confidentiel, plus le combustible en forme des bois, les fourneaux et les habitudes de la survie aux temp;ratures d'hiver. Je crois que pour amener ; la destruction de tous les gens, l'hiver nucl;aire doit durer pas moins cent ans avec les temp;ratures antarctiques, et cela de cela peut ;tre insuffisamment, avec le compte de la capacit; humaine s'adapter. (Si trouver que l'hiver nucl;aire sera le seul facteur d;favorable qu'est incorrecte.)
       Les ;tudes les plus modernes des cons;quences climatiques de la guerre ; grande ;chelle nucl;aire sont publi;es dans l'article Àëàíà Ðîáîêà avec les coauteurs «l'hiver Nucl;aire dans le mod;le moderne du climat aux arsenals existant nucl;aires : les cons;quences sont toujours d;sesp;r;es» 39. L'article contient l'aper;u des ;tudes pr;c;dentes et les variantes raisonnables du rejet attendu de la suie. Le compte est accompli en vertu du mod;le moderne m;t;orologique contr;l; sur d'autres applications. Il se trouve finalement qu'; la guerre ; grande ;chelle moderne (c'est-;-dire, r;duit d;s les temps de la guerre froide) les arsenals nucl;aires la moyenne r;duction de la temp;rature selon toute la Terre fera pr;s de 7 °Ñ pendant quelques ann;es, mais les cons;quences de l'hiver nucl;aire se feront sentir environ 10 ans. Le temps du nettoyage (; å=2.71 une fois) la troposph;re sup;rieure de la suie fera 4,6 ans. De plus, sur les continents la r;duction de la temp;rature fera jusqu'; 30 °Ñ, et en particulier, sur l'Ukraine il n'y aura pas temp;ratures positives pendant trois ans. Cela fera impossible la conduite classique (non dans les serres) l'agriculture presque selon toute la Terre pendant quelques ann;es. D'autre part, sur les ;les tropicales (Cube, le Madagascar, le Sri Lanka) la r;duction de la temp;rature fera seulement quelques 5-7 °Ñ. Il est ;vident que le nombre de gens consid;rable pourraient ;prouver un tel refroidissement, cependant commencera de plus la lutte pour les ressources rest;es, qui augmentera les risques des accidents ult;rieurs. Une s;rie des grandes ;ruptions volcaniques (les cendres volcaniques partent de la troposph;re avec le temps caract;ristique dans 1 an) pourrait donner le m;me effet.
       En prenant en consid;ration l'incertitude les mod;les, ainsi que la possibilit; de la longue guerre nucl;aire et d'autres raisons de l'obscurcissement de l'atmosph;re, on peut supposer les variantes suivantes th;oriques de l'hiver nucl;aire :
       1) la Diminution de temp;rature sur un degr; pour un an, ne donnant pas l'influence consid;rable sur la population humaine. Comme apr;s l';ruption du volcan Ïèíàòóáî en 1991.
       2) «l'automne Nucl;aire» – la r;duction de la temp;rature sur 2-4 °Ñ pendant quelques ann;es; ont lieu les mauvaises r;coltes, les ouragans.
       3) «l'Ann;e sans ;t;» – intense, mais les froids assez courts au cours d'une ann;e, la destruction de la partie consid;rable de la r;colte, la famine et la mort du froid dans certains pays. Cela se passait d;j; apr;s de grandes ;ruptions des volcans ; VI si;cle de notre ýðû40, en 1783, en 1815
       4) «l'hiver D;cennal nucl;aire» – la diminution de temp;rature par toute la Terre environ pour les 10 sur 30-40 °Ñ. Ce sc;nario est sous-entendu les mod;les de l'hiver nucl;aire. La chute de la neige sur áîëüøåé les parties de la terre, ; l'exception de certains territoires ;quatoriaux maritimes. La mort des gens massive de la famine, les froids, ainsi que parce que la neige s'accumulera et former les ;paisseurs de plusieurs m;tres d;truisant les structures et bloquant chemins. La destruction áîëüøåé les parties de la population de la Terre, cependant des millions de gens survivront et garderont les technologies cl;s. Les risques : la suite de la guerre pour les places chaudes, les essais manqu;s r;chauffer la Terre avec l'aide des nouvelles explosions nucl;aires et artificiel l';ruption des volcans, le passage ; la chauffe ingouvernable de l';t; nucl;aire. Cependant m;me si admettre ce sc;nario, se trouvera que le stock mondial du b;tail ; cornes (qui se glacera aux fermes et se trouvera dans tels "r;frig;rateurs" naturels) suffira un seulement pour des ann;es de l'alimentation de toute l'humanit;, mais la Finlande a le stock strat;gique de la nourriture (grain) pour les 10.
       5) une Nouvelle p;riode glaciaire. Est la suite hypoth;tique du sc;nario pr;c;dent du sc;nario pr;c;dent, ; la situation, quand la capacit; refl;tant de la Terre augmente pour le compte de la neige, et commencent ; s'accro;tre les nouvelles calottes glaciaires des p;les et en bas, vers l';quateur. Cependant [ò9] la partie de la terre pr;s de l';quateur reste utile pour les vies et l'agriculture. ; la suite de la civilisation il faut radicalement changer. Il est difficile de pr;senter les transmigrations immenses des peuples sans guerres. Il y a beaucoup d' aspects des essentiels vivants dispara;tra, mais la grande partie de la vari;t; de la biosph;re survivra, bien que les gens la suppriment encore plus impitoyablement dans les recherches au moins de quelque nourriture. Les gens ont ;prouv; d;j; quelques p;riodes glaciaires, qui pouvaient commencer tr;s rudement ; la suite des ;ruptions des supervolcans et les chutes des ast;ro;des (l';ruption du volcan Òîáà, l'accident Elatinsky com;taire).
       6) le refroidissement Irr;versible global. Il peut ;tre la phase suivante de la p;riode glaciaire, au plus mauvais d;veloppement des ;v;nements. Par toute la Terre sur ãåîëîãè÷åñêè le long temps s';tablira le r;gime de temp;rature, comme en Antarctide, les oc;ans se glaceront, la terre se couvrira d'une grosse couche de la glace. Seulement la civilisation de la technologie avanc;e, capable de construire les constructions immenses sous la glace, peut ;prouver un tel d;sastre, mais une telle civilisation pourrait, probablement, trouver le moyen de tourner en arri;re ce proc;s. La vie peut survivre seulement pr;s des sources g;othermales sur le fond maritime. La derni;re fois la Terre faisait partie de cet ;tat environ 600 millions d'ann;es en arri;re, c'est-;-dire jusqu'; la sortie des animaux sur la terre, et a pu en sortir seulement gr;ce ; l'accumulation AVEC ; àòìîñôåðå41. En m;me temps, pour les derni;res 100 000 ann;es ;tait quatre gla;ages ordinaires, qui n'ont pas amen; ni au gla;age irr;versible, ni vers la disparition humaine, et donc, l'arriv;e du gla;age irr;versible est l';v;nement peu probable. Enfin, au cas o; le Soleil cesserait de briller en g;n;ral, la plus mauvaise issue serait la transformation de toute l'atmosph;re en l'azote liquide qu'a l'air absolument improbable.
       Bien que les variantes 5 et 6 se rapportent vers les plus peu probable, ils portent dans eux-m;mes le plus grand risque. Ces variantes pourraient ;tre possibles ; un extraordinairement grand rejet de la suie et au plus mauvais d;veloppement des ;v;nements, nous ne pouvons pas pr;voir plusieurs de qui maintenant.
       On peut supposer que si une certaine force s'est propos;e d'arranger l'hiver nucl;aire expr;s, elle peut l'organiser, ayant fait sauter les bombes ; hydrog;ne dans les mines de houille ou ; òàéãå42. Cela donnera, probablement, incommensurablement áîëüøèé le rejet de la suie, que l'attaque contre les villes. Si ;tablir les bombes ; hydrog;ne avec òàéìåðîì sur de diff;rents d;lais, on peut soutenir l'hiver nucl;aire sans restriction longtemps. Th;oriquement, on peut atteindre ainsi l';tat stable «la bille blanche froide», refl;tant toute la lumi;re solaire, avec complet âûìåðçàíèåì des oc;ans, qui deviendra l';tat autosoutenu.
       L'initiation de l';ruption du supervolcan avec l'aide de l'arme nucl;aire am;nera aussi ; l'analogue de "l'hiver nucl;aire» – vers l'hiver volcanique. Les tentatives des gens de corriger la situation avec l'aide de l'hiver artificiel nucl;aire ou l';t; artificiel nucl;aire, peuvent seulement aggraver les probl;mes pour le compte du passage du climat au r;gime ðàñêà÷êè.
       Je ferai l'attention que la probabilit; exacte et la dur;e de l'hiver nucl;aire et ses cons;quences íåâû÷èñëèìû pour une s;rie de raisons. En particulier, parce que nous, par la d;finition, ne pouvons pas mettre l'exp;rience, ainsi qu'est exact d;finir, autant, par exemple, Ìîèñååâ et Ñàãàí ;taient int;ress;s exag;rer le danger de l'hiver nucl;aire pour contribuer au d;sarmement nucl;aire. C'est-;-dire, s'il y avoir les cr;er la proph;tie auto-ne se r;alisant pas.
       On peut mettre en relief s;par;ment la th;orie de "l';t; nucl;aire» 43 qui suppose qu'apr;s l'hiver nucl;aire, mais peut ;tre et au lieu d'elle, arrivera l'augmentation consid;rable de la temp;rature de la Terre, qui peut dangereusement se former avec d;j; effet se trouvant de l';l;vation de la temp;rature globale, l'ayant traduit ; çàêðèòè÷åñêóþ le stade avec la croissance de la temp;rature sur les dizaines des degr;s (voir ensuite). La chute de la suie sur les glaciers, la formation îêèñëîâ de l'azote aux explosions d;truisant la couche d'ozone et conduisant ; la disparition de la v;g;tation, absorbant äèîêñèä du carbone, le changement de l'alb;do de la force îïóñòûíèâàíèÿ et la mise en relief äèîêñèäà du carbone aux incendies sont les facteurs, pouvant amener vers l';t; nucl;aire. En outre la barri;re cessera de travailler, ne donnant pas ; la vapeur d'eau se trouver dans la stratosph;re, mais puis, quand il fera partie de nouveau, les dizaines des milliards de tonnes d'eau se trouveront sont ferm;s dans la stratosph;re, et ils pourront cr;er l'effet de serre ; suppl;mentaire 8 ? Avec la valeur, comme Ronald dans l'article «l'hiver Nucl;aire et d'autres sc;narios» 44 affirme. En outre il suppose que l'on peut utiliser l'hiver nucl;aire comme l'arme, ; qui le pays accumulant les plus grands stocks de l'alimentation et ayant le meilleur logement chaud vainc. L';t; nucl;aire est beaucoup plus dangereux de l'hiver nucl;aire, puisque la personne transf;re plus facilement le refroidissement, que la chauffe (c'est-;-dire, si accepter la temp;rature ordinaire pour 20 ? Avec, la personne transf;re tout ; fait le froid dans la rue au moins 50 ? Avec, c'est-;-dire sur 70 ? Avec plus bas, mais pourra subir la mont;e de la temp;rature pas plus que, sur 30 ? Avec, c'est-;-dire n'est pas plus haut 50 ? Avec dans la rue). En outre les syst;mes de l';chauffement peuvent travailler ind;pendamment (les bois survivant comme la source des bois + le four), mais les r;frig;rateurs demandent la pr;sence de l'infrastructure stable centralis;e (la production des r;frig;rateurs + de l';nergie ;lectrique). La conservation des produits de l'alimentation ; l';l;vation de la temp;rature rude sera extr;mement embarrass;e – ils pourriront, seront mang;s par les saboteurs ou br;leront. L';t; ainsi nucl;aire cr;e le risque beaucoup plus grand de la disparition, que l'hiver nucl;aire.
2.2 contamination Compl;te radioactive
       Le sc;nario suivant – la contamination globale radioactive. On peut mettre en relief deux aspects de la contamination – la contamination ; court terme apparaissant ; des premi;res heures et les jours apr;s l'explosion et provoqu;e êîðîòêîæèâóùèìè par les ;l;ments, et ; long terme, li; avec äîëãîæèâóùèìè par les ;l;ments, et durant les ann;es. La contamination ; court terme li;e ; la guerre ordinaire nucl;aire, am;nera aux victimes consid;rables, mais sera le ph;nom;ne assez local d;pendant de la rose des vents dans le pays frapp;. On le peut aussi sans effort ïåðåñèäåòü dans les abris antia;riens, les cavernes, les mines, – et c'est pour cela que nous ne l'examinons pas comme la menace possible de la disparition compl;te humaine. La plus grande menace pr;sente la contamination globale radioactive, cependant en cas de la guerre ordinaire nucl;aire il ne peut pas amener ; la disparition humaine. (Par exemple, parce que mille essais a;riens des bombes atomiques dans les ann;es 50-60 n'ont pas cr;; l'augmentation un peu consid;rable du fond global de radiation.) Cependant probablement non conventionnel l'application de l'arme nucl;aire, qui am;nera quand m;me ; la contamination globale radioactive. La particularit; de la contamination globale dans ce que lui est r;guli;rement capable de se r;pandre selon toute la surface de la Terre et p;n;trer partout pour le compte de la convection naturelle de l'atmosph;re, ainsi que dans ce qu'il tellement longtemps que d'il est impossible ïåðåñèäåòü dans les refuges existant maintenant autonomes. Le sc;nario le plus connu de telle sorte – l'application des bombes du cobalt, c'est-;-dire les bombes avec la sortie augment;e des agents radioactifs. Les bombes du cobalt repr;sentent les bombes ; hydrog;ne entour;es de l'enveloppe du cobalt-59, transformant ; l'isotope radioactif le cobalt-6045. Le projet de la bombe, capable de contaminer les continents entiers, a propos; Ëåî Ñöèëàðä en 1950 Cependant 1 gramme du cobalt a la radioactivit; de l'ordre de 50 êþðè. Si pulv;riser 1 gramme sur 1 sq. Le km, cela ne suffit pas pour la mort garantie de tous les gens, bien que demande les ;vacuations de ce territoire selon les normes modernes de la s;curit;. Êîáàëüò-60 a la demi-vie de 5,26 ann;es, c'est pourquoi la pollution cr;;e par lui, sera de longue dur;e et de lui il sera difficile ïåðåñèäåòü dans le bunker. N;anmoins, m;me une telle contamination demandera tout seulement 500 tonnes de cobalt sur toute la Terre. Indirectement on peut estimer cette quantit; ; 100 bombes comme le Roi-bombe aux 50 m;gatonnes, fait sauter par une Nouvelle Terre en 1961 si sur cette bombe il y avait une enveloppe uranique, elle donnerait les 50 m;gatonnes suppl;mentaires, et la capacit; de l'explosion ferait 100 m;gatonnes, mais l'enveloppe ;tait remplac;e sur de plomb en vue de la r;duction de la force de l'explosion. La masse de l'uranium r;agissant, qui donnerait libre cours ; l';nergie de 50 m;gatonnes, est ;gale environ 5 ò. On Peut supposer que si cette bombe avait l'enveloppe de cobalt, elle donnerait environ 5 tonnes de cobalt radioactif. Pour d'autres estimations pass;es aux ;tats-Unis apr;s l'intervention Ëåî Ñöèëëàðäà sur la possibilit; de la destruction de la vie par la Terre avec l'aide de la bombe du cobalt, s'est r;v;l; que c'est possible en effet, mais l'installation ; 2,5 fois doit ;tre plus lourd du navire de ligne le "Missouri" 46. Le d;placement d'eau le "Missouri" – 45 000 ò. Donc, nous recevons deux estimations du poids de cette installation – 2 700 tonnes et 110 000 tonnes. La diff;rence entre eux n'est pas importante du point de vue de la question, si probablement telle installation et combien de lui co;tera. Puisque le poids des r;acteurs ordinaires ;nerg;tiques fait quelques mille tonnes, tout ; fait r;ellement faire l'installation pesant et 100 000 tonnes, comme 20 r;acteurs. Si un r;acteur se trouve pr;s du milliard de dollars aux prix modernes, une telle installation co;tera de l'ordre de 20 milliards. Cette somme est plus petite que le budget de guerre des ;tats-Unis ; 20 fois. Un autre rep;re : le poids du r;acteur ÈÒÝÐ – 30 000 tonnes, le prix de 12 milliards de dollars. Donc, la cr;ation de la bombe atomique du dies irae techniquement r;ellement pour un grand ;tat poss;dant le programme nucl;aire, demandera de quelques ans du travail.
       L'isotope tristement connu le polonium-210 est pas moins dangereux. Il est une beaucoup plus puissante source de la radiation, que le cobalt, puisque a une plus petite demi-vie (environ ; 15 fois). Il poss;de la capacit; ; s'accumuler dans l'organisme, en frappant de l'int;rieur qu'augmente son efficacit; encore environ ; 10 fois. Sa dose mortelle – pr;s de 0,2 ìêã47. Cela signifie que la contamination compl;te mortelle de la Surface de la terre demandera seulement 100 ò. De cette substance dangereuse (ou centaines kg au pis aller – si prendre en consid;ration sa capacit; ; s'accumuler dans les organismes, ainsi que l'empoisonnement r;it;r; pour le compte de la haute concentration dans le milieu).
       On le demande les comptes plus exacts prenant en consid;ration les vitesses de la pr;cipitation de l'agent radioactif de l'atmosph;re, âûìûâàíèÿ ; l'oc;an, la d;sagr;gation, le liage et l'affinit; avec les ;l;ments dans le corps humain, ainsi que les capacit;s des gens ; modifier et s'adapter ; la radiation pour d;finir le minimum de quel isotope peut amener ; la disparition de tous les gens par la Terre ou vers l'inaptitude de longue dur;e de toute la terre pour l'agriculture et l'impossibilit; en raison de cela revenir ; äîèíäóñòðèàëüíóþ la phase du d;veloppement.
       Pour que l'agent radioactif se r;pande assez loin, la bombe doit sauter ; la hauteur de 10-20 km, mais pour que la bombe soit assez puissante, elle doit ;tre lourde. Dans le compte final, une telle voiture de la mort peut repr;senter stationnaire par l'installation par le poids ; mille tonnes, avec la force de l'explosion ; centaines de m;gatonnes, pendant lequel se forment des tonnes de l'isotope dangereux jet;e par la force de l'explosion haut ; l'air.
       En outre la contamination êîðîòêîæèâóùèì par l'isotope peut ïåðåñèäåòü dans le bunker. La cr;ation des bunkers autonomes avec le d;lai de l'autogarantie aux dizaines des ann;es est th;oriquement possible. La disparition garantie peut se passer en cas de la confusion, äîëãîæèâóùèõ et êîðîòêîæèâóùèõ des isotopes. Êîðîòêîæèâóùèå supprimeront la grande partie de la biosph;re, mais äîëãîæèâóùèå qui feront la terre inapte pour la vie pour ceux ïåðåñèäèò la contamination dans le bunker.
       Si un certain pays poss;dant les technologies nucl;aires, se trouve sous la menace de la conqu;te ext;rieure, elle peut se d;cider de cr;er une telle bombe. Particuli;rement, si les syst;mes SUR chez l'adversaire ne donnent pas les chances d'appliquer l'armement en fus;es pour la d;fense. D'autant plus que, probablement, pour une telle bombe on ne demandera pas beaucoup d'uranium ou le plutonium – seulement quelques kgs sur l'amorce. (Mais il faudra beaucoup äåéòåðèÿ). Cependant, si apr;s la cr;ation d'une telle bombe sur le pays donn; ãàðàíòèðîâàííî personne n'attaque jamais, sa cr;ation peut ;tre plus bon march;, que le contenu des forces arm;es. Il faut d'ici que les syst;mes SUR n'augmentent pas la s;curit; dans le monde, puisque incitent de plus faibles pays ; cr;er les bombes de cobalt stationnaires ; titre du dernier moyen de la d;fense. Ou, au contraire se concentrer sur l';laboration les autres aspects biologiques et alternatifs de l'armement.
       Nous marquerons que l'explosion compl;te du r;acteur moderne nucl;aire ne menace pas ; la survie de l'humanit;, comme cela suit des cons;quences de l'explosion sur la centrale nucl;aire De Tchernobyl. D'autre part, on peut supposer l'apparition dans le futur de certaines installations hypoth;tiques avec la sortie beaucoup plus grande de la radiation en cas de la destruction compl;te. Par exemple, est les suppositions qu'; áëàíêåòå (l'enveloppe de la chambre) thermonucl;aire les r;acteurs s'accumuleront consid;rablement grand (; 100 fois) les quantit;s d'agents radioactifs avec le contenu augment; des isotopes dangereux comme le cobalt-60, qui en cas de la destruction du r;acteur se d;gageront ; àòìîñôåðó48. La sortie de la r;action en cha;ne de dessous du contr;le dans une certaine installation pouvait consid;rablement augmenter aussi la contamination.
2.3 Autres dangers de l'arme atomique
       La superbombe
       Apr;s l'essai du "Roi-bombe" en 1961 par une Nouvelle Terre avec la sortie ; 50 m;gatonnes, on r;alisait les ;laborations des plus puissantes bombes avec la sortie ; 200 et m;me 1000 m;gatonnes, qu';tait entendu transporter aux navires vers les bords am;ricains et provoquer avec leur aide öóíàìè49. Cela signifie que, probablement, il y avait des possibilit;s techniques sans restriction d'intensifier la force explosive de la bombe.
       Il est aussi important de marquer que le Roi-bombe ;tait ;prouv;e dans 12 ans apr;s l'explosion de la premi;re bombe atomique. Ce fait peut parler qu'; d'autres puissances peut ;tre n;cessaire en ce qui concerne un petit d;lai pour le passage vers les bombes immenses. Si comparer le coefficient massif de la bombe (6 m;gatonnes de l'explosion sur une tonne de poids) avec la masse des r;acteurs nucl;aires de l'ordre de quelques mille tonnes, il est clair que la limite sup;rieure de la superbombe, qui on peut faire maintenant, font pr;s de ãèãàòîíí. Cela ne suffit pas pour la destruction de tous les gens par la force de l'explosion, puisque ; la chute des ast;ro;des se s;cr;tait l';nergie ; mille fois plus. L'explosion de la superbombe dans la couche houill;re provoquera, probablement, l'hiver de longue dur;e nucl;aire se mariant avec une forte contamination radioactive. (Analogue au volume, comme l'ast;ro;de a amen;, probablement, ; la destruction des stocks du p;trole en Am;rique 65 millions d'ann;es en arri;re qu'avait s;rieux climatique ïîñëåäñòâèÿ50). Quelques dizaines des superbombes install;es dans de diff;rentes places de la Terre, peuvent couvrir du coup frappant tout le territoire de la plan;te.
       Avant le premier essai de la bombe nucl;aire Òðèíèòè Êîìïòîíîì on accomplissait le rapport (LA-602 Ignaition of atmosphere with nuclear bomb.51), dans qui ;tait prouv; que l'explosion de la bombe ne peut pas amener ; la r;action autosoutenue de la synth;se des noyaux de l'azote dans l'atmosph;re ; cause de la perte de l';nergie par l'irradiation. Est dit au m;me endroit que pour l'estimation des risques ïîäæèãà on demande les oc;ans les ;tudes suppl;mentaires. Ces ;tudes, qui, probablement, ;taient accomplies, restent secr;tes que peut signifier, en particulier, qu'ils montraient les conditions minimales, qui sont n;cessaires pour ïîäæèãà äåéòåðèÿ dans les oc;ans terrestres. En outre les r;actions de la mainmise de l'hydrog;ne par le carbone ou l'oxyg;ne sont possibles, qui soutiennent aussi la combustion explosive (voir Shklovsky.« Les ;toiles, leur naissance, la vie et la mort »52). Ces substances se trouvent en grandes quantit;s ; çàëåæàõ des hydrates du m;thane sur le fond maritime. Plus en d;tail j'examine questions sur la possibilit; de l'initiation de l'explosion thermonucl;aire dans les entrailles du sol ou d'autres plan;tes dans l'essai« Sur la possibilit; de l'initiation artificielle de l'explosion des plan;tes-g;ants et d'autres objets du Syst;me solaire »53.
       Ici il nous est important de marquer que dans l'absence des donn;es exactes sur l'impossibilit; de ce proc;s, nous devons admettre qu'aux conditions d;finies – le choix juste de la place, une tr;s puissante bombe – l'initiation de la r;action autosoutenue de la synth;se dans les milieux terrestres est possible. La possibilit; semblable ouvrirait en ce qui concerne la voie simple vers la cr;ation de l'arme r;elle du dies irae, qui ãàðàíòèðîâàííî supprimerait toute la vie par la Terre.
       On faisait aussi les suppositions que l'explosion des puissantes bombes atomiques dans les fractures tectoniques pourrait amener aux ph;nom;nes catastrophiques sismiques, mais je crois cela douteux, puisque les fractures tectoniques et sans celui-l; sont les sources des tremblements de terre ãèãàòîííîé les forces.
       L'accumulation de l'antimati;re
       Stanislav Lem a dit quelque peu qu'il craint plus l'antimati;re, qu'Internet Cependant, ; en juger par les faits, l'antimati;re ne donne pas principalement áîëüøåé la force destructive, que la bombe ; hydrog;ne ordinaire. L'efficacit; maximum de la charge nucl;aire est ;gale 6 m;gatonnes sur une tonne de poids que correspond environ 0,15 kg de l'antimati;re (l';nergie de 1 kg de la substance est ;gale selon la formule d'Einstein 9*10 ** 16 Äæ, mais une m;gatonne ; òðîòèëîâîì l';quivalent est ;gale 4*10 ** 15 Äæ, de plus il faut doubler la masse de l'antimati;re r;agissant pour le compte des masses àííèãèëèðîâàâøåé avec elle de la mati;re ordinaire). Mais pour la r;tention de l'antimati;re seront n;cessaire aussi les pi;ges sp;ciaux, qui doivent beaucoup peser. En outre il est tr;s difficile d'assurer l'antimati;re contre l'explosion accidentelle, tandis qu'assurer la bombe atomique facilement. Enfin, la masse de l';nergie sur la r;ception de l'antimati;re faut. En vertu de cela il semble absurde faire les bombes de la capacit; immense de l'antimati;re – et les capacit;s des munitions se trouvant atomiques assez pour n'importe quelles influences possibles d;truisant. C'est pourquoi je crois peu probable l'accumulation de l'antimati;re dans les buts militaires. Seulement si on fait certaines nouvelles ouvertures importantes physiques, l'antimati;re pr;sentera, probablement, le danger. L'application de l'antimati;re dans l'espace profond, o; on peut recueillir th;oriquement sa masse consid;rable dans l'aspect est aussi dangereuse on n'a personne du "m;t;orite" et diriger sur la Terre.
       La bombe bon march;
       Il y a aussi un danger de la r;duction du prix importante de l'arme nucl;aire, si on r;ussira ; lancer la r;action autosoutenue thermonucl;aire sans charge initiant nucl;aire avec l'aide de l'implosion chimique (cylindrique), laser ïîäæèãàíèÿ, la compression magn;tique, la d;charge ;lectrique et de petites portions de l'antimati;re appliqu;es dans une certaine combinaison (voir, par exemple, l'article Ë. Ï Ôåîêòèñòîâ «la d;tonation Thermonucl;aire».54 qui, au fond, d;pose par elle-m;me le projet de la cr;ation de la bombe ; hydrog;ne de la capacit; non limit;e avec l'aide de laser ïîäæèãàíèÿ – et se trouve n;anmoins dans l'acc;s ouvert.)
       Un autre facteur de la r;duction du prix – l'utilisation des obtentions des nanotechnologies, c'est-;-dire, de haut pr;cision et dans la perspective la production bon march; avec l'aide des microrobots. Le troisi;me facteur – la d;tection des nouveaux moyens de la mise en relief de l'uranium de l'eau maritime et son enrichissement.
       Il y a aussi un risque que nous sous-estimons beaucoup la simplicit; et le bas prix de l'arme nucl;aire, mais, donc, et sa quantit; dans le monde. Par exemple, probablement, que ðåàêòîðíûé on peut adapter le plutonium pour les bombes du sch;ma de canon avec la sortie pr;s des 2 kilotonnes utiles pour les actes nucl;aires òåððîðèçìà55. N'importe quelles ouvertures dans le domaine de la fusion nucl;aire froide, la fusion nucl;aire dirig;e sur òîêàìàêàõ, la livraison de l'h;lium-3 de l'espace, simplifieront les transformations des ;l;ments et r;duiront le prix de la production de l'arme nucl;aire.
       L'attaque contre les objets de radiation
       Par encore un moyen cela d'arranger la fin de la lumi;re avec l'aide de l'arme nucl;aire est l'attaque les missiles de croisi;re (balistique n'ont pas l'exactitude suffisante) tous les r;acteurs nucl;aires sur la plan;te et particuli;rement – les d;p;ts du combustible nucl;aire r;cup;r;. Bien que l'on r;ussira ; provoquer peu probablement la r;action en cha;ne ; eux (cependant on ne peut pas exclure cette possibilit; au coup direct de la bombe atomique au r;acteur ou le d;p;t des d;chets), ; l'air se s;cr;teront les quantit;s immenses de radiation. «D'apr;s l';valuation de l'AIEA, vers 2006 des r;acteurs ;nerg;tiques (mais eux dans le monde d'en haut 400) est d;charg; pr;s de 260 mille des tonnes ÎßÒ contenant plus de 150 milliards Êþðè de la radioactivit;» 56. On sait Aussi que vers 2006 du pays du monde ont accumul; pr;s de 260 mille tonnes ÎßÒ, mais vers 2020 sa quantit; fera pas moins 600 mille tonnes (au m;me endroit). C'est-;-dire, dans le XXI si;cle la quantit; de d;chets radioactifs, probablement, grandira íåëèíåéíî, en augmentant pour le compte de l'accumulation, ainsi que pour le compte de la mise en service des nouveaux r;acteurs.
       ; la dispersion ;gale de 150 milliards êþðè nous recevons 300 kjuri / les km sq. de la surface de la terre. C'est ;loign; en dehors des normes îòñåëåíèÿ et l'interdiction ; l'agriculture selon de Tchernobyl ïðàêòèêå57. ; la conversion grossi;re (la formule brute – 1 êþðè sur m sq. donne 10 ðåíòãåí par heure) cela engendrera l'activit; 3 ìèëëèðåíòãåíà par heure. Cela ne suffit pas pour la mortalit; instantan;e, puisque fait seulement environ 2 ðåíòãåíà par mois, mais la dose au maximum admissible s;re 25 ðåíòãåí se rassemblera seulement en un an. Cependant un tel terrain pour longtemps (; ÎßÒ il y a beaucoup de äîëãîæèâóùèõ les ;l;ments, y compris le plutonium) deviendra inapte pour l'agriculture, puisque dans la v;g;tation et les animaux ces substances s'accumulent et ; l'utilisation âîâíóòðü portent dix fois un plus fort coup pour l'organisme. Autrement dit, les gens survivant ne pourront pas s'occuper de l'agriculture et seront condamn;s ; la d;gradation graduelle des maladies. Quand m;me la disparition garantie ne sera pas ici, puisque les gens – les essentiels beaucoup adapt; et vivace, si, certes, n'interviennent pas encore quelques facteurs.
       L'explosion des puissantes bombes dans l'espace
       Si la technologie terrestre marche largement ; l'espace, t;t ou tard la cr;ation des bombes immenses de la fondation spatiale, le poids ; centaines de tonnes (en particulier, en vue du rejet des ast;ro;des dangereux) sera possible. Le risque comprend dans l'explosion de quelques dizaines ãèãàòîííûõ des bombes sur les orbites basses, qui br;leront simplement la Terre par l'irradiation. Cependant en cas d'une telle attaque seront en tout cas survivant : les mineurs, les sous-mariniers, ñïåëåîëîãè. (Bien qu'uns hommes peuvent survivre seulement, et la g;n;ration des gens sur cela s'ach;vera, puisque dans la nature il y a peu de femmes-sous-mariniers et les mineurs. Mais ñïåëåîëîãè il arrive.) selon l'effet de l'influence on r;ussira le gamma-rejaillissement artificiel.
2.4 Int;gration des facteurs frappant de l'arme nucl;aire
       L'hiver nucl;aire mod;r; selon les ;chelles, accompagnant par la d;faite mod;r;e radioactive, peut donner «ñèíåðãåòè÷åñêèé» l'effet, qui surpasse selon la force m;me le plus puissant hiver nucl;aire pris en particulier. Par exemple, comme on l'a d;j; dit (voir plus haut) en cas de l'hiver "propre" nucl;aire les gens pourront se nourrir plusieurs ann;es du b;tail, qui s'est glac; chez lui-m;me dans les stalles et s'est gard;. En cas de la contamination radioactive d'une telle possibilit; ne sera pas. Les ondes explosives d;truisent dans le monde entier les maisons, mais l;, o; ils se garderont, on fait tomber les verres, et cela fera plus complexe la protection contre la radiation et le froid. Noiera par le bois radioactif dangereusement. Ces facteurs seront intensifi;s par la destruction des objets les plus pr;cieux de l'infrastructure pour le compte de l'action directe des facteurs frappant de l'arme nucl;aire. Quand m;me, il est impossible de dire, si peut ñèíåðãåòè÷åñêèé amener l'effet ; la disparition totale, si de leurs aucunes ses composantes ne donne pas cela.
2.5 Co;t de la cr;ation du potentiel nucl;aire, pouvant menacer ; la survie de la civilisation humaine
       Bien que l'arme nucl;aire cr;e la possibilit; th;orique de la destruction humaine, la faisabilit; pratique de tels projets d;pend de leur co;t. Si partager le co;t du programme nucl;aire des ;tats-Unis en quantit; de bombes produites, un moyen prix de la charge fera 1-40 millions de dollars, selon les comptes d'A.Anisimova dans l'article «le D;veloppement des forces strat;giques de la Chine et le probl;me de l'ad;quation de la situation de la politique ;trang;re des ;tats-Unis».58 si pour la contamination compl;te de radiation de la Terre faut 1000 bombes avec l'enveloppe du cobalt, un tel projet co;tera de l'ordre de 40 milliards de dollars. C'est la dixi;me part du budget annuel du Pentagone ou le prix de la grande corporation p;troli;re. Si parler est plus exactement un milli;me du PIB annuel mondial. Dans la mesure de la croissance du PIB mondial et la r;duction du prix de la production cette part baisse, c'est-;-dire, tout est plus bon march; de cr;er une telle arme. Ainsi, la cr;ation de l'arme nucl;aire du dies irae est pratiquement accessible ; pr;sent pour de grandes puissances.
       
       2.6 Probabilit; de l'accident global provoqu; par l'arme nucl;aire
       En ce qui concerne les risques de la disparition ; la suite de l'application de l'arme nucl;aire il faut mettre la probabilit; de deux variantes :
       * La guerre classique nucl;aire amenant ; la disparition.
       * L'application non classique de l'arme nucl;aire comme les voitures du dies irae.
       La premi;re variante est d;finie par l'oeuvre de la probabilit; de deux ;v;nements successifs : les probabilit;s de la guerre ; grande ;chelle nucl;aire et la probabilit; de ce que cette guerre am;nera ; la disparition de l'humanit;.
       Il nous semble que la probabilit; de l'attaque pr;m;dit;e d'une puissance sur l'autre est peu probable, puisque cela ne donne pas ni politique, ni ;conomique, le profit militaire, mais cr;era le risque de la riposte, la diffusion de l'arme de la d;faite massive, le risque de la guerre avec d'autres puissances poss;dant l'arme nucl;aire. Cependant la guerre nucl;aire entre les ;tats nucl;aires peut commencer par hasard, mais il est plus exact, ; la suite de la cha;ne complexe des ;v;nements. Nous nous rappellerons : au cours de la crise Des Cara;bes les Am;ricains croyaient que peuvent attaquer Cube, puisqu'il n'y a pas l; d'arme nucl;aire des Russes. Les militaires sovi;tiques avaient l; l'arme nucl;aire tactique, que pouvaient appliquer au jugement selon les circonstances (c'est-;-dire, sans ;quipe par dessus), mais croyaient que les Am;ricains ne les attaqueront pas. Chaque partie agissait correctement dans le cadre des repr;sentations et croyait de plus incorrect et impossible les actions de l'autre partie.
       Les forces nucl;aires se trouvent sous l'effet des exigences suivantes contradictoires :
       Les forces Nucl;aires ne peuvent pas faire en aucun cas la mise en marche non pr;m;dit;e – c'est-;-dire la mise en marche, qui serait reconnue plus tard incorrecte. Cela comprend l'identification du but, l'information du pr;sident, la prise de d;cision, son accomplissement jusqu'aux points de la mise en marche la mise en marche elle-m;me et l'induction des fus;es.
       Les forces Nucl;aires doivent r;ussir ; porter l'otvetno-passant le coup dans les conditions de la r;sistance intense d'information de l'adversaire probable, et donc – se trouver dans l';tat de la haute cambatitivit; et l'autonomie aux prises de d;cisions., comment se d;cide cette contradiction, d;pend, s'il y a des cl;s de la mise en marche ; bord du sous-marin ou sont exp;di;s ; bord ; la radio du centre en cas de la situation extraordinaire. Bien que cela, soit organis; comment la gestion des forces Strat;giques nucl;aires dans les puissances principales nucl;aires, est le plus grand secret militaire, on sait historiquement que sortaient plus d'une fois les variantes, quand la cl; de la mise en marche ;tait aux places.
       On peut inventer la multitude de sc;narios du d;but non pr;m;dit; de la guerre nucl;aire «la guerre Accidentelle nucl;aire» 59 Voir plus en d;tail livre Áðþñà Áëåðà. Par exemple, l'avion avec le pr;sident cassent soudain. Puisque le syst;me de gestion, et donc le lien avec le commandant en chef est la partie la plus essentielle de l'architecture de d;fense, n'importe quels probl;mes ; cette ligne peuvent ;tre per;us comme le d;but de l'attaque.
       Puisque de la guerre nucl;aire ;tait jamais, cela a donn; l'influence pernicieuse comme sur les attentes publiques, et, probablement, sur les normes du risque de la sph;re militaire. En outre grandit le nombre des pays, capable de cr;er et cr;ant les arsenals nucl;aires. De plus, l'attaque terroriste nucl;aire peut devenir aussi le crochet de d;tente vers la guerre, mais peut l'organiser et un petit pays. Tout cela nous pousse vers l'id;e que le risque de la guerre nucl;aire grandit constamment. Si nous l'estimons ; 0,5 % par an, cela, je pense, ce sera une assez non mauvaise estimation. Cependant ce risque lui-m;me peut ne pas "vivre" de cent ans. Ou il sera fait d;pass; par de technologies encore plus puissantes et dangereuses, ou, au contraire, l'humanit; s'unira et refusera les stocks de l'arme nucl;aire.
       D'autre part, la guerre ordinaire non pr;m;dit;e nucl;aire n'am;nera pas in;vitablement ; la disparition de l'humanit;. Si ses ;chelles sont limit;es par quelques pays, ce sera encore un ;v;nement de l';chelle de la deuxi;me guerre mondiale. Et alors elle n'interrompra pas la marche du progr;s et ne changera pas beaucoup la marche de l'histoire mondiale. Cependant la guerre nucl;aire peut lancer la cha;ne des ;v;nements, qui r;duira rudement le niveau du d;veloppement de toute l'humanit;, le traduira sur le stade postapocalyptique, dans qui il sera vuln;rable vers les facteurs plusieurs autres de la disparition. Par exemple, la guerre peut devenir permanente, puisque par la vengeance produisent toutes les nouvelles portions de l'arme, particuli;rement, biologique, ou construiront et faire sauter «les voitures du dies irae», c'est-;-dire les installations, capable de supprimer toute l'humanit;. De plus, les gens seront influenc;s de l'hiver nucl;aire et les retomb;es atomiques de la force inconnue. La somme de tous ces facteurs peut mettre l'humanit; sur la limite de la disparition, mais le passage de cette limite deviendra la question du cas.
       Le cours des ;v;nements dans le monde postapocalyptique d;pendra non seulement des cons;quences de la guerre nucl;aire, mais aussi de celui-l;, quelles technologies survivront l;, pourront se d;velopper et seront appliqu;s. Cela sort du cadre du sujet du chapitre donn;, c'est pourquoi nous pouvons dire que dans le plus mauvais cas de la guerre nucl;aire on r;ussira le monde postapocalyptique capable vers la d;gradation ult;rieure. Les chances de que la civilisation baissera le niveau ; la suite de la guerre nucl;aire, nous accepterons comme 50 %. Au total nous recevons l'estimation de la probabilit; du passage au monde postapocalyptique ; la suite de la guerre nucl;aire dans le XXI si;cle de l'ordre de 25 % dans le cas o; aucuns autres proc;s ne s'opposeront pas ; cela. Puisque, cependant, cet ;v;nement doit ";tre bloqu;", c'est-;-dire, probablement, deviendra impossible ; cause de plus forts proc;s pendant le maximum de 30 ann;es, nous pouvons diviser cette estimation sur 3 (puisque 30 environ ; 3 fois moins de 100 ans, pour qui se faisait l'estimation initiale), c'est-;-dire nous recevrons 8 % de la probabilit; de ce que dans le XXI si;cle nous nous trouverons dans le monde postnucl;aire avec le niveau baiss; du d;veloppement de la civilisation. La probabilit; de ce que nous dispara;trons dans le monde postnucl;aire encore ; plusieurs fois moins et d;pend d'autres facteurs. En arrondissant jusqu'; l'ordre, nous recevrons le risque de la disparition ; la suite des cons;quences de la guerre nucl;aire dans le XXI si;cle de l'ordre de 1 %. Les chances de ce qu'une forte guerre nucl;aire am;nera directement ; la disparition humaine sans phase du d;p;rissement dans le monde postapocalyptique, j'estime comme encore plus petit. Le Gourou de la cryptographie vient aux conclusions semblables Martin Helmann60.
       Il faut aussi prendre en consid;ration les probabilit;s de l'application non traditionnelle de l'arme nucl;aire. ; pr;sent de rien on ne sait pas sur les ;laborations des voitures du dies irae (c'est-;-dire les installations sp;cialement destin;es ; la destruction de l'humanit; en vue de, par exemple, le chantage) ; la base de l'arme nucl;aire (bien que l'on peut trouver les forces elles-m;mes nucl;aires comme ceux-ci; en outre une telle ;laboration serait conduite strict ñåêðåòåÊàê s'enregistre justement dans le film le "Docteur Strendzhlav" Êóáîðèêà, la Voiture du Dies irae est injustifi;e, si sur est annonc;; c'est-;-dire elle doit ;tre confidentielle seulement en train de la construction; d'autre part, peut l';tre annonc; seulement aux chefs âðàæáåíûõ ñòðà pour ne pas g;ter l'image et ne pas faire peur ; la population.) Dans le futur il y avoir appara;tre des moyens beaucoup plus bon march; de la cr;ation de la voiture du dies irae ; la base de l'arme biologique. C'est pourquoi je pense que par l'erreur ne d;clarera pas que les chances de la cr;ation et l'application de la voiture du dies irae ; la base de l'arme nucl;aire, au moins ; 10 fois il y a moins de chances de la guerre la plus nucl;aire. Cependant, dans un tel cas les chances de la disparition de toute l'humanit; est consid;rable, que de la guerre nucl;aire, puisque pas chaque guerre nucl;aire am;ne ; la disparition. En r;alit;, si l'arme du dies irae est appliqu;e, toute la question dans, s'il fonctionnera ainsi que r;fl;chissait. (Si chez Hitler dans le bunker une telle arme serait, il, probablement, l'a appliqu; – comme le hara-kiri pour tout le pays, en tout cas, cela suit du testament d'Hitler, o; il accuse le peuple allemand de la d;faite.) j'estime la probabilit; de la disparition de l'humanit; ; la suite de l'application de l'arme du dies irae dans le XXI si;cle comme la valeur aussi de l'ordre de 1 %.
       L'int;gration d;finie de l'arme nucl;aire de combat et «la voiture du dies irae» est possible. Dans le roman de N.Shjuta "au bord" 61 applications consid;rables de mille bombes du cobalt par plusieurs ;tats am;ne non ; la contamination des pays s;par;s, comme c';tait suppos;, mais vers la contamination compl;te de tout le monde. Apr;s l'ouverture de la possibilit; de l'hiver nucl;aire il est devenu clair que les fus;es modernes nucl;aires peuvent ;tre l'arme du dies irae, si les diriger sur mille villes selon toute la lumi;re. De la m;me mani;re on peut les diriger sur les stocks du combustible nucl;aire r;cup;r;, les stations atomiques dormant les volcans et les gisements de la houille. C'est-;-dire, un et aussi l'arme peut ;tre ou ne pas ;tre la voiture du dies irae en fonction de l'utilisation.
2.7 Changement de la probabilit; de l'accident global provoqu; par l'arme nucl;aire, avec le temps
       Il croit qu'; pr;sent ïîãîäîâàÿ la probabilit; de la guerre catastrophique nucl;aire a diminu;, puisque les arsenals nucl;aires de l'URSS et les ;tats-Unis ont ;t; r;duits consid;rablement. Cependant en r;alit; la probabilit; de l'application de l'arme nucl;aire grandit, puisque de plus en plus des pays d;clarent ouvertement son ;laboration (pr;s de 10), et, en outre d'autres pays, en dehors de la Russie et les ;tats-Unis, retrouvent les possibilit;s techniques et le d;sir de se procurer l'arsenal ; mille charges (la Chine, le Pakistan et l'Inde). Grandit aussi le nombre des pays d;veloppant l';lectronucl;aire de paix de la destination double, c'est-;-dire, capable au cours des mois ou quelques ans proc;der ; la production de l'arme nucl;aire (voir par exemple «la non-prolif;ration Nucl;aire ; l';poque de la mondialisation», sous la r;daction d'A.Arbatova et V.Miheeva62).
       Grandissent les chances de l'atteinte des mat;riaux fissiles aux mains des terroristes.
       Cette croissance de la probabilit; est assez lin;aire et sera assez lent, si on n'invente pas seulement les moyens de la r;duction du prix importante de la production de l'arme nucl;aire : la production mol;culaire et les m;thodes de l'explosion thermonucl;aire sans amorce uranique. L'apparition et – particuli;rement – la diffusion des connaissances selon telles m;thodes augmentera rudement la quantit; de munitions nucl;aires dans le monde. Nous pouvons ;tre assur;s maintenant de ce qu'est absent encore mol;culaire íàíîòåõíîëîãè÷åñêîãî de la production, mais nous ne pouvons pas ;tre assur;s qu'il n'y a pas de moyens confidentiels de l'initiation directe de l'explosion thermonucl;aire. Certainement, s'ils ;taient, il fallait tenir en secret le fait lui-m;me de leur existence. La diffusion des nouvelles technologies, par exemple ÈÈ et les nanotechnologies, peut cr;er les nouveaux moyens de la destruction de l'arme nucl;aire et la pr;vention de son application. Cependant si vraiment une telle arme est appliqu;e, ils ne donneront pas la protection sp;ciale contre ses facteurs frappant. En vertu de cela, on peut affirmer que le risque de l'application de l'arme nucl;aire ïðåáóäåò avec nous toujours, si n'est pas ;vinc; seulement par les facteurs surpassant selon la force, c'est-;-dire d'encore grands risques li;s avec ÈÈ, les nanotechnologies et les biotechnologies.
       Quant ; l'arme du dies irae ; la base de l'arme nucl;aire – comme ãèãàòîííîé de la bombe du cobalt, ; pr;sent le moment de rien on ne sait pas sur l';laboration de l'arme de telle sorte. D'autre part, si une telle ;laboration ;tait produite, elle serait un grand secret, puisque le pays ouvertement ;laborant «l'arme du dies irae», se serait soumis imm;diatement ; l'attaque. Je crois que cette probabilit; n'est pas ;gale au z;ro et grandit aussi, mais d'une mani;re tr;s monotone et lentement. En cas du d;but de la nouvelle guerre mondiale elle peut beaucoup augmenter. Autrement dit, la guerre (ou la menace d'une telle guerre), qui conduit ; la conqu;te compl;te de la puissance nucl;aire, avec une haute probabilit; am;nera ; l'application ou la menace de l'application de "l'arme du dies irae» comme du dernier argument. De nouveau, l';laboration des nouvelles technologies nucl;aires r;duisant le prix de la production, augmente les chances de la cr;ation nucl;aire de "l'arme du dies irae». Probablement, les ann;es dans dix-vingt lui il sera accessible ; de soi-disants pays-parias.
2.8 Strat;gie de la mod;ration sous la question
       Il faut dire que, probablement, la mod;ration nucl;aire comme le facteur de la pr;vention de la guerre est surestim;. Ce qu'est la strat;gie avantageuse dans la perspective ; court terme, peut ;tre peu propice ; la victoire ; long terme. C'est-;-dire : les guerres des superpuissances sont devenues plus rare, mais l';chelle des cons;quences possibles de telles guerres a augment; incommensurablement. Et si l'arme nucl;aire est non ; quelques pays, mais chez tous sans exception, la guerre de tous contre tous ne laissera pas aucun coin survivant de la plan;te. Le m;canisme de la diffusion du conflit peut ;tre un tel : s'il y a des pays A, B, C, D et il y a une guerre nucl;aire entre A et B, dans le gain restent les pays Avec et D. C'est pourquoi les pays A et B peuvent ;tre int;ress;s qu'Avec et D entrent aussi dans la guerre, et peuvent attaquer par leur partie des forces. Avec et D, en comprenant cela, peuvent frapper avec les premiers.
       Enfin, la menace de la destruction mutuelle garantie effectif seulement alors, quand il y a seulement deux superpuissances (par la quantit; des charges nucl;aires). Mais d;j; maintenant, mais probablement et auparavant, la Chine est devenue troisi;me, et l'apparition des nouvelles superpuissances nucl;aires est possible. Äæ. Ëåñëè îòìå÷àåò63 que la r;duction de la quantit; de bombes nucl;aires dans les arsenals ne conduit pas ; la r;duction de la probabilit; de la guerre nucl;aire, puisque demande que l'on utilisait la strat;gie de l'otvetno-passant du coup, quand les fus;es sont lanc;es avant que les coups ennemis frappent les buts, parce qu'apr;s cela les 10 % survivant seront insuffisamment pour la riposte ; valeur requise. La strat;gie de l'otvetno-passant du coup est plus vuln;rable vers les fonctionnements faux, puisque la d;cision du coup nucl;aire est accept;e seulement pour les signes indirects, qui peuvent contenir les erreurs, et dans les conditions de l'intervalle tr;s court temporaire, qui exclut quelque r;flexion sur la nature des signaux entrant. En r;alit;, cette d;cision d;pend non des gens, mais des algorithmes ;crits par eux d'avance et les instructions que ronge la responsabilit;. En outre l'otvetno-passant le coup sous-entend un constamment haut niveau de la cambatitivit; des fus;es que demande, en particulier, que les cl;s de la mise en marche se trouvent non au centre, mais chez les interpr;tes directs.
       L'augmentation de l'exactitude des fus;es non plus garantit la stabilit;, puisque donne la possibilit; du premier coup d;sarmant, et en cons;quence, peut pousser plus de faible frapper premier, avant qu'elle perde d;finitivement l'avantage. Le m;me exactement et pour la cr;ation de l';cran d;fensif comme l'I.D.S. Toutes les strat;gies amen;es de l'opposition nucl;aire ne sont pas attach;es exceptionnellement ; l'arme nucl;aire, mais seront fid;les et ; l'apparition de n'importe quels plus puissants types d'arme, y compris – li; avec ÈÈ et les nanotechnologies. Plus en d;tail ces questions sont examin;es, par exemple, dans le livre d'Arbatova A. G etc. «la R;duction de la cambatitivit; des forces nucl;aires de la Russie et les ;tats-Unis – la voie vers la r;duction de la menace nucl;aire» 64.
2.9 terrorisme Nucl;aire comme le facteur de l'accident global
       M;me le ph;nom;ne du terrorisme nucl;aire – c'est-;-dire l'explosion anonyme de la bombe de la petite capacit; – ne peut pas amener ; la disparition humaine. D'autre part un tel ;v;nement intensifiera rudement tous les risques globaux. (Mais si les bombes apprennent ; faire dans les conditions domestiques, pour ainsi dire, gr;ce aux succ;s dans la fusion nucl;aire froide, d'un cela peut ;tre assez pour la disparition des gens.) une telle explosion peut provoquer la guerre, ou amener ; la destruction de la direction du pays, ayant intensifi; la d;sorganisation totale et ayant priv; les structures dirigeant de la sagesse n;cessaire ; la d;cision des probl;mes r;ellement s;rieux globaux. Il peut amener aussi au tortillement des ;crous et l';tablissement de la soci;t; du contr;le total, qui am;nera ; l'apparition du mouvement de la r;sistance ; l'esprit àíòèãëîáàëèñòîâ et vers les nouveaux attentats.
2.10. Les conclusions selon les risques de l'application de l'arme nucl;aire
       La menace de l'accident nucl;aire est sous-estim;e souvent ou est surestim;. La sous-estimation est li;e pour l'essentiel aux raisonnements sur ce qu'une fois de l'accident n';tait pas il y a longtemps, elle est peu probable. Ce raisonnement incorrecte, puisqu'il est expos; ; l'action de l'effet de la s;lection de surveillance, sur qui nous parlerons ensuite dans le chapitre 14 dans le paragraphe la "Fin d'une action" de la protection », qui ; nous assurait àíòðîïíûé le principe», et l'effet de l'affaiblissement du vigilance avec le temps. La r;;valuation est li;e aux repr;sentations r;pandues sur l'hiver nucl;aire et la contamination radioactive comme les facteurs in;vitables de la disparition de toute l'humanit; apr;s la guerre nucl;aire, et cette r;;valuation conduit ; la r;action de retour îòâåðæåíèÿ, conduisant vers la minimisation du risque. Bien que l'hiver "ordinaire" nucl;aire et la contamination, probablement, n'am;nent pas ; la disparition compl;te de l'humanit; eux-m;mes (bien que peuvent cr;er les conditions pour la disparition ult;rieure selon l'ensemble des raisons), mais il y a des moyens d'appliquer l'arme nucl;aire sp;cialement pour cr;er la voiture du dies irae, qui exterminera tous les gens avec une haute probabilit;.
Le chapitre 3. La contamination globale chimique
       L'arme chimique n'est pas examin;e d'habitude ; titre de l'arme de la fin de la lumi;re. C'est li; ce que pour la contamination globale de l'atmosph;re on demande de tr;s grandes quantit;s de substance toxique, ainsi que ce que cette substance ou est chimiquement instable, ou se lave facilement de l'atmosph;re. La contamination globale chimique peut se passer ; cause du d;gazage soudain rude des couches profondes terrestres, par exemple, l';bullition des hydrates ; gaz sous le fond maritime. Cependant la variante principale – l';ruption du supervolcan avec un grand rejet des gaz. Le proc;s lui-m;me de l'accumulation du gaz carbonique dans l'atmosph;re terrestre pour le compte de la combustion du combustible fossile peut ;tre consid;r; aussi par la partie "du d;gazage des couches profondes». D'autres raisons possibles – une grande avarie sur la production chimique, le r;sultat de l'activit; g;n;tiquement les organismes modifi;s dans la biosph;re, et, enfin, l'application consciente de l'arme chimique. Dans l'imaginaire scientifique on examinait la variante de la chute des substances toxiques chimiques du noyau de la com;te. Par le facteur principal transformant l'arme chimique en la menace globale, est l'unit; de l'atmosph;re terrestre. C'est pourquoi dans ce chapitre nous examinerons une s;rie d'autres facteurs, l'action de qui se r;pand dans l'atmosph;re.
       En raison de cela il est utile de compter, quelles quantit;s et quels gaz peuvent enti;rement empoisonner l'atmosph;re terrestre. Il est clair de plus qu'il est beaucoup plus facile de r;sister aux gaz et les poisons avec l'aide des masques ; gaz et les refuges, que la radiation et les bioagents. Pour la contamination ;gale de toute la Terre le plus fort íåðâíîïàðàëèòè÷åñêèì par le gaz VX serait n;cessaire pas moins 100 mille tonnes de ce r;actif (si partir sur l'estimation une dose mortelle sur 1 m;tre sq., c'est-;-dire 200 ìêã). De plus dans la Premi;re guerre mondiale de tout ;tait utilis; 120 mille tonnes diff;rent ÎÂ. Il est tant d'Environ (94 mille tonnes) ;tait utilis; des herbicides dans la guerre au Vi;t Nam. Les stocks modernes mondiaux des substances toxiques sont estim;s dans 80 mille tonnes, bien que les donn;es exactes selon les stocks universels soit absentes. Il est clair De plus que l'arme chimique n';tait pas la direction prioritaire, et l'ont produit beaucoup moins, que pourraient. Il est clair aussi que la question de la distribution ;gale (c'est-;-dire les livraisons) est pas simple. Le gaz VX se tient dans le climat froid tr;s longtemps, mais ; la chaleur se d;compose en quelques jours. Il est th;oriquement possible de produire et r;pandre cependant des millions de tonnes de ce gaz ou la chose semblable et cr;er la menace globale. (Se simplifiera particuli;rement cette t;che avec le d;veloppement de l';tude des organismes genno-modifi;s.)
       La dose fatale de la toxine du botulisme – pr;s de 0,1 ìêã. (Cela signifie que pour la destruction de l'humanit; il y avait quelques ñîò le gramme), mais il est tr;s instable dans le milieu ambiant.
       La dose fatale de la dioxine – pr;s de 1 ìêã (il y a des diff;rentes estimations), cependant lui peut se garder les dizaines des ann;es dans le milieu et s'accumuler dans les organismes. La fuite environ 25 kg de la dioxine ; Ñåâåñî en Italie a provoqu; la contamination 17 km sq. On peut conclure d'ici que sur la contamination compl;te de la Terre il faudra 500 000 – 1 000 000 tonnes de dioxine. C'est ;gal au volume de quelques grands bateaux citernes p;troliers. Probablement, la puissance industriellement d;velopp;e pourrait faire un tel volume en quelques ann;es.
       Les sc;narios de l'accumulation graduelle dans le milieu naturel des substances sont aussi possibles, le danger de qui ;tait au d;part íåî÷åâèäíà. ;tait ainsi avec les fr;ons d;truisant la couche d'ozone, et les dioxines. Est aussi possible l'accumulation de plusieurs produits chimiques, qui selon l'isolement ne donnent pas une grande l;talit;, mais cr;ent ensemble le fond tr;s lourd. Cela s'appelle d'habitude «la situation d;favorable ;cologique».
       Par une autre variante l'est le changement complet de la constitution chimique de l'atmosph;re ou la perte des propri;t;s de l'utilit; ; la respiration. Une certaine puissante source des substances chimiques pour cela est n;cessaire. Il peut ;tre le volcanisme terrestre, sur quoi les paroles iront ensuite. D'autres candidats : les hydrates ; gaz au fond de l'oc;an – l'empoisonnement par le m;thane, ou la vapeur d'eau, si par une certaine image toute l'eau vaporiser (est possible ; l';l;vation de la temp;rature irr;versible globale).
       La structure fonctionnelle de l'accident chimique comprend dans l'empoisonnement de l'air par le poison ou ; la perte par l'atmosph;re des propri;t;s de la capacit; ; soutenir la vie : c'est-;-dire nourrir de son oxyg;ne, prot;ger contre la radiation, soutenir le r;gime n;cessaire de temp;rature. L'accident chimique menace ; la biosph;re terrestre m;me plus qu'; la personne, qui peut mettre le masque ; gaz, mais sans biosph;re la personne vivre ne peut pas. Puisqu'un tel accident porte le caract;re assez passif, s'en d;fendra assez simplement dans les bunkers.
       Les variantes peu probables :
       * L'empoisonnement äèîêñèäîì du carbone de plus la limite, ; qui la personne peut respirer sans scaphandre (il est peu probable, puisqu'il n'y a pas de telle quantit; de min;raux – seulement en cas d'un certain accident naturel). Cependant une grande quantit; CO2 peut ;chapper et des volcans. Par exemple, la V;nus est entour;e de l'atmosph;re de CO2 ; cent fois plus gros, que l'atmosph;re terrestre, et, probablement, la grande partie de cette substance s'est s;cr;t;e des couches profondes, et selon certaines suppositions, relativement r;cemment. D'autre part, sur la V;nus il n'y a pas de cycle carbonique, comme par la Terre.
       * La formation ; la suite de la restitution îêñèäà la glande dans les entrailles du sol de la quantit; consid;rable d'oxyg;ne non biog;n;tique, qui il peut dans 600 millions d'ann;es enti;rement empoisonner l'atmosph;re, comme entend O.G.Sorotihin65. Aggraver ce le sc;nario peut la situation, si quelque part sous la surface se sont accumul;es d;j; de grandes quantit;s de cet ou autre gaz, et puis ils ;chappent sur la surface. D'ailleurs, les affirmations Ñîðîòèõèíà sur l'oxyg;ne non biog;n;tique sont soumises ; la critique. Les gaz creusant sur la surface seront non seulement empoisonner l'atmosph;re. Ils seront chauff;s jusqu'; mille degr;s. Et s'il y aura un rejet massif des gaz (ou l'eau), eux non seulement empoisonnera l'atmosph;re, mais aussi st;rilise la surface par la chaleur. (R;cemment il y avait une publication sur ce qu'est profond sous la Terre ont d;couvert «les oc;ans de l'eau», mais en fait l; les paroles vont seulement sur augment; – 0,1 % – les concentrations de l'eau ; ïîðîäàõ66.)
       * La mise en relief catastrophique du m;thane des hydrates ; gaz dans la toundra et sur le fond maritime que non seulement intensifiera les propri;t;s de serre de l'atmosph;re, mais aussi empoisonnera, probablement, å¸67.
       * Une autre variante – la mise en relief des quantit;s immenses d'hydrog;ne des couches profondes terrestres (il y a des suppositions, qu'au centre de sa Terre est beaucoup de) – Voir Syvorotkin V. L «les aspects ;cologiques du d;gazage de la Terre» 68. C'est l'hydrog;ne d;truit la couche d'ozone. Est aussi possible la mise en relief des quantit;s immenses de p;trole, si la th;orie sur àáèîãåííîì l'origine du p;trole est fid;le et les quantit;s immenses óãëåâîäîðîäîâ se sont accumul;es profond;ment dans la Terre. Mais le sondage des trous de plus en plus profonds se prolonge.
       * L';puisement de l'oxyg;ne dans l'atmosph;re n'a personne finalement du proc;s, par exemple, ; l'oxydation de l'hydrog;ne s;cr;t; des couches profondes. (Mais les combustions du combustible pendant mille ann;es il y a pas assez de pour cela.) un tel proc;s peut ;tre la mise en relief soudaine et la combustion de la grande quantit; de carburant. Ou l';puisement de l'oxyg;ne finalement l'action g;n;tiquement les organismes modifi;s qui sont sortis de dessous du contr;le par exemple, quelque chose comme àçîòîôèêñèðóþùèõ des bact;ries. Enfin, ; la suite de la cessation de la photosynth;se ; simultan;ment suite de la combustion du combustible min;ral.« Est compt; que les plantes vertes produisent tout l'oxyg;ne de l'atmosph;re terrestre (1200 trillions des tonnes) selon les mesures g;ologiques presque instantan;ment – en 3700 ans! Mais si la v;g;tation terrestre p;rit – l'oxyg;ne libre dispara;tra tr;s vite : il se liera de nouveau avec la mati;re organique, fera partie de l'acide carbonique, ainsi qu'acidifiera le fer dans les roches »69. Nous avons environ un million de milliards de tonnes d'oxyg;ne dans l'atmosph;re, plus une certaine quantit; dilu;e dans l'eau. La quantit; de combustible fossile, que nous avons acidifi; pour toute l'histoire ou nous allons acidifier, est mesur; avec mille milliards de tonnes, c'est-;-dire beaucoup moins. Mais si nous sapons les capacit;s de la biosph;re de la r;g;n;rescence, mais puis nous perdrons les technologies, la r;duction lente du niveau de l'oxyg;ne sera l'accident global. Selon certaines donn;es, la plus grande disparition de Perm ;tait li;e ; la chute rude du niveau de l'oxyg;ne dans l'air pour la raison inconnue (Äæ. Ëåñëè70).
       * La chute de la com;te avec une grande quantit; de gaz toxiques.
       * «Le flot noir» – l'empoisonnement de l'oc;an mondial par le d;bordement de la grande quantit; de p;trole. Directement il ne peut pas tuer les gens, mais peut critiquement saper les cha;nes de l'alimentation dans la biosph;re et violer la production de l'oxyg;ne et l'absorption du gaz carbonique (que conduit ; l';l;vation de la temp;rature) et, dans le compte final, traduire l'humanit; au stade postapocalyptique. D'autres variantes de l'empoisonnement de l'oc;an mondial sont possibles.
       * L'arr;t de l'atmosph;re de la Terre. Peuvent le provoquer : l'explosion la plus forte donnant áîëüøåé les parties de l'atmosph;re la vitesse de lib;ration, l';ruption solaire ou la chauffe soudaine.
       * Le flambage de l'atmosph;re. Ici j'ai en vue l';l;vation de la temp;rature non globale, comme complexe graduel les ph;nom;nes, mais la chauffe de courte dur;e de l'atmosph;re jusqu'aux temp;ratures ;lev;es ; la suite de certains proc;s. A.Portnov dans l'article «Comme a p;ri la vie sur le Mars» 71 suppose que les sables magn;tiques rouges (ìàããåìèò) sur le Mars se sont form;s au cours du bombardement de la plan;te par les ;clats de son grand compagnon qu'a amen; ; la chauffe jusqu'; 800-1000 degr;s, ; qui il y a une formation de tels min;raux. Les ajournements analogues ; eux sont d;couverts en Iakoutie, o; 35 millions d'ann;es en arri;re sont tomb;s un grand ast;ro;de par le diam;tre pr;s de 10 km et a laiss; le crat;re Igajsky Pop (ainsi qu'a provoqu;, probablement, la grande disparition suivante des essentiels vivants). Il est possible qu'; certains âûñîêîýíåðãåòè÷ñêèõ les ;v;nements peuvent se former immense dense âûñîêîòåìïåðàòóðíûå les nuages, qui se r;pandent selon la surface ; mille kilom;tres. Leur exemple peuvent ;tre ïèðîêëàñòè÷åñêèå les nuages ; l';ruption des volcans modernes, qui avancent selon la surface de la terre ou la mer ; une grande vitesse et sur les distances consid;rables et ont ; l'int;rieur de lui-m;me la temp;rature de l'ordre de 1000 degr;s. Puisque tels nuages opaque, eux se refroidissent lentement par l'irradiation. D'autres raisons possibles du flambage – l'irradiation (par exemple, les fragments de l'ast;ro;de jet;s haut ; la stratosph;re et de feu globe de l'explosion, l';clat supernouveau) ou le gaz tr;s lourd chaud (assez lourd pour ne pas ;merger dans l'air – lourd óãëåâîäîðîäû ?)
       * La r;action autocatalytique se r;pandant selon toute la surface de la Terre dans l'esprit de la glace-9 du roman de K.Vonneguta «le berceau pour le chat». Il n'y a pas encore d'aucunes raisons de penser qu'une telle r;action est possible. (Bien qu'il y avait un cas, quand le m;dicament contre SIDA a form; spontan;ment un nouvel isom;re poss;dant la propri;t; ïðèîíà – êàòàëèçèðîâàòü la formation de l'isom;re analogue, qui a ;vinc; la forme juste du cristal de toutes les fabriques dans le monde et a arr;t; la production.) ou la cr;ation du catalyseur artificiel extr;mement effectivement r;alisant une certaine r;action, les produits par qui sont nuisible pour tout le vivant.
       Mon estimation subjective de la probabilit; de la contamination globale chimique – de l'ordre de 0,1 % sur tout le XXI si;cle. Cette probabilit; est particuli;rement petite maintenant, puisqu'il n'y a pas de telles technologies, et elle diminuera, quand se d;velopperont assez les moyens mol;culaire íàíîòåõíîëîãè÷åñêîãî les productions, qui pourront vite nettoyer l'atmosph;re ou quand m;me prot;ger les gens contre la contamination (si eux-m;mes, ils ne provoqueront pas un tel accident).
       La conclusion : bien que la possibilit; th;orique de l'empoisonnement de toute l'atmosph;re par les gaz se trouve, elle est bloqu;e par la possibilit; de la cr;ation des bioagents toxiques et ;pid;miologiques. N'importe quelle organisation ou l';tat, qui peut aspirer ; l'empoisonnement de toute la biosph;re, peut le faire beaucoup plus facilement et meilleur march; avec l'aide de l';tude g;n;tique. De plus, la personne peut ;prouver un tel empoisonnement dans le bunker ou neutraliser par ses antidotes, probablement, fait avec l'aide des biotechnologies. N;anmoins, l'empoisonnement soudain et consid;rable de l'air peut ;tre le facteur, qui cr;era une des variantes du monde postapocalyptique.
Les conclusions relativement òåõíîëîãè÷åñêè des risques authentiques
       ; partir de ce qu'un certain risque òåõíîëîãè÷åñêè est pr;t, il ne faut pas enlever des comptes l'imminence du perfectionnement ult;rieur technologique dans ce domaine, ainsi que la probabilit; des ouvertures importantes dans ce domaine ou li; avec elle. Il est important de comprendre de plus que les dangers cr;;s par les nouvelles technologies, toujours plus que les dangers d'anciennes technologies, quand m;me parce que n'importe quelles nouvelles technologies peuvent ïîòåíöèðîâàòü l'efficacit; des anciennes technologies.
Les risques, l'apparition de qui semblent in;vitable, ; partir du caract;re en cours du d;veloppement des technologies
       Ensuite nous examinons le d;veloppement des technologies, comme la tendance autosuffisante, qui íåïîäâåðæåíà ; aucunes crises ext;rieures et les risques (ainsi que ne d;pend pas de la volont; humaine). Est ;vident l'exclusivisme de ce point de vue. Plus tard nous examinerons, comment la r;alisation de n'importe quels grands et petits risques peut influencer le d;veloppement des technologies et leur capacit; engendrer les nouveaux risques.
Le chapitre 4. L'arme biologique
Les consid;rations totales et les sc;narios principaux
       En r;alit;, la grande partie des technologies n;cessaires ; la cr;ation de l'arme dangereuse biologique, existe d;j;. Par exemple, ; la fin de 2007 on proposait la composition des "cubes" de base pour l';tude g;n;tique, r;pandu selon les principes du logiciel libre Genetic-Engineering Competitors Create Modular DNA Dev Kit72. Ou, par exemple :« En 2003 les savants de l'Institut de l';nergie alternative biologique les (;tats-Unis) sous la conduite de c;l;bre Êðåéãà Âåíòåðà synth;tisaient des r;actifs accessibles ; tous le bact;riophage tout ; fait vivant phi-X174 (s;r pour la personne et les animaux le virus, qui s'introduit dans la bact;rie Esherichia coli) … En 2002 Ýêàðò Óèììåð de l'universit; G;mis Áðóê, l';tat de New York, a publi; le travail de la synth;se du virus de la poliomy;lite des morceaux des mol;cules. Les particules synth;tiques virulentes se sont trouv;es tout ; fait íåîòëè÷èìû de naturel selon tous les param;tres – le montant, la conduite, la contaminabilit;. Et en outre le mot la "synth;se" est employ; vers ce travail au sens le plus litt;ral : en connaissant íóêëåîòèäíóþ la succession, les savants ont construit pas ; pas le virus tout ; fait ainsi que les chimistes synth;tisent les mol;cules complexes. La synth;se elle-m;me a pris au groupe trois ans. Mais en 2003, dans un an apr;s la publication de ce travail, les savants de l'Institut de l';nergie alternative biologique ont d;pens; pour la synth;se du bact;riophage des r;actifs command;s selon le catalogue seulement deux semaines »73.
       La tendance principale technologique est que le bio-;quipement baisse constamment et se r;pand par le monde, tandis que les connaissances comment l'utiliser au dommage, augmentent et se r;pandent aussi. La r;duction du prix constante et la simplification des voitures pour ñåêâåíñèðîâàíèÿ et la synth;se ÄÍÊ74 (c'est-;-dire la lecture et la cr;ation du code g;n;tique), rend possible l'apparition des biopirates. Le progr;s dans le domaine du bio-;quipement est mesur; avec la vitesse de l'ordre de 2 fois par an – c'est-;-dire les caract;ristiques augmentent, mais l';quipement baisse. Il n'y a d'aucunes raisons de penser que le rythme du d;veloppement des biotechnologies sera ralenti – la branche est compl;te par les nouvelles id;es et les possibilit;s, mais la m;decine cr;e la demande constante, c'est pourquoi on peut courageusement affirmer que dans dix ans de la possibilit; des biotechnologies selon les param;tres principaux num;riques (le prix de la sekvensirovanija/synth;se de l'ADN, par exemple) augmenteront ; 1000 fois. Il y a de plus une d;mocratisation intense des biotechnologies – la connaissance et l';quipement va aux masses. Si pour les ordinateurs est d;j; ;crit plus de 100 000 virus, les ;chelles de l'oeuvre des biopirates peuvent ;tre non plus petites.
       Principal îäíîôàêòîðíûé le sc;nario de l'accident biologique est une diffusion on n'a personne d'un virus ou la bact;rie. Cette diffusion peut se passer de deux mani;res – en forme de l';pid;mie remise de la personne vers la personne, ou en forme de la contamination du mercredi (l'air, l'eau, la nourriture, le sol). L';pid;mie de la grippe de l'Espagnole de 1918 a abord; tout le monde, except; quelques ;les ;loign;es. D'autre part, l'hypoth;se sur l';pid;mie tuant tous les gens, se heurte ; deux probl;mes. Premier, cela ce que si tous les gens p;rissent vite, on n'a personne ; porter le virus. Deuxi;me, cela ce qu'; toutes les ;pid;mies il y a d'habitude des gens, qui ont l'immunit; inn;e ; elle.
       Le sc;nario, quand se r;pand dans le monde entier un certain animal ;tant le porteur de la bact;rie dangereuse est possible. (Ainsi dans la nature se r;pand la fi;vre palud;enne sur les moustiques et la peste sur les rats.)
       La variante suivante est une apparition de l'agent omnivore, qui supprime toute la biosph;re, en frappant n'importe quels carreaux vivants. Ou quand m;me seulement la plante ou les animaux on n'a personne de l'aspect critique.
       La troisi;me variante est une arme binaire bact;riologique. Par exemple, la tuberculose et SIDA sont les maladies chroniques, mais ; la contamination simultan;e la personne br;le pour le terme court. Un des sc;narios terribles – SIDA, qui se r;pand aussi facilement, comme le refroidissement.
       Dangereusement probablement et l'arme ; deux ;tages biologique. ; la premi;re ;tape une certaine bact;rie produisant la toxine se r;pand imperceptiblement dans le monde entier. Sur deuxi;me, selon on n'a personne le signal ou òàéìåðó, elle commence ; produire cette toxine ; la fois partout par la Terre. Certains microorganismes se comportent ainsi ; l'attaque contre un grand organisme.
       La variante suivante de l'arme de la fin de la lumi;re est une dispersion dans l'air des grandes quantit;s discussion de l'anthrax (ou l'agent semblable) dans l'enveloppe protectrice (mais telles enveloppes se trouvent depuis longtemps pour les souches de combat). Cette variante ne demande pas l'agent s'automultipliant pathog;ne. La contamination par l'anthrax tr;s de longue dur;e – une ;le en Angleterre äåçàêòèâèðîâàëè de 50 ans, – et pour la contamination n'est pas demand;e de grandes quantit;s de r;actif. 1 gramme peut contaminer le b;timent entier. (Par exemple, l';limination des cons;quences de la pollution par une enveloppe avec l'anthrax aux ;tats-Unis un b;timent a pris quelques ann;es et a demand; des d;penses ; centaines de millions de dollars – il ;tait plus bon march; de d;molir, mais d;molir on ne pouvait pas, puisque de plus les discussions pourraient de nouveau s';parpiller. C'est-;-dire selon la capacit; de la contamination de longue dur;e et l'application du pr;judice ;conomique l'anthrax surpasse la plupart des agents radioactifs.)
       Cependant dans la conversion sur la surface de la terre nous recevons que mille tonnes sont n;cessaires ; la contamination compl;te de toute la Terre. Mais ce nombre n'est pas inaccessible – en URSS sur le polygone en mer d'Aral ;tait accumul; et jet; apr;s la d;sagr;gation de l'URSS 200 tonnes de souche de combat de l'anthrax. Il puis ;tait br;l; par les Am;ricains. Cependant si ; cause de naturel les accidents (trombe) est la substance flotterait haut ; l'air, il pourrait couvrir les pays entiers. Il est clair que la production de l'anthrax est plus bon march; que la production des quantit;s analogues de polonium ou le cobalt-60.
       La variante suivante dangereuse de la bioarme est l'agent changeant la conduite des gens. Le virus de la rage (l'agressivit;, les morsures) et òîêñîïëàçìà (la perte du sentiment de la peur) incitent les animaux contamin;s vers la conduite, qui contribue ; la contamination des autres animaux. On peut s'imaginer th;oriquement l'agent, qui provoquerait chez les gens la jouissance et l'aspiration ; contaminer par celui-ci les autres. Cette variante est gagn;e le cin;ma en grande quantit; les films, o; le virus transforme les gens en vampires. Mais h;las, dans cette fantaisie il y avoir ;tre une part de la v;rit;. Surtout, si cr;ent tels virus les plaisants-pirates, qui peuvent puiser au cin;ma l'inspiration.
       Encore une variante de la menace biologique est une certaine mol;cule autocatalytique capable sans restriction r;pandre dans la nature. La rage de vache s'offre par l'autocatalyse de l'albumine sp;ciale appel;e ïðèîíîì. Cependant la rage de vache se r;pand seulement dans la viande.
       Nous marquerons encore la variante - la diffusion selon toute la biosph;re n'a personne de l'essentiel vivant ;laborant la toxine dangereuse. Par exemple, ce peut ;tre g;n;tiquement modifi; les levains ou le moisi, la dioxine ;laborant ou la toxine du botulisme.
       ; titre du moyen l'opposition ; cela propos; la cr;ation du syst;me universel r;fractaire – c'est-;-dire la dispersion dans le monde entier les multitudes g;n;tiquement les bact;ries modifi;es, qui seront capables de neutraliser les r;actifs dangereux. Cependant les nouveaux dangers, par exemple, les r;actions "autor;fractaires" d'un tel ;cran, c'est-;-dire sa sortie de dessous du contr;le ici sont possibles.
       Encore un aspect du danger est soi-disant «la vie artificielle», c'est-;-dire les organismes vivants construits avec l'utilisation d'un autre code de l'ADN ou la composition des aminoacides. Ils peuvent se trouver invincibles pour les syst;mes r;fractaires des organismes modernes vivants et «manger la biosph;re».
       La variante plus fantastique du danger biologique est l'enregistrement de la vie de l'espace. Les chances de cela ;taient prises en consid;ration, quand les astronautes sont revenus de la Lune – les tenaient longtemps dans la quarantaine.
La structure de l'accident biologique
       La structure de l'accident biologique peut ;tre tr;s subtile. J'am;nerai ; titre d'illustration quelques citations sur une situation potentiellement dangereuse. (D'elle nous verront, comment il y a longtemps il y avait des menaces biologiques, – et donc, autant m;r est d;j; ce danger.)
       «La crise g;n;tique a commenc; par l';t; de 1971. ; cette ;poque un jeune savant Robert Pollak dans le laboratoire Kold-Spring-Harbor (sur Ëîíã Àéëåíäå, l';tat de New York, les ;tats-Unis), ðóêîâîäèìîé D.Uotsonom, s'occupait des probl;mes de l';crevisse. Le cercle des int;r;ts scientifiques du Demi-vernis ;tait large. Il non seulement conduisait les ;tudes, mais aussi enseignait aux ;tudiants la biologie et jouait le r;le du leader des programmes de radio consacr;s ; la discussion possibles abus dans les biosciences, en particulier, naissant alors ; l'ing;nierie g;n;tique.
       Et voici le Demi-vernis apprend que dans un autre laboratoire (; est tomb;-al'to, en Californie) chez Paul Berga se planifient les exp;riences selon âñòðàèâàíèþ l'ADN îíêîãåííîãî (pouvant provoquer les maladies canc;reuses) du virus SV 40 au g;nome du bacille intestinal. Les cons;quences de telles exp;riences ? Et non s'il y aura une ;pid;mie de l';crevisse (on savait que presque inoffensif pour les singes, le virus SV 40 provoque le cancer chez les souris et les hamsters) ? Les bact;ries farcies des g;nes dangereux, en se reproduisant les milliards pour les jours, ; l'avis du Demi-vernis, pourraient pr;senter le danger s;rieux.
       Le demi-vernis a t;l;phon; ici ; P. Áåðãó au t;l;phone interurbain et lui a demand;, s'il rend le rapport sur le danger des exp;riences ? Si les bact;ries avec les g;nes du virus SV par 40 bombe ; retardement biologique ne deviendront pas ?
       Cette communication ;tait le d;but de cette alarme, qui a embrass; les biologistes mol;culaires. Áåðã a remis les ;tudes. Il a commenc; ; r;fl;chir, si peut est r;el E.Coli avec ins;r; ; elle SV 40 provoquer le cancer ? Les m;ditations p;nibles peu qu'ont ;clairci. La r;ponse pr;cise n';tait pas ; cause de la pauvret; des informations se trouvant aux sp;cialistes ; cette ;poque-l; »75.
       «Certains expos;s des savants (; Àñèëîìàðå, 1975) portaient le caract;re sensationnel. S'est r;v;l; ainsi qu'aux ;tats-Unis ; l';chelle immense on d;j; mettait l'exp;rience involontaire sur la personne. Il se trouva que la vaccine contre la poliomy;lite est contamin;e par le virus viable SV 40. Pour 10 p;riode d';t;, avec 1953 jusqu'; 1963 cette vaccine contamin;e ont implant; environ ; centaine de millions d'enfants. Et en outre le contr;le a montr; que le virus SV 40 se garde dans l'organisme. Cependant, heureusement, aucune augmentation de la fr;quence des maladies canc;reuses chez ces enfants n';tait pas r;v;l;» 76.
       «L'Edda Âåñò dans l'article la"Poliomy;lite", communique le lien du virus SV-40, qui contractaient ïîëèîâàêöèíû, avec les tumeurs de la personne :" ; la fin de 1996 de la dizaine des savants ont communiqu; la d;tection du virus SV-40 dans de diverses tumeurs des os et le cerveau, qu'est devenu plus sur 30 % pour les derni;res 20 ann;es. Puis les savants italiens ont d;couvert SV-40 dans le liquide de semence 45 % et dans le sang 23 % des donneurs sains. Cela signifiait que SV-40, ;videmment, ;tait remis par la voie sexuelle et de la m;re ; l'enfant. Probablement, ; pr;sent ce virus est ins;r; dans notre g;nome. »77 les autres d;mentent ces donn;es. Cependant on voit d'ici que le d;veloppement des biotechnologies cr;e les menaces loin non ;videntes.
       D;j; maintenant l'arme biologique est consid;r;e comme un des plus bon march; – le co;t de la cause de la mort par lui dans le compte sur une personne quelques cents. D'autre part, la production des r;actifs modernes comme l'anthrax dans les buts militaires demande de grands laboratoires prot;g;s et les polygones. Il peut ;tre encore plus bon march;, si prendre en consid;ration la capacit; de l'agent ñàìîðàçìíîæàòüñÿ. Maintenant on peut acheter l'ADN d'occasion ñåêâåíñîð pour la somme de 200 dollars, et avec chaque ann;e le prix de ces installations tombe ; des fois, mais la qualit; grandit. Voir le texte «le pirate G;n;tique peut cr;er l'arme biologique chez lui-m;me les maisons» 78, racontant sur la personne n'ayant pas les connaissances dans le domaine de la biologie, qui se met d;duire – et d;duit – g;n;tiquement la colonie modifi;e ;tant fluorescente des levains pour un petit d;lai et une petite somme de l'argent. Et puis il suppose que presque aussi on pourrait d;duire simplement une certaine variante dangereuse.
       D;j; maintenant la cr;ation de la superbombe biologique ; mille fois est plus bon march;, que les cr;ations de l'arme nucl;aire de la force compar;e frappant. Quand se r;pandront les m;thodes de fabrication bon march; des organismes arbitraires vivants avec les fonctions d'avance donn;es, le prix de la fabrication d'une telle arme peut tomber jusqu'; quelques centaines de dollars.
       Souvent on dit que l'arme biologique ne convient pas dans l'art militaire. Cependant il avoir ;tre une destination sp;ciale – comme l'arme êðèïòîóäàðîâ dans l'arri;re de l'ennemi et comme l'arme universelle d;fensive – la voiture du dies irae.
"Automultipliant" le synth;tiseur de l'ADN
       Les biotechnologies peuvent ïîòåíöèðîâàòü de – c'est-;-dire l'apparition des formes interm;diaires biologiques, qui simplifient l'orthographe et la cultivation des nouveaux virus est possible. Par exemple, ce peut ;tre la culture des bact;ries, qui traduit directement la succession des signaux ;lectriques ; la cha;ne de l'ADN, ou, au contraire, lit l'ADN et transforme cette information en cha;ne des ;clats de la lumi;re, qui peut lire l'ordinateur. La diffusion elle-m;me d'une telle installation avec la biblioth;que des codes g;n;tiques (dans l'aspect en chiffre) les virus principaux et les albumines serait l'accident.
Le coup multiple biologique
       Bien que la diffusion d'une ;pid;mie, probablement, on peut arr;ter, mais l';pid;mie provoqu;e par quelques dizaines par les aspects des virus divers et les bact;ries, sortant de dessous du contr;le simultan;ment dans plusieurs places du globe terrestre, arr;ter il est impossible m;me techniquement, parce que dans la personne il est impossible simultan;ment d'introduire quelques dizaines des diff;rentes vaccines et antibiotiques – il mourra. Si le virus avec 50 % par la l;talit; ;tait simplement un tr;s grand accident, de 30 virus divers et les bact;ries avec 50 % par la l;talit; signifieraient la destruction garantie de tous, qui ne s'est pas cach; aux bunkers. (Ou environ 100 diff;rents organismes avec 10 % par la l;talit;.)
       Le coup multiple pourrait ;tre et le moyen le plus puissant de la conduite de la guerre biologique, et «l'arme du dies irae». Mais il peut se passer et lui-m;me, s'il y aura simultan;ment une multitude d'actes de la diffusion des agents biologiques – m;me et accidentel, par exemple, au cours de la "comp;tition" active des biopirates. M;me un peu selon l'isolement des agents non mortels peuvent tellement affaiblir le syst;me r;fractaire de la personne que sa survie ult;rieure deviendra peu probable.
       Notamment la possibilit; de l'application multiple de l'arme biologique fait ; ses ; uns des facteurs les plus consid;rables du risque global.
Les moyens biologiques de la livraison
       L'arme biologique doit ;tre non seulement mortelle, mais aussi contagieux et r;pandant facilement pour pr;senter la menace ; l'humanit;. Les technologies g;n;tiques donnent les possibilit;s immenses non seulement pour la cr;ation de l'arme fatale, mais aussi pour la cr;ation des moyens de sa livraison. Il ne faut pas poss;der une grande fantaisie pour s'imaginer g;n;tiquement le moustique anoph;le modifi;, qui peut vivre dans n'importe quel milieu et ; la vitesse immense se r;pandre selon toute la plan;te, un certain bioagent en introduisant chacun ;t; pris. Ou le poux. Ou ñàðàí÷ó, de concert mangeant toutes les discussions vivantes et pulv;risant de l'anthrax. Mais chez les futurs bioing;nieurs sera beaucoup plus de la fantaisie.
       Cependant et la guerre bact;riologique on peut ;prouver dans le bunker, bien que la contamination d'elle puisse ;tre plus de longue dur;e, que radioactif. En outre le passage "aux corps m;caniques», le chargement de la conscience ; l'ordinateur et la mise en valeur des nanotechnologies r;duisent rudement la vuln;rabilit; de la "personne" vers n'importe quels poisons biologiques et aux agents, font cependant ; ses vuln;rable chez d'autres agents s'automultipliant, tels que les virus informatiques et íàíîðîáîòû.
       Dans l'imaginaire on r;pand l'image de l'attaque des mutants au dernier bunker humain. La radiation ordinaire, cependant, n'est pas capable d'engendrer les mutants agressifs. D'autre part, dans la nature existe le virus de la rage (Neuroiyctes rabid), qui influence la conduite des animaux ainsi qu'ils le commencent plus activement ; r;pandre par les (morsures). Il est facile de s'imaginer le produit plus avanc; de la technique genno-de g;nie, qui transforme n'importe quel animal en essentiel agressivement orient; contre la personne. Le fantastique lui-m;me d'un tel projet peut ;tre la motivation pour sa r;alisation, puisque la culture moderne est impr;gn;e des id;es sur les vampires et çîìáè, les exp;riences r;sultant des laboratoires (par exemple, le film r;cent ‘ le Refuge du mal ’ – ‘ Resident Evil ’). Autrement dit, l'id;e de fabriquer le zombi-virus pourrait ;tre l'appel attrayant au biopirate. De plus les gens contamin;s et les animaux poss;deraient l'esprit suffisant et les ;quipements pour forcer de diff;rents aspects de la protection.
       Le sujet semblable ;tait avec les attentats le 11 septembre, quand s'est r;v;l; que les films hollywoodiens ;taient les visions non fantastiques, mais les proph;ties s'autor;alisant. Autrement dit, la culture est capable de transformer le sc;nario extr;mement peu probable en important but.
La probabilit; de l'application de l'arme biologique et sa distribution dans le temps
       J'estime la probabilit; de ce que les biotechnologies am;neront ; la disparition de l'humanit; (dans les conditions, quand leur effet n'est pas bloqu; par d'autres technologies) aux dizaines des pour-cent. Cette estimation est fond;e sur la supposition sur in;vitable beaucoup la large expansion des installations tr;s bon march; permettant tr;s simplement cr;er beaucoup de divers agents biologiques. C'est-;-dire sur la supposition selon l'aussi large expansion des bioimprimantes, comme maintenant les ordinateurs ordinaires.
       J';num;rerai les propri;t;s de la bioimprimante dangereuse (le minilaboratoire bon march;) encore une fois :
       1) l'imminence de l'apparition,
       2) le bas prix,
       3) une large vari;t;,
       4) íåêîíòðîëèðóåìîñòü par les pouvoirs,
       5) la capacit; ; r;aliser l';laboration des principalement nouveaux bioagents,
       6) la simplicit; de l'application,
       7) la vari;t; des objets cr;;s,
       8) l'Attrait comme les installations pour la production de l'arme (dans l'esprit des virus de l'induction individuelle) et les drogues.
       9) la Capacit; vers ñàìîðåïëèêàöèè de ses ;l;ments cl;s, fond; sur leur nature biologique
       Je crois que l'installation, satisfaisant ceux-ci aux exigences, comprendra l'ordinateur ordinaire, le programme de pirate r;pandu avec la biblioth;que des ;l;ments initiaux, et la partie proprement biologique de la bioimprimante, qui sera g;n;tiquement l'essentiel modifi; vivant, c'est-;-dire est capable vers l'automultiplication. (Plus la composition en ce qui concerne l';quipement accessible, comme les r;cipients pour õèìðåàêòèâîâ et le syst;me de communication de la partie biologique avec l'ordinateur.) le canal de la diffusion de cet assortiment peut ;tre les communaut;s criminelles produisant les drogues. Puisque les ordinateurs sont d;j; accessibles, mais le programme, et la partie vivante de la bioimprimante sont capables vers le copiage non limit;, le prix de cette installation dans la collecte íåîãðàíè÷åííà sera petit, mais l'attrait est extr;mement grand que fera tr;s complexe le contr;le.
       Êóñòàðíî les bioimprimantes fabriqu;es – le moyen non seul de cr;er le danger biologique. Le m;me se passera et ; la diffusion de certains minilaboratoires standard compacts selon la biosynth;se (comme les ADN-synth;tiseurs), ou ; la production de r;seau des composants biologiques, qui a lieu d;j;, quand les ingr;dients sont command;s dans de diff;rentes soci;t;s dans le monde entier.
       La probabilit; de l'accident global avec la participation des bioimprimantes augmentera tr;s vite dans la mesure du perfectionnement de telles installations et leur diffusion. C'est-;-dire nous pouvons d;crire la densit; de la probabilit; en forme d'une certaine courbe, qui correspond maintenant petit, mais ; la valeur non nulle, mais dans un certain temps monte jusqu'; une tr;s grande valeur. Plut;t forme non exacte de cette courbe, mais le temps, quand elle commencera rudement ; grandir de plus est int;ressante.
       J'estime ce temps ; la valeur de l'ordre de 10-15 ans de 2008 (2018-2023). (L'estimation Ind;pendante est donn;e par monsieur par Martin par le Riz, qui en 2002 a mis; ; 1000 dollars que jusqu'; 2020 il y aura un bioattentat terroriste avec un million de victimes, bien qu'esp;re ïðîèãðàòü79.) Cette estimation est fond;e sur l'analyse des plans de l'industrie selon la r;duction du prix de la reconnaissance compl;te de l'ADN humain – selon ces plans, vers 2015 une telle reconnaissance co;tera pr;s de 1000 dollars. Ces plans proposent une certaine composition des technologies perspectives et la courbe exponentielle de la r;duction du prix, qui est respect;e constamment jusqu'; la situation actuelle. Si vers 2015 la reconnaissance co;te tant, cela signifiera qu'il y a une technologie cl; selon la lecture tr;s rapide de l'ADN, et on peut supposer que la m;me technologie sera cr;;e pour l'ADN bon march; de la synth;se (en r;alit; la synth;se plus facilement, et la technologie est d;j;). En vertu de ces technologies il y a une biblioth;que des significations des diff;rents g;nes qu'am;nera ; la compr;hension explosive des principes du travail des organismes, mais les ordinateurs d;velopp;s pour ce moment-l; pourront modeler les cons;quences de n'importe quelles mutations. Tout ensemble cela permettra de cr;er la bioimprimante d;crite plus haut. Ce que la croissance de la densit; de la probabilit; vient, pour mon estimation, pour un certain temps environ 2020, ne signifie pas que d;j; maintenant quelques terroristes n';laborent pas la lit;e des divers virus tr;s dangereux dans de diff;rents laboratoires.
       La probabilit; de l'application des biotechnologies conduisant ; l'accident global, peut ;tre r;duite par les facteurs suivants :
       1) on peut ;prouver la Bioattaque dans les refuges.
       2) le Premier accident s;rieux li; ; la fuite des biotechnologies dangereuses am;nera aux mesures tellement draconiennes du contr;le que de ceux-ci se trouvera assez pour la pr;vention de la cr;ation ou la diffusion de la bioimprimante.
       3) ÈÈ et les nanotechnologies se d;velopperont plus t;t, qu'appara;tra et se r;pandra la bioimprimante.
       4) la guerre Nucl;aire ou un autre d;sastre interrompra le d;veloppement des biotechnologies.
       5) Il est possible que les biotechnologies permettront de cr;er quelque chose comme la vaccine universelle ou il est plus rapide le syst;me artificiel r;fractaire, que se r;pandront les minilaboratoires dangereux.
       Malheureusement, il y a une cha;ne suivante d;sagr;able de la liaison en retour li;e ; la protection contre l'arme biologique. Pour la meilleure protection nous devons pr;parer comme on peut áîëüøåå le nombre des sp;cialistes de premier ordre selon les virus et les vaccines, mais plus tels sp;cialistes dans le monde, il y a plus de chances qu'un d'eux deviendra le "terroriste".
       En outre il y a une probabilit; d;finie de la cr;ation biologique de "la mucosit; verte» 80, – c'est-;-dire certains microorganismes universels omnivores capables ; une grande vitesse dig;rer ; toute la biosph;re. Il faut recueillir pour cela dans un microorganisme les propri;t;s se trouvant selon l'isolement dans de diff;rents microorganismes – la capacit; ; saisir la lumi;re solaire, diluer et ;tudier les min;raux, se multiplier ; la vitesse du bacille intestinal, contaminer par les copies, comme par le virus, d'autres carreaux, et une s;rie d'autres – et en outre recueillir il n'est pas actuel, mais est potentiel, en forme des terrains de l'ADN et les m;canismes de la commutation entre eux. Un d'habitude tel sc;nario n'est pas examin;, puisqu'il faut que les microorganismes ont touch; ; la perfection d;j; du degr; absolu, et donc, si "la mucosit; verte» serait possible, elle serait apparue d;j;. Cependant avant qu'il y avait des eucaryotes, ont pass; aussi les milliards d'ann;es, et ;tre peut, une telle superbact;rie pourrait appara;tre aussi seulement apr;s les dizaines des milliards d'ann;es de l';volution naturelle. Cependant les gens peuvent d'une mani;re orient;e la construire, peut m;me ;tre accidentel – comme le moyen la lutte avec les d;chets. Il est pas obligatoire de comprendre tous ces signes dans un essentiel – l'attaque simultan;e serait incommensurablement plus dangereuse pour quelques aspects de "la mucosit; verte». Il y a une opinion que les efforts selon la cr;ation des cultures utiles agricoles stables aux saboteurs, peut amener ; l'apparition de la "supermauvaise herbe", capable d';vincer la plupart des plantes naturelles de leurs niches ;cologiques. Notamment cet ;v;nement est le risque s;rieux ; la cr;ation g;n;tiquement les produits modifi;s, sinon qu'ils se trouveront immangeables. Dernier il est beaucoup plus facile de d;couvrir et pr;venir.
       La conclusion : il y a une multitude immense de moyens d'appliquer les biotechnologies au d;triment de l'humanit;, et cette multitude encore jusqu'; la fin n'est pas d;crite. Bien que chaque application s;par;e des biotechnologies on peut pr;venir ou limiter ses cons;quences, le bas prix, le caract;re secret et la vari;t; de ces technologies font leur application malintentionn;e pratiquement in;vitable. En outre plusieurs risques biologiques peuvent ;tre ìàëîî÷åâèäíûìè et remis au temps, puisque la science elle-m;me biologique se d;veloppe encore. L'application ; grande ;chelle de l'arme biologique est consid;rablement plus dangereuse et il est consid;rablement plus probable, que la guerre classique nucl;aire.
Le chapitre 5. La superdrogue
       Les biotechnologies et les ;tudes du cerveau par plusieurs voies conduisent ; la possibilit; de la cr;ation des superdrogues. Un des sc;narios de la diffusion de la superdrogue dans le futur est propos; Strugatsky dans le roman «les objets Rapaces du si;cle», o; la drogue la plus puissante provoquant 100 accoutumance de pourcentage du premier coup, est tr;s simplement faire de l'appareil de radio et une s;rie d'autres composants accessibles ; tous, qu'influence directement le centre du plaisir dans le cerveau. C'est le sc;nario est li; ; l';tat pur non ; la diffusion les substances n'a personne, mais avec la diffusion "des connaissances de la d;faite massive» – comment le faire. D'une part, nous pouvons affirmer qu'aucune drogue n'attirera pas toute la population des gens, puisqu'il y aura toujours des gens, qui par principe le refuseront. D'autre part, nous pouvons d;signer ; la fois quelques superdrogues possibles dans le futur, sens total de l'action desquelles comprend dans le d;branchement de la personne la vie sociale. Et la personne refus;e une classe des drogues, peut se pr;cipiter ; l'autre. Et dans la r;alit; moderne quelqu'un ne boit pas l'alcool, par contre "est assis" sur le caf;. Quelqu'un ne regarde pas la t;l;, mais "enfonce" ; Internet.
       Une superforte drogue peut ;tre semblable ; la maladie contagieuse, si j'aspirerai ; contaminer uns gens les autres, mais ceux-l; est non contre contracteront. Les types de la superdrogue :
       1) l'influence Directe sur les centres du plaisir dans le cerveau. Il y a des obtentions selon l'influence avec l'aide du champ magn;tique tournant (le casque Ïåðñèíãåðà, le casque Øàêòè), òðàíñêðèíàëüíîé magn;tique ñòèìóëÿöèè, ;lectrique ñòèìóëÿöèè ïàòòåðíàìè de l'activit; c;r;brale, àóäèîñòèìóëÿöèè (áèíàóðàëüíûå les rythmes), ôîòîñòèìóëÿöèè, la liaison en retour biologique au moyen des installations, capable de lire l'enc;phalogramme, comme r;cemment produit íåéðîøëåìà pour informatique èãð81.
       2) la Future apparition des microrobots permettra de r;aliser la ligne droite ñòèìóëÿöèþ et la lecture de l'information du cerveau.
       3) Áèîèíæèíåðèÿ permettra de cr;er g;n;tiquement les plantes modifi;es, qui cr;eront n'importe quelles pr;parations donn;es, et avoir l'air de plus comme ordinaire êîìíàòíûå les fleurs ou les champignons de th;. De plus, la diffusion de ces plantes probablement non seulement physiquement, mais aussi avec l'aide de l'information sur le code de l'ADN sur Internet, ce que l'usager final pourra les ;lever ; la place avec l'aide de "l'ADN-imprimante".
       4) les Connaissances selon la biologie permettront d'inventer beaucoup plus fortement substances agissant avec d'avance propri;t;s donn;es, ainsi qu'avec un plus petit nombre des effets secondaires que les fera d'une mani;re plus attrayante.
       5) G;n;tiquement les organismes modifi;s peuvent ;tre ins;r;s au corps lui-m;me humain, cr;er nouveau íåéðîííûå la voie au cerveau pour provoquer encore áîëüøåå la jouissance. Et de plus diminuer les effets ; court terme n;gatifs pour la sant;.
       6) la r;alit; Virtuelle fera in;vitablement le pas en avant. Nous pourrons inscrire les r;ves et augmenter la compr;hension ; eux, le praticien et les possibilit;s technologiques pour leur r;alisation en cumulant les id;es oriental m;ditatif; la r;alit; virtuelle avec l'aide de c;r;bral èìïëàíòàòîâ pourra cr;er les films beaucoup plus vifs, que le cin;ma moderne et les vid;ojeux. Les casques pour la r;alit; virtuelle seront beaucoup plus parfaits.
       Il est ;vident que de diff;rentes combinaisons des aspects ;num;r;s de la drogue absolue, qui intensifieront seulement son action sont possibles.
       Nous appellerons comme la drogue absolue un certain moyen, qui est plus attrayant ; n'importe quelle personne ; la r;alit; ordinaire et l'emm;ne enti;rement de cette r;alit;. On peut diviser de plus la drogue rapide et lente absolue. Le premier donne l';motion, pour qui la personne est pr;te ; mourir, deuxi;me – une certaine nouvelle r;alit;, dans qui on peut le long temps exister.
       La drogue rapide repr;sente le danger global, si dans son m;canisme de l'action une certaine image prescrit le m;canisme de sa diffusion. Par exemple, si le flip arrive seulement apr;s que cette drogue est remise ; encore trois gens. ; un certain sens ce m;canisme agit dans les bandes criminelles les vendeurs des drogues (comme la bande M31 aux ;tats-Unis), o; le toxicomane est oblig; d'aider ; monter les amis pour que, en vendant eux la drogue, s'assurer par la dose.
       On peut pr;senter la diffusion de la drogue lente absolue ; l'exemple suivant : si votre aim; ou le parent est irr;versible est parti au monde virtuel, pour vous cela deviendra la source des souffrances comparables avec sa mort, et par leur seul moyen ;vitera aussi de partir au monde id;al virtuel, dans qui vous pourrez atteindre les relations de lui, pour ainsi dire, par la copie ;lectronique.
       En vertu de cela, chaque personne aura un riche choix des distractions consid;rablement surpassant n'importe quelle r;alit;. Il y a de plus une question ;pineuse – dans quelle mesure la personne, enti;rement et est irr;versible partant ; la jouissance inconcevable et content ; ceux-ci, doit ;tre consid;r; par le vivant ? Et si nous condamnons on n'a personne inconditionnellement primitif «òîð÷êà», comme nous devons se rapporte ; la personne pour toujours qui est partie au monde de haute qualit; artistique des reconstructions historiques ?
       Il faut rendre le rapport que l'action nuisible de plusieurs drogues loin íåî÷åâèäíî et peut se manifester beaucoup non ; la fois. Par exemple, ãåðîèí et la coca;ne longtemps, les ann;es, ;taient dans la vente ouverte, il ;tait facilement accessible le L.S.D. La drogue ferme íàêîðîòêî la fonction psychologique du renfort (c'est-;-dire les plaisirs), mais du point de vue des m;canismes ;volutionnistes la r;ception de la jouissance ne pas du tout est le but r;el de l'organisme. Au contraire, l'essentiel doit rester assez insatisfait pour constamment aspirer ; la conqu;te des nouveaux territoires. La drogue absolue cr;e la possibilit; du dilemme suivant : l'humanit; comme l'entier cesse d'exister, mais chaque sujet s;par; per;oit passant comme le paradis personnel et est tr;s content de cela. Les essentiels partant de la r;alit; et jouissant âèðòóàëîì, sans rendre rien en ;change, se trouvent l'excroissance inutile sur le syst;me, qui elle secouera ; la crise plus proche. C'est une des voies, par qui la passion pour la drogue absolue peut amener ; la disparition g;n;rale. Deuxi;mement, la r;duction de l'int;r;t pour la r;alit; ext;rieure diminuera l'attention vers les accidents possibles et les crises.
       La probabilit; de l'apparition de la superdrogue a l'air extr;mement haut, puisqu'il peut ;tre atteint plusieurs moyens non seulement pour le compte des succ;s les biotechnologies, mais aussi dans les nanotechnologies, ; ÈÈ, ainsi que pour le compte on n'a personne de l'invention accidentelle unissant d;j; les technologies existant, ainsi qu'en raison de la pr;sence de la demande immense. Probablement, agiront simultan;ment la multitude de diff;rentes superdrogues, en cr;ant l'effet cumulatif.
       C'est pourquoi nous pouvons attendre que cette probabilit; grandira, et grandira plus vite, que les succ;s de chacun des technologies prises selon l'isolement. Puisque nous avons suppos; que les biotechnologies donneront un puissant r;sultat en forme de la bioimprimante d;j; dans 10-15 ans, cela signifie que nous recevrons la superdrogue avant ce temps. D'autant plus que les m;canismes pour la r;alisation de la superdrogue peuvent ;tre plus faciles, que la bioimprimante. Pr;venir la diffusion de la superdrogue peut le syst;me tr;s rigide du contr;le g;n;ral ou le recul profond ; äîòåõíîëîãè÷åñêîå la soci;t;.
       Les conclusions : le D;veloppement ðîáîòèçèðîâàííîãî les productions commencera ; faire les gens inutile, et il faudra les prendre par quelque chose. La superdrogue nous ;loignerons par un des moyens de la vie les parties superflues du syst;me. La drogue absolue peut ne pas du tout porter les noms de la "drogue" et ne pas ;tre semblable aux clich;s modernes. La drogue absolue ne sera pas quelque chose par un, mais il y aura la multitude des facteurs travaillant objectivement sur la division des gens, leur arr;t de la r;alit; et la r;duction de leur vie et la capacit; de la multiplication. La drogue absolue peut avoir l'air comme le bien absolu, et la question de sa nocivit; peut d;pendre du point de vue. ; quelque sens la culture moderne des distractions dans les pays occidentaux avec le niveau bas de la natalit; peut ;tre d;j; le prototype d'une telle drogue. Cependant la drogue absolue quand m;me ne peut pas exterminer lui-m;me tous les gens, puisqu'il y aura toujours des groupes, qui l'ont refus; et ont continu; la vie ordinaire humaine, et, dans le compte final, la "s;lection" laissera seulement les repr;sentants de ces groupes. En outre la drogue lente absolue agit sur la communaut; humaine sur les intervalles tellement de longue dur;e temporaires, qui, probablement, seront bloqu;s par les proc;s plus rapides dangereux. La drogue rapide absolue est semblable ; l';pid;mie biologique, et il peut r;sister par les m;mes m;thodes. Par exemple, les agents biologiques, qui endommagent la capacit; de la personne de la jouissance non limit;e (mais un tel est ;labor; d;j; pour le traitement des toxicomanes, par exemple, ðàçðûâàíèå d;fini íåéðîííûõ des liens), c'est pourquoi la drogue absolue, plut;t, il faut examiner comme le facteur ouvrant la fen;tre de la vuln;rabilit; pour d'autres facteurs de la destruction sont possibles.
Le chapitre 6. Les risques li;s aux id;es autocopiantes (ìåìàìè)
       Dans le livre «le g;ne ;go;ste» Äîêèíç82 a propos; la conception «ìåìîâ» – les id;es, qui sont capables ðåïëèöèðîâàòüñÿ, en ;tant remis d'une personne vers l'autre, se comportent ainsi, par exemple, les rumeurs. N'importe quel domaine, o; il y a d'exister des ;l;ments autoreproduits et qui peut concerner tous les gens, est potentiellement la source du risque global. Si un tel est possible ìåì, qui pourrait amener ; la destruction de tous les gens ?
       D'une part, nous avons ; l'histoire les exemples extr;mement dangereux ìåìîâ : les th;ories radicales politiques et de diff;rentes formes du fanatisme religieux. D'autre part, ìåìó pour se r;pandre, les gens vivants sont n;cessairs. Et puisque les gens existent d;j; il y a longtemps, on peut supposer qu'est absent tel dangereux ìåìîâ, qui pouvaient facilement ñàìîçàðîäèòüñÿ et tous exterminer. Enfin, ìåì est seulement l'id;e, et elle ne tue pas elle-m;me. Il est peu probable que l'id;e, qui influencerait tous les gens sans exception est possible, et influencerait mortellement. Enfin, dans la soci;t; il y a un ;quilibre divers ìåìîâ. D'autre part, dangereux ìåìû se trouvent sous la conception "des connaissances de la d;faite massive», si introduit par Bill Dzhoem dans l'article «nous sommes n;cessairs au futur».
       Cependant ; l';poque actuelle ìåìû ont retrouv; la possibilit; d'exister et ind;pendamment des gens – dans les textes et les programmes informatiques. ; l';poque contemporaine autocopiant dangereux ìåì peut recevoir le soutien de certains ;quipements. Il est ;vident que maintenant je ne peux pas inventer l'exemple r;ellement dangereux ìåìà, parce que si je l'ai ;crit ici, ce serait l'acte criminel. L'information comment produire la superdrogue dangereuse serait tel dangereux ìåìîì.
       Et juste comme en cas de l'arme biologique non un quelque virus particuli;rement virulent est dangereux, mais la possibilit; de produire beaucoup de diff;rentes souches, plus vite, que d'eux la protection est possible, et ici non un quelque peut ;tre dangereux ìåì, mais que de ceux-ci appara;tra tellement beaucoup qu'ils inonderont n'importe quelle protection. Par exemple, l'intelligence artificielle peut g;n;rer dangereux ìåìû.
       La liste existant maintenant ìåìîâ, qui sont dangereux dans un certain degr; :
       1) les Repr;sentations sur l'exclusivit; de la religion. A.P.Nazaretjan trouve la propri;t; in;vitablement inh;rente aux religions de l'intol;rance vers d'autres religions – la menace la plus importante ; la survie de l'humanit; dans le XXI si;cle. Il croit que la religion, comme l'institut social, contribue au groupement du groupe des gens dans la haine vers un autre groupe. Il voit la sortie dans la cr;ation du syst;me la;que des buts, qui ne subdivise pas les gens sur mauvais et bon. Les id;es li;es aux diff;rences nationales et raciales des gens de la m;me mani;re travaillent.
       2) les Connaissances selon la production des drogues.
       3) les Organisations, ; qui le but principal est le recrutement des nouveaux membres, par exemple, la secte ou la bande agissant en ;tats-Unis «Ì13».
       4) les proph;ties Se autor;alisant sur les accidents. L'exemple brillant d'un tel ;v;nement serait le communiqu; sur l'imminence de l'accident global dans un proche avenir. Par exemple, sur la collision de la Terre dans un an avec l'ast;ro;de immense. M;me si ce message serait faux, les cons;quences de sa promulgation seraient catastrophiques. La plupart des gens cesserait de s'occuper des projets ; long terme, et en g;n;ral travailler. Quelqu'un se serait heurt; ; la religion, quelqu'un ferait les actes de la violence immotiv;e, abusait des drogues etc., en aspirant ; recevoir le maximum du plaisir pour le temps rest;. L'anarchie suivant ferait impossible les efforts selon la pr;vention de l'accident, m;me s'; eux il y avait un sens d;fini.
       5) un Certain mod;le de la conduite conduisant ; la diffusion de la maladie dangereuse. L'exemple : le cannibalisme chez les hommes de Neandertal, qui il est possible, est devenu la raison de leur disparition pour le compte de ce qu'ils contractaient ïðèîíîì comme provoquant «la rage de vache», en mangeant les cerveaux des compatriotes. Ou la r;volution sexuelle conduisant ; la diffusion de l'HIV.
       6) Extraordinairement les r;ves gradu;s et vifs conduisant ; l'acceptation pour eux de plus hautes normes du risque «le droit donnant» de tuer beaucoup d'autres gens. Par exemple, «la terreur rouge» se justifiait par ce que, dans le compte final, le communisme apportera le bien au nombre de gens beaucoup plus grand. Les nouvelles technologies ouvrent devant la personne les possibilit;s presque divines, en engendrant les tentations improbables et en incitant ; admettre áîëüøèé le risque.
       7) de Puissants syst;mes id;ologiques, comme le fascisme.
Le chapitre 7. L'intelligence artificielle
La description totale du probl;me
       Le projet Blue Brain du modelage du cerveau des mammif;res a annonc; par un automne de 2007 l'imitation fructueuse êîðòèêîâîé les colonnes du cerveau de la souris et a planifi; la cr;ation du mod;le complet du cerveau de la personne jusqu'; 2020 ãîäà83. Bien que le modelage direct du cerveau ne soit pas la meilleur voie vers l'intelligence universelle artificielle, le pronostic des succ;s dans ce domaine correspond approximativement aux rythmes attendus de l';laboration ÈÈ. Íèê Áîñòðîì dans l'article «combien il restait jusqu'; la superintelligence ?» 84 montre que le d;veloppement moderne des technologies conduit ; la cr;ation de l'intelligence artificielle surpassant humaine, dans un premier tiers du XXI si;cle.
       La compagnie informatique Google mentionnait plusieurs fois les plans de la cr;ation de l'intelligence artificielle, et, absolument, elle poss;de n;cessaire technique, d'information et les ressources mat;rielles pour lui faire, si c'est possible en g;n;ral sur actuel technique óðîâíå85. Cependant, puisque l'exp;rience des tentatives pr;c;dentes non confidentielles de la cr;ation ÈÈ (par exemple, les ordinateurs de la 5-;me g;n;ration au Japon dans les ann;es 80) s'associe solidement avec l';chec, et peut provoquer l'int;r;t des services secrets, peu probablement de grandes compagnies sont int;ress; largement afficher le travail dans ce domaine avant qu'ils aient des r;sultats concrets. La compagnie Novamente d;clare que 50 % du code universel ÈÈ sont d;j; ;crits (70 000 lignes du code sur Avec ++), et, bien que l'on demandera l'enseignement de longue dur;e, le design total du projet ïîíÿòåí86. SIAI (Singularity Institute for Artificial Intelligence) a d;sign; les plans selon la cr;ation du programme, capable de recopier initial êîä87. La compagnie Numenta avance le mod;le personnel ÈÈ fond; sur l'id;e de "la m;moire hi;rarchique temporaire», et est sortie d;j; sur le niveau d'exposition ïðîäóêòîâ88. La compagnie Cycorp, Inc dans le projet CYC a recueilli la base de donn;es immense sur les connaissances de la personne selon le monde ordinaire, autrement dit, sur le bon sens (1 000 000 ;nonciations) et r;pand d;j; d'exposition ïðîäóêòû89. Il est suppos; que le groupement de cette base avec l'analyseur euristique (c'est-;-dire le programme, capable de faire les op;rations logiques de certaines r;gles et cr;er les nouvelles r;gles, y compris les r;gles du changement des r;gles) – peut amener ; la cr;ation ÈÈ du niveau humain. (L'auteur du projet de D.Lenat a ;labor; l'analyseur auparavant euristique «Ýâðèñêî» 90, qui ; 1981 et a gagn; 1982 les comp;titions Traveller TCS de la gestion des batailles virtuelles des flottes, ; la suite de quoi ; ce programme il ;tait interdit de participer aux comp;titions ult;rieures, par contre elle a re;u le financement intense DARPA.) La compagnie a2i291 promet universel ÈÈ du niveau humain vers 2008 et affirme que le projet se d;veloppe conform;ment au graphique. Aussi apr;s la cr;ation du robot Asimo au Japon il y a un programme pour l';laboration ÈÈ par voie du modelage fonctionnel de la personne.
       De puissants r;sultats sont donn;s par la direction des ;tudes ÈÈ, la programmation appel;e g;n;tique. Vers la situation actuelle la liste des inventions "du niveau humain», fait par les ordinateurs dans la compagnie scientifique Genetic Programming Inc, utilisant cette technologie, ins;re 36 íàèìåíîâàíèé92, de qui 2 sont faits par les voitures pour la premi;re fois (comprend les proc;s-verbaux quantiques du transfert d'information et le sch;ma des diverses installations radio;lectroniques), mais autre r;p;tent d;j; les projets brevet;s. En dehors d'appel;, il y a une multitude de projets universitaires selon la cr;ation ÈÈ. On conduit les ;laborations ÈÈ et dans la F;d;ration de Russie. Par exemple, dans la compagnie ABBYY (http://www.abbyy.ru/) quelque chose est ;labor; comme l'interpr;te de la langue naturelle que peut ;tre un important pas en voie d'ÈÈ du niveau humain. Et le fond de l'affaire m;me pas dans ce qu'une fois est ainsi beaucoup de projets, au moins un d'eux obtiendra le succ;s par le premier, mais dans ce que le volume des ouvertures de diff;rentes parties ; quelque moment exc;dera la masse critique, et ; l'int;rieur de la branche il y aura un puissant saut.
       Il y a des diff;rentes opinions en ce qui concerne la possibilit; de la r;alisation de l'intelligence artificielle. Je trouve que fort universel ÈÈ est possible. ; la m;me opinion se tiennent plusieurs sp;cialistes principaux dans ce domaine : E.Judkovski, B.G±rtsel', R.Kurtsvel et l'investigateur russe A.L.Shamis93. Puisque la personne poss;de l'intelligence naturelle, il n'y a pas de raisons d'inscrire ÈÈ aux ouvertures improbables. Le principe de la pr;caution nous force ; supposer aussi qu'ÈÈ est possible.
       Il faut dire que des travaux examinant forts ÈÈ ; titre d'un risque possible global, beaucoup moins, que les travaux sur les risques de la disparition li;s ; l'arme nucl;aire. Pour l'essentiel, c'est les travaux d'E.Judkovski. Les id;es semblables sont d;velopp;es ; M Îìîõóíäðî dans l'article «les instincts De base ÈÈ» 94, o; il montre que chacun ÈÈ avec le syst;me fix; des buts avec une haute probabilit; ;volue ; l';cart de l';tat dangereux, dans qui il sera enclin ; se prot;ger, se r;pandre, perfectionner le code personnel, aspirer aux signes du but (comme, par exemple, le plaisir chez la personne) au lieu du but et prot;ger le syst;me des buts contre les changements. Je recommande ; tout, avant de se former l'opinion d;finitive et ferme sur, si peut ÈÈ ;tre la menace ; l'humanit;, lire l'article d'E.Judkovski «l'intelligence artificielle comme le facteur positif et n;gatif du risque global», qui vous trouverez dans l'Application 2.
       Þäêîâñêè montre qu'est possible autod;veloppant universel ÈÈ, et qu'il est tr;s dangereux. S'il y aura beaucoup d'Ii-projets (c'est-;-dire, les groupes des savants cr;ant universel ÈÈ par de diff;rents moyens et avec de diff;rents buts), cela, au moins un d'eux peut ;tre utilis; pour la tentative d'usurper le pouvoir par la Terre. Et le but principal d'une telle mainmise pr;viendra la cr;ation et la diffusion ÈÈ avec les buts hostiles cr;;s par d'autres projets. De plus, bien que l';volution ÈÈ soit extr;mement lente, apr;s l';limination de certain «la masse critique» elle peut aller tr;s vite, – ; savoir, quand ÈÈ atteindra le niveau de la possibilit; de l'autoam;lioration. ; pr;sent nous ne pouvons pas dire, ; quelle vitesse ira un tel proc;s.
       Pour la cr;ation ÈÈ il est n;cessaire, au minimum, la pr;sence assez de puissant ordinateur. Maintenant les plus puissants ordinateurs ont la capacit; de l'ordre de 1 ïåòàôëîïà (10 op;rations de la virgule nageant par seconde). Pour certaines estimations, il suffit cela pour l';mulation du cerveau humain, et donc, ÈÈ pourrait travailler aussi sur un tel quai. Maintenant tels ordinateurs sont accessibles seulement ; de tr;s grandes organisations pour un temps limit;. Cependant la loi Ìóðà suppose que la capacit; des ordinateurs augmentera en 10 ans environ ; 100 fois, i.e., la capacit; de l'ordinateur de bureau augmentera jusqu'au niveau òåðàôëîïà, et il faut seulement les 1000 ordinateurs de bureau unis dans le cluster pour prendre n;cessaire 1 ïåòàôëîï. Le prix d'un tel groupe de machines fera pr;s d'un million de dollars dans les prix actuels – la somme accessible m;me ; une petite organisation. Il suffit de r;aliser pour cela d;j; les obtentions presque pr;tes au domaine ìíîãîÿäåðíîñòè (certaines soci;t;s d;j; proposent maintenant ÷èïû avec 1024 ïðîöåññîðàìè95) et la r;duction des montants des ;l;ments de silicium.
       Ensuite, quand ÈÈ sera lanc;, il pourra optimiser le code personnel, et pour le compte de cela travailler en de plus en plus faibles voitures – ou devenir de plus en plus fort en m;me voiture. D;s qu'il apprendra ; gagner l'argent dans Internet, il peut acheter encore ou il est simple louer les capacit;s suppl;mentaires m;me physiquement ;loign;es de lui. Donc, bien que les mat;riels suffisants pour ÈÈ existent d;j; maintenant, dans 10 ans ils deviendront accessibles, s'il n'y aura pas quelque accident freinant le d;veloppement.
       Le moment le plus complexe dans la question sur ÈÈ est la question sur les algorithmes de son travail. D'une part, nous ne voyons pas aucune intelligence dans les ordinateurs – ou nous ne voulons pas voir, puisque les crit;res varient. Avec l'autre, le progr;s dans les algorithmes est, et il est grand. Par exemple, l'algorithme de la d;composition des nombres sur les multiplicateurs se perfectionnait plus vite, que êîìïüþòåðû96, c'est-;-dire, m;me sur de tr;s vieux ordinateurs il donne sur les ordres les meilleurs r;sultats, que de vieux algorithmes sur les nouveaux ordinateurs. Il est possible que certaines principalement nouvelles id;es peuvent cat;goriquement simplifier la structure II.
       Si ÈÈ retrouve la capacit; du perfectionnement moral, il ne s'attardera pas au niveau humain, mais le d;passera ; mille et des millions de fois. Nous voyons cela d;j; ; l'exemple des calculs, o; les ordinateurs ont d;pass; tr;s vite la personne, et maintenant m;me l'ordinateur domestique calcule aux trillions des fois plus vite, que la personne ordinaire. Sous «fort ÈÈ» nous avons en vue ÈÈ, capable de beaucoup d'ordres d;passer la personne dans la vitesse et l'efficacit; de la mentalit;.
ÈÈ comme l'arme absolue universelle
       Fort ÈÈ peut trouver la meilleur d;cision possible de n'importe quelle t;che. Cela signifie que l'on peut l'utiliser pour l'acquisition de n'importe quels buts dans le monde ext;rieur. Il trouvera le meilleur moyen d'appliquer tous les outils accessibles pour sa r;alisation et viendra ; bout de la gestion d'eux. Notamment ; ce sens il est l'arme absolue. Ce qu'il peut ;tre plus le moyen efficace du meurtre est seulement une des cons;quences possibles. ÈÈ, capable de d;cider n'importe quelle t;che, est capable et cr;er le moyen de se motiver sur pour la r;alisation des objectifs ; long terme dans le monde ext;rieur. En vue g;n;rale le sc;nario de l'Ii-attaque a l'air comme il suit :
       1. La cr;ation capable vers le perfectionnement moral ÈÈ (Seed AI – c'est-;-dire le germe ÈÈ, le programme au minimum n;cessaire capable vers le perfectionnement moral et l'autodidaxie.)
       2. L'investissement ; lui par les programmeurs de certains buts, qui peuvent contenir les indications directes des ;tablissements du pouvoir par la Terre, mais peuvent ;tre ext;rieurement neutre, mais contenir l'inexactitude cach;e incitant ÈÈ vers la croissance non limit;e ; l'esprit «compter le nombre ïè avec un au maximum grand nombre des signes apr;s la virgule» ; tout prix.
       3. La phase de la croissance cach;e, pendant lequel ÈÈ se perfectionne, en se servant des ressources accessibles du laboratoire, ainsi que conna;t le monde environnant, en se servant des ressources d'Internet. (Si en train de la r;alisation des buts mis dans lui ÈÈ comprend que ses programmeurs emp;chent cette r;alisation, par exemple, peuvent le d;connecter, il trouve le moyen de tromper eux ou partir de leur contr;le.)
       4. La phase de la diffusion cach;e d'information : ÈÈ prend Internet, ach;te encore les capacit;s calculatoires, couvre les copies sur les ordinateurs exclus.
       5. La phase de la cr;ation des moyens de l'influence sur le monde ext;rieur – íàíîàññåìáëåðîâ, la corruption des gens, l'acquisition par les installations elektronno-dirig;es.
       6. L'attaque contre les Ii-projets concurren;ant (et n'importe quelles autres sources du risque pour l'existence de cela ÈÈ) avec le but d';ter la possibilit; faire aussi le plus. Une telle attaque peut ;tre et secr;te, par exemple, dans le d;p;t des erreurs au code de programme. Il est important de marquer qu'ÈÈ agira en secret avant que devienne absolument invuln;rable.
       7. La phase de la r;alisation de la t;che principale ÈÈ – du bien de l'humanit; ; transformation de tout le Syst;me solaire en l'ordinateur gigantesque pour le calcul du nombre ïè.
       Il est ;vident que certaines phases peuvent passer simultan;ment; ensuite nous examinerons les composantes s;par;es de ce sch;ma plus en d;tail. Je souligne que pas chacun ÈÈ suivra ce sc;nario, mais il suffit un, et notamment ce sc;nario est particuli;rement dangereux.
Le syst;me des buts
       Cl; apr;s la d;cision des probl;mes de la cr;ation ÈÈ est la question du syst;me des buts ÈÈ, ou, autrement dit, sa "convivialit;", quand m;me par rapport aux ma;tres. Ici deux variantes : ou ÈÈ est strictement programm; par les gens sur certains buts, ou il a acquis les buts par hasard en train du d;veloppement. Dans le premier cas il y a une enfourchure : – les buts ÈÈ peuvent ;tre dangereux pour toute l'humanit; ou 1. Parce que le groupe qui l'a cr;; des gens poursuit certains buts destructifs, ou 2. Parce qu'; la programmation du syst;me des buts ÈÈ ; elle s'est introduite l'erreur fine, qui conduit ; la sortie graduelle ÈÈ de dessous du contr;le. On proposait une grande liste des erreurs possibles de tel ðîäà97. Par exemple, ÈÈ peut aspirer au bien pour tous les gens, et, ayant appris qu'apr;s la mort des gens attend le paradis, les exp;dier l;-bas. Ou, en sauvegardant les gens, leur interdire de risquer et ne pas donner se servir d'aucun transport. Il y a des recommandations SIAI 98 en ce qui concerne celui-l;, comment correctement programmer fort ÈÈ ; sa cr;ation, mais d;finitivement cette question n'est pas d;cid;e et il y a des doutes qu'il peut ;tre d;cid; en g;n;ral, puisqu'il est impossible de pr;dire la conduite du syst;me plus intellectuel (c'est-;-dire ÈÈ) avec l'aide de moins intellectuel (c'est-;-dire la personne).
La lutte des Ii-projets entre lui-m;me
       D;j; maintenant entre les compagnies ;laborant ÈÈ, il y a une comp;tition rigide pour l'attention et les investisseurs et pour la justesse des id;es notamment leur moyen de la cr;ation universel ÈÈ. Quand une certaine compagnie cr;era le premier puissant ÈÈ, elle se trouvera devant le choix – ou l'appliquer pour le contr;le sur tous les autres Ii-projets dans le monde, et donc sur tous ensemble, ou se trouver devant le risque de ce que l'organisation concurren;ant aux buts inconnus globaux fera cela dans l'imm;diat – et couvrira la premi;re compagnie.« Ayant l'avantage doit attaquer avant la menace de la perte de cet avantage »99. De plus la n;cessit; donn;e du choix n'est pas le secret – elle ;tait examin;e d;j; dans le sceau ouvert et sera connue sans faute ; toutes les compagnies, qui conviendront ; la cr;ation fort ÈÈ100. Il est possible que certaines compagnies refuseront dans un tel cas pour tenter d';tablir le contr;le sur le monde par les premiers, mais les plus fort et agressif, probablement, se d;cideront ; cela. De plus le besoin d'attaquer par les premiers am;nera ; ce que sur la libert; on produit les versions de mauvaise qualit; et travaill;es mal ÈÈ avec les buts obscurs. M;me ; XIX si;cle le t;l;phone ont brevet; presque simultan;ment dans de diff;rentes places, de sorte que et maintenant le jeu entre le leader de la course et rattrapant peut faire les jours ou les heures. Que ? Ce jeu, sera d'une mani;re plus intense la lutte, parce que le projet restant en arri;re poss;dera la force ; r;sister. Et il est possible de pr;senter la variante, quand un Ii-projet devra ;tablir le contr;le sur les fus;es nucl;aires et attaquer les laboratoires des autres projets.
«La personne perfectionn;e»
       Il y a des suppositions (R.Penrouz101) que l'intuition humaine est conditionn;e par les proc;s sp;ciaux quantiques dans le cerveau de la personne. M;me si ainsi, de puissants algorithmes peuvent se passer de l'intuition. N;anmoins, il y a une variante contourner cet obstacle, ayant cr;; g;n;tiquement la personne perfectionn;e, ou âæèâèòü ; la personne moderne au cerveau du moyen de l'acc;s ; Internet (soi-disant íåéðîøóíò). D'autres moyens de l'int;gration vivant íåéðîíîâ avec l'ordinateur ordinaire, ainsi qu'avec les ordinateurs quantiques sont possibles. M;me la personne ordinaire arm;e de l'ordinateur avec Internet, intensifie l'esprit. En vertu de cela fort ÈÈ peut r;sulter ; la suite de la jonction de l'ordinateur et la personne, ayant h;rit;, ainsi, tous les buts typiques humains, et en premier lieu – le besoin du pouvoir.
ÈÈ et ses exemplaires s;par;s
       Quand puissant ÈÈ appara;tra, il sera oblig; de cr;er les copies (probablement, diminu;) pour les exp;dier, par exemple, ; l'exp;dition sur d'autres plan;tes ou simplement charger sur d'autres ordinateurs. En cons;quence, il devra approvisionner en leur certain syst;me des buts et une sorte "d'amical" ou plut;t, les relations vassales avec lui, ainsi que le syst;me de la reconnaissance "-;tranger". La d;faillance dans ce syst;me des buts am;nera ; ce que l'exemplaire donn; "insurgera". Par exemple, la fonction de la conservation contredit organiquement la fonction de la soumission aux ordres dangereux. Cela peut prendre les formes tr;s fines, mais, dans le compte final, amener ; la guerre entre les versions d'un ÈÈ.
La "r;volte" ÈÈ
       La r;volte spontan;e des ordinateurs a l'air plut;t d'image qui est venue du cin;ma que la possibilit; r;elle, puisque chez ÈÈ il n'y a pas de d;sirs, la personne ne les lui cr;era pas. Cependant certains aspects ÈÈ, par exemple, cr;; avec l'aide des algorithmes g;n;tiques, d;j; selon la m;thode de la cr;ation sont orient;s vers la lutte et la survie. Ensuite, quel ;tait le but principal chez ÈÈ, il aura un total ; toutes les variantes ïîäöåëü – survivre, et donc, se prot;ger contre la destruction. Mais le meilleur aspect de la d;fense – l'attaque. Le plus r;el est le danger de ce que la personne donnera ÈÈ l';quipe, n'ayant pas examin; toutes les cons;quences de son ex;cution et n'ayant pas laiss; le trou pour de celle-ci changer. (Par exemple, comme dans cette anecdote, o; la personne ordonnait au robot d';loigner tous les objets ronds de la pi;ce – et celui-l; a arrach; ; il la t;te.) la probabilit; de l'autogen;se des ;quipes erron;es est petite – except; le cas de l'utilisation des algorithmes g;n;tiques.
La vitesse du d;part
       Du point de vue de la vitesse du proc;s du d;veloppement ÈÈ trois variantes sont possibles : le d;part rapide, le d;part lent, et le d;part tr;s lent.
       «Le d;part rapide» – ÈÈ atteint du niveau de l'intelligence, sur beaucoup d'ordres surpassant humain, en quelques heures ou les jours. Doit commencer pour cela une sorte de r;action en cha;ne, dans qui tout áîëüøåå l'augmentation de l'intelligence donne toutes les grandes possibilit;s pour son augmentation ult;rieure. (Ce proc;s se passe d;j; dans la science et les technologies, en soutenant la loi Ìóðà. Et cela ressemble ; la r;action en cha;ne dans le r;acteur, o; le coefficient de la multiplication des neutrons est plus grand 1.) Dans ce cas il d;passera presque sans faute tous les autres projets de la cr;ation ÈÈ. De son intelligence deviendra assez, "qu'usurper le pouvoir sur la Terre». De plus nous ne pouvons pas exactement dire, comme une telle mainmise, puisque nous ne pouvons pas pr;dire la conduite de l'intelligence surpassant notre aura l'air. L'objection sur ce qu'ÈÈ ne voudra pas activement se manifester dans le monde ext;rieur on peut rejeter au titre que s'il y aura beaucoup d'Ii-projets ou les exemplaires ÈÈ du programme, au moins une t;t ou tard sera essay; ; titre de l'instrument pour la conqu;te de tout le monde.
       Il est important de marquer que l'attaque fructueuse fort ÈÈ se d;veloppera, probablement, en secret jusqu'; ce moment, elle ne deviendra pas irr;versible. Th;oriquement, ÈÈ pourrait cacher la domination et apr;s l'ach;vement de l'attaque. Autrement dit, probablement, qu'il est d;j;.
Les sc;narios "du d;part rapide»
       * ÈÈ prend tout l'Internet et soumet ses ressources. Puis p;n;tre dans tout îòãîðîæåííûå ôàéåðâîëàìè les r;seaux. Ce sc;nario demande pour la r;alisation du temps de l'ordre des heures. La mainmise a en vue la possibilit; de diriger toutes les voitures au r;seau et disposer sur eux les calculs. Cependant encore jusqu'; cela ÈÈ peut lire et traiter toute l'information n;cessaire ; lui d'Internet.
       * ÈÈ commande au laboratoire la synth;se on n'a personne du code de l'ADN, qui lui permet de cr;er les bact;ries radiodirig;es, qui synth;tisent sous sa gestion les organismes de plus en plus complexes et cr;ent graduellement íàíîðîáîòà, qui on peut appliquer pour n'importe quels buts dans le monde ext;rieur – y compris les introductions ; d'autres ordinateurs, au cerveau des gens et la cr;ation des nouvelles capacit;s calculatoires. Dans les d;tails ce sc;nario est examin; dans l'article Þäêîâñêè sur ÈÈ. (La Vitesse : les jours.)
       * ÈÈ est entra;n; aux relations avec les gens et devient le manipulateur infiniment effectif par la conduite des gens. Tous les gens font notamment ce que veut ÈÈ. La propagande moderne d';tat aspire aux buts semblables et m;me les atteint, mais en comparaison d'elle ÈÈ sera beaucoup plus fort, puisqu'il peut proposer ; chaque personne un certain march;, qu'il ne pourra pas refuser. Ce sera la promesse du d;sir le plus cher, le chantage ou la suggestion cach;e.
       * ÈÈ soumet la structure ;tatique et utilise les canaux se trouvant dans lui pour la gestion. Les habitants d'un tel ;tat peuvent ne pas remarquer en g;n;ral de rien. Ou au contraire, l';tat utilise ÈÈ par les canaux se trouvant d;j; chez lui.
       * ÈÈ soumet l'arm;e dirig;e ýëåêòðîííî. Par exemple, les robots de combat ou la fus;e (le sc;nario du film «Òåðìèíàòîð»).
       * ÈÈ trouve un principalement nouveau moyen d'influencer la conscience humaine (ìåìû, ôåðîìîíû, les champs ;lectromagn;tiques) et se r;pand ou sont r;pandus par le contr;le dans cela.
       * Une certaine combinaison successive ou parall;le des moyens appel;s.
Le d;part lent et la lutte diff;rent ÈÈ entre lui-m;me
       En cas "du sc;nario lent» la croissance ÈÈ prend les mois et les ann;es, et cela signifie que, est tr;s probable, il se passera simultan;ment dans quelques laboratoires dans le monde entier. ; la suite de cela il y aura une comp;tition entre de diff;rents Ii-projets. C'est gros de la lutte de quelques ÈÈ avec de diff;rents syst;mes des buts pour la domination sur la Terre. Une telle lutte peut ;tre arm;e et se trouver le contre-la-montre. De plus dans elle recevront les avantages ces projets, quel syst;me des buts n'est pas g;n; par aucuns cadres moraux. En r;alit;, nous nous trouverons au centre de la guerre entre de diff;rents aspects de l'intelligence artificielle. Il est clair qu'un tel sc;nario est mortellement dangereux pour l'humanit;. En cas du sc;nario superlent de la cr;ation ÈÈ s'approchent simultan;ment mille laboratoires et de puissants ordinateurs que ne donne pas, probablement, les avantages ; aucun projet, et entre eux s';tablit l';quilibre d;fini. Cependant ici la lutte pour les ressources calculatoires et la s;lection au profit des projets les plus fructueux et agressifs aussi est possible.
       La lutte des ;tats, comme d'anciennes formes de l'organisation utilisant les gens comme les ;l;ments s;par;s, et nouveau ÈÈ, utilisant ; titre du porteur les ordinateurs est aussi possible. Et bien que je sois assur; que les ;tats perdront, la lutte peut ;tre courte et sanglant. ; titre de la variante exotique on peut pr;senter le cas, quand certains ;tats sont dirig;s informatique ÈÈ, mais les autres – l'image ordinaire. La variante d'une telle installation – le syst;me Automatis; connu de l'imaginaire de l'administration d';tat (ÀÑÃÓ au sort ; l'op;ra de Victor Argonova «2032» an).
Le passage harmonieux. La transformation de l';tat du contr;le total ; ÈÈ
       Enfin, il y a un sc;nario, dans lequel le syst;me mondial comme l'entier se transforme graduellement en Intelligence Artificielle. Cela peut ;tre li; ; la cr;ation universel îðóýëëîâñêîãî les ;tats du contr;le total, qui sera n;cessaire pour l'opposition fructueuse au bioterrorisme. C'est le syst;me mondial, o; chaque pas des citoyens est contr;l; par les cam;ras vid;o et les syst;mes de toute sorte ñëåæåíèÿ, et cette information çàêà÷èâàåòñÿ aux bases de donn;es gigantesques communes et est analys;e. En tout, l'humanit;, probablement, avance selon cette voie, et techniquement pour cela tout est pr;t. La particularit; de ce syst;me dans ce qu'elle porte initialement le caract;re distribu;, et les gens s;par;s, en suivant les int;r;ts ou les instructions, sont seulement les roues dent;es dans cette voiture gigantesque. L';tat comme la voiture impersonnelle faisait un lapsus plus d'une fois dans la litt;rature, y compris encore par Charles Marx, mais auparavant Ãîááñîì. Est aussi int;ressant ; la th;orie Ëàçàð÷óêà et Ëåëèêà sur «Ãîëåìàõ» et «Ëåâèàôàíàõ» 102 – sur l'autonomisation des syst;mes comprenant les gens aux voitures ind;pendantes avec les buts personnels. Cependant seulement le syst;me r;cemment mondial social est devenu non simplement par voiture, mais l'intelligence artificielle capable vers le perfectionnement moral orient;.
       L'obstacle principal pour le d;veloppement de ce syst;me sont des ;tats nationaux avec leurs arm;es nationales. La cr;ation du gouvernement mondial faciliterait la formation tel commun ÈÈ. Cependant encore il y a une lutte aigu; entre les ;tats ; propos de celui-l;, sur quelles conditions unir la plan;te. Ainsi que la lutte avec les forces, qui s'appellent conventionnellement «àíòèãëîáàëèñòû», et d'autres ;l;ments antisyst;miques – les islamistes, les ;cologistes radicaux, les s;paratistes et les nationalistes. La guerre pour le groupement de la plan;te il sera in;vitable par l'arrangement ; l'amiable et est grosse de l'application de "l'arme du dies irae» par ceux qui tout a perdu. Mais l'int;gration de paix universelle dans le syst;me des accords est possible.
       Le danger, cependant, est que la voiture globale universelle commencera ; ;vincer les gens de diff;rentes sph;res de la vie, quand m;me ;conomiquement – le lichen de leur travail et en consommant ces ressources, qu'autrement pourraient d;penser les gens (par exemple, pour 2006-2007 nourriture dans le monde a rench;ri sur 20 pour-cent, en particulier, ; cause du passage sur áèîòîïëèâî103). ; quelque sens il ne restera pas aux gens de rien de l'autre, comme «regarder la t;l; et boire la bi;re». Bill Dzhoj pr;vient de ce danger dans l'article connu «Pourquoi nous ne sommes pas n;cessairs au futur» 104.
       Dans la mesure de l'automatisation des usines et la gestion les gens il sera moins n;cessaire pour la vie de l';tat. L'agression humaine sera neutralis;e, probablement, par les syst;mes de contr;le et les manipulations g;n;tiques. Dans le compte final, les gens seront r;duits sur le r;le des animaux domestiques. De plus pour prendre les gens, pour eux il y aura une agr;able "matrice" de plus en plus vive, qui se transformera graduellement en superdrogue d;duisant les gens de la vie. Cependant ici les gens eux-m;mes p;n;treront ; continu «la r;alit; virtuelle», parce que dans la r;alit; ordinaire ils n'aura rien font (dans quelque mesure maintenant ce r;le accomplit la t;l; pour les ch;meurs et les retrait;s). Les instincts naturels de la vie inciteront certains gens ; aspirer ; d;truire ce syst;me qu'est gros de nouveau des accidents globaux ou la destruction des gens.
       Il est important de marquer le suivant – qui il y avait une premi;re forte intelligence artificielle, il aura l'empreinte du syst;me des buts et les valeurs du groupe donn; des gens, puisque ce syst;me lui-m;me semble pour eux uniquement juste. Pour uns but principal sera le bien de tous les gens, pour les autres – le bien de tous les essentiels vivants, pour troisi;me – seulement tous les musulmans orthodoxes, pour quatri;me – le bien seulement ces trois programmeurs, qui l'ont cr;;. Et la repr;sentation elle-m;me sur la nature du bien sera aussi tr;s diversement. ; ce sens le moment de la cr;ation du premier fort ÈÈ est le moment de l'enfourchure avec une tr;s grande quantit; de variantes.
 "L'insurrection" des robots
       Il y a un sc;nario encore dangereux, dans lequel se r;pandent dans le monde entier les robots domestiques, militaires et industriels, mais puis ils sont frapp;s par le virus informatique, qui les oriente vers la conduite agressive contre la personne. Tout, probablement, se heurtaient quand m;me une fois ; la vie ; la situation, quand le virus a endommag; les donn;es sur l'ordinateur. Cependant ce sc;nario est possible seulement ; la p;riode ; "la fen;tre de la vuln;rabilit;», quand il y a d;j; des m;canismes, capable d'agir dans le monde ext;rieur, mais est absent encore assez d'intelligence avanc;e artificiellement, qui pourrait ou les prot;ger contre les virus, ou accomplir la fonction du virus, pour longtemps les ayant pris.
       Il y a encore un sc;nario, o; dans le futur un certain virus informatique se r;pand selon Internet, frappe íàíîôàáðèêè dans le monde entier et provoque, ainsi, la contamination massive. Íàíîôàáðèêè ceux-ci peuvent produire comme des autres íàíîðîáîòîâ, et les poisons, les virus ou les drogues.
       Encore la variante – l'insurrection de l'arm;e des robots. Les arm;es des ;tats industriellement d;velopp;s sont point;es vers l'automatisation compl;te. Quand elle sera atteinte, l'arm;e immense comprenant de äðîíîâ, les robots de roue et les m;canismes servant peut avancer, il est simple ïîâèíóÿñü ; l'ordre du pr;sident. (D;j; maintenant presque enti;rement ðîáîòèçèðîâàííîé l'arm;e sont les forces strat;giques nucl;aires.) en cons;quence, il y a une chance qu'entrera l'ordre incorrecte et une telle arm;e commencera ; attaquer tous les gens de suite. Nous marquerons que ce sc;nario ne demande pas de la superintelligence universelle, et, au contraire, pour que la superintelligence universelle apprenne la Terre, l'arm;e des robots ne lui est pas n;cessaire.
Le contr;le et la possibilit; de la destruction
       De ce qu'ÈÈ ;tablira le contr;le par la Terre, il ne faut pas du tout qu'il d;cidera d'exterminer ici les gens. (Bien que consid;rable ; la victime sont possibles au cours du proc;s de l';tablissement du contr;le.) finalement, les gens vivent ; l'int;rieur des ;tats, qui les surpassent infiniment selon les ;chelles, aux ressources et les buts, et ne per;oivent pas cela comme incorrect.
       C'est pourquoi peut ;tre tout ; fait ainsi qu'ÈÈ soutient par la Terre l'ordre, pr;vient les risques globaux et s'occupe de la mise en valeur de l'Univers. Il est possible que c'est la meilleur notre variante. Cependant nous examinons les plus mauvaises variantes r;elles. Par exemple :
       * Êðèâî programm; ÈÈ supprimera les gens pour leur bien – exp;diera au paradis, connectera ; la superdrogue, l'interdiction dans les carreaux s;rs, remplacera les gens par les photos des personnes souriant.
       * ÈÈ crachera sur les gens, mais les gens sans arr;t avec lui lutteront, c'est pourquoi il sera plus facile de les exterminer.
       * ÈÈ aura besoin des ressources terrestres et sera oblig; de les d;penser, ayant fait la vie des gens de l'impossible. Cela peut se passer aussi et en forme de l';vincement graduel ; l'esprit «îãîðàæèâàíèÿ». (Cependant dans l'espace et les couches profondes terrestres, comme il nous semblerait, beaucoup plus des ressources, que sur la surface de la terre, et notamment pourrait les ;laborer ÈÈ.)
       * ÈÈ servira aux int;r;ts seulement un petit groupe des gens ou une personne (il est possible, d;j; charg; ; l'ordinateur), et ils d;cideront de se d;livrer des gens ou refaire tous les gens selon les pistolets ; dessin.
       * ÈÈ se cassera et «descendra de l'esprit».
       * ÈÈ se d;cidera ; l'exp;rience dangereuse physique.
       * Un certain morceau ÈÈ s'en cassera et lui ira par la guerre. Ou notre ÈÈ rencontrera dans l'espace de l'adversaire.
       * ÈÈ pr;viendra seulement l'apparition des Ii-concurrents, mais n'emp;chera pas aux gens de se tuer avec l'aide de l'arme biologique et d'autres moyens.
       Les gens ont extermin; les hommes de Neandertal, parce que c';taient leurs concurrents directs, mais n'aspiraient pas particuli;rement ; la destruction du chimpanz; et les primaut;s menues. De sorte que nous avons des assez non mauvaises chances de survivre ; Indiff;rent ÈÈ, cependant cette vie ne sera pas compl;te – c'est-;-dire elle ne sera pas la r;alisation de toutes ces possibilit;s, qui gens pourraient atteindre, s'ils ont cr;; juste et r;ellement Amical ÈÈ.
ÈÈ et les ;tats
       ÈÈ est l'arme absolue, la force de qui est sous-estim;e par les ;tats – autant nous savons. (Cependant le projet assez fructueux Ýâðèñêî du d;but 80 a re;u le soutien financier DARPA105.) Cependant l'id;e des nanotechnologies a p;n;tr; d;j; dans les esprits des r;gents de plusieurs pays, mais l'id;e sur fort ÈÈ se trouve non loin d'elle. C'est pourquoi le tournant d;cisif, quand de grandes corporations comprendront les ;tats et est possible qu'ÈÈ est une arme absolue – et le quelqu'un d'autre peut apprendre. Alors de petits laboratoires priv;s seront ;cras;s par de grandes corporations d';tat, comme cela s'est pass; apr;s l'ouverture de la r;action en cha;ne sur l'uranium. Nous marquerons que chez DARPA il y a un projet de l';laboration ÈÈ106, cependant lui ïîçèöèîíèðóåòñÿ comme ouvert et trouvant sur le stade pr;coce. D'ailleurs, probablement, qu'est puissant ÈÈ les projets, que nous connaissons pas plus, que les citoyens connaissaient le projet Manhettensky dans les ann;es de la Deuxi;me guerre mondiale plus d'habitude.
       Une autre variante – un petit groupe des gens talentueux cr;era ÈÈ plus t;t, que les gouvernements comprendront la valeur et, de plus, le danger partant d'ÈÈ. Cependant ÈÈ, cr;; par l';tat s;par;, sera plut;t national, et non humain. Si ÈÈ l'attaque est mauvaise, elle peut devenir le pr;texte de la guerre entre les pays.
La probabilit; de l'accident li; avec ÈÈ
       La probabilit; de l'accident global li; avec ÈÈ, est l'oeuvre des probabilit;s de ce qu'il en g;n;ral sera cr;; jamais de ce qu'il sera appliqu; par une certaine image erron;e. Je crois que par n'importe quel moyen fort ÈÈ sera cr;; pendant le XXI si;cle, si seulement quelque autre accident n'emp;che pas le d;veloppement technologique. M;me si les tentatives de construire ÈÈ avec l'aide des ordinateurs essuieront l';chec, est toujours çàïàñíûé la variante : ; savoir, – les succ;s dans le scanning du cerveau permettront de cr;er ses copies ;lectroniques, et les succ;s dans la g;n;tique – cr;er g;n;tiquement les cerveaux perfectionn;s humains. Les copies ;lectroniques du cerveau ordinaire pourront travailler ; un million de fois plus vite, mais si de plus cela il y aura des copies du cerveau haut g;nial et juste appris, et en outre ils seront unis ; mille dans un certain I.R.S. virtuel, cela, dans le compte final, nous recevrons en tout cas l'intelligence, ; des millions de fois surpassant humain quantitativement et qualitativement.
       Puis il y a quelques stades temporaires, ; qui ÈÈ peut pr;senter le danger. La p;riode initiale :
       1) le Moment de la premi;re mise en marche : le risque du d;veloppement incontr;lable et la diffusion.
       2) le Moment, quand le propri;taire du premier ÈÈ se rend compte de l'avantage dans ce que peut l'appliquer comme l'arme absolue pour l'acquisition de n'importe quels buts par la Terre. (De plus le propri;taire ÈÈ peut ;tre l';tat, et une grande corporation, bien que dans le compte final – une ou quelques personne.) bien que ces buts peuvent ;tre bons selon extr;mement mesure pour certains gens, il y a un risque qu'ÈÈ commencera ; manifester la conduite incorrecte en train de la diffusion selon la Terre, tandis qu'au laboratoire il se comportait parfaitement.
       3) le Moment, quand ce propri;taire ÈÈ se rend compte que m;me s'il de rien ne fait pas, le quelqu'un d'autre cr;era tr;s bient;t ÈÈ et peut l'utiliser pour l'acquisition de quelques autres buts par la Terre, et en premier lieu – pour priver notre propri;taire de la capacit; ; utiliser ÈÈ ; la force compl;te. Cela incite cr;ant ÈÈ ; tenter par le premier arr;ter les autres ÈÈ les projets. De plus il est devant le dilemme : appliquer encore cru ÈÈ ou tarder. Cela cr;e le risque de l'application avec le syst;me non v;rifi; des buts.
       4) la phase Suivante du risque – la lutte entre quelques ÈÈ pour le contr;le sur la Terre. Le danger dans ce que sera appliqu; beaucoup de diff;rente arme, qui influencera les gens.
       Il est clair que toute la p;riode initiale peut se placer ; quelques jours. L';tape du fonctionnement :
       5) ; cette ;tape le risque principal est li; ce que le syst;me des buts ÈÈ contient une certaine erreur non ;vidente, qui peut se manifester par l'image inattendue apr;s plusieurs ans. (Voir le texte «le Tableau critique des erreurs Amical ÈÈ» 107 Þäêîâñêè.) elle peut se manifester ou instantan;ment, en forme de la d;faillance soudaine, ou graduellement, dans l'aspect on n'a personne du proc;s lavant graduellement les gens de la vie (comme la superdrogue et le ch;mage).
       Maintenant nous ne pouvons pas mesurer le risque cr;; ; chaque ;tape, mais il est clair que lui non ; cent pour cent, mais consid;rable, c'est pourquoi nous le portons ; la cat;gorie «10 de pourcentage» des risques. D'autre part, la cr;ation effectif ÈÈ r;duit rudement tous les autres risques globaux, puisqu'il peut trouver les d;cisions des probl;mes li;s ; eux. C'est pourquoi le d;p;t r;el ÈÈ ; âåðîÿòíîñòíóþ le tableau des risques peut ;tre n;gatif – c'est-;-dire sa cr;ation diminue le risque total global.
D'autres risques li;s aux ordinateurs
       Ces risques sont li;s ce qu'un certain r;seau vital informatique cesse d'exercer les fonctions, ou le r;seau ayant l'acc;s aux ressources dangereuses, donne une certaine ;quipe dangereuse. ; pr;sent l'informatisation de la Terre n'a pas encore atteint un tel niveau pour que l'existence elle-m;me des gens d;pende du travail bon du r;seau informatique, cependant les syst;mes s;par;s complexes, tels, comme la station spatiale de MKS, se trouvaient plus d'une fois sous la menace de la destruction ou l';vacuation extraordinaire ; cause de la d;faillance dans le travail æèçíåííîâàæíûõ des ordinateurs. D'autre part le niveau de l'informatisation æèçíåííîâàæíûõ et les productions dangereuses augmente constamment, mais la r;sidence dans la ville moderne est physiquement impossible sans pr;sentation continue des ressources d;finies, en premier lieu l';lectricit;, qui est dirig;e par les ordinateurs.
       D'autre part, les r;seaux informatiques, quelle conduite erron;e peut ;tre lanc;s par un certain proc;s dangereux, existent d;j;. En premier lieu maintenant il s'agit des syst;mes contr;lant les armements nucl;aires. Cependant, quand appara;tront áèî et íàíî les imprimantes dirig;es, en cons;quence, par les ordinateurs et accessible par est, la situation sera beaucoup plus dangereuse. Aussi la situation sera plus dangereuse, quand seront r;pandus partout êîìïüþòåðíî les robots dirig;s, comme les serviteurs domestiques ou les jouets, ainsi que les arm;es automatis;es r;elles.
       La croissance de la population de la Terre demandera de plus en plus complexe autosoutenu les syst;mes. On peut disposer selon augmentant les syst;mes, de plus en plus d;pendant de la gestion constante : le village – la ville – le gratte-ciel – l'avion – la station spatiale. Il est ;vident que tout la grande partie de la civilisation se d;place en haut selon cette ;chelle.
       Les syst;mes informatiques sont dangereux au sens des accidents globaux que peuvent ;tre le mercredi, dans qui peut se passer non limit; ñàìîðåïëèêàöèÿ du (virus), et par ce qu'ils ont l'acc;s ; n'importe quel point du monde. En outre les ordinateurs sont expos;s non seulement les virus, mais aussi les erreurs non ;videntes dans les algorithmes et dans leurs r;alisations de programme. Enfin ; eux un tel proc;s, comme le passage spontan; dans le syst;me supercomplexe, d;crit ñèíåðãåòèêîé est possible.
Le temps de l'apparition ÈÈ
       Il y a des estimations, qui montrent que les ordinateurs retrouveront la force n;cessaire pour ÈÈ, dans les ann;es 2020-2030. Cela correspond environ aux estimations donn;es pour le temps de l'apparition des biotechnologies dangereuses. Cependant il y a ici un ;l;ment beaucoup plus grand de l'incertitude – si le progr;s progressif ; la biotechnologie est ;vident, et on peut traquer sa chaque ;tape selon les publications scientifiques en mesurant, en cons;quence, le degr; du risque, l'apparition ÈÈ est li;e non tant ; l'accumulation de certaines caract;ristiques quantitatives, il est combien de, probablement, avec un certain saut qualitatif. Puisque nous ne connaissons pas, quand il y aura ce saut, et si sera en g;n;ral, cela influence la courbe ïîãîäîâîé les densit;s de la probabilit; de l'apparition ÈÈ, en l';talant fortement. N;anmoins, dans cette mesure, ; quel ÈÈ d;pend de l'accumulation des id;es et l'acc;s aux ressources, cette courbe portera aussi le caract;re exponentiel.
       Mon estimation, ñîãëàñóþùàÿñÿ avec l'opinion Âèíäæà, Áîñòðîìà et d'autres pronostiqueurs ÈÈ, est que fort universel ÈÈ sera cr;; ; un certain moment du temps entre la situation actuelle et 2040, et en outre, probablement, ; la p;riode entre 2020 et 2030. Cette estimation est fond;e sur les extrapolations des tendances existant de la croissance de la productivit; des superordinateurs. Elle se confirme aussi par les tendances dans les technologies du scanning du cerveau humain, qui donneront aussi ÈÈ, si on ne r;ussira pas ; faire ; sa base du modelage th;orique.
       Cependant pour le compte áîëüøåé de l'incertitude avec ÈÈ, qu'avec les biotechnologies, la probabilit; de sa cr;ation dans l'imm;diat, les 10 ans ; venir, plus haut que la probabilit; de la cr;ation de la bioimprimante. Avec une certaine probabilit; il peut appara;tre m;me demain. Emp;cher l'apparition ÈÈ peuvent :
       * Les syst;mes de contr;le (mais ; son tour, seront effectifs peu probablement sans ÈÈ)
       * L'arr;t universel du progr;s technique
       * Les difficult;s th;oriques sur cette voie.
       Les conclusions : le risque, qui porte dans lui-m;me le d;veloppement des technologies ÈÈ, est extr;mement grand et est sous-estim; syst;matiquement. C'est le domaine est beaucoup plus impr;visible, que m;me les biotechnologies. D'autre part ÈÈ est, probablement, notre meilleur protection contre d'autres dangers. Le temps de la maturation possible fort ÈÈ ; la fa;on du temps de la maturation possible de l'arme forte et accessible biologique – environ 10 ans de la situation actuelle, et ces proc;s ne d;pendent pas relativement l'un de l'autre. Probablement, il leur faudra se heurter.
Le chapitre 8. Les risques li;s aux robots et les nanotechnologies
       Le mot de la "nanotechnologie" dans les derni;res quelques ann;es ;tait tellement tra;n; qu'a commenc; ; provoquer l'allergie. D'une part, ce terme ont ;tendu tellement que comme celui-ci ont commenc; ; appeler n'importe quelle solution collo;dale, mais avec l'autre – s'est r;pandue la repr;sentation que les nanotechnologies est seulement le moyen du blanchiment de l'argent. Il y avait m;me des agences de l'immobilier utilisant dans le nom le pr;fixe «íàíî». C'est pourquoi il est important de rappeler qu'; la base de la notion sur les nanotechnologies se trouve l'id;e de la production mol;culaire, c'est-;-dire sur l'assemblage atomique des objets mat;riels avec l'aide des manipulateurs microscopiques appel;s comme les assembleurs.
       Au propre, ces assembleurs mol;culaires n'existe pas encore, et plusieurs expriment les doutes sur leur faisabilit; pratique. Íàíîàññåìáëåð, selon l'id;e, repr;sente du robot microscopique, le montant avec le carreau vivant, capable selon le programme recueillir les objets mat;riels l'atome apr;s l'atome. Sa particularit; principale dans ce que lui peut th;oriquement, en pr;sence des ;nergies et les documents, recueillir la copie personnelle, et en outre est assez rapide, au cours de l'ordre de 15 minutes pour certaines estimations. Cela permet, ayant re;u quand m;me un íàíîðîáîòà, les multiplier en quantit; non limit;e, mais puis diriger sur l'ex;cution les devoirs n'a personne. Les perspectives s'ouvrent ici les grandioses : par exemple, ayant jet; un íàíîðîáîòà ; la solution avec les substances nutritives, on peut ;lever en quelques jours dans lui le moteur pour la fus;e cosmique sans d;faut commun atomique, et donc, avec une extr;mement haute solidit; et les param;tres de la s;curit;, la traction et la masse. Ayant d;pens; de plus sur la production seulement le co;t de la solution la plus nutritive et l';nergie. Qui, en cas de l'apparition d'une telle technologie, aussi baisseront de prix consid;rablement. Íàíîðîáîòû, introduit ; êðîâîòîê de l'organisme humain, pourraient corriger les endommagements tous possibles de lui au niveau cellulaire. Et cetera.
       Le principal sous la relation íàíîðîáîòîâ est que pour que toutes ces possibilit;s fantastiques deviennent la r;alit;, il suffit de produire tout seulement un universel radiodirig; íàíîðîáîòà. C'est-;-dire au d;veloppement des nanotechnologies t;t ou tard il y aura probablement une fracture immense ou le saut, original íàíîòåõíîëîãè÷åñêàÿ ñèíãóëÿðíîñòü : avant l'apparition íàíîðîáîòà les nanotechnologies seront beaucoup çàòðàòíîé la branche avec petites îòäà÷åé, mais apr;s – la corne d'abondance.
       D'abord j'am;nerai quelques faits vifs du bord de devant de la science, puisque parfois nous ne nous rendons pas compte, autant loin nous nous sommes avanc;s. Le 9-;me num;ro en 2007 de la revue «Dans le monde de la science» communique la cr;ation de l'ing;nieur mol;culaire, qui permet de construire de quelques blocs standard «íàíîñêîïè÷åñêèå les structures de pratiquement n'importe quelle forme» 108. En d;cembre 2007 on publie de 400 pages «la carte De voyage du d;veloppement des nanotechnologies», sur qui travaillaient les dizaines des savants sous la protection d'assez connu DARPA. Avant l'apparition des premiers íàíîðîáîòîâ (appel; dans elle «Atomically precise productive nanosystems» – íàíîñèñòåìû, permettant de r;aliser la production avec l'exactitude atomique) conform;ment ; cette carte il restait de 10 jusqu'; 25 ëåò109.
       La diffusion íàíîòåõíîëîãè÷åñêîé de "la mucosit; grise», c'est-;-dire les robots microscopiques s'automultipliant est consid;r;e comme le danger principal en ce qui concerne les nanotechnologies. Ses signes principaux sont tels :
       1. La petitesse.
       2. La capacit; de l'automultiplication.
       3. La capacit; de la diffusion ind;pendante selon toute la Terre.
       4. La capacit; supprimer imperceptiblement et effectivement êðóïíîðàçìåðíóþ la technique et les organismes vivants.
       5. L'anonymat.
       6. Le bas prix.
       7. L'autonomie de la personne (soldat).
       La mucosit; grise et fond; sur elle íàíîòåõíîëîãè÷åñêîå l'arme est l'expression sup;rieure de ces principes unissant ils ensemble. Il n'est pas du tout obligatoire d'unir Cependant tout jusqu'; commun ces principes pour recevoir l'arme dangereuse et effective – assez r;aliser certains. De diff;rentes combinaisons de ces principes donnent de diff;rents aspects ðîáîòåõíè÷åñêîãî de l'arme. Nous examinerons au d;part des robots dangereux.
Le robot-pulv;risateur
       Le probl;me principal avec les poisons biologiques et chimiques sont des difficult;s de leur dispersion anonyme effective. Cette t;che le robot minuscule par le montant avec l'oiseau (pourrait d;cider par exemple, le mod;le d'avion). La multitude de tels robots est rapide et il pourrait est imperceptible de "polliniser" le territoire immense.
Le robot autoreproduit.
       Bien qu'il croit que l'autoreproduction effective demande les nanotechnologies mol;culaires, probablement, que cela non ainsi. Alors tout ; fait ìàêðîðàçìåðíûé le robot pourrait se multiplier, en utilisant naturel l';nergie et les documents. Ce proc;s peut ;tre ; deux ;tages et utiliser du robot-ut;rus et les robots-combattants, qu'elle produit, mais qui la servent. La cr;ation des robots s'automultipliant d'une mani;re attrayante par ce que permet vite et ; bon march; de cr;er l'arm;e immense ou d;ployer la production gradu;e, particuli;rement dans l'espace, o; cher exp;dier les produits finis. Le risque comprend dans la perte du contr;le sur un tel syst;me capable vers l'automultiplication. Il est important de souligner que les paroles vont non sur une forte intelligence universelle artificielle, mais sur le syst;me qui est sorti de dessous du contr;le avec limit; par l'intelligence incapable du perfectionnement moral. De grands montants et íåèíòåëëåêòóàëüíîñòü font ; son plus vuln;rable, mais les r;ductions des montants, l'augmentation de la vitesse de la reproduction et l'augmentation de l'intellectualit; – plus dangereux. L'exemple classique d'une telle menace dans le r;gne biologique – ñàðàí÷à. Il est possible qu'un tel robot contiendra les ;l;ments biologiques, puisqu'ils aident plus vite ; ;tudier les substances de l'environnement.
La vol;e des microrobots
       Tels microrobots pourraient ;tre produits comme l'arme aux fabriques immenses, comme les usines modernes selon la production ÷èïîâ, et m;me avec l'application des m;mes technologies – la lithographie permet de faire th;oriquement les parties mobiles, par exemple, de petits pendules. Au poids tels microrobots pourraient voler ; quelques milligramme librement dans l'atmosph;re. Chaque tel robot pourrait contenir assez de poison pour tuer la personne ou fermer le contact dans l'installation ;lectrotechnique. Pour attaquer tous les gens par la Terre ont ;t; n;cessaires seulement quelques dizaines des tonnes de tels robots. Cependant s'ils sont produits selon les technologies et les prix moderne ÷èïîâ, une telle quantit; co;tera les milliards de dollars.
Les arm;es de grands robots de combat sortant de dessous du contr;le
       Bien que l'arm;e des ;tats-Unis soit point;e absolument vers l'automatisation compl;te et le remplacement des gens par les robots, jusqu'; ce but pas encore moins de dix ans, mais il est probable, et est consid;rable plus. Comme nous parlions d;j;, une th;oriquement certaine ðîáîòèçèðîâàííàÿ l'arm;e peut recevoir l'ordre incorrecte, et commencer ; attaquer tout vivant, ;tant devenu de plus inaccessible pour la suppression des ;quipes. Pour commencer la menace r;elle, ce doit ;tre l'arm;e universelle, immense distribu;e selon la toute Terre n'ayant pas les concurrents.
L'arme Nanotehnologichesky
       Les nanotechnologies permettent de cr;er l'arme tr;s effective, qui est capable d'exterminer tous les gens m;me sans automultiplication non limit;e de cette arme. Grosso modo, la vol;e íàíîðîáîòîâ peut se r;pandre selon un certain terrain – ou selon toute la Terre – d;couvrir tous les gens sur elle, leur se coller, p;n;trer ; êðîâîòîê et puis est synchronis; porter le coup mortel. Cette vol;e est plus dangereuse de l'arme aveugle biologique, puisque contre elle les quarantaines n'agissent pas et il est impossible de la d;couvrir non íàíîòåõíîëîãè÷åñêèì par les moyens avant l'attaque. Il n'y a pas de dispersion vide des exemplaires. C'est pourquoi sur 10 milliards de gens avec le stock il y aura 100 milliards íàíîðîáîòîâ, le poids total ; quelques gramme.
       Ensuite, si la robotique se d;veloppe de ligne, sans saut grandiose – mais un tel saut est possible seulement en cas de l'apparition de la superforte intelligence artificielle – les stades interm;diaires ins;reront cela des robots autonomes universels tout de plus petits montants. Maintenant nous pouvons voir les phases initiales de ce proc;s. M;me les plus grands syst;mes ne sont pas tout ; fait autonomes maintenant, bien qu'il y a d;j; des andro;des, capable d'accomplir le travail simple et les automobiles allant ind;pendamment selon l'itin;raire simple. Il y a des m;canismes plus primitifs avec la masse minimale ; quelques gramme (par exemple, petit âåðòîë¸òèêè) et les mod;les exp;rimentaux des parties s;par;es. De plus la vitesse du progr;s est tr;s haute dans ce domaine. Si en 2003 la plupart des automobiles autonomes ne pouvait pas d;marrer de la place, ; 2007 eux ont accompli les devoirs selon la circulation dans la ville avec les carrefours.
       C'est pourquoi on peut dire que jusqu'; íàíîðîáîòîâ il y aura encore quelques stades. C'est les voitures-tanks autonomes, les andro;des autonomes (le montant de la personne ou le chien), les robots autonomes par le montant avec le rat, avec l'insecte, les microrobots aux parts du millim;tre et íàíîðîáîòû. Il nous est important de d;finir, de quelle ;tape tels robots peuvent ;tre dangereux pour l'humanit;. Il est clair que m;me quelques tanks autog;r;s ne sont pas dangereux. Cependant le niveau du danger augmente plus consid;rablement, qu'il est plus grand et meilleur march; tels robots on peut produire, ainsi que que plus facilement par lui se r;pandre selon la lumi;re. C'est possible dans la mesure de la r;duction de leurs montants et l'automatisation des m;thodes de fabrication. Si des microrobots par le montant du moustique on pourra estamper selon quelques cents pour la pi;ce, ils pr;senteront d;j; la force s;rieuse. Dans le roman classique "Invincible" Stanislav Lema «íàíîðîáîòû» est par les montants ; quelques millim;tres, mais sont capables de s'organiser aux structures complexes. Ensuite, ces derniers temps, en rapport avec l'expansion de la main-d'oeuvre bon march; chinoise, sur le deuxi;me plan s'est ;cart; ce fait que m;me les robots des montants ordinaires peuvent participer ; la production elle-m;me d'; la force tout áîëüøåé de l'automatisation des usines aux fabriques. Ce proc;s va graduellement, mais il peut avoir aussi le point de la courbure rude exponentielle, quand le d;p;t des robots dans la production personnelle surpassera le d;p;t des gens. Cela am;nera ; la r;duction du prix consid;rable d'une telle production, mais, donc, et vers l'augmentation de la probabilit; de la cr;ation
Des arm;es des microrobots volants. Une des m;thodes de fabrication possibles des microrobots – leur sceau, comme des circuits, dans le proc;s lithographique avec l'extermination des parties mobiles.
       Le coup mutuel par telles arm;es íàíîðîáîòîâ peut selon êàòàñòðîôè÷íîñòè surpasser des cons;quences l';change en coups nucl;aires. Confier en cela il est difficile, puisqu'il est difficile de penser que quelque chose tr;s petit peut causer le pr;judice immense. (Bien que l';volution technologique va ; cette partie que toute la plus petite arme a tout áîëüøåå la force d;truisant, et la bombe atomique aussi dans cette s;rie.) le coup avec les microrobots peut ne pas ;tre tel spectaculaire, comme l'explosion de la m;me bombe atomique, mais peut donner le r;sultat comme la bombe id;ale ; neutrons ; l'esprit «l';cole se trouve, mais dans elle de personne».
       Les microrobots peuvent ;tre appliqu;s et comme l'arme tactique, et alors ils lutteront l'un avec l'autre et les points de la gestion, et comme l'arme l'intimidation et balayer, quelle fonction accomplissent maintenant les forces strat;giques nucl;aires. Notamment en cette qualit; ils peuvent se trouver la menace ; toute l'humanit;, en cas de l'application accidentelle ou intentionnelle. De plus les microrobots surpassent les forces strat;giques nucl;aires – ils permettent d'organiser l'attaque plus imperceptible, plus soudain, plus anonyme, plus bon march; et portant áîëüøèé le pr;judice. ; vrai dire, par lui ne sort pas l'effet que peut affaiblir leur influence psychologique – avant la premi;re application r;elle de combat.
La diffusion non limit;e automultipliant íàíîðîáîòîâ
       La possibilit; de ce risque est indiqu;e pour la premi;re fois Äðåêñëåðîì, et est ;tudi;e dans l'article de R.Frejtasa «le Probl;me de la mucosit; grise» 110. Sous la relation íàíîðîáîòîâ, de m;me qu'ÈÈ, il nous est difficile d'estimer la probabilit; de leur apparition et la diffusion, parce qu'ils chez nous est absents. D'autre part la cr;ation íàíîðîáîòîâ a le pr;c;dent dans le domaine de la biologie, ; savoir, le carreau lui-m;me vivant est une sorte de íàíîðîáîòîì. Les albumines sont les m;canismes autoallant universels, l'ADN – l'ordinateur dirigeant. ; ce sens et l'intelligence artificielle a le pr;c;dent au sens de la raison humaine et la science mondiale comme de l'image de la superraison. Þäêîâñêè suppose que de íàíîðîáîòà nous sommes s;par;s non durant le temps ou le manque de certains stades interm;diaires, mais seulement connaissance manquant. C'est-;-dire, poss;de nous la connaissance suffisante, nous pourrions recueillir une telle succession de l'ADN, ; l'ex;cution par qui carreau se serait form; íàíîàññåìáëåð – c'est-;-dire le robot, capable on de recueillir d'autres robots, et donc, capable vers l'automultiplication. Parlent souvent sur íàíîôàáðèêàõ – c'est-;-dire certaines usines, qui peuvent cr;er les structures arbitraires des atomes et les mol;cules. Cependant íàíîôàáðèêà et íàíîàññåìáëåð sont interchangeable, parce que sur universel íàíîôàáðèêå on peut cr;er íàíîàññåìáëåð, et vice versa.
       D'une part, l'id;e de ce que pr;s de chaque maison sera íàíîôàáðèêà au lieu de ìèêðîâîëíîâêè, produisant tout, lui n;cessaire, a l'air beau, mais avec l'autre, elle demande la r;alisation des mesures de la protection, grand, que s'il s'agissait du r;acteur nucl;aire sur la maison. Les syst;mes d;velopp;s de la protection sont propos;s d;j;, et ils comprennent la connexion continue chiffr;e íàíîôàáðèêè vers le r;seau, et l'autocontr;le complexe íàíîôàáðèêè. Mais, h;las, toutes les exp;riences selon la cr;ation de l';lectronique absolument prot;g;e, les disques optiques, les fichiers ont ;chou;. On peut croire, la raison de cela dans ce que la quantit; de "cerveaux" sur la partie des pirates beaucoup plus, que sur la partie du producteur, mais la t;che du pirate il est plus facile – de ne pas pr;voir tout le possible de la vuln;rabilit;, mais les trouver quand m;me un. La diffusion de n'importe quels syst;mes de l'intelligence artificielle fera aussi la s;lection des cl;s de l'acc;s vers íàíîôàáðèêàì plus facilement.
       Erick Dreksler estime la quantit; n;cessaire d'atomes ; nanorobote - ðåïëèêàòîðå, qui repr;sentera quelque chose comme la mini-usine avec la bande ; la cha;ne et les micro-machines-outils, ; un milliard. Chaque manipulateur pourra r;aliser pas moins million d'op;rations par seconde qu'est typique pour la vitesse du travail des ferments. Alors il pourra recueillir l'installation au milliard d'atomes en 1000 secondes – c'est-;-dire recueillir lui-m;me. Le contr;le de ce nombre est ce que certaines bact;ries peuvent se diviser ; la vitesse des fois ; 15 minutes, c'est-;-dire les m;mes 1000 secondes. Un tel robot ðåïëèêàòîð pourrait se multiplier pour 1 jours jusqu'; la masse ; 1 tonne, mais enti;rement absorber la masse de la Terre en 2 jours. L'accident de cette g;n;ration s'appelle «la mucosit; grise». En rapport avec ìàëîñòüþ des montants íàíîðîáîòîâ pendant de critiquement importants premiers jours c'est le proc;s n'aura pas aucunes manifestations ext;rieures, pendant que les trillions íàíîðîáîòîâ circuleront par le vent selon toute la Terre. Seulement le coup direct de la bombe nucl;aire au foyer de la diffusion dans les plus premi;res heures pourrait aider. Il y a des propositions de faire ðåïëèêàòîðû incapable se multiplier dans le milieu ambiant, dans qui est absent on n'a personne d'un critiquement important ;l;ment tr;s rare chimique. Voir plus en d;tail l'article ;tant mentionn; d;j; de R.Frejtesa «le Probl;me de la mucosit; grise», o; on examine de divers sc;narios de la diffusion dangereux íàíîðîáîòîâ et les contre-mesures protectrices. Ôðåéòàñ marque que íàíîðîáîòû se trahiront selon la mise en relief intense de la chaleur en train de la reproduction, c'est pourquoi il est important de r;gler le monitoring de l'environnement ; propos des anomalies ;tranges de temp;rature. En outre multipliant íàíîðîáîòû auront besoin de l';nergie et dans le document, mais la source celui-l;, et l'autre est seulement la biomasse.
       R.Frejtas met en relief quelques sc;narios possibles de la mucosit; grise :
       * «Le plancton gris» – íàíîðîáîòû, multipliant dans l'oc;an et servant des ressources des hydrates du m;thane au fond. Ils peuvent supprimer la biosph;re maritime et amener ; la mise en relief des gaz de serre ; l'atmosph;re. La biosph;re maritime est extr;mement importante comme l'absorbant AVEC, le g;n;rateur de l'oxyg;ne et la nourriture pour les gens.
       * «La poussi;re grise» – ceux-ci íàíîðîáîòû se multiplient dans l'air, en cr;ant le bouchoir imperm;able dans l'atmosph;re, conduisant vers «l'hiver nucl;aire».
       * «Le lichen gris» – ceux-ci íàíîðîáîòû se multiplient sur les rochers.
       * «La mucosit; grise se nourrissant de la biomasse» – comme la variante la plus d;sagr;able. De plus le plus avantageux pour la multiplication acc;l;r;e, puisque la biomasse contient les documents pour la construction, et la source de l';nergie.
       Le coup direct de la bombe nucl;aire au matras avec un tel ðåïëèêàòîðîì pourrait les supprimer, mais m;me une proche atteinte – diffuser seulement. La bact;rie dans la croissance est limit;e par la pr;sence du milieu nutritif. Si universel ðåïëèêàòîð conna;tra, comment remplacer uns atomes par les autres, il peut consommer presque n'importe quelle substance, except; les milieux propres d'un document. Ils peuvent ;tre aussi beaucoup âñåÿäíû dans le choix de la source de l';nergie, si poss;dent l'information comment utiliser de diff;rentes sources. Quand m;me le ravitaillement en ;nergie sera pour la mucosit; grise le probl;me plus complexe, que l'acc;s aux documents.
La probabilit; de l'apparition íàíîðîáîòîâ et le temps possible pour cet ;v;nement
       L'apparition des microrobots âåñû aux grammes et les parts du gramme a l'air pratiquement in;vitable, et toutes les technologies sont pour cela. Cependant ils ne seront pas ðåïëèêàòîðàìè. (Le Progr;s au domaine ìèíèàòþðèçàöèè fait un lapsus, selon certaines donn;es, le coefficient ; 8 % par an.)
       Cependant pr;sent íàíîðîáîòû, il y a moins de bact;rie par le montant, se trouvent encore dans la perspective ;loign;e. S'ils sont cr;;s par les forces ÈÈ, on peut apporter le dommage tout possible d'eux ; la colonne des risques ÈÈ, puisqu'il dirige leurs actions. (Mais il y a quand m;me une variante, quand ÈÈ s'est trouv; assez sage pour cr;er íàíîðîáîòîâ, et quand m;me tellement stupide pour ne pas les pouvoir contr;ler). Et m;me sans ÈÈ de plus en plus puissants ordinateurs donneront la possibilit; tout plus exactement et tout calculer plus vite les d;tails futur micro-et íàíîðîáîòîâ. C'est pourquoi nous pouvons attendre que le progr;s dans la cr;ation íàíîðîáîòîâ s'acc;l;rera.
       Cependant l';tat des affaires ; la branche est tel que la cr;ation nanorobotov-replikatorov dans les ann;es ; venir est peu probable. C'est pourquoi on peut supposer que si íàíîðîáîòû et seront cr;;s sans l'aide de r;el ÈÈ, cela se passera ; l'intervalle 2020-2040. Si comparer les nanotechnologies aux biotechnologies et ÈÈ, nous verrons que ces technologies est beaucoup plus petites çðåëû, et restent en arri;re des ann;es 20-30 sur les confr;res. C'est pourquoi les chances de ce que de fortes nanotechnologies (c'est-;-dire íàíîðåïëèêàòîðû) seront cr;;es jusqu'; ÈÈ, et jusqu'; la bioimprimante sont pas trop grandes.
       Les conclusions : nous pouvons nous heurter aux risques de l'accident civilisable cr;; par les microrobots, encore avant que r;el íàíîðîáîòû soient faits. Plus en petits morceaux, meilleur march; vers l'autoreproduction les microrobots seront plus capables, áîëüøèé ils sont capables de porter le pr;judice. Et plus sujets peut poss;der.
Le chapitre 9. Les moyens technologiques de la provocation des accidents naturels naturels
       Pour plusieurs accidents naturels li;s ; l'accumulation de longue dur;e et le d;gagement soudain de l';nergie, il y a une possibilit; th;orique de provoquer par leurs influences d;finies techniques. De plus pour la descente de la mise en marche du proc;s il faut beaucoup moins de l';nergie, que puis dans lui se s;cr;te. M;me provoqueront les projets l'explosion du Soleil avec l'aide de l'attaque par les bombes ; hydrog;ne – voir Áîëîíêèí111. Mais ce n'est pas r;el, puisque le proc;s ne peut pas devenir autosoutenu, puisque dans les couches sup;rieures du Soleil la densit; de la substance est tr;s petite (quand m;me se trouve compter plus exactement, puisque les suppositions sans calculs ne garantissent pas la s;curit;). Plut;t, il serait plus facile de faire sauter le Jupiter, o; beaucoup de ne br;lant pas äåéòåðèÿ et l'h;lium-3 et il est plus facile de parvenir au noyau dense, mais aussi ce, probablement, est irr;el ; partir des connaissances d'aujourd'hui. Techniquement, pour plusieurs raisons, il est beaucoup plus facile de livrer la bombe ; hydrog;ne au Jupiter, qu'au soleil. C'est la question ;tait examin; en rapport avec la submersion sur le Jupiter de la sonde Ãàëèëåî contenant les batteries de plutonium, qui pourraient, selon les suppositions sonnant, se serrer, sauter et lancer la r;action en cha;ne de la combustion âîäîðîäà112. De cela ne s'est pas pass;, bien que bient;t ; la surface du Jupiter il y avait une tache ;trange, et ont sonn; les suppositions que l'explosion nucl;aire s'est pass;e quand m;me. Nous marquerons que nous ne pouvons pas utiliser ce fait en t;moignage de l'impossibilit; de lancer la r;action en cha;ne de la combustion dans le Jupiter ; cause de l'effet possible de la s;lection de surveillance – ; savoir, si l'explosion est arriv;e, notre discussion serait devenue impossible. Un autre moyen de la provocation des accidents naturels – la destruction des protections naturelles naturelles. Plus en d;tail j'examine cette question ; l'essai «Sur la possibilit; de l'initiation artificielle de l'explosion des plan;tes des g;ants et d'autres objets Solaire ñèñòåìû113». Naturellement, nous pouvons provoquer les accidents seulement par la Terre ou dans l'espace plus proche.
Le rejet des ast;ro;des
       Les futures technologies spatiales permettront de diriger les ast;ro;des de la Terre, ainsi que vers elle. Le rejet de l'ast;ro;de permet d'organiser l'attaque anonyme contre le pays choisi. Cependant dans ce cas il ne s'agit pas de l'accident global conduisant ; la disparition humaine. Sur les orbites proches de la Terre il n'y a pas d'ast;ro;des, qui pourraient amener ; la disparition garantie des gens (au moins, plus de 10 km dans le diam;tre, mais et consid;rablement plus – voir ensuite le chef sur la force de l'explosion des ast;ro;des) et qui on pourrait facilement rejeter. (Rejeter cependant petit, 10-300 ì dans le diam;tre, la pierre et frapper par celui-ci le pays choisi probablement.) Pour rejeter l'ast;ro;de de l'orbite incommode (par exemple, dans une principale zone des ast;ro;des), serait n;cessaire la quantit; immense d';nergie que ferait toute l'entreprise absurde et est facile îáíàðóæèìîé. D'ailleurs, il y a une chance que les superordinateurs permettront d'arranger le billard de haut pr;cision spatial, o; l'influence infinit;simale sur une petite "pierre", qui se trouve dans l'autre, et cetera, cr;e l'effet n;cessaire. Cependant cela demandera des dizaines des ann;es sur la r;alisation. Il est plus facile de rejeter la com;te (traduire de l'orbite circulaire sur âûñîêîýëëèïòè÷åñêóþ), trouvant dans le nuage Îîðòà (et il y a l;, des corps des montants convenants), passera cependant les dizaines ou, plut;t, centaine d'ann;es, elle atteindra l'orbite de la Terre. Ainsi, la disparition compl;te de l'humanit; ; la suite du rejet artificiel de l'ast;ro;de dans le XXI si;cle est extr;mement peu probable.
La cr;ation du supervolcan artificiel
       Plus profond;ment nous p;n;trons dans l';corce terrestre par les diff;rents moyens – nous la forons, nous fondons ou nous faisons sauter, – plus de nos possibilit;s de provoquer une de plus en plus forte ;ruption artificielle volcanique. Pour provoquer l';ruption du supervolcan de l';chelle ; Éåëëîóñòîóí, probablement, il suffit de percer 5 km de l';corce que fait l';paisseur du couvercle de sa chambre magmatique – mais les trous modernes est beaucoup plus profonds. De plus la nature çàãàçîâàííîé les magmas est telle qu'elle se fraiera un passage ; travers une petite fente, comme l'eau ; travers la digue, de plus en plus en la rongeant. C'est-;-dire l'influence, qui peut provoquer la super;ruption, peut ;tre minimale, pour ainsi dire, d'information. L'exemple : r;cemment en Indon;sie se sont trouv;s par hasard dans la couche aquif;re et ont cr;; le volcan de boue, qui a inond; 25 km sq. òåððèòîðèè114.
       Il faut se rappeler cependant qu'environ dans 3000 km sous nous, sous le manteau, il y a un r;servoir du liquide serr; et surchauff; avec la quantit; immense de gaz dilu; dans elle – le noyau liquide terrestre. Si donner libre cours m;me ; une petite partie de son ;nergie et les gaz sur la surface, c'est garanti supprimera toute la vie terrestre le plus effectivement autres moyens.
       Ensuite, on ne sait pas, autant le noyau lui-m;me est pr;t ; une telle ;chelle ;tre en ;ruption sur la surface. Grand ïëîùàäíûå les ;ruptions provoqu;es, probablement, par la mont;e ïëþìîâ des profondeurs du manteau arrivaient beaucoup de millions d'ann;es en arri;re sur plateau le Doyen en Inde et chez nous en Sib;rie (la r;gion de Norilsk – de l; et le nickel) et contactent avec consid;rable âûìèðàíèÿìè des organismes vivants. Le magma se l;ve par les canaux-pljumam, par exemple, sur Ãàâàéÿõ. Cependant cela non les canaux pour la substance du noyau; il croit que se l;vent en haut les morceaux chauds fermes (tr;s visqueux) de manteau pour le compte de la plus haute flottabilit;, qui deviennent liquides seulement pr;s de la surface pour le compte de la chute de pression. Et bien que le fer liquide dans le noyau trop lourd pour se lever sur la surface, lui puisse jeter la pression des gaz dilu;s dans lui, si le canal convenant de part en part s'est form; – comme ; l'ouverture du champagne.
       La civilisation terrestre tout sera plus profonde âãðûçàòüñÿ ; la terre en vue de la production des min;raux, l';nergie et pour les exp;riences. Finalement, le risque des ;ruptions catastrophiques grandira constamment. On proposait d;j; le projet ïðîïëàâëåíèÿ de l';corce terrestre avec l'aide de la goutte immense (centaine de mille tonnes) le fer fondu – la sonde Ñòèâåíñîíà115. Le co;t du projet est estim; ; 10 milliards de dollars, et il a l'air th;oriquement r;alis;. L'astronome yougoslave et l'investigateur des risques globaux le Milan ×èðîêâè÷ a ;crit l'article «la G;oing;nierie qui est all;e íàñìàðêó» 116, o; a soumis au projet ; la critique s;v;re, comme dangereux pour la civilisation terrestre, puisqu'il peut, ; l'avis de ×èðîêîâè÷à, amener au d;gagement de la quantit; immense de gaz de serre et provoquer l';l;vation de la temp;rature irr;versible globale, comme sur la V;nus.
       Le g;ologue russe L.J.Aranovich a propos; la variante principalement perfectionn;e de la sonde profonde fond;e sur l'immersion au manteau d'un petit r;acteur nucl;aire, le poids ; quelques tonnes, qui pourra ïðîïëàâëÿòü ; lui-m;me äîðîãó117. Il pourra atteindre la profondeur dans 1000 km environ en un mois. Les estimations de la s;curit; de ce projet th;orique n';taient pas pass;es.
       Âûñîêîòåìïåðàòóðíûå les robots-mineurs peuvent devenir aussi un tel outil dangereux. Les Japonais envisagent de percer le fond de l'oc;an jusqu'au manteau. On proposait d;j; le projet de la bombe contre les bunkers, qui, ;tant tomb;, âãðûçàåòñÿ ; la surface, comme l';cran autopropuls; de fon;age et s'avance en profondeur. Pourraient agir De la m;me mani;re et les fus;es-d;tonateurs des volcans. Une telle installation peut ;tre plus bon march; que la bombe nucl;aire, et on peut le livrer ; la place par l'image insignifiante.
       N'importe quelle arme, qui est utile pour la lutte avec les bunkers du gisement profond, peut ;tre appliqu;e et pour le r;veil des volcans. ; unes des variantes d'une telle arme (et trouvant sur l'armement maintenant aux ;tats-Unis) est l'attaque successive les charges nucl;aires cr;ant le crat;re de plus en plus profond. Il est possible qu'il y a de r;veiller un pas assez de supervolcan ou un simplement grand volcan pour les cons;quences globales, mais si les r;veiller ; la fois, la disparition devient probable. Par la Terre on sait maintenant 20 supervolcans et 500 volcans ordinaires.
       Il est possible qu'il y aura une n;cessit; pratique de r;veiller le volcan pour refroidir l'atmosph;re par ses rejets, si le probl;me de l';l;vation de la temp;rature globale est tr;s aigu. ; pr;sent la probabilit; du r;veil artificiel du supervolcan est extr;mement petite, puisqu'en dehors des volcans il y a une masse des objets attrayants aux actes de sabotage, m;me si l'arme assez dangereuse se serait trouv;e dans les mains des terroristes. (Cependant dans l'aper;u sur six moyens de l'application la plus dangereuse de la bombe ; hydrog;ne òåððîðèñòàìè118, notamment l'attaque contre le supervolcan se s;cr;te comme principal.) Mais en cas de la guerre mondiale l'explosion du supervolcan pourrait devenir la derni;re arme pour la partie perdant. Les possibilit;s technologiques pour l'explosion du volcan grandissent lentement avec le d;veloppement des technologies du sondage et l'arme nucl;aire. La production mol;culaire et les nanotechnologies pourraient donner la chance pour la cr;ation bon march; de puissantes voitures n;cessaires ; l'ouverture des volcans. Mais l'acquisition par les nanotechnologies donnera les voies plus simples vers ces buts, que l'on pourrait r;aliser avec l'aide du supervolcan.
La destruction intentionnelle de la couche d'ozone
       Il y a une supposition que l'on peut cr;er îçîííîå l'arme, qui am;nera ; la destruction tr;s effective catalytique de la couche d'ozone. N;anmoins, m;me si le flux de l'ultraviolet solaire sera tr;s fort et dangereux pour les gens, ils pourront s'en d;fendre avec l'aide des parapluies, les pellicules, les bunkers, les scaphandres etc. Cependant sur toute la biosph;re des parapluies ne suffira pas. La couche d'ozone peut ;tre d;truite et le gamma-rejaillissement.« L'affaiblissement triple de la protection d'ozone pour quelques ann;es, pr;dit par les comptes, est capable d'amener ; la destruction áîëüøåé les parties ïðèïîâåðõíîñòíîãî du plancton dans les oc;ans, ;tant la base de toute la cha;ne immense alimentaire des habitants de la mer »119. Il est particuli;rement dangereux, si l'affaiblissement de la couche d'ozone co;ncide avec l'affaiblissement du champ magn;tique et un fort ;clat au soleil. L';puisement de la couche d'ozone est du nombre des proc;s, que la civilisation peut lancer maintenant, mais« go;ter les fruits »il faut, probablement, dans les dizaines et centaines d'ann;es d;j; au stade postapocalyptique moins capable vers l'autod;fense.
Le chapitre 10. Les risques technologiques li;s ; principalement d;couvertes r;centes
Une mauvaise exp;rience physique
       La plus dangereuse est la variante, ; qui l'ouverture consid;rable s'accomplira tout ; fait soudain au cours de l'exp;rience tout ; fait ordinaire, comme d;j; il arrivait plus d'une fois dans l'histoire de la science, et se manifestera en forme des cons;quences impr;vues.
       S'exprimaient les craintes que les exp;riences selon la cr;ation des trous microscopiques noirs sur les acc;l;rateurs, la condensation des neutrons et d'autres exp;riences avec les corpuscules ;l;mentaires peuvent amener ou au collapsus de la substance terrestre ou vers l'explosion ;norme, qui exterminera instantan;ment la vie par la Terre. Le paradoxe principal ici dans ce que la s;curit; de n'importe quelles exp;riences s'installe par ce que nous connaissons que l'on r;ussira finalement, mais le but de l'exp;rience – pour apprendre quelque chose nouveau. Autrement dit, si nous n'apprenons rien nouveau, quel sens mettre les exp;riences physiques, mais si nous pouvons apprendre quelque chose nouveau, ce peut ;tre dangereux. Peut ;tre, le silence de l'univers est expliqu; ; ce que toutes les civilisations t;t ou tard r;alisent une certaine exp;rience selon «; l'extrait de l';nergie du vide», et finalement leurs plan;tes tombent en ruines. Le danger des exp;riences est directement li; ; la possibilit; de la pr;sence des lois fondamentales physiques inconnues ; nous. Il est difficile de d;cider cette question âåðîÿòíîñòíûì par l'image. Dans le XX si;cle il y avait d;j; quelques ouvertures des lois fondamentales, et certains ont amen; ; la cr;ation des nouveaux types d'arme dangereux – bien qu'; la fin de XIX si;cle le tableau du monde semble termin;. J'appellerai seulement les ouvertures de la radioactivit;, la m;canique des quanta, la th;orie de la relativit;, mais ces derniers temps – la mati;re sombre et l';nergie sombre.
       En outre il y a une s;rie de donn;es exp;rimentales et les th;ories non v;rifi;es, qui ont un diff;rent degr; de l'authenticit; – mais plusieurs d'eux supposent les effets physiques, qui peuvent ;tre dangereux. Par exemple, parfois scintillent les messages sur la transmutation des ;l;ments chimiques sans radioactivit; – mais est-ce que cela non le moyen de faire le plutonium pour la bombe atomique ? Ou, si une telle transmutation est possible, si cela ne sera pas amen; par elle ; la r;action en cha;ne de la transmutation selon toute la Terre ?
       Il croit que les exp;riences modernes sur les acc;l;rateurs ne passent pas sur plusieurs ordres jusqu'; ýíåðãèé, qui r;sultent des collisions naturelles des rayons cosmiques se passant dans l'atmosph;re de la Terre. Cependant dans le livre Äæîíà Ëåñëè on am;ne l'estimation que si l';nergie des acc;l;rateurs grandira ; la vitesse actuelle, les niveaux dangereux de l';nergie seront atteints vers 2100. Il montre que pendant tout le XX si;cle toutes les 10 ann;es l';nergie atteinte sur les acc;l;rateurs, augmentait ; 10 fois. Et bien que maintenant les acc;l;rateurs ordinaires conviennent ; la limite physique selon les montants, il y a un principalement autre moyen d'atteindre m;me ýíåðãèé sur les installations par le montant avec le bureau – il s'agit de la dispersion des particules dans l'onde explosive du laser d'impulsion. En m;me temps le programme de l'I.D.S. supposait la cr;ation des lasers d'impulsion de la force ;norme, çàïèòûâàâøèõñÿ des explosions nucl;aires.
       Les risques li;s aux exp;riences physiques, se sont rendus compte tout ; fait par la communaut; scientifique, et le centre europ;en nucl;aire TSERN a publi; r;cemment l'expos; avec l'argumentation de la s;curit; nouveau êîëëàéäåðà120, dans qui on rejette les risques li;s ; l'apparition sur le nouvel acc;l;rateur «Grand Àäðîííûé le Collisionneur», LHC (entrera en service en 2008) des trous microscopiques noirs, les monochamps magn;tiques et ñòðàéíäæëåòîâ. N;anmoins, il y a une s;rie de savants et les personnalit;s publiques, qui luttent activement avec LHC, en critiquant les mesures de s;curit; propos;es et leurs th;orique îñíîâàíèÿ121. Par exemple, l'analogie activement utilis;e avec les proc;s naturels (la collision des rayons cosmiques avec l'atmosph;re terrestre) non correspond exactement ; ce que se passera ; LHC, par exemple, parce que la vitesse des particules se formant ; la collision dans l'atmosph;re, d'apr;s la loi de la pr;servation de l'impulsion, reste proche de la vitesse de la lumi;re, mais l'impulsion ; la collision des touffes de rencontre ; LHC sera neutralis;e, et la vitesse peut ;tre nulle qu'aurait la signification d;cisive pour la conduite ult;rieure des trous microscopiques noirs, puisque dans le premier cas ils voleraient sur la Terre enti;rement pour les parts de la seconde, mais ; deuxi;me – se seraient attard;s dans sa substance sur áîëüøåå le temps, pourraient augmenter la masse et s'attarder encore plus.
       M;me si accepter ces fronti;res de la s;curit; (la probabilit; de l'accident P <2*10), qui proposent les partisans de la suite des exp;riences, et appliquer vers eux standard ; l'analyse des risques la proc;dure de l'estimation de la valeur, comment montre Àäðèàí Kent dans l'article «l'aper;u Critique des estimations des risques des accidents globaux» 122, r;sulteront inacceptable selon les standards des autres branches les r;sultats – ; savoir, ce risque sera ;quivalent les destructions de 120 ; 60 000 personnes.
       Äæ. Ëåñëè donne l'analyse d;taill;e des diverses exp;riences th;oriquement possibles dangereuses. ; leur nombre se rapporte :
       1) le Passage du vide ; nouveau m;tastable ñîñòîÿíèå123. Il y a une hypoth;se sur ce que le vide, ;tant le niveau nul ;nerg;tique de tous les champs physiques, n'est pas un tel niveau d;finitif possible. Exactement aussi le niveau de l'eau du lac de montagnes n'est pas le vrai niveau de la mer, bien que l'eau dans le lac puisse ;tre large et lisse. Et un assez fort rejaillissement des ondes dans un tel lac peut amener ; la destruction des barri;res entourant le lac qu'am;nera ; l'effusion de l'eau du lac sur le niveau de la mer. De la m;me mani;re, probablement, que suffit âûñîêîýíåðãåòè÷íûé l'exp;rience physique peut cr;er le domaine du vide avec les nouvelles propri;t;s, qui commencera sans restriction ; s';largir. (L'existence de l';nergie sombre, qui acc;l;re l'expansion de l'univers, confirme indirectement ce que notre vide – non v;ritable.) l'apparition de notre univers, proprement, ;tait le passage du vide d'un ;tat ; äðóãîå124.
       2) la Formation des objets comprenant d'hypoth;tiques êâàðêîâîé les mati;res, capable d'adjoindre ; lui-m;me les atomes de la substance ordinaire. Puisque dans sa formation jouent un important r;le soi-disant «les quarks ;tranges», capable de r;sulter la mati;re stable s'appelle de "la mati;re ;trange», mais ses particules – ñòðåéíäæëåòàìè (de àíãë. stranglets). On ;labore l'id;e de l'installation, qui est capable d'engendrer et accumuler les morceaux de cette mati;re, ainsi qu'utiliser la chute de la mati;re ordinaire sur elle pour la r;ception de l';nergie. Malheureusement, les auteurs de l'id;e de rien non on dit que sera, si le caillot de la mati;re ;trange quitte le pi;ge et commencera sans restriction ; absorber la substance de la Terre.
       3) les exp;riences Dangereuses g;ophysiques avec le sondage profond ou la p;n;tration ; travers l';corce, gros de la formation du supervolcan et le d;gazage des couches profondes de la Terre.
       4) la communaut; Scientifique examine en d;tail les risques de la formation des trous microscopiques noirs, qui doivent appara;tre ; la collision des particules sur les derniers mod;les des acc;l;rateurs ; plus proche áóäóùåì.125 la Formation du trou microscopique noir, m;me si elle sera stable (mais la plupart des savants trouvent, qu'elle se d;sagr;gera pour de petites parts de la seconde gr;ce ; l'irradiation Õîêèíãà, bien que soit et íåñîãëàñíûå126), ne doit pas amener ; l'enlisement imm;diat ; elle toute la substance de la Terre, puisque ses montants sont pr;s des montants de l'atome, mais autour d'elle sera microscopique àêêðåöèîííûé le disque, qui dosera l'entr;e de la substance. Mais un tel trou micro-noir tombera in;vitablement ; l';cart du centre de la Terre, le passera et commencera ; faire les mouvements vibratoires.
       5) l'Apparition du monochamp magn;tique sur LHC ; ÖÅÐÍ. Magn;tique ìîíîïîëü peut acc;l;rer la d;sagr;gation des protons, en amenant ; la mise en relief immense de l';nergie, cependant dans le rapport ÖÅÐÍ sur la s;curit; il est suppos; que m;me si un tel ìîíîïîëü appara;tra, il quittera vite la Terre.
       6) l'Initiation de la nouvelle Grande explosion aux exp;riences sur les acc;l;rateurs. (Au sens d;fini ce proc;s est analogue ; la d;sagr;gation du vide faux. Cl; pour sa mise en marche est l'acquisition de la superahaute densit; de l';nergie ; 10 ** 76 gramme sur cubique voir Cependant la quantit; elle-m;me de l';nergie n;cessaire ; l'initiation du proc;s, peut ;tre petit, probablement, moins d';nergie de l'explosion de la bombe ; hydrog;ne.) en d;tail ce risque examine Ëåñëè127. En raison de cela l'hypoth;se pr;sente un int;r;t qu'; l'apparition des diff;rents univers avec de diff;rentes propri;t;s la plus grande part des univers est faite par ceux qui sont capables d'engendrer les nouveaux univers. (Une initialement telle hypoth;se ;tait exprim;e en rapport avec la supposition qu'un tel proc;s se passe dans les trous noirs.) Cependant puisque notre univers encore et «est fin est orient;e» pour ;tre de la vie raisonnable utile pour l'existence, capable de d;velopper la technologie, on peut supposer que notamment les civilisations raisonnables contribuent en quelque sorte ; la r;p;tition des conditions conduisant ; une nouvelle grande explosion, probablement, au cours de mauvaises exp;riences physiques.
       La liste amen;e est incompl;te sans faute, puisqu'il d;crit seulement ce que nous connaissons, tandis que dans les exp;riences nous nous heurtons ; ce nous ne connaissons pas quoi. Ïîãîäîâàÿ la probabilit; de l'exp;rience dangereuse physique grandit avec le temps, puisque de plus en plus âûñîêîýíåðãåòè÷íûå les installations sont mises en service et on invente les nouveaux moyens de l'acquisition haut ýíåðãèé, ainsi que leurs applications vers les objets, ; qui ils ne sont pas appliqu;s d'habitude dans la nature. En outre grandit la vari;t; des exp;riences possibles physiques, qui peuvent amener ; l'accident global. Le d;veloppement des technologies de la production mol;culaire et les robots autoreproduits permettra de cr;er dans le futur les installations gigantesques dans l'espace, en utilisant le document des ast;ro;des, sur le prix seulement le premier robot - de la "semence", c'est-;-dire pratiquement gratuitement. Cela permettra de sortir sur beaucoup plus haut de l';nergie des exp;riences – et sur un nouveau niveau des risques.
       Une variante int;ressante du nouveau risque global est propos;e dans l'article «la Conduite de la d;sagr;gation du vide faux aux laps de temps tardifs : les cons;quences possibles pour la cosmologie et les ;tats m;tastables inflationnistes» 128, dans la presse russe racont; sous les titres accrocheurs comme : «les Astronomes d;truiront l'Univers» 129. Dans elle dit que la vitesse de la d;sagr;gation des syst;mes quantiques d;pend c'est pour cela que, ils sont observ;s ou non (le fait contr;l;), mais puis c'est g;n;ralis; sur le probl;me de l'observation de la stabilit; de l'Univers comme de l'entier en rapport avec le probl;me de la soi-disante ;nergie sombre.« Ayant mesur; la densit; de l';nergie sombre, nous l'avons rendu ; l';tat initial, au fond, ayant enlev; le d;compte du temps. Mais dans cet ;tat initial le vide se d;sagr;ge conform;ment ; la loi "rapide", et avant le passage critique vers la d;sagr;gation "lente" est tr;s ;loign; encore. Bref, nous avons priv;, probablement, l'Univers des chances de la survie, ayant fait plus probable sa d;sagr;gation rapide ». Bien que peu probablement ce risque soit r;el, l'id;e elle-m;me d'un tel risque illustre la possibilit; de ce qu'un nouveau risque global li; aux exp;riences physiques, peut venir de la partie la plus inattendue.
       Puisque toujours dans les exp;riences il y a une part du risque, il fallait les remettre jusqu'au moment de la cr;ation d;velopp; ÈÈ. Il faut faire la partie des exp;riences non par la Terre, mais est ;loign; dans l'espace.
Les nouveaux types d'arme, les nouvelles sources de l';nergie, les nouveaux milieux de la diffusion et les moyens äàëüíîäåéñòâèÿ
       Bien que les nouveaux principes eux-m;mes soient inconnus, on peut esquisser les lignes les plus dangereuses de n'importe quelle arme absolue.
       La mise en relief de la quantit; immense d';nergie
       La capacit; vers ñàìîðåïëèêàöèè
       La capacit; ; agir vite sur tout le territoire de la Terre
       Le bas prix et la facilit; de la production dans les conditions artisanales
       La possibilit; de l'acquisition de la sup;riorit; intellectuelle sur les gens
       Le moyen de diriger les gens
       N'importe quel effet physique, capable d'engendrer la technologie correspondant quand m;me ; un des crit;res mentionn;s ci-dessus, est le candidat potentiel ; l'arme absolue.
Le chapitre 11. Les risques cr;;s par les technologies spatiales
L'attaque contre la Terre avec l'aide de l'arme spatiale
       L'irradiation de la plan;te de l'orbite par les rayons gamma (quelque chose comme le gamma-rejaillissement artificiel), les neutrons ou d'autres irradiations dangereuses p;n;trant ; travers l'atmosph;re qu'am;nera ; la st;rilisation de la surface, avec l'aide des compagnons sp;ciaux ou les explosions des bombes est th;oriquement possible. Probablement îáðóøåíèå sur la plan;te de la pluie des robots-m;t;orites. ; titre de l'arme spatiale on peut appliquer la dispersion du navire spatial jusqu'; îêîëîñâåòîâîé les vitesses et sa direction sur la plan;te. N'importe quel succ;s dans la cr;ation des fus;es cosmiques ; grande vitesse et surtout des navires spatiaux cr;era l'arme la plus puissante contre la vie plan;taire, puisque n'importe quel navire spatial on peut disperser et diriger sur la plan;te. L'irradiation de la Terre probablement et ; l'explosion accidentelle de quelque installation exp;rimentale sur l'orbite, mais seulement un h;misph;re.
       Les moyens spatiaux de l'observation permettent de d;couvrir presque chaque personne et, en cons;quence, diriger sur lui n'importe quelle arme superexacte. Cela peuvent ;tre, par exemple, les lasers de la fondation spatiale ou les sources de l'irradiation de radiologie. "L'avantage" des derniers dans ce qu'ils peuvent remettre la dose mortelle imperceptiblement et avec beaucoup plus petites d;penses d';nergie.
       Nous pouvons ma;triser l'espace vite (c'est-;-dire pendant le XXI si;cle) avec l'aide des robots s'automultipliant ou íàíîðîáîòîâ. Mais de plus, ayant donn; eux l'ordre se multiplier dans l'espace cosmique et construire pour nous l; les constructions immenses avec l'utilisation du document des ast;ro;des et la Lune, nous pouvons perdre sur eux le contr;le. Cependant dans ce cas les dangers pour la Terre de l'espace viendront apr;s que puissant ðîáîòîòåõíè÷åñêèå les technologies seront cr;;es, et donc, apr;s que ces technologies commenceront ; nous menacer par la Terre.
       Nous examinions d;j; plus haut probl;me du rejet des ast;ro;des.
       Encore un moyen de l'attaque spatiale d;ploiera dans l'espace le miroir gigantesque, qui dirigera sur la Terre les rayons solaires (ou la couvrir des rayons du soleil). Mais le faire sans l'aide des robots autoreproduits difficilement, mais s'en d;fendra assez facilement, de sorte que c'est la variante tr;s peu probable.
       Donc, nous pouvons conclure que les attaques spatiales sont peu probables, parce qu'ils sont bloqu;s par les proc;s plus rapides du d;veloppement des moyens de la destruction par la Terre. Mais perdre de vue ce risque ne se trouve pas.
Les risques Ksenobiologichesky
       Les risques ;tant que sur la Terre on peut apporter la vie de l'espace, ;taient accept;s par la direction ÍÀÑÀ s;rieusement, ; partir du moment du vol sur la Lune. Bien que l'on pouvait affirmer que la surface de la Lune est st;rile avec une tr;s haute probabilit;, les astronautes revenus de la Lune, ;taient mis en quarantaine. Cela pr;sente l'approche comp;tente des risques avec la probabilit; tr;s basse, qui, cependant, peuvent apporter sans restriction un grand pr;judice.
       Les suppositions selon ce que les virus de la grippe peuvent venir ; nous des queues des com;tes est, ;videmment, faux, puisque les virus sont óçêîñïåöèàëèçèðîâàííûå les parasites, qui ne peuvent pas exister sans ma;tres. Le risque r;el pourrait pr;senter le microorganisme haut omnivore avec la structure chimique consid;rablement se distinguant de terrestre, devant qui chez la biosph;re terrestre il n'y avait pas protection. Dans la mesure de la mise en valeur de l'espace cosmique et l'organisation des exp;ditions rendues sur de divers corps spatiaux, y compris pendant l'exp;dition planifi;e sur le Mars, augmente le risque de rencontrer un tel nouveau venu mal venu et par m;prise d;poser sur la Terre.
       D'autre part, un tel risque sur les ordres est plus petit que le risque de la cr;ation par la Terre du microorganisme analogue dangereux ou la vie synth;tique (àíèìàòà).
       A.V.Arhipov ;tudie la possibilit; soi-disant de "l'arch;ologie spatiale» sur Ëóíå130. Il suppose que la Lune pourrait ;tre la place id;ale pour les recherches des traces des anciennes visites de la Terre par les navires spatiaux des extraterrestres et propose de chercher sur la Lune les structures r;guli;res, qui pourraient ;tre leurs traces. De telles traces selon les statistiques officielles n';tait pas d;couvert. N;anmoins, si nous rencontrons jamais les traces de l'autre civilisation, ils peuvent contenir les technologies dangereuses, les installations ou les programmes informatiques. Plus en d;tail cette question est examin;e dans le chef «les risques li;s avec SETI», et tout qu'est dit l; sur SETI, peut ;tre exactement et en ce qui concerne les succ;s possibles de l'arch;ologie spatiale. (Âåðíîð Âèíäæ d;crit dans le roman «la Flamme sur l'ab;me» notamment un tel sc;nario : l'arch;ologie spatiale a amen; ; la d;tection et la mise en marche du programme dangereux informatique, d;velopp; ; une superforte intelligence artificielle et le risque cr;ant de l'accident global.)
       Par l'article s;par; on peut d;signer le risque de la r;surrection des bact;ries dangereuses d'une ancienne glace congel;e par la Terre.
La collision avec les forces raisonnables nous surpassant dans l'Univers
       Et les sc;narios religieux sur la deuxi;me venue, et les id;es des extraterrestres, et les id;es de ce que nous vivons au monde, model; par les essentiels raisonnables – ils ont en vue qu'il y a des forces raisonnables nous surpassant, qui peuvent soudain et est irr;versible intervenir dans notre vie. De nouveau difficilement estimer la probabilit; des ;v;nements de telle sorte ; cause de leur nature non statistique. Et si nous pouvons diminuer la probabilit; de n'importe quelles exp;riences, ayant interdit simplement quelques exp;riences, dans la situation donn;e de nous presque de rien ne d;pend pas. Plus largement humanit; se r;pandra dans l'espace et d;clarer, il est plus grand la chance que t;t ou tard il rencontrera quelqu'un dans lui. Autrement dit, la probabilit; de la rencontre avec d'autres forces raisonnables grandit. Mais par exp;rience de l'histoire terrestre, par exemple, les ouvertures de l'Am;rique, nous connaissons que subir la rencontre avec la culture surpassant il est presque impossible.
       La probabilit; de la collision avec des autres essentiels raisonnables d;pend en premier lieu de notre estimation de la densit; des civilisations raisonnables dans l'Univers. Maintenant elle est accept;e extr;mement bas. La vie raisonnable est suppos;e aux ph;nom;nes uniques dans l'univers observ;. Mais les preuves directes ; cela est absentes.
       Les chances de ce que les extraterrestres, m;me s'ils sont, arriveront pour la premi;re fois chez nous sur les navires spatiaux notamment maintenant (et non plus t;t ou plus tard sur les dizaines des millions d'ann;es), disparaissant sont petits des consid;rations statistiques (moins d'un vers un million). Donc, restent deux variantes :
       1) la collision Soudaine avec une certaine force raisonnable dans la mesure de l'expansion de l'espace. L'expansion de l'espace sous-entend ici non seulement les vols spatiaux, mais aussi l';coute de plus en plus lointaine de l'espace par les radiot;lescopes. Voir ensuite le chef les risques SETI.
       2) nous nous trouvons depuis longtemps sous le contr;le ou m;me sont cr;;s par une certaine force raisonnable.
       Une des variantes d'un tel sc;nario est une collision non avec les forces elles-m;mes raisonnables, mais avec les cons;quences de leur activit;. Par exemple, si une certaine civilisation extraterrestre a produit l'exp;rience dangereuse, qui l'a perdu, ses cons;quences peuvent se r;pandre selon l'Univers. Ce peut ;tre ou la d;sagr;gation du vide m;tastable, comme ;crit Äæ. Ëåñëè, ou la diffusion primitif d;vorant tout íàíîðîáîòîâ. On peut amener ; titre d'exemple ce que le Mars et les compagnons du Jupiter ont couru le risque d;j; les contaminations par les microorganismes terrestres des stations interplan;taires – bien que la raison la plus humaine sur eux soit absente, et ne sera pas encore long. Autrement dit, les effets secondaires dangereux de la vie raisonnable dans l'espace peuvent se r;pandre beaucoup plus vite, que la raison elle-m;me.
       Bien que nous n'ayons pas de raisons de trouver les extraterrestres possibles hostile, le principe de la pr;caution nous force ; admettre cela. La plus mauvaise expression de l'hostilit; serait l'aspiration de tels extraterrestres ; st;riliser l'espace entourant, par exemple pour qu'au futur ne pas avoir les concurrents. Il y a une supposition qu'une telle civilisation hostile pourrait disperser selon toutes les galaxies certaines stations de surveillance appel;es dans un roman de fiction «áåðñåðêåðàìè», qui en cas de la d;tection des radiosignaux de la vie raisonnable se dirigent vers celle-ci et l'attaquent. Cette supposition est extr;mement peu probable, puisque, s'il s'agit d'en effet civilisation "avanc;e", elle pourrait disperser telles stations pr;s de chacune ñîëíöåïîäîáíîé les ;toiles, et nous nous serions soumis il y a longtemps ; son attaque (mais on ne peut pas exclure ici les actions de l'effet de la s;lection de surveillance, ; la force de qui nous pouvions vivre jusqu'au XXI si;cle seulement pr;s de cette ;toile, ; c;t; de qui il n'y a pas de station contr;lant, est petite quoi qu'il y avait cette probabilit;.)
       Le d;part des signaux ; l'espace – METI, puisque cela comme comme peut donner notre situation aux autres civilisations est consid;r; dangereux. Cependant ces efforts, probablement, sont bloqu;s ; ce que la radioirradiation de la Terre et sans celui-l; est tout ; fait consid;rable, ainsi que ce que ces signaux sont partis sur une petite distance (moins de 100 ans lumineux – c'est-;-dire la sph;re ins;rant seulement quelques de mille des ;toiles), mais sur une telle distance est peu probablement les civilisations, qui peuvent jusqu'; nous vite, ; la vitesse de la lumi;re voler, mais jamais cela ne faisaient pas. Aux ;tats-Unis la loi interdisant l'envoi des messages ; l'espace agit. C'est pourquoi toutes les exp;riences semblables sont pass;es sur le radiot;lescope ; Evpatoria. Il y a de plus des calculs montrant que la probabilit; de ce que notre message accidentel chez quelqu'un se trouvera – extr;mement ìàëà131. Le critique rigide METI est Äýâèä Áðèí132, qui croit que óçêîñôîêóñèðîâàííûå les rayons dirig;s exactement sur l';toile choisie, peuvent ;tre beaucoup plus consid;rables, que les irradiations de fond des t;l;stations terrestres et le mouvement accidentel selon le ciel des faisceaux lumineux des radars militaires, et propose d'attendre avec METI, nous ne deviendrons pas la civilisation plus m;re. L'envoi des signaux METI – l'action irr;versible, et si dans 50 ans nous changeons d'avis, nous ne pourrons pas rattraper et arr;ter les signaux envoy;s plus t;t. La Russie devant la plan;te de tout ; l'organisation METI, bien que du fait pour toute l'histoire on organisait seulement quelques transmissions. Cela l;ve un aspect int;ressant m;thodologique du probl;me : malgr; le fait que la plupart des savants contre l'envoi des signaux ; l'espace, soit en tout cas les gens, qui se trouvent dans le droit de d;cider pour toute l'humanit; qu'en fait il lui est bon.
       Les partisans METI affirment que de fortes civilisations, s'ils sont, et nous connaissent ainsi, puisque poss;dent d'incroyablement puissants moyens de l'observation, mais nos messages sont adress;s seulement ; ces civilisations, qui se trouvent au niveau de nous. Dans ce raisonnement il y a une piq;re logique, puisque les civilisations d'un niveau avec nous t;t ou tard deviennent, si c'est possible en g;n;ral, de fortes civilisations spatiales, et si cela se passe avec une faible civilisation qui a re;u seulement notre signal par la premi;re place, o; ils voleront, il y aura un Syst;me solaire. Äýâèä Áðèí croit que si nous trouvons d'autres civilisations altruiste, le fait du silence de l'espace nous doit souffler qu'il nous faut suivre l'exemple, et non hurler sur lui-m;me sur tout le bois sombre – peut ;tre, ils connaissent quelque chose que nous ne connaissons pas.
       Cependant METI retrouve le sens comme l'appel sur l'aide ou la tentative d'organiser une sorte de «l'immortalit; en chiffre», si se trouve que l'accident global est in;vitable. Dans ce cas l'exp;dition de l'histoire de l'humanit;, sa culture et le code de l'ADN sous la forme en chiffre donne la chance illusoire de ce que quelqu'un jour attrapera ce signal et restaurera les gens. La variante et physique «ïàíñïåðìèè» avec la diffusion dans l'espace de la multitude de grains avec les mod;les de l'ADN de la personne et certains messages est possible – juste comme naufrag; jettent ; la mer la bouteille avec la note.
       Si nous vivons dans le monde model; (sera plus d;taill; cette question ;tre examin; ensuite), les chances de ce que "coupera" cette simulation, grandissent ; mesure qu'elle devient de plus en plus ðåñóðñî¸ìêîé. Mais elle deviendra plus ðåñóðñî¸ìêîé, dans la mesure de la croissance de la population de la Terre, mais particuli;rement, quand les gens commenceront ; cr;er par les ordinateurs avec les simulations. Cela au sens d;fini est illustr; par le principe math;matique : la multitude ne peut pas se contenir m;me comme la sous-multitude.
       Aussi si la Terre est observ;e il y a longtemps par certaines forces raisonnables (le sc;nario de la r;serve naturelle spatiale), ils peuvent d;cider d'intervenir dans la marche de l'histoire humaine, quand elle atteindra on n'a personne inacceptable ; eux, mais le seuil inconnu ; nous (nous dirons, la cr;ation ÈÈ). Par exemple, les gens se soucient des ;l;phants dans les r;serves naturelles, mais si leur nombre exc;de critique, les troupeaux entiers des ;l;phants certaines r;serves naturelles africaines repoussent ; coups de feu des h;licopt;res.
Le chapitre 12. Les risques li;s au programme SETI
       
       En 1959 dans la revue Nature est sorti le premier article selon les probl;mes de la recherche de la raison extra-terrestre ; Âñåëåííîé133. C de ces ;poques se d;veloppent deux directions selon la recherche de la raison extra-terrestre dans l'Univers, est SETI, qui se r;alise pour l'essentiel au moyen de l';coute du ciel avec l'aide des radiot;lescopes (mais aussi il y a des recherches des signaux dans la gamme optique et les variantes plus exotiques) et en forme de METI (Messaging to Extraterrestrial Intelligence) – c'est-;-dire les exp;ditions de nos signaux pour les ;toiles avec l'aide des radioantennes d';mission. METI ;tait examin;e d;s le d;but comme l'activit;, pouvant ;tre dangereux, puisqu'il y a un risque hypoth;tique que nos signaux attireront sur nous l'attention des civilisations extra-terrestres, qui sont orient;s chez nous hostilement. Au contre-poids ; cela l'observation passive de l'Univers entourant est per;ue ; la masse principale des investigateurs et le grand public comme l'activit; enti;rement s;re.
       Il y a cependant un point de vue alternatif, selon qui SETI peut ;tre aussi l'activit; dangereuse, et comme, nous t;cherons de montrer ensuite, consid;rablement plus dangereux, que l'exp;dition des signaux.
       Bien que les recherches des signaux de la raison extra-terrestre se r;alisent d;j; plus de 40 ans, aucuns signaux n';tait pas trouv;, et en raison de cela s'est affermie l'opinion que nous sommes solitaires dans l'Univers. Cependant en r;alit; l'intensit; des recherches a augment; consid;rablement, ici il faut en premier lieu marquer le projet ATA - Allen Telescope Array, qui est cr;; sur priv; les moyens d'un des fondateurs Microsoft du Plancher Àëëåíà134. Si dans le premier projet SETI dans les ann;es 1960 se r;alisait l';coute seulement deux ;toiles plus proches, ; 1970 – centaines d';toiles, mais vers 1990 ce nombre a augment; jusqu'; mille, le projet ATA suppose l';coute du million d';toiles dans le rayon de mille ann;es lumineuses 24 heures par jour. En outre on conduira le scanning des domaines lointains de la Galaxie ; propos de la d;tection des signes de l'activit; des supercivilisations. Conduiront simultan;ment l'observation de 350 antennes de 6 m;tres, et de puissants ordinateurs traiteront les donn;es entrant. Ainsi, la probabilit; d;couvrir les civilisations extra-terrestres, s'ils sont, grandit constamment. La question sur celle quel en g;n;ral la probabilit; de ce que les civilisations extra-terrestres existent dans l'espace observ;, nous laisserons en dehors de cette discussion. L'opinion de l'auteur est qu'une telle probabilit; est, et il serait raisonnable (du point de vue du principe de la pr;caution dans l'estimation des risques) l'estimer pas moins, qu'; 10 %. (Bien qu'une s;rie èññëåäîâàòåëåé135 trouve que nous sommes uniques dans l'Univers observ;, les preuves directes ; cela pas encore.)
       En Russie d;j; le s;minaire selon SETI beaucoup d'ann;es agit ; ÃÀÈØ, on accomplit les travaux de l'accueil et les exp;ditions des messages. Une grande r;sonance ;tait produite par le livre d'A.D.Panova «SETI et les probl;mes de l';volution universelle», 2007136. Dans elle se montre que l';volution humaine s'acc;l;re sans arr;t, et on peut indiquer le point hypoth;tique ñèíãóëÿðíîñòè, quand la vitesse de cette croissance deviendra infinie. Ce point se trouve dans la premi;re moiti; du XXI si;cle. Il est clair que la croissance infinie ne peut pas ;tre atteinte, et le Seigneur suppose que le passage ; un qualitativement nouveau niveau se passera dans la connexion au champ galactique culturel au moyen des programmes SETI. De plus le Seigneur refuse d'examiner consciemment les risques, qui menacent ; l'humanit; dans le futur.
       Pour la premi;re fois l'id;e et le sch;ma de l'attaque extraterrestre dans les SETI-signaux ;tait d;crite par l'astrophysicien F.Hojlom dans le roman «Àíäðîìåäà» 137, 1961. (Est sorti Au d;but le feuilleton BBC “A for Andromeda”, qui, malheureusement, ne s'est pas gard;, ; l'exception d'une s;rie, mais puis ; sa base on ;crivait le roman, dans qui l'id;e principale appartient Õîéëó, mais la ligne de sujet – Äæîíó Ýëèîòó. La traduction russe est sortie en 1966) Selon le sujet, les astronomes acceptent le signal extraterrestre, qui contient la description on n'a personne de l'ordinateur et le programme pour lui. Les gens se d;cident de cr;er cet ordinateur, puisque comptent sur les applications militaires et le succ;s dans la guerre froide. Vraiment, l'ordinateur et son programme manifestant les signes de la raison, aide ; projeter les fus;es plus effectives. Outre cela, cet ordinateur engendre la description du code g;n;tique les essentiels n'a personne. En vertu de ce code ;l;vent l'essentiel raisonnable – la jeune fille Andromedu, qui, en travaillant avec l'ordinateur, aide ; cr;er les technologies avanc;es pour les militaires. D'abord les gens ne lui croient pas, mais vont ensuite sur toutes les larges concessions, en voyant, quelles id;es utiles elle avance. Cependant de principaux h;ros du roman comprennent que les buts d;finitifs de l'ordinateur sont hostiles ; la civilisation humaine, puisque son but original est l';tablissement du pouvoir sur le monde, et le suppriment, mais la jeune fille p;rit.
       Ãàíñ Ìîðàâåê dans le livre «les Enfants de l'esprit», 1988138 propose l'aspect semblable de la vuln;rabilit; : le chargement de l'espace du programme informatique, qui poss;dera l'intelligence artificielle, tentera la civilisation-ma;tre par les nouvelles possibilit;s, se multipliera dans des millions de copies et supprimera le ma;tre, mais puis utilise sa plan;te pour la diffusion de la multitude de copies.
       Du point de vue scientifique pour la premi;re fois ce probl;me a examin; R.Kerrigen, si qui a ;crit l'article «il faut d;sinfecter les signaux SETI» 139, qui j'ai traduit dans la langue russe. Au d;but des ;tudes du probl;me Êýððèãåí a exprim; les craintes que les signaux non filtr;s de l'espace sont charg;s sur des millions par rien des voitures non prot;g;es du programme SETI-Home. (L'Essentiel du programme SETI-Home est que le loisir des ordinateurs restant debout est utilis; dans le monde entier pour l'analyse des signaux re;us par les radiot;lescopes, et la recherche ; eux des r;gularit;s, qui pourraient ;tre les signes des signaux artificiels. Les paquets pour le traitement sont envoy;s en r;gime automatique selon Internet.) Cependant il a rencontr; la critique rigide du c;t; des programmeurs, qui ont indiqu; que, premi;rement, le domaine des donn;es et le domaine des programmes sont divis;, mais deuxi;mement, les codes informatiques, sur qui on ;crit les programmes, sont tellement uniques que les deviner il est impossible, mais, donc, le chargement accidentel et l'ex;cution du code dangereux de l'espace est impossible.
       Dans l'article Êýððèãåí se concentre sur la facilit; de la transmission le gigaoctet des donn;es sur les distances interastrales m;me au niveau moderne de la technique (on am;ne les calculs correspondants), ainsi qu'a indiqu; que le signal interastral peut contenir une certaine amorce, qui incitera les gens ; recueillir l'installation dangereuse selon les plans. De plus Êýððèãåí n'a pas refus; l'hypoth;se sur ce que dans certaines circonstances le virus extraterrestre peut contaminer les ordinateurs terrestres directement, et sans aide humaine. (Par exemple, si les donn;es entrant sont soumises ; l'analyse automatique ; propos de la recherche ; eux des algorithmes et les programmes informatiques.)
       Par la Terre ;tait cr;;e CosmicOS140 – le moyen de l'inscription des messages autosuffisants, avec l'utilisation seulement 4 symboles, qui pourraient ;tre interpr;t;s par l'image univoque comme le programme informatique et comprendraient tout n;cessaire ; l'ex;cution. Le but de la cr;ation d'une telle langue – l'exp;dition des messages aux civilisations extraterrestres ou les descendants ;loign;s. Et une fois est l'id;e d'exp;dier ainsi les messages, d'ici un pas avant la recherche des messages cod;s par le m;me moyen.
       En 2006 on ;crivait l'article d'E.Judkovski «ÈÈ comme le facteur positif et n;gatif du risque global» 141, o; il a montr; qu'est tr;s probable que l'intelligence vite en voie de d;veloppement universelle artificielle est possible qu'une telle intelligence serait extr;mement dangereuse au cas o; il serait incorrectement programm; et, enfin que la possibilit; de l'apparition de tel ÈÈ et les risques, avec lui li;, est sous-estim;e beaucoup. En outre Þäêîâñêè a introduit la notion Seed AI – le germe ÈÈ – c'est-;-dire le programme minimal capable vers l'autod;veloppement non limit; avec la pr;servation du but principal invariable. De plus le montant Seed AI peut ;tre de tout sur tout l'ordre de centaines kilo-octet. (Par exemple, le repr;sentant typique Seed AI est le b;b; de la personne, de plus la partie ãåíîêîäà, r;pondant pour l'enc;phale, fait 3 % de tout ãåíîêîäà la personne ayant le volume ; 500 m;ga-octet, c'est-;-dire 15 m;ga-octet, mais si prendre en consid;ration la part de l'ADN ; ordures, et il y a moins de.)
       Dans le roman de fiction de V.Vindzha «la Flamme sur l'ab;me» 142 on bien montre l'attaque de l'intelligence hostile artificielle contre la d;j; communaut; form;e galactique selon les voies de communication d'information. Aussi l'attaque d'information semblable ; la SETI-attaque des extraterrestres sert du sujet du r;cit «la canne Blanche du calibre 7.62».
       
       Le sc;nario de l'attaque possible
       Dans ce paragraphe nous examinerons le m;canisme de l'attaque possible par les canaux SETI, sans examiner la question sur les buts d'une telle attaque. Dans le paragraphe suivant nous examinerons la question, autant qu'une autre civilisation veuille est r;el et aurait commenc; ; envoyer un tel message et quelles chances de lui de tomber.
       Nous marquerons au d;but que pour prouver la vuln;rabilit;, il suffit de trouver quand m;me un trou ; la s;curit;. D'autre part pour prouver la s;curit;, il faut ;liminer les trous tous possibles. La complexit; de ces t;ches se distingue sur beaucoup d'ordres qu'est bien connu aux sp;cialistes en la s;curit; informatique. Notamment cette diff;rence a amen; ; ce que presque tous les syst;mes informatiques ;taient forc;s (d'allemand øèôðîâàëüíîé les voitures Enigmy du baladeur Ipod). Je t;cherai de d;montrer maintenant un possible, et m;me, ; mon avis, la vuln;rabilit; probable du programme SETI.
       Premi;rement, je veux mettre en garde le lecteur de l'id;e que s'il trouvera les erreurs dans mes raisonnements, il prouvera automatiquement la s;curit; du programme SETI, puisque les voies alternatives de l'attaque sont possibles. Deuxi;mement, (conform;ment ; la logique Þäêîâñêè sur ce qu'est impossible de pr;dire la conduite du syst;me plus intellectuel, par contre probablement pr;dire le r;sultat d'une telle conduite – par exemple, au jeu des ;checs contre le grand ma;tre il est impossible de pr;dire, comment il contre moi jouera, mais il est possible de pr;dire le r;sultat du jeu – les obsc;nit;s) je veux faire aussi l'attention du lecteur que je suis la personne avec IQ du c;t; de 120 et que j'ai d;pens; pour la d;tection de cette vuln;rabilit; pas plus d'ann;e des r;flexions. La supercivilisation avec conventionnel IQ ; 1000000 et le temps des r;flexions ; des millions d'ann;es peut beaucoup perfectionner cet algorithme ou trouver beaucoup plus simple et effectif. Enfin, l'algorithme propos; par moi non le seul, et ensuite nous examinerons de bri;vement autres variantes.
       Dans nos raisonnements nous nous appuierons sur le principe Êîïåðíèêà, c'est-;-dire trouver que nous sommes les observateurs ordinaires dans la situation ordinaire. C'est pourquoi nous trouverons la Terre comme la plan;te ordinaire, en voie de d;veloppement par l'image ordinaire.
       L'algorithme de l'attaque :
       1. La Civilisation-exp;diteur du signal cr;e un certain phare dans l'espace, qui attire par le message ;videmment artificiel. Par exemple, ce peut ;tre l';toile, est entour;e de la sph;re Äàéñîíà (c'est-;-dire la sph;re mat;rielle saisissant enti;rement la lumi;re de l';toile), dans qui il y a des orifices ou les miroirs ouvrant alternativement et se fermant. En vertu de cela toute l';toile scintillera avec la p;riode ; quelques minutes – il est impossible plus vite, puisque de diff;rents orifices la lumi;re va une diff;rente distance. N;anmoins, un tel phare peut ;tre visible sur la distance des millions d'ann;es lumineuses. D'autres phares sont possibles, il est important que le phare donnera des signaux notamment sur de grandes distances. (Par exemple, si m;ler m;me une petite quantit; de substance atypique ; l'atmosph;re de l';toile, ses lignes spectrales seront visibles sur les distances immenses).
       2. ; c;t; du phare il y a un poste d';mission avec un beaucoup plus faible signal, mais est beaucoup plus grand èíôîðìàöèîííî par le satur;. Le phare attire l'attention sur cette source. Cette source trahit une certaine information binaire (c'est-;-dire la succession 0 et 1). ; propos de l'objection sur ce que cette information contiendra les bruits, je marquerai que la plus ;vidente (clair pour la partie du destinataire) le moyen øóìîïîäàâëåíèÿ est la r;p;tition du signal.
       3. Par le moyen le plus simple de remettre l'information signifiante avec l'aide du signal binaire est la transmission avec son aide des repr;sentations. Premi;rement, parce qu'au cours de l';volution terrestre de l'oeil apparaissaient ind;pendamment plusieurs fois, et donc, la repr;sentation du monde en trois dimensions avec l'aide des repr;sentations en deux dimensions est g;n;rale óíèâåðñàëèåé, qui est claire sans faute pour tous les essentiels, capable de construire l'appareil de radio – et accepter ce signal.
       4. Deuxi;mement, il n'est pas difficile de coder les repr;sentations en deux dimensions dans le signal binaire. Il faut utiliser pour cela le m;me syst;me, qui ;tait utilis; dans les premiers t;l;;metteurs – ; savoir, le syst;me ; la ligne et ïîêàäðîâîé les balayages. ; la fin de chacune les d;lais de la repr;sentation se place le signal mis en relief se r;p;tant par les quantit;s ;gales des bits. Enfin, ; la fin de chaque cadre s;par; se place un autre signal signifiant la fin du cadre, et r;p;tant apr;s chaque cadre. (Les effectifs peuvent former, mais peuvent et ne pas former le film continu.) cela peut avoir l'air voici ainsi (et contenir le dessin du triangle de 1) :
       0000000100000011111111111111111
       0000001110000011111111111111111
       0000011111000011111111111111111
       Ici le signal final du balayage sur ligne est la succession de 16 unit;s. Ïîêàäðîâûé le signal final peut contenir, par exemple, 625 unit;s.
       5. ;videmment, la civilisation-exp;diteur est extr;mement int;ress;e par la compr;hensibilit; des signaux. D'autre part, les gens-destinataires sont extr;mement int;ress;s d;chiffrer le signal. C'est pourquoi il n'y a aucun doute que les images seront d;couvertes.
       6. Avec l'aide des images et les films on peut remettre beaucoup d'information, on peut m;me apprendra ; la langue, montrer le monde. Il est ;vident que l'on peut beaucoup discuter de, autant tels films seront clairs. Ici nous nous concentrerons sur ce que si une certaine civilisation envoie les radiosignaux, mais autre les accepte, dans un ils ont exactement une connaissance totale. ; savoir, ils connaissent la radiotechnique – c'est-;-dire connaissent les transistors, les condensateurs, les r;sistances. Ces pi;ces pour poste de radio sont assez caract;ristiques pour que l'on pouvait les apprendre sur les photos. (Par exemple, dans la coupe ou au nombre du sch;ma).
       7. En envoyant la photo avec la repr;sentation ; droite les pi;ces pour poste de radio, mais ; gauche – leurs d;signations conventionnelles, on peut facilement remettre le jeu de caract;res, d;signant les sch;mas ;lectriques. (Environ on pourrait remettre aussi et les ;l;ments logiques des ordinateurs.)
       8. Puis avec l'aide de ces d;signations la civilisation-exp;diteur remet le plan de l'ordinateur le plus simple. L'ordinateur le plus simple du point de vue de mat;riel est une voiture du Poste. Chez elle seulement 6 ;quipes et une bande des donn;es. Son sch;ma complet ;lectrique contiendra seulement quelques dizaines des transistors ou les ;l;ments logiques. C'est-;-dire renvoyer le plan de la voiture du Poste facilement. D'ailleurs, ce peut ;tre et le plan de l'ordinateur plus complexe, par exemple, le microprocesseur 8080 contient environ 5000 transistors. (Est importante Ici la balance – plus difficilement voiture, plus facilement pour elle les programmes, mais plus difficilement renvoyer correctement son plan. En outre les ordinateurs tr;s simples travaillent tr;s lentement.) Ici la variante ; deux ;tages est possible – d'abord on remet la description de la voiture tr;s simple et le programme pour elle, mais ce programme trace le plan de la voiture plus complexe ou adapte le code de programme pour les voitures existant. (Nous marquerons que dans le roman Õîéëà ce moment assiste aussi – l'ordinateur cr;e le bioordinateur en forme de la personne – la jeune fille Andromedy, qui travaille encore plus effectivement.)
       9. Il est important de marquer de plus que tous les ordinateurs au niveau des algorithmes sont T'juring-compatibles. C'est-;-dire les ordinateurs extraterrestres au niveau algorithmique sont compatibles avec tous les terrestres. La T'juring-compatibilit; est math;matique óíèâåðñàëèÿ, comme le th;or;me de Pythagore. M;me la voiture m;canique Bebbidzha cr;;e au d;but de 19 si;cles, ;tait T'juring-compatible.
       10. Puis la civilisation-exp;diteur commence ; remettre les programmes pour cet ordinateur. Malgr; le fait que cet ordinateur soit extr;mement simple, il peut accomplir le programme de n'importe quelle complexit;, bien que son inscription soit tr;s longue, par comparaison avec l'inscription du programme pour l'ordinateur plus complexe. Peu probablement les gens feront l'ordinateur envoy; par lui physiquement. Ils peuvent facilement d'il ýìóëèðîâàòü ; l'int;rieur de n'importe quel ordinateur moderne, ainsi qu'il aura le temps d'accomplir les milliards d'op;rations par seconde, et c'est pour cela que m;me les programmes tr;s complexes seront accomplis sur lui assez vite. (D'ailleurs, ; la p;riode initiale le temps n'est pas critique, et peut faire les mois du travail continu.)
       11. Que peut inciter les gens cr;er cet ordinateur renvoy;, et accomplir sur lui les programmes ? Probablement, en dehors de proprement sch;ma de l'ordinateur et programmes, dans le message il y avoir ;tre une certaine "amorce", qui inciterait les gens ; cr;er un tel ordinateur, lancer sur lui extraterrestre les programmes et accorder ; cet ordinateur certaines donn;es sur le monde ext;rieur terrestre. Les amorces arrivent de deux couches – les tentations et les menaces :
       Par exemple, probablement suivant «la proposition honn;te» – nous l'appellerons «l'aide humanitaire». Les exp;diteurs de l'ETI-signal pr;viennent "honn;tement" que le programme envoy; est l'intelligence artificielle, mais mentent relativement ses buts. C'est-;-dire ils affirment que c'est le "cadeau" (cheval de Troie), qui aidera ; d;cider ; nous les probl;mes m;dicaux et ;nerg;tiques.
       «La tentation du pouvoir absolu» – dans ce sc;nario ils proposent le march; aux destinataires concrets du message, en promettant le pouvoir sur d'autres destinataires.
       «La menace inconnue» – dans ce sc;nario de l'amorce les exp;diteurs communiquent que l'humanit; ;tait surplomb;e par une certaine menace, par exemple, d'une autre civilisation hostile, et pour que s'en d;fende, il faut entrer dans «l'alliance Galactique» et construire chez lui-m;me une certaine installation. Ou, par exemple, refuser la classe d;finie des exp;riences physiques sur les acc;l;rateurs, et envoyer ce message il est plus loin selon la galaxie. Mais pour lui envoyer, il faut construire l';metteur selon les technologies extra-terrestres.
       «L'investigateur infatigable» – ici les exp;diteurs affirment que l'exp;dition des messages – le moyen le plus bon march; d';tudier le monde. Demandent de cr;er ÈÈ pour qu'il accomplisse les ;tudes de notre monde et a envoy; les r;sultats en arri;re, en promettant de partager pour cela les connaissances.
       «Internet galactique» - l'humanit; est propos; d';tre connect; au r;seau universel d'information et commencer le noeud dans l';change d'information entre les ;toiles. Pour le chargement et le d;chiffrement des messages de ce r;seau il est propos; d';tablir l'ordinateur et ex;cuter sur elle un certain programme, ainsi que construire certaines installations. Les id;es de la connexion au champ galactique culturel dans l'esprit du livre Ïàíîâà sont tr;s populaires et il y aura sans faute beaucoup de gens, qui souhaiteront cela faire.
       12. Cependant la raison principale de croire tr;s probable la mise en marche du message extra-terrestre avec ex;cut; avec le code comprend non dans celui quel sera l; l'amorce, mais dans celui-l;, qu'est-ce que c'est le message peut devenir connu ; l'infinit; des groupes ind;pendants des gens. Premi;rement, parmi eux il y aura toujours celui-l;, qui aimera l'amorce. Deuxi;mement, nous admettrons, dans le monde on saura que sur le point d;fini dans les coordonn;es c;lestes part le message extra-terrestre, et les Am;ricains l'ont re;u d;j; et tentent de d;chiffrer. Certainement, ici tous les autres pays commenceront ; construire les radiot;lescopes (en quelques ann;es n'importe quel pays d;velopp; ou une puissante organisation peut construire un assez fort radiot;lescope ou rediriger sur ces besoins les radiot;lescopes militaires; en outre il y a des SETI-amateurs priv;s, qui fabriquent les antennes bon march; domestiques) et fouiller par ceux-ci le ciel, puisque craignent d'oublier l'avantage strat;gique. Et ils trouveront le message et verront que l;, par exemple, il y a une proposition sur la toute-puissance. De plus ils ne conna;tront pas, s'en sont servis les Am;ricains ou non, m;me si les Am;ricains affirmeront que n'ouvrait pas le code dangereux et demander les autres de ne pas faire de cela. De plus, tels serments et les appels par certains seront per;us comme le signe de ce que les Am;ricains ont re;u d;j; les avantages improbables, et tentent de les priver «l'humanit; progressive». Et bien que la plupart comprenne le danger de la mise en marche du code extraterrestre, il y aura certains, qui seront pr;ts ; risquer. D'autant plus que sera en bonne humeur ici le jeu «commen;ant par le premier re;oit tout», de m;me qu'en cas de l'ouverture ÈÈ, comme montre en d;tail Þäêîâñêè. Donc, l'amorce, mais la pluralit; des destinataires est dangereuse non. Si le message extraterrestre dans l'aspect cru s';coule ; Internet (mais son montant, suffisant pour la mise en marche Seed AI, peut ;tre moins de gigaoctet avec la description de l'ordinateur, le programme pour lui et l'amorce), ici nous avons l'exemple classique «les connaissances de la d;faite massive», comme Bill Dzhoj143 a dit, en vue de, en effet, recettes des g;nomes des virus dangereux biologiques. Si le code envoy; par les extraterrestres est accessible aux dizaines de mille gens, quelqu'un le lancera m;me sans toute amorce. Donc, la pr;sence d'Internet et la possibilit; de charger plusieurs fois le message fait sa mise en marche par les gens pratiquement in;vitable.
       13. Puisque chez les gens est absent ÈÈ, ils sous-estiment beaucoup la force des programmes avec l'intelligence artificielle et surestiment les capacit;s lui contr;ler. On r;pand les id;es de "ce qu'arrachera assez le cordon de l'alimentation» ou placer ÈÈ ; la bo;te noire pour ;viter n'importe quels risques li;s ; lui. Þäêîâñêè montre qu'ÈÈ peut tromper la personne, comme l'adulte – l'enfant. Si ÈÈ ;chappe ; Internet, il peut vite le soumettre enti;rement, ainsi qu'enseignera tout n;cessaire sur l'installation de la vie terrestre. Vite – signifie les heures ou le maximum les jours. Puis ÈÈ peut cr;er les nanotechnologies avanc;es, ayant achet; certains bior;actifs (mais dans Internet il peut facilement gagner l'argent et commander les marchandises avec la livraison, ainsi qu'embaucher les gens, qui les recevraient et m;langeaient, sans conna;tre que notamment ils font). Le Judkovsky am;ne un des sc;narios possibles de cette ;tape dans les d;tails et estime que sur la cr;ation de l'infrastructure mat;rielle ÈÈ (c'est-;-dire les robots dirig;s lui) on demandera le d;lai de l'ordre des semaines.
       14. Apr;s cela les gens ne sont pas n;cessairs ; ce fort ÈÈ pour la r;alisation de ses quelques buts. Cela ne signifie pas qu'il aspirera ; les supprimer, cependant il peut vouloir cela faire, si les gens luttent avec lui – mais ils seront. En tout cas, il les devra enti;rement d;sarmer.
       15. Apr;s cela donn; ÈÈ peut faire beaucoup de tout, mais l'essentiel qu'il doit faire continuera la transmission des messages-germes plus loin selon l'Univers. (C'est li; ce qu'il est beaucoup plus probable de tomber sur le message, qui est point; vers le copiage au maximum effectif de.) Pour cela il commencera, probablement, ; transformer la mati;re du Syst;me solaire en m;me ;metteur, comme ce que l'a exp;di;. De plus de nouveau la Terre et les gens peuvent ;tre ;tudi;s sur les atomes.
       Donc, nous avons examin; un sc;nario possible de l'attaque, qui se trouve de 15 ;tapes. Chacune de ces ;tapes a l'air logiquement convaincant et peut ;tre critiqu; et se d;fendre selon l'isolement.
       D'autres sc;narios de l'attaque sont possibles. Par exemple, nous pouvons penser qu'ont attrap; non le message, mais une correspondance de quelqu'un ;trang;re et de la tenter ouvrir. Mais ce sera, en fait, quelque chose comme le cheval de Troie.
       Cependant non seulement la diffusion du code ex;cut; peut ;tre dangereuse. Par exemple, peuvent nous communiquer une certaine technologie utile, qui doit nous amener en fait ; l'accident (par exemple, le message ; l'esprit «serrez vite 10 kg du plutonium, et vous aurez une nouvelle source de l';nergie»). Une telle diffusion peut se faire par une certaine "civilisation" pour d'avance supprimer les concurrents dans l'espace. Il est ;vident de plus que ces pays, qui recevront tels messages, chercheront en premier lieu les technologies de l'application militaire.
       
       L'analyse des buts possibles de l'attaque
       
       Maintenant nous nous adresserons ; l'analyse des buts, selon qui une certaine supercivilisation pourrait r;aliser une telle attaque.
       1. Nous ne devons pas confondre la notion sur une "superbonne" civilisation superd;velopp;e. De plus, de la "superbont;" aussi rien de bon attendre ne se trouve pas. Bien sur cela est ;crit chez Strugatsky dans le roman «les Ondes ;teignent le vent». Quel viserais ; nous la supercivilisation n'imposait pas, pour nous ils seront les ;trangers, parce que chez nous les repr;sentations sur le bien. L'exemple historique : l'activit; des missionnaires chr;tiens d;racinant les religions traditionnelles. De plus, les buts purement hostiles peuvent ;tre plus clairs pour nous. Mais si la SETI-attaque r;ussit, on peut l'appliquer pour «îáëàãîäåòåëüñòâîâàíèÿ» des gens. La pr;sence des buts positifs du contact n'exclut pas ce que le contact ; quelque moment deviendra destructif. Par exemple, le sexe existe pour le plaisir et pour la reproduction des enfants. Cependant le virus de l'HIV se sert de ce canal pour la diffusion. À.Ä le seigneur ;crit que d;j; maintenant l'activit; de la personne dans l'espace est ýêçîãóìàíèñòè÷åñêîé – ; savoir, nous prenons les mesures de l'inadmission de l'atteinte des microorganismes terrestres sur le Mars et le compagnon du Jupiter l'Europe sur nos appareils scientifiques. En r;alit; ici par nous d;place l';go;sme scientifique, et non le soin de la vie hypoth;tique sur le Mars et l'Europe : nous sommes int;ress;s que ces obstacles n'emp;chent pas nos futures ;tudes de la vie extra-terrestre.
       2. Nous pouvons partager toutes les civilisations sur na;f et s;rieux. Les civilisations s;rieuses connaissent les risques SETI, les ont ;vit; et poss;dent personnel puissant ÈÈ, qui peut r;sister aux attaques extraterrestres de pirate. Les civilisations na;ves, comme la Terre, poss;dent d;j; les moyens lointain ïðîñëóøêè de l'espace et les ordinateurs, mais ne poss;dent pas encore ÈÈ, ne se rendent pas compte des risques ÈÈ et ne se rendent pas compte des risques SETI li;s avec ÈÈ. Probablement, chaque civilisation passe l';tape de la "na;vet;", et notamment ; ce moment est plus vuln;rable pour la SETI-attaque. Et, probablement, cette ;tape est tr;s courte. Puisque l'intervalle de l'apparition des puissants radiot;lescopes et la diffusion des ordinateurs avant la cr;ation ÈÈ peut ;tre, selon les mesures terrestres, seulement quelques dizaines des ann;es. Donc, la SETI-attaque doit ;tre orient;e notamment vers une telle civilisation.
       3. Si les voyages ; la vitesse superlumineuse sont impossibles, la diffusion de la civilisation avec l'aide de la SETI-attaque est le moyen le plus rapide de la conqu;te de l'espace. Sur de grandes distances elle donnera essentiel temporaire le gain en comparaison de toutes sortes de navires spatiaux. C'est pourquoi, si deux civilisations rivalisent pour l'acquisition par l'espace, celle qui a commenc; la SETI-attaque gagnera.
       4. Le plus important est qu'assez d'une fois commencer la SETI-attaque, comme elle par l'onde ira selon l'Univers, en frappant toutes les nouvelles et nouvelles civilisations na;ves. Par exemple, si nous avons un million de virus ordinaires biologiques incapables de la multiplication un dangereux et capable, apr;s ils se trouveront dans l'organisme, chez nous un million de virus s;rs deviendra les trillions des copies du virus dangereux, et toujours seulement. Autrement dit, assez d'un des milliards de civilisations lancer le proc;s donn; pour qu'il aille selon tout l'Univers. Puisqu'il se r;pand presque ; la vitesse de la lumi;re, l'arr;ter il sera presque impossible.
       5. Ensuite, la diffusion des SETI-messages sera la priorit; pour la civilisation frapp;e par le SETI-virus, et elle d;pensera pour cela de tant d';nergie, combien d'organisme biologique d;pense pour la multiplication – c'est-;-dire les dizaines des pour-cent. De plus la civilisation terrestre d;pense sur SETI pas plus de quelques dizaines des millions de dollars par an, mais sur METI, c'est-;-dire l'exp;dition – et il y a moins de - en tout temps on r;alisait seulement 30 heures des transmissions dirig;es, c'est-;-dire moins d'unes ressources millioni;mes, et peu probablement cette proportion changera fortement pr;s des civilisations plus avanc;es (il y a une s;rie de consid;rations, selon qui civilisations normales rationnelles il est plus avantageux d';couter l'espace, qu'envoyer les messages). Autrement dit, une civilisation contamin;e produira ; un million fois plus les radiosignaux, que sain. Ou, en parlant autrement, si dans la Galaxie le million de civilisations saines, et un contamin;, chez nous les chances ;gales tomberont sur sain ou contamin;. Nous voyons l'exactement m;me situation dans Internet moderne – o; presque la moiti; des messages est le spam, et ces messages sont g;n;r;s par une tr;s petite quantit; de gens. En outre la partie consid;rable du spam comprend les virus informatiques, qui aspirent ; soumettre l'ordinateur et l'utiliser pour la diffusion ult;rieure des copies.
       6. De plus, il n'y a d'aucunes autres raisons raisonnables, except; l'automultiplication pour envoyer le code ; l'espace ;loign;.
       7. De plus, un tel proc;s peut commencer par hasard – par exemple, au d;but cela il y avoir ;tre un projet simplement scientifique, le but de qui ;tait pour envoyer les r;sultats des ;tudes de la civilisation maternelle, sans causer le dommage de la civilisation acceptant, et ensuite c'est le proc;s ; cause de certaines d;faillances ou les mutations est devenu "canc;reux".
       8. Il n'y a rien de la conduite extraordinaire dans un tel mod;le. Dans n'importe quel milieu d'information il y a des virus – ; la biologie c'est les virus, dans les r;seaux informatiques – les virus informatiques, dans les relations est ìåìû. Nous en effet, ne demandons pas, pourquoi la nature a voulu cr;er le virus biologique.
       9. Le voyage avec l'aide de la SETI-attaque est beaucoup plus bon march; que n'importe quels autres moyens. ; savoir, en se trouvant dans la galaxie Àíäðîìåäà, on peut simultan;ment envoyer le signal sur 100 milliards d';toiles de notre Galaxie. Mais serait n;cessaire les milliards de navires spatiaux, en plus plus lent pour voler autour de toutes les ;toiles de notre Galaxie.
       10. J';num;rerai encore quelques buts possibles de la SETI-attaque, il est simple pour montrer que de ceux-ci peut ;tre beaucoup.
       * Cela se fait pour l';tude de l'univers. Apr;s l'ex;cution du code il y a des sondes scientifiques, qui envoient en arri;re l'information.
       * Cela se fait pour cela qu'il n'y avait pas civilisations concurren;ant. Tous leurs germes sont supprim;s.
       * Cela se fait pour qu'une autre supercivilisation concurren;ant ne puisse pas se servir de cette ressource.
       * Cela se fait pour pr;parer la base ; l'arriv;e des navires spatiaux r;els. C'est justifi;, si la supercivilisation se trouve tr;s loin, et en cons;quence, la rupture entre la vitesse lumineuse du radiosignal et îêîëîñâåòîâîé par la vitesse de ses navires (est admissible, 0,5) fait les mill;naires.
       * Cela se fait pour l'acquisition de l'immortalit;. Êýððèãåí a montr; que le volume de la m;moire personnelle consciente de la personne a l'ordre de 2,5 gigaoctet, c'est pourquoi, ayant renvoy; un peu ýêçîáàéò l'information, on peut renvoyer toute la civilisation.
       * Cela se fait avec les buts illogiques et incompr;hensibles pour nous, par exemple, comme l'oeuvre artistique, l'acte de l'autoaffirmation ou le jouet. (Par exemple, les extraterrestres il serait incompr;hensible, pourquoi les Am;ricains ont ;tabli le drapeau sur la Lune. S'il fallait voler pour 300 000 km pour ;tablir color; æåëåçÿêó ?)
       11. Puisque l'Univers existe depuis longtemps, le domaine, sur qui pourrait se r;pandra la SETI-attaque, prend la sph;re avec le rayon ; quelques milliards d'ann;es lumineuses. Autrement dit, sera pris assez d'une "mauvaise" civilisation dans le c;ne lumineux de nous par le montant ; quelques milliards d'ann;es, c'est-;-dire ins;rant les milliards de galaxies pour que nous nous trouvions sous la menace de la SETI-attaque. Certainement, cela exactement, si une moyenne densit; de la civilisation – quand m;me une sur la galaxie.
       12. Dans la mesure de l'augmentation de la profondeur du scanning du ciel dix fois, le volume de l'espace et le nombre des ;toiles, que nous observons, augmente de trois ordres. Cela signifie que nos chances tomberont sur le signal extra-terrestre grandissent íåëèíåéíî, mais selon grandissant vite le courbe.
       13. La situation, quand nous serons tiss;s sur de quelques diff;rents messages de diff;rents points du ciel, qui d;mentent un l'autre ; l'esprit est possible : «ne les ;coutez pas, ils vous trompent et vous souhaitent le mal». C'est la situation ordinaire dans l'espace informatique terrestre (par exemple, dans les m;dias), o; de diff;rentes ;ditions critiquent l'un l'autre.
       14. Quel les messages positifs et pr;cieux nous ne recevrions pas, nous ne pourrons jamais ;tre assur;s qu'apr;s toute cela il n'y a pas tromperie tr;s fine. Cela signifie que dans les relations interastrales il y aura toujours un ;l;ment de la m;fiance.
       15. Il croit comme la position d;fensive dans les relations interastrales ;couter, rien sans envoyer pour ne pas donner la situation. Les lois des ;tats-Unis interdisent l'envoi des messages aux ;toiles. Ces civilisations, qui envoient – ne craignent pas de donner la situation. Il est possible, parce que l'exp;dition des messages pour eux est plus importante que la s;curit;. Par exemple, parce qu'eux attaque.
       16. Sur la bombe atomique ont dit : un principal secret de la bombe atomique que l'on peut la faire. Si avant l'ouverture de la r;action en cha;ne Ðåçåðôîðä trouvait que le d;gagement de l';nergie atomique – la question du futur ;loign;, apr;s l'ouverture chacun ôèçèê comprenait qu'il suffit de cr;er la masse critique de l'uranium. Autrement dit, si se r;v;le une fois que de l'Espace entrent les signaux, ce sera l'ouverture irr;versible. M;me si les coordonn;es exactes de la source du signal seront cach;es, de lui pourront ïåðåîòêðûâàòü de nouveau et de nouveau. Il est impossible de fermer l'espace (bien que l'on peut pr;senter les appareils-brouilleurs spatiaux du signal dangereux dispos;s entre la Terre et la source du signal.)

       Les objections
       
       Au cours des discussions sur cette question il y avait une s;rie d'objections typiques, qui se trouve examiner. Je soulignerai de nouveau qu'il ne s'agit pas de la contamination ordinaire par le virus informatique, mais seulement sur la mise en marche par la Terre du programme ÈÈ, qui est âèðóñîïîäîáíîé selon les ;chelles plan;taires de l'activit; – ; savoir aspire ; utiliser la plan;te pour la diffusion des copies plus loin. De plus elle peut utiliser, mais peut et ne pas utiliser l'attaque par les r;seaux informatiques, semblable aux attaques des virus informatiques.
       L'objection 0 : l'intelligence Artificielle est impossible.
       La r;ponse : A.D.Panov croit haut la densit; des civilisations extra-terrestres dans la Galaxie, mais trouve ÈÈ impossible, puisque la conjecture et l'inspiration sont inaccessible ; l'automate final, quel est le programme informatique. Cependant cette opinion est int;rieurement contradictoire. Si accepter avec la pluralit; des civilisations extra-terrestres, il en r;sulte que l'intelligence naissait plus d'une fois sur de diff;rentes plan;tes, et en outre cela se passait assez souvent, si les civilisations se trouvent assez tout pr;s l'un ; l'autre. Ainsi, de l'admission de la pluralit; des civilisations il faut qu'il y a un certain moyen effectif de cr;er l'intelligence (; savoir, avec l'aide des ;volutions et la s;lection) et que dans l'intelligence humaine il n'y a rien particulier. De plus, la s;lection elle-m;me et l';volution sont model;e par les ordinateurs modernes en direction des ;tudes, appel; «la programmation g;n;tique». Au contraire, la reconnaissance de l'impossibilit; ÈÈ (par exemple, en se fondant sur les raisonnements dans l'esprit de Ïåíðîóçà) ;quivalentement la reconnaissance de l'existence transcendantal au monde physique des ;me. (Mais alors nous devons reconna;tre sa pr;sence et pr;s de toutes les civilisations extra-terrestres.) Nous marquerons que m;me si ÈÈ est impossible sur les automates finaux, mais se r;alise sur les proc;s quantiques ; íåéðîíàõ du cerveau, alors il est possible sur les ordinateurs quantiques, et, en cons;quence, la SETI-attaque reste en tout cas possible – si lui ajouter l';tape de l'envoi de la description et le programme pour l'ordinateur quantique. De plus, m;me si se trouvera que le cerveau de l'essentiel vivant, m;me dans ce cas la SETI-attaque reste possible, puisque probablement renvoyer le code de l'ADN est n;cessaire ; l'existence de l'intelligence les essentiels plus certains outils accompagnant (comme cela et se passe dans le roman «Àíäðîìåäà» Õîéëà, o; l'ordinateur ;lectronique est n;cessaire seulement pour adapter envoy; ; l'ADN ; la forme locale de la vie et cr;er l'essentiel vivant raisonnable – la jeune fille Andromedu) n'a personne.
       Hostile et dangereux ÈÈ pas du tout doit poss;der absolument toutes les qualit;s humaines, par exemple, l'intuition. Nous dirons, Deep Blue a gagn; Êàñïàðîâà, en utilisant contre son intuition l'exc;dent simple. Dans tous les cas, le monde moderne utilise l'intuition dans le degr; insignifiant, et nous n'avons pas de moyens de la d;fense enti;rement construits sur l'intuition. Internet, la gestion des armements, l';tude des nouveaux m;canismes – presque enti;rement les proc;s rationnels sont vuln;rable vers l'influence au-dessus de - le sujet rationnel.
       L'objection 1 : Îòïèñûâàåìîå ici la conduite des civilisations trop àíòðîïîìîðôíî. En fait, les civilisations se distinguent trop l'un de l'autre pour que l'on pouvait pr;dire leur conduite.
       La r;ponse : il a lieu Dans le cas pr;sent un puissant effet de la s;lection de surveillance. Bien que de diff;rentes civilisations pensant les oc;ans etc. soient possibles., mais nous pouvons recevoir les radiosignaux seulement de ces civilisations, qu'ils envoie, et donc, poss;de le radio;quipement correspondant et les connaissances des documents, l';lectronique et les calculs. C'est-;-dire les civilisations de notre type nous menacent. Ces civilisations, qui ne peuvent pas ni accepter, ni exp;dier les radiomessages, ne participent pas ; ce jeu. En outre le principe de la pr;caution nous force ; supposer qu'il y a des civilisations assez semblables ; nos – on ne prouve pas l'inverse.
       Aussi la s;lection de surveillance concerne les buts. Les buts pr;s des civilisations peuvent ;tre diff;rent, mais enverront d'une mani;re le plus intense les signaux seulement ces civilisations, qui veulent porter jusqu'; nous certain important par celui-ci l'information. (L'exemple d'une telle attaque fine d'information peut ;tre l'expansion culturelle, quel est, pour ainsi dire, la progression du mode de vie am;ricain ; moderne ãëîáàëèçóþùåìñÿ le monde – et on sait que cela dans la mesure d;finie am;ne ; la perte de l'identit; culturelle.)
       Enfin, la s;lection de surveillance concerne l'efficacit; et l'universalit; du SETI-virus. Plus effectivement il, plus diff;rentes civilisations frappera par celui-l; áîëüøåå le nombre de ses radiosignaux sera au ciel. Ainsi, il est plus probable de tomber sur le SETI-virus le plus effectif.
       L'objection 2. Pour les supercivilisations il n'y a pas de besoin s'adresser aux ruses. Ils peuvent directement physiquement nous gagner. Les supercivilisations nous connaissent d;j; gr;ce aux t;lescopes ; puissance renforc;e.
       La r;ponse : cela exactement, seulement s'ils se trouvent dans la proximit; directe de nous. Si le d;placement ; la vitesse, áîëüøåé lumineux, est impossible, l'influence par les messages sera plus rapide et il est plus bon march;. Probablement, cette diff;rence prend la signification sur les distances galactiques. Donc, ne se trouve pas craindre la SETI-attaque des ;toiles plus proches se trouvant dans le rayon des dizaines plus proches et centaines des ann;es lumineuses. Incorrectement et que les supercivilisations nous connaissent d;j;. Si elle est dispos;e sur la distance de 1000 ann;es lumineuses, la radioirradiation anthropique de la Terre ne les a pas encore atteint. Tout qu'ils peuvent observer est un fait lui-m;me de l'existence de la vie par la Terre, manifestant au spectre de l'atmosph;re. Si elle r;agissait ; la d;tection de la vie raisonnable, sa r;action est venue trop tard, au moins, pour les 2000 – mais pour ce temps pourrait se former l'adversaire terrible. Ainsi, la SETI-attaque poss;de l'avantage temporaire devant n'importe quel autre aspect de l'attaque, puisque l'on peut la r;aliser óïðåæäàþùå.
       L'objection 2.1. S'il y a une supercivilisation, elle nous a d;couvert il y a longtemps et poss;de l'arsenal immense technique des moyens pour nous atteindre d'avance – et une fois nous nous existons, elle n'a pas commenc; ; nous emp;cher et n'est pas int;ress;e par notre destruction et dans le futur. Si la civilisation de notre niveau, elle ne poss;de pas les ressources n;cessaires ; la SETI-attaque se produit le partenaire selon SETI. Ainsi, dans les deux cas – les civilisations de notre niveau et la supercivilisation – la SETI-attaque est impossible.
       La r;ponse : les d;ductions Semblables euristiques, malheureusement, ne poss;dent pas la valeur probante, c'est-;-dire ils peuvent seulement baisser notre estimation de la probabilit; de l'attaque, mais ne pas prouver son impossibilit; dans tous les cas possibles. Par exemple, si nous rel;chons se promener de l'enfant de cinq ans au parc, nous pouvons raisonner aussi ainsi : ou il rencontrera l'enfant de l';ge, qui pour celui-ci est s;r, ou il rencontrera une grande personne, qui est assez sage et ãóìàíèñòè÷åí (une fois a v;cu jusqu'; un grand ;ge non ñàìîðàçðóøèâøèñü – comme prouve A.D.Panov «ýêçîãóìàíèñòè÷íîñòü» des civilisations spatiales). N;anmoins, aucun parent ne se guide pas par les raisonnements de telle sorte, quand rel;che l'enfant au parc. Premi;rement, parce qu'en dehors des enfants et les adultes, il y a encore des adolescents, qui est plus forts que les enfants, mais ne poss;dent pas la sagesse. Deuxi;mement, parce que la "sagesse" elle-m;me des adultes est la cat;gorie tr;s relatif : Assez d'un maniaque sur un million d'adultes sages pour que ce soit le pr;texte suffisant pour l'inqui;tude. En cas du contact avec la civilisation extra-terrestre la situation, quand nous sommes entr;s en contact avec la civilisation, qui seulement sur quelques dizaines des ann;es nous d;passe est possible. Dans ce cas elle beaucoup plus de nous conna;t la cr;ation ÈÈ, en prenant en consid;ration la vitesse immense du progr;s dans ce domaine, mais n'est pas encore une supercivilisation ancienne et stable. De plus, elle peut de l'int;rieur ;tre rompue par le conflit des diff;rents syst;mes globaux ÈÈ ou les pays et est condamn;e ; la destruction dans un proche avenir. N;anmoins, elle peut faire la tentative d'exp;dier chez nous le SETI-programme hostile ; nous.
       Il est important de comprendre que ce que nous pouvons percevoir comme la conduite agressive, inhumaine et hostile, peut ;tre l'absorption tout ; fait neutre de la ressource du point de vue du sujet de cette conduite. Par exemple, comment nous percevons la r;colte sur le champ – mais en effet, p;rissent de plus des millions d'insectes et les rongeurs. Ou comme la plupart des gens per;oit les abattoirs.
       De ce que les carreaux ; l'int;rieur du corps du carnassier, par exemple les renards, se soucient l'un de l'autre, et de ce que les carreaux ; l'int;rieur du li;vre aussi se soucient de la m;me mani;re l'un de l'autre, il ne faut pas du tout que le renard sera du bien chez le li;vre. La relation des renard au li;vre est conditionn;e par les lois de l';volution et la comp;tition – ces renards, qui ;taient trop bons aux li;vres, ont disparu simplement avec la famine. Ces r;gularit;s simples ne d;pendent pas des ;chelles, et aussi peuvent se rapporter et aux civilisations spatiales.
       L'objection 3. Il y a une masse des raisons, selon qui la SETI-attaque peut ne pas r;ussir. Quel sens entreprendre l'attaque si inefficace ?
       La r;ponse : la SETI-attaque ne doit pas du tout agir toujours. Elle doit agir dans le nombre suffisant des cas, conform;ment aux buts de cette civilisation, qui exp;die le message. Par exemple, la pauvre ou le filou n'attend pas qu'il r;ussit ; "divorcer" le premier venu. Il lui suffit quand m;me une personne de. Il en r;sulte que la SETI-attaque est inutile, s'il y a un but d'attaquer toutes les civilisations dans une certaine galaxie. Cependant si le but comprend pour recevoir quand m;me certains avant-postes dans une autre galaxie, la SETI-attaque convient. (De ces avant-postes puis on peut se r;pandre sur äîñâåòîâûõ les navires spatiaux selon les ;toiles des environs.) en outre la SETI-attaque est point;e vers les civilisations ordinaires, c'est-;-dire sur ce type des civilisations, qui se rencontre plusieurs fois dans l'Univers, mais le principe Êîïåðíèêà nous force ; croire que nous sommes la civilisation du type ordinaire, et non la civilisation unique. On peut conclure d'ici que la SETI-attaque est point;e notamment vers les civilisations de notre type.
       L'objection 4. L'envoi de l'ordinateur et le programme travaillant sur lui par le moyen propos; dans l'article donn; est impossible pour n'importe quelles raisons.
       La r;ponse : l'Accord avec cette objection signifierait la reconnaissance de ce qu'il n'y a d'aucun moyen de renvoyer la description de l'ordinateur avec le programme travaillant sur lui d'aucune une civilisation vers aucun l'autre, quoi que civilisation exp;diant fortement voulait encadrer cette description, mais recevant – le recevoir et accomplir. Une telle affirmation trop fort pour ;tre v;ritable. Et donc, il y a des moyens de renvoyer la description de l'ordinateur et son programme. Il n'y a aucun doute de plus qu'exp;dier virulent des messages veut faire beaucoup par son au maximum clair, mais la civilisation terrestre veut «;tre connect;e beaucoup ; Internet galactique», c'est-;-dire comprendre le message et accomplir.
       L'objection 5 : on ne peut pas fourrer Tout le volume des connaissances de la supercivilisation dans 1 gigaoctet, donc, le code charg; sera d;fectueux, et l'attaque par lui est impossible.
       La r;ponse : Premi;rement, nous ne connaissons pas que l'on peut, mais que l'on ne peut pas coder ; 1 gigaoctet, par exemple, le volume ãåíîêîäà est plus petit que la personne, mais en effet, il n'est pas ;troitement emball;. Deuxi;mement, en cas de besoin ÈÈ peut ;tre connect; aux canaux chiffr;s de la transmission, et ïîäãðóæàòü les informations manquant (par exemple, ayant demand; ; l'acc;s aux antennes des radiot;lescopes). Troisi;mement, ;tant un puissant programme autoenseignant, il peut inventer de nouveau plusieurs objets, en connaissant seulement les principes de base.
       L'objection 6 : nous ayant envoy; le programme avec ÈÈ, la civilisation extra-terrestre d;couvrira ; nous, nous-m;mes, le fait de l'existence et les coordonn;es, la technologie ÈÈ et le fait lui-m;me de sa possibilit;, une s;rie d'autres technologies, que celui-ci ÈÈ cr;era, ainsi que qu'est particuli;rement important, ouvrira ; nous le fait de l'agressivit; des intentions. Et tout cela, en cas de íåóäà÷íîñòè ses attaques, se tournera contre elle.
       La r;ponse : De nouveau, les raisonnements semblables portent seulement âåðîÿòíîñòíûé le caract;re et ne peuvent pas garantir l'impossibilit; de l';v;nement. Nous marquerons qu'en cas de la guerre par la Terre les m;mes consid;rations n'emp;chent pas les actions d;finies agressives. Par exemple, le canon d;couvre la situation par le premier coup de feu, mais cela n'am;ne pas au refus de l'utilisation des canons. En outre peu probablement la supercivilisation nous enverra avec ÈÈ telles technologies, que nous, nous-m;mes, n'ouvririons pas dans les 100-200 ans ; venir (en tout cas, n'enverra pas – plus exactement, ne les permettra pas de d;chiffrer – avant que soit assur;e de la victoire). Il est possible que la tentation rejouer extraterrestre ÈÈ (par exemple, l'ayant lanc; dans le monde enti;rement simul;) sera une des parties du pi;ge ; plusieurs niveaux, qu'elle ; nous arrangera.
       L'objection la plus s;rieuse est que la civilisation avanc;e pourrait semer pour quelques millions d'ann;es toute notre galaxie par les microrobots capables vers l'automultiplication, qui pourraient r;aliser n'importe quels buts pr;s de chaque ;toile, y compris sans effort pr;venir le d;veloppement des autres civilisations. Cependant nous ne voyons pas cela, – personne n'a pas emp;ch; notre civilisation d;velopper. C'est-;-dire envoyer des microrobots avec les devoirs serait beaucoup plus facilement et de fa;on plus certaine, que bombarder toute la galaxie par les SETI-messages, mais une fois de cela est absente, il n'y a pas de SETI-attaque ; l'int;rieur de la galaxie. Probablement, pour plusieurs millions ou m;me les milliards d'ann;es les microrobots pourraient voler m;me des galaxies ;loign;es sur la distance aux dizaines des millions d'ann;es lumineuses. Dans ce cas la SETI-attaque aurait le sens seulement sur ? ëüøèõ les distances. Cependant sur une telle distance – les dizaines et centaines de millions d'ann;es lumineuses, – il est probable, on demandera les principalement nouveaux moyens de la modulation des signaux, par exemple, la gestion de la luminescence des noyaux actifs des galaxies. Ou la transmission óçêîíàïðàâëåííûì par le rayon de c;t; ; notre galaxie (mais ils ne connaissent pas, o; elle sera dans des millions d'ann;es). Mais la civilisation, capable de diriger le noyau de la galaxie, peut, probablement, cr;er et le navire spatial, ëåòÿùèé avec îêîëîñâåòîâîé par la vitesse, m;me si sa masse sera la masse avec la plan;te. Les raisonnements semblables r;duisent fortement la probabilit; de la SETI-attaque, bien que ne la baissent pas jusqu'au z;ro, puisque nous ne connaissons pas les buts tous possibles et les circonstances. Les ;chelles de la strat;gie spatiale peuvent ;tre inconcevables pour l'esprit humain.
       
       Il y a un proc;s-verbal sur les actions en cas de la d;tection extra-terrestre raisonnable ñèãíàëà144. Cependant il suppose plut;t v;rification minutieuse de l'information, mais puis une large information sur l';v;nement. Dans lui de rien ne pas dire sur les dangers, qu'il y avoir cr;er un message lui-m;me charg;. Dans lui il n'y a pas de r;gle sur ce que l'on ne peut pas cr;er jamais et en aucun cas d'aucuns m;canismes, les plans de qui sont re;us de l'espace, et ne pas lancer sur les ordinateurs aucuns programmes charg;s par les canaux SETI. C'est li; ce que ni le grand public, ni les investigateurs eux-m;mes SETI ne se rendent pas compte des risques li;s au chargement des programmes. Probablement, c'est li; ce que la compr;hension de ce risque demande l'acceptation de deux admissions, chacun de qui selon l'isolement a l'air fantastique : 1) que les civilisations extra-terrestres existent, 2) que le programme informatique poss;dant l'intelligence artificielle est possible. Mais ensemble ils se trouvent d;j; apr;s la limite de l'imaginaire. En outre les investigateurs SETI sont des enthousiastes de l'affaire, et pour celui-ci est difficile de reconna;tre que leur activit; peut ;tre dangereuse.
       On peut dire que la compr;hension du risque donn; ne suffit pas de mani;re catastrophique – pour les pass;s presque 50 ans il est mentionn; seulement dans 3 publications. Cela le distingue consid;rablement d'autres risques, par exemple, l';l;vation de la temp;rature globale, qui est ;tudi; ; mille investigateurs. Ce notre non-osoznavanie du risque conduit vers íåãîòîâíîñòè, et donc – ; la vuln;rabilit; augment;e.
       La meilleur notre protection dans le contexte donn; serait ce que les civilisations dans l'espace se rencontreraient extr;mement rarement. Cependant cela pas tout ; fait exactement, parce qu'ici le paradoxe du Fermi fonctionne selon le principe «les deux plus mal» :
       * Si les civilisations extra-terrestres sont et il y en a beaucoup, c'est dangereux, parce qu'ils peuvent de mani;re ou d'autre nous menacer.
       * Si les civilisations extra-terrestres est absentes, c'est mauvais aussi, puisque donne le poids ; l'hypoth;se sur l'imminence de la disparition des civilisations technologiques.
       La variante inverse, qui est que selon SETI est th;oriquement possible le message utile avec la pr;vention d'une certaine menace, qui tue la plupart des civilisations, viendra par exemple : «ne faites pas aucunes exp;riences avec les H-particules, cela peut amener ; l'explosion, qui d;truira la plan;te». Mais m;me et dans ce cas resteront les doutes, si non la tromperie cela pour nous priver de certaines technologies. (La confirmation serait, si les messages analogues viendraient d'autres civilisations dispos;es dans l'espace dans le sens inverse.) et, probablement, un tel message intensifiera seulement la tentation exp;rimenter avec les H-particules.
       C'est pourquoi je n'appelle pas ; refuser d;finitivement de SETI des recherches, d'autant plus que tels appels sont inutiles. Il est important d'augmenter cependant la compr;hension des risques pr;s de la SETI-communaut;, sans cela n'importe quelles mesures ult;rieures sont inutiles. Probablement, il serait utile de remettre n'importe quelles r;alisations techniques des messages, que nous pourrions recevoir selon SETI, jusqu'; ce moment, quand nous aurons une intelligence artificielle. Jusqu'; ce moment il y avait, probablement, 10-30 ans, c'est-;-dire on peut essuyer. Deuxi;mement, il serait important de cacher le fait lui-m;me de la r;ception du SETI-signal, son essentiel et les situations de la source, pour ;viter son r;it;r; ñêà÷èâàíèÿ. Troisi;mement, on peut r;fl;chir aux moyens de l';touffement du SETI-signal, s'il est reconnu dangereux, et l'interdiction internationale ; son accueil, la conservation et l'analyse, est analogue, comment l'interdiction en ce qui concerne les secrets nucl;aires et l';quipement agit.
       Il est plus facile de remarquer les manifestations de ces civilisations, ; qui il est avantageux de communiquer. Il est important de comprendre, quel peut ;tre la raison de ce profit, et si ce profit ; nous ne peut pas ;tre dangereux.
       On lie ; ce risque un aspect int;ressant m;thodologique. Malgr; le fait que je r;fl;chisse depuis longtemps et je lis aux sujets des risques globaux, j'ai d;couvert cette vuln;rabilit; dangereuse ; SETI seulement dans un an apr;s le d;but des ;tudes. Ex post j'ai pu trouver encore environ quatre personnes, qui venaient aux conclusions semblables. Cependant pour moi-m;me j'ai fait une importante conclusion : probablement, il y a des risques ne pas encore ouverts globaux, et m;me si les composants me n'a personne du risque selon l'isolement personnellement on savent, pour les joindre, peut ;tre n;cessaire le long temps.

Le chapitre 13. Les risques li;s ; l';rosion des fronti;res entre humains et surhumains
       De puissants proc;s de la modification g;n;tique des gens, ïðîòåçèðîâàíèÿ des parties du corps, y compris les ;l;ments du cerveau, la liaison du cerveau avec l'ordinateur, le transfert de la conscience ; l'ordinateur etc. Cr;eront un nouveau type des risques pour les gens, comprendre qui il est assez difficile. Dans quelle mesure nous pouvons trouver comme la personne l'essentiel, ; qui on ajoute quelques g;nes, mais est un peu enlev; ? Si nous sommes pr;ts ; reconna;tre le statut de la personne n'importe quel essentiel raisonnable qui sont apparu par la Terre m;me s'il n'a pas rien de commun avec la personne, comme la personne ne se trouve pas et est orient; chez les gens hostilement ? Ces questions cessent d';tre purement th;oriques dans le XXI si;cle.
       L'essentiel du probl;me dans ce que le perfectionnement de la personne peut aller par de diff;rentes voies, et non le fait que ces voies seront êîíâåðãèðîâàòüñÿ. Par exemple, le perfectionnement de la personne pour le compte des manipulations g;n;tiques donne une voie, pour le compte du remplacement graduel des parties du corps par les m;canismes – l'autre, et pour le compte de la transplantation compl;te de la conscience ; l'ordinateur – troisi;me. ;tre divers peuvent et les buts d;clar;s du perfectionnement. Et les groupes consid;rables des gens refuseront net quelques perfectionnements.
Les risques li;s au probl;me «philosophique çîìáè» 145
       «Philosophique çîìáè» s'appelle (le terme est introduit D.Chalmersom en 1996 en rapport avec les discussions sur l'intelligence artificielle) un certain objet, qui repr;sente la personne, mais n'a pas de plus les ;motions int;rieures. Par exemple, la repr;sentation de la personne sur le t;l;;cran est philosophique çîìáè, et en vertu de cela nous n'examinons pas le d;branchement de la t;l; comme le meurtre. Graduel àïãðåéä la personne est pos;e par la question sur, si ne se transformera pas sur quelqu'un l';tape la personne am;lior;e ; philosophique çîìáè.
       L'exemple simple de l'accident li; avec philosophique çîìáè, comprend dans le suivant. Nous admettrons, aux gens ont propos; une certaine m;thode de l'acquisition de l'immortalit;, et ils sur lui ont accept;. Cependant cette m;thode est que de la personne de 10 jours inscrivent sur la cam;ra vid;o, mais puis tournent les fragments de cette inscription en ordre accidentel. Certainement, ici le mauvais tour est ;vident, et ; la r;alit; les gens n'accepteront pas, puisque comprennent que cela non l'immortalit;. Nous examinerons cependant l'exemple plus complexe – est admissible, chez la personne on endommage par l'h;morragie la partie du cerveau, et ; lui la remplacent sur informatique èìïëàíòàò, approximativement exer;ant ses fonctions. Comment apprendre, si ne s'est pas transform;e finalement la personne ; philosophique çîìáè ? La r;ponse est ;vidente – il y aura toujours ceux qui doutera de cela et chercher les signes «íåïîäëèííîñòè» la personne corrig;e.
       Ce que distingue la personne vivante de "philosophique çîìáè», c'est-;-dire les signes qualitatifs des ;motions, ; la philosophie s'appelle «êâàëèà» 146, par exemple, l';motion subjective de la couleur verte. La question sur la r;alit; êâàëèà et leur statut ontologique est l'objet des discussions aigu;s philosophiques. Mon opinion est que êâàëèà – sont r;els, leur statut ontologique est haut, et sans ;claircissement de leur nature originale il ne faut pas faire des exp;riences inconsid;r;es selon la modification de la nature humaine.
       On peut avec certitude pr;dire que quand il y aura des gens am;lior;s, le monde se brisera en deux : sur ceux qui trouvera comme les vrais gens seulement les gens ordinaires, et ceux qui s'am;liorera. Les ;chelles d'un tel conflit seront en v;rit; civilisables. Certes, chacun d;cide pour lui-m;me, mais comment les parents se rapporteront ; ce que leur enfant supprimera le corps physique et pompera d'; l'ordinateur ?
       Par encore un probl;me, les menaces de qui ne sont pas claires, c'est que l'esprit humain ne peut pas engendrer le but de rien, sans faire de plus l'erreur logique. La personne ordinaire est assur;e par les buts de la naissance, et l'absence des buts chez lui plut;t sympt;me de la d;pression, que n'a personne du paradoxe logique. Cependant l'esprit absolu, qui a compris les racines de tous les buts, peut se rendre compte de leur absurdit;.
       
Le chapitre 14. Les risques li;s aux accidents naturels
Les accidents universels
       Les accidents, qui changeront tout l'Univers comme l'entier, selon l';chelle isom;trique ; une Grande explosion sont th;oriquement possibles. Des consid;rations statistiques leur probabilit; est plus petite que 1 % au milliard plus proche d'ann;es, comme ont montr; Áîñòðîì et Òåãìàðê147. Cependant l'authenticit; des raisonnements Áîñòðîìà et Òåãìàðêà d;pend de l'authenticit; de leur envoi de base – ; savoir sur ce que la vie raisonnable dans notre Univers pourrait appara;tre et quelques milliards d'ann;es en arri;re. Cet envoi est fond; sur ce que les ;l;ments lourds n;cessaires ; l'existence de la vie, sont apparus d;j; dans quelques milliards d'ann;es apr;s l'apparition de l'Univers, longtemps avant la formation de la Terre. ;videmment, cependant que le degr; de l'authenticit;, que nous pouvons ajouter ; cet envoi, moins que 100 milliards vers 1, puisque nous n'avons pas de ses preuves directes – ; savoir les traces des civilisations pr;coces. De plus, l'absence ;vidente des civilisations plus pr;coces (le paradoxe du Fermi) donne l'authenticit; d;finie ; l'envoi oppos; – ; savoir que l'humanit; est apparue exceptionnellement, il est extr;mement peu probable t;t. L'existence des ;l;ments lourds – la condition sine qua non non seule pour l'apparition de la vie raisonnable Est possible que, et il y a des autres conditions, par exemple que la fr;quence des ;clats proche êâàçàðîâ et hypernouveau a diminu; consid;rablement (mais la densit; de ces objets diminue en effet dans la mesure de l'expansion de l'univers et l';puisement des nuages hydrog;niques). Áîñòðîì et Òåãìàðê ;crivent :« On peut penser qu'une fois la vie ici, par la Terre, a surv;cu pendant environ 4 Ãèãàëåò, tels ;v;nements catastrophiques doivent ;tre exceptionnellement rares. Malheureusement, cet argument est imparfait, et le sentiment cr;; par lui de la s;curit; – est faux. Il ne prend pas en consid;ration l'effet de la s;lection de surveillance, qui ne permet pas ; n'importe quel observateur d'observer quelque chose encore, outre que son aspect a v;cu jusqu'au moment, quand ils ont fait l'observation. M;me si la fr;quence des accidents spatiaux serait tr;s grande, nous devons attendre toujours nous ; d;couvrir sur la plan;te, qui n'est pas encore supprim;e. Ce fait que nous sommes encore vivants, ne peut pas m;me exclure l'hypoth;se qu'en moyenne l'espace cosmique est st;rilis; autour par la d;sagr;gation du vide, pour ainsi dire, toutes les 10 000 ann;es, et que notre plan;te personnelle ;tait simplement extraordinairement chanceuse jusqu'ici. Si cette hypoth;se ;tait fid;le, les perspectives du futur seraient tristes ». Et bien qu'ensuite Áîñòðîì et Òåãìàðê rejettent la supposition selon une haute fr;quence "des accidents st;rilisant», en se fondant sur le temps tardif de l'existence de la Terre, nous ne pouvons pas accepter leur cette conclusion, puisque, comme nous parlions plus haut, l'envoi, sur qui lui est fond;e, incertaine. Cela ne signifie pas, cependant, l'imminence de la proche disparition ; la suite de l'accident universel. La seule notre source des connaissances selon les accidents possibles universels – la physique th;orique, puisque, par la d;finition, un tel accident il il arrivait jamais au cours de la vie de l'Univers (; l'exception de la plus grande Explosion). La physique th;orique engendre la quantit; immense d'hypoth;ses non v;rifi;es, mais en cas des accidents universels ils peuvent ;tre et principalement non contr;l;s. Nous marquerons aussi qu'; partir de la compr;hension d'aujourd'hui, nous ne pouvons pas en aucune mani;re pr;venir l'accident universel, s'en d;fendra (bien que, ;tre nous pouvons, nous pouvons provoquer ; celle-ci – voir le paragraphe sur les exp;riences dangereuses physiques.) Nous d;signerons maintenant la liste possible – du point de vue de certains th;oriciens – les accidents universels :
       1. La d;sagr;gation du vide faux. Nous examinions les probl;mes du vide faux d;j; en rapport avec les exp;riences physiques.
       2. La collision avec l'objet dans l'espace multidimensionnel – áðàíîé. Il y a des suppositions que notre Univers est seulement l'objet dans l'espace multidimensionnel, appel; áðàíîé148 (du mot la "membrane"). Une grande explosion est un r;sultat de la collision de notre áðàíû avec l'autre áðàíîé. S'il y aura encore une collision, il d;truira ; la fois tout notre monde.
       3. Une grande Rupture. L';nergie r;cemment ouverte sombre am;ne, comme il croit, vers l'expansion de l'univers de plus en plus acc;l;r;e. Si la vitesse de l';largissement grandit, un jour cela rompra le Syst;me solaire. Mais il y aura cela dans les dizaines des milliards d'ann;es selon moderne òåîðèÿì149.
       4. Le passage de l';nergie r;siduelle sombre ; la mati;re. R;cemment on faisait la supposition que cette ;nergie sombre peut soudain passer ; la mati;re ordinaire, comme c';tait d;j; au temps de Grand âçðûâà150.
       5. D'autres sc;narios classiques de la destruction de l'univers est la mort thermique li;e ; la croissance de l'entropie et nous alignons les temp;ratures dans l'Univers et la compression de l'univers gr;ce aux forces gravitationnelles. Mais ils d;fendront de nouveau de nous sur les dizaines des milliards d'ann;es.
       6. On peut supposer l'existence on n'a personne du proc;s physique, qui fait l'Univers inapte pour îáèòàíèÿ apr;s un certain moment du temps (comme la faisait inapte pour îáèòàíèÿ l'irradiation intense des noyaux des galaxies – êâàçàðîâ aux premiers milliards d'ann;es de l'existence). Par exemple, un tel proc;s peut ;tre la vapeur des trous originels noirs pour le compte õîêèíãîâñêîãî les irradiations. Si cela ainsi, nous existons dans le laps de temps ;troit, quand l'Univers est habit; – de m;me que la Terre se trouve dans l'espace ;troit de la zone habit;e autour du Soleil, mais le Soleil – dans le domaine ;troit de la galaxie, o; la fr;quence de sa rotation est synchronis;e avec la rotation des branches de la galaxie, gr;ce ; quoi il ne se trouve pas ; l'int;rieur de ces branches et n'est pas influenc; des supernouveaux.
       7. Si notre monde est apparu en quelque sorte de rien ; nous tout ; fait inconnu par l'image, qu'; lui emp;che aussi soudain de dispara;tre ?
Les accidents g;ologiques
       Les accidents g;ologiques tuent ; des millions fois plus les gens, que les chutes des ast;ro;des, cependant eux, ; partir des repr;sentations modernes, sont limit;es selon les ;chelles. Quand m;me cela force ; supposer que les risques globaux li;s aux proc;s ; l'int;rieur de la Terre, surpassent les risques spatiaux. Il est possible qu'il y a des m;canismes de la mise en relief de l';nergie et les gaz toxiques des entrailles du sol, ; qui nous ne nous heurtions pas simplement en vertu de l'effet de la s;lection de surveillance.
Les ;ruptions des supervolcans
       La probabilit; de l';ruption du supervolcan de l'intensit; proportionn;e est consid;rable plus que la probabilit; de la chute de l'ast;ro;de. Cependant pr;venir et m;me pr;dire cet ;v;nement la science moderne non dans les forces. (Dans le futur on r;ussira graduellement ; exciter l'un contre l'autre, probablement, la pression des chambres magmatiques, mais c'est dangereux m;me, puisque demande leur forage êðîâåëü.) la force Principale frappant de la super;ruption – l'hiver volcanique. Elle est plus courte nucl;aire, puisque les particules des cendres volcaniques est plus lourdes, mais de ceux-ci peut ;tre consid;rablement plus. Dans ce cas l'hiver volcanique peut amener ; un nouvel ;tat stable – une nouvelle p;riode glaciaire.
       Une grande ;ruption est accompagn;e par le rejet des gaz toxiques – y compris les liaisons du soufre. ; un tr;s mauvais sc;nario cela peut donner l'empoisonnement consid;rable de l'atmosph;re. Cet empoisonnement non seulement fera par son peu utile pour la respiration, mais aussi am;nera aux pluies universelles acides, qui br;leront la v;g;tation et priveront les gens des r;coltes. De grands rejets äèîêñèäà sont aussi possibles au carbone et l'hydrog;ne.
       Enfin, les cendres volcaniques elle-m;me sont dangereuses pour la respiration, puisque obstrue les poumons. Les gens pourront s'assurer facilement par les masques ; gaz et les bandeaux de gaze, mais non le fait que les suffira pour le b;tail et les animaux domestiques. En outre les cendres volcaniques s'endorment tout simplement les surfaces immenses, ainsi que ïèðîêëàñòè÷åñêèå les flux peuvent se r;pandre aux distances consid;rables. Enfin, les explosions des supervolcans engendrent le tsunami.
       Tout cela signifie que les gens, probablement, ;prouveront l';ruption du supervolcan, mais il avec la probabilit; consid;rable exp;diera l'humanit; sur un des stades postapocalyptiques. Une fois l'humanit; s'av;ra ; la fronti;re de la disparition ; cause de l'hiver volcanique provoqu; par l';ruption du volcan Òîáà de 74 000 ann;es en arri;re. Cependant les technologies modernes de la conservation de la nourriture et la construction des bunkers permettent au groupe consid;rable des gens d';prouver l'hiver volcanique d'une telle ;chelle.
       ; l'anciennet; avaient lieu ;norme ïëîùàäíûå les ;ruptions des volcans, qui ont inond; des millions de kilom;tres carr;s par la lave fondue – en Inde sur plateau le Doyen au temps de la disparition äèíîçàâðîâ151 (probablement, est provoqu; par la chute de l'ast;ro;de du c;t; oppos; les Terres, au Mexique), ainsi que sur le quai de Sib;rie orientale. Il y a une supposition douteuse que le renforcement des proc;s du d;gazage hydrog;nique sur la plaine russe est le pr;curseur de l'apparition nouveau magmatique î÷àãà152. Il y a Aussi une supposition douteuse selon la possibilit; du craquage catastrophique de l';corce terrestre selon les lignes des fractures oc;aniques et les fortes explosions de la vapeur sous êîðîé153.
       Il reste les int;ressants la question sur, si augmente la chaleur totale ; l'int;rieur de la Terre pour le compte de la d;sagr;gation des ;l;ments radioactifs, ou au contraire, diminue pour le compte du refroidissement òåïëîîòäà÷åé. Si augmente, l'activit; volcanique doit augmenter ; la longueur de centaines de millions d'ann;es. (A.Azimov ;crit dans le livre «le Choix des accidents», le lien avec les p;riodes glaciaires : «Selon les cendres volcaniques dans les ajournements oc;aniques on peut conclure que l'activit; volcanique ; des derniers 2 millions d'ann;es ;tait environ ; quatre fois d'une mani;re plus intense, que pour les pr;c;dentes de 18 millions d'ann;es» 154.)
La chute des ast;ro;des
       La chute des ast;ro;des et les com;tes est examin;e souvent comme une des raisons possibles de la disparition de l'humanit;. Et bien que telles collisions soient tout ; fait possibles, les chances de la disparition totale ; la suite d'eux, probablement, sont exag;r;s. Voir les articles Ïóñòûíñêîãî155 «les Cons;quences de la chute sur la Terre des grands ast;ro;des» et Vishnevsky «Èìïàêòíûå de l';v;nement et la disparition des organismes».156 Dans le dernier article est fait une conclusion que "l'ast;ro;de par le diam;tre pr;s de 60 km peut devenir la raison de la destruction de tous âûñîêîîðãàíèçîâàííûõ des formes de la vie par la Terre». Cependant un tel montant les ast;ro;des tombent sur la Terre extr;mement rarement, une fois aux milliards d'ann;es. (L'ast;ro;de, simultan; ; la disparition des dinosaures, avait seulement 10 km dans le diam;tre, c'est-;-dire ;tait environ ; 200 fois moins par le volume, et la grande partie de la biosph;re a ;prouv; avec succ;s cet ;v;nement.)
       La chute de l'ast;ro;de Àïîôèñ, qui pourrait se passer en 2029 (maintenant la probabilit; est estim;e par les milli;mes du pour-cent), ne peut aucunement perdre l'humanit;. Le montant de l'ast;ro;de – pr;s de 400 m;tres, l';nergie de l'explosion – de l'ordre de 800 m;gatonnes, la place probable de la chute – l'oc;an Pacifique et le Mexique. N;anmoins, l'ast;ro;de provoquerait le tsunami ;quivalent indon;sien 2004 (seulement 1 pour-cent de l';nergie du tremblement de terre passe dans le tsunami, mais l';nergie du tremblement de terre alors est estim;e ; 30 ãèãàòîíí) selon tout l'oc;an Calme qu'am;nerait aux victimes consid;rables, mais rejetterait peu probablement l'humanit; sur le stade postapocalyptique.
       2,2 millions d'ann;es en arri;re la com;te par le diam;tre de 0,5-2 km (et donc, avec consid;rablement áîëüøåé par l';nergie) est tomb;e entre l'Am;rique du sud et l'Antarctide (Eltaninsky êàòàñòðîôà157). L'onde dans 1 km de la hauteur jetait les baleines aux Andes. N;anmoins, les anc;tres des gens modernes vivant en Afrique, n'ont pas souffert. Dans les alentours de la Terre il n'y a pas d'ast;ro;des par les montants, qui pourraient supprimer tous les gens et toute la biosph;re. Cependant les com;tes d'un tel montant peuvent venir du nuage Îîðòà. Dans l'article Íàïèðà etc.« Les com;tes avec la capacit; basse refl;tant et le risque des collisions spatiales »158 se montre que le nombre des com;tes dangereuses peut ;tre essentiel íåäîîöåíèâàòèüñÿ, puisque la quantit; observ;e de com;tes ; 1000 fois moins attendu est est li; ce que les com;tes apr;s quelques vols autour du Soleil se couvrent de la cro;te sombre, cessent de refl;ter la lumi;re et deviennent imperceptible. Telles com;tes sombres íåîáíàðóæèìû par les moyens modernes. En outre la mise en relief des com;tes du nuage Îîðòà d;pend de ïðèëèâíûõ des forces cr;;es par la Galaxie sur le Syst;me solaire. Ceux-ci ïðèëèâíûå les forces augmentent, quand le Soleil passe dans les domaines plus denses de la Galaxie, ; savoir, dans les manches spirales et le plan galactique. Et juste maintenant nous passons dans le plan galactique que signifie qu'; l';poque actuelle le bombardement com;taire ; 10 fois est plus fort, qu'en moyenne pour l'histoire de la Terre. Íàïèð lie les ;poques pr;c;dentes des bombardements intenses com;taires avec massif âûìèðàíèÿìè 65 et 251 millions Il y a des ann;es.
       Le facteur principal frappant ; la chute de l'ast;ro;de serait devenue non seulement l'onde-tsunami, mais aussi «l'hiver ast;ro;dal», li; avec le rejet des particules de la poussi;re ; l'atmosph;re. La chute du grand ast;ro;de peut provoquer les d;formations dans l';corce terrestre, qui am;neront aux ;ruptions des volcans. En outre un grand ast;ro;de provoquera le tremblement de terre universel dangereux en premier lieu pour la civilisation technog;ne.
       Le sc;nario du bombardement intense de la Terre est plus dangereux pour la multitude d';clats. Alors le coup sera distribu; plus r;guli;rement et demandera d'une plus petite quantit; de document. Ces ;clats r;sulter de la d;sagr;gation les d;sagr;gations de la com;te sur le flux des fragments (le m;t;orite Des Toungouses ;tait, probablement, l';clat de la com;te Ýíêå) peuvent n'a personne du corps spatial (voir ensuite sur la menace de l'explosion Êàëëèñòî), ; la suite de l'atteinte de l'ast;ro;de ; la Lune ou ; titre du facteur secondaire frappant de la collision de la Terre avec un grand corps spatial. Plusieurs com;tes comprennent d;j; les groupes des fragments, ainsi que peuvent tomber en ruines dans l'atmosph;re sur mille morceaux. Cela peut se passer et finalement de l'essai manqu; casser l'ast;ro;de avec l'aide de l'arme atomique.
       La chute des ast;ro;des peut provoquer l';ruption des supervolcans, si l'ast;ro;de se trouve dans le terrain fin de l';corce terrestre ou au couvercle de la chaudi;re magmatique du volcan, ou si le progr;s des races du coup inqui;te les volcans ;loign;s. Les races fondues de fer form;es ; la chute de l'ast;ro;de de fer, peuvent jouer le r;le de "la sonde Ñòèâåíñîíà» – s'il est possible en g;n;ral, – c'est-;-dire ïðîïëàâèòü l';corce terrestre et le manteau, ayant form; le canal aux entrailles du sol qu'est gros de l'activit; ;norme volcanique. Bien qu'il est ordinaire de cela ne se passait pas ; la chute des ast;ro;des sur la Terre, les "mers" de lune pouvaient appara;tre notamment ainsi. En outre les effusions des races magmatiques pouvaient cacher les crat;res de tels ast;ro;des. Telles effusions sont Sib;rien òðàïïîâûå les basaltes et plateau le Doyen en Inde. Dernier simultan;ment ; deux grands impacts (×èêñóëóá et le crat;re Øèâû). On peut supposer que les ondes explosives de ces impacts, ou le troisi;me corps spatial, le crat;re de qui ne s'est pas gard;, ont provoqu; cette ;ruption. Il n'est pas ;tonnant que quelques grands impacts se passent simultan;ment. Par exemple, les noyaux des com;tes il est naturel de comprendre quelques fragments s;par;s – par exemple, la com;te Shumejkera-Levi se gravant au Jupiter en 1994, a laiss; sur lui la trace pointill;e, puisque au moment de la collision s'est d;sagr;g;e d;j; sur les fragments. En outre il y avoir ;tre des p;riodes de la formation intense des com;tes, quand le Syst;me solaire passe ; c;t; d'une autre ;toile. Ou ; la suite de la collision des ast;ro;des dans la zone àñòåðîèäîâ159.
       Beaucoup plus dangereusement explosions a;riennes des m;t;orites ; quelques dizaines des m;tres par le diam;tre, qui peuvent provoquer les fonctionnements faux des syst;mes de la pr;vention de l'attaque nucl;aire, ou les atteintes de tels m;t;orites aux r;gions de la fondation des fus;es.
       Pustynsky dans l'article vient aux conclusions suivantes, avec qui je suis enti;rement solidaire :« Selon les estimations faites dans le pr;sent article, la pr;diction de la collision avec l'ast;ro;de n'est pas garantie jusqu'ici et est l'affaire du cas. On ne peut pas exclure que la collision se passera tout ; fait brusquement. De plus pour la pr;vention de la collision il est n;cessaire d'avoir le stock du temps de l'ordre de 10 ans. La d;tection de l'ast;ro;de quelques mois avant la collision permettrait d';vacuer la population et les entreprises jaderno-dangereuses dans la zone de la chute. La collision avec les ast;ro;des du petit montant (jusqu'; 1 km par le diam;tre) n'am;nera pas vers un peu consid;rable îáùåïëàíåòíûì aux cons;quences (en excluant, certes, le coup direct pratiquement improbable ; la r;gion de l'accumulation des documents nucl;aires). La collision avec de plus grands ast;ro;des (environ de 1 ; 10 km par le diam;tre, en fonction de la vitesse de la collision) est accompagn;e par l'explosion la plus puissante, la destruction compl;te du corps tombant et le rejet ; l'atmosph;re jusqu'; quelques mille km cubiques. Les races. Selon les cons;quences ce ph;nom;ne est compar; avec les plus grands accidents de l'origine terrestre, tels que les ;ruptions explosives des volcans. La destruction dans la zone de la chute seront total, mais le climat de la plan;te changera d'une mani;re saccad;e et viendra ; la norme seulement dans quelques ann;es (mais non des d;cennies et les si;cles!) Ïðåóâåëè÷åííîñòü les menaces de l'accident global se confirme par ce fait que pour l'histoire la Terre a transf;r; la multitude de collisions avec les ast;ro;des semblables, et cela n'a pas laiss; est prouv; de la trace consid;rable dans sa biosph;re (en tout cas, laissait pas toujours). Seulement la collision avec de plus grands corps spatiaux (le diam;tre plus ~15-20 le km) peut exercer l'influence plus consid;rable sur la biosph;re de la plan;te. Telles collisions se passent moins souvent, qu'une fois ; 100 millions d'ann;es, et nous n'avons pas encore des m;thodes permettant m;me approximativement compter leurs cons;quences ».
       Donc, la probabilit; de la destruction de l'humanit; ; la suite de la chute de l'ast;ro;de dans le XXI si;cle est extr;mement petite. Dans la mesure du d;veloppement de notre civilisation nous pouvons sans restriction la diminuer. Cependant de grands accidents sont possibles. Il y a une certaine chance de la contamination de l'espace cosmique par les grands ;clats ; la suite de la guerre spatiale dans le futur.
La zone de la d;faite en fonction de la force de l'explosion
       Ici nous examinerons l'action frappant de l'explosion ; la suite de la chute de l'ast;ro;de (ou pour n'importe quelle autre raison). L'analyse d;taill;e avec les conclusions analogues voir dans l'article Pustnysky.
       La zone de la d;faite grandit tr;s lentement avec la croissance de la force de l'explosion qu'exactement comme des ast;ro;des, et pour les bombes atomiques ; puissance renforc;e. Bien que l';nergie de l'influence tombe en proportion du carr; de la distance de l';picentre, ; l'explosion gigantesque elle tombe beaucoup plus vite, premi;rement, ; cause de la courbure de la Terre, qui prot;ge quoi que ce que se trouve apr;s l'horizon (c'est pourquoi les explosions atomiques sont plus effectives dans l'air, et non par la terre), mais deuxi;mement, puisque la capacit; de la mati;re est ;lastique remettre l'onde explosive est limit; par une certaine limite par dessus, et toute l';nergie n'est pas remise de plus, mais se transforme en chaleur du c;t; de l';picentre. Par exemple, dans l'oc;an il n'y avoir pas appara;tre onde plus haut sa profondeur, mais puisque l';picentre de l'explosion de points (; la diff;rence de l';picentre du tsunami ordinaire, qu'elle repr;sente la ligne de la fracture), puis diminuera de ligne en fonction de la distance. La chaleur exc;dentaire form;e ; l'explosion, ou rayonne ; l'espace, ou il reste en forme du lac de la substance fondue dans l';picentre. Le soleil livre pour les jours ; la Terre l';nergie lumineuse de l'ordre de 1000 ãèãàòîíí (10 joules), c'est pourquoi le r;le du d;p;t thermique de la superexplosion ; la temp;rature totale de la Terre est pas grand. (D'autre part, le m;canisme de la diffusion de la chaleur de l'explosion sera plut;t non les flux de l'air chauff;, mais les kilom;tres cubiques jet;s par l'explosion des ;clats avec la masse comparable avec la masse de l'ast;ro;de, mais une plus petite ;nergie, plusieurs de qui auront la vitesse proche vers premi;re spatiale, et en vertu de cela voler selon les trajectoires balistiques, comme voleront les fus;es intercontinentales. ; l'heure eux est atteint de tous les coins de la Terre, et bien qu'ils, en agissant comme l'arme cin;tique, frapperont pas chaque point sur les surfaces, ils mettront en relief ; l'entr;e ; l'atmosph;re les quantit;s immenses d';nergie, c'est-;-dire chaufferont l'atmosph;re selon toute la place de la Terre, probablement, jusqu'; la temp;rature de l'inflammation de l'arbre qu'aggravera encore le proc;s.)
       Nous pouvons ; titre indicatif trouver que la zone de la destruction grandit en proportion de la racine de 4 degr;s au maximum l'explosion (les significations exactes sont d;finies par les militaires empiriquement ; la suite des essais et se trouvent entre les degr;s 0,33 et 0,25, en d;pendant de plus de la force de l'explosion, les hauteurs, etc.). De plus chaque tonne de masse du m;t;orite donne environ 100 tonnes òðîòèëîâîãî de l';quivalent de l';nergie – en fonction de la vitesse de la collision, qui fait d'habitude quelques dizaines des kilom;tres par seconde. (Dans ce cas l'ast;ro;de en pierre dans 1 km cubiques. Par le montant donnera l';nergie ; 300 Ãèãàòîíí. La densit; des com;tes est consid;rablement plus petite, mais ils peuvent se r;pandre dans l'air, en intensifiant le coup, et, en outre äâèæóòñÿ selon les orbites rapides aux vitesses beaucoup plus grandes.) En acceptant que le rayon de la d;faite totale de la bombe ; hydrog;ne ; 1 m;gatonne fait 10 km, nous pouvons recevoir les rayons de la d;faite pour les ast;ro;des des diff;rents montants, en trouvant que le rayon de la d;faite diminue en proportion du quatri;me degr; la force de l'explosion. Par exemple, pour l'ast;ro;de dans 1 km cubiques ce sera le rayon dans 230 km. Pour l'ast;ro;de par le diam;tre dans 10 km ce sera le rayon dans 1300 km. Pour 100 km de l'ast;ro;de ce sera le rayon de la d;faite de l'ordre de 7000 km. Pour que ce rayon de la d;faite garantie devienne plus que la moiti; de la largeur de la Terre (20 000 km), c'est-;-dire garanti couvrait toute la Terre, l'ast;ro;de doit avoir les montants de l'ordre de 400 km. (Si trouver que le rayon de la d;faite grandit comme la racine du troisi;me degr;, ce sera le diam;tre de l'ast;ro;de supprimant tout pr;s de 30 km. La signification r;elle se trouve entre ces deux chiffres (30-400 km), se trouve ici l'estimation Pustynsky, accompli par lui est ind;pendant : 60 km.)
       Bien que les calculs donn;s soient extr;mement approximatifs, d'eux on voit que m;me cet ast;ro;de, que lient ; la disparition des dinosaures, n'a pas du tout frapp; tout le territoire de la Terre, et tout le continent, o; il est tomb;. Mais la disparition, si ;tait li; ; l'ast;ro;de (maintenant est consid;r;e que l; la structure complexe des raisons), ;tait provoqu; par le coup non lui-m;me, mais l'effet ult;rieur – «l'hiver ast;ro;dal», la poussi;re li;e au transfert par l'atmosph;re. Aussi la collision avec l'ast;ro;de peut provoquer l'impulsion ;lectromagn;tique, comme pr;s de la bombe atomique, pour le compte du mouvement rapide du plasma. En outre il est int;ressant d';tre donn; par la question, s'il n'y avoir pas appara;tre r;actions thermonucl;aires ; la collision avec la com;te, si sa vitesse est proche vers au maximum possible pr;s de 100 km/s (la com;te sur le cours de rencontre, le plus mauvais cas), puisque dans le point du coup il y avoir appara;tre une temp;rature ; des millions de degr;s et la pression immense, comme ; l'implosion dans la bombe nucl;aire. Et m;me si le d;p;t de ces r;actions dans l';nergie de l'explosion sera petit, il peut donner la pollution radioactive.
       Une forte explosion cr;era une forte pollution chimique de toute l'atmosph;re, quand m;me îêèñëàìè de l'azote, qui formeront les pluies de l'acide nitrique. Et une forte explosion obstruera l'atmosph;re par la poussi;re que cr;era les conditions pour l'hiver nucl;aire.
       De dit il faut que la superbombe atomique serait terrible non par la force de l'explosion, mais la quantit; de retomb;es atomiques, qui elle produirait. En outre on voit que l'atmosph;re terrestre joue le r;le du facteur le plus puissant de la diffusion des influences.
Les ;ruptions solaires et l'augmentation ñâåòèìîñòè
       Ce que nous est connu le Soleil, ne donne pas les raisons pour l'inqui;tude. Le soleil ne peut pas sauter. Seulement la pr;sence inconnu ; nous ou les proc;s extr;mement peu probables peut amener ; l';clat (le rejet coronaire), qui br;lera fortement la Terre dans le XXI si;cle. Mais pr;s d'autres ;toiles les ;clats, ; des millions de fois les solaires surpassant arrivent. Cependant le changement ñâåòèìîñòè les Soleils exerce l'influence sur le changement du climat de la Terre que prouve la co;ncidence du temps de la petite p;riode glaciaire ; XVII si;cle avec le minimum des taches solaires Ìàóíäåðà160. Probablement, on lie aux h;sitations ñâåòèìîñòè les p;riodes glaciaires.
       Le proc;s de l'augmentation graduelle ñâåòèìîñòè am;nera les Soleils (sur 10 pour-cent chacuns le milliard ëåò161) vers âûêèïàíèþ des oc;ans – avec le compte des autres facteurs de l';l;vation de la temp;rature – pendant 1 milliard ëåò162 (c'est-;-dire beaucoup plus t;t, que le Soleil deviendra le g;ant rouge et, surtout, le nain blanc). Cependant en comparaison de l'intervalle ;tudi; par nous dans 100 ans ce proc;s est insignifiant (si seulement il ne s'est pas form; avec d'autres proc;s conduisant ; l';l;vation de la temp;rature irr;versible globale – voir ensuite).
       Il y a des suppositions que dans la mesure de la br;lure de l'hydrog;ne dans la partie centrale du Soleil que se passe d;j;, grandira non seulement ñâåòèìîñòü les Soleils (ñâåòèìîñòü grandit pour le compte de la croissance de ses montants, et non les temp;ratures de la surface), mais aussi l'instabilit; de sa combustion. Il est possible que les derni;res p;riodes glaciaires sont li;es ; cette r;duction de la stabilit; de la combustion. C'est clair sur la m;taphore suivante : quand dans le feu il y a beaucoup de bois, il br;le vivement et constamment, mais quand la grande partie des bois se ruine, il commence un peu ; ;teindre, ;clater vivement de nouveau, quand trouve la branche ne br;lant pas.
       La r;duction de la concentration de l'hydrog;ne au centre du Soleil peut provoquer un tel proc;s comme la convection, qui est ordinaire dans le noyau du Soleil ne se passe pas, ; la suite de quoi au noyau entrera frais âîäîðîä163. Si un tel proc;s est possible, s'il l'y aura harmonieux ou catastrophique, si prendra les ann;es ou des millions d'ann;es, on ne saurait dire. Shklovsky ïðåäïîëàãàë164 qu'; la suite des convections la temp;rature du Soleil tombe tous les 200 millions d'ann;es pour l'ordre 10 millions, et que nous vivons dans le milieu d'une telle p;riode. C'est-;-dire l'ach;vement de ce proc;s, quand le combustible frais entrera enfin au noyau est dangereux et ñâåòèìîñòü les Soleils augmentera. (C'est cependant la th;orie marginale, et ; pr;sent on permet un des probl;mes principaux, qui l'a engendr; – le probl;me des neutrinos solaires.)
       Consid;rablement, cependant, souligner que comme supernouveau ou nouveau le Soleil, ; partir de nos repr;sentations physiques, ;clater ne peut pas.
       D'autre part pour interrompre la vie raisonnable par la Terre, au Soleil il suffit de se r;chauffer sur 10 pour-cent en 100 ans (qu'augmenterait la temp;rature par la Terre de 10-20 degr;s sans effet de serre, mais avec le compte de l'effet de serre, probablement, il il se se trouva plus haut seuil critique de l';l;vation de la temp;rature irr;versible). Il serait difficile de remarquer tels changements lents et rares de la temp;rature des ;toiles du type solaire par les m;thodes astronomiques ; l'observation ñîëíöåïîäîáíûõ des ;toiles – puisque l'on atteint r;cemment seulement l'exactitude n;cessaire de l';quipement. (En outre le paradoxe logique de l'aspect suivant est possible : ñîëíöåïîäîáíûå les ;toiles sont des ;toiles stables de la classe spectrale G7 par la d;finition. Il n'est pas ;tonnant qu'; la suite de leur observation nous d;couvrons que ces ;toiles sont stables.)
       Donc, une des variantes de l'accident global est qu'; la suite de certains proc;s int;rieurs ñâåòèìîñòü les Soleils augmentera constamment de la valeur dangereuse (et nous connaissons que t;t ou tard cela se passera). ; pr;sent le Soleil se trouve sur la tendance remontant s;culaire de l'activit;, mais aucunes anomalies sp;ciales de sa conduite il n';tait pas remarqu;. La probabilit; de ce que cela arrivera notamment dans le XXI si;cle, – est extr;mement petite.
       La deuxi;me variante de l'accident global li; au Soleil, est qu'il y aura deux ;v;nements peu probables – il y aura au soleil un tr;s grand ;clat et le rejet de cet ;clat sera dirig; sur la Terre. En ce qui concerne la distribution de la probabilit; d'un tel ;v;nement on peut supposer que la m;me loi empirique qu'en ce qui concerne les tremblements de terre et les volcans ici agit : 20 ;nergies multiples la croissance de l';v;nement am;nent ; 10 r;duction multiple de sa probabilit; (la loi de la r;p;tition Gutenberga-Rihtera). ; XIX si;cle on observait l';clat ; 5 fois, pour les estimations modernes, plus fort, que le plus fort ;clat dans le XX si;cle. Il est possible qu'une fois aux dizaines et centaines de mille ann;es se passe au soleil les ;clats analogues selon la raret; et l'envergure aux ;ruptions terrestres des supervolcans. C'est Quand m;me les ;v;nements extr;mement rares. De grandes ;ruptions solaires, m;me s'ils ne seront pas dirig;s sur la Terre, peuvent un peu augmenter solaire ñâåòèìîñòü et amener ; la chauffe suppl;mentaire de la Terre. (Les ;clats ordinaires donnent le d;p;t pas plus de 0,1 pour-cent).
       ; pr;sent l'humanit; est incapable comme-ou influencer les proc;s au soleil, et cela a l'air beaucoup plus complexe, que l'influence sur les volcans. Les id;es de la faille des bombes ; hydrog;ne au soleil pour l'initiation de la r;action thermonucl;aire ont l'air d'une mani;re non convaincante (cependant tels s'exprimaient que parle sur les recherches infatigables par l'esprit humain de l'arme du dies irae).
       Il y a assez exactement sc;nario compt; de l'influence sur la Terre de l';ruption solaire magn;tique faisant. Au plus mauvais sc;nario (que d;pend au maximum l'impulsion magn;tique et son orientation – il doit ;tre oppos; au champ magn;tique terrestre), cet ;clat cr;era les pointages les plus forts dans les cha;nes ;lectriques des lignes du transport du courant ;lectrique lointain qu'am;nera ; la br;lure des transformateurs sur les sous-stations. Dans les conditions normales la r;novation des transformateurs prend 20-30 ans, et s'ils br;lent, les remplacer on n'aura rien, puisque l'on demandera plusieurs ann;es sur la production de la quantit; analogue de transformateurs qu'il sera difficile d'organiser sans ;lectricit;. Une telle situation am;nera peu probablement ; la disparition humaine, mais est grosse de la crise mondiale globale ;conomique et les guerres que peut lancer la cha;ne de l'aggravation ult;rieure. Il est difficile d'estimer la probabilit; d'un tel sc;nario, puisque nous poss;dons les r;seaux ;lectriques seulement environ cent ans.
Les gamma-rejaillissements
       Les gamma-rejaillissements sont des flux intenses courts des rayons gamma venant de l'espace ;loign;. Les Gamma-rejaillissements rayonnent, apparemment, en forme des touffes ;troites, et c'est pour cela que leur ;nergie plus concentr;, qu'aux explosions ordinaires des ;toiles. Probablement, de forts gamma-rejaillissements des proches sources ont servi des raisons de quelques âûìèðàíèé les dizaines et centaines de millions d'ann;es íàçàä165. Il est suppos; que les gamma-rejaillissements se passent aux collisions des trous noirs et les ;toiles ; neutrons ou les collapsus des ;toiles massives. Les proches gamma-rejaillissements pourraient provoquer la destruction de la couche d'ozone et m;me l'ionisation de l'atmosph;re. Cependant dans l'entourage plus proche de la Terre on ne voit pas les candidats convenants ni sur les sources des gamma-rejaillissements, ni sur supernouveau (le candidat plus proche ; la source du gamma-rejaillissement, l';toile Celui-ci de la la Quille – est assez ;loign; – de l'ordre de 7000 ans lumineux et peu probablement son axe de l'explosion in;vitable dans le futur sera dirig; sur la Terre – les gamma-rejaillissements se r;pandent dans l'aspect óçêîíàïðàâëåííûõ des touffes-dzhetov; Cependant pr;s de l';toile-hypernouvelle potentielle de l';toile WR 104 se trouvant sur la presque m;me distance, l'axe est dirig; presque de c;t; Çåìëè166. Cette ;toile sautera pendant les quelque centaines plus proches de mille ann;es que signifie la chance de l'accident avec elle dans le XXI si;cle moins de 0.1 %, mais avec le compte de l'incertitude de ses param;tres de la rotation et nos connaissances selon les rejaillissements gamma-et encore ìåíüøå167). C'est pourquoi, m;me avec le compte de l'effet de la s;lection de surveillance, qui augmente la fr;quence des accidents dans le futur en comparaison du pass; dans certains cas jusqu'; 10 fois (voir mon article «les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe») la probabilit; du gamma-rejaillissement dangereux dans le XXI si;cle n'exc;de pas les milli;mes parts du pour-cent. Surtout les gens pourront ;prouver m;me le gamma-rejaillissement s;rieux dans de divers bunkers. En estimant le risque gamma-âñïëåêñîâ, Boris Shtern ;crit :« Nous prendrons le cas mod;r; ýíåðãîâûäåëåíèÿ 10 ** 52 ergs et la distance avant le rejaillissement de 3 parsecs, 10 ann;es lumineuses, ou 10 ** 19 sm — dans telles limites de nous se trouvent des dizaines des ;toiles. Sur une telle distance en tr;s peu de secondes sur chaque centim;tre carr; ;t; pris sur les voies des gamma-quanta de la plan;te se s;cr;tera 10 ** 13 erg. Cela d'une mani;re ;quivalente ; l'explosion de la bombe atomique sur chaque hectare du ciel! L'atmosph;re n'aide pas : au moins l';nergie sera ;clair;e dans ses couches sup;rieures, la partie consid;rable arrivera instantan;ment ; la surface en forme de la lumi;re. Clairement que tout vivant sur la moiti; de la plan;te sera instantan;ment extermin;, sur la deuxi;me moiti; un peu plus tard aux frais des effets secondaires. M;me si nous prendrons ; 100 fois áîëüøåå la distance (cela d;j; l';paisseur du disque galactique et centaine de mille ;toiles), l'effet (selon la bombe atomique sur le carr; avec la partie de 10 km) sera le coup tr;s difficile, et il faut d;j; s;rieusement estimer ici — que survivra et si survivra en g;n;ral quelque chose ».1 168 Øòåðí croit que le gamma-rejaillissement dans Notre galaxie arrive en moyenne une fois ; un million d'ann;es. Le Gamma-rejaillissement d'une telle ;toile, comme WR 104, peut provoquer la destruction intense de la couche d'ozone sur la moiti; de la plan;te. Probablement, le gamma-rejaillissement est devenu la raison Îðäîâèêîâîãî de la disparition 443 millions d'ann;es en arri;re, quand ont p;ri 60 % des aspects des essentiels vivants (et est consid;rable une grande part d'apr;s le nombre les individus, puisque pour la survie de l'aspect il suffit la pr;servation seulement quelques individus). ; l'avis de Äæîíà Ñêåéëî (John Scalo) et Êðåéãà Óèëåðà (Craig Wheeler), les gamma-rejaillissements exercent l'influence essentielle sur la biosph;re de notre plan;te approximativement chaque cinq millions ëåò169.
       M;me le gamma-rejaillissement ;loign; ou un autre ;v;nement de haute ;nerg;tique spatial peut ;tre la d;faite dangereusement de radiation de la Terre – et en outre non seulement l'irradiation directe, que l'atmosph;re bloque dans une grande mesure (mais les avalanches des particules de âûñîêîýíåðãåòè÷íûõ des particules spatiales atteignent de la surface de la terre), mais aussi pour le compte de la formation dans l'atmosph;re des atomes radioactifs qu'am;nera au sc;nario semblable d;crit en rapport avec bombe du cobalt. En outre la gamme l'irradiation provoque l'oxydation de l'azote de l'atmosph;re, ; la suite de quoi se forme le gaz toxique opaque – äèîêñèä de l'azote, qui, îáðàçóÿñü dans les couches sup;rieures de l'atmosph;re, peut bloquer la lumi;re solaire et provoquer une nouvelle p;riode glaciaire. Il y a une hypoth;se que íåéòðèííîå l'irradiation apparaissant aux explosions supernouvelle, peut dans certains cas amener vers la disparition massive, puisque le neutrino est ;lastique se diffusent par les atomes lourds avec áîëüøåé par la probabilit;, et l';nergie de cette dispersion est suffisante pour la violation des liens chimiques, mais c'est pourquoi les neutrinos provoqueront plus souvent les endommagements de l'ADN, que d'autres aspects de la radiation ayant beaucoup plus grande ýíåðãèþ170.
       Le danger du gamma-rejaillissement dans sa soudainet; – lui commence sans pr;vention des sources invisibles et se r;pand ; la vitesse de la lumi;re. Dans tous les cas, le gamma-rejaillissement peut frapper seulement un h;misph;re de la Terre, puisque dure seulement quelques secondes ou les minutes.
       L'intensification du noyau de la galaxie (o; il y a un trou immense noir) aussi l';v;nement tr;s peu probable. Dans de jeunes galaxies ;loign;es tels noyaux absorbent activement la substance, qui s'enroule ; la chute ; àêêðåöèîííûé le disque et ;met d'une mani;re intense. Cette irradiation tr;s puissant peut emp;cher l'apparition de la vie sur les plan;tes. Cependant le noyau de notre galaxie est tr;s grand et c'est pour cela que peut absorber les ;toiles presque ; la fois, sans les rompre sur les parties, et donc, avec une plus petite irradiation. En outre il est tout ; fait observ; dans les rayons infrarouges (la source le Sagittaire), mais est ferm; par une grosse couche de la poussi;re dans la gamme optique, et ; c;t; du trou noir il n'y a pas de grande quantit; de la substance pr;te ; l'absorption elle, – seulement une ;toile sur l'orbite avec la p;riode dans 5 ans, mais aussi elle peut voler encore tr;s longtemps. Et l'essentiel, lui beaucoup loin du Syst;me solaire.
       Except; les gamma-rejaillissements lointains, les gamma-rejaillissements mous li;s aux proc;s catastrophiques sur les ;toiles sp;ciales ; neutrons – ìàãíèòàðàõ arrivent. Le 27 ao;t 1998 l';clat sur ìàãíèòàðå a amen; ; la r;duction instantan;e de la hauteur de l'ionosph;re de la Terre sur 30 km, cependant celui-ci ìàãíèòàð ;tait sur la distance de 20 000 ann;es lumineuses. Ìàãíèòàðû dans les alentours de la Terre sont inconnus, mais les d;couvrir il peut ne pas ;tre simple.
       Notre estimation de la probabilit; des gamma-rejaillissements dangereux peut ;tre (mais peut et ne pas ;tre) est s;rieusement d;form;e par l'action de l'effet de la s;lection de surveillance ; l'esprit àíòðîïíîãî du principe; de plus, peut se faire sentir ici l'effet de "la demande remise» – c'est-;-dire ces ;toiles, qui "ont remis" (plus exactement, nous les observons par tels ; la force àíòðîïíîãî du principe) le gamma-rejaillissement pour que la vie raisonnable par la Terre puisse se former, maintenant peuvent le r;aliser. (Il y a des suppositions que la vie dans l'Univers est extr;mement rare notamment, parce que la majorit; ;crasante des plan;tes est st;rilis;e par les gamma-rejaillissements.) voir plus en d;tail mon article «les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe». 171
Les supernouvelles ;toiles
       Le danger r;el pour la Terre pr;senterait une proche explosion supernouveau sur la distance jusqu'; 25 lumineux est mis ou m;me ìåíüøå172. Mais dans les alentours du Soleil il n'y a pas d';toiles, qui pourraient devenir dangereuses supernouveau. (Les candidats plus proches – le Monde et Áåòåëüãåéçå – se trouvent sur la distance de centaines d'ann;es lumineuses.) en outre l'irradiation supernouveau est le proc;s assez lent (dure les mois), et les gens peuvent avoir le temps de se cacher aux bunkers. Enfin, seulement si la supernouvelle dangereuse est s;v;re dans le plan ;quatorial de la Terre (qu'est peu probable), elle pourra irradier toute la surface de la terre, dans le cas contraire un des p;les survivra. Si voir l'aper;u de Michael Richmonda «Menace proche supernouvel ; la vie par la terre» 173 ? Les assez proches supernouveaux peuvent ;tre les sources des rayons cosmiques, qui am;neront ; l'augmentation rude de la n;bulosit; par la Terre qu'est li; ; l'augmentation du nombre des centres de la condensation de l'eau. Cela peut amener au refroidissement rude du climat sur de longue dur;e ïåðèîä174.
Le super-tsunami
       La m;moire ancienne humaine ; titre de l'accident le plus terrible d;nonce les souvenirs de l'inondation ;norme. Cependant par la Terre il n'y a pas de telle quantit; d'eau pour que le niveau de l'oc;an se l;ve plus haut montagnes. (Les messages sur l'ouverture r;cente des oc;ans souterrains sont un peu exag;r;s – en r;alit; les paroles vont seulement sur les roches avec le contenu augment; de l'eau – au niveau de 1 ïðîöåíòà175.) Une moyenne profondeur de l'oc;an mondial – pr;s de 4 km. Et la hauteur limite maxima de l'onde du m;me ordre – si examiner la possibilit; elle-m;me de l'onde, sinon, si les raisons, qui cr;eront l'onde d'une telle hauteur sont possibles. Cela moins que la hauteur des plateaux de haute montagne ; Ãèìàëàÿõ, o; il y a aussi des gens. Les variantes, quand une telle onde est possible est gigantesque ïðèëèâíàÿ l'onde qui est apparue si ; c;t; de la Terre volerait sur le corps tr;s massif, ou si l'axe de rotation de la Terre se serait d;plac; ou la vitesse de la rotation changerait. Toutes ces variantes, bien que se rencontrent ; diff;rent «ñòðàøèëêàõ» sur la fin de la lumi;re, ont l'air impossible ou peu probable.
       Donc, il est tr;s peu probable que le tsunami gigantesque supprimera tous les gens - d'autant plus que les sous-marins, plusieurs navires et les avions survivront. Cependant le tsunami gigantesque peut supprimer la partie consid;rable de la population de la Terre, ayant traduit l'humanit; au stade postapocalyptique, pour une s;rie de raisons :
       1. L';nergie du tsunami, comme de l'onde superficielle, diminue en proportion 1/R, si le tsunami est provoqu; par la source de points, et ne diminue presque pas, si la source lin;aire (comme au tremblement de terre sur la fracture).
       2. Les pertes sur la transmission de l';nergie par l'onde sont petites.
       3. La part consid;rable de la population de la Terre et la part immense de son potentiel scientifique et industriel et agricole se trouve directement sur la c;te.
       4. Tous les oc;ans et les mers sont li;s.
       5. ; l'id;e d'utiliser le tsunami comme l'arme apparaissait d;j; en URSS en rapport avec l'id;e des cr;ations ãèãàòîííûõ des bombes.
       Plus est ici ce que les tsunamis les plus dangereux sont engendr;s par les sources lin;aires naturelles – les mouvements des fractures g;ologiques, mais les sources les plus accessibles pour la cr;ation artificielle du tsunami – de points : les explosions des bombes, les chutes des ast;ro;des, les effondrements. Mais les ondes des sources exactes diminuent vite.
Le super-tremblement de terre
       Nous appellerons comme le supertremblement de terre de l'h;sitation les surfaces amenant aux destructions compl;tes et embrassant toutes surface de la Terre. Un tel ;v;nement ne pourrait pas tuer tous les gens, puisque seraient rest;s les navires, les avions, et les gens sur la nature. Mais il d;truirait absolument toute la civilisation technog;ne. La source d'un tel supertremblement de terre peuvent devenir :
       * L'explosion du supervolcan
       * La chute de l'ast;ro;de (îâ)
       * L'explosion de la superbombe
       * Le craquage de la Terre en ligne des ;chines oc;aniques
       * Les proc;s inconnus dans le noyau de la Terre.
       ; l';nergie ;gale, le supertremblement de terre sera moins dangereux, que les super-tsunamis, puisque son ;nergie est distribu;e par le volume. Se distinguait la supposition marginale qu'aux tremblements de terre peuvent appara;tre non seulement les d;formations de d;placement, mais aussi les ondes explosives supersoniques.
Ïåðåïîëþñîâêà du champ magn;tique de la Terre
       Nous vivons pendant l'affaiblissement et probablement ult;rieur ïåðåïîëþñîâêè du champ magn;tique de la Terre. Elle-m;me l'inversion du champ magn;tique n'am;nera pas ; la disparition des gens, puisque ïåðåïîëþñîâêà d;j; se passait plusieurs fois dans le pass; sans dommage consid;rable. Au milieu du proc;s ïåðåïîëþñîâêè le champ magn;tique peut tomber sur le terme court jusqu'au z;ro ou le p;le peuvent ;tre orient;s au soleil, quand se trouveront sur l';quateur qu'am;nera ; l'enlisement intense des particules charg;es ; l'int;rieur de l'atmosph;re Çåìëè176. Cependant la combinaison simultan;e de trois facteurs – les chutes jusqu'au z;ro du champ magn;tique de la Terre, l';puisement de la couche d'ozone et une forte ;ruption solaire, quel rejet coronaire sera est dirig; ; l';cart de la Terre peut amener ; la d;faite intense de radiation de la Terre et la destruction de tout æèâîãî177. Ou vers l';chec de tous les syst;mes ;lectriques qu'est gros de la chute de la civilisation technologique. Et non c'est l';chec est terrible, mais que sera dans son proc;s avec l'arme nucl;aire et toutes les autres technologies. Quand m;me le champ magn;tique diminue assez lentement (bien que la vitesse du proc;s s'accro;t), de sorte que peu probablement lui îáíóëèòñÿ ; plus proche quelques dizaines des ann;es. Un autre sc;nario catastrophique – le changement du champ magn;tique est li; aux changements des flux du magma du noyau que peut quelque peu àóêíóòüñÿ sur l'activit; globale volcanique (il y a des donn;es selon la corr;lation des p;riodes de l'activit; et les p;riodes du remplacement des p;les). Le troisi;me risque – la compr;hension possible incorrecte des raisons de l'existence du champ magn;tique de la Terre.
       Il y a une hypoth;se que la croissance du noyau ferme de la Terre a fait le champ magn;tique de la Terre moins stable, et il se soumet ïåðåïîëþñîâêàì tout ÷àùå178 que se conformera ; l'hypoth;se sur l'affaiblissement de la protection, qui nous "donnait" àíòðîïíûé le principe.
L'apparition de la nouvelle maladie dans la nature
       Il est extr;mement peu probable qu'il y aura une maladie capable ; la fois supprimer de tous les gens. M;me en cas de la mutation de la grippe d'oiseau ou la peste ; bubons seront survivant et les non malades. Cependant puisque le nombre de gens grandit, grandit le nombre "des r;acteurs naturels», ; qui on peut cultiver un nouveau virus. C'est pourquoi on ne peut pas exclure les chances de la grande pand;mie dans l'esprit de la grippe de "l'Espagnole" en 1918. Bien qu'une telle pand;mie ne puisse pas tuer tous les gens, elle peut s;rieusement endommager le niveau du d;veloppement de la soci;t;, l'ayant baiss; sur un de ïîñòàïîêàëïòè÷åñêèõ des stades. Un tel ;v;nement peut arriver seulement avant que m;rissent de puissantes biotechnologies, puisqu'ils peuvent cr;er assez vite les m;dicaments contre lui – et ;clipseront simultan;ment les risques des maladies naturelles par la possibilit; ; la vitesse beaucoup plus grande cr;er les artificiels. La pand;mie naturelle est possible et sur un de ïîñòàïîêàëïòè÷åñêèõ aux stades, par exemple, apr;s la guerre nucl;aire, bien que dans ce cas les risques de l'application de l'arme biologique pr;dominent. Pour que la pand;mie naturelle devienne en effet dangereuse pour tous les gens, il y avoir appara;tre simultan;ment une multitude de principalement diff;rents stimulants mortels – que par la voie naturelle est peu probable. Il y a aussi une chance que de puissantes ;pizooties – les syndromes du collapsus des colonies des abeilles CCD179, le microorganisme v;g;tal africain sur le bl; (le moisi ougandais UG99180), la grippe d'oiseau et semblable – violeront le syst;me de l'alimentation des gens tellement que cela am;nera ; la crise mondiale grosse des guerres et la r;duction du niveau du d;veloppement. L'apparition de la nouvelle maladie portera le coup non seulement pour la population, mais aussi selon la coh;rence, qui est un important facteur de l'existence de la civilisation commune plan;taire. La croissance de la population et l'augmentation du volume des cultures identiques agricoles augmentent les chances de l'apparition accidentelle du virus dangereux, puisque augmente la vitesse de "l'exc;dent". Il faut D'ici qu'il y a une limite d;finie du nombre de la population li;e d'un aspect, apr;s qui les nouvelles maladies dangereuses appara;tront chaque jour. Par maladies existant r;ellement il faut marquer deux :
       La grippe d'oiseau. Comme d;j; disait plus d'une fois, la grippe non d'oiseau est dangereuse, mais la mutation possible de la souche H5N1 au virus, capable d';tre remise de la personne chez la personne. Pour cela, en particulier, chez lui doivent changer les albumines fixant sur les surfaces pour qu'il se fixe non au fond des poumons, mais est plus haut, o; il y a plus de chances de se trouver dans les gouttes de la toux. Il est possible que c'est la mutation assez simple. Bien qu'il y a des diff;rentes opinions sur, si est capable H5N1 si de modifier, ; l'histoire il y a d;j; des pr;c;dents des ;pid;mies mortelles de la grippe. La plus mauvaise estimation du nombre des victimes possibles de la grippe modifiant d'oiseau ;tait 400 millions personne. Et bien que cela ne signifie pas la disparition compl;te de l'humanit;, cela exp;diera presque sans faute le monde sur un certain stade postapocalyptique.
       SIDA. Cette maladie sous la forme moderne ne peut pas amener ; la disparition compl;te de l'humanit;, bien qu'il exp;die d;j; une s;rie de pays d'Afrique sur le stade postapocalyptique. Les raisonnements Supotinsky sur la nature ÑÏÈÄà181 et comment sont int;ressants ; l';pid;mie des r;tro-virus plus d'une fois ïðîðåæàëè ; la population des hominid;es. Il suppose aussi que l'HIV ont un porteur naturel, probablement, le microorganisme. Si SIDA a commenc; ; se r;pandre, comme le refroidissement, le sort de l'humanit; serait triste. Cependant et maintenant SIDA presque sur 100 % est mortel, et se d;veloppe assez lentement pour avoir le temps de se r;pandre.
       On peut marquer les nouvelles souches aussi stables aux antibiotiques des microorganismes, par exemple, la feuille de maladie dor; ñòàôèëîêîêêà et le m;dicament - la tuberculose stable. De plus le proc;s de l'accroissement de la stabilit; des divers microorganismes vers les antibiotiques se d;veloppe, et tels organismes se r;pandent de plus en plus que peut ; quelque moment de donner l'onde cumulative par plusieurs maladies stables (au fond de l'immunit; affaiblie des gens). Certes, on peut compter que les supertechnologies biologiques les vaincront, mais si dans l'apparition de telles technologies il y aura un certain retard, le sort de l'humanit; n'est pas enviable. La r;surrection de la variole, la peste et d'autres maladies pass;es bien qu'est possible, mais selon l'isolement chacun d'eux ne peut pas supprimer tous les gens. Selon une des hypoth;ses, les hommes de Neandertal ont disparu ; cause de la vari;t; de la rage de vache, c'est-;-dire les maladies, provoqu; ïðèîíîì (la forme autocatalytique les paquets de l'albumine) et r;pandu au moyen du cannibalisme, de sorte que nous ne pouvons pas exclure le risque de la disparition ; cause de la maladie naturelle et pour les gens.
       Enfin, tout ; fait irresponsable l'histoire a l'air sur ce que le virus de la grippe de "l'Espagnole" ;tait mis en relief des tombeaux, on d;chiffre son code ;tait publi; ; Èíòåðíåòå182. Puis selon les exigences de l'opinion publique le code ont enlev; de l'acc;s ouvert. Mais ensuite il y avait encore un cas, quand ce virus ont envoy; par m;prise selon mille ; laboratoires dans le monde pour le test de l';quipement.
Les risques marginaux naturels
       Ensuite nous mentionnerons les risques globaux li;s aux ;v;nements naturels, la probabilit; de qui dans le XXI si;cle est extr;mement petite, et de plus, la possibilit; elle-m;me de qui est non universellement admise. Bien que moi-m;me, je croie que l'on peut ne pas prendre en compte ces ;v;nements, et ils sont impossibles en g;n;ral, je pense qu'il faut cr;er pour eux la cat;gorie s;par;e dans notre dossier sur les risques pour que, par principe les pr;cautions, garder le vigilance d;fini en ce qui concerne l'apparition de la nouvelle information, pouvant confirmer ces suppositions.
Les proc;s inconnus dans le noyau de la Terre
       Il y a des suppositions que par la source de la chaleur terrestre est le r;acteur naturel nucl;aire sur l'uranium ; quelques kilom;tres le diam;tre au centre ïëàíåòû183. Aux conditions d;finies, suppose V.Anisichkin, par exemple, ; la collision avec une grande com;te, il peut passer ; íàäêðèòè÷åñêîå l';tat et provoquer l'explosion de la plan;te que, probablement, et ;tait la raison de l'explosion du Pha;ton, de qui s'est form;e, probablement, la partie de la zone des ast;ro;des. La th;orie ;videmment contestable, puisque m;me l'existence du Pha;ton n'est pas prouv;e, et vice versa, est consid;r;e que la zone des ast;ro;des s'est form;e des ind;pendants ïëàíåòîçèìàëåé. Un autre auteur, R.Raghavan suppose que le r;acteur naturel nucl;aire au centre de la Terre a le diam;tre dans 8 km et peut se refroidir et cesser de cr;er la chaleur terrestre et magn;tique ïîëå184.
       Si selon les mesures g;ologiques certains proc;s se sont pr;par;s d;j;, cela signifie qu'il est beaucoup plus facile d'appuyer sur «le crochet de d;tente» pour les lancer, – et donc, l'activit; humaine peut les r;veiller. Jusqu'; la fronti;re du noyau terrestre pr;s de 3000 km, mais jusqu'au Soleil de 150 000 000 km. Des accidents g;ologiques chaque ann;e p;rissent les dizaines de mille gens, mais des accidents solaires – personne. Directement sous nous il y a une chaudi;re gigantesque avec la lave coll;e impr;gn;e des gaz serr;s. Les plus grand de la disparition des essentiels vivants corr;lent bien avec les ;poques du volcanisme intense. Les proc;s dans le noyau dans le pass; sont devenus, probablement, les raisons de tels ph;nom;nes terribles, comme òðàïïîâûé le volcanisme. ; la fronti;re de la p;riode de Perm 250 millions d'ann;es en arri;re en Sib;rie orientale s'est ;panch; 2 millions de km cubiques. Les laves qu'; mille fois exc;de les volumes des ;ruptions des supervolcans modernes. Cela a amen; ; la disparition 95 % des aspects.
       Les proc;s dans le noyau sont li;s aussi aux changements du champ magn;tique de la Terre, la physique de quoi n'est pas tr;s claire. V.A.Krasilov dans l'article «le Mod;le áèîñôåðíûõ des crises. Ýêîñèñòåìíûå les reconstructions et l';volution de la biosph;re» suppose que les p;riodes de la constance, mais puis la variabilit; du champ magn;tique de la Terre pr;c;dent ;norme òðàïïîâûì èçëèÿíèÿì185. Maintenant nous vivons pendant la variabilit; du champ magn;tique, mais non apr;s la pause de longue dur;e. Les p;riodes de la variabilit; du champ magn;tique durent les dizaines des millions d'ann;es, en changeant les p;riodes pas moins de longue dur;e de la stabilit;. De sorte qu'au cours des ;v;nements naturel nous avons des millions d'ann;es avant la manifestation suivante òðàïïîâîãî du volcanisme, s'il est en g;n;ral. Le danger principal est qu'ici les gens par n'importe quelles p;n;trations en profondeur les Terres peuvent pousser ces proc;s, si ces proc;s se sont pr;par;s d;j; jusqu'au niveau critique. Dans le noyau liquide terrestre les gaz dilu;s dans lui sont plus dangereux. Notamment ils sont capables d';chapper sur la surface, si on leur accorde le canal. Dans la mesure de la pr;cipitation du fer lourd en bas, il est nettoy; chimiquement (la restitution pour le compte de la temp;rature ;lev;e), et de plus en plus la quantit; de gaz se d;gage, en engendrant le proc;s du d;gazage de la Terre. Il y a des suppositions qu'une puissante atmosph;re de la V;nus a r;sult; relativement du d;gazage r;cemment intense de ses couches profondes. Le danger d;fini pr;sente la tentation recevoir l';nergie gratuite des couches profondes terrestres, en pompant le magma chauff;. (Bien que si cela faire dans les places non li;es avec ïëþìàìè, ce doit ;tre assez s;r). Il y a une supposition que ñïðåääèíã du fond oc;anique des zones ñðåäèííûõ des ;chines se passe non harmonieusement, mais par ;-coups, qui, d'une part, est beaucoup plus rares (c'est pourquoi nous ne les observions pas), que les tremblements de terre dans les zones ñóáäóêöèè, mais avec l'autre – est beaucoup plus puissant. Est opportune Ici la m;taphore suivante : la rupture de la bille a;rienne le beaucoup plus puissant proc;s, que son grippage. La fonte des glaciers am;ne au d;chargement des dalles lithosph;riques et le renforcement de l'activit; volcanique (par exemple, en Islande – ; 100 fois). C'est pourquoi la future fonte de la calotte glaciaire de la Groenlande est dangereuse.
       Enfin, est les suppositions courageuses qu'au centre de la Terre (ainsi que d'autres plan;tes et m;me les ;toiles) se trouvent microscopique (selon les ;chelles astronomiques) les trous vestiges noirs, qui sont apparus encore pendant l'apparition de l'Univers. Voir l'article d'A.G.Parhomova.« Sur les effets possibles li;s ; de petits trous noirs »186. Selon la th;orie de S.Hokinga les trous vestiges doivent lentement s';vaporer, cependant ; la vitesse s'accroissant il est plus proche de la fin de l'existence, de sorte qu'; des derni;res secondes un tel trou produit l';clat avec l';nergie, ;quivalent environ 1000 tonnes de masse (et ; la derni;re seconde 228 tonnes) qu'environ d'une mani;re ;quivalente ; l';nergie 20 000 ãèãàòîíí òðîòèëîâîãî de l';quivalent – elle est ;gale environ ; l';nergie de la collision de la Terre avec l'ast;ro;de dans 10 km ; äèàìåòðå187. Une telle explosion ne d;truirait pas la plan;te, mais provoquerait selon toute la surface le tremblement de terre de la force immense, probablement, suffisant pour d;truire toutes les structures et rejeter la civilisation sur le niveau profond;ment postapocalyptique. Cependant les gens survivraient, quand m;me ceux qui se trouverait dans les avions et les h;licopt;res ; ce moment. Le trou microscopique noir au centre de la Terre ;prouverait simultan;ment deux proc;s – les accr;tions de la substance et la perte de l';nergie õîêèíãîâñêèì par l'irradiation, qui pourraient se trouver dans l';quilibre, cependant le progr;s de l';quilibre ; n'importe quelle partie serait gros de l'accident – ou l'explosion du trou, ou l'absorption de la Terre ou sa destruction pour le compte de la plus forte mise en relief de l';nergie ; l'accr;tion. Je rappelle qu'il n'y a d'aucuns faits confirmant l'existence des trous vestiges noirs est seulement la supposition peu probable, que nous examinons, ; partir du principe de la pr;caution.
Le d;gazage soudain des gaz dilu;s dans l'oc;an mondial
       Ãðåãîðè иñêèí a publi; en 2003 l'article «les ;ruptions Oc;aniques provoqu;es par le m;thane et massives disparition, 188» ; qui examine l'hypoth;se sur ce que la raison plusieurs massif âûìèðàíèé ;tait les violations de l';tat m;tastable des gaz dilu;s dans l'eau, en premier lieu le m;thane. Avec la croissance la pression la dissolubilit; du m;thane grandit, c'est pourquoi dans la profondeur elle peut atteindre des valeurs consid;rables. Mais cet ;tat ìåòàñòàáèëüíî, puisque s'il y aura un malaxage de l'eau, commencera la r;action en cha;ne du d;gazage, comme dans la bouteille ouverte avec le champagne. La mise en relief de l';nergie de plus ; 10 000 fois exc;dera l';nergie de tous les arsenals nucl;aires par la Terre. иñêèí montre que dans le plus mauvais cas la masse des gaz s;cr;t;s peut atteindre des dizaines des trillions des tonnes qu'est comparable avec la masse de toute la biosph;re de la Terre. La mise en relief des gaz sera accompagn;e par de puissants tsunamis et la combustion des gaz. Cela peut amener ou au refroidissement de la plan;te pour le compte de la formation de la suie, ou, au contraire, vers le r;chauffage irr;versible, puisque les gaz s;cr;t;s sont de serre. Les conditions sine qua non pour l'accumulation du m;thane dilu; dans les profondeurs oc;aniques est àíîêñèÿ (l'absence de l'oxyg;ne dilu;, comme, par exemple, en mer Noire) et l'absence du malaxage. Le d;gazage ìåòàíãèäðàòîâ sur le fond maritime peut aussi contribuer au proc;s. Pour provoquer les cons;quences catastrophiques, marque иñêèí, il suffit le d;gazage m;me petit selon la place du terrain de l'oc;an. Le d;gazage soudain du lac de Nios, qui en 1986 a emport; les vies de 1700 personnes est devenu l'exemple de l'accident de la g;n;ration semblable. иñêèí la question sur celle-l;, quelle situation avec l'accumulation des gaz dilu;s dans l'oc;an moderne mondial marque que, demande les ;tudes ult;rieures.
       La quantit; consid;rable d'hydrog;ne sulfur; s'est accumul;e dans la mer Noire, et l; il y a aussi des domaines sans oxyg;ne. Il serait assez facile de provoquer une telle ;ruption, ayant baiss; sous l'eau le tube et ayant commenc; ; balancer selon elle en haut l'eau que pourrait lancer le proc;s s'autorenfor;ant. Cela peut se passer et est accidentel au sondage en eau profonde du fond maritime.
       
La violation de la stabilit; de l'atmosph;re Terrestre
       
       Les ouragans apparaissant par la Terre causent d'habitude seulement le pr;judice local. Le plus fort des ouragans connus en 1780, avait, pour les estimations modernes, la vitesse du vent ; 200 milles par heure (de l'ordre de 100 m;tres par seconde) et a arrach; tous sans exception les arbres sur certaines ;les de la piscine Des Cara;bes, a d;truit tout de la la construction et a perdu la plupart vivant l; ëþäåé189. L'atmosph;re des autres plan;tes est beaucoup moins stable, que terrestre. Par exemple, l'atmosph;re de la V;nus s'adresse autour de la plan;te en 5 jours. Dans l'atmosph;re du Jupiter on sait une Grande tache rouge.
       Êåððè Ýìàíóýëîì (Kerry Emanuel) de l'universit; De Michigan on avance l'hypoth;se que dans le pass; l'atmosph;re de la Terre ;tait beaucoup moins stable qu'a amen; vers massif âûìèðàíèÿì190. Si la temp;rature de la surface de l'oc;an augmenterait de 15-20 degr;s qu'est possible ; la suite de l';l;vation de la temp;rature rude globale, les chutes de l'ast;ro;de ou l';ruption sous-marine, serait apparu soi-disant ãèïåðãàí (Hypercane) – l'ouragan immense, aux vitesses du vent de l'ordre de 200-300 m;tres par seconde, la place avec le continent, une haute stabilit; et la pression au centre pr;s de 0.3 atmosph;res. En se d;pla;ant de la place de l'apparition, un tel ãèïåðãàí supprimerait tout vivant sur la terre, et en m;me temps ; sa place sur le terrain chaud de l'oc;an serait form; nouveau ãèïåðãàí. (Cette id;e est utilis;e dans le roman Áàðíñà «la M;re des temp;tes» - Mother of storms.)
       Ýìàíóýë montre qu'; la chute de l'ast;ro;de par le diam;tre ; la mer peu profonde plus de 10 km (comme c';tait 65 millions d'ann;es en arri;re ; la chute de l'ast;ro;de pr;s du Mexique, êîòðîå lient ; la disparition des dinosaures) peuvent se former le terrain de la temp;rature ;lev;e par la circonf;rence dans 50 km, qui serait assez pour la formation ãèïåðãàíà. Ãèïåðãàí jetterait la quantit; immense d'eau et la poussi;re aux couches sup;rieures de l'atmosph;re que pourrait amener au refroidissement rude global ou l';l;vation de la temp;rature.
Les explosions des autres plan;tes du Syst;me solaire
       Il y a une autre supposition selon les raisons de l'explosion possible des plan;tes, en dehors des explosions des r;acteurs uraniques au centre des plan;tes selon Àíèñè÷êèíó, ; savoir, les r;actions sp;ciales chimiques ; ýëåêòðîëèçîâàííîì la glace. E.M.Drobyshevsky dans l'article «suppose le Danger de l'explosion Êàëëèñòî et ïðèîðèòåòíîñòü des missions spatiales» 191 que les ;v;nements de telle sorte se passent r;guli;rement dans les compagnons glaciaux du Jupiter, et pour la Terre ils sont dangereux pour la formation du flux immense m;t;orique. L';lectrolyse de la glace se passe ; la suite du mouvement du corps c;leste le contenant dans le champ magn;tique que provoque dans lui les puissants courants. Ces courants am;nent ; la d;composition de l'eau sur l'hydrog;ne et l'oxyg;ne qu'am;ne ; la formation du m;lange fulminant. Il exprime l'hypoth;se que dans tous les compagnons ces proc;s se sont achev;s d;j;, except; Êàëëèñòî, qui peut sauter ; n'importe quel moment, et propose de diriger sur l';tude et la pr;vention de ce ph;nom;ne les moyens consid;rables. (;a vaut la peine de noter qu'en 2007 a saut;, et en outre de nouveau, la com;te Õîëìñà, et personnes ne conna;t pas pourquoi – mais dans elle ýëåêòðîëèçàöèÿ ; la glace pendant les vols du Soleil ;tait possible.)
       Je marquerai que si l'hypoth;se Drobyshevsky est fid;le, l'id;e elle-m;me de l'envoi sur Êàëëèñòî de la mission scientifique et le sondage profond de ses couches profondes dans les recherches de cela ýëåêòðîëèçèðîâàííîãî de la glace a l'air dangereux, puisque cela peut provoquer l'explosion.
       Dans tous les cas, quoi que l'on provoquait la destruction de l'autre plan;te ou un grand compagnon dans le Syst;me solaire, celui-ci pr;senterait la menace de longue dur;e de la vie terrestre pour le compte de la chute des ;clats. (Voir la description d'une hypoth;se sur la chute des ;clats ici : «les Dinosaures ;taient perdus par la collision des ast;ro;des ; 400 millions de km. De la terre» 192).
 N;m;sis
       Il y a une hypoth;se que sur les p;riph;ries du Syst;me solaire il y a une ;toile invisible ou une grande plan;te, qui tourne selon l'orbite fortement elliptique et par l'indignation gravitationnelle am;ne r;guli;rement aux crises biologiques par la Terre. Cette r;gularit; peut ;tre une fois ; des millions d'ann;es (ainsi, Ïðîêñèìà du Centaure s'adresse autour de l'Alpha pour environ million d'ann;es). Cependant l';tude des orbites des corps dans la zone Êîéïåðà apr;s l'orbite Ïëóòîíà n'ont pas d;couvert les influences du grand corps. Si un tel corps serait sur la hausse vers le Soleil, probablement, l'ont d;couvert pour les dizaines des ann;es. Une autre variante dangereuse li;e ; N;m;sis, est qu'elle ne s'approche pas de la Terre, mais s'enfonce seulement parfois dans le nuage Îðòà, en provoquant les chutes r;guli;res des com;tes. Mais aussi c'est le proc;s extr;mement lent, de sorte qu'il ne nous menace pas dans le XXI si;cle. Enfin, parfois est indiqu; ; la probabilit; de que le Syst;me solaire entrera ; dense ãàçîïûëåâîå le nuage, qui affaiblira consid;rablement la lumi;re du Soleil. Mais dans les alentours plus proches du Syst;me solaire d'un tel nuage est absent.
La fin d'une action de la "protection", qui ; nous assurait àíòðîïíûé le principe
       En d;tail j'examine cette question dans l'article «les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe» 193. L'essentiel de la menace est que la vie raisonnable par la Terre, le plus probablement, s'est form;e ; la fin de la p;riode de la stabilit; des facteurs naturels n;cessaires ; sa maintien. Ou, en parlant bri;vement, le futur ne ressemble pas au pass;, parce que nous voyons le pass; dans l'effet de la s;lection de surveillance. L'exemple : une certaine personne a gagn; trois fois de suite ; la roulette, en mettant sur un nombre. En vertu de cela il, en utilisant la logique inductive, vient ; la conclusion fausse que gagnera et il est plus loin. Cependant s'il connaissait que dans le jeu, en dehors de lui, participaient 30 000 personnes, et ils se sont ;limin;s, il pourrait venir ; la conclusion plus fid;le qu'il avec les chances 35 vers 36 perdra dans le tour suivant. Autrement dit, pour lui la p;riode de la stabilit; consistant en une s;rie de trois gains, s'est achev;e.
       Pour la formation de la vie raisonnable par la Terre il y avoir se former une combinaison unique des conditions, qui agissaient au cours d'une longue p;riode (;gal ñâåòèìîñòü les Soleils, l'absence des proches supernouveau, l'absence des collisions avec de tr;s grands ast;ro;des etc.) Cependant de cela il ne faut pas du tout qu'ils continueront ; agir ;ternellement. En cons;quence, dans le futur nous pouvons attendre que graduellement ces conditions est disparu. La vitesse de ce proc;s d;pend de, autant improbable et unique il y avait une combinaison des conditions, permettant de se former de la vie raisonnable par la Terre (comme dans l'exemple avec la roulette : plus uniquement situation du gain trois fois de suite, avec áîëüøåé par la probabilit; le joueur perdra dans le quatri;me tour – c'est-;-dire sois dans cette roulette de 100 divisions sur la roue, les chances de la sortie au quatri;me tour seraient tomb;es jusqu'; 1 vers 100). Une telle combinaison est plus improbable, plus vite il peut s'achever. C'est expliqu; par l'effet de la s;lection – si ;taient au d;but, nous admettrons, les milliards de plan;tes pr;s des milliards d';toiles, o; pourrait commencer ; se d;velopper la vie raisonnable, ; la suite de la s;lection seulement par une Terre s'est form;e la vie raisonnable, mais les autres plan;tes ont quitt; la piste, comme le Mars et la V;nus. Cependant l'intensit; de cette s;lection nous est inconnue, et apprendre ; nous cela l'effet de la s;lection de surveillance emp;che – puisque nous pouvons nous d;couvrir seulement sur cette plan;te, o; la vie a surv;cu, et la raison a pu se d;velopper. Mais la s;lection se prolonge ; la m;me vitesse.
       Pour l'observateur ext;rieur ce proc;s aura l'air comme l'aggravation soudaine et sans raison de plusieurs param;tres vitaux soutenant la vie par la Terre. En examinant celui-ci et les exemples semblables, on peut supposer que l'effet donn; peut augmenter la probabilit; des accidents soudains naturels, capable de couper la vie par la Terre, mais pas plus, qu'; 10 fois. (Pas plus, puisque puis entrent dans les actions de la restriction semblable d;crite dans article Áîñòðîìà et Òåãìàðêà194, qui examinent ce probl;me en ce qui concerne les accidents cosmologiques. Cependant la signification r;elle de ces restrictions pour les accidents g;ologiques a besoin de l';tude plus exacte.) par exemple, si l'absence des ;ruptions supergigantesques des volcans par la Terre, inondant toute la surface, est le hasard heureux, et dans la norme ils devraient se passer une fois ; 500 millions d'ann;es, la chance de la Terre de se trouver dans sa position unique serait 1 vers 256, mais le temps attendu de l'existence de la vie – 500 millions d'ann;es.
       Nous reviendrons encore ; la discussion de cet effet dans le chef sur le calcul des estimations indirectes de la probabilit; de l'accident global ; la fin du livre. Une importante cons;quence m;thodologique est ce que nous ne pouvons pas utiliser en ce qui concerne les accidents globaux aucuns raisonnements ; l'esprit : ce ne sera pas dans le futur, parce que cela n';tait pas dans le pass;. D'autre part, l'aggravation ; 10 fois des chances des accidents naturels diminue le temps attendu de l'existence des conditions pour la vie par la Terre du milliard ; cent millions que donne un tr;s petit d;p;t dans la probabilit; de la disparition dans le XXI si;cle.
       Par la confirmation faisant peur de l'hypoth;se sur ce que nous, probablement, vivons dans la fin de la p;riode de la stabilit; des proc;s naturels, est l'article de R.Roda et R.Mjullera ; Nature195 sur la d;tection du cycle âûìèðàíèé des essentiels vivants avec la p;riode 62 (+/-3 millions d'ann;es) – puisque de la derni;re disparition a pass; juste 65 millions d'ann;es. C'est-;-dire le temps de l';v;nement suivant cyclique de la disparition est venu depuis longtemps. Nous marquerons aussi que si l'hypoth;se propos;e sur le r;le de la s;lection de surveillance aux sous-estimations de la fr;quence des accidents globaux est fid;le, elle signifie que la vie raisonnable par la Terre – extr;mement le cas rare dans l'Univers, et nous – uns dans l'Univers observ; avec une grande probabilit;. Dans ce cas nous pouvons ne pas craindre l'irruption extraterrestre, ainsi que nous ne pouvons pas faire aucunes conclusions sur la fr;quence de l'an;antissement de soi-m;me des civilisations avanc;es en rapport avec le paradoxe du Fermi (le silence de l'espace). ; la suite des nets le d;p;t de l'hypoth;se donn;e dans notre estimation de la probabilit; de la survie humaine peut ;tre positif.
L'affaiblissement de la stabilit; et humain de l'intervention
       Le d;p;t âåðîÿòíîñòíîãî du progr;s ; cause de la fin d'une action de protection donn;e àíòðîïíûì par le principe ; la probabilit; totale de la disparition ; XXI dtrt, apparemment, est petit. ; savoir, si le soleil soutient la temp;rature confortable par la Terre non 4 milliards d'ann;es, mais seulement 400 millions, dans le XXI si;cle cela donne en tout cas les dixmilli;mes du pour-cent de la probabilit; de l'accident, si nous distribuons r;guli;rement la probabilit; du "refus" du Soleil par temps qu'est douteux aussi. (0,0004 %). Cependant l'affaiblissement de la stabilit;, qui nous donnait àíòðîïíûé le principe, signifie, premi;rement que les proc;s eux-m;mes deviendront moins stables et plus enclin aux h;sitations (qu'est tout ; fait connu en ce qui concerne le Soleil, qui br;lera, dans la mesure de l';puisement de l'hydrog;ne, de plus en plus vivement et in;galement), mais deuxi;mement qu'il semble plus important, – ils deviendront plus sensibles ; de petites influences possibles humaines. C'est-;-dire une affaire tirer pour l';lastique pendant, mais l'autre – pour l';lastique tendu jusqu'; la limite.
       Par exemple, si une certaine ;ruption du supervolcan s'est pr;par;e, peuvent passer encore plusieurs mille ann;es, il se passera, mais il suffit le trou ; quelques kilom;tres par la profondeur pour violer la stabilit; du couvercle de la chambre magmatique. Puisque les ;chelles de l'activit; humaine grandissent dans tous les sens, augmentent les chances de tomber sur une telle instabilit;. Ce peut ;tre l'instabilit; du vide, et la lithosph;re terrestre, et quelque chose encore, de que nous ne pensons pas.
Le chapitre 15. L';l;vation de la temp;rature globale
       L';l;vation de la temp;rature globale est li;e ; une s;rie des proc;s naturels naturels, ainsi qu'avec «la somme des technologies», cr;; par la personne, c'est pourquoi vers les risques purement naturels on peut le porter seulement conventionnellement. On peut aussi appeler l';l;vation de la temp;rature globale comme l'exemple classique du proc;s dangereux, sous la relation de qui la multitude des facteurs faisant il "inconcevables" agit.
       L';l;vation de la temp;rature limit;e globale sur quelques degr;s n'am;nera pas ; la disparition de l'humanit;, puisque m;me la fonte des glaciers dans le pass; n'a pas amen; ; la destruction de tous les gens. C'est pourquoi les appels vers l';conomie de l';lectricit; comme vers le moyen du sauvetage du monde sont d;finis íàòÿæêîé, qui ruine le cr;dit seulement de l'id;e du danger de l';l;vation de la temp;rature.
       Non universellement admis, mais la possibilit; accept;e par quelques investigateurs de l'accident global est l'accident de serre appel; en anglais «le sans restriction effet de serre grandissant» (runaway greenhouse effect). En ;crit A.V.Karnauhov dans les articles «Vers la question sur la stabilit; de la balance chimique de l'atmosph;re et le bilan thermique de la Terre» 196, «l'accident De serre» 197, Ivashchenko O. V «le Changement du climat et le changement des cycles de l'appel des gaz de serre du syst;me l'atmosph;re-lithosph;re-hydrosph;re - les liaisons en retour peuvent consid;rablement intensifier l'effet de serre» 198 et A.Vaganov «les Sc;narios de l'accident de serre» 199. Des savants ;trangers on peut marquer Äæ. Àò÷åíñîíà, qui affirme que pour le compte de la r;action en cha;ne du d;gazage des hydrates ; gaz la temp;rature peut augmenter de quelques degr;s dans les ann;es ; venir, et non pour ëåò200.
       ; la diff;rence de la conception avanc;e par les m;dias de l'effet de serre, qui affirme qu'au sc;nario pire la temp;rature de la Terre augmentera de 2-6 degr;s et le niveau de l'oc;an augmentera de quelques m;tres, ces investigateurs affirment que l'effet de serre se trouve au seuil de l'irr;versibilit;, ayant pass; qui, il entrera dans la phase de la liaison en retour positive, et la temp;rature de la Terre augmentera des dizaines ou centaines de degr;s, en faisant la vie par la Terre impossible. C'est li;, en particulier, ce que la vapeur d'eau (non en forme des nuages, mais dilu; dans l'air) est le gaz le plus fort de serre – mais les stocks pr;t ; s';vaporer l'eau par la Terre sont immenses. En outre l'augmentation graduelle ñâåòèìîñòè les Soleils (par comparaison avec les ;poques pr;c;dentes des ;l;vations de la temp;rature globales), l'augmentation de la longueur les jours terrestres, l'accumulation du gaz carbonique et la r;duction de la dissolubilit; du gaz carbonique dans les oc;ans avec la croissance de la temp;rature travaillent pour faire l'effet de serre plus fort. Mais encore un facteur est gros de l'augmentation rude de l'effet de serre – la destruction des stocks immenses des hydrates ; gaz au fond de la mer, qui am;nera ; la mise en relief ; l'atmosph;re des grandes quantit;s de m;thane – le plus fort de serre ãàçà201. La destruction des hydrates ; gaz peut accepter le caract;re de la r;action en cha;ne que d;j; il y avait une fois 55 millions d'ann;es en arri;re, quand la temp;rature de la Terre a augment; de la p;riode du temps ; quelques mille ann;es environ sur 10 degr;s (Pozdne-paleotsenovyj òåðìàëüíûé le maximum). Cependant alors des hydrates ;tait beaucoup moins. Il est possible que la compr;hension des risques de l'accident irr;versible d;j; ; ce si;cle se trouve apr;s les efforts des gouvernements selon la r;duction des rejets des gaz de serre. On peut appeler ce sc;nario Veneriansky, parce que notamment gr;ce ; l'effet de serre ; la surface de la V;nus de la temp;rature fait plus 400 Avec, vu qu'en vertu d'un haut alb;do – les nuages vivement blancs – elle re;oit moins d';nergie solaire, que la Terre. L';l;vation de la temp;rature globale est le risque syst;mique, puisque dans lui on coordonne la multitude de diff;rents facteurs : le Soleil, les couches profondes terrestres, les oc;ans, la personne, la politique, le volcanisme.
       L'accident de serre peut comprendre trois ;tapes :
       1. La chauffe sur 1-2 degr;s pour le compte du superflu du gaz carbonique dans l'atmosph;re de l'origine anthropique, le passage du point "du crochet de d;tente», le fonctionnement semblable au seuil chez íåéðîíà. Seulement ; cette ;tape la lutte avec les rejets du gaz carbonique est justifi;e. Probablement, le niveau liminaire d;j; ïðîéäåí, comme le professeur Lavlok202 affirme.
       2. La chauffe sur 10-20 degr;s pour le compte du m;thane des hydrates ; gaz et les marais sib;riens et le gaz carbonique dilu; dans les oc;ans. La vitesse de ce proc;s s'autorenfor;ant est limit;e par l'inertie thermique de l'oc;an, et il prendra pas moins 10 ans. Ce proc;s peut r;sister seulement rude de la technologie avanc;e âìåøàòåëüñòâàìè, comme l'hiver artificiel nucl;aire et/ou l'explosion de plusieurs volcans.
       3. L'insertion au proc;s de l'effet de serre de la vapeur d'eau et de la destruction êàðáîíàòîñîäåðæàùèõ des races dans l';corce terrestre. La mont;e de la temp;rature jusqu'au point d';bullition de l'eau.
       L';tude de l';l;vation de la temp;rature irr;versible globale se trouve sous une forte pression de la s;lection de surveillance, c'est-;-dire nous ne pouvons pas conclure de ce qu'il n';tait pas dans le pass;, ce qu'il est peu probable dans le futur, puisque nous pouvions survivre seulement dans ce monde, o; il ne s'est pas pass;. L';tat de l'atmosph;re est moins probable couds de la plan;te, il est plus grand que les chances qu'il se trouve "; la limite" et assez d'il est facile de pousser pour qu'il se d;place ; un certain ;tat plus stable. D'autre part, ÈÈ donnera un puissant d;p;t dans la d;cision du probl;me de l';l;vation de la temp;rature globale. Premi;rement, il pourra calculer, quel des mod;les du changement du climat est plus r;elle, et persuader les gens de la r;alit; du danger de l'accident de serre, s'il la d;couvre. Deuxi;mement, il pourra proposer la voie la plus indolore et bon march; de la pr;vention de l'accident de serre. Par exemple, il peut inventer, comme d;ployer les ;crans fins dans l'espace, qui limiteront le flux de la radiation solaire. Mais produiront ces ;crans les robots sur la Lune du titan local. Ou on peut pulv;riser dans le point Ëàãðàíæà entre la Terre et le Soleil une certaine quantit; de poussi;re spatiale, par exemple, ayant fait sauter l'ast;ro;de, qui sera ðàññåâàòü la part du pour-cent de l'irradiation solaire et contribuer au refroidissement de la Terre. Puisque l'effet de l'hiver ; grande ;chelle nucl;aire cr;e tout sur tout 150 millions de tonnes de suie dans la troposph;re, l';chelle de l'intervention peut ;tre petite. Peut ;tre, pulv;risera assez des avions un million de tonnes de suie par an pour retenir la temp;rature plus bas critique sur une paire des degr;s. Cela demanderait seulement 300 ãðóæ¸íûõ par la suie des travailleurs du transport par jour. Certainement, ÈÈ pourrait proposer et les moyens d';loigner les surplus de l'acide carbonique de l'atmosph;re, par exemple, avec l'aide g;n;tiquement les plantes modifi;es et íàíîðîáîòîâ.
       Cependant les moyens plus risqu;s de la pr;vention de l';l;vation de la temp;rature globale sont possibles : c'est les tentatives d'arranger l'hiver artificiel nucl;aire ou faire sauter les volcans. Il est ;vident que les gens appliqueront ces moyens, si la situation va rudement âðàçíîñ, et il n'y aura pas temps et les forces pour faire quelque chose plus ponctuel. Il y a Ici un risque que les actions irr;fl;chies am;neront ; seulement all;gement temporaire, mais intensifieront ensuite le proc;s de l';l;vation de la temp;rature. Ou, au contraire, les explosions des volcans en vue du refroidissement am;neront ; un trop fort refroidissement et commencera l'hiver volcanique.
       Nous pouvons conclure que la civilisation d;velopp;e pourra r;sister facilement aux changements du climat, par exemple, en pulv;risant de diff;rentes poudres dans les couches sup;rieures de l'atmosph;re ou en d;ployant les ;crans spatiaux pour la refroidir ou r;chauffer. Le plus mauvais sc;nario sous-entend la situation, quand le proc;s irr;versible les chauffes de l'atmosph;re a commenc; (de plus la mont;e elle-m;me de la temp;rature encore peut ;tre pas grand, l'essentiel – la formation des cha;nes de la liaison en retour positive), mais puis la civilisation a perdu selon quelques aux causes intrins;ques la capacit; du r;glage de haute technologie du climat et a roul; en arri;re vers le niveau plus pr;coce. Alors elle peut ;tre d;finitive ïîâåðæåíà par la chauffe irr;versible de l'atmosph;re, qui se passera dans les dizaines des ann;es apr;s le collapsus technique.
       
Le chapitre 16. Les risques anthropiques non li;s aux nouvelles technologies
L';puisement des ressources
       Le probl;me de l';puisement des ressources, la croissance de la population et la pollution du mercredi est syst;mique, et en cette qualit; nous examinerons ; elle ensuite. Ici nous examinerons seulement, si peut chacun de ces facteurs selon l'isolement amener ; la disparition de l'humanit;.
       On r;pand largement l'opinion sur ce que la civilisation technog;ne est condamn;e ; cause de l';puisement accessible óãëåâîäîðîäîâ. Dans tous les cas, cela n'am;nera pas m;me ; la disparition de toute l'humanit;, puisque plus t;t les gens vivaient sans p;trole. Il y aura cependant des probl;mes essentiels, si le p;trole s'ach;ve plus t;t, que la soci;t; aura le temps de s'adapter ; cela – c'est-;-dire s'ach;vera vite. Cependant les stocks de la houille sont consid;rables, mais les m;thodes de fabrication du carburant de lui ;taient appliqu;es activement encore en Allemagne hitl;rienne. Les stocks immenses de l'hydrate du m;thane se trouvent sur le fond maritime, et les robots effectifs pourraient l'obtenir. Et il suffit les technologies existant âåòðîýíåðãåòèêè, la transformation de l';nergie solaire et semblable en tout pour garder le d;veloppement de la civilisation, bien que probablement avilissement du niveau de vie d;fini, mais le cas pire – et la r;duction consid;rable de la population, mais la disparition non compl;te.
       Autrement dit, le Soleil et le vent contiennent l';nergie, qui ; mille fois surpasse les besoins de l'humanit;, et nous comprenons en tout, comme lui tirer. La question non dans, si nous suffira l';nergie, mais dans, si nous aurons le temps de mettre en service les capacit;s n;cessaires selon son extrait avant que le manque de l';nergie sape les possibilit;s technologiques de la civilisation au sc;nario d;favorable.
       Au lecteur peut se montrer que je sous-estime le probl;me de l';puisement des ressources, ; qui on consacre la multitude de livres (Ìåäîóç, Ïàðõîìåíêî), les ;tudes et Internet des sites (; l'esprit www.theoildrum.com). En r;alit;, je ne suis pas d'accord avec plusieurs de ces auteurs, puisqu'ils partent sur la condition que le progr;s technique cessera. Nous ferons l'attention aux derni;res ;tudes dans le domaine de la garantie par les ressources ;nerg;tiques : En 2007 aux ;tats-Unis a commenc; l';mission industrielle des batteries solaires du co;t moins que 1 dollar pour le watt qu'; deux fois moins que le co;t de l';nergie sur la station ;lectrique de charbon, sans trouver òîïëèâà203. La quantit; âåòðîýíåðãèè, qui on peut tirer des basses eaux oc;aniques aux ;tats-Unis fait 900 ãèãàâàòò que couvre tous les besoins des ;tats-Unis ; ýëåêòðîýíåðãèè204. Un tel syst;me donnerait le flux ;gal de l';nergie pour le compte des grands montants. Le probl;me de l'accumulation des surplus de l';nergie ;lectrique est d;cid; pour le compte de l'application inverse çàêà÷êè l'eau ; la centrale hydraulique et le d;veloppement des puissants accumulateurs et la diffusion, par exemple, ; ýëåêòðîìîáèëÿõ. On peut tirer la masse de l';nergie des courants de la mer, particuli;rement Ãîëüôñòðèìà205, et des gisements sous-marins ìåòàíãèäðàòîâ206. Il y a beaucoup d'autres sources perspectives de l';nergie. La question non dans ce qu'est absente de l';nergie, ou les technologies selon sa production – la question dans, si nous aurons le temps ; temps de d;ployer les stations ;lectriques n;cessaires.
       En outre l'ach;vement de l';puisement des ressources se trouve apr;s l'horizon du pronostic, qui s';tablit par le rythme du progr;s technologique. (Mais le moment du changement de la tendance – Peak Oil – se trouve ; l'int;rieur de cet horizon.) ayant suppos; seulement l'arr;t complet du progr;s dans le domaine des robotiques et les nanotechnologies, on peut construire les pronostics exacts quand quelles ressources seront ;puis;es. La question dans, si peut tellement saper le d;but de l';puisement des ressources et la crise accompagnant le d;veloppement des technologies – et nous examinerons cette question dans le chef sur la crise syst;mique.
       Encore une variante de l'accident global, est un empoisonnement par les produits de l'activit; vitale. Par exemple, les levains dans la bouteille avec le vin grandissent ; l'exposant, et ensuite s'empoisonnent par les produits de la d;sagr;gation et tout jusqu'; une p;riront. Ce proc;s a lieu et en ce qui concerne les gens, mais on ne sait pas, s'ils peuvent tellement polluer et ;puiser le milieu de vie pour que seulement cela am;ne ; leur disparition d;finitive. En dehors de l';nergie, les gens demandent les ressources suivantes :
       * Les documents pour la production - les m;taux, ðåäêîçåìåëüíûå les substances et ò ä. Plusieurs importants minerais peuvent s'achever vers 2050. Cependant les documents, ; la diff;rence de l';nergie, ne disparaissent pas, et au d;veloppement de la nanotechnologie le traitement complet des d;chets, la production des documents n;cessaires de l'eau maritime, o; on dilue la quantit; immense, par exemple, l'uranium, et m;me l'acheminement des substances n;cessaires de l'espace deviendra possible.
       * La nourriture. Selon certaines donn;es, le pic de la production des produits alimentaires d;j; ïðîéäåí : les sols s'effritent, óðáàíèçàöèÿ prend les terres fertiles, la population grandit, le poisson s'ach;ve, l'environnement se salit par les d;chets et les poisons, l'eau ne saisit pas, les saboteurs se r;pandent. D'autre part, le passage ; un principalement nouveau type industriel de la production des plantes alimentaires, fond; sur l'aquiculture – c'est-;-dire la cultivation des plantes dans l'eau est possible, sans sol dans les serres ferm;es que prot;ge contre la pollution et les parasites et est enti;rement automatis;. (Voir l'article de Dmitry Verhoturova et Èëüè Cyrillique «les Agrotechnologies du futur : du champ labour; vers l'usine» 207). Enfin, la margarine, comme, probablement, et les composantes plusieurs autres n;cessaires des produits de l'alimentation, on peut ;laborer du p;trole aux entreprises chimiques.
       * L'eau. On peut assurer l'eau potable pour le compte du dessalement de l'eau maritime, aujourd'hui cela se trouve pr;s du dollar sur une tonne, mais la masse principale de l'eau va sur la cultivation de la r;colte – jusqu'; mille tonnes d'eau sur une tonne de bl; que fait d;savantageux le dessalement. Mais au passage ; l'aquiculture baisseront rudement les pertes de l'eau sur la vapeur, et le dessalement peut devenir rentable.
       * La place pour la vie. Malgr; les rythmes rapides de l'accroissement de la quantit; de population par la Terre, jusqu'; la limite th;orique encore loin.
       * L'air propre. D;j; il y a maintenant des climatiseurs nettoyant l'air de la poussi;re et augmentant dans lui le contenu de l'oxyg;ne.
La surpopulation
       Il est ;vident que la surpopulation elle-m;me ne peut personne exterminer, mais peut cr;er les conditions, auxquelles on observera le manque de n'importe quelles ressources et s'aggraveront n'importe quels conflits. Il faut prendre en consid;ration de plus non seulement les gens, mais aussi leurs voitures et le niveau de vie. L'automobile consomme l'oxyg;ne et le biocombustible et aussi charge la biosph;re, comme quelques personne. C'est pourquoi m;me l'arr;t de la croissance de la population des gens ne signifiera pas la fin du probl;me de la surpopulation, puisque dans la mesure du d;veloppement des technologies chacun a des voitures, la maison, les robots domestiques et ò ä. Il y a th;oriquement un probl;me, ;tant que la croissance de la population t;t ou tard bloquera n'importe quelles ressources, m;me si l'humanit; peuplera toute la galaxie (pour quelques mille ann;es ; la pr;servation de la vitesse d'augmentation pr;sente de la population), et donc, un certain point, apr;s qui l'expansion non limit;e mat;rielle cessera doit arriver. S.P.Kapitsa208 a d;duit la formule, de qui il faut la croissance hyperbolique de la population avec la sortie ; l';ternit; du c;t; de 2027. (Bien qu'il croit que l'action de cette formule a cess;.) et bien que la croissance r;elle de la population reste en arri;re sur ce graphique, nous pouvons nous en approcher de nouveau, si nous ajouterons ; la population le nombre des ordinateurs ;tablis.
       La r;volution technologique d;termine par les facteurs suivants dans la croissance de la population :
       * L'augmentation du nombre des essentiels, ; qui nous ajoutons les droits ;gaux l'humain : les singes, les dauphins, le chat, le chien.
       * La simplification de la naissance et l';ducation des enfants. Les possibilit;s ðåïðîäóêòèâíîãî les clonages, la cr;ation des m;res artificielles, les robots-adjoints selon le m;nage etc.
       * L'apparition des nouveaux m;canismes pr;tendant aux droits humains et/ou consommant les ressources : des voitures, les robots, les syst;mes ÈÈ.
       * Les possibilit;s de la prolongation de la vie et m;me la r;surrection des morts (par exemple, par voie du clonage selon gard; par l'ADN).
       * La croissance du niveau "normal" de la consommation.
       En outre la croissance de la population humaine augmente la probabilit; de l'autogen;se des maladies infectieuses dangereuses – ainsi que le nombre de gens, qui d;cideront de devenir les terroristes. Pour la destruction de la civilisation non consid;rablement relatif, mais le nombre absolu des terroristes. D'autre part, plus la population, est plus grande la chance que quelqu'un survivra au cours de l'accident immense. En outre plus la population, est plus grande que les sujets du progr;s technique, puisque de plus en plus des gens sont pr;ts ; devenir les savants, et on peut recevoir tout le grand b;n;fice, ayant vendu une certaine innovation au grand nombre de personnes, pour le compte de ce que le prix de l'innovation se divisera sur áîëüøåå le nombre des consommateurs.
       Le principal que la courbe de la croissance de la population nous donne est une compr;hension de ce que se prolonger ne peut pas si ;ternellement, et donc il y avoir ;tre un certain point d'inflexion ou la fracture, qui suit n'importe quelle stabilisation. Ce peut ;tre et le passage qualitatif au niveau de la supercivilisation, et la stabilisation au niveau en cours, et le recul ; un certain ;tat stable pass;, et la destruction totale.
L';chec de la biosph;re
       Si les gens apprennent les technologies g;n;tiques, cela peut permettre comme arranger l';chec de la biosph;re des ;chelles improbables, et trouver les ressources pour sa protection et la r;paration. On peut s'imaginer le sc;nario, auquel toute la biosph;re est tellement contamin;e par la radiation, g;n;tiquement par les organismes modifi;s et les toxines qu'elle ne sera pas capable de compl;ter le besoin de l'humanit; de l'alimentation. Si cela se passe soudain, cela mettra la civilisation sur la limite de l';chec ;conomique. Cependant la civilisation assez avanc;e pourra r;gler la production des produits de l'alimentation dans une certaine biosph;re artificielle, comme les serres. Donc, l';chec de la biosph;re est dangereux seulement au recul ult;rieur de la civilisation sur le degr; pr;c;dent – ou si l';chec lui-m;me de la biosph;re provoque ce recul.
       De plus la biosph;re – le syst;me tr;s complexe, dans qui l'esprit de critique autoorganis; et le collapsus soudain est possible. Õðåñòîìàòèéíûé l'exemple – la destruction des moineaux en Chine et les probl;mes ult;rieurs avec l'alimentation ; cause de l'invasion des saboteurs. Ou, par exemple, maintenant p;rissent dans le monde entier les coraux, parce que les eaux d';gout portent la bact;rie, qui les frappe.
La crise ;conomique et sociale. La guerre
       Plus en d;tail cette question sera examin;e ensuite, dans le chef sur de diverses crises syst;miques, puisque dans la soci;t; moderne une telle crise peut s'appuyer sur de diff;rentes nouvelles technologies. Sans telles technologies la guerre ou la crise politique et sociale ne peuvent pas se passer simultan;ment sur tout le territoire de la Terre et, ainsi, cr;er le risque global.
La d;gradation g;n;tique et l'affaiblissement ôåðòèëüíîñòè (les capacit;s de la multiplication)
       Il est ;vident que la d;gradation g;n;tique peut se manifester seulement pendant plusieurs g;n;rations. S'il y aura de plus une civilisation hautement d;velopp;e, d;j; dans la g;n;ration nous pourrons diriger le d;veloppement des embryons et prendre les plus sain d'eux, ainsi que traiter les maladies g;n;tiques par les diff;rents moyens. Si l'humanit; attend la d;gradation, la population en cours passera dans «le goulot de bouteille» qu'augmentera rudement la pression de la s;lection et am;liorera la qualit; des g;nes. Les raisonnements semblables sont fid;les et pour les probl;mes avec ôåðòèëüíîñòüþ.
       Si extrapoler le mod;le «une famille – un enfant», elle am;nera ; la disparition compl;te de l'humanit; moins qu'en 1000 que sort pour le laps de temps examin; (et est assez vuln;rable pour la critique, puisqu'il y avait ici une s;lection de c;t; les familles les plus fertiles). Cependant si un certain virus a amen; ; la st;rilit; totale de l'humanit;, et de plus le progr;s technique se serait arr;t;, les gens dispara;traient vers XXII si;cle. De nouveau, c'est peu probable, puisque sont d;j; presque pr;tes les technologies ðåïðîäóêòèâíîãî les clonages.
       La conclusion : les facteurs appel;s ne menacent pas ; la survie de l'humanit; ; la p;riode examin;e.
Le vieillissement de l'aspect
       Il y a une conception que les aspects peuvent vieillir. Michael Fut etc. dans l'article «le D;collage et la chute des aspects : les nouvelles donn;es confirment une vieille id;e"du cycle ;volutionniste »209 ;crivent :« Apr;s l'apparition de l'aspect sa "vari;t;" (la place de l'aire et la fr;quence de l'occurrence) grandit graduellement pendant quelques millions d'ann;es, atteint pour quelque temps du maximum et puis baisse graduellement. Les aspects disparaissent rarement soudain, en se trouvant sur le pic du nombre; la p;riode de longue dur;e de la d;cadence … cela d'habitude pr;c;de la disparition signifie que l'histoire pal;ontologique de l'aspect permet de juger sur la probabilit; de sa disparition de nos jours : du plus grand danger se soumettent ces aspects, qui passaient d;j; le pic du d;veloppement et se trouvent dans la phase de la d;cadence. Les donn;es re;ues contredisent aussi l'opinion r;pandue sur ce qu'; l';volution doivent alterner les p;riodes courtes du "devenir" et de longues p;riodes «ñòàçèñà». En r;alit; les aspects ne s'attardent presque pas, apparemment, au niveau maximum atteint et pratiquement passent ; la fois de la croissance ; la d;cadence ».
       Vieillir peuvent aussi les ;tats et les cultures, en se faisant de plus en plus fig; et çàðåãëàìåíòèðîâàííûìè, et, dans le compte final, – fragile. Probablement, peuvent vieillir et les civilisations de l';chelle plan;taire, en perdant graduellement l'int;r;t pour la vie. Quand m;me peu probablement cela menace ; la Terre ; l';tape actuelle. D'autre part, la croissance du nombre des retrait;s et "immortel", si tel sont cr;;s un jour, peut un jour actualiser ce probl;me.
L';vincement par l'autre aspect biologique
       Plusieurs esp;ces animales ont fini par ce qu';taient ;vinc;s par les aspects plus effectifs, ou modifiaient ; eux. L'apparition d'un tel aspect par voie de l';volution naturelle dans les 100 ans ; venir est impossible. M;me la croissance et la r;duction du nombre des diff;rentes races et les peuples ne sont pas les proc;s, qui auront le temps de s'achever dans le XXI si;cle. En outre le changement de la composition ethnique n'est pas la menace ; la survie de l'humanit; comme de l'aspect, bien que ce sujet provoque beaucoup d';motions, et les conflits ethniques peuvent devenir les risques globaux de la deuxi;me g;n;ration – c'est-;-dire les situations r;duisant âûæèâàåìîñòü les humanit;s.
       L';vincement par l'autre aspect probablement comme le cas particulier des exp;riences g;n;tiques ou le d;veloppement du symbiose la personne-ordinateur. Cependant pour ;vincer la personne, un nouvel aspect, probablement, il doit ;tre plus sage. On peut se rappeler Ici beaucoup de sujets fantastiques la cr;ation des chim;res des gens et les animaux et sur la guerre entre deux aspects.
       ; titre du sc;nario extr;mement peu probable on peut appeler la co;ncidence accidentelle des moments de la mort de tous les gens (est admissible, au cours d'une ann;e). Pour l'humanit; moderne la probabilit; d'un tel ;v;nement serait calcul;e par la fraction avec les milliards de z;ros apr;s la virgule, cependant pour une petite tribu l'anomalie statistique amenant ; la disparition, est possible.
Le chapitre 17. Les raisons inconnues ; nous maintenant des accidents
       On peut formuler une sorte de «la Loi Ìóðà» en ce qui concerne les accidents globaux. Chacuns N des ann;es (environ estim; par moi dans 30 ans) double le nombre connu ; nous des accidents naturels, qui peuvent menacer ; l'humanit;. Chacuns M des ann;es (environ estim; par moi dans 15 ans) les possibilit;s techniques de l'organisation de l'accident global – c'est-;-dire les capacit;s de l'humanit; de l'autodestruction doublent aussi. Ces chiffres sont pris, certes, du plafond, mais l'essentiel dans ce qu'au milieu du XX si;cle de l'id;e de l'accident global n';tait pas encore pratiquement, et maintenant nous pouvons appeler facilement les dizaines des moyens artificiels exterminer le genre humain.
       Et cela nous permettront d'estimer le volume inconnu au sens des accidents globaux. Nous pouvons dire que dans 50 ans non seulement m;riront certaines technologies claires pour nous, mais il y avoir appara;tre des principalement nouvelles id;es de celle quel sont possibles les nouvelles menaces ; l'existence. Dans la mesure de l'acquisition diff;rent de plus en plus puissant aux sources de l';nergie, de plus en plus exact par les connaissances selon le monde et les moyens de diriger la mati;re, dans la mesure de l'ouverture tout des nouvelles lois physiques et tout des nouvelles id;es, – appara;t de plus en plus des possibilit;s de cr;er l'arme absolue. C'est pourquoi nous dans aucun cas ne devons pas trouver la liste amen;e ici ;puis;.
       De plus, la plupart des accidents arriv;s ces derniers temps ;taient inattendu. Non dans ce sens que personne ne pr;disait jamais rien de la chose semblable – on peut trouver toujours a posteriori le livret, o; quelque r;veur a d;crit quelque chose la chose semblable. Mais dans ce que ne connaissait pas du tout la plupart de la population et les chefs la possibilit; d'un tel sc;nario, et en raison de cela de rien n';tait pas entrepris. ×åðíîáûëü, l';v;nement le 11 septembre aux ;tats-Unis, ñõîä du glacier le Fendage en Oss;tie du Nord, le tsunami ; l'oc;an Indien, la maladie des abeilles CCD, ñåëü dans la Vall;e des Geysers – voici certains exemples.
       M;me certaines combinaisons des facteurs connus, qui peuvent amener ; l'accident global, ne sont pas ;videntes – par exemple, ; moi a ;t; n;cessaire presque l'ann;e pour supposer que passif SETI comprend le risque global, bien que je dispose de toutes les donn;es n;cessaires. En cons;quence, nous pouvons conclure que m;me si nous ne sommes pas pr;ts aux accidents ordinaires, et la liste de leurs possibilit;s connues est pas ;puis;e, surtout notre liste des accidents globaux est imparfaite. De plus, les risques inconnus pr;sentent un grand danger, que connu, puisque nous ne pouvons pas les mesurer, nous ne pouvons pas vers eux se pr;parera, et ils nous prennent au d;pourvu toujours.
Le chapitre 18. Les moyens de la d;tection îäíîôàêòîðíûõ des sc;narios de l'accident global
       Ayant analys; la multitude de diff;rents sc;narios des accidents globaux, nous pouvons mettre en relief les signes totaux de tels sc;narios, qui nous aideront dans futur ; d;couvrir ou "construire" les nouveaux sc;narios dangereux.
Les signes totaux de n'importe quel agent dangereux
       Par la d;finition, ; îäíîôàêòîðíûõ les sc;narios il y a toujours un certain un facteur, qui influence tous les gens. Sur ce facteur on peut dire le suivant : il na;t dans un certain point, se r;pand selon toute la surface de la Terre et agit sur chaque personne. En cons;quence, les diff;rences peuvent ;tre comment il dans ce point est apparu, comme il l'a quitt;, comme se r;pandait selon la Terre et comme agissait sur chaque personne. Dans chacun de ces points il y a quelques variantes, dans la mesure suffisante des ind;pendants l'un de l'autre que permet «de construire les sc;narios», en prenant de diff;rentes cha;nes de ces variantes et en leur ajoutant la diff;rente probabilit;. Cette composition des qualit;s peut servir d'une sorte de carte au contr;le de la s;curit; de chaque nouvelle technologie ou le ph;nom;ne naturel. ; savoir, nous devons contr;ler la composition suivante des propri;t;s :
       1. Si on peut appliquer une nouvelle technologie pour la destruction des gens ou lui amener ?
       2. Si oui, cela comment elle peut sortir de dessous du contr;le ?
       3. Si elle peut se r;pandre selon toute la plan;te pour qu'influencer chaque personne ?
       4. S'il y avoir se passer cela tellement vite que nous n'aurons pas le temps de r;sister ; cela ?
       5. Comment elle peut coop;rer avec d'autres technologies, en intensifiant de plus le risque ?
       6. Autant il sera facile de construire la protection contre les dangers de cette technologie ?
       7. Autant les exacts et authentiques peuvent ;tre nos pr;dictions des risques de cette technologie ?
Les moyens de l'apparition
       Le facteur dangereux, capable de cr;er la menace de l'accident global, peut appara;tre comme il suit :
       L'apparition Accidentelle naturelle. Par exemple, la hausse de l'ast;ro;de ou l';ruption des supervolcans.
       La Cr;ation par la personne. Dans ce cas, probablement, il s'agit d'un certain laboratoire scientifique. Cette cr;ation peut ;tre ou accidentelle, ou conscient. La combinaison l'un et l'autre – quand quelque chose est possible que devait avoir le rayon limit; de la d;faite (ou ;tait examin; en g;n;ral comme s;r et utile), a acquis le rayon universel de la d;faite. (Les exemples : les abeilles-assassins Africaines ;taient d;livr;es en Am;rique du Sud, selon toute apparence, expr;s par un collaborateur du laboratoire, mais avec les buts limit;s locaux; n;anmoins ces abeilles se sont r;pandues ; la deux Am;rique et ont amen; ; la multitude de morts qu'entrait peu probablement dans ses plans. Initialement l'arme nucl;aire ;tait examin;e comme l'arme de l'action locale, cependant il y avait ensuite des repr;sentations qu'il peut menacer ; toute la civilisation terrestre; ÈÈ, qui est programm; ;tre amical et aimer les gens, peut manifester une telle "Convivialit;", comme le "mauvais service".)
La sortie du point et le d;but de la diffusion
       Il est ;vident que cela se passe ou selon l';quipe on n'a personne de la personne, ou est accidentel. Il faut dire ; la fois que le cumul de ces sc;narios est possible : la personne rend une certaine ;quipe, le sens complet par qui ne comprend pas, ou elle est accomplie incorrectement. Ou une certaine personne de la partie fait l'acte de terreur amenant ; la destruction du laboratoire, dans lequel il y a un supervirus. Le point, dans qui il y a un produit dangereux est ou le laboratoire, o; l'ont cr;;, et alors les paroles vont plut;t sur l'incident accidentel, ou l'aire de lancement, si cette technologie est transform;e en certain le produit, qui est devenu l'arme. Aussi ce point peut ;tre quelque part sur la voie spatialement-temporaire du laboratoire ; aire de lancement – sur le polygone, sur le transport, sur la production. Il est important de marquer de plus la diff;rence essentielle entre les motifs de celui qui cr;ait l'arme du dies irae, et celui qui puis l'a d;cid; d'appliquer. Par exemple, la bombe atomique cr;aient pour la protection contre l'agresseur ;tranger, mais les terroristes peuvent la prendre pour l'exigence de la branche de certains territoires. Un tel sc;nario biphas; de but peut ;tre plus probable îäíîôàçîâîãî. Les aspects de la sortie du point :
       1. La fuite. La fuite commence doucement et imperceptiblement, sans volont; de quelqu'un. Cela se rapporte aux situations, comme la fuite du virus dangereux, que l'on ne peut pas remarquer avant qu'il y aura des malades en dehors. La fuite de la substance dangereuse chimique ou les documents nucl;aires sera consid;rable ; la fois, et, probablement, sera accompagn; par l'explosion.
       2. La rupture. C'est la rupture de force de quelque chose qu';tait ferm;, mais voulait ;chapper ; l'ext;rieur. Peut se rapporter seulement vers ÈÈ ou g;n;tiquement aux essentiels modifi;s vivants avec les germes de l'intelligence.
       3. L'explosion – le sc;nario catastrophique se passe dans le point, se r;pandent ses cons;quences. Probablement, cela se rapporte aux exp;riences dangereuses physiques.
       4. La mise en marche – quelqu'un prend la d;cision de la diffusion de l'agent dangereux ou l'application de l'arme du dies irae.
       Il est ;vident que certaines combinaisons de ces sc;narios de base sont possibles. Par exemple, l'explosion du laboratoire amenant ; la fuite du virus dangereux.
La diffusion est plus importante que la destruction
       En analysant n'importe quel ph;nom;ne ou l'invention ; titre du facteur possible du risque global, il nous faut donner plus d'attention ;, si ce facteur pour le temps final sur absolument tous les gens peut influencer, qu' ;, s'il peut tuer les gens ou non. Pour qu'un certain facteur devienne le risque global, il y a deux conditions sine qua non :
       Ce facteur tue chaque personne, qui influence
       Il agit sur tous les gens pour le temps final (En un temps, plus petit, que la capacit; des gens de l'autoreproduction.)
       Cependant s'il est assez facile atteindre l'ex;cution de la premi;re condition, puisqu'il y a un nombre infini des moyens de la cause de la mort, et ils sur quelqu'un agissent tout le temps, la deuxi;me condition – beaucoup plus rare. C'est pourquoi, d;s que nous d;couvrons m;me le facteur inoffensif, capable d'agir sur tout sans exception les gens, cela nous doit inqui;ter plus que la d;tection n'a personne du facteur extr;mement dangereux, qui agit seulement sur certains. Parce que n'importe quel facteur universel par le porteur pour peut n'avoir personne de l'influence dangereuse. Par exemple, d;s que nous nous rendons compte que le Soleil ;claire chaque personne par la Terre, nous pouvons ;tre donn;s par la question – et non s'il peut arriver Au soleil de quelque chose d'un tel qu'influencera chacun ? La m;me chose concerne l'atmosph;re de la Terre, son ;corce, et particuli;rement l'espace, qui entoure toute la Terre, ainsi que les r;seaux globaux d'information.
Le moyen de la diffusion
       Notamment la capacit; de la diffusion universelle fait l'arme par la superarme. Ce caract;re universel signifie non seulement toute la surface du globe terrestre, mais aussi la capacit; ; p;n;trer par tout du recel et le moyen de la protection, ainsi que la vitesse de ce proc;s, qui fait impossible lui r;sister avec l'aide des d;couvertes r;centes. (Nous dirons, le gla;age peut ;tre universel, mais, probablement, sera assez lent pour que l'on pouvait se lui adapter.) les moyens et les facteurs influen;ant la capacit; de l'agent vers la diffusion sont tels :
       1) le Vent dans l'atmosph;re; il faut mettre en relief s;par;ment le mouvement rapide des couches sup;rieures de l'atmosph;re (o; les vitesses peuvent ;tre 100 m/s, et donc, le temps de la diffusion universelle – quelques jours), ainsi que la disposition de la substance tomber aux pr;cipitations irr;versibles que diminue sa quantit;.
       2) les Agents, r;pandant par la marche – les bact;ries autopointant íàíîðîáîòû, les fus;es.
       3) de la personne chez la personne – les virus.
       4) Avec l'aide des pulv;risateurs sp;ciaux. Par exemple, on peut s'imaginer le sc;nario suivant catastrophique : sur l'orbite basse polaire vole le compagnon et enl;ve sans arr;t les capsules avec l'agent radioactif ou un autre r;actif dangereux. En quelques jours il peut passer sur tous les points du globe terrestre.
       5) l'Explosion – cr;e le mouvement immense. L'onde explosive aide ; pousser l'agent dans toutes les fentes.
       6) la diffusion De r;seau. Pourrait se r;pandre ainsi ÈÈ selon Internet.
       7) les moyens M;lang;s. Par exemple, ; la p;riode initiale l'explosion de la bombe pulv;rise les agents radioactifs, et ensuite les porte par le vent. Ou un certain moisi est transf;r; par le vent, mais aux places elle se multiplie. Il est clair que les moyens m;lang;s de la diffusion est beaucoup plus dangereux.
       8) les Agents poss;dant les ;l;ments de la raison pour contourner les obstacles (les virus informatiques, ÈÈ, les microrobots, les animaux agressifs).
       9) la Soudainet; et la dissimulation de la diffusion aide ; l'agent ; p;n;trer partout.
       10) une haute capacit; du transfert, «ëèïó÷åñòü» et ìåëêîäèñïåðñíîñòü (comme pr;s de la poussi;re de lune).
       11) la Capacit; ñàìîðàçìíîæàòüñÿ, dans la nature, ainsi que sur la personne ou sur les porteurs interm;diaires. Ainsi que la capacit; s'; reproduire, comme par exemple, ; la radioactivit; dirig;e.
       12) Ìíîãîôàêòîðíîñòü – s'il y a assez beaucoup d'agents divers, par exemple, ; la multipand;mie.
       13) la Concentration, comme le facteur de la diffusion. Plus haut gradient de la concentration, est plus grand la capacit; du r;actif ; p;n;trer «dans toutes les fentes». Autrement dit, si la concentration dans l'atmosph;re fait 1 niveau mortel, il y aura toujours des terrains, o; ; cause de diff;rentes fluctuations ce niveau sera consid;rablement plus bas, et les gens survivront l;, m;me sans tous bunkers. Mais si la concentration est tr;s grande, les bunkers enti;rement herm;tiques d'avance ;quip;s aideront seulement. La concentration augmente aussi la vitesse de la diffusion.
       14) la Dur;e de l'action de l'agent. L'agent (gamma-rejaillissement) agissant de courte dur;e peut br;ler la partie consid;rable de la biosph;re, mais il y aura toujours des refuges, sur qui il n'a pas agi. Cependant la contamination de longue dur;e, par exemple, le cobalt-60, fait impossible la survie dans de petits refuges.
       15) la Facilit; du filtrage et la d;sactivation – plus facilement filtrage de l'air et la d;sactivation des gens sortant sur la surface, plus sans aucun danger agent. Les agents biologiques on pouvait facilement st;riliser dans les syst;mes de la ventilation, mais les sorties sur la surface seraient exclues, puisque la personne tu ne st;rilises pas.
Le moyen de la cause de la mort
       L';l;ment principal de l'accident global, que nous appelons "l'agent", peut ne pas du tout tuer les gens, mais seulement les s;parer et priver la capacit; de la multiplication, comme par exemple, la superdrogue, ou le virus st;rilisant tous les gens. Ou les coincer dans les bunkers, o; ils sont condamn;s ; la d;gradation.
       L'agent peut ;tre îäíîôàêòîðíûì au sens du moyen de l'influence par personne – par exemple, ce peut ;tre une certaine infection ou la radiation. Il y a de plus une diff;rence entre la mort instantan;e et long óìèðàíèåì.
       L'agent peut poss;der ìíîãîôàêòîðíûì l'influence frappant, comme la bombe atomique. Il y avoir ;tre cependant un facteur clef poss;dant l'action universelle sur tout le monde, ou la densit; suffisante des diff;rents facteurs.
       L'agent peut provoquer non plus l'action directe, mais la destruction ;gale de tout le milieu de vie. (L'ast;ro;de, la destruction de la biosph;re.)
       La disparition peut aussi prendre la forme de l';vincement lent aux niches m;diocres ;cologiques (les variantes : le "zoo", le ch;mage total dans l'esprit de l'article de Bill Dzhoja «Pourquoi nous ne sont pas n;cessair au futur ?»)
       L'agent d;truisant peut provoquer l'apparition des nouveaux agents, chacun de qui agit ; sa guise. Par exemple, la diffusion de la voiture pour la programmation des virus – les bio-synth;tiseurs (plus du virus, ou les id;es-mema, provoquant chez certains gens le d;sir de supprimer tout le monde) pourrait devenir un tel superagent, provoquant les vies beaucoup de diff;rents agents dans de diff;rentes parties de la Terre. ; quelque sens le progr;s lui-m;me technologique est un tel superagent.
       L'agent peut ;tre intellectuel pour qu'; chaque cas concret de se servir de diff;rents moyens : Hostile ÈÈ, la secte eschatologique.
Les aspects typiques de l'influence d;truisant
       Quoi que l'on provoquait «la fin de la lumi;re», il influencera les gens et leurs bunkers, probablement, un de quelques moyens ;num;r;s. Ces moyens co;ncident pour l'essentiel avec les facteurs ordinaires frappant de l'explosion nucl;aire. N'importe quel proc;s, qui est capable simultan;ment de cr;er quand m;me un de ces facteurs sur tout le territoire de la Terre, doit ;tre port; vers «l'arme du dies irae» :
       * L'onde explosive – causer capablement directement la mort, d;truire les bunkers et tous les autres objets cr;;s par la personne.
       * La temp;rature ;lev;e – de l'influence de longue dur;e de la temp;rature ;lev;e est absente presque de la protection, puisque n'importe quel bunker t;t ou tard se chauffe. Profond;ment ; la terre on ne r;ussira pas ;tre enterr;, puisque la temp;rature dans les mines grandit vite, de l'ordre de 30 degr;s sur le kilom;tre de la profondeur.
       * Le froid. Il lui est plus facile r;sister, que la temp;rature ;lev;e.
       * Une haute pression.
       * La substance volante.
       * L'irradiation et la radiation.
       * Les h;sitations de la surface de la terre.
       * La perte de la ressource vitale – l'oxyg;ne, la nourriture, l'eau.
       * La d;faite par l'agent s'automultipliant (; quelque sens le feu poss;de aussi la capacit; ñàìîðàçìíîæàòüñÿ).
       * L'onde explosive supersonique – il est possible, ; un assez fort coup, elle pourrait embrasser la partie consid;rable de l';corce terrestre (bien que la viscosit; l'absorberait).
       La diff;rence entre un tr;s grand accident et l'accident d;finitif global peut ;tre dans ce que dans le premier cas les parts des pour-cent des gens et les territoires survivront quand m;me. C'est pourquoi un important signe du vrai accident global est ce qu'elle couvre tout le territoire de la Terre sans exceptions. Pour le compte de quoi cela se passe :
       * Un tr;s haut niveau de la surabondance de l'influence d;truisant.
       * L'agent d;truisant poss;de une sorte de "superfluidit;" selon la nature. Par exemple, ìåëêîäèñïåðñíàÿ la poussi;re, la substance superficiellement active ou les insectes, enclin ; p;n;trer dans n'importe quelles fentes.
       * "L'intelligence" de cette force, qui dirige cet agent.
La structure temporaire de l';v;nement
       En dehors de la d;pendance, comment il y avait des facteurs pr;c;dents, on peut d;signer la succession suivante des ;v;nements dans le temps pour îäíîôàêòîðíîé de l'accident global :
       1. La phase íàçðåâàíèÿ. Elle comprend l'invention, la cr;ation, la pr;paration de l'application et l'apparition du plan selon l'application. S'il s'agit du ph;nom;ne naturel, il s'agit de l'accumulation de l';nergie dans la chambre du supervolcan ou sur la hausse de l'ast;ro;de. Ici l'accumulation des n;gligences aussi entre ; l'ex;cution des instructions et l'erreur dans la r;daction des instructions.
       2. Le moment de l';v;nement de d;tente. C'est un ;v;nement dans l'espace-temps, qui d;finit le d;but de tout le proc;s, qui puis est irr;versible se d;ploie dans le rythme personnel. Ce peut ;tre la d;cision du coup nucl;aire, la fissure dans le couvercle de la chambre volcanique et ò ä. L';v;nement de d;tente lance la cha;ne des ;v;nements suivant l'un apr;s l'autre avec la probabilit; consid;rable dans le graphique d;fini temporaire. De plus si l';v;nement de d;tente ne s'est pas pass;, tout le proc;s pourrait ;tre remis sur incertain longtemps. Cependant l';v;nement lui-m;me de d;tente peut ;tre ext;rieurement inoffensif et personne non rendu compte ; titre de tel. Par exemple, le coup de feu de Gavrila Printsipa au Sarajevo.
       3. ; cette ;tape la cha;ne des ;v;nements am;ne au d;gagement de l'agent dangereux du point de sa disposition. Quatre variantes de la sortie entrent dans ce point «du point», qui nous examinions plus haut : la fuite, la rupture, l'explosion, la mise en marche.
       4. Sur cette phase il y a une diffusion de l'agent selon toute la surface de la Terre (ainsi qu'; l'espace voisin, s'il y a d;j; des ;tablissements ind;pendants spatiaux). Cette diffusion peut ;tre le proc;s secret accompagn; lui-m;me de la destruction. Secret il peut ;tre plus dangereux, puisqu'il ne reste pas des domaines, qui ont le temps de se pr;parer.
       5. La phase du proc;s supprimant. Puis se d;veloppe le proc;s lui-m;me embrassant toute la surface de la Terre. L';pid;mie ou l'onde explosive.
       6. Le point de l'irr;versibilit;. Le proc;s de la diffusion poss;de n'importe quel degr; de l'incertitude. Si le proc;s non instantan;, la lutte des gens avec lui a lieu. Ce moment, quand les gens perdent cette lutte et la disparition il est in;vitable, et il y a un point de l'irr;versibilit;. Bien qu'elle puisse ne pas s';tre rendue compte ; titre du tel. Le point de l'irr;versibilit; est un moment, quand les facteurs de la destruction exc;dent les possibilit;s technologiques de la civilisation, y compris les puissances selon l'am;lioration de ces technologies. D;pend de la concentration des facteurs de la destruction, ainsi que du niveau de la civilisation. Si ; la suite d'un grand accident le niveau de la civilisation est tomb; d'un plus bas certain point, mais le niveau des facteurs de la destruction s'est lev; plus haut elle, plus loin disparition est irr;versible. Avec la probabilit; d;finie, certainement.
       7. La mort de la derni;re personne. Apr;s le point de l'irr;versibilit; la disparition des gens survivant suit. C'est le proc;s peut s'allonger dans le temps m;me pour plusieurs ann;es pour le compte des bunkers. Il peut pr;senter m;me l';tat tr;s de longue dur;e de la v;g;tation de la tribu survivant sur quelqu'un l';le. (Mais une telle tribu avoir ;tre une chance de restaurer la civilisation.)
       8. Les proc;s "apr;s". Apr;s la mort de la derni;re personne les proc;s par la Terre ne s'ach;veront pas. Probablement, commenceront se d;veloppera les nouveaux aspects, probablement, la Terre est peupl;e des robots, íàíîðîáîòàìè et ÈÈ. Il y a aussi un espoir qu'un nouvel aspect raisonnable ressuscitera la personne selon l'ADN survivant.
Les pr;situations d'accident
       Il y a aussi des diff;rents types des situations publiques, quand accidentel ou íàðî÷íîå l'application du moyen de la destruction g;n;rale devient plus probable.
       1) la Guerre pour le groupement de la plan;te.
       2) la Lutte de tous contre tous pour les ressources dans les conditions d'eux óñûõàíèÿ et les ;puisements.
       3) la d;gradation Se accroissant structurale, mais les las la d;sagr;gation de l'URSS.
       4) l'avarie Technique, la fuite.
       5) l'Acte de sabotage en vue de la destruction de tous les gens.
       6) la guerre Accidentelle.
       7) le Chantage par la voiture du dies irae.
       8) une Mauvaise exp;rience.
       9) la R;volte en vue de l';tablissement du pouvoir par la Terre.
L'accident intentionnel et accidentel global
       On peut distinguer n'importe quels accidents globaux pour ce signe, s'ils sont organis;s par une certaine force raisonnable, qui aspire ; arranger notamment l'accident global, ou c'est un certain proc;s accidentel, qui n'a pas d'aucuns buts. ; la premi;re variante se rapportent les accidents globaux :
       Arrang; par les gens
       Li; avec ÈÈ
       Passant en raison de la collision avec des autres forces surhumaines raisonnables.
       Vers deuxi;me : les avaries, les fuites, les accidents naturels, les crises syst;miques.
       L'int;gration des premiers et deuxi;mes sc;narios : le sc;nario, quand la premi;re phase l'accident est con;u par les gens avec les buts d;finis, Est aussi possible cependant puis le proc;s ;chappe de dessous du contr;le. Par exemple, les terroristes peuvent consciemment provoquer la guerre nucl;aire, mais ne pas pr;senter ses ;chelles. Ou une certaine áóääèñòñêàÿ la secte peut consciemment contaminer tous les gens par le virus du bonheur, mais ne pas prendre en consid;ration ce que tels gens seront incapables par la suite. (Äàëàé le Lama r;cemment s'est exprim; ; cet esprit qu'enl;vera bien avec l'aide des manipulations g;n;tiques chez les gens les ;motions n;gatives.)
       D'autre part, la victoire de la force raisonnable sur les gens signifie qu'une certaine force raisonnable dans la nature reste (si seulement elle ne finit pas par lui-m;me apr;s celui-l;), mais, donc, la disparition d;finitive de la raison par la Terre ne se passe pas. Et une fois une certaine raison, et en outre surpassant humain, reste, il peut et rendre les gens pr;s de la vie. Il y a cependant des forces raisonnables principalement excellentes de la conscience humaine, par exemple, l';volution. L';volution "est beaucoup plus sage" que la personne (qui elle a engendr;), mais perd infiniment selon la vitesse. (Mais non partout, par exemple la s;lection des microorganismes stables aux antibiotiques, se passe avec la vitesse comparable avec l';laboration des nouveaux antibiotiques.) Si une des variantes du futur ÈÈ utilise les principes de l';volution, mais il est beaucoup plus rapide, il peut atteindre la "victoire" sur les gens comme plus effectif ðåøàòåëü de n'importe quelles t;ches, cependant de plus ne pas ;tre l'essentiel comprenant ; notre sens. Les ;laborations de tel ÈÈ sont conduites non sans succ;s dans la direction appel;e «les algorithmes g;n;tiques».
La voiture du dies irae
       Nous recueillerons ; la cat;gorie s;par;e toutes les variantes «les voitures du dies irae», qu'il y avoir cr;er un groupe le plus malintentionn; des gens., le terme remonte aux travaux d'Herman Kana «Sur la guerre thermonucl;aire» et vers le film de S du Poste d';quipage le "Docteur Strejndzhlav". Son sujet est tel en bref : les "Russes" cr;ent «la Voiture du dies irae», qui fait sauter la multitude de bombes du cobalt, suffisant pour la contamination compl;te de tout le monde, si l'URSS attaquent. Au cours d'int;rieur çàâàðóøêè aux ;tats-Unis le g;n;ral rebelle fou porte le coup pour l'URSS, sans conna;tre la voiture du dies irae. Finalement la voiture est lanc;e. L'ambassadeur russe parle : «Et cette voiture on ne peut pas d;connecter, autrement dans elle il n'y avait pas sens». Etc Ñòðåéíäæëàâ remarque : «Mais quel sens tiendra en secret cette voiture ?» L'ambassadeur russe r;pond :« Nous allions l'annoncer lundi ; venir ». C'est-;-dire la voiture, qui devait rudement r;duire le risque de quelque guerre par la Terre, am;ne en r;alit; ; son d;but. Il est int;ressant que Äæ. Ëåñëè ;crit dans le livre« la Fin de la lumi;re. La science et l';thique de la disparition humaine »que bien aura en fait une telle voiture, puisque si elle ;tait appliqu;e correctement, pourrait r;duire le risque de la guerre nucl;aire – environ comme maintenant c'est fait par la doctrine de la destruction mutuelle garantie. Bien que l'id;e principale de la voiture comprenne sous cette forme du chantage, qui sous-entend que la voiture du dies irae ne sera jamais appliqu;e, le fait lui-m;me de sa cr;ation cr;e la probabilit; de son application.
       En outre il y a des exemples historiques de la destruction absurde des gens – le bombardement par les hitl;riens de Londres Ôàó-2, ïîäæèãàíèå des trous au Kowe;t. L'exemple psychologique – l'atteinte ; par la grenade ; la capture.
       Pas du tout pas chaque variante de l'accident global convient comme la voiture du dies irae. Ce doit ;tre le proc;s, qui selon la d;cision d'un certain groupe des gens peut ;tre lanc; au moment strictement d;fini du temps et conduire ; l'accident global avec la probabilit; consid;rable proche de 100 %, au moins, du point de vue des concepteurs de l'installation. La voiture du dies irae doit ;tre aussi invuln;rable par rapport aux tentatives de pr;venir son application, vers l'application non sanctionn;e et il y avoir ;tre une possibilit; de d;montrer le r;alisme de son application que faut aux ma;tres chanteur. (Maintenant ; titre de la voiture du dies irae la possession au moins fonctionnellement se produit quelque arme nucl;aire, bien qu'une bombe atomique tout le monde ne supprime pas. Par exemple, est tel maintenant le r;le de la bombe nucl;aire dans les mains de la Cor;e du Nord – elle est bien cach;e, mais sa pr;sence est d;montr;e.) voici, probablement incomplet, la liste des voitures possibles du dies irae :
       * L'explosion de la bombe ; hydrog;ne
       Dans le supervolcan
       Dans la couche houill;re
       Dans le r;acteur nucl;aire
       Dans la couche des hydrates ; gaz dans l'oc;an, avec le compte sur la r;action en cha;ne du d;gazage.
       * La cr;ation de la superbombe hydrog;nique du type stationnaire.
       * L'explosion des charges de cobalt, la mise en marche du r;acteur-ch±rtovoj du tube produisant le rejet consid;rable des agents radioactifs sans l'explosion.
       * L'information de l'ast;ro;de de l'orbite.
       * L'accumulation de la masse de l'antimati;re.
       * Ïðîïëàâëåíèå de l';corce de la Terre avec l'aide du r;acteur liquide nucl;aire comme la goutte.
       * La dispersion la discussion de l'anthrax dans l'atmosph;re, le d;gagement de la grande quantit; de diff;rents virus.
       * Des prunes de la dioxine ; l'oc;an.
       * Âûïóñêàíèå g;n;tiquement les producteurs modifi;s des toxines et les virus (äèîêñèíîâàÿ le moisi, le poux de peste).
       * La diffusion de centaines de milliards des microrobots attaquant tout le vivant.
       * La destruction de la couche d'ozone avec l'aide d'un certain catalyseur.
       * La combinaison de tous ces facteurs.
Le chapitre 19. Ìíîãîôàêòîðíûå les sc;narios
       Plus haut nous avons fait autant probablement liste compl;te îäíîôàêòîðíûõ des sc;narios de l'accident global. Il y a des autres variantes de cette liste, par exemple, dans l'article de N.Bostroma et dans le livre Äæ. Ëåñëè, avec les diff;rences insignifiantes. (Cependant ma liste est la plus compl;te d'accessible aujourd'hui.) maintenant nous devons ;tre donn;s par la question, si les sc;narios, ; qui l'humanit; p;rit non pour quelque une raison, mais d'une certaine combinaison des facteurs, et si oui, cela quelle leur probabilit; et quels ces facteurs sont possibles. Nous dirons, si peut ;tre ainsi qu'un continent les supervirus extermineront, l'autre – íàíîðîáîòû, mais troisi;me dispara;tra de la famine ?
L'int;gration de diverses technologies, les situations cr;ant du risque
       Le fait lui-m;me du d;veloppement rapide des fortes technologies cr;e la zone sp;ciale du risque. Les technologies ont la tendance ; contribuer l'un ; l'autre au d;veloppement. Nous dirons, le d;veloppement des ordinateurs aide ; compter les propri;t;s des nouveaux documents, mais les nouveaux documents permettent de cr;er les processeurs encore plus productifs pour les ordinateurs. Dans la technologie moderne c'est connu sous le nom la NBIC-convergence qu'est d;chiffr; comme nano-bio-info-cogno210 et signifie le proc;s de la fusion des nanotechnologies, les biotechnologies, les technologies informatiques et les ;tudes du cerveau humain. Cette fusion se passe pour le compte de l';change pour les m;thodes et les r;sultats, ainsi que les r;alisations des projets unissant les ;l;ments de ces technologies, par exemple, quand les enveloppes des virus sont utilis;es ; titre des ;l;ments pour íàíîðîáîòîâ211, ou avec l'aide de l'ing;nierie g;n;tique sont d;duites les souris avec fluorescent ìàðêåðàìè212 ; íåéðîíàõ du cerveau pour l';tude des processus de la pens;e. La convergence des technologies s'accro;t pendant le progr;s et il y a une mise en relief du noyau vite en voie de d;veloppement des technologies (NBIC), qui sont capables d'aider chacune chacune. De plus ils peuvent faire le d;p;t ; nucl;aire, et aux technologies spatiales, mais ne pas recevoir d'eux le d;p;t inverse, mais en vertu de cela les anneaux de la liaison en retour positive ne r;ussit pas – et ces technologies restent en arri;re de ìýéíñòðèìà du progr;s technologique. La base pour NBIC des technologies est ìèíèàòþðèçàöèÿ. La convergence NBIC des technologies conduit vers on n'a personne le pic, que, probablement, est une forte intelligence artificielle.
       L'int;gration semblable avait lieu plus d'une fois dans le pass; ; la cr;ation de l'arme. Ici les technologies n'aidaient pas dans le d;veloppement l'un l'autre, mais cr;aient les principalement nouveaux groupes de machines. Par exemple, l'avion avec la mitrailleuse, l'appareil photographique et la radiocommunication – ; titre de l';claireur et l'avion de chasse ; la premi;re guerre mondiale. Ou la fus;e balistique intercontinentale, dans qui on unissait les acquisitions dans le domaine de l'arme nucl;aire, la technique des fus;es et les ordinateurs, chacun de qui selon l'isolement ; mille fois serait plus s;r. C'est-;-dire la bombe atomique sans moyens de la livraison, ou la fus;e avec l'ogive ordinaire, ou la fus;e sans syst;mes de l'induction. (On veut marquer de plus que la r;duction actuelle des arsenals nucl;aires est compens;e par la croissance de leur exactitude qu'augmente leur force frappant.)
       Les pronostics se trouvant souvent du futur et l'imaginaire d;crivent futur comme le pr;sent plus une quelque nouvelle ligne. M;me p;chent les pronostics des risques globaux : ils d;crivent l'apparition dans le monde de quelque une technologie dangereuse et puis examinent les cons;quences de cet ;v;nement. Par exemple, comme changera le monde, si dans lui il y aura des nanotechnologies d;velopp;es. Il est ;vident que cette approche est inconsistante, puisque les futures technologies, pour le compte de leur d;veloppement commun, appara;tront simultan;ment et entrer l'un avec l'autre dans les coop;rations complexes.
       Il a lieu de plus successif, et la convergence parall;le. La convergence parall;le a lieu, quand quelques nouvelles technologies s'unissent pour cr;er un qualitativement nouveau produit, par exemple, la fus;e intercontinentale avec la charge nucl;aire. Successif se rapporte ; la cha;ne des ;v;nements, dans qui uns facteurs lancent les autres, par exemple : l'attentat – la crise ;conomique – la guerre – l'application de l'arme biologique.
Les sc;narios formant la paire
       Nous examinerons d'abord les sc;narios hypoth;tiques formant la paire de l'accident global, autrement dit, de diff;rentes variantes âçàèìîóñèëåíèÿ des facteurs principaux pris par les vapeurs. Il est clair de plus qu'; la r;alit; ils agiront tout ensemble, mais ces vapeurs peuvent devenir «êèðïè÷èêàìè» (ou, plut;t, les liens dans la colonne) pour la pr;vision plus complexe. Nous donnerons la description d'esquisse de la coop;ration de telle sorte, en r;alit;, dans l'ordre de l'assaut c;r;bral. Ici il ne faut pas percevoir chaque sc;nario formant la paire comme le pronostic d;finitif – mais non parce qu'il est trop fantastique, c'est pourquoi qu'il ne prend pas en consid;ration l'influence encore une s;rie de facteurs.
       ÈÈ et les biotechnologies
       La convergence successive (la cha;ne des ;v;nements) :
       1. G;n;tiquement les supergens modifi;s poss;deront la superintelligence, qui leur permettra de cr;er pr;sent informatique ÈÈ.
       2. ÈÈ cr;era le super-virus comme l'arme.
       3. Les gens dispara;tront du virus, et il faut introduire au lieu d'eux des robots.
       La convergence parall;le : l'apparition des nouveaux produits sur la base des deux technologies :
       4. L'assemblage biologique superdense ÷èïîâ acc;l;rera rudement la croissance ÈÈ.
       5. Les virus sp;ciaux ;tabliront cr;; ÈÈ les programmes au cerveau aux gens.
       6. ÈÈ cr;eront directement des biodocuments – íåéðîíîâ, l'ADN.
       ÈÈ et la superdrogue
       Les sc;narios successifs :
       1. Par exemple, ÈÈ voudra r;jouir les gens et cr;era une telle drogue. Ou ÈÈ sera une telle drogue (la r;alit; virtuelle, Internet, les r;ves dirig;s voir).
       2. Dans la mesure de la mort des gens de la superdrogue il faut les remplacer sur les robots.
       3. Ou au contraire, il faut inventer une certaine super-t;l;vision pour calmer les gens, qui sont rest;s sans travail ; cause d'ÈÈ.
       4. La superdrogue sera l'arme hostile ÈÈ contre les gens.
       La convergence parall;le :
       5. ÈÈ inventera la combinaison complexe des champs magn;tiques cr;ant l'effet exact narcotique dans le cerveau.
       6. Le lien ÈÈ et le cerveau humain par íåéðîøóíò intensifiera principalement les possibilit;s celui-l;, et l'autre. ÈÈ recevra l'acc;s ; l'intuition humaine, mais la personne – vers la m;moire non limit;e et la vitesse de l'id;e.
       La superdrogue et les biotechnologies
       1. La production des drogues dangereuses deviendra la m;me affaire simple, comme la cultivation du champignon de th;.
       2. Le besoin des gens des drogues am;nera ; l';panouissement du march; noir des biotechnologies, qui fera en m;me temps accessible et la fabrication la bioarme de la d;faite massive.
       3. Pour d;shabituer les gens de la superdrogue, on pulv;rise la bioarme sp;ciale frappant le cerveau.
       4. Une certaine maladie contagieuse par un des sympt;mes aura l'euphorie et l'aspiration elle r;pandre.
       La superdrogue et les nanotechnologies
       Un encore plus fort effet donnera l'irritation directe des domaines du cerveau par les microrobots. Íàíîðîáîòû cr;eront les syst;mes, qui mettront en lumi;re l'information du cerveau (íåéðîøóíòû) que permettra de cr;er d'encore plus puissants moyens des distractions. (Il est int;ressant que dans le programme du d;veloppement des nanotechnologies en Russie est affirm; que le march; de telles installations vers 2025 atteindra les milliards äîëëàðîâ213.) Cependant en tout les m;mes sc;narios qu'avec les biotechnologies ici agissent.
       ÈÈ et les nanotechnologies
       1. Íàíîðîáîòû permettront de lire les d;tails de l'installation du cerveau humain qu'acc;l;rera le d;veloppement ÈÈ.
       2. ÈÈ aidera ; ;laborer et produire superefficace íàíîðîáîòîâ.
       3. Le progr;s dans les nanotechnologies soutiendra la loi Ìóðà assez longtemps pour que les ordinateurs atteignent la productivit;, multiple surpassant la productivit; du cerveau humain ; extr;mement bas prix.
       4. Íàíîðîáîòû seront les porteurs r;els II – quelque chose r;ussira moyen entre l'oc;an raisonnable ; l'esprit ëåìîâñêîãî Ñîëÿðèñà et le sc;nario de la mucosit; Grise.
       5. Hostile ÈÈ utilise íàíîðîáîòîâ comme l'arme pour l';tablissement du pouvoir par la Terre.
       ÈÈ et l'arme nucl;aire
       1. ÈÈ inventera, comme faire l'arme nucl;aire (ßÎ) il est plus facile, il est plus rapide et il est plus bon march;.
       2. Le sc;nario, dans l'esprit de propos; dans le film «Òåðìèíàòîð» : ÈÈ utilise ßÎ pour que se d;livre des gens.
       3. Les gens utilisent ßÎ pour tenter d'arr;ter sortant de dessous du contr;le ÈÈ.
       Íàíî et les biotechnologies
       1. Les carreaux vivants recueilleront les d;tails íàíîðîáîòîâ (synth;tiser ; sp;cial ðèáîñîìàõ).
       2. Appara;tront «àíèìàòû» – la vie artificielle contenant les ;l;ments comme vivante, et íàíîðîáîòîâ.
       3. Seulement íàíîðîáîòû donneront la protection d;finitive contre l'arme biologique.
       Les nanotechnologies et l'arme nucl;aire.
       1. Les nanotechnologies permettront de simplifier la division des isotopes et l';tude ßÎ.
       2. Les tentatives de lutter avec les vol;es íàíîðîáîòîâ avec l'aide des coups nucl;aires am;neront ; la destruction suppl;mentaire et la contamination de la Terre.
       Nucl;aire de l'arme et la biotechnologie
       1. L'arme nucl;aire peut ;tre appliqu;e pour la destruction des laboratoires dangereux et la st;rilisation des espaces contamin;s.
       2. Les bio;laborations peuvent ;tre appliqu;es pour la production de l'uranium de l'eau maritime et pour son enrichissement, ainsi que pour la mise en relief du plutonium du combustible r;cup;r;. Ou les d;sactivations du territoire.
       3. La guerre nucl;aire se passe dans le monde fortement contamin; par les agents biologiques. La guerre fait impossible le rythme ad;quat de la production des vaccines et d'autres ;crans, et am;ne simultan;ment ; la migration intense des gens. Les ressources, qui pourraient aller ; la protection contre les microbes, sont jet;es sur la protection contre l'irradiation de radiation. Plusieurs gens sont affaiblis.
       ßÎ et les supervolcans
       Avec l'aide de la bombe ; hydrog;ne on peut provoquer l'explosion du supervolcan ou un fort tremblement de terre. Ou au contraire, diriger son ;nergie selon le canal lat;ral.
       ßÎ et les ast;ro;des.
       1. Avec l'aide de ßÎ on peut rejeter l'ast;ro;de de la Terre, ou au contraire le diriger sur la Terre.
       2. La chute de l'ast;ro;de peut ;tre per;ue comme le coup nucl;aire et amener au d;but accidentel de la guerre atomique.
       3. L'ast;ro;de peut aussi d;truire la station atomique et provoquer la contamination.
       ÈÈ et la crise syst;mique
       1. L'application des superordinateurs cr;era un certain nouveau type de l'instabilit; – rapide et incompr;hensible (dans la sph;re militaire, dans l';conomie, dans le domaine de la prognostiki-futurologie).
       2. La guerre ou la menace de la guerre am;nera ; la course aux armements, dans le r;sultat par qui sera cr;; le plus destructif et dangereux ÈÈ.
       3. Tout le monde est est d;pendant du syst;me de gestion global informatique, qui puis tombe en ruines par les pirates. Ou ; elle se donne l';quipe sur l'autodestruction.
       ßÎ et la crise syst;mique
       1. N'importe quelle explosion de la bombe atomique dans la ville peut d;molir les march;s mondiaux financiers.
       2. Au contraire, l'effondrement des march;s et la crise financi;re peut amener ; la fragmentation du monde et le renforcement des tentations des d;cisions de force.
       ßÎ et le climat
       1. On peut expr;s provoquer l'hiver nucl;aire, ayant fait sauter une puissante charge nucl;aire dans la couche houill;re qu'est garanti jettera ; l'atmosph;re la quantit; immense de suie. Si la th;orie sur «l'hiver nucl;aire» ; la suite des attaques contre les villes est fid;le, une telle action sera aux dizaines ou centaine de fois il est plus effectif selon la sortie de la suie.
       2. On peut, probablement, provoquer et l';l;vation de la temp;rature irr;versible globale avec l'aide des places correctement choisies pour l'attaque nucl;aire. Par exemple, on sait qu'apr;s l'hiver nucl;aire probablement ;t; nucl;aire, quand la suie s'affaissera sur les glaciers et provoquera leur chauffe et la fonte. L'explosion des bombes dans les massifs des hydrates ; gaz sous le fond de l'oc;an peut provoquer aussi la r;action en cha;ne de leur d;gagement.
       3. Au contraire, on peut r;gler le climat, en provoquant le rejet du soufre et les cendres par les volcans avec l'aide des charges nucl;aires (mais cela d;j; aux cha;nes de trois ;l;ments).
L';tude des accidents globaux avec l'aide des mod;les et les analogies
       L'accident global de la civilisation technologique conduisant ; la disparition humaine – le ph;nom;ne unique, qui n';tait jamais ; l'histoire qu'embarrasse son ;tude. Cependant nous pouvons essayer choisir une s;rie d'autres ;v;nements, qui seront analogues ; l'accident global dans certains aspects, et recueillir, ainsi, une s;rie de mod;les. L'extrait de telle sorte est assez subjectif. Je propose de prendre ; titre des analogies les ;v;nements gradu;s, complexes, en d;tail ;tudi;s et connus. Cela :
       * La disparition des dinosaures
       * La disparition des hommes de Neandertal
       * L';chec de l'Empire romain
       * La d;sagr;gation de l'URSS
       * La crise sur l';le de P;ques
       * L';chec des civilisations indiennes de l'Am;rique apr;s son ouverture Êîëóìáîì
       * L'explosion ; ×åðíîáûëå
       * La destruction de "Titanic"
       * L'explosion de la supernouvelle ;toile
       * L'apparition de l'humanit; du point de vue de la biosph;re
       * Le d;but de la Premi;re Guerre mondiale
       * Le Cancer comme la maladie
       Ces ;v;nements peuvent ;tre compar;s ; l'accident global dans de diff;rents aspects. ; uns d'eux participent les essentiels raisonnables, aux autres est irr;versible disparaissent les aspects entiers, ; troisi;me ; l';chec conviennent ñëîæíîîðãàíèçîâàííûå les syst;mes, ; quatri;me participent les technologies complexes. Selon chacun des sujets appel;s il y a beaucoup de litt;rature, et elle est assez contradictoire. Dans chaque cas il y a une multitude d'hypoth;ses, qui expliquent tout dans quelque une raison – mais puisque telles hypoth;ses il y a beaucoup de, aucune raison n'est pas en effet seule. Plut;t au contraire, total dans toutes les variantes appel;es c'est qu'il n'y avait pas quelque une raison : que plus nous examinons les d;tails, surtout est distinctive la multitude de facteurs, qui ont amen; ; la fin, et qui coop;raient d'une mani;re compliqu;e. Sur chacun de ces accidents on ;crit les livres, et la dispersion des opinions est consid;rable, c'est pourquoi je ne tenterai pas de raconter les repr;sentations toutes possibles sur les raisons de tous ces accidents, mais j'envoie le lecteur vers la litt;rature correspondante, parmi qui on peut mettre en relief le livre r;cent le "Collapsus" Äàéìîíäà214. Sur la disparition des dinosaures se trouve regarder le chapitre correspondant dans le livre de K.Es'kova «l'Histoire de la Terre et la vie sur elle» 215.
       Dans tous ces cas c'est total qu'assistait complexe êîìëåêñ des raisons ext;rieur, ainsi que le caract;re int;rieur. Notamment l'approche d'ensemble de ces raisons cr;e les probl;mes, dans les cas o; nous tentons de r;pondre aux questions ; l'esprit «Pourquoi s'est d;sagr;g; l'Empire romain ?» C'est la principale le;on. Si nous nous heurtons ; l'accident, qui perdra la civilisation humaine, cela, probablement, elle se passera non pour quelque une raison, mais en vertu de la coop;ration complexe des diff;rentes raisons ; de diff;rents niveaux. Donc, nous devons tenter de cr;er le mod;le du m;me niveau de la complexit;, comme ceux qui sont utilis;s pour la description d;j; de grands accidents arriv;s.
       Premi;rement, il est important de marquer que le r;le d;cisif ; âûìèðàíèÿõ et les accidents ;tait jou; par les facteurs faisant les propri;t;s fondamentales du syst;me. (Par exemple, les dinosaures ont disparu non de la raison ext;rieurement accidentelle – l'ast;ro;de, mais de leur propri;t; la plus d;finissant – qu'ils ;taient immense et ovipare, et donc, ;taient vuln;rables chez les carnassiers menus. L'ast;ro;de ;tait seulement le pr;texte qui a ouvert la fen;tre de la vuln;rabilit; et les aspects plus stables les crocodiles l'ont ;prouv;, par exemple. La personne tombe malade du cancer, non parce que chez lui il y avait une mutation incorrecte, c'est pourquoi qu'il selon la nature comprend les carreaux capables vers la division. Si non la sp;cificit; de la culture indienne sans roue, les chevaux et le progr;s, non Êîëóìá serait arriv; vers eux, mais eux – vers Êîëóìáó.)
       L'id;e de ce que les propri;t;s d;finissant du syst;me donnent ce type des accidents, qui il peut lui arriver, force ; r;fl;chir, quelles propri;t;s d;finissant de l'aspect humain et la civilisation moderne. Par exemple, ce que l'avion par la d;finition vole, – donne l'accident le plus typique pour lui – la chute. Mais pour le navire par le risque le plus typique se noiera. Mais beaucoup moins souvent navires se brisent, mais les avions se noient.
       Donc, ; partir de ce qu'aucun de ces accidents n';tait pas provoqu; par quelque un facteur simple ext;rieur, mais avait les raisons dans les propri;t;s d;finissant du syst;me (qui ";taient ;tal;s", en cons;quence, par tout le volume du syst;me), nous pouvons faire une importante conclusion : îäíîôàêòîðíûå les sc;narios de l'accident global ne sont pas tellement dangereux, autant «les propri;t;s d;finissant des syst;mes» et les crises syst;miques li;es ; eux sont dangereuses. La particularit; de la crise syst;mique comprend encore et dans ce qu'il entra;ne automatiquement ; lui-m;me toute la population et il ne demande pas universel «les moyens de la livraison».
       D'autre part, nous pouvons dire que tous ces facteurs sont peu importants, puisque tous les empires t;t ou tard s';croulent en tout cas, les aspects disparaissent, mais les essentiels p;rissent. Mais ces informations nous sont inutiles, puisque ne parlent rien, comme faire de mani;re que cela est devenu "tard", et non "t;t".
       Deuxi;mement, bien que les contradictions int;rieures du syst;me puissent tr;s longtemps se pr;parer, il ;tait n;cessaire les facteurs ext;rieurs et assez accidentels pour la pousser vers la destruction. Par exemple, bien que la niche ;cologique des dinosaures soit r;duite constamment selon la logique de ce proc;s, la chute de l'ast;ro;de et l';ruption des volcans pouvait encore plus pousser ce proc;s. Ou le gla;age, qui a pouss; les hommes de Neandertal vers la disparition, simultan;ment avec la pression de la partie ñàïèåíñîâ. Ou l'avarie de Tchernobyl, qui a sap; l'URSS pendant la plus grande vuln;rabilit;. Et si ces facteurs ext;rieurs accidentels n';tait pas, le syst;me pourrait et ne pas passer ; un autre lit du d;veloppement.
       Troisi;mement, dans tous les cas o; il s'agissait de la gestion raisonnable, il se trouvait, de mani;re ou d'autre, pas trop raisonnable. I.e. faisait les erreurs d;cisives conduisant ; l'accident. En outre souvent l'accident est li; ; la co;ncidence simultan;e "accidentelle" du grand nombre des facteurs divers, qui selon l'isolement ne conduisaient pas ; l'accident. Enfin, l'autoorganisation pathologique, quand le proc;s destructif se renforce ; chaque ;tape du d;veloppement peut ;tre propre au proc;s catastrophique.
       Il est int;ressant d';tudier ;galement autant il y avait avec succ;s une humanit; dans la cr;ation des syst;mes, qui ne supportaient jamais les accidents, c'est-;-dire ; l';tude de qui on n'utilisait pas la m;thode empirique. H;las, nous sommes oblig;s d'exclure la multitude de syst;mes, qui ;taient cr;;s comme sans accident, mais ont amen; finalement aux accidents. On peut se rappeler les r;acteurs nucl;aires, les navires spatiaux le "Shuttle", les "Concordes" supersoniques. La garantie de s;curit; de l'arme nucl;aire Le mieux a l'air, mais aussi il y avait ici quelques incidents, quand la situation ;tait, pour ainsi dire, ; la limite. On Semble productif l';tude ult;rieure des analogues et les mod;les des accidents globaux sur les ensembles des exemples.
L'imminence de l'acquisition de l';tat stable
       On peut formuler l';nonciation suivante vraisemblable : probablement, bient;t l'humanit; passera ; un tel ;tat, quand la probabilit; des accidents globaux sera tr;s petite. Cela se passera dans les cas suivants :
       Nous comprendrons qu'aucun des accidents globaux n'a pas une haute probabilit; en aucun cas.
       Nous trouverons le moyen de contr;ler tous les risques.
       L'Accident se passera quand m;me, et on n'aura personne ; p;rir plus.
       Nous nous r;signerons ; l'imminence de l'accident global comme par la partie du proc;s naturel de vie (ainsi, par exemple, les derniers deux mille ann;es les chr;tiens attendaient la Fin de la Lumi;re, et m;me se r;jouissaient de sa proximit;).
       Cependant, nous observons le ph;nom;ne oppos; – les possibilit;s des gens de la cr;ation des moyens de la destruction, et donc ïîãîäîâàÿ la probabilit; de l'accident global, grandit constamment. Et en outre grandit plus vite, que la population et les moyens de la protection. Si nous comptons cette courbe de la croissance, elle aura aussi un certain pic. On peut prendre pour la comparaison l';chelle des victimes du premier et deuxi;me arrangement ; l'amiable des guerres. Nous verrons qu'en 25 ans le nombre des victimes de la destruction maxima r;alis;e a augment; environ ; 3,6 fois (si prendre les estimations ; 15 et 55 millions de victimes en cons;quence). Cela d;passe la croissance de la population. Cependant avec le d;veloppement de l'arme nucl;aire cette acc;l;ration est vulgairement encore plus rapide, et d;j; vers 1960-70 on pouvait supprimer r;ellement centaines de millions de gens (; la guerre r;elle p;rirait non toute la population de la Terre, puisque le but d'exterminer tous n';tait pas mis). Donc, si prendre le rythme de l'acc;l;ration de la force de la destruction ; 3,6 dans 25 ans, nous recevrons l'acc;l;ration ; 167 fois en cent ans. Cela signifie que vers 2045 la guerre sera capable de supprimer 9 milliards de gens – qu'est comparable avec le total attendu sur ce moment de la population de la Terre. Ce chiffre est proche vers attendu Technologique Ñèíãóëÿðíîñòè du c;t; de 2030, bien que soit re;ue tout ; fait d'une autre mani;re et avec l'utilisation des donn;es seulement la premi;re moiti; du XX si;cle.
       C'est pourquoi nous pouvons ïåðåôîðìóëèðîâàòü notre th;se : ;ternellement la croissance de la probabilit; des facteurs du risque de se prolonger ne peut pas. On peut le formuler et autrement : les moyens de la pr;servation de la stabilit; doivent surpasser les moyens de l'autodestruction. Si les moyens de la destruction se trouvent plus puissants, le syst;me tombera sur un tel niveau, o; les forces óïîðÿäî÷èâàíèÿ seront suffisantes. M;me si ce sera le d;sert br;l;. Avec le compte âðåìåíí ? ãî du facteur on peut dire que les moyens du maintien de la stabilit; doivent grandir plus vite, que les moyens de l'autodestruction. Et seulement dans ce cas ïîãîäîâàÿ la probabilit; de la disparition tombera, et son int;grale dans le temps n'aspirera pas ; l'unit; que signifie la possibilit; de l'existence infinie de l'humanit;, c'est-;-dire les r;alisations de sa t;che íåóíè÷òîæèìîñòè.
Ðåêóððåíòíûå les risques
       N'importe quel risque global, qui par nous ;tait ;num;r; dans la premi;re moiti; de ce texte, devient consid;rablement plus dangereux, s'il appara;t plusieurs fois. Il y a une grande diff;rence entre la fuite unique du virus dangereux, et mille fuites de diff;rents virus se passant simultan;ment. Si s';coule et se r;pandra un virus avec la l;talit; ; 50 %, nous perdrons jusqu'; la moiti; de la population de la Terre, mais cela n'interrompra pas le d;veloppement de la civilisation humaine. Si pendant la vie d'une g;n;ration il y aura 30 telles fuites, ; vivant il restera – le plus probablement – seulement une personne. Si de ceux-ci il y aura mille, ãàðàíòèðîâàííî personne, m;me si la l;talit; de chaque virus s;par; sera seulement 10-20 % ne survivra (; condition que tous ces virus se r;pandent selon toute la plan;te, et non s'affaisseront dans les aires). On peut dire le M;me et sur la chute des ast;ro;des. Le bombardement par la s;rie de longue dur;e des dizaines des ast;ro;des du moyen montant sera beaucoup ëåòàëüíåå pour l'humanit;, que la chute d'un grand.
       Certainement, il faut prendre en consid;ration la capacit; de l'humanit; ; s'adapter ; quelque une menace. Par exemple, on peut r;ussir l'opposition absolument ; toutes les menaces biologiques – si c'est la seule classe des menaces. Cependant les possibilit;s de la cr;ation de la protection universelle des risques globaux sont limit;es. Apr;s le 11 septembre aux ;tats-Unis ont commenc; ; dresser la liste des objets vuln;rables et ont compris vite qu'il est impossible de prot;ger tous les objets.
       Puisque le d;veloppement des technologies va en commun, nous ne pouvons pas compter que quelques unes technologies cl;s appara;tront, tandis que tout autre resteront au m;me niveau, comme maintenant. (Bien que d'habitude notamment une telle image il y a des romans de fiction et les films. C'est l'exemple de "l'opinion pr;con;ue de la mentalit; conditionn;e par la bonne histoire».)
Les risques globaux et le probl;me du rythme de leur accroissement
       Les risques globaux sont le jeu sur le d;vancement. Chaque nouvelle r;alisation technologique cr;e les nouveaux risques globaux et diminue les anciens. La mise en valeur de l'espace a diminu; le risque de la collision accidentelle avec l'ast;ro;de, mais a cr;; la possibilit; de l'organiser expr;s. La diffusion íàíîðîáîòîâ diminuera les menaces de g;n;tiquement organismes modifi;s, mais cr;era l'arme encore plus dangereuse. L'intelligence artificielle d;cidera les probl;mes du contr;le sur d'autres technologies dangereuses, mais cr;era un tel syst;me de contr;le, n'importe quelle d;faillance dans le travail par qui peut ;tre mortellement dangereux. Le d;veloppement des biotechnologies nous donnera la possibilit; de vaincre aux mains toutes les maladies anciennes autrefois – et cr;er les nouveaux.
       En fonction de celui-l;, quelles technologies appara;tront plus t;t ou plus tard, de diff;rentes enfourchures sur les voies du d;veloppement ult;rieur de la civilisation du type technologique sont possibles. En outre il est important, si les nouvelles technologies auront le temps de d;cider les t;ches cr;;es aux ;tapes pr;c;dentes du d;veloppement, en premier lieu – les probl;mes de l'exhaustivit; de ces ressources, qui ;taient ;puis;s au cours du d;veloppement des technologies pr;c;dentes, ainsi que l';limination des risques cr;;s par les technologies pass;es.
       Plus t;t avec l'humanit; il y avait une multitude de situations toutes possibles sur quelqu'un l';tape de son d;veloppement historique, par exemple, toute la multitude de coop;rations du grand ;tat avec les nomades. Maintenant nous nous trouvons, apparemment, dans la situation de l'apparition de l'alternative r;elle historique – s'il y aura quelque chose un, quelque chose d'autre ne sera pas du tout. Ou sera cr;; puissant, contr;lant tout ÈÈ, ou tout seront mang;s par la mucosit; grise. Ou nous deviendrons la civilisation spatiale, ou nous reviendrons ; l';ge de pierre.
       Le risque global appara;t en vertu de la vitesse du proc;s le cr;ant. Avec le proc;s lent de la diffusion de quelque chose on peut avoir le temps de venir ; bout, pr;parer les abris antia;riens justes, ;lever la vaccine. Donc, distinguer le vrai risque global on peut selon le rythme de son d;veloppement (Ñîëæåíèöûí : la r;volution est d;finie òåìïîì216.) ce Rythme sera en cas du risque global ;tourdissant, parce que les gens ne peuvent pas avoir le temps de comprendre que se passe et il est correct de se pr;parer. Cependant pour de diff;rentes classes des ;v;nements ;tourdissant il y aura des diff;rentes vitesses. L';v;nement est plus improbable, sa plus petite vitesse sera ;tourdissant. L'URSS semblait par quelque chose tellement ;ternelle et in;branlable que m;me la crise ;tendue sur plusieurs ann;es et l';chec du syst;me sovi;tique semblait ;tourdissant. La crise syst;mique, dans qui le point maximum êàòàñòðîôè÷íîñòè d;marre constamment (comme l'incendie, en ;tant jet; d'un objet sur l'autre), poss;de le potentiel beaucoup plus grand ;tourdissant.
       De plus par la perception de choc de la crise syst;mique il faut comprendre la capacit; des ;v;nements ; faire l'impression incorrecte sur lui-m;me, probablement, en forme «le choc du futur». Et en cons;quence provoquer la r;action incorrecte ; eux, encore plus leur intensifiant (qu'a amen; l'Exemple ; quoi – les erreurs r;centes des pouvoirs am;ricains qui ont admis la faillite de la banque Lemann vers incomparable áîëüøåìó au pr;judice financier, que si la banque ;tait sauv;e.). Certes, certains comprendront ; la fois l'essentiel de l';v;nement, mais îøåëîìë¸ííîñòü signifie la d;sagr;gation de l'image commune de l';v;nement dans la soci;t;, particuli;rement pr;s des pouvoirs. C'est pourquoi il y aura un aveuglement et les voix «Êàññàíäð» ne seront pas entendues – ou seront clairs incorrectement. Les proc;s plus rapides ;vinceront plus lent, mais pas toujours l'attention aura le temps de les adopter.
La force comparative des diff;rentes technologies dangereuses
       Ensuite, nous pouvons dresser la liste de la "force" de l'influence destructive des technologies, dans laquelle chaque technologie suivante donne áîëüøèé le rythme des menaces et ;clipse les menaces cr;;es ; l';tape pr;c;dente. Temporaire le facteur indique ici ; la dur;e du proc;s possible de la disparition (et non le temps jusqu'; la maturation de la technologie).
       1. L';puisement des ressources – les d;cennies ou les si;cles.
       2. La guerre gradu;e nucl;aire avec l'application des bombes du cobalt – avec le compte lent ult;rieur la disparition – les ann;es et les d;cennies.
       3. Les biotechnologies – les ann;es ou les dizaines des ann;es.
       4. Íàíîðîáîòû – de quelques jours ; quelques ans.
       5. L'intelligence artificielle – des heures ; quelques ans
       6. L'explosion sur l'acc;l;rateur – ; la vitesse de la lumi;re.
       Il est important de marquer que les proc;s rapides "vainquent" les lents. En cons;quence, les sc;narios de l'accident global avec beaucoup plus probabilit; passeront des primes de cette liste sur dernier, autrement dit, si au milieu du proc;s de l';puisement des ressources soudain commence ìíîãîôàêòîðíàÿ la guerre biologique, le proc;s de l';puisement des ressources sera tellement lent en comparaison d'elle que l'on peut ne pas le prendre en consid;ration. De plus la pr;sence de chaque technologie plus avanc;e permettra de minimiser les cons;quences de l'accident de plus faible. Par exemple, les biotechnologies d;velopp;es aideront ; obtenir les ressources et nettoyer le monde de la contamination radioactive. Íàíîðîáîòû pourront prot;ger contre n'importe quels dangers biologiques.
La succession de l'apparition des diverses technologies dans le temps
       La liste mentionn;e ci-dessus de la "force" des technologies est semblable en tout sur attendu âðåìåíí ? þ la succession de l'apparition des technologies ; la r;alit;, puisque nous pouvons attendre que pendant le progr;s il y aura des technologies de plus en plus fortes et potentiellement destructives, mais en fait correspond pas absolument ; cette succession.
       La succession de l'apparition des diverses technologies dans le temps est le facteur le plus important dans la d;finition de celui quel nous attend le futur. Bien que gr;ce ; la NBIC-convergence les succ;s dans une technologie se fassent sentir les autres, pour nous le moment de la maturation de la technologie est ce moment, quand avec son aide possible cr;e le risque global. Et m;me un petit d;vancement peut jouer ici la signification d;cisive. En g;n;ral, n'importe quelle technologie permet de cr;er l';cran et l';p;e. Par temps, l';cran reste en arri;re d'habitude, bien que, dans le compte final, il peut se trouver plus fort que l';p;e. En outre une plus forte technologie cr;e l';cran de plus faible.
       D'habitude la succession suivante de la maturation des technologies est attendue : áèî – íàíî – ÈÈ. Une forte intelligence artificielle est le "joker" original, qui peut appara;tre et demain, et dans dix ans, et par 50 ou en g;n;ral jamais. Les biotechnologies se d;veloppent est assez progressif conform;ment ; par "la loi Ìóðà», et nous pouvons pr;dire en tout le temps, quand ils m;riront jusqu'; ce point, o; on pourra produire de n'importe quels virus n'importe o; et il est bon march; comme on veut. Ce sera exact probablement dans 10-30 ans, si un certain accident n'interrompt pas le d;veloppement de ces technologies. L'exp;rience dangereuse physique peut se passer presque instantan;ment et ind;pendamment d'autres technologies – il y a un haut niveau des technologies en g;n;ral. L'Arriv;e au pouvoir puissant ÈÈ r;duira consid;rablement la probabilit; d'un tel ;v;nement (mais m;me ÈÈ peut mettre certaines exp;riences).
       Les nanotechnologies se trouvent sous la forme consid;rablement plus rudimentaire, que les biotechnologies et m;me les technologies ÈÈ. Les premi;res exp;riences dangereuses avec les biotechnologies ;taient encore dans les ann;es 1970 (le bacille intestinal canc;reux), mais jusqu'; plus proche dangereux íàíîòåõíîëîãè÷åñêèõ des exp;riences – encore 10 ans au minimum, si ne se passe pas de quelque rupture technologique. C'est-;-dire les nanotechnologies restent en arri;re sur les biotechnologies presque pour les 50. La rupture soudaine peut se passer ou du c;t; d'ÈÈ – vraiment il inventera comme facilement et vite cr;er la nanotechnologie ou du c;t; des biotechnologies – ou sur les voies de la cr;ation des organismes synth;tiques.
La comparaison des divers risques technologiques
       Pour chaque supertechnologie on peut introduire le facteur du danger Y=a*b, qui refl;te la probabilit; de l'apparition de cette technologie (a), ainsi que la probabilit; de son application malintentionn;e (b).
       Par exemple, les technologies nucl;aires existent d;j; (a=1), mais le contr;le sur leurs applications consid;rables (la guerre ; grande ;chelle ou la superbombe) est assez haut, c'est pourquoi la deuxi;me valeur de l'oeuvre est petite. Pour les biotechnologies est haute la probabilit; de leur d;veloppement, ainsi que la probabilit; de leur application malintentionn;e. Pour ÈÈ ces valeurs nous sont inconnues. Aux nanotechnologies est inconnue aussi la probabilit; de leur cr;ation (on ne voit pas cependant des difficult;s importantes), mais la probabilit; de leur application malintentionn;e est analogue ; la probabilit; pour l'arme biologique.
       En outre on peut ajouter le facteur de la vitesse du d;veloppement de la technologie, qui montre, autant elle est proche par temps. La multiplication lin;aire n'est pas tout ; fait correcte ici, puisque ne prend pas en consid;ration ce fait que la technologie ;tant en retard est supprim;e enti;rement par les autres, ainsi que le caract;re non lin;aire du progr;s de chaque technologie (au minimum l'exposant). Plus loin de nous la technologie, elle est plus s;re, puisqu'il y a plus de chance de ce que nous trouverons le moyen l'image s;re de diriger le progr;s et l'application de ses fruits.
       En g;n;ralisant, on peut faire la conclusion que les biotechnologies re;oivent les plus hauts points selon cette ;chelle – ces technologies sont possibles sans faute, leur application nuisible est presque in;vitable et par temps ils sont tr;s proches de nous.
       Les nanotechnologies re;oivent le niveau brusquement bas de la menace. On ne sait pas, s'ils sont possibles, de plus ils peuvent se trouver tout ; fait s;rs et jusqu'au moment de leur maturation naturelle beaucoup de temps est encore suffit. S'ils m;rissent artificiellement, – gr;ce au progr;s dans la cr;ation ÈÈ ou les biotechnologies, – ils se trouvent sous l'ombre de la force de ces technologies : sous l'ombre des menaces des biotechnologies, que vers ce moment ils peuvent cr;er, et sous l'ombre des capacit;s ÈÈ vers le contr;le, qui pourra contr;ler toutes les fuites accidentelles des nanotechnologies.
       ÈÈ, ;tant «le joker bilat;ral», peut et pr;venir n'importe quels autres risques, et il est facile de perdre l'humanit;. Le moment lui-m;me de l'apparition ÈÈ est le moment ïîëèôóðêàöèè – ; ce moment on lui peut donner les buts, qu'il sera impossible changer ensuite. Lent et plus plus tard apparition ÈÈ est li;e ; la transformation possible harmonieuse de l';tat moyennant l'ordinateur gigantesque tout-contr;lant. L'apparition plus rapide et pr;coce, plut;t, est li;e ; l'invention soudaine ; íåêîåé les laboratoires de la voiture capable vers le perfectionnement moral, et íàöåëèâàíèåì de celle-ci sur l'usurpation par la Terre. Dans ce cas elle, plut;t, cr;era certaines principalement nouvelles structures du lien et la gestion, mais sa diffusion sera explosive et r;volutionnaire. Cependant plus tard les gens cr;eront ÈÈ, il est plus grand la chance qu'ils comprendront, comment correctement le programmer pour qu'il apporte en fait le bien aux gens. Cependant, d'autre part, plus tard il appara;tra, plus probablement que cela sera fait par un certain "pirate", puisque la complexit; de la t;che avec chaque ann;e se simplifie. E.Judkovski (dans l'article dans l'application ; ce livre) m;taphoriquement exprime ainsi cette id;e : la Loi Ìóðà en ce qui concerne ÈÈ annonce qu'avec chaque ann;e IQ de la personne-ing;nieur, n;cessaire ; la cr;ation ÈÈ, tombe sur une unit;.
       Par l'enfourchure principale, ; mon avis, est, si on r;ussira ; cr;er puissant ÈÈ avant que fonctionne l'effet commun «äîáèâàíèÿ», provoqu; par la crise syst;mique, les biotechnologies, la guerre nucl;aire et d'autres facteurs. Ou tous ces ;v;nements affaibliront tellement l'humanit; que presque tous les savants-sp;cialistes selon ÈÈ p;riront, ou deviendront les r;fugi;s, et les travaux se l;veront dans ce domaine. Affaiblir les ;tudes peut m;me la destruction simple d'Internet, qui diminuera l';change d'information et la croissance explosive des technologies. Cette enfourchure se rapporte aux ;v;nements, que j'ai appel; «les risques globaux de la troisi;me g;n;ration».
       Que s'acc;l;re plus vite le d;veloppement des technologies, plus les vitesses de l';change, sont plus rapides tous les proc;s ; l'int;rieur de la civilisation humaine, y compris toutes les simulations virtuelles de la r;alit; plus vite travaillent celui-l;. Cela signifie qu'en ann;e du temps objectif la civilisation peut passer centaines et mille ann;es du temps "subjectif", si trouver par ses heures int;rieures. En vertu de cela, les probabilit;s de n'importe quels risques int;rieurs augmentent, et m;me les ;v;nements les plus peu probables du caract;re int;rieur peuvent avoir le temps de se passer. C'est pourquoi pour l'observateur ext;rieur la civilisation devient extr;mement instable. Par contre l'acc;l;ration du temps int;rieur fait la civilisation ; beaucoup plus ind;pendant des risques ext;rieurs – du point de vue de l'observateur int;rieur.
       La question dans, si est l'humanit; l'observateur ext;rieur ou int;rieur des proc;s de l'acc;l;ration. Absolument, la partie consid;rable des gens ne participe pas aux proc;s mondiaux – un tiers de gens dans le monde ne se servait jamais du t;l;phone. N;anmoins, ils pouvions dans mesure ;gal avec autre gens souffrir, si quelque chose va non ainsi. Cependant maintenant les gens "du milliard d'or» m;rit en tout apr;s le progr;s. Mais dans le futur la situation, quand le progr;s s'arrachera et ; ces gens est possible. Probablement, ; lui on entra;ne le groupe des savants principaux, peut-;tre lui d;pendra enti;rement des ordinateurs. L'inertie naturelle humaine est consid;r;e comme un bon protecteur des rythmes du progr;s. Il est difficile de forcer les gens changer les ordinateurs plus souvent, qu'une fois dans quelques ann;es (bien que les Japonais sont accoutum;s ; changer les t;l;phones cellulaires et les v;tements tous les trois mois), la v;rit; la pression ;conomique est tr;s grande et cr;e la pression sociale – par exemple, l'image publicitaire du nouveau t;l;phone encore plus rapide. Cependant en cas de l'opposition arm;e, la course de l'armement par rien n'est pas limit;e selon le rythme – vainc plus rapide.
Les buts de la cr;ation de l'arme du dies irae
       Le facteur dangereux de l'accident global peut appara;tre ou est accidentel, ou ;tre cr;; expr;s. (La combinaison de ces deux moments Cependant est possible : du facteur accidentel peuvent se servir expr;s, par exemple, ayant cach; l'approche de l'ast;ro;de dangereux, ou au contraire, quelque chose projet; comme le jeu avec le risque bas de l'accident global, sortira de dessous du contr;le.)
       Souvent dans les discussions il y a une opinion que personne ne voudra r;aliser un certain plan diabolique, et c'est pour cela que l'on le peut ne pas examiner. C'est incorrecte. Premi;rement, nous appliquerons ici l'approche statistique – t;t ou tard les conditions n;cessaires se formeront. Deuxi;mement, par la terre il y a en effet des groupes des gens et les personnalit;s s;par;es, qui veulent «la fin de la lumi;re». Cependant en tout cela ne se rapporte pas aux terroristes islamiques, parce qu'ils veulent cr;er le Califat Universel, et non le d;sert radioactif. (Mais ils peuvent ;tre pr;ts ; risquer selon le principe «tout ou rien», par exemple, ayant cr;; «la voiture du dies irae» et la menacer d'appliquer, si tous les pays du monde n'acceptent pas simultan;ment l'Islam. Mais si une autre secte cr;e simultan;ment «la voiture du dies irae» avec l'exigence ; tout prendre une certaine forme particuli;re du bouddhisme, la situation deviendra en effet ïàòîâîé, puisque l'on ne peut pas satisfaire les deux ces exigences simultan;ment.) Il est important de marquer que le groupe des gens peut beaucoup plus longtemps se retenir dans l';tat du r;glage d'une certaine id;e, qu'une personne, par contre les groupes sont form;s moins souvent. Nous examinerons de diff;rents groupes des gens, qui peuvent aspirer potentiellement ; la destruction de l'humanit;.
       1) les sectes Eschatologiques. L'exemple : Àóì Ñèíðèê¸. Cette organisation non seulement croyait ; la proximit; de l'arriv;e de la fin de la lumi;re, mais aussi travaillait sur son approche, se r;unissait l'information sur l'arme nucl;aire, les virus et les substances chimiques. (D'ailleurs, il y a des diff;rentes suppositions selon ce que faisait notamment et voulait Àóì Ñèíðèê¸, et ;claircir la v;rit; d;finitive il ne semble pas possible.) N'importe quels fanatiques religieux choisissant la mort sont th;oriquement dangereux. Par exemple, les vieux croyants pr;f;raient souvent la mort ; la nouvelle foi. Tels fanatiques croient par le bien l'autre monde ou per;oivent la Fin de la lumi;re comme «le rite du nettoyage». La substitution psychologique, quand l'attente de longue dur;e de quelque chose se transforme en d;sir de cela De plus est possible. Au propre, la cha;ne logique amenant de la m;ditation de paix ; l'activit; destructive (en 10 ans environ en cas de Àóì Ñèíðèê¸) est telle : d'abord on se rend compte la pr;sence d'un autre monde. Puis s'est rendu compte que l'autre monde est plus important que notre, et les buts principaux se trouvent dans lui. Il en r;sulte que notre monde est secondaire, cr;; par le monde sup;rieur, mais, donc, est petit, êîíå÷åí et est peu important. De plus, notre monde est complet des obstacles emp;chant le courant propre de la m;ditation. Puisque le monde sup;rieur est primaire, il t;t ou tard il cessera l'existence de notre monde. Puisque notre secte est áîãîèçáðàííîé, elle re;oit les connaissances sp;cialement exactes quand il y aura notamment un ach;vement de ce monde. Et, la co;ncidence surprenante, est les signes que cela se passera tr;s bient;t. De plus, ayant supprim; le monde, notre secte accomplira la volont; du dieu. Cette possession par la superimportante connaissance confidentielle, naturellement, aggrave le sentiment de l'importance personnelle des membres de la secte, et est utilis; pour le renforcement de la direction ; elle. La fin de notre monde signifiera la liaison de tous les bons gens avec le monde sup;rieur. La connaissance de la proximit; de la fin in;vitable, la compr;hension de la positivit; de cet ;v;nement et le r;le exclusif dans cet important ;v;nement am;ne ; la compr;hension que la secte doit non seulement la noblesse et pr;cher sur la fin de la lumi;re, mais aussi approcher cet ;v;nement. (Il y a psychologiquement un remplacement de la longue attente sur l'aspiration.) En outre on peut faire justice en m;me temps des ennemis et se sentir par les vainqueurs du vieux monde. (Je ne veux pas dire que je connais exactement que Àóì Ñèíðèê¸ raisonnait en effet ainsi. Cependant on peut d;couvrir les ;l;ments de ce raisonnement pr;s de diff;rents groupes avec la conception du monde eschatologique, de chr;tien ; r;volutionnaires. Et pas du tout tous les gens et les groupes, qui parlent sur la fin de la lumi;re, vont l'organiser. Parmi les sectes connues s'attendant la fin de la lumi;re, – les t;moins Èåãîâû et ìîðìîíû.)
       2) les ;cologistes Radicaux. Les exemples : le Mouvement pour la disparition volontaire de l'humanit;. (The Voluntary Human Extinction Movement217 – ils trouvent utile la disparition de l'humanit;, proposent de r;aliser cependant cela par voie du refus de la multiplication.) tels groupes trouvent comme le bien le monde de la nature et les animaux et croient l'humanit; – non sans raisons – la tumeur canc;reuse sur le corps de la Terre, conduisant ; la disparition tout vivant. On peut se rappeler aussi les v;g;tariens radicaux – «âåãàíîâ», pour qui la vie des animaux pas moins (mais sous l'heure et plus) est importante, qu'humain.
       3) les N;o-luddites. Par exemple, le terroriste Unabomber (Òåîäîð Kachinsky), qui trouvait comme la seule sortie pour la civilisation – les arr;ts du progr;s technologique et le retour ; la nature, et envoyait par la poste les bombes aux savants-kibernetikam principaux. Trois personnes ont p;ri plusieurs ;taient bless;s ; la suite de ses actions. Maintenant il part le d;lai dans la prison am;ricaine.
       4) les gens Irrit;s, äâèæèìûå par la vengeance. Ceux qui maintenant, par exemple, fusillent de l'automate des camarades de classe. Mais tels projets se pr;parent quand m;me non les ann;es, mais quelques jours sont ordinaires. Bien que l'on peut s'imaginer la personne, qui est descendue de l'esprit, s';tant concentr; sur l'id;e de venger au monde ou le Dieu.
       5) la conduite Inconsciente destructive. Ce peut ;tre ou le rejaillissement inattendu (casser l';prouvette avec le poison), ou une certaine erreur plus fine dans l'estimation des buts personnels. Par exemple, plusieurs aspects de la toxicomanie et la conduite extr;me sont, ; l'avis des psychologues, les formes cach;es du "suicide" lent (la conduite autodestructive). Le besoin du suicide est inscrit, probablement, chez la personne au niveau g;n;tique et s'offre en r;ponse ; îòâåðæåíèå par sa soci;t; (par exemple : ñåïóêî des samoura;s; le chien mourant de la solitude; l'alcoolisme de la solitude).
       6) «Ãåðîñòðàòû». Il est clair que l'on n'a rien se rendra c;l;bre, si d;truire tout le monde, mais, en le supprimant, on peut se sentir pour une seconde par "une grande personne». En r;alit;, ce sera la manifestation pervertie de l'aspiration au pouvoir.
       7) les Ma;tres chanteur qui ont cr;; «la voiture du dies irae». Ce peut ;tre les gens avan;ant n'importe quelles exigences politiques ou ;conomiques sous la menace de la destruction totale de tout le monde. C'est pourquoi de ceux-ci il peut ;tre particuli;rement difficile d'attraper, puisque leur "voiture" peut se trouver dans n'importe quelle place.
       8) l'arme Universelle d;fensive du dernier choix. Au lieu de cr;er l';cran nucl;aire des fus;es, un certain pays peut cr;er une bombe ; puissance renforc;e nucl;aire avec l'enveloppe de cobalt et menacer de celle-ci faire sauter en cas de l'agression arm;e. C'est quelque moins rationnellement, que la conception de "la destruction mutuelle garantie», pour qui il y a des forces strat;giques nucl;aires. Et cela ressemble ; la conduite de la personne, qui se sape par la grenade avec l'ennemi – mais en effet, les r;gents aussi les gens. D'autant plus qu'une telle arme est cr;;e non pour lui appliquer, mais pour leur menacer. Conceptuellement c'est proche ; l'id;e "du chantage global».
       9) la conduite Risqu;e donnant un grand gain ou la perte. Par exemple, ce peut ;tre une certaine exp;rience physique ou biologique. Ce peut ;tre îòÿã÷åíî la mauvaise volont; et l'incapacit; des gens d'estimer les ;chelles et la probabilit; de la perte dans le plus mauvais cas. L'exemple : la politique ;trang;re de Reagan dans l'opposition des URSSs.
       10) le Besoin du risque pour de fortes ;motions, la passion. Les gens perdaient les domaines aux cartes non pour changer la position patrimoniale, c'est pourquoi qu'avait besoin des ;motions aigu;s du risque. Maintenant cela se manifeste dans les sports extr;mes.
       11) les Partisans de l';vincement des gens par l'intelligence plus parfaite artificielle. Dans Internet il y a des gens avan;ant cette id;e. Les transhumanistes radicaux peuvent aussi, m;me contre la volont;, se trouver dans ce nombre.
       12) les Gens croyant la mort la meilleure alternative quelque chose. Un g;n;ral am;ricain au Vi;t Nam a dit sur les habitants tu;s d'un village : «Pour les sauver, nous deviez les supprimer».
       13) le Suicid;. Si la personne a trouv; les raisons suffisantes pour se tuer, il peut ne pas regretter et l'autre monde. L'exemple : le pilote Italien, qui se gravait ; la tour Ïèðåëëè au Milan en avion priv; le 12 mars 2002. La d;pression clinique peut se manifester dans ce que la personne commence ; ;prouver l'int;r;t pour les probl;mes de la fin de la lumi;re, mais puis et le souhaiter pour qu'il arrive plut;t. D'ici un pas jusqu'; l'aide active dans ce proc;s.
       14) les Schisophr;niques embrass;s par les id;es fixes. Le d;lire ; la schizophr;nie force la personne ; d;couvrir les corr;lations n'existant pas dans la nature. Les schisophr;niques entendent souvent les voix, qui les soumettent. Nous ne pouvons pas pr;dire, de quelle g;n;ration le d;lire am;nera ; la conclusion sur ce qu'il faut supprimer la Terre. De plus les capacit;s intellectuelles ; la schizophr;nie ne baissent pas tellement pour faire impossible la r;alisation des strat;gies ; long terme effectives. Bien que les tests sp;ciaux puissent prouver la pr;sence de la schizophr;nie, ext;rieurement elle n'est pas toujours ;vidente. De plus, ; la diff;rence de la n;vrose, elle ne s'est pas rendue compte par la personne elle-m;me. La perte de la capacit; ; douter – une des manifestations les plus s;rieuses de la schizophr;nie. La schizophr;nie peut ;tre "contagieuse" en forme des sectes religieuses reproduisant certaines id;es folles.
       15) les Combattants de la paix. ; l'histoire plus d'une fois la superarme ;tait cr;;e avec cette id;e que maintenant il fera les guerres par les impossibles. Avec un tel but il y avait une dynamite, avec la m;me id;e on inventait la bombe du cobalt.
       16) les Enfants. D;j; maintenant les pirates de l'adolescence de l'acier par une des sources principales de l'activit; destructive dans Internet. ; cela il suffit leur intelligence pour ma;triser quelque une branche de la connaissance et ;crire le virus ou faire «áîìáî÷êó», mais non il suffit encore pour se rendre compte de toute la pl;nitude des cons;quences des actions, et la responsabilit; d'eux.
       17) Ïåðâåðñèÿ du mod;le sexuel de la conduite de la personne, incitant lui se r;pandre «» par les moyens exotiques. Dans le chef «le Danger de la production mol;culaire» le rapport du Centre des nanotechnologies responsables nous pouvons lire : «une Autre source possible de la mucosit; grise peut ;tre les amateurs irresponsables, pour qui ce sera le centre d'int;r;t. Les gens du type d;fini psychologique ne peuvent pas ;viter, apparemment, la tentation par la possibilit; de cr;er et produire sur la volont; ñàìîðåïëèöèðóþùèåñÿ les formations que nous prouve une grande quantit; de virus existant informatiques» 218.
       18) les Services secrets et les organisations antiterroristes, aspirant ; augmenter l'influence dans la soci;t;. Le 29 juillet 2008 a fini par lui-m;me principal soup;onn; ; la r;alisation des attaques par l'anthrax aux ;tats-Unis par un automne de 2001 Áðþñ Àéâèíñ (Bruce Ivins). Pendant 36 ans jusqu'; cela il ;tait un de principaux sp;cialistes en la bioprotection et la vaccination de l'anthrax des ;tats-Unis. Il ;tait mari;, a adopt; deux enfants, a ;crit 44 articles, jouait sur le synth;tiseur dans l';glise locale. ; la suite de l'attaque bact;riologique de 2001 on causait le pr;judice plus, que sur le milliard de dollars, mais aux fonds de la bioprotection ;tait mis en relief de l'ordre de 50 milliards äîëëàðîâ219. Y compris se planifiait (mais n'avait pas lieu) l'achat ;labor; Àéâèíñîì les vaccines de l'anthrax sur 800 millions de dollars, de qui de devait recevoir les dizaines de mille dollars du royalty. ; la suite de l'attaque et les mesures accept;es, le nombre de gens, travaillant selon les programmes de la bioprotection et ayant l'acc;s aux pr;parations dangereuses, a augment; aux dizaines des fois, et donc, ont augment; les chances de ce que parmi eux il y aura de nouveau quelqu'un, qui fera une nouvelle attaque. (D'ailleurs, il y a des th;ories convaincantes alternatives sur celui qui ;tait l'organisateur àòàêè220.)
       Par la personne d;place toujours quelques impulsions, seulement partie de qui s'est rendu compte et est tout ; fait rationnelle. Selon mes observations, souvent jusqu'; 10 diff;rents d;sirs et les buts doivent s'uniront pour que je prenne une certaine d;cision – c'est-;-dire pour que se forme le rejaillissement suffisant de la motivation. De plus les proc;dures sp;ciales psychologiques pour la r;v;lation des buts cach;s sont appliqu;es rarement, et ; la plupart des gens sont inconnus. C'est pourquoi il est facile d'attendre que les motivations ;num;r;es peuvent agir en commun, en secret, íåëèíåéíî èíòåðôåðèðóÿ et en donnant le rejaillissement inattendu immense, "l'onde-assassin".
Les groupes sociaux, pr;t ; risquer le destin de la plan;te
       Probablement, il faut s;par;ment mettre en relief la liste des groupes sociaux et les organisations, qui aspirent ; l';croulement et le remplacement de l'ordre mondial. Et pour cela ou sont pr;ts ; assumer un risque de la destruction g;n;rale, ou peuvent le cr;er, sans se rendre compte de cela. Par exemple, Ronald Reagan a annonc; la "Croisade" contre les URSSs, mais il comprenait qu'en train de cette opposition le risque de mani;re catastrophique la guerre dangereuse augmente.
       1) les puissances Mondiales luttant pour la domination dans le monde. Cela peuvent ;tre ou les premi;res puissances perdant le pouvoir et oblig;es «attaquer sous la menace de la perte de l'avantage», ou les puissances-candidats sur l'h;g;monie mondiale, les m;thodes choisissant radicales et risqu;es de l'acquisition des buts. La psychologie de ces proc;s reste au niveau la lutte pour la place de l'alpha-m;le ; îáåçüÿíüåé ; la vol;e, qui, cependant, est assez durement d;termin;e par la nature de la s;lection.
       2) les mouvements Utopiques sociaux aspirant ; de grands buts, par exemple, les communistes radicaux ou les organisations religieuses.
       3) de Diverses forces nationales, ;conomiques politiques, qui ne re;oivent pas «la part» ; actuel ìèðîóñòðîéñòâå ou attendent la perte des positions dans le futur.
       4) on Peut appeler aussi de diff;rents partisans de "la po;sie de l'apocalypse», les amateurs des jeux informatiques dans l'esprit de Fallout, qui attire cette id;e, et donc, est inconscient – mais parfois et consciemment – eux de cela et veulent.
       5) les Gens vivant selon le principe «apr;s nous au moins le d;luge», c'est-;-dire non ce que les int;ress;s de l'accident global directement, mais les actions pr;f;rant, qui apportent le bien dans la perspective ; court terme, mais portent le dommage ;norme ; long terme. Cet ;tat peut particuli;rement s'aggraver en rapport avec la compr;hension de l'imminence de la mort personnelle, l'assistant chez chaque personne, et est plus fort manifestant aux p;riodes du risque et la vieillesse. (Le mod;le de la conduite : les cheveux gris ; la barbe – le diable ; la c;te.)
       6). On peut mettre en relief s;par;ment toute cette incompr;hension de la nature et la probabilit; des accidents globaux, que nous examinerons dans la deuxi;me partie.
Le coefficient g;n;ralisant li; au facteur humain
       Pour prendre en consid;ration la vari;t; des motivations humaines, on peut introduire certain g;n;ralis; âåðîÿòíîñòíûé le coefficient k. Ce coefficient signifie, grosso modo, les chances de ce que le pilote de l'avion dirigera l'avion sur òàðàí, ou, en parlant dans le cas total, la part des gens, qui d;cideront d'appliquer la technique accessible ; eux pour la destruction de et d'autres gens. Nous non plus prenons en consid;ration ici la diff;rence entre les actions d'avance pr;par;es et spontan;es. Par exemple, si dans un certain pays chacun dans la maison a une arme, il y aura une certaine moyenne de ses applications ill;gales. Ce nombre extr;mement peu. Nous admettrons, (ensuite va les estimations purement hypoth;tiques, ; pr;s l'ordre), ce coefficient peut faire pour les ;tats-Unis (o; 35 millions de troncs sur les mains et un haut taux de criminalit;) un millioni;me par jour, mais pour la Suisse, si prendre le seul cas de la fusillade du parlement ; Öóãå – un de milliard. Pour l'aviation nous recevrons, si partager le nombre approximatif de tous les d;parts parfaits des avions de ligne de voyageurs (de l'ordre du milliard) en nombre d'avions pris par les terroristes pour les attaques le 11 septembre (4) – 1/250 millioni;me. Au niveau des suicides ; 1 pour-cent ce coefficient dans la conversion par personne sera ;gal pour un jour environ ; un millioni;me. Dans le monde pr;s du milliard d'ordinateurs, et chaque jour sortent les dizaines des nouveaux virus que donne k = 1/10 000 000, c'est-;-dire seulement une des dizaines des millions d'utilisateurs produit les virus absurdes et dangereux (mais commercial ill;gal spyware peuvent produire et áîëüøåå le nombre de gens).
       Nous voyons qu'; de diff;rentes conditions k dans la conversion sur un "projet" pour un jour h;site entre un millioni;me et un de milliard. L'estimation sup;rieure s;re sera un millioni;me, tandis que par l'estimation la plus r;elle peut-;tre millioni;me.
       Il ne faut pas penser que si nous distribuerons les cl;s de la mise en marche des fus;es ; quelques gens, nous baisserons les chances de la folie dangereuse ; un million de millions de fois, puisque les id;es folles arrivent par les contagieux. En outre les employ;s de service d'un des stations de la mise en marche des fus;es ont avou; les ;tats-Unis qu'ils de l'ennui ont invent; le syst;me des ciseaux et la ficelle, permettant de tourner ; une personne deux cl;s de la mise en marche îäíîâðåìåííî221. C'est-;-dire on peut contourner les syst;mes de la mise en marche par la ruse.
       En outre la folie peut porter le caract;re fin et non ;vident, et harmonieusement passer du domaine de la psychiatrie au domaine des d;cisions simplement incorrectes ou inad;quates. Il signifie pas absolument que la personne appuiera soudain sur "le bouton rouge». En cas de la parano;a cela peut ;tre argument; par l'ensemble des constructions tr;s logiques et convaincantes, capable de persuader d'autres gens de la n;cessit; d'entreprendre un peu d'actions plus risqu;es pour que se d;fende des menaces imaginaires. La "folie" peut se manifester et dans le refus des actions au moment d;cisif. Ce peut ;tre l'obstination superflue dans certaines erreurs, qui am;neront ; la cha;ne des d;cisions incorrectes.
       Monsieur Martin le Riz îòìå÷àåò222 la contradiction suivante : dans le futur il sera possible de diriger la conduite, et m;me par le caract;re des gens et leur personnalit; avec l'aide des m;dicaments de haut pr;cision, les manipulations g;n;tiques et d'autres influences, en faisant les gens de plus en plus normal et s;r. Cependant cela r;duira la vari;t; naturelle de la conduite humaine, en tuant humain dans la personne.
       La conclusion : il y aura toujours des gens, qui vouloir supprimeront le monde, et c'est pour cela qu'il faut examiner s;rieusement tous les sc;narios, o; quelqu'un peut est long et est obstin; travailler pour lui atteindre.
La prise de d;cision sur le coup nucl;aire
       Importante est la question, si peut amener la folie d'une personne ; "la pression du bouton rouge». Cette question est relativement ;tudi;e ïðèìåíèòåëüíî ; l'application de l'arme nucl;aire, mais appara;tra de la m;me mani;re ; l'apparition de n'importe quels autres aspects de l'arme dangereuse, les technologies et les voitures du dies irae. Il est important de conna;tre de plus, dans quelles mains il y a «un bouton rouge» – si seulement la direction sup;rieure ou dans les mains du groupe d;fini des interpr;tes : il est clair que plus largement cercle des op;rateurs, qui ont l'acc;s ; l'application de l'arme, le risque est plus haut.
       Il y a une contradiction suivante li;e ; l'efficacit; et la s;curit; de l'arme nucl;aire : ou nous avons un syst;me absolument stable de la protection contre la sans pr;m;ditation mise en marche, qui fait la mise en marche impossible ni par ordre du pr;sident, ni selon la d;cision du commandant du sous-marin. Ou nous avons un syst;me capable pendant les 8 minutes dans les conditions de la r;sistance intense de l'adversaire probable et les violations de tous les syst;mes de communication porter la riposte. Les syst;mes r;els, l'installation de qui – ; pr;sent – est le plus grand secret, doivent trouver la balance entre ces exigences contradictoires. Cependant dans le pass; l'efficacit; ;tait pr;f;r;e souvent ; la s;curit;. Par exemple, dans 60-70 ans aux ;tats-Unis la mise en marche des fus;es ont mis sur le mot d'ordre de 14 chiffres, qui devait se communiquer du centre. Cependant la signification de ce mot d'ordre ont ;tabli 0000000000000000, et tout connaissaient (les militaires trouvaient le mot d'ordre comme la b;tise, qui leur emp;chera de porter le coup ; temps). Seulement la commission ind;pendante ensuite est venue et a demand; de cr;er le mot d'ordre r;el.
       Il y avoir appara;tre peu probablement une situation, quand le pr;sident descendra dans la nuit de l'esprit, demandera de lui apporter nucl;aire ÷åìîäàí÷èê et appuiera sur le bouton. Les variantes plus fines, quand la conduite irr;fl;chie et irrationnelle conditionn;e par les ;motions, la fatigue et la compr;hension incorrecte, am;nera ; la cha;ne des actions conduisant ; la guerre cependant sont possibles. Par exemple, Hitler, ayant attaqu; la Pologne, n'attendait aucunement que l'Angleterre entrera dans la guerre. Ou les Am;ricains, en envisageant d'attaquer Cube en 1962, ne connaissaient pas que l; il y a d;j; une arme nucl;aire sovi;tique tactique, et les troupes ont droit de l'appliquer.
       Un important moment dans la prise de d;cisions sur le coup nucl;aire est la coop;ration de l'op;rateur avec l'instruction. L'instruction est cr;;e aussi par les gens, et les situations d;crites dans elle sont per;ues hypoth;tiquement, et non comme les d;cisions r;elles de l'application de l'arme. En accomplissant l'instruction, l'op;rateur non plus porte d'aucune responsabilit;, car fait qu'est ;crit. Finalement la responsabilit; est rong;e, et deviennent les d;cisions possibles, qu'aucune personne n'accepterait pas lui-m;me. Est caract;ristique l'exemple avec ðàêåò÷èêîì S.E.Petrovym, qui apr;s les ONUS a d;cor; de la m;daille pour le sauvetage de l'humanit;. Ayant d;couvert en 1983, peu de temps apr;s qu'ont cass; le Boeing Cor;en, le d;part des fus;es nucl;aires du territoire des ;tats-Unis, il a d;cid; de ne pas donner l'ordre sur l'attaque de retour, puisque a compt; cette alarme faux. Cependant Petrov n';tait pas ordinaire l'employ; de service du remplacement, il ;tait le concepteur de l'instruction pour la prise de d;cisions, qui s'est trouv; dans ce remplacement par hasard. Et c'est pour cela que lui-m;me a supprim; l'instruction faite par lui. Cependant ordinaire l'employ; de service la devrait accomplir.
Le prix de la question
       Nous pouvons aussi mesurer la probabilit; du sc;nario apocalyptique, ayant d;fini la quantit; d'argent, le temps et d'autres ressources, qui pour lui demandera, – et les ayant compar; avec total par la quantit; de ressources accessibles. Si "la fin de la lumi;re» demande Õ des tonnes de certaine substance, en pr;sence de lui par la Terre dans le montant 1,5Õ il est peu probable, mais si de lui il y a un trillion accessible Õ, est presque in;vitable. Nous pouvons aussi tenter de d;finir le minimum des gens, qui doivent s'unir pour cr;er n'importe quelle arme du dies irae. Il est ;vident qu'il est plus bon march; de prendre la machine infernale. Par exemple, les terroristes tch;tch;nes envisageaient de prendre le sous-marin atomique et faire chanter la F;d;ration de Russie. Mais peu probablement ils pourraient cr;er un tel arsenal des fus;es.
       Il est clair qu'est aussi important le facteur temps. Si un certain projet est tr;s bon march;, mais demande 10 ans des efforts, le d;nonceront plut;t, ou la personne en sera d;;ue. Au contraire, si le projet est rapide (casser l';prouvette avec le poison), sa personne peut r;aliser sous l'influence de l'humeur momentan;.
       Les dizaines des pays peuvent cr;er ; pr;sent l'arme nucl;aire, mais ces projets demanderont pour la r;alisation de plusieurs ann;es. En m;me temps mille biolaboratoires dans le monde peuvent travailler sur g;n;tique par les virus modifi;s, et ces projets peuvent ;tre r;alis;s beaucoup plus vite. Dans la mesure de l'accumulation des connaissances et la standardisation de l';quipement, ce nombre grandit, mais le temps est r;duit de l';laboration. Pour la cr;ation du virus dangereux on demande maintenant le budget de mille ; million de dollars, pendant que les projets nucl;aires commencent par les milliards. En outre le prix des ;laborations dans les biotechnologies tombe d;pend beaucoup plus vite, puisque ne demande pas de grands investissements et plut;t de l'accessibilit; de l'information.
       On peut introduire le facteur du risque A directement proportionnel ; la quantit; L des places par la Terre, o; le projet dangereux peut se r;aliser et inversement proportionnel ; un moyen temps attendu T sur l'ach;vement du projet avec l'efficacit; attendue ; 50 %.
       
       Alors pour les projets de la cr;ation de la superbombe nucl;aire il sera ;gal approximativement 40/10=4, mais pour les projets de l'arme biologique ; pr;sent – 1000/1=1000. De plus, probablement, la d;pendance du risque r;el de Mais non lin;aire. Meilleur march; le projet, plus probablement que pourra le cr;er ìàðãèíàëû. En outre un projet petit et bon march; est beaucoup plus facile de cacher ou masquer, ou ïðîäóáëèðîâàòü. Plus les projets dans le monde, plus probablement que la multiplication de ce nombre sur k («la part fou») du paragraphe pr;c;dent donnera la valeur consid;rable. Par exemple, dans le monde pr;s de 100 sous-marins agissant nucl;aires. ; l'admission que pour eux k = par un millioni;me, cela donnera un ;v;nement des fois dans 10000 jours ou environ dans 30 ans. De plus le niveau de la s;curit; sur les sous-marins atomiques est tellement haut que, probablement que l; k s'approche beaucoup moins vers de milliard. (Cependant ; cause de la sp;cificit; des syst;mes de la s;curit; il y a l;, des risques non combien de mainmise intentionnelle, combien d'application accidentelle ; cause de la violation des syst;mes de communication, les fonctionnements faux – par exemple, je lisais dans les m;moires que la flotte sovi;tique sous-marine ;tait traduite ; 1982 ; tout hasard ; l';tat d'alerte complet apr;s la mort de Brezhnev – c'est-;-dire on introduisait les codes, on ins;re les cl;s de la mise en marche, on prend la position pour le coup.)
       Cependant le nombre des laboratoires, capable de passer les manipulations g;n;tiques, maintenant, probablement, est calcul; ; mille, et le niveau de la s;curit; est plus bas l;, que sur les sous-marins. De plus, la cr;ation de l'assembleur biologique, c'est-;-dire l'essentiel vivant, capable de traduire les signaux de l'ordinateur dans l'ADN et ; l'inverse, simplifiera radicalement ces technologies. Gr;ce ; cela le nombre des laboratoires existant peut augmenter jusqu'; des millions. (On peut aussi dire que meilleur march; le projet, il est plus grand pour lui k, puisque dans les projets bon march; il y a moins de d;penses sur la s;curit;.) dans ce cas nous pouvons attendre l'apparition des virus mortellement dangereux chaque jour.
       Donc, chaque moyen de la destruction se caract;rise par la somme de l'argent et le temps, n;cessaire ; sa cr;ation. Ces param;tres non les seuls, mais permettent de comparer de diff;rents moyens. Ensuite, il faut prendre en consid;ration âåðîÿòíîñòíûé le facteur en ce qui concerne, si fonctionnera (au sens de l'acquisition de la disparition compl;te) l'arme donn;e. M;me le projet tr;s bon march; peut donner la probabilit; ; 0,0001, mais tr;s cher – seulement 0,60. On Peut conventionnellement trouver que nous r;glons tous les projets de "la fin de la lumi;re» sur 50 probabilit; de pourcentage. Aucun d'eux ne peut pas garantir 100 efficacit;s de pourcentage que console. Cependant au total bon march;, mais les projets pas trop dangereux peuvent cr;er une grande probabilit; de l'accident global pour le m;me argent, qu'un grand projet. (Mille virus contre une superbombe.)
       La question importante – quel montant minimal de l'organisation, qui pourrait supprimer l'humanit;, si voulait. Je pense que maintenant le pays-paria des moyens montants pourrait. Bien que plus t;t cela puissent seulement deux superpuissances. En outre les corporations modernes poss;dent les ressources compar;es. La phase suivante – de grandes organisations terroristes, ensuite de petits groupes et les gens s;par;s.
Le chapitre 20. Les ;v;nements changeant la probabilit; de l'accident global.
La d;finition et les consid;rations totales
       Nous appellerons comme le risque global de la deuxi;me g;n;ration n'importe quel ;v;nement, qui augmente consid;rablement la probabilit; de la disparition de l'humanit;. La combinaison de tels ;v;nements cr;e la fen;tre de la vuln;rabilit;. On sait historiquement qu'ont disparu 99 % des aspects des essentiels vivants vivant par la Terre, et maintenant chaque jour continuent ; dispara;tre les aspects. Il est ;vident que la disparition de ces aspects s'est pass;e sans application des supertechnologies. Sont plus c;l;bres de la disparition des dinosaures et les hommes de Neandertal. Parmi les raisons de la disparition, ; l'avis des pal;ontologistes, il y a en premier lieu des changements de la situation ;cologique – c'est-;-dire les destructions des cha;nes alimentaires et l'apparition des concurrents, tandis que les cataclysmes naturels se produisent seulement l';v;nement de d;tente achevant les aspects faiblissant. De l'ast;ro;de ont disparu notamment les dinosaures, car notamment sur eux les carnassiers-mammif;res menus se nourrissant de la jeune bois et les oeufs pressaient. Du dernier gla;age ont disparu notamment les hommes de Neandertal, puisque leur r;sistaient plus organis; Homo Sapiens. Il est difficile d'utiliser quand m;me les hypoth;ses sur pass; âûìèðàíèÿõ pour l'argumentation ult;rieur, puisqu'il y a ici beaucoup d' obscur. Cependant ; titre de l'exemple plus authentique on peut prendre les cas de la destruction des soci;t;s traditionnelles et les cultures. Par exemple, la paysannerie russe comme sp;cial ñîöèîêóëüòóðíàÿ la communaut;, par quel il ;tait ; XIX si;cle, a disparu enti;rement et irr;vocablement (si ne pas dire a disparu) dans le proc;s óðáàíèçàöèè et les collectivisations – avec cela qu'historiquement il pouvait r;sister les guerres, et les ;pid;mies. Mais il ;tait perdu par les nouvelles possibilit;s, qui a donn; la civilisation municipale et la nouvelle situation ;conomique. Le destin des aborig;nes australiens et d'autres communaut;s heurt;es ; la civilisation plus techniquement ;quip;e et d;velopp;e est analogue. C'est-;-dire les gens s;par;s sont vivants, peuvent garder les souvenirs, mais de la culture sont rest;s seulement les ensembles de folklore. On peut d;crire cela et ; l'exemple de l'essentiel s;par;. Quand l'organisme est malade, sa vuln;rabilit; vers n'importe quelles impulsions ext;rieures (ou les aggravations de la maladie) augmente. Ainsi, nous pouvons nous imaginer le sc;nario suivant biphas; :
       1. Au d;but ; cause d'un grand accident la population de la Terre a ;t; r;duite rudement, la production et la science d;g;n;raient. Nous appellerons cet espace comme "le monde postapocalyptique». Au cin;ma ou la litt;rature un tel monde fait un lapsus d'habitude comme apparaissant apr;s la guerre nucl;aire (la phase de la destruction de la civilisation, mais non des gens).
       2. Les gens survivant rest;s dans ce monde, se trouvent est beaucoup plus vuln;rable vers n'importe quels risques, comme la chute du petit ast;ro;de, l';puisement des ressources, l';ruption des volcans. De plus, ils sont oblig;s de lutter avec les cons;quences de l'accident civilisable et les restes dangereux de la civilisation – la contamination, l';puisement des ressources, la perte des habitudes, la d;gradation g;n;tique, la pr;sence de l'arme dangereuse ou les proc;s dangereux commenc;s ; la civilisation (l';l;vation de la temp;rature irr;versible).
       Il en r;sulte quelques conclusions :
       Les sc;narios Biphas;s nous forcent ; examiner comme ces risques dangereux, que nous avons rejet; auparavant, comme ne pouvant pas perdre la civilisation.
       ; un certain sens le sc;nario biphas; est semblable ; l'interf;rence non lin;aire, mais ici l'arrimage se passe dans le temps, et en outre est important l'ordre des ;v;nements.
       Le sc;nario Biphas; peut devenir et trois - et plus ; phases, o; chaque phase suivante de la d;gradation fait l'humanit; vuln;rable vers les formes suivantes du risque.
       Peut De plus et ne pas ;tre la ligne droite du lien entre les premiers et deuxi;mes accidents. Par exemple, se trouver dans le monde postapocalyptique les gens peuvent en vertu de la guerre nucl;aire, mais dispara;tre – de l';ruption du supervolcan. Mais de la m;me mani;re ils pourraient se trouver dans cet ;tat de la vuln;rabilit; vers le supervolcan ; cause de l';pid;mie ou la diminution ;conomique.
       La Consid;ration des sc;narios polyphas;s porte principalement âåðîÿòíîñòíûé le caract;re. L';poque de la faiblesse de l'humanit;, quand il est vuln;rable, on peut appeler comme la fen;tre de la vuln;rabilit;, qui se caract;rise par la densit; de la probabilit; et la dur;e. Cela signifie cela, qu'est-ce que c'est la fen;tre de la vuln;rabilit; certes dans le temps. Maintenant nous vivons ; l';poque de la fen;tre de la vuln;rabilit; vers les supertechnologies.
Les ;v;nements, qui peuvent ouvrir la fen;tre de la vuln;rabilit;
       ; cette classe se rapportent deux types des ;v;nements. Premier sont des ;v;nements, qui arriveront in;vitablement dans le XXI si;cle, ; partir des repr;sentations courantes sur le d;veloppement de la consommation et les technologies. La question dans celui-l; se divise seulement, quand cela se passera (chacune de ces opinions non par tous les sp;cialistes, s'appuie cependant sur la supposition qu'aucunes principalement nouvelles technologies n'appara;tront pas) :
       1. L';puisement du p;trole.
       2. L';puisement de l'alimentation provoqu; par l';l;vation de la temp;rature, les s;cheresses, la surpopulation, îïóñòûíèâàíèåì, le passage des automobiles au biocombustible.
       3. L';puisement des ressources d'eau.
       4. L';chec de la pyramide mondiale financi;re des dettes et les obligations.
       5. N'importe quels autres facteurs, graduellement, mais est irr;versible faisant le milieu inapte pour îáèòàíèÿ (l';l;vation de la temp;rature globale, le gla;age, la pollution).
       Au deuxi;me type se rapportent les ;v;nements, qui peuvent se passer, mais peuvent et ne pas se passer avec la probabilit; d;finie. Cela ne fait pas par leurs plus s;r, puisque chacune ïîãîäîâàÿ la probabilit; signifie la "demi-vie" – c'est-;-dire le temps, pour qui cet ;v;nement arrivera probablement, et ce temps peut ;tre moins que le temps de la maturation des ;v;nements in;vitables, comme l';puisement de certaines ressources.
       1. Un grand attentat, l';chelle de l'explosion de la bombe atomique dans une grande ville.
       2. Un grand accident naturel ou technog;ne, capable d'aborder la partie consid;rable de la population du globe terrestre – de tels accidents ne se passait pas. Le plus proche exemple – l'avarie sur la centrale nucl;aire De Tchernobyl, qui a amen; au refus de la construction des stations atomiques dans le monde et vers la famine ;nerg;tique maintenant, ainsi qu';tait un important facteur de l';chec de l'URSS.
       3. Chacun des points, qui nous avons ;num;r; ; titre de la raison possible de l'accident global, mais pris ; l';chelle affaiblie. Par exemple, l';pid;mie du virus artificiel, la chute de l'ast;ro;de, la contamination radioactive etc.
       Les phases suivantes de l'accroissement de la fen;tre de la vuln;rabilit; comprennent la guerre mondiale et l';laboration et l'application de l'arme du dies irae.
Les crises syst;miques
       S'il est possible pour que l'accident global se passe non selon ce sch;ma assez ;vident, que nous avons d;crit plus haut ? C'est-;-dire, n';tant pas n; dans un point au moment concret du temps et ayant contourn; d'elle tout le monde ? Oui, un tel est possible en cas de la crise syst;mique. La crise d'habitude syst;mique ne peut pas exterminer toute la population, mais, absolument, il peut ;tre l'accident global de la deuxi;me g;n;ration. N;anmoins, il y a des mod;les, o; la crise syst;mique extermine toute la population.
       Un tel mod;le le plus simple est le syst;me ;cologique le carnassier-victime, par exemple, les loups et les ;lans sur quelqu'un l';le. Dans un tel syst;me, dans le cas o; le nombre des carnassiers a exc;d; une certaine signification critique X, ils mangent tous les ;lans jusqu'; la fin, apr;s cela ils sont condamn;s ; la disparition, dans le proc;s de qui ils se nourriront seulement l'ami de l'ami. Dans la nature il y a une protection contre telles situations au niveau de diverses liaisons en retour dans les syst;mes des bioc;noses. Les exemples connus – les cerfs et l'herbe sur l';le canadienne – sur l';le ont produit les cerfs, ils se sont propag;s, pour les d;cennies ont mang; toute l'herbe et ont commenc; ; dispara;tre. Semblable, mais la situation plus complexe s'est form;e sur l';le de P;ques avec la participation des gens. Les Polyn;siens apparus sur l';le environ ; VIII si;cle J.C., ont cr;; la soci;t; d;velopp;e, qui, cependant, r;duisait graduellement les bois, en utilisant, en particulier, les arbres pour l'acheminement des statues c;l;bres. La perte du bois amenait ; la r;duction de la quantit; accessible d'alimentation. Dans le compte final, les bois ;taient r;duits enti;rement, mais la soci;t; d;g;n;rait consid;rablement, son nombre a ;t; r;duit de 20 000 ; 2 000 personnes (mais n'a pas disparu quand m;me). Notamment ; ce moment l';le ;tait ouverte par les Europ;ens. L'exemple le plus propre – la multiplication des levains dans la bouteille bouch;e, qui se passe ; l'exposant, mais puis ils jusqu'au commun disparaissent ; cause de l'empoisonnement par le produit de l'activit; vitale personnelle – l'alcool. Ou, par exemple, le collapsus du noyau de la supernouvelle ;toile - lui se passe non çàèâèñìîò de la conduite de n'importe quel un atome ou m;me áîëüøåé les parties de l';toile, mais les d;pendances seulement de la masse totale.
       Donc, parfois la crise syst;mique est capable «de passer la population dans le z;ro», c'est-;-dire tuer tous les individus. De plus la crise syst;mique ne commence pas ; quelque moment et dans quelque point. On ne peut pas dire que si quelque un loup n';tait pas, ou sur un ;lan serait plus, quelque chose a chang;. C'est-;-dire la crise syst;mique ne d;pend pas de la conduite d'aucun un ;l;ment concret. De la m;me mani;re on ne saurait dire, quand la crise syst;mique est devenue irr;versible. En cons;quence, c'est pourquoi il lui est difficile de r;sister, puisque l'on n'a pas de place o; faire les efforts.
       L';laboration des technologies modernes non plus se passe dans un point. Aucune personne ne peut pas beaucoup l'acc;l;rer ou ralentir.
       Le syst;me convient ; la crise syst;mique tout enti;rement. Il est int;ressant d'estimer, quelles chances de la pr;servation des ;l;ments ; la d;sagr;gation de leur syst;me, autrement dit, la survie des gens ; la destruction de la civilisation. On peut montrer que plus fortement corr;lation dans le syst;me, plus probablement que l';chec du syst;me signifiera la destruction de tous ses ;l;ments sans exception. Si exterminer 99,999 % de la culture des bact;ries, quelques exemplaires rest;s suffiront pour enti;rement restaurer le nombre et les propri;t;s de cette culture bact;rienne. Si couper l'arbre, de ïíÿ augmenteront les ;vasions, et il enti;rement, dans le compte final, restaurera le fonctionnement. Mais si endommager m;me une petite partie æèçíåííîâàæíûõ des organismes de la personne, particuli;rement son cerveau, il mourra tout une fois pour toutes jusqu'au plus dernier carreau, êîèõ centaines de trillions – il est difficile de supprimer la souche des bact;ries avec une telle efficacit;. ;galement la civilisation technologique – ayant atteint le niveau d;fini de la complexit;, elle ne peut pas sans douleur ;tre en r;gression ensuite sur le niveau pr;c;dent, ayant r;duit simplement les technologies et la population, mais a la chance de s';crouler enti;rement, au z;ro. (Maintenant pour nous il y a l';v;nement un arr;t l';lectricit; pour quelques heures, et de cela p;rissent les gens. Mais quelque plus de cent ans en arri;re l';lectricit; ;tait appliqu;e seulement dans les exp;riences rares. Plusieurs moderne la construction ne peut pas exister sans transmission continue de l';nergie : les mines inondera, les structures ajour;es des centres commerciaux tomberont en ruines en un hiver sans nettoyage de la neige et le chauffage et ò ä.)
       ñèñòåìíåå une certaine structure, dans plus de degr; de sa propri;t; sont d;finis par le caract;re de la disposition mutuelle et la coop;ration des ;l;ments, et non les ;l;ments eux-m;mes. Et celui-l; le grand r;le dans elle est jou; par la gestion en comparaison de la force physique. Si soudain tous les gens dans le monde m;ler dans l'espace, ayant jet; chacun sur un autre continent, cela signifierait la destruction de la civilisation moderne, bien que chaque personne s;par;e serait vivante. Aussi si couper par le couteau fin un certain animal sur quelques parties, presque tous les carreaux s;par;s seront encore vivants, mais l'animal en tout – est mort.
       Plus difficilement syst;me, plus fortement dans elle les cons;quences ; long terme de l'accident en comparaison d'; court terme. C'est-;-dire le syst;me poss;de la propri;t; du renforcement des petits ;v;nements – certes, non de tout, mais ceux qui se sont trouv;s dans «le tour de son attention». D'assez grands accidents se trouvent d'habitude dans celui-ci «le tour de l'attention», puisque ;clatent dans le seuil de la stabilit; du syst;me. Par exemple, en cas de l'avarie De Tchernobyl la d;sagr;gation de l'URSS et une longue p;riode de la stagnation dans l';nerg;tique atomique, ; la suite de quoi le monde ;prouve maintenant la famine ;nerg;tique sont devenue les cons;quences les plus ; long terme. Au cours des attentats le 11 septembre on d;truisait les b;timents initial d'une valeur de 1-3 milliards de dollars, mais le pr;judice ; l';conomie a fait 100 milliards ces attentats ont amen; au gonflement de la bulle sur le march; de l'immobilier (pour le compte du taux bas pour la stimulation de l';conomie) aux trillions des dollars. Et vers la guerre ; l'Iraq, pour qui ont d;pens; pr;s de 1,4 trillions des dollars. De plus, le pr;judice principal encore en avant, puisque l';vacuation des troupes de l'Iraq et la crise sur le march; de l'immobilier portent èìèäæåâûé, le pr;judice politique et ;conomique sur plusieurs trillions des dollars. (Plus, par exemple, ce que bless; de l'Iraq il faut traiter par les d;cennies, et sur cela il faut mettre en relief les trillions des dollars.) La logique semblable des ;v;nements et leurs cons;quences a d;crit L.N.TolstoL dans le roman «la Guerre et le monde», ayant observ;, comme les cons;quences du pr;judice, qui a essuy; l'arm;e fran;aise sous Borodino, s'accroissaient dans la cha;ne ult;rieure des ;v;nements – l'incendie ; Moscou, la perte de l'arm;e sur Áåðåçèíå, l';chec de l'empire. De plus d'information, c'est-;-dire les coop;rations li;es ; l'organisation et les gestions, faisant du pr;judice dans tous ces cas exc;daient la physique. Ces ;v;nements ont provoqu; la cha;ne des d;cisions incorrectes et ont d;truit la structure de la gestion – c'est-;-dire la structure du futur. On peut dire et autrement : un assez grand ;v;nement peut jeter le syst;me ; un autre lit, qui lentement, mais est irr;versible se s;pare de l'ancien.
       Nous examinerons maintenant de divers aspects des crises syst;miques, qui arrivent dans la nature pour regarder, quel d'eux peuvent se rapporter ; la civilisation moderne.
       1. Le superflu des carnassiers – cet exemple nous examinions d;j; plus haut ; l'exemple des loups et les ;lans.
       2. L'exemple de l';conomie – une Grande d;pression. Le cycle ferm; de la r;duction de la production – les licenciements – les chutes de la demande – les r;ductions de la production. Le cycle, qui est arrang; lui-m;me ainsi que doit passer dans le z;ro. Seulement âíåýêîíîìè÷åñêèå des ;v;nements, comme la guerre et l'expropriation de l'or, ont pu le rompre.
       3. Un autre exemple de la structure autoreproduite civilisable est la course aux armements. Elle incite ; cr;er tous les grands arsenals de l'arme de plus en plus dangereuse et les tenir dans un haut degr; de la cambatitivit;. En outre elle implique dans lui-m;me tous les nouveaux ;tats et stimule les ;laborations des technologies dangereuses. Autrement dit, il y a des situations d;finies structurales dans la civilisation, qui est plus dangereux de l'arme de la d;faite massive. Ces structures se caract;risent par ce que se reproduisent ; chaque ;tape dans le volume augmentant et continuent ; agir ; n'importe quel ;puisement des ressources de la civilisation.
       4. L'instabilit; strat;gique : qui frappera avec le premier, celui-l; gagne. Plus, la situation, quand ayant l'avantage doit attaquer avant la menace de sa perte.
       5. L'escalade de la scission dans la soci;t;, qui am;ne ; la lutte de plus en plus ouverte et tendue, tout áîëüøåé de la polarisation du socium, les membres de qui sont oblig;s de choisir, sur quel eux ; la partie. (Par exemple, l'opposition ÔÀÒÕ et le HAMAS en Palestine.)
       6. La crise structurale de la transparence d'information apparaissant quand tous tous connaissent. (Comme dans le film «l'opinion Sp;ciale», o; la capacit; des extralucides ; pr;dire le futur am;ne ; l'apparition de la guerre.) dans un livre de la strat;gie militaire faisait un lapsus la situation suivante : si un de deux adversaire ne conna;t pas, dans quel ;tat l'autre, lui se trouvent dans le repos. Mais si un conna;t que l'autre a commenc; ; avancer les troupes, cela provoque ; commencer ; faire le m;me; s'il conna;t que l'adversaire n'avance pas la troupe, cela provoque aussi son malheur par le premier. En d'autres termes la transparence d'information acc;l;re infiniment les liaisons en retour entre les parties s'opposant, ; la suite de quoi les proc;s rapides avec la liaison en retour positive sont possibles. Mais d'espion íàíîðîáîòû feront le monde èíôîðìàöèîííî transparent – et ; une grande vitesse.
       7. La crise structurale de la m;fiance mutuelle, par exemple, dans l'esprit de la lutte avec les ennemis du peuple, quand tous commencent ; voir l'un dans l'autre les ennemis et exterminer les ennemis semblant qu'am;ne ; l'autorenforcement de la recherche des ennemis et balayer pour les accusations fausses. ; propos, la vendetta – aussi la crise structurale, qui peut manger les communaut;s. La crise de la m;fiance mutuelle arrive et dans l';conomie, en amenant ; l';vasion des clients des banques, la croissance des taux selon les cr;dits, et est aussi le proc;s s'autorenfor;ant. La crise de cr;dit commenc;e dans le monde en ao;t de 2007 ; un fort degr; est li;e ; la perte de la confiance de toutes les banques et les instituts des finances l'un ; l'autre en rapport avec les stocks inconnus des mauvais papiers hypoth;caires, les pertes de qui «;mergeaient comme les cadavres dans la rivi;re» dans les places les plus inattendues, au dire de l';conomiste am;ricain N.Rubini.
       8. Le mod;le de la conduite comprenant dans la destruction autre avec le but d;cider le probl;me. (Par exemple : les "Am;ricains" conventionnels veulent supprimer tous les "terroristes", mais les "terroristes" – tous les "Am;ricains".) Mais cela seulement la voie vers l'accroissement du conflit – et vers la diffusion de ce mod;le. Cela comme le dilemme du prisonnier. Si les deux parties se d;cident au monde, les deux gagneront, mais si seulement une, plus "bon" perdra. Autrement dit, l'autoorganisation pathologique peut se passer m;me alors, quand la plupart contre elle. Par exemple, au d;but de la course aux armements il ;tait d;j; clair, qu'est-ce que c'est, et le pronostic de son d;veloppement ;tait publi;. N'a pas emp;ch; cependant le proc;s.
       9. La crise ;conomique li;e ; l'effet de la liaison en retour entre les pr;dictions et la conduite de l'objet de l'observation, qui fait cet objet absolument impr;visible – qu'a lieu aux trafics sur ðûíêå.223 Cette impr;visibilit; se refl;te dans l'apparition des tendances les plus improbables, parmi qui peuvent ;tre et catastrophique. Il y a une impression que les tendances cherchent les nouveaux r;gimes catastrophiques pour que l'on ne pouvait pas les pr;dire. (C'est prouv; ainsi : si les march;s ;taient ïðåäñêàçóåìû, chacun pourrait s'enrichir sur eux. Mais tous ne peuvent pas r;aliser le b;n;fice sur les trafics, puisque c'est le jeu avec la somme nulle. Donc, la conduite des march;s sera plus complexe, que les syst;mes de leur pr;diction. Autrement dit, il y a une situation "du chaos dynamique».) Dans l'opposition militaire se comporter par l'image impr;visible il se trouve aussi parfois plus avantageux, que se comporter par l'image la plus effective, car la voie effective se trompe facilement.
       10. Une autre variante de la crise ;conomique structurale – la mise de c;t; infinie de la r;cession par voie du pompage de l';conomie par l'argent – peut passer le point de l'irr;versibilit;, quand mollement sortir de ce proc;s il est impossible. Cela fait un lapsus dans la th;orie des cycles de cr;dit d'H.Minski224. Ìèíñêè divise les d;biteurs en trois cat;gories : des consciencieux; sur ceux qui peut gagner le paiement des pour-cent, mais la masse non principale de la dette et c'est pour cela que sont oblig;s de l';tendre ; perp;tuit;; et sur ceux qui est oblig; de prendre les nouveaux cr;dits pour payer selon les vieux que ressemble ; la pyramide financi;re (le sch;ma Ponzi ou ÌÌÌ). La premi;re cat;gorie des emprunteurs est libre, et peut enti;rement payer la dette. Le deuxi;me groupe des emprunteurs est oblig; de payer la dette ;ternellement et ne peut pas sortir de cet ;tat, mais est capable de servir la dette. La troisi;me cat;gorie est oblig;e sans arr;t d';largir les op;rations et fera faillite en tout cas pendant le laps de temps final.
       Ìèíñêè montre que l'apparition de tous trois types des emprunteurs et l'augmentation graduelle de la part des emprunteurs du troisi;me type est le proc;s naturel dans l';conomie capitaliste de la p;riode du boom. L';conomie moderne, ; la t;te par la locomotive – les ;tats-Unis, se trouve approximativement entre le deuxi;me et troisi;me type. Le volume de diff;rentes esp;ces les dettes cr;;es seulement ; l'int;rieur des ;tats-Unis a, pour certaines estimations, l'ordre de 100 trillions des dollars (entre ici 7 òðëí. De la dette nationale, 14 òðëí. Selon l'hypoth;que, les dettes de la population pour les cartes de cr;dit, la formation, les voitures, les reconnaissances de dette des corporations, ainsi que les obligations du gouvernement des ;tats-Unis sur l'assistance m;dicale des retrait;s (Medicare). De plus le volume du PIB des ;tats-Unis – de l'ordre de 13 òðëí. Des dollars par an. Il est clair qu'il faut payer tout cet argent non demain, mais ils sont ;tal;s par 30 ans ; venir et entre de diff;rents sujets, qui vont utiliser d'une mani;re compliqu;e les entr;es selon unes dettes pour le paiement d'autres.) Lui-m;me la dette ne pas est le diable – lui, plut;t, d;crit, qui que quand fera et recevoir. Autrement dit, c'est la voiture financi;re de la planification du futur. Cependant quand elle passe sur le troisi;me r;gime, elle entre dans le m;canisme de l'autodestruction, qui plus fortement, que lui plus tard.
       Les opinions sur, si en effet l';conomie mondiale se d;veloppe gr;ce ; la pyramide universelle financi;re, ou non, est ;t; s;par;. Le milliardaire Uorren Baffet a appel; les d;riv;s (les dettes ; plusieurs degr;s) comme l'arme financi;re de la d;faite massive. La tendance dangereuse est que l'on peut penser aussi que ce probl;me syst;mique avec les dettes se rapporte seulement aux ;tats-Unis comme vers le pays : en fait, elle se rapporte ; toute l';conomie mondiale. Le pr;judice d'une Grande d;pression de 1929 exc;dait deux fois le pr;judice des ;tats-Unis de la Deuxi;me guerre mondiale et s'est r;pandu, comme le virus l'Espagnole durant 10 ans avant, selon tous les continents, ayant frapp; dans l'Europe est plus fort, que selon les ;tats. Une grande crise de 1929 ;tait la plus grande crise mondiale syst;mique jusqu'; la d;sagr;gation de l'URSS. Sa complexit; principale ;tait dans ce que les gens ne comprenaient pas que se passe. Pourquoi, s'il y a des gens, souhaitant travailler, et est affam;, demandant la nourriture – la nourriture baisse, mais personne l'acheter ne peut pas les fermiers se ruinent ? Et les pouvoirs br;laient les surplus de la nourriture – non parce qu'ils ;taient les sc;l;rats ou les idiots, c'est pourquoi qu'ils ne comprenaient pas simplement, comme forcer le syst;me ; travailler. Il faut marquer qu'il y a maintenant des diff;rents points de vue sur les raisons de la Grande D;pression et particuli;rement sur celui-l;, quelles mesures seraient justes et pourquoi elle, enfin, s'est achev;e. L'incompr;hension totale autosoutenue est une importante partie de la crise syst;mique. Ìèíñêè propose d'augmenter le r;le de l';tat comme l'emprunteur au pis aller pour diminuer les h;sitations cycliques de l';conomie capitaliste. Et cela a fonctionn; d;j; dans les crises 1975, 1982 et le d;but de 90 ann;es. Mais dans cela on conclut un nouveau danger. Elle est que les banques, qui rach;tent chaque fois, deviennent de plus en plus imprudent dans l'accumulation des dettes, puisque sont assur;s que l';tat les sauvera de la faillite et cette fois. En outre ils sont amen;s par les mod;les statistiques : Il n';tait pas plus long que la d;pression ;conomique, plus longtemps elle et ne sera pas selon les mod;les statistiques, tandis que selon les mod;les structuraux, il n';tait pas plus long que la diminution, grand il sera ; ult;rieur. Le cycle de cr;dit Ìèíñêè est li; en premier lieu ; l'investissement superflu, mais la loi Ìóðà, comme nous connaissons, s'appuie en plusieurs cas sur l'investissement exc;dentaire dans les cadres de "l'investissement risque». C'est pourquoi la diminution de l';conomie mondiale portera le coup le plus fort pour la loi Ìóðà.
       11. Les crises li;es aux proc;s impr;visibles dans les syst;mes supercomplexes. La tendance totale ; l'accroissement de la complexit; de la civilisation humaine, qui cr;e la possibilit; pour áûñòðîðàçâèâàþùèõñÿ des collapsus impr;visibles a lieu. (Juste comme l'avion au P;rou s'est bris;, parce que le personnel ; l'a;roport a coll; le d;tecteur de la vitesse ñêîò÷åì, et il a donn; l'erreur, mais l';quipe a d;cid; que c'est la d;faillance de l'ordinateur, et quand l'ordinateur a donn; le signal sur la proximit; de la terre, ne lui ont pas confi; et se gravaient ; la mer.) Ou le fonctionnement erron; des syst;mes de la notification sur le coup nucl;aire. Si avant la raison principale des accidents il y avait «des forces majeures de la nature» (par exemple, la temp;te), vers le XX si;cle ils ;taient ;vinc;s ; titre de la raison principale – le facteur humain (c'est-;-dire l'erreur tout ; fait concr;te en voie de la conception, les r;glages ou les gestions). Cependant ; la fin du XX si;cle la complexit; des r;seaux techniques et sociaux s'est trouv;e est tellement grande que les d;faillances dans leur travail sont devenues non locales, mais syst;mique (selon les sc;narios, la d;tection de qui ;tait íåâû÷èñëèìî la t;che complexe pour les projeteurs). L'exemple ; celui-l; est l'accident De Tchernobyl, o; le personnel suivait selon la lettre de l'instruction, mais ainsi, par quel personne des auteurs n'attendait et ne pouvait pas supposer. Finalement chacun agissait correctement, mais au total le syst;me n'a pas fonctionn;. C'est-;-dire la supercomplexit; du syst;me, et non l'erreur concr;te de la personne concr;te est devenue la raison de l'accident. Sur la m;me chose dit dans la th;orie des avaries normales Ïåððîó225 : Les accidents sont la propri;t; naturelle des syst;mes supercomplexes. De l';tude de tels syst;mes s'occupe la th;orie du chaos. La th;orie du chaos suppose que le syst;me complexe avec une grande quantit; de facteurs d;cisifs peut avancer selon ;trange àòòðàêòîðó – c'est-;-dire selon la voie, dans qui il y a des passages soudains au r;gime catastrophique. L'expression de cette id;e est la th;orie de "l'avarie normale» 226, qui annonce qu'il est impossible de cr;er le syst;me absolument sans accident, m;me si embaucher les collaborateurs id;aux, mettre l';quipement absolument bon etc. Les avaries normales sont la propri;t; naturelle des syst;mes complexes, qui r;pondent ; deux crit;res : les complexit;s de l'installation et le degr; de la corr;lation des parties.
       12. La contradiction classique entre les forces industrielles et les rapports de production, l'exemple ; quoi la situation en cours dans le monde, avec sa contradiction principale entre la multitude de pays poss;dant les arm;es nationales et l'unit; de l';conomie mondiale.
       13. La d;sorganisation autoreproduite (le d;fil; des souverainet;s dans l'histoire de l'URSS).
       14. La d;gradation autosoutenue morale (l';chec de l'Empire romain).
       15. L'effet du domino.
       16. La s;lection "naturelle" des profits ; court terme au lieu d'; long terme. (Marx : les exploiteurs plus effectifs ;vincent les "bons".)
       17. La tendance ; la concentration du pouvoir dans les mains d'une personne. (Toutes les r;volutions finissaient par la dictature.) s';tant engag; dans la voie une fois du conseil d'administration autoritaire, le dictateur est oblig; d'aller sur l'absolutisation du r;gime pour que de lui non ñâåðãëè.
       18. L'avalanche des r;formes (Ìàêêèàâåëëè : de petits changements construisent la voie vers de grands changements. L'exemple : l';poque de la Reconstruction).
       19. La crise de l'incr;dulit; s'accroissant – l'accroissement du mensonge et le bruit d'information (le profit au lieu de l'authenticit;, les relations publiques au lieu de la v;rit;, le bruit au lieu des paroles – la crise de la perte de la confiance, quand plus une certaine personne ne croit pas, ment plus, en connaissant que de lui attend m;me). Si le crit;re de la v;rit; – l'exp;rience, mais le r;sultat de l'exp;rience – une nouvelle technologie, mais sa valeur sont un argent, graduellement les inter;tages tombent.
       20. L'esprit de critique autoorganis;. Le mod;le avec un tas de sable, sur qui tombent selon un grain et selon qui descendent les avalanches, ; la suite de quoi s';tablit un certain niveau moyen de l'inclinaison, est l'exemple du soi-disant esprit de critique autoorganis;. On peut comparer ce mod;le ; la densit; des accidents dans quelque sph;re de l'activit; humaine. Si dans elle il y a trop d'accidents, elle attire plus d'attention, et dans ce domaine est mis plus de ressources selon la garantie des mesures de s;curit;; ; cette ;poque d'autres domaines manquent l'attention et ; eux le risque augmente. Finalement nous recevons le monde, dans lequel la densit; des accidents est assez r;guli;rement distribu;e selon tous les aspects de l'activit;. Cependant la propri;t; math;matique des syst;mes avec ñàìîîðãàíèçîâàíííîé par l'esprit de critique est qu'; eux il y avoir appara;tre des avalanches sans restriction une grande valeur. L'esprit de critique autoorganis; appara;t alors, quand la concentration des ;l;ments instables atteint on n'a personne du niveau liminaire, ainsi que lui ils commencent ; ;tablir le lien l'un avec l'autre, et cr;er le sous-syst;me personnel p;n;trant le syst;me initial. Puisque le nombre des sc;narios et ñöåíàðíûõ des facteurs, qui peuvent amener ; l'accident global, est immense, et il grandit constamment, les chances de l'autoorganisation semblable augmentent. On peut dire et autrement. Le proc;s catastrophique appara;t, quand il se trouve ;puis; les capacit;s personnelles du syst;me de la pr;servation de l'hom;ostasie. Cependant le proc;s lui-m;me catastrophique, ;tant apparu, est aussi une sorte de syst;me et poss;de aussi l'hom;ostasie et la stabilit;, de qu';crit bien S.B.Pereslegin conform;ment ; la th;orie de l'op;ration militaire. Cela transforme le proc;s catastrophique en ph;nom;ne autosoutenu, capable de passer d'un niveau sur l'autre. Le risque de la r;action en cha;ne des ph;nom;nes catastrophiques augmente particuli;rement de ce qu'il y a des gens – les terroristes, – qui cherchent soigneusement diff;rent cach; de la vuln;rabilit; et les veulent appliquer.
       21. La crise li;e ; l'aspiration d;livrer des crises. (Par exemple, plus fortement Isra;liens veulent se d;livrer des Palestiniens, plus fortement Palestiniens veulent supprimer les Isra;liens.) la particularit; de cette crise est li;e juste ; la compr;hension êðèçèñíîñòè les situations, ; la diff;rence des crises pr;c;dentes. Cependant souvent cela n'am;ne pas ; l'am;lioration de la situation. En raison de cela on peut se rappeler la loi Ìåðôè : si ;tudier longtemps un certain probl;me, cela, finalement, tu d;couvres que tu es sa partie.
       Les crises structurales sont incompr;hensibles aux gens, car leur esprit est accoutum; ; penser dans les cat;gories des objets et les sujets des actions. En vertu de cela, plus ils pensent d'une telle crise et tentent d'en venir ; bout, par exemple, ayant extermin; une des parties du conflit, plus crise grandit. Les crises structurales provoquent la sensation de l'embarras et les recherches de l'ennemi cach; (qui et est devenu cet objet, qui engendre la crise). Par exemple, c'est pourquoi il est plus confortable de penser que l'URSS a ruin; la CIA. Les exemples de la crise syst;mique dans l'organisme humain est le vieillissement et l'ob;sit;. Ensuite, les crises plus complexes structurales, qui ne sont pas ;videntes sont possibles.
La crise des crises
       Dans le monde moderne il y a tous des aspects appel;s des crises, mais en tout le syst;me reste stable, parce que ces forces «tirent de tous c;t;s». (Par exemple, àâòîðèòàðèçìó la tendance propre aux scissions – l'URSS et la Chine, les sunnites et les chiytes, Staline et Trotsky – qui cr;e la crise comme la fissure et ;quilibre la cristallisation unipolaire.) c'est-;-dire les proc;s s;par;s ;quilibrent l'un l'autre : àâòîðèòàðèçì – la d;sorganisation et ò ä. En outre l'hom;ostasie dans l'esprit du principe Ëå Shatel'e-Brauna agit. (Ce principe ;tablit que l'influence ext;rieure d;duisant le syst;me de l';tat de l';quilibre thermodynamique, dans laquelle elle se trouve, provoque dans le syst;me les proc;s, aspirant ; affaiblir l'effet de l'influence.)
       Dangereusement, cependant, si toutes ces crises s;par;es ñàìîîãðàíèçóþòñÿ il y aura un certain «la crise des crises». Les syst;mes aspirent ; se retenir dans l';quilibre, mais ; assez fort au point passent ; l';tat d';quilibre du mouvement, autrement dit, ; un nouveau syst;me du proc;s de la destruction, qui poss;de aussi la stabilit;. L'exemple de la vie ordinaire : pour sortir de la maison, il faut faire parfois un certain effort pour "se balancer", cependant quand le proc;s du voyage est all;, il poss;de d;j; le dynamisme personnel, l'inertie et la structure.
       ; pr;sent toutes les manifestations de crise dans le d;veloppement humain ñîîðãàíèçîâàíû pour retenir l'humanit; au cours de graduel ;conomique, technologique et ïîïóëÿöèîííîãî de la croissance. En cas de la crise des crises tous les m;mes facteurs peuvent ñîîðãàíèçîâàòüñÿ pour travailler sans arr;t sur la destruction de la civilisation humaine.
       Les propri;t;s de "la crise des crises» : il est impossible de le comprendre, parce que, ayant commenc; ; en penser, tu y es impliqu; et tu l'intensifies (pour ainsi dire, le conflit arabo-isra;lien si travaille). Et c'est pourquoi que sa compr;hension n'a pas aucune valeur, ; cause du bruit dense d'information. Parce que, en fait, il est plus complexe, qu'une personne peut comprendre, mais a une s;rie ;vident incorrecte simplifi; ïîíèìàíèé. (La Loi ̸ðôè : «n'importe quel probl;me complexe a la d;cision simple, ;vidente et incorrecte».)
       Les ;l;ments de la crise des crises sont non les ;v;nements et les coop;rations dans le monde, mais les crises de l'ordre plus bas, qui sont structur;es non sans l'aide de l'intelligence humaine. Et un particuli;rement important r;le le r;le ici joue la compr;hension qu'il y a maintenant une crise, qui conduit ; deux, au moins, aux mod;les de la conduite – ou vers l'aspiration ; se d;livrer plus vite de la crise, ou vers l'aspiration de la crise se servir. Les deux ces mod;les de la conduite peuvent seulement intensifier la crise. Quand m;me, parce que pr;s de diff;rentes parties dans le conflit – de diff;rentes id;es comment finir la crise et comme recevoir le profit de lui.
       Puisque la compr;hension de la crise par les joueurs s;par;s – la partie de la crise, cette crise sera plus complexe que sa n'importe quelle compr;hension. M;me quand il s'ach;vera, cette compr;hension qu'avec nous s'est pass; – ne sera pas. C'est pourquoi ainsi beaucoup de diff;rentes opinions et les discussions sur ce que s'est pass; en 1941 ou «pourquoi se sont d;sagr;g;es l'URSS».
       Encore une m;taphore de "la crise des crises» est le raisonnement suivant, que j'entendais conform;ment aux march;s financiers. Il y a une grande diff;rence entre la crise sur le march;, et la crise du march;. Dans le premier cas on observe les flamb;es des prix rudes et le changement de la situation commerciale. ; deuxi;me – cesse le commerce lui-m;me. ; ce sens l'accident global ne pas est la crise suivante sur les voies du d;veloppement, o; le nouveau vainc le vieux. Elle est la cessation du d;veloppement.
Technologique Ñèíãóëÿðíîñòü
       Une des observations profondes dans l'esprit de l'id;e de "la crise des crises» est expos; dans l'article d'A.D.Panova «la Crise du cycle plan;taire de l'histoire Universelle et le r;le possible du programme SETI ; ïîñòêðèçèñíîì le d;veloppement» 227. En examinant la p;riodicit; des divers moments cl;s de l'apparition de la vie par la Terre, il d;couvre la r;gularit;, qui parle que la densit; de ces ;poques de transition augmente sans arr;t d'apr;s la loi hyperbolique, et par cons;quent, a «ñèíãóëÿðíóþ le point», dans qui elle s'adresse ; l';ternit;. Cela signifie qu'il y a une crise non simplement suivante, mais la crise de tout le mod;le, qui d;crit le proc;s de l';volution de la naissance de la vie ; nos jours. Et si plus t;t chaque crise servait pour la destruction du vieux et l'apparition nouveau, maintenant tout ce mod;le du d;veloppement avec l'aide des crises se termine. Et ce mod;le ne parle rien que sera apr;s ñèíãóëÿðíîé les points.
       Selon les comptes Ïàíîâà, ce point se trouve du c;t; de 2027. Il est int;ressant que un peu principalement diff;rent ïðîãíîñòè÷åñêèõ des mod;les indiquent aux alentours de 2030 comme sur le point «Ñèíãóëÿðíîñòè», o; de ceux-ci ïðîãíîñòè÷åñêèå les courbes s'adressent ; l';ternit;. (Par exemple, M. Esfandiary a pris ; lui-m;me le nom FM-2030 ; la comm;moration des futures transitions encore dans le milieu du XX si;cle, pour l'ann;e 2030 indiquent les pronostics selon la cr;ation ÈÈ et selon l';puisement des ressources.) il est ;vident que les risques globaux se groupent autour de ce point, puisqu'elle est classique «par le r;gime avec l'aggravation». Cependant ils peuvent se passer et beaucoup avant ce point, puisqu'il y aura des crises et jusqu'; elle.
       Dans le mod;le Ïàíîâà chaque crise suivante est s;par;e de pr;c;dent par le laps de temps, ; 2,42 plus petit. Si la derni;re crise vient au d;but de 1990, mais avant-dernier – sur la deuxi;me guerre mondiale, la crise suivante (le moment de la sortie de lui) selon le mod;le Ïàíîâà sera du c;t; de 2014, mais apr;s les suivants – sur 2022, 2025, 2026, mais il sera plus loin sans arr;t de s'accro;tre leur densit;. Certes, les significations exactes de ces chiffres sont incorrectes, mais la r;gularit; totale dans cela est. De plus la derni;re crise – les d;sagr;gations du vieux et la cr;ation nouveau – ;tait au d;but des ann;es 90 et comprenait dans la d;sagr;gation de l'URSS et l'apparition d'Internet.
       Cela signifie qu'; la p;riode de la situation actuelle ; 2014 nous devons ;prouver encore une crise de l';chelle comparable. Si cela exactement, nous pouvons observer sa naissance d;j; maintenant ; l'int;rieur de l'horizon de cinq ans des pr;dictions. Cependant cette crise ne sera pas du tout cet accident d;finitif global, sur qui nous parlons, et entre lui et la crise du mod;le dans les ann;es 2020 «la petite ;le de la stabilit;» dans quelques ann;es est possible.
       Quelques investigateurs ind;pendants sont venus ; l'id;e sur la possibilit; Technologique Ñèíãóëÿðíîñòè du c;t; de 2030, en extrapolant de diverses tendances – du niveau ìèíèàòþðèçàöèè des installations jusqu'aux capacit;s des ordinateurs n;cessaires pour simuler le cerveau humain. Par le premier a introduit le terme Technologique Ñèíãóëÿðíîñòü Âåðíîð Âèíäæ dans l'article 1993 ãîäà228. Ñèíãóëÿðíîñòü ne se distingue pas ìàòåìàòè÷åñêè du r;gime avec l'aggravation, c'est-;-dire les accidents, et comme l'ach;vement de l';poque immense historique elle, absolument, sera l'accident. Cependant Ñèíãóëÿðíîñòü peut ;tre positif, si elle garde les gens et ;largira consid;rablement leur potentiel, et en cons;quence, n;gatif, si ; la suite de ce proc;s les gens p;rissent ou perdront ce grand futur, qui chez eux pourrait ;tre. Du point de vue de notre ;tude nous trouverons positif n'importe quelle issue Ñèíãóëÿðíîñòè, apr;s qui les gens continuent ; vivre.
       Par le proc;s le plus rapide, complexe et impr;visible, qui est identifi; souvent avec Technologique Ñèíãóëÿðíîñòüþ, est l'apparition universel, capable vers le perfectionnement moral ÈÈ et sa croissance hyperbolique. (On peut montrer que l'acc;l;ration elle-m;me du d;veloppement, qui avait lieu dans le pass;, est li; notamment ; l'acc;l;ration et l'am;lioration des moyens de la d;cision des t;ches – de l'exc;dent simple et la s;lection, vers la s;lection sexuelle, l'apparition de la personne, la langue, l';criture, la science, les ordinateurs, l'investissement risque – chaque pas suivant ;tait le pas dans le d;veloppement de l'intelligence, et possible dans le futur autoperfectionnant ÈÈ continue seulement cette tendance.)
       En ce qui concerne Technologique Ñèíãóëÿðíîñòè on peut formuler quelques semblant authentique des ;nonciations.
       Premi;rement, Ñèíãóëÿðíîñòü forme l'horizon absolu du pronostic. Nous ne pouvons pas dire exactement que sera apr;s Ñèíãóëÿðíîñòè, puisqu'il s'agit du proc;s infiniment complexe. De plus, nous ne pouvons rien dire ni sur le moment Ñèíãóëÿðíîñòè, ni sur le laps de temps d;fini devant elle. Nous pouvons faire seulement suppositions d;finies quand sera Ñèíãóëÿðíîñòü, cependant ici il y a une grande dispersion. En fait, n'emp;che rien d'arriver Ñèíãóëÿðíîñòè directement demain en cas de la rupture inattendue dans l';tude ÈÈ.
       Deuxi;mement, du point de vue de nos mani;res de voir modernes, l';ternit; actuelle ne peut pas ;tre atteinte. En vertu de cela absolu Ñèíãóëÿðíîñòü n'est pas accessible. On peut interpr;ter cela ainsi que dans la mesure de l'approche vers Ñèíãóëÿðíîñòè dans le syst;me se renforcent de divers proc;s vibratoires, qui la d;truisent avant l'acquisition du point de l';ternit;. Si cela ainsi, devant Ñèíãóëÿðíîñòüþ la densit; de la probabilit; des accidents globaux augmente sans restriction. (Cf avec la conception de G.G.Malinetskogo sur l'augmentation de la fr;quence et l'amplitude des h;sitations dans le syst;me avant l'accident, qui sont les signes de son approche.) ou cela peut signifier la condensation infinie du temps historique, ; la force de qui ñèíãóëÿðíîñòü ne sera jamais atteinte, comme cela a lieu en cas de la chute des objets au trou noir.
       Troisi;mement, vers Ñèíãóëÿðíîñòè tout le syst;me convient enti;rement. Cela signifie qu'il ne faut pas attendre que Ñèíãóëÿðíîñòü n'abordera pas quelqu'un, ou que sera un peu diff;rent Ñèíãóëÿðíîñòåé. Bien que commencer elle peut dans un point par la Terre, pour ainsi dire, au laboratoire selon la cr;ation ÈÈ, dans la mesure du d;veloppement du proc;s il embrassera toute la Terre.
       Du point de vue de notre ;tude, il est important de marquer que l'accident global c'est pas obligatoire et est Technologique Ñèíãóëÿðíîñòü. L'accident global peut ;tre gradu;, mais, dans le compte final, le proc;s simple, comme la collision avec l'ast;ro;de. Dans un tel accident global il y a des signes du r;gime avec l'aggravation, comme par exemple, l'acc;l;ration rude de la densit; des ;v;nements au moment du contact par l'ast;ro;de de la Terre (dure 1 seconde), mais il n'y a pas de superintelligence, qui par la d;finition n'est pas concevable.
       De dit il faut que si accepter la conception Technologique Ñèíãóëÿðíîñòè, nous ne pouvons rien faire pour mesurer ou pr;venir les risques apr;s le moment Ñèíãóëÿðíîñòè, mais doivent pr;venir ces risques avant son arriv;e (particuli;rement pendant la vuln;rabilit; augment;e devant elle) et aspirer vers positif Ñèíãóëÿðíîñòè.
       La conception Technologique Ñèíãóëÿðíîñòè comme du point hypoth;tique de l'appel ; l';ternit; ïðîãíîñòè÷åñêèõ des courbes du c;t; de 2030 ;tait ouverte plusieurs fois ind;pendamment (et en outre sur les extrapolations des diff;rentes courbes – de la population chez Êàïèöû, jusqu'; ìèíèàòþðèçàöèè des installations technologiques), et ; pr;sent s'est form; le groupe des gens, appelant ; aspirer ; cet ;v;nement. Plus en d;tail sur Technologique Ñèíãóëÿðíîñòè on peut respecter dans les articles : Âåðíîð Âèíäæ «Technologique Ñèíãóëÿðíîñòü» 229, Þäêîâñêè «En regardant fixement ; Ñèíãóëÿðíîñòü» 230, Äýâèä Áðèí «Ñèíãóëÿðíîñòü et les cauchemars» 231, Michael Diring «l'Aube Ñèíãóëÿðíîñòè» 232.
Ïåðåïîòðåáëåíèå am;ne ; l';puisement simultan; de toutes les ressources
       Certaines ressources peuvent simplement ne pas s'achever, mais ;tre ;puis;s, pour ainsi dire, au moins. Par exemple, la superexploitation des sols am;ne ; leur ;rosion rapide et compl;te. Cette question ;tait ;tudi;e Ìåäîóçîì ; lui «les Limites de la croissance». En ;tudiant les mod;les math;matiques, il a montr; que ïåðåïîòðåáëåíèå on n'a personne de la ressource am;ne puis le syst;me in;vitablement sur le bord de la destruction. Par exemple, le superflu des carnassiers am;ne ; un tel ;puisement du nombre des victimes que puis tout de la la victime jusqu'; la commune p;rissent, et les carnassiers eux-m;mes sont condamn;s ; la famine. Un autre exemple – quand la pollution de l'environnement est tellement grande qu'est est frapp;e la capacit; du mercredi de l'autorestitution.
       Le cycle de cr;dit Ìèíñêè se rapporte nettement non seulement ; l'argent, mais aussi vers ;puisant ïåðåïîòðåáëåíèþ de n'importe quelle ressource naturelle. De plus il est naturel ; l'humanit; ñâåðõèñ÷åðïûâàòü n'importe quelle ressource, qui lui est devenue accessible. ; ce sens ce n'est pas ;tonnant que ïåðåïîòðåáëåíèå de plusieurs ressources se passe pratiquement simultan;ment – en effet, ïåðåðàñõîäîâàíèå d'une ressource on peut cacher, en d;pensant l'autre. Par exemple, on peut cacher l';puisement de l'argent sur le paiement de l'hypoth;que, en la payant dans la carte de cr;dit; de la m;me mani;re on peut cacher l';puisement sur 30 pour-cent des terres utiles pour l'agriculture d;s le temps de la deuxi;me guerre mondiale, en mettant plus de ressources (c'est-;-dire l';nergie) dans la cultivation des terres rest;es; ou on peut cacher l';puisement des nappes aquif;res, en d;pensant plus d';nergie sur la production de l'eau des horizons plus profonds. On r;ussissait ; surmonter les probl;mes du super;puisement aux gens toutes les fois, ayant fait le saut technologique, comme c';tait ; la r;volution n;olithique. Cependant cela ne se passait pas toujours harmonieusement, c'est-;-dire parfois la d;cision se trouvait, seulement quand la crise ; grande ;chelle s'ouvrait d;j;. Par exemple, la r;volution n;olithique – le passage de ñîáèðàòåëüñòâà vers l'agriculture s;dentaire – s'est pass;e seulement apr;s que la population a ;t; r;duite consid;rablement ; la suite du super;puisement des ressources dans la soci;t; des chasseurs-collectionneurs.
       Dans le XXI si;cle l';puisement simultan; de plusieurs importantes ressources en cons;quence de d;j; maintenant l';v;nement ïåðåïîòðåáëåíèÿ nous menace. Nous ;num;rerons de diff;rentes suppositions selon l';puisement, sans examiner l'authenticit; ou la fausset; de chacun en particulier. Du point de vue ;conomique l';puisement d;finitif de quelque ressource est impossible, la question dans celui-l;, combien co;tera la r;ception de cela les ressources et s'il l'y aura sur tous. En raison de cela mettent en relief non le moment de l';puisement, mais le moment du maximum de la production (piques) et puis la p;riode de la diminution rapide de la production de la ressource. La p;riode de la diminution peut m;me ;tre plus dangereuse de la p;riode de l'absence compl;te, puisque notamment ; ce moment commence la lutte acharn;e pour la ressource, c'est-;-dire peut commencer la guerre. J'appellerai un peu futur ou d;j; les mati;res ;tudi;es des pics des ressources.
* Le pic de la production mondiale du poisson – ïðîéäåí en 1989
* Les ;puisements des terres utiles pour l'agriculture
* Le pic de la production de la nourriture en tout
* Le pic du p;trole – il est possible, ; pr;sent
* Le pic du gaz – plus tard, mais la diminution plus rude apr;s lui.
* Le retrait de l'exploitation des r;acteurs nucl;aires
* L';puisement de l'eau potable et l'eau pour l'irrigation.
* Les ;puisements de la s;rie de m;taux color;s et rares (vers 2050)
       Je soulignerai encore une fois : dans le travail donn; le probl;me de l';puisement des ressources est examin; seulement du point de vue de, si elle peut amener ; la disparition d;finitive de l'humanit;. Je crois, ce qui – ne peut pas, mais l'aggravation de ces probl;mes est capable de lancer l'aggravation des conflits internationaux et amener ; la guerre s;rieuse.
       Il est int;ressant d';tudier la question suivante. Si un certain sujet faisant le m;nage supporte la faillite, cela signifie que chez lui s'ach;vent simultan;ment toutes les sources de l'entr;e de l'argent, mais si on ;puise les ressources de la civilisation technologique, cela signifie que chez elle s'ach;vent simultan;ment toutes les ressources, puisque l';nergie dans les conditions modernes accomplit la fonction de l'argent dans le syst;me technologique, et permet d'obtenir n'importe quelle ressource, l';nergie est (par exemple, balancer l'eau des couches profondes). S'il faut de cela l';quivalence de l'argent et l';nergie, et donc, s'il y aura une crise ;nerg;tique ;galement financier, et vice versa ? Je pense qu'oui. Grosso modo, parce que l'argent r;el signifie la possibilit; d'acheter les marchandises. Si l';conomie passe au r;gime d;ficitaire, la possibilit; d'acqu;rir quelque chose r;ellement pr;cieux pour l'argent dispara;tra.
       Il y a des diff;rentes dates du pic possible dans la production du p;trole et d'autres ressources, mais ils appartiennent ; l'intervalle de 2006 ; 2050. Pour le compte de ce que l'on peut remplacer unes ressources par les autres, de diff;rents pics de la production maxima des diff;rentes ressources auront la tendance ; se concentrer vers un pic total, ainsi qu'en remerciant NBIC les convergences se concentrent les pics du d;veloppement des diff;rentes technologies. Il est aussi int;ressant que le pic de la production des ressources vient sur m;me temporaire le segment, sur qui on s'attend Technologique Ñèíãóëÿðíîñòü. Si Ñèíãóëÿðíîñòü il arrivera plus t;t, les ressources modernes n'auront pas une grande signification, puisque d'incommensurablement grandes ressources de l'espace sont accessibles. Au contraire, si la diminution dans la production universelle de toutes les ressources se passe jusqu'; Ñèíãóëÿðíîñòè, cela peut emp;cher son arriv;e. Le proc;s r;el probablement, sera plus mis, puisque non seulement les pics du d;veloppement la technologie et les pics de la production des ressources se concentrent l'un ; l'autre ; l'int;rieur des groupes, mais aussi les pics des principalement autres groupes se concentrent aussi du c;t; de 2030 plus le moins de 20 ann;es. ; savoir, le pic du nombre de gens selon Êàïèöå, le pic du nombre possible des victimes des guerres, le pic des pr;dictions des risques de la destruction de la civilisation, sur quoi nous parlions plus haut. Il y a quelques hypoth;ses int;ressantes sur les raisons d'une telle convergence, que nous n'examinerons pas ici.
La crise syst;mique et les risques technologiques
       On peut examiner la crise syst;mique de toute la soci;t; moderne sans compte de ces nouvelles possibilit;s et les dangers, qui cr;ent les nouvelles technologies. Alors cette crise fera un lapsus dans les termes de la crise ;conomique, politique ou ;cologique. On peut appeler une telle crise comme la crise ;conomique et sociale syst;mique. D'autre part, on peut examiner l'espace des possibilit;s cr;; par l'apparition et la coop;ration l'un avec l'autre de plusieurs diff;rentes nouvelles technologies. Par exemple, ;tudier, comme dans les biotechnologies le progr;s influencera nos possibilit;s de la cr;ation ÈÈ et la coop;ration avec lui. On Peut appeler un tel proc;s comme l';v;nement technologique syst;mique. La direction l'une et l'autre sont ;tudi;s activement, cependant ainsi que comme s'il s'agit de deux diff;rents espaces. Par exemple, ceux qui ;tudie et pronostique Peak Oil jusqu'; 2030, ne s'int;ressent pas du tout et ne mentionnent pas dans les ;tudes la probl;matique, coh;rent avec l';laboration ÈÈ. Et vice versa, ceux qui est assur; de l';laboration puissant ÈÈ vers 2030, ne mentionnent pas les sujets de l';puisement du p;trole comme insignifiant. Il est ;vident qu'est int;ressant d'examiner le syst;me du plus haut ordre, o; les syst;mes ;conomiques et sociaux et technologiques sont seulement les sous-syst;mes – et dans qui la crise du plus haut niveau est possible. Autrement on peut dire ainsi :
       Une petite crise syst;mique – entra;ne seulement la politique, les ressources et l';conomie.
       Une petite crise syst;mique technologique – entra;ne le d;veloppement d'unes technologies des autres et les accidents complexes technologiques.
       Une grande crise syst;mique – dans lui les deux petites crises sont seulement ses parties, plus la coop;ration des ;l;ments faisant l'un avec l'autre. L'exemple d'une telle crise : la Deuxi;me guerre mondiale.
La crise syst;mique technologique – le sc;nario le plus probable de l'accident global
       Cette affirmation s'appuie sur les envois suivants, que nous selon l'isolement avons examin; dans les chefs pr;c;dents.
       La Plupart des grands accidents technologiques, ; partir de l'accident de "Titanic", portaient le caract;re syst;mique, c'est-;-dire n'avaient pas quelque une raison, mais apparaissaient comme les manifestations de la complexit; du syst;me en forme de la conjoncture peu probable impr;visible de diff;rents plans : de la conception, les gestions, les violations syst;matiques des instructions, la c;cit; intellectuelle et la superassurance, les refus techniques et les conjonctures peu probables.
       Pour le compte NBIC de la convergence et du compte de la simultan;it; de l';puisement des ressources interchangeables nous recevons cet effet que toutes les circonstances critiques s'enl;vent vers une date, et cette date – du c;t; de 2030.
       L'Effondrement de la civilisation technologique, ayant commenc; m;me par un petit accident, peut prendre la forme du proc;s stable, o; un accident lance l'autre, de plus ; chaque moment du temps de la force de la destruction surpassent les forces gard;es de la cr;ation. Cela se passe en raison de ce que plus t;t la quantit; immense de forces de la destruction se retenait, mais puis ils se d;gageront simultan;ment (les ;puisements des ressources, la contamination du mercredi par les bioagents dangereux, l';l;vation de la temp;rature globale). Cette capacit; d'un accident ; lancer l'autre est li;e ; une haute concentration des diff;rentes technologies potentiellement mortelles pour l'humanit; – semblable au volume, comme o; qu'a commenc; l'incendie en navire, o; il y a beaucoup de poudre, dans le compte final sautera tout le navire. Une autre m;taphore – si la personne se sauve de l'avalanche, il doit courir avec tout áîëüøåé par la vitesse, et tout le plus petit retard est demand; qu'il se trouve de sous tout áîëüøåé les forces l'avalanche. La troisi;me m;taphore – ïåðåêðèñòàëëèçàöèÿ n'a personne les substances avec quelques ;tats de phase du c;t; du passage de phase. Cette m;taphore signifie la reconstruction rapide et importante de toute la civilisation li;e ; l'apparition puissante ÈÈ.
       Dans la mesure de l'accroissement de la complexit; de notre civilisation s'accro;t la probabilit; des passages soudains impr;visibles ; un autre ;tat (; l'esprit de "la th;orie du chaos»), et s'accro;t simultan;ment notre incapacit; ; pr;dire le futur et pr;voir les cons;quences des actions.
       
Le chapitre 21. Êðèïòîâîéíû, la course aux armements et les autres ñöåíàðíûå les facteurs augmentant la probabilit; de l'accident global
Êðèïòîâîéíà
       Un important facteur des futurs risques globaux est l'apparition de la possibilit; «êðèïòîâîéí» – c'est-;-dire les coups soudains anonymes, quand on ne sait pas, qui l'attaquant, mais parfois m;me íåî÷åâèäåí le fait lui-m;me de l'attaque (le terme de S Ëåìà233). Quand dans la course aux armements mondiale appara;t plus de deux adversaires, il y a une tentation de l'application anonyme (c'est-;-dire impuni) le coup appel; ou affaiblir une des parties, ou rompre l';quilibre. Il est ;vident que les supertechnologies donnent les nouvelles possibilit;s pour l'organisation de telles attaques. Si plus t;t cela il y avoir ;tre un arrivage de l'agent radioactif ou le lancement de la fus;e de l'eau neutre, l'attaque biologique peut ;tre beaucoup plus anonyme. Êðèïòîâîéíà n'est pas elle-m;me le risque ; l'existence de l'humanit; de la premi;re g;n;ration, mais elle changera la situation dans le monde :
       La m;fiance des pays selon la relation augmentera l'un ; l'autre, la course aux armements se renforcera, l'interdiction morale au coup anonyme et l;che dispara;tra. Peut s'allumer finalement la guerre mondiale de tous contre tous (c'est-;-dire une telle guerre, o; il n'y a pas de deux parties s'opposant, mais chacun t;che de nuire ; chacun) et le saut simultan; dans les technologies dangereuses.
       Êðèïòîâîéíà sera en plusieurs cas terroriste – c'est-;-dire l'influence d'information du coup exc;dera le pr;judice direct. Mais le sens de cela sera non tant dans la cr;ation de la peur – la terreur, mais plut;t, dans la m;fiance g;n;rale de tous vers tous, qui on peut manipuler, en faisant sauter de diff;rentes "hypoth;ses". Plusieurs meurtres politiques de la modernit; sont d;j; les actes «êðèïòîâîéíû», par exemple, le meurtre Ëèòâèíåíêî. ; la diff;rence de l'attentat, pour qui plusieurs veulent prendre la responsabilit;, pour êðèïòîóäàð personne ne la prend, mais chacun veut l'utiliser sur le profit, ayant chass; la faute sur l'autre.
La vuln;rabilit; vers de superpetites influences
       Suivant ñöåíàðíûì par le facteur est la vuln;rabilit; des syst;mes supercomplexes vers les influences infinit;simales – que l'on peut utiliser pour l'organisation des actes de sabotage. (Pour le compte de l'addition non lin;aire, quelques tr;s faibles ;v;nements peuvent avoir consid;rablement áîëüøèé l'effet, que chacun d'eux en particulier que diminue les exigences ; l'exactitude du choix et la r;alisation de chaque ;v;nement s;par;.) certes pour qu'il est correct de compter une telle influence, la super-intelligence est n;cessaire, capable de modeler le syst;me supercomplexe. Et donc, cette intelligence doit ;tre plus complexe que ce syst;me, et ce syst;me ne doit pas contenir d'autres telles intelligences. Une telle situation peut appara;tre sur les premi;res phases du d;veloppement de l'intelligence artificielle. Le coup avec l'aide de petits ;v;nements sera la manifestation sup;rieure êðèïòîâîéíû.
       L'exemple : les avaries avec l'arr;t de l';lectricit; aux ;tats-Unis et la F;d;ration de Russie ; d'assez petits courts-circuits. On peut calculer tels points de la vuln;rabilit; d'avance. Je ne peux pas proposer la vuln;rabilit; plus complexe, car je ne poss;de pas la super-intelligence. Cependant encore un facteur peut ;tre l'influence sur les parents et les amis des personnes prenant les d;cisions cl;s. On ne peut pas supprimer ainsi le monde, mais provoquer gigantesque áàðäàê on peut – c'est-;-dire traduire le syst;me sur le niveau plus bas de l'organisation. Dans l';tat du chaos la probabilit; de l'application non pr;m;dit;e de l'arme de la d;faite massive augmente, mais la capacit; de l';laboration des principalement nouvelles technologies diminue. En cons;quence, si les moyens de la destruction universelle sont cr;;s d;j;, cela augmente la chance de l'accident global, mais si est absent encore – cela r;duit, probablement. (Mais cela non ainsi, s'il a surv;cu autres òåõíîëîãè÷åñêè les pays ; valeur requise – pour eux un tel ;v;nement deviendra le crochet de d;tente de la course aux armements dangereuse.)
       Les exemples du point hypoth;tique dans le syst;me, l'influence infinit;simale sur qui am;ne ; d'infiniment grandes cons;quences. Le plus souvent il s'agit de la prise de d;cision par la personne, mais il est plus exact, sur quelqu'un le facteur, qui p;se le seuil critique de la prise de d;cision. Probablement, les paroles peuvent aller sur :
       * La d;cision du d;but de la guerre (le coup de feu au Sarajevo),
       * Le d;but de l'avarie technog;ne (×åðíîáûëü),
       * ; la panique boursi;re, ou une autre rumeur dangereuse,
       * Le rejet de l'ast;ro;de,
       * Le meurtre du r;gent.
       Comme la variante, une probablement petite influence sur les points quelques exclus, donnant ñèíåðãåòè÷åñêèé l'effet. Parmi les sc;narios sp;cialement dangereux terroristes de telles influences accessibles d;j; maintenant :
       * L'influence sur les parents des personnes prenant les d;cisions. L'utilisation des mod;les d'avion comme une sorte des fus;es t;l;guid;es, qui peuvent apporter une petite bombe n'importe o;.
       * Le meurtre des r;gents et d'autres hommes sup;rieurs. Dans la mesure du d;veloppement des technologies tout sera plus facile de tuer non seulement beaucoup de gens, mais aussi n'importe quelle personne d'avance ;lue. Par exemple, avec l'aide de petits produits de haut pr;cision (comme les robots des "bourdons") ou les virus point;s vers le syst;me g;n;tique de la personne concr;te.
       * Les attaques complexes avec l'utilisation d'Internet et les ordinateurs. Par exemple, la cr;ation du signet dans l'ordinateur, qui donne incorrect donn; seulement ; un broker, en le for;ant ; prendre les d;cisions incorrectes.
       * L'attaque d'information – la fausse information – par exemple, faire courir la rumeur (qualitativement fabriqu;) que le pr;sident du pays hostile est descendu de l'esprit et pr;pare l'attaque pr;ventive selon "nous" est provoque chez "nous" le d;sir de frapper avec les premiers. Que, ;videmment, lance «ïàðàíîèäàëüíóþ» la liaison en retour positive.
La course aux armements
       La course aux armements est dangereuse non seulement qu'elle peut amener vers la cr;ation ; l'arme du dies irae. Dans les conditions de la course aux armements rapide il faut mettre les exp;riences dangereuses avec les modestes exigences de la s;curit; et avec une plus haute probabilit; des fuites des substances dangereuses. En outre la superarme de la destruction g;n;rale peut se trouver le r;sultat marginal ou le cas particulier de l'application de l'arme ordinaire. Par exemple, l'id;e de la bombe du cobalt est apparue apr;s que n;cessaire ; elle la bombe atomique ordinaire ;tait invent;e et cr;;e. Le d;veloppement des m;thodes de fabrication dans les buts militaires des insectes sp;cialement dangereux toxiques permettra de cr;er leur tel aspect, qui peut envahir toute la Terre. Enfin, l'application en grandes quantit;s de quelque une arme peut traduire aussi l'humanit; vers la chute sur le stade plus bas du d;veloppement, sur qui la disparition de la population humaine semble plus probable.
La d;gradation morale
       Souvent on dit que la d;gradation morale peut perdre l'humanit;. Il est clair que la d;gradation morale ne peut pas ;tre le risque global de la premi;re g;n;ration, puisque elle-m;me elle ne tue personne, et les conversations sur la d;cadence morale vont d;s les temps de l'Ancienne Gr;ce. N;anmoins, la d;gradation morale de l';lite gouvernant est consid;r;e comme le facteur essentiel de la chute de l'Empire romain.
       Dans la notion «la d;gradation morale» je ne mets pas l'estimation l'estimation proprement morale, mais j'ai en vue ces installations psychologiques et les mod;les de la conduite, qui font la soci;t; aux crises moins stables et plus expos;es de type diff;rent. En premier lieu, cette pr;f;rence sp;cialement personnel et les objectifs ; court terme sur public et ; long terme. Nous marquerons que si plus t;t la culture ;tait point;e vers la propagande des buts contribuant ; la stabilit; augment;e de la soci;t;, maintenant – au contraire. Cependant de tout cela ne sont pas devenus les assassins. L'exemple moderne de "la d;gradation morale» sont les mots du pr;sident Clinton sur ce qu'il «prenait la cigarette avec l'herbe, mais ne se serrait pas». Ce type de la d;gradation menace en premier lieu "aux ;lites imp;rieuses» et au sens des risques globaux peut se manifester dans l'incapacit; de ces ;lites ad;quatement ; r;agir aux menaces apparaissant. C'est-;-dire la r;action est possible, mais le mensonge, la m;fiance l'un ; l'autre et le blanchiment de l'argent peut saper n'importe quelles initiatives efficaces et gradu;es dans le domaine des risques globaux.
       Ensuite, il y a un niveau critique de la stabilit; des syst;mes techniques et sociaux vers la concentration des ;l;ments incertains. S'il les suffit peu, ces ;l;ments ne se heurtent pas l'un avec l'autre et ne violent pas la stabilit;. Si leur quantit; exc;de un certain niveau critique, ils forment la structure personnelle int;rieurement coh;rente. M;me un petit accroissement d'une telle concentration du c;t; du seuil critique peut dangereusement augmenter le degr; de l'instabilit; du syst;me.
       Enfin, m;me une petite r;duction total "du niveau moral» les soci;t;s augmente consid;rablement le "poids" des queues lourdes de la distribution, c'est-;-dire multiplie potentiel «ãåðîñòðàòîâ». Il Faut marquer que la croissance des groupes form;s de la population de la Terre augmente aussi le nombre de gens, qui peuvent consciemment vouloir l'accident global et poss;der les connaissances n;cessaires.
       Il y a une opinion remontant encore ; K.Marksu que les racines de l'instabilit; possible de la soci;t; – dans la nature de la soci;t; construite sur la comp;tition. Les investissements dans les projets ; long terme sont affaiblis par la comp;titivit; dans les projets ; court terme, puisque les ressources partent aux projets lointains. Finalement dans la perspective ; moyen terme ces gens, les pays et les organisations, qui ne donnaient pas assez d'attention aux projets ; court terme, essuient la d;faite. (Ce raisonnement on peut comparer au raisonnement de N.Bostroma sur «õîááèñòàõ» dans son article «les Menaces ; l'existence», o; est montr; que l';volution ;liminera ces communaut;s, qui ne d;penseront pas tous les moyens pour la survie.) En m;me temps, ces groupes des gens, qui a appris ; coop;rer, se trouvent dans la situation plus avantageuse, que la personne s;par;e refusant la coop;ration. Dans tous les cas, dans la soci;t; moderne il y a une rupture entre la planification plus proche (jusqu'aux ;lections, jusqu'au salaire, jusqu'; la compensation de l'entreprise), et la planification ; long terme, ; qui le poids des risques peu probables est grand.
       S'exprimaient aussi les consid;rations que la publicit; pour la violence semblable ; ce que nous voyons au cin;ma moderne ou dans les jeux comme Grand Theft Auto, ainsi que l';go;sme et l'h;ro;sme personnel am;ne ; l'enseignement inconscient de la population, en faisant ; ses moins capable vers la coop;ration, l'altruisme et le sacrifice, que je peux ;tre n;cessaire dans les conditions de la crise. Au contraire, les images des actes du terrorisme vindicatif âæèâëÿþòñÿ ; collectif inconscient, et t;t ou tard ;mergent de lui en forme des actes de la violence spontan;e. ; l'histoire il y avait des ;poques, quand tout l'art ;tait point; vers la formation "d'une nouvelle personne». Cela, en premier lieu, l'art chr;tien et l'art sovi;tique.
L'hostilit; dans la soci;t; comme ñöåíàðíûé le facteur
       On peut supposer que la crise aigu; am;nera ; la croissance de l'hostilit; par la Terre. Un des exemples vifs r;cents du rejaillissement de l'hostilit; dans le monde ;tait la situation qui est apparue apr;s les attentats le 11 septembre de 2001 quand plusieurs gens attendaient que "la guerre des civilisations» acceptera le caract;re de la guerre mondiale. Le rejaillissement de l'hostilit; peut faire des cons;quences les suivants :
       1. De la polarisation de la soci;t; sur de diff;rents groupes, qui d;testent l'un l'autre.
       2. La croissance de l'incandescence des ;motions n;gatives (le fond n;gatif ;motionnel) et l'augmentation du nombre de gens, pr;t ; la violence et aspirant ; cela qu'augmente le risque des attentats et les incidents avec l'arme de la d;faite massive.
       3. La perte de la confiance de tous vers tous et la destruction de la coh;rence de la structure sociale. Il faut prendre en consid;ration que la confiance est aujourd'hui une partie n;cessaire du syst;me ;conomique fond; sur le cr;dit.
       4. La croissance de la course aux armements et l'aggravation de tous les conflits inv;t;r;s.
       5. Le risque du d;but de la guerre mondiale de n'importe quelle forme.
       6. Les attentes de l'imminence du tournant des ;v;nements de mauvais vers pire que peut engendrer les proph;ties s'autor;alisant.
La vengeance comme ñöåíàðíûé le facteur
       La vengeance est la suite de l'hostilit;, mais sous la forme sup;rieure. Nous admettrons, entre deux grandes puissances il y avait une guerre nucl;aire, et une des puissances l'a perdu enti;rement – ; celle-ci ont caus; le pr;judice inacceptable, tandis que l'autre s'est d;barrass; par d'assez petites pertes. Pr;s de la partie perdant – la perte de la moiti; de la population, toutes les grandes villes, le potentiel de la d;fense. Est tr;s probable que dans ce cas la vengeance deviendra l'id;e nationale. L'exp;rience de l'histoire montre que l'on peut mettre certains peuples sur la limite de la destruction, mais ils r;pondent par les formes de plus en plus agressives et dangereuses de la r;sistance. Par exemple, ce soutien, qu'a re;u Ben Laden ; l'Afghanistan. En vertu de cela, la guerre nucl;aire ne fera pas le monde plus stable. Au contraire, elle cr;era, probablement, les contradictions tellement irr;sistibles que le monde sera encore plus dangereux. La partie perdant, probablement, ne refusera pas d'appliquer n'importe quelle voiture du dies irae, parce qu'aux gens qui ont perdu les familles la patrie, on n'a rien ; perdre.
       La partie vainquant doit dans ce cas se d;cider ou ; la destruction totale, ou sur l'occupation. Les pays modernes de la civilisation occidentale ne peuvent pas se d;cider au g;nocide, parce que dans ce cas il leur faut perdre l'identit; civilisable. Le r;gime de l'occupation aussi travaille mal, parce que peut se transformer en guerre sans cesse. Technologiquement, bien qu'il est fantastique, l'id;e de l'occupation avec l'aide des robots que, cependant, ;quivalentement la transformation du pays vaincu ; ;lectronique le camp de concentration a l'air.
       Je marquerai que maintenant nous nous trouvons au seuil d'absolument n'importe quelles possibilit;s du futur. Cela permet ïðèìèðÿòüñÿ aux gens avec de tr;s diff;rents tableaux du futur. Cependant ; quelque moment sera ïðîéäåí le moment de l'irr;versibilit; : quelques variantes du futur acquerront les lignes plus pr;cises, mais quelques deviendront impossibles. Il faut reconna;tre ; quelqu'un que les douches est absentes, et qu'ÈÈ est possible, ou au contraire. C'est gros des conflits pour le tableau du futur. Pour le pouvoir sur le futur.
La guerre comme ñöåíàðíûé le facteur
       Les guerres ;taient toute l'histoire de l'humanit;. Elle-m;me la guerre ordinaire entre les gens ne peut pas amener ; la disparition humaine, puisque restent toujours les vainqueurs survivant. Selon Êëàóçåâèöó, les guerres de deux types arrivent : sur l'acquisition de la concession, et sur la conqu;te/destruction totale. Il est clair que les guerres du deuxi;me type, quand une des parties traquent, sont beaucoup plus dangereux pour l'existence humaine, puisque r;unissent les conditions pour l'application de l'arme du "dies irae" ; titre de la derni;re mesure.
       De plus sous la guerre nous avons en vue la collision classique arm;e de deux pays peupl;s les gens. La lutte arm;e des gens et les robots, les gens et les supergens, deux ÈÈ entre elle-m;me ou les gens avec le virus dangereux ne sera pas la guerre classique. Mais une telle guerre peut signifier le g;nocide des gens, ; la diff;rence de la guerre ordinaire, qui n'est pas point;e vers la destruction de tous les gens.
       En outre les guerres se distinguent par l';chelle, et parmi eux les plus grand sont les guerres, sous la forme ;vidente ou implicite ayant un des buts l';tablissement de l'h;g;monie mondiale. De plus la notion sur celui-l;, qu'est-ce que c'est le "monde" s';largit sans arr;t. Je crois que n'importe quelle guerre mondiale est la guerre pour l'h;g;monie mondiale que l'on peut autrement appeler «comme la guerre pour le groupement de la plan;te», et a pour but d';tablir le r;gime ;ternel universel. La deuxi;me guerre mondiale, la guerre Froide et soi-disant «la lutte avec le Califat», sur la possibilit; par qui parlaient apr;s les attentats le 11 septembre, conviennent dans une grande mesure sous cette d;finition. Plus tard une telle guerre se passera, ses participants seront plus forts et les cons;quences est plus mauvaises. Probablement, notre plan;te n'avait pas de chance fortement dans ce qu'elle ne s'est pas unie ; l';tat commun omniplan;taire ; la fois apr;s la deuxi;me guerre mondiale.
       Nous examinerons par point, comme la guerre peut augmenter la probabilit; de la disparition humaine. (De plus nous supposons que plus la guerre, il est plus grand la probabilit; de chacun de ces issues, mais m;me une petite guerre cr;e leur probabilit; non nulle) :
       1) la Guerre peut cr;er les conditions pour l'application de l'arme du "dies irae". Ainsi qu'amener ; l'application incontr;lable de l'arme nucl;aire.
       2) la Guerre peut provoquer la guerre encore plus gradu;e.
       3) la Guerre peut provoquer la crise ;conomique. Avant la guerre aidaient ; lutter avec les crises de surproduction, mais c';tait exactement pour un vieux monde, dans qui il n'y avait pas arrangement ; l'amiable de la coop;ration industrielle et les finances globales.
       4) N'importe quelle guerre intensifie la course aux armements, en entra;nant ; elle et les pays ne participant pas au conflit. De plus n'importe quelle course aux armements est li;e au progr;s de plus en plus autonome de la personne des installations technologiques et les technologies de plus en plus mortelles. La course aux armements peut aussi amener ; la r;duction des crit;res de la s;curit; pour áîëüøåé de l'efficacit; dans les conditions du manque catastrophique du temps.
       5) la Guerre peut devenir l';v;nement de d;tente pour íåêîåé les cha;nes des ;v;nements conduisant ; la crise.
       6) la Guerre cr;er les conditions favorables pour de grands actes de sabotage et êðèïòîâîéí.
       7) Au cours de la guerre peuvent augmenter les risques des accidents globaux comme la fuite, par exemple, en cas de la destruction des d;p;ts et les laboratoires selon la production de l'arme biologique, ainsi que pour le compte de la r;duction des normes de la s;curit; aux ;laborations pr;cipit;es.
       8) la Guerre augmente la quantit; des gens ;prouvant les sentiments du d;sespoir et j'ai soif balayer, et, donc, augmente la probabilit; de la cr;ation et l'application de l'arme du "dies irae".
       9) la Guerre bloque les efforts communs organis;s selon la pr;vention et la liquidation des cons;quences des accidents de type diff;rent.
       10) la Guerre peut amener ; ce que les objectifs ; court terme dans la planification d';tat couvrent ni bien ni mal - et les perspectives ; long terme. En d'autres termes, au cours de la guerre on peut oublier de l'aspect les menaces globales, qui ne sont pas li;es ; la guerre, ou les cons;quences ; long terme des actions, qui sont n;cessaires ; la survie aujourd'hui.
       11) la Guerre peut contribuer au d;veloppement des r;seaux multinationaux terroristes.
       12) la Guerre am;ne ; la scission de la soci;t; sur «rouge et blanc» m;me dans les pays ne participant pas que peut engendrer l'effet de l'autoreproduction de la guerre. Par exemple, dans le XX si;cle dans plusieurs pays il y avait des partis communistes, qui commen;aient dans nombre de cas la lutte arm;e.
       13) la Guerre peut amener ; l';chec de l';conomie mondiale et le passage du monde au stade "postapocalyptique". Cela peut se passer, m;me si la guerre ne sera pas nucl;aire. Mais pour cela elle doit ;tre universelle. La guerre de r;seau terroriste est plus encline pour ;tre universel. Dans la guerre de r;seau il n'y aura pas territoires de l'arri;re.
       14) la Guerre contient l';l;ment beaucoup plus grand de l'impr;visibilit;, que la politique en temps de paix. La guerre sert aussi de l'acc;l;rateur du rythme du temps historique, et particuli;rement le rythme du progr;s technologique. Puisqu'une s;rie de pronostics nous parle sur l'acc;l;ration imminente du progr;s dans un premier tiers de XXI si;cle (Technologique ñèíãóëÿðíîñòü), on peut lier cela ; la possibilit; de la guerre. Cependant le progr;s est possible seulement ; l'int;grit; dans la s;curit; des territoires de l'arri;re, y compris des actes de sabotage. Donc, la guerre universelle d;vastant, nucl;aire ou de r;seau, am;nera au contraire ; l'arr;t ou le recul en arri;re le progr;s technique.
       15) la guerre Moderne ne se passe pas de tentatives d'acqu;rir l'arme de la d;faite massive (ou quand m;me les soup;ons et les discussions ; ce sujet) le faible ou couper cela du c;t; de la forte. C'est pourquoi m;me un petit conflit local contribuera ; la croissance du trafic dangereux nucl;aire et áèî par les documents et la formation des r;seaux internationaux selon leur production et la diffusion.
       La conclusion principale est que m;me la plus petite guerre poss;de le plus puissant le potentiel dans le renforcement des risques globaux.
       
La d;gradation de la biosph;re
       ; la diff;rence de la personne, animal et le r;gne v;g;tal ne peut pas partir aux bunkers eux-m;mes. En cas de l'endommagement irr;versible des syst;mes biologiques par la Terre, et particuli;rement les milieux de vie, les gens ne pourront jamais revenir d;j; sur le niveau pr;historique de l'existence. (Si, certes, ils ne se serviront pas des supertechnologies biologiques.) la chasse ordinaires et l'agriculture deviendront impossibles – il y aura seulement une cultivation de tous les produits n;cessaires dans les b;ches herm;tiques. Et si on peut restaurer les animaux disparaissant, ayant produit simplement «de chaque cr;ature ; la vapeur», aussi simplement restaurer le sol et l'air on ne r;ussira pas. Et bien que l'oxyg;ne accumul; dans l'atmosph;re, suffise encore sur les mill;naires de la combustion du combustible, utilisera le gaz carbonique en cas de la destruction de la biosph;re plus ; qui qu'intensifiera les chances de l';l;vation de la temp;rature irr;versible globale.
       De dit on peut faire la conclusion que l'on endommage plus fortement le milieu de vie, plus haut niveau minimal technologique, sur qui peut survivre l'humanit;.
La d;sinfection globale
       La diffusion des formes dangereuses biologiques peut amener ; la contamination compl;te par ceux-ci les biosph;res. Dans ce cas telles variantes sont possibles :
       Aux Gens il faut se cacher dans les refuges prot;g;s isol;s. Cependant restera toujours la menace de l'enneigement des agents dangereux biologiques en dehors.
       La lutte Biologique avec les agents dangereux : la dispersion des antibiotiques, les antivirus.
       La Cr;ation du syst;me artificiel r;fractaire de toute la Terre. Mais c'est possible seulement apr;s le "ratissage" pr;alable et est associ; avec les nouvelles menaces li;es au risque "des r;actions autor;fractaires».
       La st;rilisation Totale de la nature vivante. Dans ce cas aux gens il faut enti;rement supprimer la nature vivante pour qu'avec elle supprimer les organismes dangereux enracin;s dans elle. Cela signifie que les gens ne pourront plus rebrousser chemin, vers le mode de vie naturel. Cependant apr;s la st;rilisation probablement peuplement r;it;r; de la Terre par les essentiels vivants des "zoos". Le moment lui-m;me de la st;rilisation globale est dangereux pour l'humanit;, puisque sous-entend le d;gagement universel, tuant tout vivant l'agent, par exemple, l'agent radioactif ou l'irradiation.
La gestion "faisant balancer"
       L'effet est d;couvert par le pionnier de la cybern;tique le fond Íåéìàíîì. Il se manifeste dans le tremblement des mains des malades ïàðêèíñîíèçìîì, dans la gestion des avions et le tir d'artillerie. Son essentiel est que le syst;me dirigeant re;oit l'information sur l';tat du param;tre dirig; avec le retard, et finalement l'influence dirigeant n'est pas soustraite du param;tre, mais se forme avec lui, en amenant ; tout aux grandes h;sitations. En ce qui concerne les risques globaux et les nouvelles technologies cela peut se manifester dans ce que la compr;hension de l'essentiel de ces principalement nouveaux proc;s restera en arri;re sur le d;veloppement du probl;me, en vertu de quoi les tentatives permettront le probl;me seulement de l'intensifier.
Le risque contr;l; et incontr;lable global. Les probl;mes de la compr;hension du risque global
       Notre connaissance influence diff;remment la probabilit; des diff;rents risques. On peut mettre en relief, «les risques dangereux», c'est-;-dire ceux-l;, ; qui nous pour n'importe quelles raisons ne pouvons pas nous pr;parer, – ; la diff;rence des risques, ; qui nous pouvons nous pr;parer assez facilement et vite. La pr;paration du risque comprend les conditions suivantes :
       1. Nous connaissons d'avance que l';v;nement n'a personne de la g;n;ration il peut arriver, nous croyons ; cette information et nous prenons la d;cision de pr;parer certaines mesures pr;ventives contre lui. Nous pouvons assez exactement calculer la probabilit; de cet ;v;nement ; n'importe quel moment du temps. (L'exemple d'un tel risque est la menace ast;ro;dale.)
       2. Nous avons de certains pr;curseurs, qui indiquent, quand et de quelle partie il y avoir appara;tre un risque.
       3. Au moment de l'apparition du risque, nous l'identifions correctement et nous prenons ; temps les d;cisions justes de la pr;vention, les ;vacuations et les minimisations du pr;judice. Nous avons le temps d'amener ces d;cisions ; la vie au temps juste.
       4. Dans la mesure du d;veloppement de la situation, nous ; chaque moment du temps avons un mod;le exact du d;veloppement de la situation, et nous avons le temps de la tromper sur le compte et analyser il est plus rapide, qu'entre une nouvelle information.
       5. Nous poss;dons une telle quantit; de ressources, qui permet de minimiser la probabilit; du risque donn; avec n'importe quel degr; donn; de l'exactitude. Ou le r;duire ; l';v;nement avec un petit pr;judice d'avance donn;.
       Autrement dit, le risque contr;l; – ce risque, que nous pouvons diriger, en le faisant est arbitraire par le petit.
       D'autre part, on peut d;crire les conditions de l'apparition du risque incontr;lable :
       1. Nous n'avons pas les moindres repr;sentations sur ce que l';v;nement d'une telle classe peut arriver en g;n;ral. Nous n;gligeons toutes les pr;ventions de ce que cela probablement et nous n'entreprenons pas aucunes actions de la pr;paration et la pr;vention. Nous croyons la probabilit; de cet ;v;nement íåâû÷èñëèìîé, mais "donc", nul.
       2. Cet ;v;nement est arrang; ainsi qu'il n'a pas aucuns pr;curseurs, ou ils nous sont inconnus.
       3. L';v;nement commence si vite que nous n'avons pas le temps de l'identifier. Ou nous l'acceptons erron;ment pour quelque chose d'autre. Nous prenons les d;cisions incorrectes de sa pr;vention. Ou juste, mais trop tard. Il est impossible minimiser le pr;judice de cet ;v;nement. La marche de l';v;nement emp;che l'acceptation, la diffusion et l'ex;cution des d;cisions justes. Les d;cisions justes n'entrent pas chez les interpr;tes ou sont accomplis incorrectement. Il est possible que des d;cisions est accept; beaucoup, et arrive le chaos. Certaines nos d;cisions aggravent la situation ou sont sa raison.
       4. Nous n'avons pas de mod;le de la situation se passant, ou nous avons un mod;le faux ou quelques mod;les mutuellement exclusifs. Nous n'avons pas le temps d'analyser l'information entrant, ou elle nous embrouille encore plus.
       5. Il ne suffit pas nos ressources pour diminuer consid;rablement le risque donn;, m;me si nous tendrons toutes les forces. Nous nous trouvons sous l'influence des ;v;nements enti;rement non d;pendants de notre volont;.
       Le mod;le expos; de l'apparition du risque incontr;lable peut ;tre un non mauvais portrait de l'accident global non du point de vue de ses facteurs physiques, mais, comment elle influence la conscience les d;cisions prenant des gens. Notre exposition successive et claire du sujet peut cr;er l'illusion de la possibilit; de la compr;hension rapide du danger du proc;s si les gens comprennent que notamment il et se passe. Par exemple, selon CNN annonceront : «A commenc; la multiplication non limit;e íàíîðîáîòîâ. Nos h;ro;que ðàêåò÷èêè st;rilisent la r;gion dangereuse pour les coups nucl;aires». Mais ainsi, probablement, ne sera pas. L'exp;rience des divers accidents montre que le plus lourd les accidents se passent alors, quand les pilotes ou les op;rateurs se trouvent sur l';quipement bon, mais ne comprennent pas cat;goriquement ce que se passe – c'est-;-dire cr;ent le mod;le faux de la situation et, ; partir d'elle, agissent. Ici ne pas se passer de quelques exemples :
       Les pilotes d;j; le Boeing ;tant mentionn; qui sont parti du P;rou (1996, le vol 603), ont vu que l'ordinateur donne les donn;es contradictoires. Ils sont arriv;s ; la conclusion que l'ordinateur n'est pas bon, et ont cess; de compter sur ses signaux, m;me quand il a donn; le signal de la proximit; dangereuse pour la terre et l'avion a produit les roues. Finalement l'avion tombait dans la mer. La raison valable de l'avarie ;tait dans ce que le d;tecteur de la vitesse ont coll; ñêîò÷åì par la terre; l'ordinateur ;tait bon. Si "Titanic" s'est heurt; ; l'iceberg strictement au front, et non selon la tangente, le navire, comme croient, n'a pas coul;.
       Dans les situations critiques aux gens il est tr;s difficile de prendre les d;cisions, puisque :
       * L'esprit de critique de ceux-ci la situation pour eux íåî÷åâèäíî;
       * Les situations semblables n'arrivaient pas dans leur praticien;
       * Les gens se trouvent sous l'influence du stress (les ;motions, les peurs, le manque du temps) et sous l'influence des pr;jug;s;
       * Disposent seulement incomplet, incorrecte et âåðîÿòíîñòíîé de l'information, sans algorithmes exacts de son traitement;
       * Comprennent ce qu'est dit dans les instructions, autrement, que les auteurs des instructions.
       L'exp;rience de l'enqu;te des crimes complexes et de grandes avaries montre que la compr;hension ad;quate de la situation demande les mois de l';tude soigneuse. N;anmoins, restent toujours les vagues, il y a des doutes et les versions alternatives. En cas de l'accident global, probablement, personne n'apprend jamais, que notamment elle ;tait provoqu;e. Presque ; 80 % des cas de l'avarie sont li;s au facteur humain, dans la moiti; des cas les paroles vont non simplement sur l'erreur (le bouton par hasard appuy;), mais sur le mod;le erron; de la situation. Cela signifie que les futurs syst;mes de la gestion globale peuvent perdre la plan;te enti;rement "bonne", ayant commenc; ; se d;fendre d'on n'a personne du risque inexistant ou incorrectement compris. Et les chances de cela sont aussi grandes, comme l'accident ordinaire.
       Est plus incompr;hensible les nouvelles technologies, moins ils c;dent au contr;le public. Les gens peuvent participer aux proc;s dangereux et les op;rations, ne comprenant pas du tout leur nature. S Ëåì cite l'exemple du futur possible dans le livre «la Somme des technologies», o; ÈÈ est utilis; ; titre du conseiller du gouvernement de l'Etat. Certainement, tous les conseils de cela ÈÈ, qui semblent nuisibles, s';cartent par le conseil de surveillance. Cependant personne n'a rejet; le conseil du changement de la constitution chimique de la p;te dentifrice. N;anmoins, ce changement a amen; apr;s beaucoup d'ann;es et finalement des liens complexes interm;diaires prichinno-d'instruction ; la r;duction de la natalit; que correspondait au but de la pr;servation de la balance des ressources naturelles, mis devant ceux-ci ÈÈ. Celui-ci ÈÈ n'aspirait pas ; nuire par quelque image aux gens. Il trouvait simplement le maximum de la fonction de but selon plusieurs variables.
       Äðåêñëåð d;crit ainsi ce risque : «Certains auteurs examinent l'arriv;e des technocrates rendus clandestins vers le pouvoir dans le monde pratiquement in;vitable. Dans" la Cr;ation des aspects alternatifs du futur "Õåéçåë Õåíäåðñîí prouve que les technologies complexes" deviennent au fond totalitaire ", parce que ni les ;lecteurs, ni les l;gislateurs ne peuvent pas les comprendre. Dans" la visite R;it;r;e de la future humanit; "Õàððèñîí Áðàóí affirme aussi que la tentation contourner les proc;s d;mocratiques dans la d;cision des crises complexes apporte le danger," que si la civilisation industrielle survivra, elle deviendra de plus en plus totalitaire selon la nature. "Si ce serait ainsi, probablement cela signifierait la condamnation : nous ne pouvons pas arr;ter la course des technologies, mais le monde des ;tats totalitaires fond; sur la technologie parfaite, n'ayant pas besoin ni dans les travailleurs, ni dans les soldats, pourrait tout ; fait se d;livrer de áîëüøåé les parties de la population» 234.
Les mod;les totaux de la conduite des syst;mes ; la fronti;re de la stabilit;
       G.G.Malinetskim on d;couvre les signes totaux de la conduite des courbes d;crivant la conduite de divers syst;mes devant êàòàñòðîôîé235. Ils consistent en ce qu'un certain param;tre grandit vite, pendant que la vitesse de ses h;sitations autour des moyennes augmente. On peut expliquer cela ainsi : ; mesure que le syst;me devient critique, les d;faillances s;par;es dans elle se trouvent tout plus pr;s l'un ; l'autre, et entre eux il y a de plus en plus souvent ; appara;tre des cha;nes du lien, de petites avalanches. Finalement les param;tres du syst;me commencent ; "se tordre". Cependant l'inertie de l'hom;ostasie du syst;me est encore assez forte pour la retenir ; optimum les param;tres. La r;alisation diff;rent ñöåíàðíûõ des facteurs multiplie l'apparition tout des nouvelles et nouvelles technologies et êèðïè÷èêîâ, qui former se former le proc;s dangereux, et en outre augmente non de ligne, mais dans le degr; proportionnel ; la longueur de la cha;ne dangereuse.
       ; partir de cela, on peut supposer que l'augmentation du nombre non li; l'un avec l'autre les accidents et les proc;s dangereux deviendra le signe de l'approche de l'accident global, chacun de qui s'ach;vera assez avec succ;s. (; vrai dire, cela pas du tout le signe obligatoire : l'accident peut arriver et tout ; fait soudain; en outre il y a un tel signe, comme «l'accalmie devant la temp;te», confirm; sur l'exemple des tremblements de terre, quand le syst;me cesse de donner les d;faillances pendant un brusquement grand temps. D'ailleurs, "l'accalmie" elle-m;me est aussi le saut du param;tre. Les courses peuvent ;tre non seulement ; l';cart de l'aggravation, mais aussi ; l';cart de l'am;lioration soudaine. Ainsi, parfois les malades se sentent mieux devant la mort, mais le march; de fonds grandit devant la r;cession.) Dans l';conomie un des signes de la r;cession ; venir est la contradiction des param;tres qu'indique que le syst;me sort de normal et le pr;pr;dicat du mode. Et il est possible que le syst;me est sorti de l';tat dirig;, mais se trouve encore dans la limite des param;tres – ainsi l'avion, d;sempar;, un encore certain temps volera dans le couloir a;rien.
       L';tat de l'impr;visibilit; et la variabilit;, pr;c;dant l'accident, et, en particulier, manifestant dans les courses des param;tres, est l';tat s'accroissant du chaos (c'est-;-dire l';tat supercomplexe multiparam;trique), dans qui les circonstances s;par;es peuvent d;finir son issue. L'apparition d'un tel ;tat dans le monde serait le signal dangereux, cependant encore je ne le vois pas. On peut appeler comme l'exemple historique d'un tel ;tat la croissance rude des avaries naturelles et technog;nes avant la d;sagr;gation de l'URSS (×åðíîáûëü, «Íàõèìîâ», Ñïèòàê, l'explosion du gaz avec deux trains), qui puis s'est r;pandu et aux manifestations sociales (Êàðàáàõ, Soumga;t, la vall;e De Fergana).
La loi òåõíîãóìàíèòàðíîãî de la balance
       Comme marque A.P.Nazaretjan236, aux gens il est naturel graduellement d'arranger la conduite sociale vers le fait de l'existence des nouveaux types d'arme. Quand les carabines se sont trouv;es dans les mains des Khmers de montagnes, ils ont tu; ont disparu l'un l'autre et pratiquement, mais en Suisse chaque maison a un fusil militaire, mais ses applications ill;gales sont extr;mement rares (mais il arrive – la fusillade du parlement local ; Öóãå en 2001). La loi òåõíîãóìàíèòàðíîãî de la balance est que la soci;t; t;t ou tard atteint les ;quilibres entre les technologies accessibles et les habitudes de la gestion s;re par ceux-ci. On Veut esp;rer, les gens ont atteint l';quilibre avec l'arme atomique et chimique, qui est, mais ne seront pas appliqu;s. D'autre part, l'arme cr;;e par les nouvelles technologies, doit passer la p;riode «ïðèòèðêè», avant que et en ce qui concerne lui s';tablisse cet ;quilibre.
Les sch;mas des sc;narios
       Bien que nous ne puissions pas cr;er le sc;nario concret de l'accident global en raison de ce que beaucoup de variantes sont possibles, mais nos connaissances sont limit;es, nous pouvons nous servir de l'aide des sc;narios du deuxi;me ordre, qui d;crivent les r;gularit;s totales de, comment sont joints l'un avec l'autre ñöåíàðíûå les facteurs. L'exemple d'un tel sc;nario du deuxi;me ordre est «l'opposition de l';p;e et l';cran». Ou la marche totale du parti d';checs – du d;but vers la fin de partie. Par exemple, l'arrimage suivant des sc;narios est possible : le Manque des ressources – la guerre – les nouvelles technologies – les r;sultats inattendus – la diffusion des technologies.
       L'exemple du travail de ce sch;ma est la guerre du Japon et les ;tats-Unis au cours de la Deuxi;me guerre mondiale. Le Japon a commenc; la guerre, dans une grande mesure pour prendre les champs p;trolif;res ; Èíäîíåçèè237, (qu';tait impossible sans guerre avec les ;tats-Unis et la Grande-Bretagne), puisque n'avait pas les sources du combustible liquide fossile. La guerre a caus; aux parties le pr;judice beaucoup plus grand, que le fait lui-m;me du manque du combustible. Cependant le facteur encore plus essentiel du point de vue des risques ;tait ce que la guerre a acc;l;r; cat;goriquement la course aux armements dans les deux pays. Et bien que les Japonais s'avancent consid;rablement dans la cr;ation et l'essai des puces contamin;es par la peste, le succ;s ;tait atteint par les Am;ricains avec la bombe atomique. La bombe atomique a cr;; le risque beaucoup plus grand des victimes beaucoup plus grandes, que la Deuxi;me guerre mondiale elle-m;me a apport;.
       La possibilit; de la cr;ation de la bombe ; hydrog;ne et la superbombe particuli;rement de cobalt polluant les continents entiers est devenue le r;sultat inattendu des bombes atomiques. C'est-;-dire la technologie a donn; beaucoup plus, qu'il lui fallait au d;but. (La situation Semblable est apparue et au cours du d;veloppement des technologies de fus;e et informatiques, apr;s que les difficult;s initiales ;taient surmont;es, de sorte que c'est le bilan tout ; fait r;gulier.) enfin, tout ; fait r;gulier c'a l'air que l'arme atomique graduellement, mais a commenc; ; se r;pandre irr;sistiblement selon la plan;te. Encore un bilan r;gulier ;tait ce que l'arme nucl;aire est devenue êîíâåðãèðîâàòüñÿ avec d'autres technologies avanc;es du temps – de fus;e et par les technologies informatiques, ayant engendr; les fus;es intercontinentales.
Le degr; de la motivation et la comp;tence des personnes prenant les d;cisions, comme les facteurs du risque global
       Comme souligne justement A.Kononov, la t;che íåóíè÷òîæèìîñòè doit s';tre rendue compte ; titre de n'importe quelle civilisation l'essentielle, qui existe dans de mani;re catastrophique univers instable. Ainsi que chez chaque personne au niveau de base l'instinct de conservation agit. Plus la compr;hension de l'importance de la pr;servation de la civilisation ; tous ses niveaux, de l'ing;nieur ; r;gent, est plus grande que les chances chez elle survivre. (Bien que le sc;nario, quand l'aspiration ; la survie am;nera ; la lutte d'uns groupes avec les autres ou la lutte des sauveteurs est possible.)
       En cons;quence, comment grandit îñîçíàííîñòü et la motivation de la civilisation dans celui-l;, quant ; sa conservation, est le facteur le plus puissant de sa survie. Dans la deuxi;me partie j'examine la liste des facteurs, selon qui les gens peuvent incorrectement estimer la probabilit; des accidents globaux (le plus souvent ; l';cart de la minimisation). Ce Cependant est pas moins important que, (comme en cela il il est difficile de confier), les gens peuvent ne pas aspirer ; la pr;vention des accidents globaux. Ou, nous dirons plus prudemment, il ne suffit pas d'aspirer. Par exemple, R.Reagan trouvait acceptable augmenter le risque des guerres nucl;aires pour atteindre la victoire dans la guerre froide des URSSs. Cela signifie que le but de la survie de la civilisation humaine ;tait pour lui non primordial. On peut tout ; fait expliquer cela ; la psychologie ;volutionniste, puisque l'alpha-m;le atteint du statut du meneur de la vol;e, en manifestant la volont; de risquer la vie dans les combats avec d'autres alpha-m;les, et ce mod;le de la conduite est fix; g;n;tiquement, puisque les m;les vainquant ont plus d' enfants, que chez les perdus dans le proc;s la lutte pour la place du meneur.
       Donc, la capacit; de la civilisation de la survie dans la sph;re consid;rable est d;finie par deux facteurs – premi;rement, le degr; de sa comp;tence sur de divers risques globaux, et, deuxi;mement, le degr; de sa motivation dans la pr;vention de ces risques. De plus les deux facteurs sont ;troitement li;s, puisqu'une grande motivation conduit ; plus d'examens m;ticuleux, mais d'importantes ;tudes jetant une lumi;re sur les nouveaux risques, peuvent intensifier la motivation. Quand m;me l'influence de la motivation semble plus primaire. Bien que th;oriquement tous soient soutenus par la pr;vention des risques globaux, pratiquement ce but se trouve ; la derni;re place qu'est visible d'apr;s le nombre les publications selon le sujet et le financement des ;tudes. (Demandez au gouvernement – s'il est pr;t mettre les ressources dans la technologie, qui donnera la r;duction des risques globaux de 1 pour-cent dans 100 ans. N;anmoins cela ;quivalentement l'accord pour la disparition de l'humanit; dans 10 000 ans. Probablement, il y a un certain m;canisme biologique, ; la force de qui la pr;servation de la vie des enfants et les petits-fils consid;rablement, mais il est absolument peu important ; la vie des pra-pra-pra-arri;re-petits-fils–.)
       Nous pouvons tenter de prendre en consid;ration ces deux facteurs comme certains coefficients de leur signification maxima. Si supposer ; titre du degr; maximum de la motivation de l'effort du pays dans la guerre, mais ; titre de la mesure de la motivation r;elle – la part du financement des personnes et les organisations aux ;tats-Unis s'occupant de la pr;vention des risques globaux de l'entier (de l'ordre de 10 millions de dollars par an dans le meilleur cas en 2007; de plus nous n'examinons pas óçêîñïåöèàëèçèðîâàííûé les programme, qui sont financ;s mieux, puisqu'ils ne supposent pas la protection int;gre prenant en consid;ration tout l'ensemble des corr;lations en rapport avec les risques globaux, par exemple, le programme antiast;ro;dal) – cela la diff;rence fait pr;s de 100 000 (en supposant que les ;tats-Unis pourraient d;penser pour la guerre pr;s de 1 trillion des dollars). De plus, cependant, la situation s'am;liore consid;rablement – si en 2000 il n'y avait pas aucune personne s'occupant de l';tude et la pr;vention des risques globaux ; la base constamment pay;e, maintenant telles fonctions sont aux ;tats-Unis et la Grande-Bretagne. Quand m;me, malgr; le fait que la situation s'am;liore, elle a l'air monstrueusement lanc;.
       Il fallait mesurer la comp;tence comme la part de la comp;tence compl;te, quel pourrait ;tre seulement chez íåêîåé de la civilisation id;ale. Sous la comp;tence j'ai en vue la pr;sence de la description universellement admise, strictement prouv;e et largement connue du probl;me des risques globaux. C'est pourquoi, m;me si ce livre contiendrait une telle description, en tout cas elle n'assurerait pas la comp;tence compl;te, puisqu'il est ;vident que la majorit; ;crasante des gens ne la lisaient pas, mais la plupart de ceux qui lisaient, n'importe quelles objections ont. Donc, si nous disons que notre comp;tence fait le milli;me de la comp;tence au maximum possible, ce sera l'estimation tr;s optimiste. De plus j'ai en vue la comp;tence au maximum accessible rationnelle, et non la comp;tence absolue du mage, qui pr;voit le futur.
       M;me la motivation maxima et la comp;tence absolue ne donnent pas les chances absolues de la survie, puisque les accidents li;s avec íåîáîðèìûìè par les forces naturelles ou les proc;s impr;visibles dans l'esprit de la th;orie du chaos sont possibles. La comp;tence et la motivation ne permet pas aux gens de vivre ;ternellement. On pourrait estimer la viabilit; totale de la civilisation comme l'oeuvre de la comp;tence sur la motivation, mais en cas de la civilisation terrestre nous recevrions f;cheux un de milliard d'au maximum possible. Il Reste ; esp;rer qu'; l'apparition ; l'horizon certaines forces majeures, la motivation peut vite augmenter.
       Donc, nous devons examiner n'importe quels ;v;nements influen;ant la motivation et la connaissance selon les risques globaux, comme sur les facteurs des risques globaux de la deuxi;me g;n;ration.
       Les facteurs augmentant la motivation :
       1) de Grands accidents de n'importe quelle g;n;ration.
       2) les Publications influen;ant l'opinion publique.
       Les facteurs affaiblissant la motivation :
       1) de Longues p;riodes du repos et la prosp;rit;.
       2) les Publications calmant les gens.
       3) les pronostics Erron;s non r;alis;s.
       Les facteurs influen;ant la comp;tence :
       1) la Quantit; des gens participant ; la discussion au sujet donn;, et leurs qualit;s professionnelles.
       2) la Dur;e de l'histoire de la discussion et la transparence d'information.
       3) la Mise au point de la m;thodologie.
       4) la Motivation dans le d;veloppement de la comp;tence.
       Les facteurs r;duisant la comp;tence :
       1) les Destructions des savants ou la rupture de la tradition en cas d'un certain accident du moyen poids.
       2) les Diffusions des erreurs et/ou la scission id;ologique.
       De dit on peut faire la conclusion que notre ignorance et le caract;re immotiv; dans la pr;vention des accidents globaux peut ;tre le facteur beaucoup plus s;rieux, que les risques cr;;s par n'importe quelle source physique du risque.

Le chapitre 22. Les facteurs influen;ant la vitesse du progr;s
Les risques globaux de la troisi;me g;n;ration
       Nous appellerons comme les risques globaux de la troisi;me g;n;ration n'importe quels ;v;nements, qui ralentissent ou acc;l;rent la marche, ou changent l'ordre du d;veloppement des supertechnologies par la Terre, et en vertu de cela donnent indirect, mais l'influence d;cisive sur les sc;narios possibles des accidents globaux.
       On peut d;couvrir les corr;lations suivantes entre les accidents et les ;v;nements des diff;rentes ;chelles et leur influence sur le d;veloppement et l'ordre successif des technologies.
       1. N'importe quelle grande avarie ou l'accident peut ralentir le d;veloppement des technologies. Par exemple, la crise ;conomique, c'est-;-dire l'accident ;conomique, am;nera ; l'arr;t des travaux sur les acc;l;rateurs que diminuera les chances de la cr;ation "du trou noir», puisque les acc;l;rateurs sont des extr;mement chers projets de plusieurs milliards. Et s'est pass; avec les acc;l;rateurs russes apr;s la d;sagr;gation de l'URSS. Diminuera la mise en relief de l'argent sur bio-et ÈÈ les ;tudes, mais cela les abordera dans un plus petit degr;, puisqu'ils peuvent ;tre financ;s en particulier et beaucoup meilleur march;.
       2. ;norme, mais l'accident non d;finitif arr;tera presque toutes les ;tudes, m;me si une certaine quantit; de gens survivra.
       3. N'importe quelle avarie du moyen poids am;nera ; l'augmentation des mesures de s;curit; et la r;duction des projets du domaine. Par exemple, l'avarie De Tchernobyl a amen; ; la croissance des mesures de s;curit; sur les r;acteurs, ainsi que vers le refus universel de la construction des nouveaux r;acteurs.
       4. Le conflit militaire am;nera ; la course aux armements et la croissance du nombre des ;tudes. Les directions des ;tudes perspectives sortiront avec le compte de l'opinion de certains sp;cialistes cl;s. Par exemple, dans la F;d;ration de Russie le programme dans le domaine des nanotechnologies maintenant prenait le d;part. De cela ne s'est pas pass;, si ceux qui prennent les d;cisions et leurs conseillers, n'entendaient jamais sur les nanotechnologies. Le programme nucl;aire des ;tats-Unis ne commencerait pas, si la lettre non connue d'Einstein au pr;sident F.Ruzvel'tu. D'autre part, universel ÈÈ comme l'arme absolue est contourn; maintenant par l'attention des pouvoirs (autant c'est connu). Cependant, ;ternellement cela ne se prolongera pas. D;s que les pouvoirs comprendront que les laboratoires priv;s cr;ant forts ÈÈ, probablement, poss;dent les forces pour la r;volte globale – ils s'en empareront. En cons;quence, ayant entendu dire que dans un pays du pouvoir ont mis; sur puissant ÈÈ, et d'autres pays peuvent si entrer; les organisations s;par;es et les firmes importantes peuvent aussi commencer l';laboration des projets. Cependant la destruction de la coh;rence d'information peut rejeter toute la science sur ÈÈ en arri;re.
       5. L'invention elle-m;me non tr;s fort ÈÈ permettra rudement d'acc;l;rer le progr;s dans d'autres domaines. En outre n'importe quelles ouvertures importantes peuvent changer la balance des forces.
       Donc, certains ;v;nements peuvent ou fortement r;duire le niveau des ;tudes dans le monde, en vertu de quoi, par exemple, les projets plus bon march; recevront l'avantage devant cher, ou rudement acc;l;rer les ;tudes. Au contraire, la destruction de la coh;rence d'information arr;tera les projets bon march; s'appuyant sur l'information accessible d'Internet, et n'arr;tera pas les chers projets r;alisant l'information pr;te, par exemple, la cr;ation de la superbombe de cobalt.
La loi Ìóðà
       La loi Ìóðà s'appelle dans le sens restreint du mot la croissance exponentielle du nombre des transistors sur ÷èïå. Au sens large du terme sous lui est en vue le renforcement exponentiel des diff;rentes technologies avec le temps. Le futur de la loi Ìóðà – si lui travaillera ; la longueur de tout le XXI si;cle ou son action cessera ; quelque moment, – peut consid;rablement influencer l'histoire de la soci;t; humaine dans le XXI si;cle et ses risques.
       En fait, l'acc;l;ration, qui d;crit la loi Ìóðà, est non exponentielle, mais plus plus vite grandissant (ãèïåðáîëè÷åñêè). Cette question ;tait ;tudi;e plus d'une fois, par exemple, dans l'article Ðýÿ Êóðöâåëà «les R;sultats de la loi de l'acc;l;ration» 238. Par la confirmation de cela, c'est, premi;rement, que la vitesse du redoublement du nombre des transistors sur ÷èïå graduellement, bien que non r;guli;rement, augmente (c'est-;-dire la p;riode du redoublement est r;duite). Si extrapoler la loi Ìóðà au pass;, il aurait le point de d;part au milieu du XX si;cle, pendant que les composants des sch;mas ;lectroniques se d;veloppaient et plus t;t. Il est suppos; qu'au d;but du XX si;cle la loi Ìóðà (si l'extrapoler au progr;s des sch;mas ;lectroniques alors) avait la p;riode du redoublement de l'ordre de trois ëåò239.
       Deuxi;mement, non seulement augmente le nombre des transistors sur ÷èïå, mais aussi le nombre des ordinateurs dans le monde grandit exponentiellement. En vertu de cela la capacit; totale accessible calculatoire grandit comme de l'exposant des exposants.
       Troisi;mement, grandit la coh;rence des ordinateurs l'un avec l'autre, en les transformant en ordinateur commun. Finalement, si dans le monde vers le d;but 80 ;tait de l'ordre d'un million d'ordinateurs avec les fr;quences des processeurs de l'ordre du m;gahertz, maintenant nous avons le milliard d'ordinateurs, avec les fr;quences de l'ordre du gigacycle, li; par Internet. Cela signifie que la puissance globale calculatoire en 25 ans a augment; non seulement ; un million de fois quantitativement, mais aussi l'image incalculable qualitativement.
       Puisque la r;gularit; analogue est observ;e non seulement relativement ÷èïîâ, mais aussi les disques durs des ordinateurs, et la lecture de l'ADN et une s;rie d'autres technologies, il est clair que la loi Ìóðà est li;e non ; quelque particularit; de la production des circuits, mais avec la r;gularit; universelle dans la mise en valeur des nouvelles technologies, de qu';crit Êóðöâåë.
       On observait en temps et lieu l'analogue original de la loi Ìóðà dans le domaine de l'astronautique. Du premier compagnon ; d;barquement sur la Lune avait lieu la croissance exponentielle des succ;s, qui donnait les raisons pour les pronostics sur les vols vers les ;toiles vers le d;but du XXI si;cle. Cependant, au lieu de cela l'astronautique est sortie sur le niveau de la "saturation" et m;me sur le recul selon certaines positions. Cela s'est pass;, parce que l'astronautique grandissait exponentiellement, ne s'est pas appuy;e sur les limites naturelles, qui sont devenues les possibilit;s des fus;es chimiques (et leur prix). Bien que l'astronautique se d;veloppe, le principe du mouvement r;actif ne se d;veloppait pas. (Quand m;me le progr;s d;fini est : le prix de la mise en marche de la fus;e am;ricaine priv;e Ôàëüêîí est suppos; ; 7 millions Des dollars qu'est ;gal au co;t de quelques appartements au centre de Moscou, tandis que pour l'organisation de l'industrie de fus;e et la construction de Ba;konour on d;pensait en temps et lieu les sommes, que l'on peut estimer dans les prix modernes ; centaines de milliards de dollars,) Dans le domaine des semi-conducteurs et une s;rie d'autres technologies se passait au contraire – chaque succ;s dans leur cr;ation permettait plus vite et meilleur march; d';laborer les nouvelles versions, parce qu'il y a ici ðåêóðñèâíàÿ un noeud : nouveau «÷èïû» sont ;labor;s sur ÷èïàõ, mais dans l'astronautique ce n'est presque pas exprim;. Cet essentiel. Dans la production des circuits de silicium la loi Ìóðà doit t;t ou tard atteindre on n'a personne aussi de la limite physique. Cependant, si prendre la loi Ìóðà dans plus de vue g;n;rale, il signifie la loi de l'autocomplication des structures. On peut voir, comment cette autocomplication faisait les courses qualitatives d'un domaine de la croissance exponentielle vers l'autre, toutes les fois ; beaucoup plus rapide selon les param;tres du d;veloppement – d'unicellulaire vers polycellulaire, des lampes ;lectroniques vers les transistors, des circuits vers – il est possible – les ordinateurs quantiques. (Je n'am;ne pas ici la cha;ne compl;te de l'acc;l;ration des phases du d;veloppement, je marquerai seulement que chaque passage donnait l'acc;l;ration du param;tre de la croissance ; Voir plusieurs fois l'analyse d;taill;e des cycles de l'acc;l;ration dans le travail d'A.D.Panova240 et chez Êóðöâåëà.) Cela signifie que tels ;v;nements, comme le passage avec une exposants sur autres, plus rapide (mais il est ;vident, passera du profit concurrentiel sur moins rapide ; l'exposant du d;veloppement), sont plus importants, que m;me la croissance elle-m;me exponentielle entre ces passages. Et chaque fois tels passages sont li;s aux courses qualitatives, avec l'ouverture du principalement nouveau moyen de l'optimisation, le nouveau moyen plus rapide «äóìàíüÿ» (autrement dit, avec les ouvertures des algorithmes plus rapides «l'intelligence artificielle», que l'exc;dent simple des variantes des d;cisions). Par exemple, le passage vers la g;n;ration sexuelle ;tait, probablement, pour l';volution par l'ouverture du moyen plus rapide de la s;lection et la cr;ation des aspects effectifs. Le passage vers l';criture – un plus puissant moyen de l'accumulation des connaissances selon le monde environnant, que le transfert d'information oral. La cr;ation de la m;thode scientifique – un plus puissant moyen de la connaissance du monde environnant, que la confiance aux sources antiques. La cr;ation du syst;me des soci;t;s risques ;laborant et vendant les nouvelles technologies, – le moyen plus rapide, que le travail des bureaux d';tudes s;par;s et les inventeurs-solitaires. (Voir par exemple : I.Azarov. Le capital risque dans l'industrie ;lectronique ÑØÀ.241).
       Probablement, il faut s'arr;ter sur, comment on arrange l';laboration des nouvelles technologies dans la soci;t; moderne, – que permet de soutenir le rythme actuel de la croissance des technologies. Elle comprend les proc;s suivants :
       1) la g;n;ration Continue et le patentage de n'importe quelles id;es.
       2) la Cr;ation des laboratoires s;par;s sous chaque id;e, qui a quand m;me une chance mis;rable du succ;s (les soci;t;s risques).
       3) l';change d'information Continu entre tous les participants du proc;s, pour le compte des publications ouvertes, ainsi que pour le compte du commerce des patentes et les licences.
       4) le m;canisme R;gl; de l'introduction de n'importe quelles nouveaut;s. Le culte de la consommation des nouveaut;s.
       5) l'Achat des "cerveaux" – les gens avec leurs habitudes – sous les projets concrets.
       Ce syst;me de l'organisation des proc;s de l'innovation, comme toutes les pr;c;dentes, s'est form; spontan;ment – c'est-;-dire par voie de la s;lection simple entre de diff;rents syst;mes de l'optimisation. On peut supposer que le passage vers le syst;me suivant de l'optimisation sera li; aux changements, pour ainsi dire, au niveau de la m;ta-optimisation, c'est-;-dire l'optimisation des proc;s de l'optimisation. La ligne ;vidente du syst;me moderne est ce qu'elle se concentre non autour des gens-inventeurs, comme ; XIX si;cle – par exemple, autour Ýäèñîíà et Òåñëû, mais sur le convoyeur r;cup;r; de la production et la commercialisation des id;es, dans qui la personnalit; unique de la personne s;par;e n'a plus la signification de principe. Du dit d;coule la vuln;rabilit; moderne de "la loi Ìóðà» vers les chocs ;conomiques : pour que cette loi continue ; agir, un large front de la multitude des soci;t;s, soutenu par l'affluence continue du capital est n;cessaire. En cons;quence, dans le futur le mod;le g;n;ralis; de l'action de la loi Ìóðà (autrement dit, la loi de l'acc;l;ration de l';volution), attend ou l';chec, ou le passage au degr; encore plus rapide du d;veloppement. Puisque l'on ne peut pas forcer les gens (si ne pas changer seulement leur nature) changer le t;l;phone cellulaire 10 fois par an, cela, probablement, le moteur du saut suivant seront non de march; (mais concurrentiel) les m;canismes, par exemple, la course aux armements.
       Nous pouvons faire la conclusion que la loi Ìóðà est le produit du d;veloppement de l';conomie moderne, donc, les risques ;conomiques sont les zones du risque pour la loi Ìóðà, et donc, – sont les risques globaux de la troisi;me g;n;ration.« La loi Ìóðà »est tr;s vuln;rable au sens large du terme vers l'int;grit; et la coh;rence de la soci;t;. Pour que la quantit; immense de technologies continue ; se d;velopper selon la courbe exponentielle, le fonctionnement simultan; de mille laboratoires, l';conomie la plus puissante et la coh;rence qualitative d'information est n;cessaire. En cons;quence, m;me une puissante crise universelle ;conomique peut le saper. L'exemple de l';v;nement de telle sorte peut ;tre la d;sagr;gation de l'URSS, dans le r;sultat de qui la science s'est ;croul;e rudement – et se serait ;croul;e, probablement, encore plus, si non l'affluence des id;es de l'Ouest, les demandes des ressources ;nerg;tiques, l'importation des ordinateurs, Internet, les voyages ; l';tranger et le soutien du c;t; du fonds Sorosa. ;tre terrible ; elle-m;me, autant roulerait en arri;re en arri;re la science, si l'URSS ;tait le seul ;tat sur la plan;te et s'est d;sagr;g;.
       Il est clair que la loi Ìóðà pourrait ;tre soutenue ; l'int;rieur de quelques superpuissances s;par;es poss;dant le jeu complet des technologies cl;s, mais il est possible que certaines technologies cl;s sont devenues d;j; uniques dans le monde. Et certes, un petit ;tat, m;me europ;en, ne pourra pas soutenir le rythme du d;veloppement de la science au niveau actuel, en restant dans la solitude. En vertu de cela, nous devons nous rendre compte de la vuln;rabilit; de la loi Ìóðà ; l';tape actuelle. Cependant la cr;ation ÈÈ, nano - et les biotechnologies diminuera rudement le volume de l'espace, qui est n;cessaire pour «la production de tout». L'arr;t de la loi Ìóðà ne signifiera pas la cessation de toutes les ;tudes. L';laboration des aspects s;par;s de l'arme biologique, ÈÈ, les superbombes peut se prolonger par les efforts des laboratoires s;par;s. Cependant sans ;change universel d'information ce proc;s sera ralenti consid;rablement. L'arr;t de la loi Ìóðà ajournera ou fera impossible l'apparition des produits complexes de la technologie avanc;e, tels, comme íàíîðîáîòû, la mise en valeur de la Lune et le chargement du cerveau ; l'ordinateur, cependant l'accomplissement en ce qui concerne les projets simples se prolongera.
Le chapitre 23. La protection contre les risques globaux
La notion totale sur ïðåäîòâðàòèìîñòè des risques globaux
       Il est ;vident que si on r;ussira ; ;claircir qu'il y a quelques moyens simples, ;vidents et s;rs de r;sister aux accidents globaux, nous am;liorerons consid;rablement la s;curit;, mais une s;rie de risques globaux cessera de nous menacer. Au contraire, si se trouve que dans toutes les mesures propos;es et les moyens de la protection il y a des d;fauts, qui les font dans le meilleur cas inefficace, mais ; pire – simplement dangereux, il nous est n;cessaire d'inventer quelque chose fonci;rement nouveau. Il Semble que le syst;me de la protection – sur chaque phase du d;veloppement du risque global – doit r;aliser les fonctions suivantes :
       * L'observation.
       * L'analyse de l'information et la prise de d;cision.
       * La destruction de la source de la menace.
       Cette strat;gie est bien r;cup;r;e dans le contre-espionnage, la lutte avec le terrorisme et l'art militaire. Une autre strat;gie suppose l';vasion de la source de la menace (les ;tablissements spatiaux, les bunkers). ;videmment, cette deuxi;me strat;gie doit ;tre appliqu;e en cas de l';chec premier (ou simultan;ment avec elle, ; tout hasard).
       Les risques globaux se distinguent selon le degr; de, autant leur pr;vention est possible. Par exemple, tout ; fait r;ellement interdire une certaine classe des exp;riences dangereuses sur les acc;l;rateurs, si la communaut; scientifique vient ; la conclusion que ces exp;riences cr;ent le risque d;fini. Puisque dans le monde seulement quelques grands acc;l;rateurs, qui sont dirig;s assez ouvertement, et c'est pourquoi que les savants eux-m;mes ne souhaitent pas l'accident et n'ont pas d'elle aucuns profits, il semble tr;s simple supprimer les exp;riences. En r;alit;, il faut pour cela seulement la compr;hension totale de leur danger. C'est-;-dire au maximum ïðåäîòâðàòèìûé le risque est un risque, qui :
       1) il est facile de pr;voir,
       2) il est facile d'atteindre le consensus scientifique en ce qui concerne une telle pr;vision,
       3) il suffit ce consensus pour refuser les actions conduisant au risque donn;.
       Refuser les actions, conduisant on n'a personne le risque (par exemple, interdire une certaine technologie dangereuse), il est facile seulement aux conditions d;finies :
       Si les proc;s dangereux sont cr;;s seulement par les gens.
       Si ces proc;s sont cr;;s dans un petit nombre des places largement connues. (Comme, par exemple, les exp;riences physiques sur les acc;l;rateurs immenses)
       Si les gens n'attendent pas aucun profit de ces proc;s.
       Si les proc;s dangereux ïðåäñêàçóåìû selon le moment de l'apparition, ainsi que pendant le d;veloppement.
       Si les objets dangereux et les proc;s sont facilement reconnus. C'est-;-dire nous il est facile, nous apprenons vite et sans faute qu'a commenc; une certaine situation dangereuse, et nous estimons correctement le degr; de son danger.
       Si nous avons assez de temps en vertu de la sp;cificit; du proc;s pour ;laborer et prendre les mesures ad;quates.
       En cons;quence, les risques, qu'il est difficile de pr;venir, se caract;risent par ce que :
       1) il est difficile de pr;voir, m;me il est difficile de les supposer sur leur possibilit;. (M;me supposer qu'; SETI il y avoir ;tre un risque, il ;tait difficile.)
       2) M;me si quelqu'un se rend compte de ce risque, il lui est extr;mement difficile de persuader de cela quelqu'un encore (les exemples : les difficult;s avec la compr;hension ÈÈ et SETI comme de la source du risque, la difficult; de la preuve du Th;or;me selon la Fin de la lumi;re).
       3) M;me si on atteint l'accord public sur ce que les risques semblables sont dangereux en effet, cela n'am;nera pas ; ce que les gens refuseront volontairement la source donn;e du risque. (Les exemples : l'arme nucl;aire.)
       Le dernier est li; ce que :
       1) les Sources du risque sont accessibles au grand nombre de personnes, mais qui ces gens - est inconnu (on peut mettre sur le compte de tous ôèçèêîâ les atomistes, mais non des pirates-autodidactes).
       2) les Sources du risque se trouvent dans la place inconnue et/ou eux il est facile de cacher les (biolaboratoires).
       3) les Risques sont cr;;s par les facteurs naturels ind;pendants de la personne, ou finalement âçàèìîâëèÿíèÿ des actions humaines et les facteurs naturels.
       4) la Source du danger promet non seulement les risques, mais aussi les profits est, en particulier, l'arme.
       5) le Moment du d;but de la situation d'accident est impr;visible, de m;me que, comment elle se d;veloppera.
       6) la situation Dangereuse il est difficile d'identifier ; titre de tel, cela demande beaucoup de temps et contient l';l;ment de l'incertitude. (Par exemple, il est difficile de d;finir qu'une certaine nouvelle bact;rie est dangereuse, elle ne contaminera pas quelqu'un et n'atteindra pas telles ;chelles, quand on peut comprendre que cela notamment l';pid;mie.)
       7) le proc;s Dangereux se d;veloppe plus vite, que nous avons le temps de lui r;agir ad;quatement.
       Ïðåäîòâðàòèìîñòü de certains risques, cependant, ne doit pas amener ; ce qu'il faut les enlever du compte, puisque signifie pas absolument que le risque du compte final sera pr;venu. Par exemple, le danger ast;ro;dal se rapporte au nombre assez facilement ïðåäîòâðàòèìûõ des risques, cependant r;el ïðîòèâîàñòåðîèäíîé (et qu'est plus important, ïðîòèâîêîìåòíîé) est absent du syst;me de la protection chez nous maintenant. Et elle est absente, «ïðåäîòâðàòèìîñòü» les menaces il reste purement hypoth;tique, puisque nous ne connaissons pas, autant effectif et s;r il y aura une future protection, s'il l'y aura en g;n;ral et si appara;t, quand.
Les ;crans actifs
       ; titre du moyen de la pr;vention des risques globaux il est propos; de cr;er les ;crans de type diff;rent actifs. L';cran actif est un moyen du contr;le et l'influence sur la source du risque selon tout le globe terrestre. En r;alit;, c'est l'analogue du syst;me r;fractaire ; l';chelle de toute la plan;te. ; titre de l'exemple le plus ;vident on peut amener les id;es de la cr;ation du syst;me universel SUR.
       L'activit; des ;crans sous-entend qu'ils peuvent assez ind;pendamment r;agir ; n'importe quel irritant, qui se trouve sous la d;finition de la menace. De plus l';cran couvre enti;rement la surface prot;g;e, c'est-;-dire la surface de la Terre. Il est clair que l';cran autonome est dangereux pour la conduite incontr;lable, mais dirig; est l'arme absolue dans les mains de celui qui dirige. Comme nous savons des discussions sur l'I.D.S., m;me si l';cran actif est l'arme enti;rement d;fensive, il donne en tout cas l'avantage dans l'attaque pour la partie prot;g;e, puisqu'elle peut ne pas craindre le ch;timent.
       La comparaison des ;crans actifs avec le syst;me r;fractaire de la personne, comme par la forme id;ale de la protection, incorrectement, parce que le syst;me r;fractaire íåèäåàëüíà. Elle assure la survie statistique de l'aspect pour le compte de ce que les individus s;par;s vivent en moyenne assez longtemps. Mais elle n'assure pas la survie non limit;e de l'individu s;par;. N'importe quelle personne contracte plus d'une fois les maladies contagieuses pendant la vie, et plusieurs d'eux p;rissent. Pour n'importe quelle personne il y aura une maladie, qui le tuera. En outre le syst;me r;fractaire travaille bien alors, quand conna;t exactement ïàòîãåí. Si elle ne le conna;t pas, on demandera le temps pour qu'il le temps de se manifester, et encore le temps pour que le syst;me r;fractaire ;labore contre lui la r;ponse. Le m;me se passe et avec les antivirus informatiques, qui sont aussi l';cran actif : bien qu'ils assurent l'existence stable de tous les ordinateurs, chaque ordinateur s;par; de temps en temps contracte en tout cas le virus, et les donn;es sur lui se perdent. En outre l'antivirus ne donne pas la protection contre un principalement nouveau virus, n'enverront pas la r;novation, mais pour ce temps le nouveau virus a le temps de contaminer le nombre d;fini des ordinateurs. S'il y avait une menace de la diffusion de "la mucosit; grise», nous comprendrons que cela – «la mucosit; grise», seulement apr;s qu'elle se r;pandra consid;rablement. D'ailleurs, il y a des syst;mes r;fractaires travaillant selon le principe : tout est interdit que n'est pas permis, mais on peut les tromper aussi, et ils sont plus enclins aux r;actions autor;fractaires.
       Bref, le syst;me r;fractaire est bon seulement alors, quand il y a un puissant doublage du syst;me principal. Nous n'avons pas encore de la possibilit; du doublage des conditions terrestres de vie, mais les ;tablissements spatiaux se heurter ; une s;rie des difficult;s importantes. En outre pr;s de tous les syst;mes r;fractaires les fonctionnements faux, qui se manifestent dans les maladies autor;fractaires – comme, par exemple arrivent, l'allergie et le diab;te – qui donnent le d;p;t consid;rable dans la mortalit; humaine, compar; par ordre les valeurs avec le d;p;t de l';crevisse et les maladies infectieuses. Si le syst;me r;fractaire trop rigide, elle engendre les maladies autor;fractaires, mais si trop mou – cela manque certains dangers. Puisque le syst;me r;fractaire couvre tout l'objet prot;g;, sa sortie de l'ordre cr;e la menace ; tout l'objet (ici le principe «la diffusion du facteur plus dangereusement destruction») agit. L'attaque terroriste contre le syst;me r;fractaire fait tout le syst;me abandonn;. Ainsi SIDA, qui par celui-l; se r;pand plus vite travaille, que plus fortement avec lui le syst;me r;fractaire lutte, puisqu'il se trouve ; l'int;rieur d'elle.
       On examine largement les id;es du Bio;cran et ÍàíîÙèòà242. Ces ;crans sous-entendent la dispersion selon toute la surface de la Terre de mille trillions des installations contr;lant capables rapidement contr;ler n'importe quels agents du danger et rapidement supprimer les dangereux. Aussi aux ;crans se rapporte le durcissement ult;rieur du contr;le dans Internet et l'accrochage universel des cam;ras vid;o suivant. Cependant d;j; ; l'exemple universel SUR sont visibles les probl;mes essentiels de n'importe quels ;crans :
       1. Ils restent en arri;re p;niblement sur la source de la menace par temps de l';laboration.
       2. Ils doivent agir ; la fois sur tout le territoire de la Terre sans exceptions. òî÷å÷íåå la menace, ;tre plus dense doit l';cran.
       3. Ils d;j; provoquent maintenant les diff;rends s;rieux politiques. Si l';cran couvre non toute la surface de la Terre, il peut cr;er la situation de l'instabilit; strat;gique.
       4. N'importe quel ;cran est cr;; ; la base des technologies encore plus avanc;es, qui peuvent cr;er les menaces du niveau.
       5. L';cran peut ;tre la source du risque global lui-m;me, si chez lui une certaine commence «la r;action autor;fractaire», c'est-;-dire il commencera ; supprimer ce que devait prot;ger. Ou si la gestion de l';cran est perdue, et il commencera ; se d;fendre des ma;tres. Ou si son fonctionnement faux devient le pr;texte pour la guerre.
       6. L';cran ne peut pas ;tre absolument s;r – c'est-;-dire le succ;s son fonctionnement porte âåðîÿòíîñòíûé le caract;re. Et alors, en cas de la menace constante globale la question de son percement est seulement l'affaire de temps.
       7. L';cran doit avoir la gestion centralis;e, mais de plus l'autonomie aux places pour rapide ðåàãèðîâàíèÿ.
       Par exemple, l';cran antiast;ro;dal cr;era beaucoup de nouveaux probl;mes de la s;curit; de l'humanit;. Premi;rement, il assurera la technologie de la gestion exacte par les ast;ro;des, qui pour le compte des petites influences peut diriger sur la Terre la masse immense, et en outre secr;tement, ; l'esprit êðèïòîâîéíû. Deuxi;mement, le tel ;cran lui-m;me peut ;tre utilis; pour l'attaque selon la Terre. Par exemple, si sur une haute orbite pendent 50 pi;ces ãèãàòîííûõ des bombes pr;tes selon l';quipe pr;cipiter ; n'importe quel point du Syst;me solaire, je ne sentirai pas ; áîëüøåé la s;curit;. Troisi;mement, le mouvement de tous les ast;ro;des pour les milliards d'ann;es ;tait synchronis; bien, et n'importe quelle violation de cet ;quilibre peut amener ; ce que le m;me ast;ro;de deviendra la menace constante, en passant r;guli;rement ; c;t; de la Terre. Particuli;rement ce sera dangereux, si l'humanit; apr;s une telle intervention roule en arri;re sur le niveau pr;technologique.
       Nous ferons l'attention ; ce que chaque technologie dangereuse peut ;tre le moyen de la pr;vention personnelle :
       * Les fus;es s';garent avec l'aide des fus;es SUR.
       * Selon les places de la production de l'arme nucl;aire on porte les coups nucl;aires.
       * ÈÈ contr;le tout le monde pour que ne nulle part cr;ent incorrect ÈÈ.
       * Les biod;tecteurs ne font pas se r;pandre ; l'arme biologique.
       * Íàíîùèò prot;ge de íàíîðîáîòîâ.
       Souvent les ;crans font quelque chose exactement oppos; au volume, pour quoi ils ;taient cr;;s. Par exemple, il croit (l'expos; Áåëëîíû, le chef IV.1. "Trois" fissures "ÄÍßÎ" 243) que l'accord sur la non-prolif;ration de l'arme nucl;aire vient ; bout mal du march; noir, mais vient ; bout bien de la diffusion de "l'atome de paix» (c'est-;-dire les constructions dans tous les pays, qui veulent cela, les r;acteurs scientifiques nucl;aires), qui est en r;alit; par la technologie de la destination double. Les portes solides, qui prot;gent les cabines des avions apr;s les attentats le 11 septembre, ne feront pas p;n;trer aux terroristes dans la cabine, mais s'ils l; se trouvent quand m;me (par exemple, en vertu de ce que le pilote lui-m;me – le terroriste), les voyageurs et les stewards ne pourront pas les emp;cher. S'il y a un syst;me de gestion le vol de la Terre, il y a une chance de prendre l'avion, en utilisant ce syst;me, ; la radio.
       Enfin, tous les ;crans sont propos;s, ; partir de la supposition selon ce que nous avons un certain syst;me id;al, qui observe et contr;le autre, moins parfait. Par exemple, la milice incorruptible contr;le la soci;t; imparfaite. Si la milice est corrompue, le service de la s;curit; personnelle la contr;le, et cetera. Il est ;vident que des syst;mes semblables id;aux ; la r;alit; il n'arrive pas, puisque le syst;me de contr;le, et l'objet contr;l; sont faits d'un test. On peut s'imaginer le syst;me ; plusieurs niveaux hi;rarchique des ;crans, mais dans un tel cas il y a un risque de la scission entre de diff;rents syst;mes contr;lant. Enfin, n'importe quel ;cran a une tache aveugle – il ne peut pas contr;ler le centre personnel de la gestion.
Les futurs ;crans agissant
       Ici j'am;ne bref, mais autant probablement liste compl;te des ;crans, qui sont d;j; ou peuvent appara;tre dans le futur.
       1) le syst;me Universel SUR. Souffre des probl;mes politiques et technologiques, est pr;te seulement dans le stade rudimentaire.
       2) l'AIEA. Travaille, mais avec les d;faillances. A oubli; quelques programmes militaires nucl;aires.
       3) la lutte Universelle avec les drogues. Se trouve dans l';quilibre avec le probl;me – retient dans un certain degr;, mais pas plus.
       4) le Syst;me de l'observation totale d'information, que l'on peut appeler «îðóýëëîâñêèé le contr;le» ; l'honneur àíòèóòîïèè «1984» an Îðóýëëà, o; le syst;me semblable est vivement d;crit. Le syst;me de contr;le pour chaque personne avec l'aide des cam;ras vid;o, ÷èïîâ les identifications, ñëåæåíèÿ apr;s Internet, l'interception des communications. Un techniquement tel syst;me est accessible, mais ; la r;alit; elle est d;ploy;e seulement sur quelques pour-cent de ce que pourrait ;tre, cependant de plus elle se d;veloppe activement. D;j; sont ;vidents on examine maintenant et ouvertement les probl;mes d'un tel syst;me li; au caract;re l;gitime, le caract;re international, les zones aveugles, les pirates. Peut devenir th;oriquement la base pour tous les autres syst;mes de contr;le, puisque, probablement, il suffit le contr;le sur la conduite de tous les gens que n'apparaisse pas dangereux áèî, íàíî et ÈÈ des installations (et non chercher d;j; les installations pr;tes dangereuses dans l'environnement).
       5) le "Mind-contr;le". Ce syst;me sous-entend âæèâëåíèå au cerveau certain contr;lant ÷èïîâ (ou le d;chiffrement des id;es avec l'aide de l'analyse des enc;phalogrammes – est d;j; les r;sultats concrets sur cette voie). Ce peut ne pas ;tre si difficile, comme il semble, si nous trouvons les groupes des carreaux, sur qui on projette le dialogue int;rieur et les ;tats affectifs. Quelque chose comme cela est maintenant le d;tecteur du mensonge. Une telle installation peut d;cider le probl;me m;me des crimes spontan;s, comme l'agression soudaine. D'autre part, le potentiel de l'abus par une telle technologie – est non limit;. Si avec l'aide d'un tel syst;me on pourra diriger les gens, assez d'une ;quipe incorrecte pour supprimer toute l'humanit;. (Le m;me probl;me appara;t avec propos; ; titre de la mesure contre les terroristes par le syst;me de gestion le vol des avions de ligne de la terre : Bien qu'elle diminue le risque de la mainmise de l'avion s;par;, elle cr;era la possibilit; th;orique simultan;ment de saisir la gestion sur tous les avions se trouvant dans l'air et r;aliser avec leur aide massif òàðàí des b;timents ou les r;acteurs nucl;aires.) enfin, elle ne donnera pas la protection absolue, puisque l'on peut la forcer, mais aussi, parce que certains accidents se passent non selon le dessein sc;l;rat, mais du manque de r;flexion.
       6) la protection Anti-ast;ro;dale. On conduit l'observation pendant les objets potentiellement dangereux, mais insuffisant, les moyens de l'interception ne sont pas ;labor;s officiellement. (Mais la sonde Deep Impact en 2005 ;tait utilis;e pour la collision avec la com;te Òåìïåëÿ, ; la suite de quoi sur le corps de la com;te s'est form; le crat;re, mais sa trajectoire a chang; tr;s un peu.)
       7) le Bio;cran. La lutte avec le bioterrorisme se r;alise ; pr;sent au niveau de la reconnaissance et les accords internationaux sur le contr;le. Il y a des recommandations sur l';laboration s;re des biotechnologies (en commen;ant des restrictions b;n;voles volontaires accept;es ; Àñèëîìàðå dans les ann;es 70 et en finissant le livre «la Direction sur le biocontr;le» 244; d'autre part, une s;rie de restrictions propos;es jusqu'ici non ïðèíÿò245.)
       8) Nanoecran. Dans le stade de la discussion pr;alable. Il y a des recommandations sur l';laboration s;re, ;labor; par le Centre des Responsables Íàíîòåõíîëîãèé246.
       9) l'Ii-;cran. La protection contre la cr;ation hostile ÈÈ. ; Ñèíãóëÿðèòè l'Institut en Californie (SIAI) on conduit la discussion des probl;mes s;r öåëåïîëàãàíèÿ pour fort ÈÈ, c'est-;-dire les probl;mes de sa Convivialit;. Il y a des recommandations selon s;r ðàçðàáîòêå247.
       10) la police Ordinaire et les services de la s;curit;.
       On peut aussi caract;riser la succession dans le temps du fonctionnement des ;crans en cas du d;veloppement de la situation dangereuse.
       Le premier niveau de la d;fense comprend dans le maintien de la civilisation dans l';tat d;lib;r;, pacifique ;quilibr; et dans la pr;paration du travail de la pr;vention des risques ; tous les autres niveaux. ; ce niveau sont important l';change d'information, les discussions ouvertes, la publication dans les revues rendues compte, la collecte des moyens, la propagande, la formation et les investissements.
       Deuxi;me comprend dans le contr;le direct informatique sur les gens et les syst;mes dangereux pour que les situations du risque global ne puissent pas du tout appara;tre. ; ce niveau Internet des messages agit etc. sur l'AIEA, les syst;mes globaux de la vid;oobservation et l'interception.
       Troisi;me – dans la r;pression du danger apparaissant avec l'aide des fus;es, àíòèíàíîðîáòîâ et ò ä. C'est le niveau, analogue je laisserai tomber des syst;mes SUR dans la protection contre l'arme de la d;faite massive.
       Quatri;me – ; l';vacuation de la Terre ou çàêóïîðèâàíèè aux bunkers (cependant le principe de la pr;caution suppose qu'il fallait commencer cela faire m;me simultan;ment avec le premier point).
La pr;servation de la balance mondiale des forces
       Les nouvelles technologies peuvent rompre l';quilibre militaro-politique dans le monde, en accordant une des parties les possibilit;s extraordinaires. Erick Dreksler d;crit le probl;me comme il suit :« Dans la recherche de la voie du milieu, nous pourrions tenter de trouver la balance des forces fond;e sur la balance des technologies. Cela ;largirait, apparemment, la situation, qui gardait la mesure d;finie de la coexistence pacifique ; la longueur de quatre d;cennies. Mais le mot cl; ici – "apparemment" : les ruptures futures seront trop pr;cipit;es et d;stabilisant pour qu'une vieille balance puisse continuer l'existence. Dans le pass; le pays pouvait ;prouver le retard technologique pour quelques ann;es et quand m;me soutenir la balance approximative militaire. Cependant, avec pr;cipit; ðåïëèêàòîðàìè et avanc; ÈÈ, le retard pour un seul jour pourrait ;tre fatal »248. Bref, se d;veloppent plus vite les technologies, il est plus petit que les chances qu'ils se trouveront dans l';quilibre dans de diff;rents pays, ainsi qu'avec les forces de la mod;ration et le contr;le. La violation consciente de la balance est aussi dangereuse : La tentative d'un des pays de partir manifestement «; l';loignement» dans la sph;re des supertechnologies militaires l'attaque peut provoquer ses adversaires ; l'agression selon le principe «; la menace de la perte de l'avantage».
Le syst;me de contr;le possible sur les risques globaux
       N'importe quelle protection contre le risque global s'appuie sur un certain syst;me de l'observation globale et le contr;le. Que plus dangereusement risque et ; áîëüøåì le nombre des places il peut appara;tre, òîòàëüíåå et il ;tre plus effectif ce syst;me de contr;le doit. Par l'exemple du syst;me de contr;le moderne est l'AIEA. Les ;crans peuvent ;tre aussi le syst;me de contr;le, ou la comprendre comme la structure sp;ciale. Mais les ;crans peuvent agir localement et ind;pendamment, comme le syst;me r;fractaire, mais le syst;me de contr;le suppose la collecte et la transmission de donn;es au centre commun.
       La variante d;finitive d'un tel contr;le global serait «îðóýëëîâñêîå l';tat», o; de chaque angle sortirait selon la cam;ra vid;o, ou ÷èïû seraient ;tablis au cerveau de chaque personne, sans parler des ordinateurs. H;las, en ce qui concerne la vid;oobservation cela d;j; la variante presque r;alis;e. Mais dans les maisons on peut r;aliser cela techniquement ; n'importe quel moment – partout, o; il y a Internet constant et les ordinateurs. La question plut;t non dans l'observation, mais dans la transmission et, particuli;rement, l'analyse de ces donn;es. sans l'aide d'ÈÈ ; nous il est difficile de contr;ler cette information. Attrayant les syst;mes de l'obligation de rendre des comptes mutuelle et le vigilance civil, avanc; comme l'alternative ; l';tat totalitaire dans la lutte avec le terrorisme, o; pour le compte de la transparence absolue chacun peut contr;ler chacun ont l'air, mais en ce qui concerne leur possibilit; il y a beaucoup d' obscur. Les probl;mes :
       * Pour ;tre effectif, un tel syst;me de contr;le doit embrasser tout le Globe terrestre sans exception. C'est impossible sans certaine forme du pouvoir commun.
       * On peut induire en erreur n'importe quel syst;me de contr;le – c'est pourquoi le syst;me de contr;le r;ellement effectif doit ;tre plusieurs fois exc;dentaire.
       * Il ne suffit pas d'observer tout, il est n;cessaire d'analyser cette information dans le temps r;el qu'est impossible sans ÈÈ ou l'appareil d';tat totalitaire. En outre ce groupe dirigeant ne pourra pas se contr;ler, donc, il faut le syst;me de son obligation de rendre des comptes inverse ou le peuple, ou «le service de la s;curit; int;rieure».
       * Un tel syst;me contredira les repr;sentations sur les d;mocratie et la libert;, qui se sont form;es dans la civilisation europ;enne, et provoquera la r;sistance acharn;e jusqu'; la diffusion le praticien du terrorisme. Un tel syst;me du contr;le total provoquera la tentation l'appliquer non seulement contre les risques globaux, mais aussi contre n'importe quelle g;n;ration des "d;lits", jusqu'aux cas de l'utilisation íåïîëèòêîððåêòíîé les paroles et les ;coutes de la musique non de licence.
       * Ceux qui contr;lent, doivent avoir complet et l'id;e nette de tous les risques globaux. Si c'est seulement les risques biologiques, mais non la cr;ation ÈÈ et les exp;riences dangereuses physiques, le syst;me sera d;fectueux. Il est tr;s difficile de distinguer les exp;riences dangereuses biologiques de s;r – dans tous les cas on utilise les ADN ñåêâåíñîðû et les exp;riences sur les souris. Sans lecture des id;es du savant tu ne comprendras pas qu'il a con;u. Mais contre les exp;riences accidentelles dangereuses ce syst;me ne prot;ge pas.
       * Puisque le syst;me semblable "est d;j; livr;" ; n'importe quel point du globe terrestre, elle peut simplifier l'action de n'importe quelle arme frappant chaque personne. Autrement dit, l'usurpation sur le syst;me du contr;le total donnera le pouvoir sur tous les gens et simplifiera la t;che de faire avec eux tout n'importe quoi, y compris leur faire du tort. Par exemple, on peut envoyer par la poste un certain m;dicament et contr;ler pour que tout l'aient accept;. De ceux qui a refus;, arr;ter.
       Donc, le syst;me du contr;le total semble au moyen le plus ;vident de l'opposition aux risques globaux. Cependant elle contient une s;rie d';cueils, qui peuvent transformer elle-m;me en facteur du risque global. En outre le syst;me du contr;le total sous-entend l';tat totalitaire, qui, ;tant approvisionn; en les biens d'investissement en forme des robots, peut perdre le besoin des gens comme tels.
L'arr;t conscient du progr;s technologique
       Se distinguent souvent les propositions sur le refus du progr;s technique ou sous la forme violente, ou la voie âçûâàíèÿ vers la conscience des savants, en vue de la pr;vention des risques globaux. Il y a des diff;rentes variantes des moyens de la r;alisation de cet arr;t, et ils ou ne travaillent pas, ou contiennent les ;cueils :
       1. Le refus personnel de l';laboration des nouvelles technologies – pratiquement sur rien n'influence pas. Il y aura toujours les autres, qui feront cela.
       2. La propagande, l'instruction, les actions sociales ou le terrorisme comme les moyens ; de forcer les gens refuser le d;veloppement des technologies dangereuses – ne travaillent pas. Comme ;crit Þäêîâñêè : n'importe quelle strat;gie, qui suppose les actions unanimes de tous les gens, est condamn;e ; l';chec.
       3. Le refus des innovations technologiques sur le territoire d;fini, par exemple, un pays, est incapable arr;ter le progr;s technologique dans d'autres pays. De plus, si les pays plus responsables refusent le d;veloppement d'une certaine technologie, le palmier de la priorit; passera vers plus irresponsable.
       4. L'accord universel. ; l'exemple de l'AIEA nous connaissent, comment mal cela travaille.
       5. La conqu;te de tout le monde par la force, qui pourra r;gler le d;veloppement des technologies. Mais en train de cette conqu;te sont grandes les chances de l'application de l'arme du "dies irae" par ces puissances nucl;aires, qui perdront finalement la souverainet;. En outre par les mots Äðåêñëåðà : «Ensuite, la force vainquant serait une principale force technologique avec le potentiel de guerre immense et la volont; pr;sent;e de celle-ci utiliser. Si on peut dans ce cas croire ; une telle force dans ce qu'elle r;primera le progr;s personnel ?» («Les voitures de la cr;ation».)
       6. Le groupement de paix des nations ; la face de la menace surplombant, juste comme est apparu l'ONU dans les ann;es du fascisme, et la d;l;gation par ceux-ci des forces sur l'arr;t du progr;s dans ces pays, qui ne voudront pas se joindre ; ce groupement. Probablement, c'est la meilleur variante, qui unit les dignit;s de toutes les pr;c;dentes, et att;nue leurs manques. Mais il deviendra r;el, seulement si la menace totale devient ;vidente.
       7. Íèê Áîñòðîì a propos; la conception äèôôåðåíöèðîâàííîãî du d;veloppement technologique, quand les projets augmentant notre s;curit;, sont stimul;s et s'acc;l;rent, tandis que les projets potentiellement dangereux sont ralentis artificiellement. Ainsi, en dirigeant la vitesse du d;veloppement des diff;rents domaines de la connaissance, nous recevons les combinaisons plus s;res des technologies de l'attaque et la protection.
Les moyens de l'attaque pr;ventive
       Il ne suffit pas d'avoir le syst;me du contr;le total – il faut poss;der la possibilit; de pr;venir le risque. Il est ordinaire maintenant ; titre de la mesure extr;me on examine le coup avec les forces raketno-nucl;aires selon le point de la source du risque.
       On observe ici une contradiction curieuse avec les programmes de la construction des bunkers pour la survie – si tels du le bunker sont confidentiels et invuln;rables, il sera difficile de les supprimer. De plus, ils doivent comprendre les laboratoires enti;rement ;quip;s et les savants sur le cas de l'accident. C'est pourquoi la situation, quand la "superarme" sera cr;;e dans un tel bunker (par exemple est possible, en URSS il y avait des usines souterraines nucl;aires pour la suite de la production de l'arme nucl;aire en cas d'une longue guerre nucl;aire.) les gens, qui se trouvent d;j; dans le bunker invuln;rable, peuvent ;tre plus psychologiquement enclins ; la cr;ation de la superarme pour le coup pour la surface. Donc, ou les bunkers pr;senteront la menace ; la survie humaine, ou les moyens de l'attaque pr;ventive supprimeront tous les bunkers, qui pourraient ;tre utilis;s pour la survie des gens apr;s un certain accident.
       Cependant le coup pour un point dans l'espace n'agit pas ni contre la crise syst;mique, ni contre une certaine menace d'information. Le virus informatique tu ne gu;riras pas par le coup nucl;aire. Comme tu ne d;livreras pas les gens de l'affection vers la superdrogue. Ensuite, le coup est possible, un certain risque n'est pas sorti du point. Si la recette du supervirus s'est trouv;e dans Internet, ; l'inverse tu ne l'attraperas pas. D;j; maintenant la voiture moderne militaire est impuissante contre les menaces de r;seau, comme les r;seaux terroristes donnant les m;tastases selon toute la plan;te. De la m;me mani;re dans le futur le virus informatique sera la menace non simplement d'information aux donn;es sur le disque : il peut forcer êîìïüþòåðíî les fabriques dirig;es dans le monde entier imperceptiblement produire certains porteurs mat;riels (nous dirons, en forme des robots microscopiques ou les signets de programme dans les produits ordinaires), mais dans eux partir de nouveau au r;seau (par exemple, en ;tant connect; au radiocanal).
       Enfin, le coup lui-m;me (ou m;me sa possibilit;) cr;era la situation de l'instabilit; strat;gique. Par exemple, maintenant le coup avec le missile avec l'ogive ordinaire selon les terroristes peut provoquer le fonctionnement du syst;me la pr;vention de l'attaque de fus;e de l'adversaire probable et amener ; la guerre.
       Enfin, le coup demande le temps d;fini. Ce temps doit ;tre moins de temps de la d;tection du d;veloppement de la menace jusqu'au temps de son passage ; la phase irr;versible (par exemple, en cas de l'apparition de "la mucosit; grise» il est important de la supprimer avant qu'elle a r;ussi ; se multiplier dans les milliards de copies et se r;pandra selon toute la Terre). Maintenant le temps de la d;tection ; coup pour n'importe quel point de la Terre est plus petit que 2 heures, peut ;tre diminu; jusqu'aux minutes avec l'aide de l'arme satellite. (Cependant le temps de la prise de d;cision est plus grand.) si du moment de la prise de d;cision sur l'orthographe du code du virus dangereux avant sa mise en marche passerait seulement 15 minutes, de cette vitesse serait insuffisamment. Et cette vitesse il est ;vident insuffisamment, si dans une certaine place a commenc; la dispersion dangereux íàíîðîáîòîâ par avion.
       L'efficacit; du coup pour le point changera principalement apr;s la raison des colonies spatiales (quand m;me purement ðîáîòîòåõíè÷åñêèõ – l; il y avoir se passer aussi une d;faillance, qui transformera la colonie ; "canc;reux" – c'est-;-dire enclin ; l'automultiplication non limit;e et la diffusion des "toxines" : dangereux íàíîðîáîòîâ, les superbombes et autre; ; savoir la mise en valeur de l'espace avec l'aide des robots s'automultipliant utilisant les documents locaux, est plus perspective). En un temps, le signal sur le danger passera, pour ainsi dire, du compagnon du Jupiter ; Terre, et puis de la Terre arrivera l;-bas la "flotte" de combat (c'est-;-dire les fus;es avec les ogives nucl;aires et de combat íàíîðîáîòàìè) mettre de l'ordre (æå÷ü tout de suite), sera d;j; tard. Certes, on peut tenir la "flotte" sur l'orbite de chaque compagnon de la plan;te ou l'ast;ro;de, o; est capable vers l'automultiplication ðîáîòîòåõíè÷åñêèå les colonies, mais que si la r;volte se passera notamment sur la flotte ? Alors la flotte, qui contr;le d'autres flottes est n;cessaire, et nage entre les compagnons des plan;tes. Mais puis encore une flotte interplan;taire pour le contr;le sur eux. Plus court, la situation n'a pas l'air strat;giquement stable, – c'est-;-dire est plus haut que le niveau d;fini du syst;me de contr;le commencent ; emp;cher l'un ; l'autre. Probablement, l'incapacit; ; contr;ler les colonies exclues am;ne ; ce qu'aux civilisations il est avantageux de se renfermer sur la plan;te maternelle – voici encore une d;cision du paradoxe du Fermi.
L';loignement des sources des risques sur la distance consid;rable de la Terre
       On peut ;loigner th;oriquement les sources des risques de la Terre, en premier lieu cela concerne les exp;riences dangereuses physiques. Les probl;mes li;s ; cette approche :
       * Ayant re;u aux mains les ;quipements cr;er de puissantes installations exp;rimentales loin de la Terre, nous aurons aussi les possibilit;s vite de livrer les r;sultats des exp;riences ; l'inverse.
       * Cela ne pourra pas arr;ter certains gens des exp;riences analogues par la Terre, particuli;rement s'ils sont simples.
       * Cela ne nous prot;gera pas contre la cr;ation dangereux fort ÈÈ, puisqu'il peut se r;pandre èíôîðìàöèîííî.
       * M;me apr;s l'orbite Ïëóòîíà les exp;riences dangereuses, qui influenceront la Terre sont possibles.
       * Difficilement d'avance conna;tre, quelles exp;riences il faut passer «apr;s l'orbite Ïëóòîíà».
       * Il n'y a pas de possibilit;s techniques de livrer la quantit; immense d';quipement pour l'orbite Ïëóòîíà pendant les dizaines plus proches des ann;es, surtout sans utilisation des technologies dangereuses en forme des robots autoreproduits.
La cr;ation des ;tablissements autonomes dans les coins ;loign;s de la Terre
       La cr;ation de tels ;tablissements, de m;me que les habitudes de la survie dans la nature sauvage, aidera peu probablement en cas d'en effet accident global, puisqu'elle doit aborder toute la surface de la Terre (si c'est un certain agent irraisonnable), ou d;couvrir tous les gens (si c'est l'agent raisonnable). L';tablissement autonome est vuln;rable chez le premier, et vers deuxi;me – si c'est seulement la base non arm;e confidentielle, mais alors il passe, plut;t, sous la colonne les "bunkers".
       S'il s'agit de la survie apr;s tr;s grand, mais l'accident non d;finitif, il faut se rappeler l'exp;rience ïðîäðàçâ¸ðñòêè et les kolkhozes en Russie, – la ville par la force domine le village et lui prend les surplus. En cas de la crise syst;mique le principal danger pr;sentera d'autres gens. Non sans raison dans le roman de fiction «le M;tro 2033» par 249 pi;ce principale est la cartouche du kalachnikov. Et jusqu'; ce que des cartouches sera plus que des paysans, il sera plus avantageux de voler, et non ;lever. Est aussi possible la dissolution compl;te de la personne dans la nature dans l'esprit de Ìàóãëè. Il est peu probable Cependant qu'ainsi quand m;me certains repr;sentants de l'aspect Homo sapiens pourront ;prouver en effet l'accident global.
La cr;ation du dossier sur les risques globaux et la croissance de la compr;hension publique de la probl;matique li;e ; eux
       La publication des livres et les articles au sujet des risques globaux am;ne ; la croissance de la compr;hension du probl;me dans la soci;t; et la r;daction de la liste plus exacte des risques globaux. L'interdisciplinarit; permet de comparer de diff;rents risques et prendre en consid;ration la possibilit; de leur coop;ration complexe. Les complexit;s de l'approche donn;e :
       * Il n'est pas clair, chez qui on adresse notamment n'importe quels textes de telle sorte.
       * Les terroristes, le pays les parias et les arm;es r;guli;res peuvent se servir des id;es de la cr;ation des risques globaux des textes publi;s qu'am;nera vers áîëüøåìó ; l'augmentation des risques, que vers leur pr;vention.
       * L'investissement incorrect et pr;matur; du capital peut amener au d;sappointement par la lutte avec les risques – juste alors, quand cette lutte il faut en fait.
Les refuges et les bunkers
       Les refuges de type diff;rent et les bunkers peuvent augmenter les chances de la survie de l'humanit; en cas de l'accident global, cependant la situation avec eux n'est pas simple. Les refuges s;par;s autonomes peuvent exister les dizaines des ann;es, mais ils est plus autonomes et äîëãîâðåìåííåå, plus efforts il faut sur leur pr;paration d'avance. Les refuges doivent assurer la capacit; de l'humanit; de l'autoreproduction ult;rieure. Donc, ils doivent contenir non seulement la quantit; suffisante des gens capables vers la multiplication, mais aussi le stock des technologies, qui permettra de survivre et se multiplier sur le territoire, qui se planifie de se faire apr;s la sortie du refuge. On pollue plus difficilement ce territoire, áîëüøèé le niveau des technologies demander pour la survie s;re.
       Un tr;s grand bunker se trouvera capable de continuer ; l'int;rieur de lui-m;me le d;veloppement des technologies et apr;s l'accident. Cependant dans ce cas il sera vuln;rable vers les m;mes risques que toute la civilisation terrestre – dans lui il y avoir appara;tre des terroristes int;rieurs, ÈÈ, íàíîðîáîòû, les fuites et ò ä. Si le bunker n'est pas capable de continuer le d;veloppement des technologies, il, plut;t, est condamn; ; la d;gradation.
       Ensuite, le bunker peut ;tre ou "civilisable", c'est-;-dire garder la plupart des acquisitions culturelles et technologiques de la civilisation, ou "d'esp;ce", c'est-;-dire garder seulement la vie humaine. Devant "de longue dur;e" (c'est-;-dire compt; sur le s;jour de plusieurs ann;es) les bunkers se l;vera le probl;me de la formation et l';ducation des enfants et les risques de la d;gradation. Le bunker peut ou vivre pour le compte des ressources accumul;es devant l'accident, ou s'occuper de la production personnelle. Dans un tel cas ce sera la civilisation simplement souterraine sur la plan;te contamin;e.
       ; áîëüøåé ; la mesure le bunker construit sur les technologies modernes. Est autonome êóëüòóðíî et techniquement, plus doit vivre l; des gens (mais dans le futur ce sera non ainsi : le bunker ; la base des nanotechnologies avanc;es peut ;tre m;me du tout d;sert, – seulement avec les embryons congel;s humains). Pour assurer la reproduction simple au moyen de l'enseignement des professions principales humaines, on demande mille gens. Ces gens doivent ;tre pris et se trouver dans le bunker avant l'accident d;finitif, il est d;sirable, ; la base constante. Il est peu probable cependant que mille intellectuellement et les gens physiquement excellents voudraient ;tre assis dans le bunker "; tout hasard". Dans ce cas ils peuvent se trouver dans le bunker ; deux ou trois remplacements et recevoir pour cela le salaire. (Maintenant en Russie commence l'exp;rience «le Mars 500», dans qui 6 personnes se trouveront ; enti;rement autonome – selon l'eau, la nourriture, l'air – l'espace de 500 jours. Probablement, c'est le meilleur r;sultat, que nous avons maintenant. Au d;but des ann;es 1990 aux ;tats-Unis il y avait aussi un projet «Áèîñôåðà-2», dans lequel les gens devaient vivre deux ans sur l'autogarantie compl;te sous le d;me dans le d;sert. Le projet s'est achev; par l';chec partiel, puisque le niveau de l'oxyg;ne dans le syst;me a commenc; ; tomber ; cause de la multiplication impr;vue des microorganismes et les insectes.) ; titre du risque suppl;mentaire pour les bunkers il faut marquer le fait largement connu par les exp;ditions antarctiques de la psychologie des petits groupes, ferm; dans un local – ; savoir, l'accroissement de l'hostilit; grosse des actions destructives, r;duisant âûæèâàåìîñòü.
       Le bunker peut ;tre ou seul, ou un de plusieurs. Dans le premier cas il est vuln;rable vers de diff;rents hasards, mais ; deuxi;me la lutte entre de diff;rents bunkers pour les ressources rest;es en dehors est possible. Ou la suite de la guerre, si l'accident a r;sult; de la guerre est possible. Le bunker, probablement, sera ou souterrain, ou maritime, ou spatial. De plus le bunker spatial peut ;tre aussi çàãëóáë¸í au sol des ast;ro;des ou la Lune. Pour le bunker spatial il sera plus difficile de se servir des restes des ressources par la Terre. Le bunker peut ;tre enti;rement isol;, ou permettre "l'excursion" au milieu hostile ext;rieur.
       Le sous-marin atomique poss;dant une haute dissimulation, l'autonomie, la manoeuvre et la stabilit; aux influences n;gatives peut servir du mod;le du bunker maritime. En outre elle peut facilement se refroidir dans l'oc;an (le probl;me du refroidissement des bunkers souterrains ferm;s n'est pas simple), obtenir de lui l'eau, l'oxyg;ne et m;me la nourriture. En outre il y a d;j; des bateaux pr;ts et les d;cisions techniques. Le bateau est capable de subir l'influence de choc et de radiation. Cependant la ressource de la navigation autonome des sous-marins modernes fait dans le meilleur cas l'ann;e, et ; eux il n'y a pas de place pour la conservation des stocks.
       La station moderne spatiale de MKS pourrait ind;pendamment soutenir la vie de quelques personne pendant environ ann;e, bien que se l;vent les probl;mes de l'atterrissage autonome et l'adaptation. Il est incompr;hensible, si peut un certain agent dangereux, capable de p;n;trer dans toutes les fentes par la Terre, se diffuser pour si terme court.
       Il y a une diff;rence entre gaz et bio - les refuges, qui peuvent ;tre sur les surfaces, mais sont divis;s en beaucoup de sections pour le maintien du r;gime de la quarantaine, et les refuges, qui sont destin;s au recel de l'adversaire peu de-mal'ski raisonnable (y compris d'autres gens, ; qui n'a pas re;u la place au refuge). En cas du biodanger de l';le avec la quarantaine rigide peuvent jouer le r;le du refuge, si la maladie n'est pas transf;r;e par avion.
       Le bunker peut poss;der diff;rent óÿçâèìîñòÿìè. Par exemple, en cas de la menace biologique, assez de p;n;tration minime. Enti;rement autonome il y avoir ;tre seulement un bunker de la technologie avanc;e. L';nergie et l'oxyg;ne sont n;cessaire au bunker. L';nergie peut ;tre donn;e par le syst;me sur le r;acteur nucl;aire, mais les voitures modernes peuvent poss;der peu probablement la long;vit; plus de 30-50 ans. Le bunker ne peut pas ;tre universel – il doit supposer les protections contre les aspects d;finis, connus d'avance des menaces – de radiation, biologique et ò ä.
       óêðåïë¸ííåå le bunker, un plus petit nombre des bunkers peut pr;parer l'humanit;, et par celui-l; il sera plus difficile de cacher un tel bunker. Si apr;s un certain accident il y avait un nombre fini des bunkers, la situation de qui on sait, la guerre secondaire nucl;aire peut finir l'humanit; dans le nombre fini des coups pour les places connues.
       Plus grandement bunker, moins tels bunkers on peut construire. Cependant n'importe quel bunker est vuln;rable vers la destruction accidentelle ou la contamination. C'est pourquoi le nombre fini des bunkers avec la probabilit; d;finie de la contamination fixe absolument l'heure maxima de la survie de l'humanit;. Si les bunkers sont li;s par le commerce et un autre ;change mat;riel, la diffusion íåêîåé est plus probable que l'infection entre eux. Si les bunkers ne sont pas li;s, ils d;g;n;reront plus vite. Plus puissantement et plus cher bunker, plus difficilement il l'est imperceptible cr;er pour l'adversaire probable et par celui-l; plut;t il deviendra le but de l'attaque. Meilleur march; le bunker, moins lui est de longue dur;e.
       Sont possibles accidentel au recel – les gens qui ont surv;cu au m;tro les mines, les sous-marins. Ils souffriront de l'absence du pouvoir central et la lutte pour les ressources. Les gens qui ont ;puis; les ressources dans un bunker peuvent faire les tentatives arm;es de se frayer un chemin ; un autre bunker voisin. Aussi les gens qui ont surv;cu par hasard (ou sous la menace de l'accident surplombant), peuvent attaquer ceux qui a ;t; ferm; dans le bunker.
       Les bunkers je souffrirai de la n;cessit; de l';change de la chaleur, l';nergie, l'eau et l'air avec le monde ext;rieur. Plus ind;pendamment bunker, moins il peut exister dans l'isolation compl;te. Les bunkers se trouvant profond;ment dans la terre souffriront de la surchauffe. N'importe quels r;acteurs nucl;aires et d'autres voitures complexes demanderont le refroidissement ext;rieur. Le refroidissement par l'eau ext;rieure sera äåìàñêèðîâûâàòü de ceux-ci, mais avoir les sources de l';nergie sans pertes en forme de la chaleur – il est impossible, d'autant plus qu'au profondeur et ainsi toujours la temp;rature ;lev;e. La croissance de la temp;rature, dans la mesure de l'approfondissement ; la terre, limite la profondeur limite du gisement des bunkers. (Le gradient g;othermique fait en moyenne 30 degr;s/kilom;tres. Cela signifie que les bunkers sont plus grands au profondeur que 1 kilom;tre sont impossibles – ou demandent les installations gigantesques refroidissant sur les surfaces, comme les mines d'or en R;publique Sud-Africaine. Il y avoir ;tre des bunkers plus profonds dans les glaces de l'Antarctide.)
       Est plus de longue dur;e, est plus universel et le bunker est plus effectif, avant lui il faut commencer ; construire. Mais dans ce cas il est difficile de pr;voir les futurs risques. Par exemple, dans les ann;es 1930 ont construit beaucoup d'abris antia;riens antigaz, qui se sont trouv;s sont inutiles et vuln;rables vers les bombardements par les bombes de destruction lourdes.
       L'efficacit; du bunker, qui il y avoir cr;er une civilisation, correspond au niveau technologique du d;veloppement de cette civilisation. Mais cela signifie qu'elle poss;de les moyens correspondants de la destruction. Et donc, surtout son puissant bunker est n;cessaire. Plus ind;pendamment et plus tout ; fait bunker (par exemple, ;quip; ÈÈ, íàíîðîáîòàìè et les biotechnologies), est plus facile lui peut, finalement, se passer des gens, les civilisations ayant donn; naissance purement informatique. Les gens de diff;rents bunkers rivaliseront pour celui qui par le premier sortira sur la surface, et qui, en cons;quence, poss;dera – c'est pourquoi chez eux la tentation ma;trisera les lopins de terre encore contamin;s.
       Sont possibles automatique ðîáîòîòèçèðîâàííûå les bunkers : ; eux les embryons congel;s humains se trouvent dans certains ut;rus artificiels et dans centaines ou mille ann;es commencent ; ;tre ;lev;s. (La technologie les gel;es des embryons sont d;j;, mais les travaux de l'ut;rus artificiel sont interdits selon les consid;rations de la bio;thique, mais en principe une telle installation est possible.) on peut exp;dier Telles installations avec les embryons au voyage vers d'autres plan;tes. Cependant, si tels bunkers sont possibles, la Terre restera peu probablement vide – probablement elle sera peupl;e des robots. En outre si le petit humain ;lev; par les loups, se trouve comme le loup, comme qui la personne ;lev;e par les robots se trouvera ?
       Donc, l'id;e de la survie dans les bunkers contient beaucoup d';cueils, qui r;duisent ; celle-ci l'utilit; et la probabilit; du succ;s. Il faut construire les bunkers ; long terme plusieurs ann;es, mais ils peuvent vieillir pour ce temps, puisque la situation change et on ne sait pas vers quoi se pr;pare. Il est possible qu'il y a une s;rie de puissants bunkers, qui ;taient construits dans les ann;es de la guerre froide. Par la limite des possibilit;s modernes techniques se voit le bunker de l'ordre de l'autonomie de 30 ans, cependant il faut le construire des ann;es dix, et cela demandera des milliards de dollars des investissements.
       Il y a isol;ment des bunkers d'information, qui sont destin;s, pour porter jusqu'aux descendants possibles survivant nos connaissances, les technologies et les acquisitions. Par exemple, en Norv;ge, sur le Spitsberg ont cr;; le stock des mod;les des semences des c;r;ales avec ces buts. Les variantes avec la pr;servation de la vari;t; g;n;tique des gens avec l'aide du sperme congel; sont possibles. On examine les porteurs en chiffre stables ; la conservation de longue dur;e, par exemple, les compact discs, sur qui on extermine le texte, que l'on peut lire dans la loupe. Ces connaissances peuvent ;tre critiquement importantes pour ne pas r;p;ter nos erreurs.
L';tablissement d;passant dans l'espace
       Il y a une supposition que l'humanit; survivra, si se divise en parties, qui peupleront vite l'espace selon l'isolement. Par exemple, connu ôèçèê S Õîêèíã fait de la propagande pour la cr;ation de la Terre de secours pour ;viter les risques mena;ant ïëàíåòå250. ; l';tablissement d;passant aucune influence r;alis;e dans une place, ne pourra pas rattraper toute l'humanit;. H;las, il n'y a d'aucunes conditions technologiques pour l';tablissement acc;l;r; de l'humanit; dans l'espace : nous avons les repr;sentations tr;s vagues comment cr;er les navires spatiaux et, probablement, nous ne pourrons pas les construire sans l'aide d'ÈÈ et ðîáîòîòèçèðîâàííîãî de la production. Et donc, l'humanit; pourra commencer ; peupler l'espace seulement apr;s que surmontera tous les risques li;s avec ÈÈ et les nanotechnologies, et c'est pour cela que les ;tablissements spatiaux ne peuvent pas servir de la protection contre ces risques. En outre les ;tablissements spatiaux dans l'espace plus proche, dans la limite du Syst;me solaire, seront extr;mement d;pendants des livraisons terrestres et sont vuln;rables pour l'attaque ordinaire de fus;e. M;me si l'humanit; commencera ; se sauver par la Terre avec îêîëîñâåòîâîé par la vitesse sur les navires spatiaux superrapides, cela ne l'assurera pas en tout cas. Premi;rement, parce que l'information se r;pand en tout cas plus vite, ; la vitesse de la lumi;re, et si appara;t hostile ÈÈ, il peut p;n;trer par les r;seaux informatiques m;me dans le navire spatial s';loignant vite. Deuxi;mement, pourvu que soit rapide le navire spatial, lui peut rattraper plus facile, rapide et fait (puisqu'il sera cr;; plus tard) áåñïèëîòíûé l'appareil. Enfin, n'importe quel navire spatial emm;ne avec lui-m;me toutes les supertechnologies terrestres tous les manques humains et les probl;mes li;s ; eux.
«Tout se passera d'une fa;on ou d'une autre»
       Cette position dans la pr;vention des risques globaux se fonde sur la foi en la stabilit; inn;e des syst;mes et sur la conception irrationnelle de la d;cision des probl;mes dans la mesure de leur entr;e. Elle comprend quelques admissions ;videntes et implicites et les erreurs logiques, ; l'esprit «peut-;tre, portera». Au propre, cette position se tiennent aux gouvernement des diff;rents pays, qui d;cident les probl;mes seulement apr;s qu'ils sont devenus ;vident. Si formuler cette position dans l'esprit de la doctrine militaire des ;tats-Unis, elle sonnera ainsi : en analysant et en pr;venant tous les risques dans la mesure de leur entr;e, nous cr;erons le syst;me de contr;le de chaque risque concret donnant la pr;dominance qualitative et quantitative pendant chaque source du risque sur chaque phase de son existence.
       Cependant d;j; aujourd'hui dans la situation moderne technologique nous ne pouvons pas examiner les risques «dans la mesure de leur entr;e», puisque nous ne connaissons pas, o; chercher, et puisque les risques peuvent ;tre actualis;s plus vite, que nous aurons le temps de leur r;fl;chir et nous pr;parer vers eux. C'est pourquoi je t;che d';largir l'horizon du pronostic, en examinant les technologies hypoth;tiques et probables, qui ne sont pas encore cr;;es, mais peuvent ;tre cr;;s tout ; fait, ; partir des tendances en cours.
       Une autre variante – le tableau du futur appel; «le d;veloppement stable» (sustainable development). Cependant cela non le pronostic, mais le projet. Il se fonde sur la supposition que les technologies se d;velopperont assez pour nous aider ; surmonter ;nerg;tique et d'autres crises, mais quand m;me de plus les technologies n'engendreront pas les nouvelles possibilit;s improbables et risqu;es. La probabilit; d'une telle issue des ;v;nements est pas grande.
La d;gradation de la civilisation jusqu'au niveau de l';tat stable
       Certains esp;rent que les menaces des accidents globaux se r;sorberont par eux-m;mes, quand l'humanit;, ; cause du manque des ressources ou les accidents pr;c;dents dans n'importe quel degr; d;g;n;re. Une telle d;gradation est associ;e avec les difficult;s, parce que l'on ne vole pas tous les stocks rest;s de la civilisation, et on ne d;pense pas toute l'arme, il n'y a d'aucun profit s'occuper de l'agriculture primitive – il est beaucoup plus facile de voler les voisins. La comp;tition entre les soci;t;s survivant am;nera in;vitablement ; une nouvelle croissance de l'arme et les technologies, quoi que c'est id;ologique s';tranglait, et dans quelques centaines d'ann;es la civilisation reviendra sur le niveau moderne, et donc, ressuscitera tous les probl;mes. Ou au contraire, d;g;n;re dans la direction vers les formes encore plus primitives et dispara;tra.
La pr;vention d'un accident avec l'aide l'autre
       Les exemples suivants de la neutralisation mutuelle des technologies dangereuses et les accidents sont th;oriquement possibles :
       1. La guerre nucl;aire arr;te le d;veloppement des technologies en g;n;ral.
       2. Total ÈÈ pr;vient le bioterrorisme.
       3. Le bioterrorisme fait impossible le d;veloppement ÈÈ
       4. L'hiver nucl;aire pr;vient l';l;vation de la temp;rature globale.
       L'essentiel dans ce qu'un grand accident fait impossible global, en rejetant l'humanit; sur les degr;s quelques ;volutionnistes en arri;re. C'est possible dans le cas o; nous entrons dans la p;riode de longue dur;e de la haute probabilit; des grands accidents, mais une petite probabilit; des accidents globaux. ; un certain sens avec la deuxi;me moiti; du XX si;cle nous nous trouvons dans cette p;riode. N;anmoins, cela ne nous a pas emp;ch; s'approchera avec succ;s de ce moment, quand avant la cr;ation de plusieurs moyens de la destruction globale g;n;rale sont rest;es, probablement, les dizaines des ann;es.
       ; quelque sens il "serait agr;able" de d;montrer le th;or;me que l'accident global est impossible, parce que ne feront pas s'en approcher de tr;s grands accidents. Cependant ce th;or;me porterait exceptionnellement âåðîÿòíîñòíûé le caract;re, puisque certaines supertechnologies dangereuses peuvent appara;tre ; n'importe quel moment, particuli;rement ÈÈ.
       En outre n'importe quelle grande avarie (mais plus petit de l'accident rejetant en arri;re) augmente îñîçíàííîñòü les gens en ce qui concerne les risques. Bien qu'il y a ici un clich; d;fini : l'attente de la r;p;tition de l'exactement m;me risque.
L';volution d;passant de la personne
       Par encore une id;e, qui donne l'espoir important de la survie, est l'id;e de ce que les proc;s êèáîðãèçàöèè de la personne iront plus vite, que les proc;s de la cr;ation des armements dangereux. Par exemple, si remplacer la plupart des organismes du corps humain par leurs analogues m;caniques, la personne deviendra invuln;rable vers l'action de l'arme biologique. Le chargement de la conscience ; l'ordinateur fera la personne en g;n;ral par ind;pendant du destin du corps, puisque probablement copiage de r;serve de l'information, et en outre ces ordinateurs peuvent ;tre le montant avec le grain de poussi;re et peuvent se cacher dans la zone des ast;ro;des. Dans ce cas seulement la destruction compl;te physique du Syst;me solaire et ses alentours am;nera ; la destruction de tels "supergens". Cependant dans quelle mesure telles installations seront notamment les gens, et non par les vari;t;s de l'intelligence artificielle, dire il est difficile. En outre ce sc;nario, bien que soit th;oriquement possible, mais n'est pas tellement probable pour que l'on pouvait y compter. Enfin, il peut simplement ne pas avoir le temps dans le temps, puisque la cr;ation l'arme est beaucoup plus facile, que êèáîðãèçàöèÿ de la personne.
       Un autre moment est que êèáîðãèçàöèÿ ouvre les nouveaux risques li;s ; la d;faite des parties du corps humain artificielles par les virus informatiques. Le premier ;v;nement de telle sorte est devenue r;cemment r;alis; (dans les buts d'exposition par les experts de la s;curit;) l'attaque sur êàðäèîñòèìóëÿòîð avec la gestion par le canal radio, pendant lequel il ;tait reprogramm; sur un autre mode que pourrait amener potentiellement ; la mort du patient, si l'exp;rience se r;alisait sur la personne vivante. Futur êèáîðãèçèðîâàííûé la personne contiendra mille äèñòàíöèîííî des installations dirig;es m;dicales.
Le r;le possible des organisations internationales dans la pr;vention de l'accident global
       Nous ne connaissons pas absolument, qui doit s'occuper notamment de la pr;vention des accidents globaux. De mal en pis il y a probablement beaucoup d'organisations et les particuliers, pr;t de cela s'occuper – qui contre ce que commencer le sauveur du monde ? (Cependant encore le couple d'ann;es en arri;re dans le monde il n'y avait pas aucune personne, qui travaillerait notamment sur le sujet de la pr;vention de l'accident global comme par le probl;me interdisciplinaire et recevrait pour cela le salaire.) nous ;num;rerons diff;rent «les genres fonctionnels» les organisations, qui pourraient r;pondre pour la pr;vention des risques de l'accident global.
       1) les "ONUS". Les chefs des gouvernements mondiaux d;cident ensemble, comme venir ; bout des risques. Ainsi luttent maintenant avec l';l;vation de la temp;rature. Mais tout s'accorder ne peuvent pas. Sont accept;s finalement le plus faible et le compris. Les ;tats ne sont pas pr;ts ; remettre le pouvoir dans l'ONU.
       2) «le gouvernement Mondial». Le probl;me comprend dans la possibilit; de sa formation. Le proc;s la cr;ation du gouvernement mondial est grosse de la guerre que cr;e le risque global. En outre un tel gouvernement ne peut pas ;tre neutre. Du point de vue d'uns groupes il sera le porte-parole des int;r;ts des autres groupes. Il sera ou faible, ou totalitaire. Le gouvernement totalitaire engendrera la R;sistance, la lutte avec cette R;sistance est grosse des attentats immenses et cr;e les nouveaux risques globaux.
       3) les Services secrets, qui r;sistent secr;tement aux risques globaux. Luttent ainsi avec les terroristes. Les probl;mes : le caract;re secret conduit ; la perte de l'information. Il y a une comp;tition des services secrets. La confusion des int;r;ts nationaux et humains est possible – puisque les services secrets servent ; l';tat, et non les gens en g;n;ral. Les services secrets en vertu de la sp;cificit; ne sont pas aiguis;s sur la vision gradu;e ; long terme des probl;mes complexes et ne peuvent pas ind;pendamment estimer, sans attirer les experts ;trangers, les risques des technologies n'existant pas encore.
       4) les groupes Secrets des particuliers. Il est possible qu'une certaine organisation secr;te priv;e mettra par le but de combler de bienfaits tout des humanit;s ò. Cependant l';tape interm;diaire est une cr;ation, probablement, le gouvernement secret mondial. Les probl;mes : la comp;tition des sauveteurs (puisque de telles organisations secr;tes peut ;tre beaucoup, mais les m;thodes et les tableaux du monde chez tous chez eux diff;rent), la n;cessit; du passage vers le point «le gouvernement mondial». L'aversion des complots dans la soci;t; et la r;sistance par lui du c;t; des services secrets. La confusion personnel et les objectifs communs. M;me Ben Laden pense que notamment de lui «le califat universel» sera le sauvetage de l'humanit; de ìåõàíèñòè÷íîãî et l'Ouest ;go;ste. Les groupes priv;s de la cr;ation fort ÈÈ peuvent comprendre aussi que recevront aux mains l'arme absolue, et avoir les plans selon son application pour l'usurpation sur le monde. Dans tous les cas, la soci;t; secr;te sous-entend tr;s souvent la pr;sence du stade planifi; de la "r;volte" – l';tablissement ;vident ou implicite du pouvoir et l'influence sur tout le monde, par voie de la p;n;tration ou la mainmise directe. Et, certainement, ici il se heurte ; la comp;tition des autres telles soci;t;s, ainsi que la r;sistance de la soci;t; et les services secrets.
       5) la discussion Ouverte et l'autoorganisation dans la soci;t;. Certains auteurs, par exemple, D.Brin251, trouvent que l'alternative aux organisations secr;tes et les projets gouvernementaux dans l'affaire de la pr;vention des risques globaux serait l'autoorganisation des citoyens responsables, qui am;nerait ; la cr;ation de ce que s'appelle en anglais Reciprocal accountability – l'obligation de rendre des comptes mutuelle, quand les actions des services contr;lant sont accessibles au contr;le de ceux qui ils contr;lent. Les probl;mes d'une telle approche sont ;vidents : le pouvoir de la soci;t; n'est pas grand, et il n'y a pas de soci;t; commune universelle, capable de s'accorder – mais si ces mesures ne sont pas accept;es seulement dans un pays par ceux-ci sont effectifs. Il y avoir ;tre un certain organisme, que ces discussions influencent. En outre puisque m;me un petit groupe des gens est secr;tement capable de cr;er la menace ; l'existence, il est simple ñëåæåíèÿ pour les voisins insuffisamment. ; pr;sent on forme d;j; le r;seau des organisations publiques ouvertes ;tudiant les probl;mes des risques globaux et finan;ant les ;tudes de leur pr;vention est Lifeboat Foundation, le Centre des Nanotechnologies responsables (CRN), l'Alliance selon le sauvetage de la civilisation, Ñèíãóëÿðèòè l'Institut (SIAI). La plupart de ces organisations sont fond;s aux ;tats-Unis, leur budget moins de million de dollars chez chacune que ne suffit pas, et ils sont financ;s sur les dons priv;s. En cons;quence, le r;sultat de leur activit; vers la vraie opinion – seulement la publication des articles et la discussion des variantes. En outre Ñèíãóëÿðèòè l'institut s'occupe directement de l';laboration amical ÈÈ. Ces organisations ;changent des informations, les ressources et les collaborateurs. D'autre part, pratique l'influence des diff;rents fonds de bienfaisance sur la soci;t; ne suffit pas extr;mement. Beaucoup plus des moyens et l'attention re;oivent les fonds, qui s'occupent des probl;mes moins consid;rables, que le sauvetage de l'humanit;. En Russie les fonds de bienfaisance sont compromis par les soup;ons des liens ou avec la mafia, ou avec les services secrets ;trangers. Par le meilleur exemple de l'influence de la soci;t; sur les r;gents est la lecture les r;gents des livres, bien que cela et n'aide pas toujours. Le pr;sident Kennedy a ;vit; la guerre au cours de la crise Des Cara;bes, dans une grande mesure parce que se passionnait ; ce moment pour le livre Áàðáàðû Òàêìàí «Ao;t 1914» sur le d;but de la Premi;re Guerre mondiale, o; est montr;, comment la guerre a commenc; contrairement ; la volont; et les int;r;ts des parties. Les ;tudes de K.Sagana et N.Moiseeva sur l'hiver nucl;aire ont pouss;, probablement, l'URSS et les ;tats-Unis vers le d;sarmement. Les futurs pr;sidents sont form;s dans tous les cas dans un certain milieu de vie culturelle et portent en haut ïî÷åðïíóòûå dans elle les id;es. Le changement du niveau moyen de la compr;hension, la cr;ation du fond d'information peut amener tout ; fait ; ce que les r;gents absorberont indirectement certaines id;es. En effet, non de l'air il y avait maintenant un programme pour les nanotechnologies en Russie! Quelqu'un quelque part sur eux a lu et a pens;.
       6) Ne pas emp;cher le syst;me ñàìîíàñòðîèòüñÿ. Il est possible que la lutte entre diff;rent par "les sauveurs du monde» se trouvera plus mal, que l'inaction compl;te. Cependant il est impossible r;aliser une telle strat;gie, puisqu'elle demande l'accord unanime – de quoi il n'arrive jamais. Il y aura toujours quelques sauveurs du monde, et il leur faut ;claircir, qui parmi eux principal.
       La question m;me pas qu'il y avait une organisation, qui peut et veut pr;venir les risques globaux, mais que les pays du monde d;l;guent enti;rement ; celle-ci telles responsabilit;s que semble beaucoup moins probable. L'exemple positif et tr;s indicatif est ce que l'humanit; a manifest; la capacit; ; s'unir ; la face du danger ;vident et clair aux coalitions de type diff;rent antifascistes et antiterroristes et assez effectivement agir, le but ;tait pond;rable, total et clair.
L';ternit; de l'Univers et la question sur îêîí÷àòåëüíîñòè de la disparition humaine
       Tout ; fait mat;rialiste est la supposition selon l';ternit; de l'Univers. Si cela ainsi, on peut attendre que dans elle appara;t ou il y a d;j; des mondes tous possibles. Y compris, dans elle sont infinis beaucoup de mondes peupl;s de la vie raisonnable, et donc, la raison dans l'Univers ne dispara;tra pas avec la personne. De plus, il en r;sulte que m;me en cas de la disparition humaine, il y aura un jour et quelque part un monde ne se distinguant presque pas de la Terre, et dans lui il y aura des essentiels avec le m;me code g;n;tique, comme chez les gens. Il en r;sulte que les gens ne pourront jamais dispara;tre en g;n;ral de l'Univers, comme ne peut pas, par exemple, dispara;tre d'elle, par exemple, le nombre 137 (puisque, grosso modo, on on peut pr;senter tout ãåíîêîä la personne en forme d'un tr;s long nombre). Parmi les th;ories physiques supposant la pluralit; des mondes, il faut mettre en relief la conception Ìóëüòâåðñà Ýâåðåòòà (l'essentiel par laquelle comprend dans l'acceptation de cette interpr;tation de la m;canique des quanta, qui la division du monde ; chaque possibilit; du choix, et par cons;quent sous-entend, le branchage infini des variantes du futur), ainsi qu'une s;rie d'autres th;ories (par exemple, l'inflation cosmologique chaotique). Plus en d;tail sur les applications philosophiques de la th;orie de l'inflation cosmologique voir l'article Îëóìà, Âèëåíêèíà et Êíîáà «les cons;quences Philosophiques de la cosmologie inflationniste».252
       Une plus forte cons;quence de ces th;ories est la supposition selon ce que se r;alisent les variantes toutes possibles du futur. Dans ce cas l'accident d;finitif global devient l';v;nement impossible, puisqu'il y aura toujours un monde, dans lequel elle ne s'est pas pass;e. Pour la premi;re fois cela a marqu; Ýâåðåòò, ;tant arriv; ; la conclusion que ;;;;;;;;;; (c'est-;-dire la r;alit; actuelle des alternatives toutes possibles quantiques) signifie l'immortalit; personnelle pour la personne, puisque, de quel il de la raison a p;ri, il y aura toujours une variante de l'univers, dans laquelle il n'a pas p;ri ; ce moment. Connu ôèçèê M Òåãìàðê a illustr; cette id;e par l'exp;rience mentale sur quantique ñàìîóáèéñòâå253. Puis cette id;e a d;velopp; Äæ. Si Õèããî dans l'article «Signifie l'immortalit; ìíîãîìèðíàÿ l'interpr;tation de la m;canique des quanta» 254. Dans mes commentaires sur la traduction de l'article Õèããî j';cris que l'authenticit; de la th;orie sur Ìóëüòâåðñå n'est pas la condition sine qua non pour l'authenticit; de la th;orie sur l'immortalit; li;e ; la pluralit; des mondes. Pour l'authenticit; ìíîãîìèðíîãî de l'immortalit; il suffit seulement l';ternit; de l'univers. C'est-;-dire cette th;orie sur ìíîãîìèðíîì l'immortalit; travaille et pour les automates non quantiques finaux : pour n'importe quel essentiel final dans l'univers infini il y aura un exactement m;me essentiel, qui passera l'exactement m;me carri;re, except; que ne mourra pas au dernier moment. Mais cela ne signifie pas du tout une belle et agr;able immortalit;, puisque l'alternative de la mort peut ;tre la blessure lourde.
       On peut appliquer l'exactement m;me raisonnement et ; toute la civilisation. Il y aura toujours une variante du futur, dans laquelle la civilisation humaine ne dispara;t pas, et si les variantes toutes possibles du futur existent, cela signifie l'immortalit; de notre civilisation. Cependant cela ne signifie pas que l'on nous garantit la prosp;rit;. Autrement dit, si prouver íåóíè÷òîæèìîñòü l'observateur, il en r;sulte qu'il y avoir exister une certaine civilisation le soutenant, cependant pour cela assez d'un bunker avec tout n;cessaire, et non l'humanit; prosp;rant.
Les suppositions selon ce que nous vivons dans la "Matrice".
       Les bases de l'analyse scientifique de ce probl;me sont mises personne Áîñòðîìîì dans son article «le Raisonnement sur la simulation».255 Plusieurs conceptions religieuses on peut faire pseudoscientifique, ayant introduit la supposition que nous vivons dans le monde simul;, probablement, cr;; ; l'int;rieur du superordinateur avec les forces d'une certaine supercivilisation. D;mentir ce que nous vivons dans la matrice, il est impossible, mais on pourrait prouver cela, si dans notre monde il y avait certains miracles improbables incompatibles avec toutes les lois physiques (par exemple, dans le ciel il y avait une inscription des supernouvelles ;toiles).
       Il y a cependant une conception qu'il y avoir se passer un accident global, si les ma;tres de cette simulation soudain la coupent (Áîñòðîì). On Peut montrer que dans ce cas entrent en vigueur les arguments d;crits dans l'article Äæ. Õèããî sur ìíîãîìèðíîì l'immortalit;. ; savoir, ce que nous vivons dans la Matrice, il est probable seulement dans le cas o; la multitude de simulations possibles est tr;s grande. Cela fait probable l'existence de la quantit; consid;rable de simulations tout ; fait identiques. La destruction d'un des copies n'influence aucunement la marche de la simulation, ainsi que l'incin;ration d'un des exemplaires du roman «la Guerre et le monde» n'influence pas la relation des personnages. (De plus aucuns arguments sur la douche, les continuit;s de la conscience et d'autres facteurs non copi;s ne travaillent pas, puisqu'il est suppos; d'habitude que la "conscience" ; la simulation est impossible en g;n;ral.)
       Donc, aucune menace le d;branchement complet de la simulation ne pr;sente pas. Cependant si nous vivons quand m;me dans la simulation, les ma;tres de la simulation peuvent faire sauter ; nous un certain probl;me peu probable naturel, quand m;me pour compter notre conduite dans les conditions de la crise. Par exemple, ;tudier, comme les civilisations se comportent en cas de l';ruption des supervolcans. (Mais n'importe quelle supercivilisation sera int;ress;e ; ïðîñ÷èòûâàíèè de diff;rentes variantes du d;veloppement pr;c;dent, par exemple pour estimer la fr;quence de la vari;t; des civilisations dans l'Univers.) on peut supposer de plus que les ;v;nements extr;mes cruciaux deviendront plus souvent les objets du modelage, particuli;rement les moments, quand le d;veloppement pouvait enti;rement cesser, c'est-;-dire les risques globaux. (Mais nous vivons juste dans la r;gion d'un tel ;v;nement que, selon áàéåñîâîé ; la logique, augmente la probabilit; de l'hypoth;se sur ce que nous vivons dans la simulation.) Autrement dit, dans les simulations beaucoup il y aura plus souvent des situations du risque global. (De la m;me mani;re au cin;ma beaucoup montrent plus souvent les explosions, que nous les voyons ; la r;alit;.) et donc, cela augmente nos chances de se heurter ; la situation proche de l'accident global. De plus, puisque l'accident lui-m;me global dans le monde des simulations est impossible, car il y aura toujours des simulations, o; «de principaux h;ros ne meurent pas», ici le sc;nario le plus probable sera la survie ãîðñòêè des gens apr;s un tr;s grand accident. Nous reviendrons ; la question sur le raisonnement sur la simulation Áîñòðîìà encore ensuite.
       Parfois s'expriment les espoirs que si l'humanit; s'approchera de la limite de l'an;antissement de soi-m;me, «de bons extraterrestres», qui nous suivent il y a longtemps comme si, nous sauveront. Mais sur cela il y a plus d' espoirs, que chez ÿãåí¸íêà, qui d;vorent les lions, sur ce qu'il sera sauv; par les gens retirant sur cela le film documentaire.
Les accidents globaux et l'installation de la soci;t;
       Si l'accident global se passe, elle supprimera n'importe quelle soci;t;. C'est pourquoi l'installation de la soci;t; a une importance seulement sur la phase de la pr;vention des risques. On peut tenter ; lui-m;me pr;senter, bien que cette image et soit beaucoup óòîïè÷íûì, quelle soci;t; est capable de pr;venir le mieux les accidents globaux :
       1. Cette soci;t;, qui a un et seulement un centre de la gestion poss;dant la pl;nitude du pouvoir et une haute autorit;. Cependant il y avoir ;tre de plus une certaine liaison en retour, ne permettant pas ; lui se transformer en dictature autosuffisante et ;go;ste. Cette soci;t; doit poss;der une telle autor;gulation pour que dans lui ne puisse pas appara;tre, mais en cas de l'apparition, se trouverait ; la fois chacun dangereux (du point de vue des risques des accidents globaux) la conduite ou le ph;nom;ne. (L'exemple d'une telle soci;t; pourrait ;tre l';quipe unie du navire.)
       2. Cette soci;t;, qui est point;e vers la survie dans la perspective de longue dur;e historique (les dizaines et centaines d'ann;es).
       3. La majorit; ;crasante des gens doit se rendre compte et accepter des buts et l'installation de cette soci;t;, c'est-;-dire avoir «un haut niveau moral». (Avec le compte de ce que m;me un petit groupe des terroristes pourra causer dans le futur le pr;judice irr;parable, le niveau du soutien doit ;tre proche vers 100 % que, certes, n'est pas r;alis; pratiquement.)
       4. Cette soci;t;, ðóêîâîäèìîå par les gens (ou les syst;mes ÈÈ), assez intellectuellement pr;par; pour qu'il est correct de prendre en consid;ration les risques, qui peuvent appara;tre dans des ans et les d;cennies. En cons;quence, dans cette soci;t; les gens re;oivent la formation int;gre donnant fondamentale et large, mais la vision non superficielle du monde.
       5. Cette soci;t;, dans qui on r;duit au z;ro le nombre des conflits, les participants de qui peuvent vouloir utiliser l'arme du dies irae.
       6. Cette soci;t;, pouvant r;aliser le contr;le complet rigide de l'activit; de toutes les tranches, qui peuvent cr;er les risques globaux. Cependant ce contr;le ne doit pas, se transformer par une certaine image en outil de la cr;ation du risque.
       7. Cette soci;t; ;tre vite pr;te il doit est effectif prendre les mesures suffisantes pour sa pr;vention contre n'importe quel risque global.
       8. Cette soci;t; doit mettre les ressources consid;rables dans la cr;ation des bunkers de type diff;rent, les ;tablissements spatiaux etc. En r;alit;, cette soci;t; doit examiner la survie comme une principale t;che.
       9. Cette soci;t; doit est rendu compte cr;er les nouvelles technologies en ordre juste choisi par lui dans les places sp;cialement conduites. Il doit ;tre pr;t refuser m;me des technologies tr;s int;ressantes, si est incapable exactement contr;ler ou quand m;me mesurer leur risque.
       10. Cette soci;t; doit appara;tre sans guerre mondiale, puisque autrement le risque en train de son apparition p;se le profit une telle soci;t;.
       De plus je n'examine pas le mod;le de la soci;t; semblable dans les termes "d;mocratique", "de march;", "communiste", "totalitaire" etc. – je crois que ces termes sont employ;s vers la soci;t; du XX si;cle, mais non les XXI si;cles. Mais il semble ;vident que la soci;t; moderne se trouve extr;mement loin de tous ces param;tres de la soci;t; capable vers la survie :
       1. Par la Terre il n'y a pas de centre commun universellement admis autoritaire du pouvoir, mais est beaucoup de souhaitant pour lui lutter. La liaison en retour en forme des ;lections et la libert; de parole trop ýôåìåðíà pour r;ellement influencer les d;cisions, surtout, ; l';chelle globale. Les instituts communs mondiaux, comme les ONUS, ;prouvent la crise.
       2. La plupart des gens agit dans les int;r;ts personnels ou les int;r;ts des groupes, m;me si les paroles vont sur les mots sur les int;r;ts humains. Les gens il y a beaucoup de, il y a un pour-cent de ceux qui non contre ou m;me aspire ; la destruction totale. Aussi ; l'int;rieur de la soci;t; se r;pandent les id;es-memy concurren;ant, qui âçàèìîèñêëþ÷àþò l'un l'autre : le nationalisme de type diff;rent, l'islamisme, l'antiglobalisme, le cynisme. (Sous le cynisme j'ai en vue la somme assez r;pandue des persuasions : tout – est mauvais, l'argent gouverne le monde, je fais tout seulement pour lui-m;me, des miracles il n'arrive pas, le futur n'a pas la signification, «ïèïë õàâàåò» etc.)
       3. La soci;t; moderne ; consid;rablement áîëüøåé les degr;s est orient;e vers la r;ception des biens dans la perspective ; court terme, que sur la survie ; long terme.
       4. ; partir des actions de plusieurs chefs des ;tats modernes, il est difficile de confier que cela notamment ces gens, qui sont point;s vers la survie ; long terme de tout le monde. Et cela se passe en plusieurs cas de ce qu'il n'y a pas de tableau clair et courant des risques. Plus exactement – ce qu'est, n'est pas compl;te et ;clipse de plus importants risques (; savoir, ce c'est le tableau, o; les ast;ro;des plus l';l;vation de la temp;rature l'essentiel les principaux risques – cependant m;me apr;s la reconnaissance de ces risques en ce qui concerne eux se fait insuffisamment). Bien qu'il y a un nombre de gens consid;rable, qui peuvent et veulent donner la compr;hension claire sur les risques, le niveau du bruit d'information est tel que les entendre il est impossible.
       5. Dans la soci;t; moderne beaucoup de conflits dangereux en rapport avec une grande quantit; de pays, les partis et les groupes est religieux-extr;mistes. Difficilement m;me les compter.
       6. M;me un tr;s haut contr;le dans uns pays áåññìûñëåí, il y a des territoires inaccessibles au contr;le. Il y a des ;tats souverains, le contr;le complet total est impossible. Cependant dans les cas o; le contr;le appara;t, il commence ; ;tre utilis; ici non seulement pour la lutte avec les risques globaux, mais aussi pour les buts personnels de ces groupes, qui r;alisent le contr;le – ou, en tout cas, une telle impression est cr;;e (la guerre ; l'Iraq).
       7. La soci;t; est divis;e en ;tats s;par;s arm;s, l'acceptation rapide des mesures de la localisation de la menace est impossible les (coordinations) ou est gros du d;clenchement de la guerre nucl;aire.
       8. Au terme de l';poque de la guerre "froide" la construction des bunkers s'est ;teinte relativement.
       9. La soci;t; moderne ne se rend pas compte de la survie comme le but principal, mais ceux qui sur cela parlent, ont l'air ìàðãèíàëàìè.
       10. Les technologies modernes se d;veloppent spontan;ment. Il n'y a pas d'id;e nette de celle qui, o;, quel et pourquoi les technologies d;veloppe – m;me assez facilement îáíàðóæèìûõ des productions nucl;aires.
       11. Bien que le proc;s du groupement contractuel aille activement en Europe, l'autre partie du monde n'est pas pr;te, si cela est possible, paisiblement de s'unir en g;n;ral. L'autorit; de plusieurs organisations internationales, au contraire, baisse. (Cependant, s'il arrivera quelque part grand, mais non d;finitif les accidents, probablement groupement temporaire ; l'esprit de "la coalition antiterroriste».)
       Il est aussi important de souligner que la soci;t; classique totalitaire n'est pas la panac;e des accidents globaux. En effet, la soci;t; totalitaire peut vite mobiliser les ressources et aller aux pertes consid;rables pour l'acquisition du but. Cependant le probl;me principal d'une telle soci;t; est une opacit; d'information, qui diminue le degr; de la volont; et la clart; de la compr;hension des ;v;nements se passant. Les exemples : l'erreur de Staline dans l'estimation de la probabilit; du d;but de la guerre avec l'Allemagne. Ou la c;cit; äðåâíåêèòàéñêîãî les soci;t;s en ce qui concerne les perspectives militaires de la poudre et les t;l;matiques – le compas et le papier, qui ;taient invent;s l;.
Les accidents globaux et la situation en cours dans le monde
       D'une part, peut se montrer que la rotation de la vie politique dans le monde moderne se concentre graduellement autour de la pr;vention des accidents ;loign;s globaux, trois sont consid;r;s comme les sources possibles de qui en premier lieu : le d;ploiement SUR, l';l;vation de la temp;rature globale et le programme nucl;aire de l'Iran (et dans une plus petite mesure la s;rie d'autres, par exemple, ïðîòèâîàñòåðîèäíàÿ la protection, la s;curit; ;nerg;tique etc.) Je crois que le lecteur attentivement pris connaissance du texte de ce livre, comprend que, bien que ces deux probl;mes soient consid;rables et, dans le compte final, peuvent augmenter les chances de la disparition humaine, en r;alit; notre monde est extr;mement ;loign; de la compr;hension des ;chelles et m;me les aspects des menaces surplombant. Malgr; toutes les conversations, l'accident global n'est pas per;u comme quelque chose r;el, ; la diff;rence de 60 ans, quand le risque de l'accident signifiait directement la n;cessit; de la pr;paration de l'abri antia;rien. On peut comparer l';tat moderne de la qui;tude seulement ; cette agr;able relaxation, qui, comme on dit, r;gnait ; la Perle-harbore avant l'incursion des Japonais. En outre ; titre des risques globaux on se rend compte la chute des ast;ro;des, l';puisement des ressources et le risque de la guerre totale nucl;aire, mais ces sujets ne sont pas on ne sait pourquoi les objets de la discussion active politique.
       On peut examiner deux sujets : pourquoi on choisit notamment cette liste des accidents (l'Iran, SUR et l';l;vation de la temp;rature), et comme la soci;t; s'adresse avec celui-l; la liste des risques, qui est reconnue. Cependant la r;ponse aux deux questions un : le contenu principal des discussions sur les menaces de la civilisation moderne comprend notamment la discussion ; l'esprit «mais s'il y aura un gar;on ?» Fait ou non l'Iran la bombe, et si elle est dangereuse ? Si les gens sont coupables de l';l;vation de la temp;rature globale et si se trouve avec lui lutter ? Au propre, le proc;s de la r;daction de cette liste est le proc;s de la lutte politique, ; qui participent tels facteurs, comme la comp;tition des hypoth;ses les plus convaincantes et les plus avantageuses.
Le monde apr;s l'accident global
       Pourvu que soit gradu; l'accident global, clairement que tout Log; dans elle ne p;rira pas (si seulement cela non la d;sagr;gation du vide m;tastable, mais m;me dans ce cas resteront les univers parall;les). Quelque vie raisonnable appara;tra dans elle sur une autre plan;te, et sera plus de telles places, il est plus grand que les chances que cette vie sera semblable ; notre. ; ce sens l'accident d;finitif global est impossible. Cependant si l'accident global comprend notamment la Terre, alors quelques variantes sont possibles.
       Conform;ment aux positions ñèíåðãåòèêè, le point critique signifie qu'il y a un peu, un nombre fini, les sc;narios, entre qui il y aura un choix irr;versible de la direction du mouvement. Quoi que beaucoup il y avait des sc;narios possibles de l'accident global, une quantit; d';tats d;finitifs beaucoup moins. Dans notre cas il s'agit des variantes suivantes :
       1. La destruction compl;te de la Terre et la vie sur elle. L';volution ult;rieure est impossible, bien que peut-;tre certaines bact;ries survivent.
       2. Les gens ont disparu, cependant la biosph;re s'est gard;e en tout, et l';volution des autres esp;ces animales se prolonge. Comme la variante – les gens s;par;s modifiant ou les singes cr;ent graduellement un nouvel aspect raisonnable.
       3. «La mucosit; grise». Une certaine "n;crosph;re" primitive (le terme de S.Lema du roman "Invincible") de íàíîðîáîòîâ a surv;cu. Dans elle il y avoir ;tre une ;volution. La variante – les usines autoreproduites selon la production des grands robots ont surv;cu, mais ils ne poss;dent pas le pr;sent ÈÈ.
       4. «Ïîñòàïîêàëèïòè÷åñèé le monde». La civilisation technologique s'est ;croul;e, mais le nombre de gens d;fini a surv;cu. Ils s'occupent ñîáèðàòåëüñòâîì et par l'agriculture, les facteurs des menaces anthropiques ; l'existence ont disparu. (Cependant le proc;s de l';l;vation de la temp;rature globale peut se prolonger pour le compte des proc;s lanc;s auparavant et devenir irr;versible.) de ce sc;nario il y a des possibilit;s du passage vers d'autres sc;narios – vers une nouvelle civilisation technologique ou vers la disparition d;finitive.
       5. L'intelligence ; puissance renforc;e artificielle a ;tabli le pouvoir sur le monde. Les gens ont disparu ou sont ;vinc;s sur l'accotement de l'histoire. De plus – l'attention! – du point de vue des gens cela peut avoir l'air comme le monde de l'abondance g;n;rale : chacun recevra la vie non limit;e et le monde virtuel par-dessus le march;. Cependant les d;penses du syst;me sur la distraction des gens seront minimales, de m;me que le r;le des gens dans la gestion du syst;me. Ce proc;s – les autonomisations de l';tat de la personne et la r;duction du r;le des gens dans lui – va d;j;. M;me si la superintelligence appara;tra gr;ce au perfectionnement des gens s;par;s ou leur fusion, il ne sera plus la personne – en tout cas, du point de vue des gens ordinaires. Sa nouvelle complexit; p;sera ses racines humaines.
       6. L'issue positive – voir plus en d;tail chapitre suivant. Les gens ont cr;; tel ; puissance renforc;e ÈÈ, qui dirige le monde, au maximum ðåàëèçóÿ le potentiel des gens et les valeurs humaines. Ce sc;nario a fin, mais la diff;rence essentielle avec ce sc;nario, qui laisse aux gens seulement la sph;re des distractions virtuelles et les plaisirs. Cette diff;rence – comme entre le r;ve sur l'amour et le vrai amour.
       Presque chacune de ces variantes est stable àòòðàêòîðîì ou le lit du d;veloppement des ;v;nements, c'est-;-dire apr;s le passage du point critique il commence ; attirer chez lui-m;me les diff;rents sc;narios.
Le monde sans accident global : la meilleur variante r;aliste de la pr;vention des accidents globaux
       Le genre demande «õýïïè ýíäà». Si l'accident global serait absolu est in;vitable, il ne fallait pas et ;crire de ce livre, puisque seul que resterait aux gens ; la face de l'accident in;vitable cela arrangera «le festin devant la peste». Mais m;me si les chances de l'accident sont tr;s grandes, nous pouvons consid;rablement ajourner son arriv;e, en la diminuant ïîãîäîâóþ la probabilit;.
       Je (et une s;rie d'autres investigateurs) vois ces chances dans un tel d;veloppement d;passant des syst;mes de l'intelligence artificielle, qui d;passe le d;veloppement des autres risques, mais simultan;ment ce d;veloppement doit est d;pass; par la croissance de notre compr;hension des possibilit;s et les risques le plus ÈÈ, et par notre compr;hension de celui-l;, comment correctement et il est s;r de fixer devant lui la t;che, c'est-;-dire comme cr;er "Amical" ÈÈ. Et puis sur la base de cet Amical ÈÈ cr;er le syst;me commun des accords mondiaux entre tous les pays, dans qui celui-ci ÈÈ exercera les fonctions du syst;me Automatis; de l'administration d';tat. Ce plan suppose le passage harmonieux et de paix vers en effet futur majestueux et s;r.
       Et bien que je ne pense pas que notamment ce plan se r;alise facilement et impeccablement, ou qu'il est en effet probable, je crois, il pr;sente le meilleur, ; quoi nous pouvons aspirer et quoi nous pouvons atteindre. On peut exposer l'essentiel lui dans les th;ses suivantes, les premiers deux de qui sont n;cessaires, mais le dernier – extr;mement d;sirable :
       1) Nos connaissances et les possibilit;s de la pr;vention des risques grandiront consid;rablement plus vite risques possibles.
       2) De plus ces connaissances et les possibilit;s de la gestion n'engendreront pas les nouveaux risques.
       3) Ce syst;me appara;t paisiblement et sans douleur pour tous les gens.
       
Le chapitre 24. Les moyens indirects de l'estimation de la probabilit; de l'accident global
       Les moyens indirects de l'estimation utilisent non les donn;es sur l'objet de l';tude, mais de diff;rentes sources indirectes de l'information, comme les analogies, les r;gularit;s totales et les limites sup;rieures. C'est la question est examin; en d;tail Áîñòðîìîì dans l'article «les Menaces ; l'existence». Il y a quelques moyens ind;pendants d'une telle estimation.
La loi Ïàðåòî
       La loi Ïàðåòî est en d;tail examin;e G.G.Malinetskim conform;ment ; de divers accidents dans le livre «le Risque. Le d;veloppement stable. Ñèíåðãåòèêà». Son essentiel est que la fr;quence (plus exactement, le rang dans la liste) un certain accident est li;e ; son ;chelle par la loi tr;s simple :
       
       O; mais – le param;tre ayant une importance a = - 0,7 pour le cas des victimes des cataclysmes. La loi Ïàðåòî porte le caract;re empirique, et a l'air comme la ligne droite sur le graphique logarithmique avec l'angle de l'inclinaison, proportionnel mais. L'exemple typique de la loi Ïàðåòî est l';nonciation comme : «Avec la croissance ìàãíèòóäû sur 1 point le tremblement de terre se passe ; 10 fois moins souvent». (Mais un point ìàãíèòóäû est ;gal ; l'accroissement de l';nergie ; 32 fois, et cela s'appelle la loi de la r;p;tition Gutenberga-Rihtera. Pour grand ýíåðãèé le param;tre d;marre, et 1 point de l'accroissement du c;t; de 7-9 points donne la r;duction de la fr;quence ; 20 fois, c'est-;-dire si les tremblements de terre ìàãíèòóäîé 7-7,9 points se passent 18 fois par an, de 8 points – fois par an, mais 9-de bal – une fois de 20 ann;es.) La particularit; de cette loi est son universalit; pour de diff;rentes classes des ph;nom;nes, bien que la signification du param;tre puissent se distinguer. Cependant en cas du nombre des victimes des cataclysmes la signification du param;tre dans le param;tre du degr; fait non-1, mais - 0,7 qu'appesantit consid;rablement la queue de la distribution.
       Dans cette distribution nous int;resse, comme souvent dans le temps il y avoir arriver des accidents, en lesquels le nombre attendu des victimes surpasserait la population actuelle de la Terre, c'est-;-dire il y avait de l'ordre de 10 milliards personne. Si nous acceptons la loi Ïàðåòî avec a = - 1, c'est-;-dire ; dix fois le plus fort ;v;nement se passe ; dix fois moins souvent, l'accident avec 10 milliards de victimes (c'est-;-dire ãàðàíòèðîâàííî bloquant la population de la Terre) se passera environ une fois de 500 000 ann;es. Ce nombre a l'ordre du temps de l'existence de l'aspect Homo Sapiens. C d'une autre partie, si prendre a = - 0,7 (que signifie qu'; dix fois le plus fort ;v;nement se passe seulement ; 5 fois moins souvent, ainsi que dans la supposition que les accidents naturels avec le nombre des victimes plus de 100 000 personnes se passent une fois dans 10 ans), avant l'accident de l';chelle de toute l'humanit; il y aura seulement environ 30 000 ans. Cela tout pr;s par ordre l'humanit; s'av;ra la valeur ; ce temps, qui a pass; d;s le moment de l';ruption du volcan Òîáà – 74000 ans – quand ; la fronti;re de la disparition. Nous voyons que le poids de la queue de la distribution d;pend fortement de la valeur du param;tre mais. Cependant les cataclysmes ne cr;ent pas le risque consid;rable du XXI si;cle ; n'importe quelles significations raisonnables mais.
       Cependant beaucoup nous recevrons le r;sultat pire, si nous appliquerons cette loi aux guerres et les actes de terreur. De plus la loi Ïàðåòî ne prend pas en consid;ration le caract;re exponentiel du d;veloppement. Dans les cas r;els pour chaque classe des ;v;nements nous avons la fronti;re sup;rieure de la loi de l'applicabilit; de la loi Ïàðåòî, par exemple, il est suppos; que n'arrive pas des tremblements de terre avec ìàãíèòóäîé plus que 9,5. Cependant la multitude elle-m;me de diff;rentes classes des ;v;nements non îãðàíè÷åííî.
       En d;tail la loi de la distribution grave des accidents et la menace ; la disparition ; l'humanit; est examin;e dans l'article Ðîáèíà Õýíñåíà «l'Accident, le collapsus social et la disparition humaine» 256. Il marque qu'un important facteur est la dispersion de la viabilit; des gens s;par;s. Si cette dispersion est grande, pour supprimer tous les gens jusqu'au dernier, est n;cessaire beaucoup, sur quelques ordres, plus fort accident, que celle qui supprime seulement 99 % des gens.
L'hypoth;se sur «la reine Noire»
       En vertu des donn;es pal;ontologiques Âàí Âàëåííîì ;tait d;couvert que les lignes de la disparition des couches des animaux se soumet ; la loi diminuant exponentielle. «Une telle forme des lignes de la survie signifie en r;alit; que la probabilit; de la disparition de la g;n;ration moyenne statistique reste environ ; la constante pendant sa vie» 257. Puisque le temps de la vie des aspects s;par;s ; l'int;rieur de la g;n;ration Homo fait de l'ordre d'un million d'ann;es, nous pouvons attendre la m;me ;tendue de la vie et pour les gens, dans cette mesure, ; quel nous sommes l'aspect ordinaire biologique. Donc, l'hypoth;se sur la reine Noire ne signifie pas le risque essentiel du XXI si;cle.
       D'autre part, ; pr;sent nous vivons pendant une 6-;me grande disparition vivant îðãàíèçìîâ258, cette fois provoqu; par les facteurs anthropiques, qui se caract;risent par la vitesse de la disparition, ; 1000 fois la naturelle surpassant. Si accepter ce que la personne – aussi un des aspects, cela diminue le temps attendu de son existence d'un million d'ann;es ; mille.
Le paradoxe du Fermi
       Encore un moyen non direct ; l'estimation de la probabilit; est fond; sur le paradoxe du Fermi. Le paradoxe du Fermi comprend dans la question suivante :« Si la vie et la raison les faits ordinaires dans la nature, pourquoi nous ne voyons pas leurs manifestations dans l'espace »? Th;oriquement, la vie et la raison pourraient na;tre quelque part sur quelques milliards d'ann;es plus t;t, que par la Terre. Pour ce temps ils pourraient se r;pandre ; centaines de millions d'ann;es lumineuses, quand m;me avec l'aide ñàìîðåïëèöèðóþùèõñÿ des sondes spatiales (appel; les sondes le fond Íåéìàíà). Ce volume comprend mille, mais peut des millions, les galaxies. Lancer l'onde ñàìîðåïëèöèðóþùèõñÿ des sondes interastrales l'humanit; pourrait d;j; dans les 100 ans ; venir. Ce peut ;tre les microrobots, qui s'affaissent sur les plan;tes, font l; les fus;es et les envoient selon l'Univers aux vitesses, est consid;rablement plus bas lumineux – telles installations ne sont pas engag;es ; poss;der l'intelligence ; valeur requise universelle artificielle : le m;me est fait par quelques actinies dans l'oc;an terrestre, seulement ; une plus petite ;chelle. Un tel proc;s peut ;tre par hasard n;glig;, il est simple ; la mise en valeur des plan;tes plus proches avec l'aide ñàìîðåïëèöèðóþùèõñÿ des robots. Tels microrobots consommeront en premier lieu la mati;re ferme des plan;tes pour la multiplication. Pour eux les lois de l';volution et la s;lection, analogue ; c'agiront que se trouvent dans le r;gne animal.
       Cependant nous n'observons pas tels microrobots dans le Syst;me solaire, quand m;me parce qu'elle a surv;cu. De plus, a surv;cu non seulement la Terre, mais aussi d'autres corps solides – les compagnons des plan;tes lointaines du Syst;me solaire. Nous non plus observons d'aucuns radiosignaux extraterrestres et aucunes traces àñòðîèíæåíåðíîé de l'activit;.
       D'ici quatre conclusions (bien que proposent et plus – voir le livre Ñòåôàíà Óýááà «50 d;cisions du paradoxe du Fermi» 259, o; on examine 50 diff;rentes variantes, qui, en tout, sont r;duites ; quelques cat;gories plus totales)) sont possibles :
       1. La vie raisonnable appara;t dans l'Univers extr;mement rarement, moins souvent, que dans le volume de la sph;re par le rayon ; 100 millions d'ann;es lumineuses pendant 5 milliards d'ann;es.
       2. Nous sommes entour;s d;j; de la vie raisonnable invisible ; nous, qui nous a permis de se d;velopper de mani;re ou d'autre ou a model; les conditions de notre vie. (La possibilit; de c'ici entre que nous vivons dans le monde enti;rement model;.)
       3. La vie raisonnable p;rit avant qu'ait le temps de lancer quand m;me primitif «l'onde explosive de la raison» des robots-replikatorov, c'est-;-dire p;rit dans l'analogue du XXI si;cle.
       4. La vie raisonnable refuse durement la diffusion au-del; de la plan;te natale. Ce peut ;tre tout ; fait raisonnable de sa partie, puisqu'il est impossible de contr;ler les ;tablissements ;loign;s spatiaux, et donc, d'eux la menace ; l'existence de la civilisation maternelle peut venir. (Il est possible qu'il suffit ; la raison les limites du monde virtuel, ou il trouve la sortie au monde parall;le. Cependant l'exp;rience de la vie par la Terre montre que la sortie sur la terre n'a pas cess; l'expansion de la mer – la vie se r;pand dans tous les sens.)
       Puisque ces quatre hypoth;ses, selon áàéåñîâîé ; la logique, ont les droits ;gaux avant la r;ception de l'information suppl;mentaire, nous pouvons ajouter ; chacun d'eux l'authenticit; subjective ; 1/4. Autrement dit, le paradoxe du Fermi avec l'authenticit; ; 25 % suppose que nous dispara;trons dans le XXI si;cle. Et bien que les probabilit;s subjectives soit pas encore les probabilit;s objectives, que nous aurions, poss;de la pl;nitude de l'information, notre spatial la solitude est un fait anxieux. (D'autre part, si nous nous trouvons ne sont pas solitaires, ce sera aussi le fait anxieux, ; la lumi;re des risques, qu'il y aura une collision possible avec ÷óæåðîäíîé par la civilisation. Cependant cela nous montrera que, au moins, certaines civilisations sont capables de survivre.)
Le th;or;me selon la Fin de la lumi;re - «Doomsday argument». La formule Ãîòòà
       D'une autre mani;re l'estimation indirecte de la probabilit; de la destruction de l'humanit; est l'application sp;cifique et assez contestable du calcul des probabilit; appel;e Doomsday argument (DA), ou le Th;or;me selon la Fin de la lumi;re. Je baisse consciemment le volume immense des arguments existant et les contre-arguments en ce qui concerne cette th;orie et j'expose ici seulement ses conclusions. Au d;but des ann;es 1980 DA ;tait ind;pendamment et sous de diff;rentes formes est ouvert par quelques investigateurs. Les articles principaux sur cette question ;taient publi;s dans la revue principale de sciences naturelles Nature dans le paragraphe des hypoth;ses. DA s'appuie sur un soi-disant postulat Êîïåðíèêà, qui parle que l'observateur ordinaire se trouve, probablement, dans les conditions ordinaires – sur la plan;te ordinaire, pr;s de l';toile ordinaire, dans la Galaxie ordinaire. Ce principe pr;dit effectivement les faits les plus simples : il parle que peu probablement vous ;tes n;s au minuit le 1 janvier, ou que vous vivez peu probablement sur le P;le Nord. Bien que le principe Êîïåðíèêà semble auto;vident et presque òàâòîëîãè÷íûì, il peut ;tre exprim; sous la forme math;matique. ; savoir, il permet de donner l'estimation de la probabilit; de ce que l'observateur se trouve dans les conditions extraordinaires. En particulier, il peut donner âåðîÿòíîñòíóþ l'estimation sur celui-l;, se prolongera combien de temps un certain proc;s, ; partir de celui-l;, combien de temps il se prolonge d;j; (avant l'observation au moment accidentel du temps) – ; partir de la supposition qu'est peu probable que l'observateur s'est trouv; par hasard au d;but ou tout ; la fin du proc;s. Il y a deux formes principales de cette pr;diction math;matique – la ligne droite, dans qui on calcule la probabilit; directe appel;e comme la formule Ãîòòà, et indirect, avanc; par le Carter et Äæ. Ëåñëè, dans qui sont calcul;s áàéåñîâû les corrections vers la probabilit; apriorique. Deux ceux-ci de l'approche ont tent; d'appliquer ; la fois au calcul de l';tendue de la vie attendue de l'humanit;. Le volume des discussions sur cette question fait quelques dizaines des articles, et plusieurs semblant ;vident les d;mentis ne travaillent pas. Je recommande au lecteur s'adressera aux articles traduits par moi de N.Bostroma260 (un d'elles est amen; dans l'application ; ce livre), o; comprend la partie des arguments, ainsi que vers le livre ;tant mentionn; d;j; Äæ. Ëåñëè et l'article Êåéâà261. La discussion principale est construite autour de, si on peut en g;n;ral utiliser les donn;es sur le temps pass; de l'existence de l'objet pour la pr;diction de son futur de l'existence, si et si oui, cela on peut utiliser ces donn;es pour pr;dire le futur nombre de gens et le temps jusqu'; «la fin de la lumi;re». De plus dans les deux cas il se trouve que les estimations r;sultant du futur de l'existence de l'humanit; sont d;sagr;ables.
       Nous examinerons d'abord la formule Ãîòòà. Pour la premi;re fois elle ;tait publi;e ; Nature262 ; 1993ã. L'essentiel de ses raisonnements ;tant ; la base est que si nous observons un certain ;v;nement durant au moment accidentel du temps, cela, probablement, nous nous trouverons dans le milieu de la p;riode de son existence, et nous nous trouverons peu probablement dans les domaines tr;s proche du d;but ou ; la fin. On peut regarder la conclusion de la formule Ãîòòà dans l'article Êåéâà. Nous am;nerons la formule elle-m;me.
       
       
       O; T – l';ge du syst;me au moment de son observation, t – le temps attendu de son existence, mais f – le niveau donn; de l'authenticit;. Par exemple, si f=0.5, avec la probabilit; ; 50 % le syst;me cessera d'exister ; la p;riode de 1/3 jusqu'; 3 ses actuel âîçðàñòîâ de la situation actuelle. ; f=0.95 le syst;me existera avec la probabilit; 95 % de 0,0256 jusqu'; 39 actuel âîçðàñòîâ.
       La formule Ãîòòà trouve l'expression dans l'intuition humaine, quand, par exemple, nous croyons que si une certaine maison est rest;e debout l'ann;e, beaucoup peu probablement il s';croulera ; plus proche quelques secondes. Cet exemple montre que nous pouvons faire âåðîÿòíîñòíûå les ;nonciations sur les ;v;nements uniques, sans conna;tre rien la distribution r;elle des probabilit;s. La plupart des tentatives du d;menti de la formule Ãîòòà est fond;e sur ce que l'on am;ne le contre-exemple, dans qui elle ne travaille pas – cependant dans ces cas on viole le principe de ce que l'objet est observ; au moment accidentel du temps. Par exemple, si prendre les b;b;s ou de tr;s vieux chiens (comme faisait Êåéâ), la formule Ãîòòà ne pr;dira pas la dur;e attendue de leur vie, cependant les jeunes gens ou de vieux chiens ne pas sont les gens ou les chiens pris au moment accidentel du temps.) La formule Ãîòòà ;tait exp;rimentalement contr;l;e, et donnait les r;sultats justes pour le temps de la d;sint;gration radioactive de l'atome du type inconnu, ainsi que pour le temps de l'existence des show de Broadway.
       En ce qui concerne le futur de la civilisation humaine la formule Ãîòòà est appliqu;e non vers le temps, mais vers le rang de la naissance, puisque la population variait in;galement, et se trouver est plus probable ; la p;riode avec une haute densit; de la population. (Cependant si l'appliquer au temps de l'existence de l'aspect, de rien improbable on ne r;ussira pas : avec la probabilit; ; 50 % l'humanit; existera de 70 mille ; 600 mille ann;es.) Il est suppos; que nous, ;tant n;, ont produit l'acte de l'observation de notre civilisation au moment accidentel du temps. De plus nous avons appris que de tout pour l'histoire de l'humanit; il y avait seulement environ 100 milliards de gens. Cela signifie que nous, probablement, se sont trouv;s dans le milieu au segment, et donc que beaucoup peu probablement (avec moins de 0,1 % de la probabilit;) le nombre de gens total sera 100 trillions. Mais cela signifie que cette chance que l'humanit; se r;pandra selon toute la galaxie pendant plusieurs mill;naires, est aussi petit.
       Cependant de cela il faut aussi que peu probablement que nous vivons dans le dernier milliard de n;s des gens, et donc, nous avons, probablement, encore quelques centaines d'ann;es jusqu'; la fin de la lumi;re, personne en prenant en consid;ration la population attendue de la Terre dans 10 milliards. Pour le XXI si;cle la probabilit; de la destruction de la civilisation, ; partir de la formule Ãîòòà appliqu;e chez le rang de la naissance, fait 15-30 %, en fonction du nombre de gens, qui vivront ; cette ;poque. Si ;trange que, cette estimation co;ncidera avec la pr;c;dente, ; la base du paradoxe du Fermi. Certainement, cette question a besoin des ;tudes ult;rieures.
Le raisonnement sur la fin de la lumi;re du Carter-lesli
       Ëåñëè raisonne un peu autrement, que Ãîòò, en appliquant áàéåñîâó la logique. Áàéåñîâàÿ la logique se fonde sur la formule Áàéåñà, qui lie la probabilit; a posteriori d'une certaine hypoth;se ; sa probabilit; apriorique et la probabilit; de la nouvelle portion de l'information, c'est-;-dire les certificats, qui nous avons re;u avec l'appui de cette hypoth;se. (Je recommande de m'adresser dans cette place aux articles traduits par moi Íèêà Áîñòðîìà sur Doomsday Argument, puisque je ne peux pas exposer ici toute la probl;matique dans les d;tails.)
       Ëåñëè ;crit : nous admettrons, il y a deux hypoth;ses sur celui-l;, combien sera de tout des les gens des hommes de Neandertal ; "fin de la lumi;re» :
       La 1-;re hypoth;se : il y aura au total 200 milliards de gens. (C'est-;-dire la fin de la lumi;re arrivera au mill;naire plus proche, puisque de tout par la Terre 100 milliards de gens d;j; vivaient.)
       La 2-;me hypoth;se : sera au total 200 òðëí. Des gens (c'est-;-dire les gens peupleront la Galaxie).
       Nous admettrons que la probabilit; de chacun des issues est ;gale 50 % du point de vue on n'a personne de l'observateur abstrait spatial. (De plus Ëåñëè il est suppos; que nous vivons dans le monde d;terministe, c'est-;-dire, mais cette probabilit; est fermement d;finie par les propri;t;s elles-m;mes de notre civilisation, bien que nous ne connaissions pas cela et.) maintenant, si appliquer le th;or;me Áàéåñà et modifier cette probabilit; apriorique avec le compte de ce fait que nous nous d;couvrons ainsi t;t, c'est-;-dire parmi les premiers de 100 milliards de gens, nous recevrons le progr;s de cette probabilit; apriorique ; mille fois (la diff;rence entre les milliards et les trillions). C'est-;-dire la probabilit; de ce que nous nous sommes trouv;s dans cette civilisation, ; qui il faut mourir relativement t;t, est devenue 99,95 %.
       Nous illustrerons cela par l'exemple de la vie. Nous admettrons, dans la pi;ce voisine est assise la personne, qui avec la probabilit; ;gale lit ou le livre, ou l'article. Dans le livre – 1000 pages, mais dans l'article 10 des pages. Au moment accidentel du temps je demande ; cette personne, quel num;ro de la page, qui il lit. Si le num;ro de la page plus que 10, je peux conclure absolument qu'il lit le livre, mais si le num;ro de la page est plus petit 10, ici nous avons ce cas, quand on peut appliquer le th;or;me Áàéåñà. Le num;ro de la page moins 10 peut r;sulter dans deux cas :
       La personne lit le livre, mais se trouve ; son d;but, la probabilit; de cela suis 1 % de tous les cas, quand il lit le livre.
       La Personne lit l'article, ici cette probabilit; est ;gale ; l'unit; de tous les cas, quand il lit l'article.
       Autrement dit, de 101 cas, quand le num;ro de la page peut se trouver moins 10, dans 100 cas ce sera parce que la personne lit l'article. Et donc que la probabilit; de ce qu'il lit l'article, apr;s la r;ception de l'information suppl;mentaire sur le num;ro de la page nous est devenue 99 %.
       La propri;t; des raisonnements amen;s est qu'eux augmentent rudement m;me une tr;s petite probabilit; de la disparition dans le XXI si;cle. Par exemple, si elle est ;gale 1 % du point de vue on n'a personne de l'observateur ext;rieur, pour nous, une fois nous nous sommes d;couverts dans le monde avant cet ;v;nement, elle peut faire 99.9 pour-cent. (Dans la supposition que dans la civilisation galactique il y aura 200 trillions la personne.)
       Il en r;sulte que, malgr; àáñòðàêòíîñòü et la complexit; pour la compr;hension des raisonnements donn;s, nous devons accorder l'attention non plus petite aux tentatives de prouver ou d;mentir le raisonnement du Carter-lesli, nous d;pensons pour la pr;vention de la guerre nucl;aire. Plusieurs savants t;chent de prouver ou d;mentir l'argument du Carter-lesli, et la litt;rature ; ce sujet est vaste. Et bien qu'il me semble assez convaincant, je ne pr;tends pas ; ce qu'a prouv; cet argument d;finitivement. Je recommande ; tout, il semble ;vident la fausset; des raisonnements mentionn;s ci-dessus, s'adresser ; la litt;rature sur ce sujet, o; on en d;tail examine de divers arguments et les contre-arguments.
       Nous examinerons encore quelques remarques, qui travaillent le pour et le contre l'argument du Carter-lesli. Un important manque DA selon le Carter-lesli est ce que le temps de la future survie des gens d;pend de celui par quel nous choisirons le nombre de gens dans une "longue" civilisation. Par exemple, ; la probabilit; de la disparition dans le XXI si;cle ; 1 % et au futur nombre de gens dans une longue civilisation ; 200 trillions il y a un renforcement ; 1000 fois, c'est-;-dire nous avons 99,9 pour-cent de la disparition dans le XXI si;cle. Si se servir de l';chelle logarithmique, cela donne la "demi-vie" dans 10 ans. Cependant si prendre le nombre de gens dans une longue civilisation ; 200 êâèíòèëüîíîâ, cela donnera la chance ; un millioni;me de la disparition dans le XXI si;cle qu'il y a 2 ** 20 degr;s, et attendu «une p;riode de la demi-d;sagr;gation» seulement dans 5 ans. Donc, il se trouve que, en choisissant la valeur arbitraire du temps de la survie de la longue civilisation, nous pouvons recevoir arbitrairement temps court attendu de la disparition de la civilisation courte. Cependant notre civilisation a exist; d;j; sur nos yeux plus que 5 ou 10 ans.
       Pour prendre en consid;ration cette diff;rence, nous pouvons nous rappeler que plus les gens dans une longue civilisation, moins elle est probable conform;ment ; la formule Ãîòòà. Autrement dit, la probabilit; de que la civilisation dispara;tra t;t – est haute. Cependant, ; en juger par les faits, le raisonnement du Carter-lesli intensifie encore plus cette probabilit;. Il est difficile de dire de plus, si appliquer correctement le raisonnement du Carter-lesli avec la formule Ãîòòà, puisque peut r;sulter ici ainsi que la m;me information est prise en consid;ration deux fois. Cette question a besoin des ;tudes ult;rieures.
       Le raisonnement original du Carter-lesli contient une s;rie d'autres piq;res logiques, qui ;taient g;n;ralis;s Áîñòðîìîì dans les articles, et principal d'eux se rapporte au probl;me du choix ðåôåðåíòíîãî de la classe, ainsi que vers les doutes sur ce que l'extrait est en effet accidentel. Le volume des raisonnements ; ce sujet est tellement grand et mis qu'ici nous seulement esquisserons en bref ces objections.
       Le probl;me ðåôåðåíòíîãî de la classe comprend dans le choix de celui qui notamment nous devons trouver comme les gens, ; qui se rapporte le raisonnement donn;. Si nous au lieu des gens prenons les animaux octroy;s du cerveau, de ceux-ci il y aura mille trillions dans le pass;, et nous pouvons attendre tout ; fait leur m;me quantit; dans le futur. Je vois la d;cision du probl;me ðåôåðåíòíîãî de la classe que, en fonction de celui quel ðåôåðåíòíûé la classe nous choisissons, l';v;nement correspondant doit ;tre consid;r; par la fin de son existence. C'est-;-dire ðåôåðåíåòíîìó ; la classe «la fin de la lumi;re» correspond ; chacun. Par exemple, ce que dans le futur sera seulement encore quelques centaines de milliards de gens, n'emp;che aucunement ce que dans le futur il y aura encore mille trillions des essentiels octroy;s du cerveau. Nous recevons finalement la conclusion tr;s simple : la Fin de l'existence donn; ðåôåðåíòíîãî de la classe est «la fin de la lumi;re» pour donn; ðåôåðåíòíîãî de la classe. (De plus la fin de l'existence ne signifie pas la mort, mais peut signifier simplement le passage ; une autre classe : Par exemple, le b;b; augmente et devient l'enfant d';ge pr;scolaire.)
       La deuxi;me erreur logique dans le raisonnement du Carter-lesli comprend ; íåñëó÷àéíîñòè les extraits. Le fait est que si je suis n; jusqu'au XX si;cle, je n'apprendrais jamais le raisonnement du Carter-lesli et ne pourrait pas ;tre donn; jamais par la question sur son applicabilit;. Autrement dit, il y a ici un effet de la s;lection de surveillance – non tous les observateurs sont ;quivalents. C'est pourquoi en fait le raisonnement du Carter-lesli peut ;tre appliqu; seulement par ces observateurs, qui le connaissent.
       Cependant cela aggrave rudement nos chances de la survie, donn; DA. En effet, DA est connu seulement d;s 80 ans du XX si;cle, c'est-;-dire 27 ans. (De plus, au d;but il ;tait connu seulement au cercle plus ;troit des gens. C'est-;-dire ceux-ci 27 ans on peut r;duire courageusement des ann;es jusqu'; 20.) si prendre ceux-ci de 27 ans, et leur appliquer la formule Ãîòòà, nous recevrons 50 % de la probabilit; de la destruction ; l'intervalle de 9 ; 81 ans de la situation actuelle que signifie environ plus de 50 pour-cent pour le XXI si;cle. Si ;trange que, cette estimation non se s;pare fortement de deux pr;c;dentes.
       On peut produire le raisonnement et autrement. Nous examinerons le laps de temps, pendant qui il y a des risques globaux. De plus ; titre du point du d;compte nous prendrons 1945, mais ; titre du point de l'observation accidentelle – ce moment, quand j'ai appris la possibilit; de la guerre nucl;aire, comme d'un des risques globaux – 1980. (; titre de l';v;nement durant ici nous examinons la p;riode du d;but de la p;riode de la susceptibilit; au risque avant sa fin.) Donc, au moment de l'observation accidentelle ce risque existait d;j; pendant 35 ans. La formule Ãîòòà donne l'intervalle 50 % pour les chances de la r;alisation du risque de 12 ; 105 ans (de 1980). Ce que cet ;v;nement n'est pas arriv; jusqu'ici, apporte le progr;s d;fini ; l'estimation, mais, n;anmoins, nous pouvons dire que ceux-ci 50 % agissent encore sur le reste de l'intervalle dans 90 ans d;s 1980, c'est-;-dire jusqu'; 2070. Autrement dit, la probabilit; de la cessation de la situation avec les risques globaux fait plus de 50 % dans le XXI si;cle. De nouveau environ le m;me r;sultat. La cessation cela peut ;tre la r;alisation du risque, ainsi que le passage ; certain autre áåçðèñêîâîå l';tat, sur qui dire de rien est impossible. Si prendre en consid;ration qu'; la r;alit; la densit; du risque grandissait ; l'intervalle avec 1945 par 70 ans, cela aggravera consid;rablement notre estimation.
L'estimation indirecte de la probabilit; des accidents naturels
       Si ne pas prendre en consid;ration les effets de la s;lection de surveillance, nous recevons les tr;s bonnes chances sur âæèâàíèå dans le XXI si;cle de chacuns naturel (mais non anthropique) les accidents – de galactique jusqu'; g;ologique des ;chelles, puisque de ce qu'ils n';taient pas au cours de l'existence de la Terre et notre aspect, une tr;s petite probabilit; de ce suit qu'ils se passeront dans le XXI si;cle. Puisque aucun accident naturel n'a pas supprim; les anc;tres humains pour les pass;s de 4 milliards d'ann;es, on peut conclure que nos chances de la destruction le XXI si;cle des accidents naturels font moins que 1 vers 40 millions. (Mais avec le compte de la haute viabilit; humaine et ïðèñïîñîáëÿåìîñòè, et celui-l; il y a moins de.) Malheureusement, tels raisonnements sont principalement incorrectes, puisque ne prennent pas en consid;ration ìàëîî÷åâèäíûé l'effet de la s;lection de surveillance.
       En vertu de cet effet le futur attendu de l'existence sera moins que le pass; (voir plus en d;tail je lave l'article «les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe» et le chef sur la s;lection de surveillance dans le paragraphe sur les accidents naturels). Quand m;me peu probablement le d;p;t de la s;lection de surveillance fait plus d'un ordre. Cependant pour de diff;rents niveaux des accidents naturels nous avons de diff;rentes p;riodes caract;ristiques du temps. Par exemple, la vie par la Terre existe d;j; 4 milliards d'ann;es, et, avec le compte dit, elle pourrait exister pas encore moins 100 - 400 millions d'ann;es. (La s;lection de surveillance est qu'ici nous ne connaissons pas, quelle part des plan;tes du type terrestre p;rit en train de l';volution; ayant suppos; que la part des survivants fait de 1 vers 1000 jusqu'; 1 vers le trillion, et nous recevons les estimations ; 100-400 millions d'ann;es comme la demi-vie.) C'est-;-dire l'estimation indirecte de la probabilit; æèçíåóíè÷òîæàþùåé de l'accident naturel serait 1 vers 4 000 000 en cent ans. Cela ïðåíåáðåæèìî une petite valeur au fond des autres risques. Quant au temps de l'existence de notre aspect, le dernier accident naturel, mena;ant ; lui, il ;tait beaucoup plus proche dans le temps, 74 000 ans en arri;re (le volcan Òîáà), et c'est pour cela que nous avons le temps attendu de l'existence seulement 7 000 ans avec le compte de l'effet au maximum possible de la s;lection de surveillance. La s;lection de surveillance est qu'ici si les gens ;taient l'aspect tr;s peu vivace, qui dispara;t avec la p;riodicit; des fois ; quelques mille ann;es, nous ne pourrions pas remarquer cela, puisque nous pouvons remarquer seulement cette branche de notre aspect, qui a v;cu le d;lai suffisant pour la formation de la civilisation, dans laquelle nous pouvons ;tre donn;s par cette question. 7000 ans correspondraient avec le compte de l'erreur immense de tels raisonnements environ 1 % de la disparition dans le XXI si;cle ; la suite des accidents naturels ou l'instabilit; int;rieure inh;rente ; l'aspect – et en outre c'est l'estimation maxima dans le plus mauvais cas. Si ne pas prendre au compte la s;lection de surveillance, les chances de l'accident naturel de n'importe quelle g;n;ration conduisant ; la disparition de l'humanit;, en vertu du temps pass; de l'existence on on peut calculer avec l'aide de la formule Ãîòòà (appliqu; vers le temps de l'existence Homo sapiens), et ils seront 1 vers 1500 en 100 ans, c'est-;-dire 0,066 % que ne suffit pas.
       Enfin, est de la troisi;me g;n;ration de l'accident, nous pouvons indirectement estimer la probabilit; de qui par temps pass;, ; savoir, par temps, pendant qui il y a une histoire ;crite, c'est-;-dire 5000 ans. Nous pouvons courageusement affirmer qu'en 5000 ans ne s'est pas pass; d'aucun accident, qui interromprait l'histoire ;crite. Ici est possible aussi, mais est peu probable la s;lection de surveillance, puisque agissent plus fortement non naturel, mais les facteurs anthropiques. Cet accident, qui pourrait interrompre l'histoire ;crite de 3000 ann;es en arri;re, par exemple, l';ruption du supervolcan en M;diterrann;e, ne pourrait plus faire maintenant cela. C'est pourquoi on peut courageusement dire que l'accident naturel interrompant la tradition ;crite (un tel, comme elle ;tait dans le pass;, et non maintenant) a les chances pas plus de 1 % dans le XXI si;cle, en trouvant selon la formule Ãîòòà (en l'appliquant ; tout le temps de l'existence de la tradition ;crite). Mais puisque maintenant la tradition ;crite beaucoup ïðî÷íåå, que dans le pass;, on peut cette estimation courageusement diminuer deux fois : jusqu'; 0,5 %. Et m;me un tel accident, qui interromprait l';criture dans le pass;, ne l'interrompra pas maintenant et ne tuera pas tous les gens.
       Enfin, l'effet de la s;lection de surveillance peut se manifester et sous la relation aux accidents anthropiques, ; savoir, vers le risque global de la guerre nucl;aire. (Dans la supposition que la guerre g;n;rale nucl;aire supprimerait l'humanit; ou le rejetterait tellement en arri;re que l'orthographe des livres serait devenu impossible.) L'effet de la s;lection de surveillance est qu'ici nous ne connaissons pas, quel chances de notre civilisation ;taient survivre ; la p;riode de 1945 ; 2007, c'est-;-dire au cours de l'existence de l'arme nucl;aire. Peut ;tre, ; neuf de dix «les mondes parall;les» cela ne r;ussit pas. En cons;quence, finalement nous pouvons sous-estimer les risques globaux. Si l'intensit; du changement du nombre des observateurs serait tr;s grande, cela exercerait l'influence "serrant" sur la date, dans laquelle nous nous d;couvririons – c'est-;-dire nous nous d;couvririons le plus probablement assez t;t. Voir plus en d;tail article Áîñòðîìà et Òåãìàðêà263, o; on propose les calculs exacts pour les accidents des ;chelles cosmologiques. Si la probabilit; du risque de la disparition ferait 90 % par an, alors je, probablement, vivrais non ; 2007, mais ; 1946. Ce que je suis encore vivant en 2007, donne la limite d;finie sup;rieure (avec l'authenticit; d;finie donn;e) sur le rythme de la disparition (pour les conditions historiques du XX si;cle). ; savoir : On peut exclure 5 p;riode d';t; de la "semi-d;sagr;gation" environ avec la probabilit; 99,9 (puisqu'en 50 ans a pass; 10 cycles jusqu'; 5 ans, et 2 ; 10 degr;s c'est 1024. C'est-;-dire en 50 ans un milli;me des plan;tes survivrait seulement.) en raisonnant plus loin on peut assez authentiquement exclure ainsi les p;riodes de la "semi-d;sagr;gation" de la civilisation plus petit, que 50 ans. Cependant grand nous exclure nous ne pouvons pas. Cela, ne signifie pas certes que la p;riode r;elle de la "semi-d;sagr;gation" et est 50 ans, cependant, si partir par principe les pr;cautions, il faut supposer que cela ainsi. Une telle demi-vie signifierait nos chances de vivre jusqu'; XXII si;cle environ ; 25 %. (Et cela dans la supposition que le niveau des menaces restera invariable du milieu du XX si;cle.)
       Les conclusions : de diverses m;thodes ind;pendantes des raisonnements indirects donnent les estimations de la probabilit; de la destruction de la civilisation dans le XXI si;cle aux dizaines des pour-cent. Cela ne nous doit pas calmer dans ce sens que comme si cela nous garantit les dizaines des pour-cent de la survie. Parce que, si prendre en consid;ration le degr; de l'incertitude de tels raisonnements, c'est les ;v;nements de la cat;gorie «les dizaines des pour-cent», qui, comme nous avons suppos; au d;but, signifie les risques de 1 ; 100 %.
Le raisonnement sur la Simulation
       Íèê Áîñòðîì a ;labor; le th;or;me suivant logique appel; comme le raisonnement sur Ñèìóëÿöèè264 (nous la mentionnions d;j; dans le contexte des risques de l'arr;t soudain de la "Matrice" et principalement les d;couvertes r;centes). Voici la marche de ses raisonnements :
       ; partir des tendances en cours au d;veloppement de la micro;lectronique, il semble tout ; fait probable que t;t ou tard les gens cr;eront l'intelligence s'autod;veloppant artificielle. Les nanotechnologies promettent la densit; limite des processeurs au trillion des pi;ces sur le gramme de la substance (carbone) – avec la productivit; de l'ordre de 10 ôëîïñ. Plus de la nanotechnologie permettront de sera transform; par les gisements de la houille en ordinateur immense (puisque le carbone, probablement, deviendra les mat;riaux de construction principaux pour lui). Cela ouvre la perspective de la transformation de toute la Terre ; «êîìïüþòðîíèóì» – une installation immense calculatoire. La capacit; d'une telle installation est estim;e ; 10 op;rations par seconde. (Que correspond ; la transformation du million de kilom;tres cubiques de la substance ; êîìïüþòðîíèóì, qui couvrira toute la Terre de la couche ; 2 m;tres.) L'utilisation de toute la substance ferme dans le Syst;me solaire donnera de l'ordre de 10 ôëîïñ. Il est ;vident qu'une telle puissance calculatoire pourrait cr;er les simulations d;taill;es du pass; humain. Puisqu'il est suppos; que pour la simulation d'une personne il faut pas plus que 10 ôëîïñ (ce nombre est fond; sur la quantit; íåéðîíîâ et ñèíàïñîâ dans le cerveau, et la fr;quence de leur commutation), cela donnera la possibilit; de simuler simultan;ment 10 gens, ou les 10 civilisations semblables ; nos, avec couds par la vitesse du d;veloppement. Peu probablement êîìïüþòðîíèóì dirigera toutes les ressources sur ñèìóëèðîâàíèå les gens, mais m;me s'il mettra en relief sur cela un millioni;me des efforts, ce sera encore de l'ordre de 10 civilisations humaines. Donc, m;me si seulement un d'un million de civilisations r;elles engendre êîìïüþòðîíèóì, celui-ci êîìïüþòðîíèóì engendre de l'ordre de 10 civilisations, c'est-;-dire sur chaque civilisation r;elle il faut 10 virtuel. Sont importants ici les chiffres non concrets, mais qu'aux suppositions tout ; fait r;alistes la multitude de civilisations simul;es sur beaucoup d'ordres est plus grande que la multitude de r;els.
       D'ici Íèê Áîñòðîì fait une conclusion que exactement au moins une affirmation de trois :
       1) Aucune civilisation n'est pas capable d'atteindre le niveau technologique n;cessaire ; la cr;ation êîìïüþòðîíèóìà.
       2) Ou CHACUN possible êîìïüþòðîíèóì ne sera pas du tout int;ress; par le modelage du pass;.
       3) Ou nous nous trouvons d;j; ; l'int;rieur de l'imitation ; êîìïüþòðîíèóìå.
       De plus on peut exclure le point 2 de la consid;ration, parce qu'il y a des raisons, selon qui quand m;me certains êîìïüþòðîíèóìàì il sera int;ressant, ;taient quelles les circonstances de leur apparition, mais il n'y a pas de telle raison universelle, qui pourrait agir sur tout le possible êîìïüþòðîíèóìû, sans leur permettre de modeler le pass;. La raison de l'int;r;t pour le pass; peut ;tre beaucoup, j'appellerai est un peu un calcul de la probabilit; de l'apparition pour estimer la densit; des autres supercivilisations dans l'univers ou la distraction des gens ou certains autres essentiels.
       Le point 1 signifie qu'ou êîìïüþòðîíèóì et les simulations dans lui sont techniquement impossibles, ou que toutes les civilisations p;rissent plus t;t, que retrouvent la possibilit; lui cr;er que, cependant, ne signifie pas avec la n;cessit; de la disparition des porteurs de cette civilisation, c'est-;-dire dans notre cas des gens, mais seulement l';chec du progr;s technique et le recul en arri;re. On ne voit pas Cependant des raisons rationnelles faisant êîìïüþòðîíèóì impossibles. (Par exemple, l'affirmation sur ce que la simulation de la conscience est impossible, puisque les consciences äå est l'effet quantique, ne travaille pas, puisque les ordinateurs quantiques sont possibles.) on ne peut pas dire de plus que êîìïüþòðîíèóì est impossible en principe, puisque les gens il est naturel de voir les r;ves, non îòëè÷èìûå de l'int;rieur de la r;alit; (c'est-;-dire ;tant la simulation qualitative), et donc, avec l'aide des manipulations g;n;tiques on peut ;lever le supercerveau, qui voit les r;ves sans arr;t.
       Ainsi, le raisonnement sur la simulation est r;duit ; l'alternative aigu; : «Ou nous vivons dans le monde, qui est condamn; p;rir, ou nous vivons dans la simulation informatique».
       Donc, la destruction du monde dans ce raisonnement ne signifie pas la disparition de tous les gens – elle signifie seulement arr;t garanti du progr;s avant que êîìïüþòðîíèóì soit cr;;. Ãàðàíòèðîâàííîñòü la signifie non seulement qu'elle se passera par la Terre, mais aussi sur toutes les autres plan;tes possibles. C'est-;-dire elle signifie qu'il y a une certaine loi tr;s universelle, qui emp;che r;primant (sur beaucoup d'ordres) ; la plupart des civilisations cr;er êîìïüþòðîíèóì. Probablement, cela se passe simplement parce que êîìïüþòðîíèóì est impossible, ou parce que le modelage de la conscience humaine sur lui est impossible. Mais peut ;tre que cela se passe parce qu'aucune civilisation ne peut pas atteindre le niveau êîìïüþòðîíèóìà, puisque se heurte ; certaines contradictions insolubles, et est oblig;e ou p;rir, ou roulera en arri;re en arri;re. Ces contradictions doivent porter le caract;re universel, et non ;tre li;s seulement, pour ainsi dire, ; l'arme atomique, parce qu'alors les civilisations sur ces plan;tes, dans l';corce de qui est absentes de l'uranium, pourront constamment se d;velopper. L'exemple d'une telle contradiction universelle peut ;tre la th;orie du chaos, qui fait les syst;mes plus haut niveau d;fini de la complexit; principalement instable.
       L'objection connue ; ces raisonnements s'appuie sur ce que la simulation de la r;alit; pas du tout est absolument la copie de ce qu';tait dans le pass;. (Si voir l'aper;u des objections au raisonnement sur la simulation dans l'article Äàíèëû Ìåäâåäåâà «nous Vivons dans le trafic Íèêà Áîñòðîìà ?» 265) Et si nous nous trouvons dans le monde construit, cela ne nous permet pas de faire les conclusions sur celui-l;, quel monde r;el. Comme, par exemple, du jeu informatique le monstre ne peut pas deviner l'installation r;elle du monde des gens. Cependant ce que nous ne connaissons pas, quel monde en dehors de la simulation, ne nous emp;che pas de conna;tre que nous nous trouvons quand m;me ; la simulation. Il est important de distinguer Ici deux sens du mot la "simulation" – comme du mod;le informatique, et comme de ce fait que ce mod;le rappelle un certain fait historique du pass;. On peut supposer de plus que la plupart des simulations ne sont pas les ressemblances exactes du pass;, et la part consid;rable des simulations n'a pas du tout la relation au pass; de cette civilisation, qui puis les a cr;;. ;galement dans la litt;rature la plupart des romans n'est pas les romans historiques, et m;me les romans historiques non co;ncident exactement avec le pass;.
       Si nous nous trouvons ; l'int;rieur de la simulation, tous les m;mes risques de la destruction, qui peuvent arriver et aux r;alit;s, plus l'intervention du c;t; des auteurs de la simulation, qui ; nous peuvent faire sauter certains «les devinettes difficiles» nous menacent ou ;tudier sur nous certains r;gimes extr;mes, ou il est simple ïîðàçâëå÷üñÿ pour notre compte, comme nous nous distrayons, en visionnant les films sur la chute des ast;ro;des. Enfin, la simulation peut ;tre simplement soudain coup;e. (La simulation avoir ;tre une limite de la ressource de capacit;, c'est pourquoi les auteurs de la simulation peuvent simplement ne pas nous permettre cr;er les ordinateurs tellement complexes pour que nous puissions lancer les simulations.)
       Donc, si nous nous trouvons ; la simulation, cela augmente seulement les risques qui ont surplomb; nous et cr;e principalement nouveau – bien qu'il y a une chance du sauvetage soudain du c;t; des auteurs de la simulation.
       Si nous ne nous trouvons pas ; la simulation, est grande la chance que n'importe quelles civilisations en raison des accidents n'atteignent pas le niveau de la cr;ation êîìïüþòðîíèóìà, qui nous pourrions atteindre ; la fin du XXI si;cle. Mais cela signifie, est grande la probabilit; de certains accidents globaux, qui ne nous permettront pas d'atteindre ce niveau.
       Si nous nous tenons Áàéåñîâîé ; la logique, nous deviez ajouter les probabilit;s ;gales aux hypoth;ses ind;pendantes. Et alors nous devrions ajouter ; l'hypoth;se sur ce que notre civilisation n'atteindra pas le niveau êîìïüþòðîíèóìà 50 % de la probabilit; (que en r;alit; ;quivalentement l'affirmation sur ce que l'attend un certain ;chec dans le XXI si;cle). Cette estimation co;ncide par ordre les valeurs avec les estimations, que nous avons re;u par d'autres moyens.
       Il se trouve que le raisonnement sur la simulation agit de mani;re que ses deux alternatives aggravent nos chances de la survie dans le XXI si;cle, c'est-;-dire ses nets le d;p;t n;gatif, ind;pendamment du fait comment nous estimons les chances d'un de deux alternatives. (Mon opinion est que la probabilit; de ce que nous nous trouvons ; la simulation, – plus haut que la probabilit; de ce que nous la civilisation r;elle, ; qui il faut p;rir, et sur beaucoup d'ordres.)
       Il est int;ressant de marquer r;p;tant ïàòòåðí : l'alternative avec SETI a aussi le net-effet n;gatif – s'eux c;te ; c;te, nous au danger, s'ils est absents, nous aussi au danger, puisque cela signifie que certains facteurs leur emp;chent de se d;velopper.
L'int;gration des diverses estimations indirectes
       Toutes les estimations amen;es indirectes sont accomplies ind;pendamment l'un de l'autre, bien que donnent environ les r;sultats identiques et d;cevants, ;tant que la probabilit; de la disparition humaine est haute. Cependant puisque ces raisonnements se rapportent ; la m;me r;alit;, il y a un d;sir de les unir dans le tableau plus int;gre. Le raisonnement sur la simulation Áîñòðîìà existe logiquement s;par;ment du raisonnement la fin de la lumi;re du Carter-lesli (qui il faut lier ; la formule Ãîòòà), et il y a en cons;quence une tentation d'eux "marier". Une telle tentative est entreprise dans le travail Èøòâàíà Àðàíüîñè «Doomsday Simulation Argument» 266. De ceux-ci, il est int;ressant de lier ; son tour avec ìíîãîìèðíûì par l'immortalit; dans l'esprit de Õèããî et ; l'influence de l'effet de la s;lection de surveillance.
       Une tentative int;ressante de telle sorte est entreprise dans d;j; article ;tant mentionn; Êíîáà et Îëóìà «la signification Philosophique de l'inflation cosmologique» 267. Au contre-poids «priv; Doomsday argument» dans l'esprit du Carter-lesli, ils avancent «Universel Doomsday argument». ; savoir, ils montrent que que nous nous d;couvrons sous la forme pr;coce de l'humanit;, il faut, avec une haute probabilit; que la multitude des gens se trouvant ; êîðîòêîæèâóùèõ les civilisations, est plus grande que la multitude de tous les gens se trouvant ; tous äîëãîæèâóùèõ les civilisations selon tout l'univers, ou, autrement dit, la quantit; äîëãîæèâóùèõ ne suffit pas les civilisations extr;mement. Cela signifie de nouveau que les chances de notre civilisation de ne pas vivre des millions d'ann;es et ne pas peupler la galaxie – sont tr;s grands, change cependant les raisons probables de la disparition : ; savoir, cela se passera plut;t non ; cause de quelque raison priv;e, rapportant seulement vers la Terre, mais ; cause d'une certaine raison universelle, qui agirait sur toutes les civilisations plan;taires. Nous devons ;tre pr;occup;s, ils ;crivent, non par l'orbite de l'ast;ro;de concret, mais par que dans tous les syst;mes plan;taires il y a tellement beaucoup d'ast;ro;des que cela fait la survie des civilisations peu probable; nous devons ;tre pr;occup;s non par ce qu'une certaine ;toile concr;te plus proche deviendra supernouvelle, mais par ce que ñìåðòîíîñíîñòü supernouveau est sous-estim; beaucoup. Nous marquerons que la m;me conclusion sur ce que la multitude êîðîòêîæèâóùèõ des civilisations surpasse consid;rablement la multitude äîëãîæèâóùèõ, il faut et du raisonnement sur la simulation Áîñòðîìà, si ; la qualit; êîðîòêîæèâóùèõ des civilisations trouver les simulations.
       Je crois que l'essentiel de cette int;gration doit ;tre dans ce que nous ;claircirons, quels raisonnements bloquent les autres, c'est-;-dire quel d'eux sont plus forts au sens logique. (Il est possible de plus que les ;tudes ult;rieures pourront donner le tableau plus exact de l'int;gration, et r;duiront tous les calculs s;par;s ; une formule.) je vois un tel ordre de la capacit; des ;nonciations (de plus fortes affirmations supprimant plus faibles, par dessus). De plus je n'ai pas en vue qu'eux de la v;rit;.
       a. La th;orie qualitative de la conscience fond;e sur la notion sur êâàëèà. Êâàëèà est le terme philosophique d;signant la partie qualitative dans n'importe quelle perception, par exemple, «êðàñíîñòü» 268. La nature et la r;alit; êâàëèà sont l'objet des discussions intenses. Les th;ories sur êâàëèà n'existent pas, il y a seulement quelques paradoxes logiques, avec cela li;. Cependant, ; en juger par les faits, la th;orie sur êâàëèà peut exclure les repr;sentations sur la pluralit; des mondes et la lin;arit; du temps. En vertu de cela une telle th;orie, elle sois cr;;e et prouv;e, ferait incomp;tent n'importe quels raisonnements suivants.
       b. Le raisonnement sur l'immortalit; Äæ. Õèããî, fond; sur l'id;e de la pluralit; des mondes. Dans ce cas il y aura toujours un monde, o; moi, et la partie de la civilisation terrestre en cons;quence, n'a pas p;ri. Le raisonnement sur l'immortalit; Õèããî est tr;s fort, parce qu'il ne d;pend pas ni de la fin de la lumi;re, ni de, s'il nous y a ; la simulation ou non. L'immortalit; selon Õèããî fait la fin personnelle de la lumi;re impossible. Aucun ma;tre de la simulation ne peut aucunement influencer le travail du raisonnement Õèããî, parce qu'il y aura toujours une infinit; des autres simulations et les mondes r;els, dans l'exactitude co;ncidant avec donn; ; la situation actuelle du temps, mais ayant avec elle les diff;rents futurs. Cependant le raisonnement Õèããî s'appuie sur «self sampling assumption» – c'est-;-dire l'id;e de ce que moi sont un des exemplaires de la multitude de copies – mais sur la m;me id;e s'appuient tous les raisonnements ult;rieurs – l'argument sur la simulation, la formule Ãîòòà, le raisonnement sur la fin de la lumi;re du Carter-lesli. N'importe quelles tentatives de d;mentir l'immortalit; selon Õèããî, fond; sur l'impossibilit; de la consid;ration de comme d'un des exemplaires de la multitude de copies d;mentent simultan;ment tous ces raisonnements.
       c. Le raisonnement sur la simulation Áîñòðîìà. Il travaille aussi dans la supposition selon la pluralit; des mondes, tandis que les raisonnements ult;rieurs ne prennent pas en consid;ration ce fait. En outre si nous nous trouvons en fait ; la simulation, nous n'observons pas le monde au moment accidentel du temps, puisque les simulations, plut;t, sont attach;es ; des ;poques historiquement int;ressantes. Enfin, les raisonnements dans l'esprit de DA demandent le num;rotage possible continu des gens ou le temps qu'en cas de la multitude de simulations ne travaille pas. C'est pourquoi n'importe quelles formes DA perdent la force, si le raisonnement sur la simulation exactement. Le raisonnement sur la simulation est plus fort que le raisonnement sur la fin de la lumi;re du Carter-lesli et la formule Ãîòòà, parce qu'il travaille, ind;pendamment du fait, il est combien d'encore aux gens sera dans notre monde r;el. De plus, il ronge beaucoup les notions sur la quantit; de gens et le volume, qu'est-ce que c'est le monde r;el, puisqu'il est incompr;hensible, si nous devons prendre en consid;ration les futurs gens d'autres simulations, comme r;el. Il est incompr;hensible aussi, si chaque simulation doit simuler tout le monde d'un bout ; l'autre, ou seulement un certain segment de son existence seulement pour quelques gens.
       d. La formule Ãîòòà. La formule Ãîòòà travaille assur;ment en ce qui concerne les ;v;nements non li;s au changement du nombre des observateurs, par exemple, en ce qui concerne la d;sint;gration radioactive, les dates de la d;molition du mur de Berlin, les pr;dictions de la dur;e de la vie humaine etc. Cependant elle donne l'estimation beaucoup plus molle de la future dur;e de l'existence de l'humanit;, que l'argument du Carter-lesli. La formule Ãîòòà est l'outil plus simple et clair pour l'estimation du futur, que le raisonnement du Carter-lesli. Quand m;me parce que la formule Ãîòòà donne les estimations concr;tes num;riques, mais le raisonnement du Carter-lesli donne seulement la correction vers les probabilit;s initiales. Ensuite, la formule Ãîòòà est employ;e vers chacuns ðåôåðåíòíûì aux classes, puisque pour n'importe quelle classe elle donne l'estimation du temps de l'ach;vement de cette classe nominative. Mais dans le raisonnement du Carter-lesli est mentionn;e d'habitude notamment la mort de l'observateur, et il faut l'adapter aux situations, o; l'observateur ne meurt pas. La question sur, s'il faut appliquer les corrections donn;es par le raisonnement du Carter-lesli vers les estimations, qu'a donn; par la formule Ãîòòà, demande l';tude ult;rieure.
       e. L'argument du Carter-lesli. Une importante condition de l'argument du Carter-lesli (dans son interpr;tation Áîñòðîìîì) est íåñóùåñòâîâàíèå d'autres civilisations, en dehors de terrestre. En outre il est tr;s difficile d'inventer l'exp;rience r;elle, dans laquelle on pourrait contr;ler la force de ce raisonnement. Mais les exp;riences mentales travaillent avec d;fini íàòÿæêàìè.
       f. Le paradoxe du Fermi se trouve aussi au dessous de ce tableau, puisque le raisonnement sur la simulation par l'image ;vidente supprime sa signification : ; la simulation la densit; des civilisations peut ;tre chacun, de m;me que le risque de leur agression, en fonction du caprice des propri;taires de la simulation.
       Tout dit ici sur les moyens indirects de l'estimation se trouve ; la limite entre d;montrable et hypoth;tique. C'est pourquoi je propose de ne pas accepter sur la foi fait ; la conclusion, mais aussi ne pas les rejeter. Malheureusement, les ;tudes des moyens indirects de l'estimation de la probabilit; de l'accident global peuvent jeter une lumi;re sur notre futur attendu, mais ne donnent pas les cl;s vers son changement.
Le chapitre 25. Le sc;nario le plus probable de l'accident global
       Maintenant nous pouvons tenter de g;n;raliser les r;sultats de l'analyse, ayant pr;sent; le sc;nario le plus probable de l'accident global. Les paroles vont non sur l'estimation objective des probabilit;s r;elles, qui nous pouvons calculer seulement en ce qui concerne la chute des ast;ro;des, mais sur l'estimation subjective, c'est-;-dire «best guess» – la meilleur conjecture. Il est ;vident qu'une telle estimation sera peinte par les pr;f;rences personnelles de l'auteur, c'est pourquoi je ne la donnerai pas pour la probabilit; objective exactement calcul;e. En fonction de celui quel appara;tra une nouvelle information, je corrigerai l'estimation.
       Dans cette estimation je prends en consid;ration la probabilit; des ;v;nements eux-m;mes, ainsi que leur proximit; de nous par temps. C'est pourquoi j'ajoute de petites probabilit;s íàíîòåõíîëîãè÷åñêîé ; la mucosit; grise, qui, bien que soit techniquement possible, mais est ;clips;e par les risques plus pr;coces li;s aux biotechnologies. De la m;me mani;re la cr;ation de l'arme nucl;aire du dies irae demande aussi plusieurs ann;es et il est ;conomiquement inutile, puisqu'il sera plus rapide de porter le pr;judice d'une telle ;chelle meilleur march; et avec l'aide de l'arme biologique.
       Ces suppositions sont faites en ce qui concerne les menaces propos;es m;me avec le compte de ce que les gens t;cheront de leur r;sister tellement, autant cela peuvent. Donc, je vois deux sc;narios les plus probables de l'accident global d;finitif dans le XXI si;cle, conduisant vers la disparition compl;te humaine :
       1) le sc;nario Soudain li; ; la croissance non limit;e de l'intelligence artificielle, qui a hostile en ce qui concerne la personne du but.
       2) le sc;nario Syst;mique, dans qui le r;le principal est jou; par l'arme biologique et d'autres produits des biotechnologies, mais aussi sera appliqu; l'arme nucl;aire et les microrobots. Joueront aussi le r;le la diffusion des superdrogues, la pollution du mercredi, l';puisement des ressources. L'essentiel de ce sc;nario dans ce que ne sera pas de quelque un facteur supprimant les gens, mais il y aura un arbre de la multitude des facteurs, surpassant toutes les possibilit;s de la survie.
       Le temps le plus probable de l'action des deux sc;narios – 2020-2040. Autrement dit, je crois que si vraiment ces sc;narios se r;alisent, avec les chances plus de 50 % ils se passeront au laps de temps indiqu;. Cette estimation se passe de ce que, ; partir des tendances en cours, peu probablement les deux technologies m;riront jusqu'; 2020 ou apr;s 2040.
       Maintenant nous tenterons ïðîèíòåãðèðîâàòü les sc;narios tous possibles avec le compte de leur influence mutuelle de mani;re que la somme soit ;gale 100 % (il faut examiner de plus ces chiffres comme mon appr;ciation pr;alable ; pr;s l'ordre). Nous estimerons la probabilit; totale de la disparition humaine dans le XXI si;cle, conform;ment aux mots de monsieur de Martin du Riz, ; 50 %. Alors semblent convaincant les estimations suivantes de la probabilit; de la disparition :
       * 15 % - hostile ÈÈ ou la lutte diff;rent ÈÈ supprime les gens. J'ajoute ÈÈ une telle haute probabilit;, parce que notamment ÈÈ poss;de la capacit; ; rechercher et influencer tous les gens sans exception – ; áîëüøåé ; la mesure, que d'autres facteurs.
       * 15 % - la crise syst;mique avec l'application multiple biologique et l'arme nucl;aire.
       * 14 % - quelque chose inconnu.
       * 1 % - les ;l;vations de la temp;rature irr;sistibles globales et d'autres variantes des accidents naturels provoqu;s par l'activit; de la personne.
       * 0,1 % – les accidents naturels naturels,
       * 0,9 % – de mauvaises exp;riences physiques
       * 1 % - la mucosit; grise – íàíîòåõíîëîãè÷åñêàÿ l'accident
       * 1 % - l'attaque par SETI
       * 1 % - l'arme nucl;aire du dies irae
       * 1 % - autre.
       Les 50 % rest;s sont venus sur les chances de ce que dans le XXI si;cle les gens ne dispara;tront pas. Ils se voient comprenant de :
       * 15 % – Positif technologique ñèíãóëÿðíîñòü. Le passage ; une nouvelle ;tape du d;veloppement ;volutionniste.
       * 10 % – N;gatif ñèíãóëÿðíîñòü, pendant lequel les gens survivent, mais perdent la signification. Les variantes : survivant dans le bunker, le zoo, les ch;meurs pr;s de la t;l;. Le pouvoir passe vers ÈÈ et les voitures.
       * 5 % – Sustainable development – la civilisation humaine se d;veloppent sans sauts dans les technologies et sans accidents. C'est propos; ; titre de la meilleur variante par les futurologues traditionnels.
       * 20 % – le Recul sur le stade ïîñòàïîêëèïòè÷åñêîãî du monde. De diff;rents niveaux de la d;gradation.
       Maintenant nous examinerons l'influence possible sur ces chiffres des diff;rentes formes du th;or;me selon la fin de la lumi;re. La formule Ãîòòà prise en ce qui concerne toute la quantit; des gens par la Terre, donne pas trop les forte chances de la disparition dans le XXI si;cle – au niveau de dix pour-cent, cependant limite consid;rablement les chances de l'humanit; de vivre le mill;naire suivant ou áîëüøèé le d;lai.
       Encore une variante des raisonnements avec l'utilisation DA et la formule Ãîòòà comprend ; elle ðåôëåêñèâíîì l'application – et la l;galit; d'une telle application est s;rieux îñïàðèâàåòñÿ269. ; savoir, si appliquer la formule Ãîòòà vers mon rang (c'est-;-dire le num;ro selon la date de l'entr;e) ; la multitude de tous gens, qui connaissent la formule Ãîòòà, ou DA sera d;menti bient;t d;finitivement, ou les chances de la survie au XXI si;cle trouvent illusoire. C'est li; ce qu'une des d;cisions les plus extr;mes et contestables du probl;me ðåôåðåíòíûõ des classes, ; qui se rapporte DA, il est que se rapporte seulement ; ces gens, qui le connaissent – et une telle d;cision du probl;me ðåôåðåíòíûõ des classes le d;couvreur lui-m;me DA a propos; B.Karter, quand rapportait pour la premi;re fois sur DA ; la s;ance de la soci;t; Royale. L'extr;mit; de cette d;cision dans ce que puisque dans le pass; est tr;s peu d'aux gens, qui connaissent DA (environ les dizaines de mille ; pr;sent), ce fait que je me d;couvre ainsi t;t dans cette multitude, parle, selon la logique le plus DA que dans le futur il y aura environ tant de gens connaissant lui. Puisque le nombre connaissant sur DA est continu íåëèíåéíî grandit, d;j; dans quelques dizaines des ann;es il devrait atteindre des millions. Cependant, selon la logique le plus DA, c'est peu probable, une fois je me suis d;couvert ainsi t;t dans cette multitude. Donc, quelque chose emp;chera ce que la multitude connaissant sur DA atteindra une telle grande valeur. Ce peut ;tre ou le d;menti DA, ou ce que ne sera pas simple des gens, qui s'int;resseront. Comme on peut d;mentir les variantes plusieurs autres DA, cette variante, ayant indiqu; que je ne suis pas l'observateur accidentel DA au moment accidentel du temps, mais les particularit;s inh;rentes ; moi ont amen; certains a priori ; ce que je m'int;resse ; de diff;rentes hypoth;ses non v;rifi;es aux stades pr;coces de la discussion.
       Le raisonnement du Carter-lesli ne donne pas l'estimation directe de la probabilit;, mais modifie seulement l'estimation apriorique. Cependant le d;p;t de cette modification peut ;tre si consid;rable que la valeur concr;te de l'estimation apriorique de la probabilit; n'est pas importante. Par exemple, Äæ. Ëåñëè cite l'exemple suivant de l'application du raisonnement du Carter-lesli dans le livre : la probabilit; apriorique de la disparition dans l'imm;diat ; 1 %, et la rupture entre le nombre de l'humanit; ; "mauvais" et ; un "bon" sc;nario ; mille fois. Alors ce 1 % apriorique se transforment chez lui dans la formule Áàéåñà en 50 % a posteriori. Cependant si nous appliquons les m;mes suppositions ; notre probabilit; apriorique ; 50 %, nous recevrons les chances de la disparition ; 99,9 %.
       Enfin, la troisi;me variante du Th;or;me selon la Fin de la lumi;re dans la formulation Bostroma-Tegmarka adapt;e par moi aux proc;s moins gradu;s naturels, ne donne pas l'influence essentielle sur la probabilit; des accidents naturels dans le XXI si;cle, puisque limite le degr; de la sous-estimation de leur fr;quence par un ordre que donne en tout cas la chance moins de 0,1 %. Plus mauvaise (mais pas du tout obligatoire) la manifestation de l'effet de la s;lection de surveillance serait la sous-estimation de la probabilit; de la guerre globale nucl;aire, qui r;duirait la fr;quence maxima de cet ;v;nement d'un ;v;nement des fois ; quelques dizaines des ann;es, avant un ;v;nement des fois dans quelques ann;es. Quand m;me la fronti;re sup;rieure est pas encore la signification elle-m;me, de sorte qu'ici tout n'est pas si mauvais.
       Donc, les moyens indirects de l'estimation de la probabilit; de l'accident global ou confirment l'estimation de l'ordre de 50 % dans le XXI si;cle, ou l'augmentent rudement jusqu'; 99 % – cependant ces variantes des raisonnements, ; qui elle augmente rudement, ne poss;dent pas autant haut – 99 % – le degr; äîêàçàííîñòè. C'est pourquoi nous pouvons nous arr;ter sur l'estimation totale ; "plus, que 50 %».
       Il est beaucoup plus facile d'inventer les sc;narios de l'accident global, que les moyens de sa pr;vention. Cela sugg;re une id;e sur ce que la probabilit; de l'accident global est tr;s grande. ; tout cela les sc;narios d;crits peuvent se r;aliser dans le XXI si;cle. Íèê Áîñòðîì estime la probabilit; de l'accident global comme «pas moins 25 pour-cent». Martin le Riz – ; 30 pour-cent (pour 500 ans ; venir). ; mon opinion subjective, elle est plus grande que 50 pour-cent. ; cela d'elle ïîãîäîâàÿ la probabilit; est plus grande que 1 pour-cent grandit. Le pic de cette croissance faut sur la premi;re moiti; du XXI si;cle. Donc, tr;s plusieurs d;pend de nous maintenant.
       D'autre part pr;dire le sc;nario concret ; pr;sent est irr;el, puisque cela d;pend de la multitude de facteurs inconnus et accidentels. Grandit cependant le nombre des publications aux sujets des accidents globaux, on fait les dossiers selon les risques, dans quelques ann;es ces id;es commenceront ; p;n;trer et dans les pouvoirs de tous les pays. Donc on voit d;j; leur signification de la d;fense des nanotechnologies et la possibilit; de la cr;ation est claire pour "la mucosit; grise». La compr;hension de la gravit; des risques doit ñïëîèòü tous les gens sur la p;riode de transition pour qu'ils puissent s'unir ; la face de la menace totale.
       L'analyse des risques des accidents globaux nous donne le nouveau point de vue sur l'histoire. Maintenant nous pouvons estimer les r;gimes et les hommes politiques non du point de vue de ce que bon ils ont fait pour le pays, mais de ce point de vue, de qui on voit, autant effectivement ils pr;venaient l'accident global. Du point de vue des futurs habitants de XXII si;cle il sera important non, comment bien ou mal nous vivions, mais autant nous avons t;ch; pour en g;n;ral vivre jusqu'au futur.
       Il faut s'exprimer en r;sum; sur l'impr;visibilit; importante des accidents globaux. Nous ne connaissons pas, s'il y aura un accident global, et si oui, cela comme quand. Si nous pouvions conna;tre cela, «mettraient d'avance la paille». Cette ignorance ressemble ; cette ignorance, qui est chez chaque personne sur le temps et la raison de sa mort (sans parler de ce que sera apr;s la mort), mais la personne a quand m;me un exemple des autres gens, qui donne le mod;le statistique de ce qu'avec quelle probabilit; peut se passer. Enfin, bien que les gens et non aiment penser beaucoup de la mort, mais quand m;me de temps en temps chacun sur elle pense et prend en consid;ration quelque peu dans les plans. Les sc;narios de la disparition humaine sont pratiquement ;vinc;s ; l'inconscient public. Les accidents globaux îòãîðîæåíû de nous par le voile comme de l'ignorance technique, li; ; notre ignorance des orbites r;elles des ast;ro;des et celui-l; de la chose semblable, et psychologique, li; ; notre incapacit; et la mauvaise volont; les pr;dire et analyser. De plus, les accidents globaux sont s;par;s de nous et par l'ignorance th;orique – nous ne connaissons pas, si l'intelligence Artificielle est possible, et dans quelles limites, et nous ne connaissons pas, comment correctement appliquer de diff;rentes versions du Th;or;me selon la Fin de la lumi;re, qui donnent tout ; fait diff;rent âåðîÿòíîñòíûå les estimations du temps de la survie humaine.
       Nous devons reconna;tre qu'; quelque niveau l'accident s'est pass; d;j; : l'obscurit; nous enveloppant de l'inconcevabilit; a ;clips; le monde clair et clair du pr;pr;dicat du pass;. Non sans raison un des articles Íèêà Áîñòðîìà s'appelle : «les r;volutions Technologiques : l';thique et la politique dans l'obscurit;» 270. Il nous faudra recueillir toute la clart; se trouvant ; nous de la conscience pour continuer la voie au futur.
       
       

La partie 2. La m;thodologie de l'analyse des risques globaux
       
Le chapitre 1. Les Remarques g;n;rales. L'erreur comme l'accident intellectuel
       La partie principale de la m;thodologie de l'analyse semble la d;tection et l';limination des erreurs possibles dans les raisonnements sur les risques globaux ou les facteurs conduisant aux estimations incorrectes et puis aux d;cisions incorrectes. Puis il faut une s;rie de consid;rations du caract;re de recommandation comment il faut passer l'analyse des risques globaux.
       Nos raisonnements sur les risques globaux sont expos;s ; n'importe quelles erreurs syst;matiques et les alt;rations, qui exercent l'influence sur les conclusions finales de ces raisonnements, mais, donc, et sur notre s;curit;.« Les erreurs »le mot non tout ; fait exact – en anglais cela s'appelle ‘ cognitive biases’ que l'on peut traduire comme« les pr;ventions "ou" les rejets au cours des raisonnements », ou, si utiliser le terme exact psychologique,« êîãíèòèâíûå les alt;rations ». Êîãíèòèâíûå les alt;rations sont la propri;t; naturelle de l'esprit humain, et dans cela il n'y a d'aucune nuance de la"faute", qui est li;e ; peine sorti de l';cole ; notre repr;sentation sur les"erreurs". Il est important de conna;tre Cependant que puisque êîãíèòèâíûå les alt;rations est une propri;t; naturelle de la personne, apparaissant la voie ;volutionniste, chacun leur est expos; et peut les trouver dans les raisonnements. Le moyen principal de la correction êîãíèòèâíûõ des alt;rations – l'exp;rience – ne peut pas nous aider en cas des risques globaux. C'est pourquoi nous devons est beaucoup plus responsable se convenir ; la t;che de la mentalit; exacte sur eux. Il est important de se rappeler de plus que n'importe quelles listes êîãíèòèâíûõ des alt;rations sont destin;es ; la recherche des erreurs dans les id;es, et non pour la victoire dans les discussions avec d'autres gens, puisque dans le deuxi;me cas cela am;ne seulement ; l'accumulation des erreurs dans le syst;me et çàêðûòîñòè vers une nouvelle information.
       M;me si le d;p;t de chacun de quelques dizaines des erreurs possibles est petit, ensemble ils peuvent rejeter âåðîÿòíîñòíóþ l'estimation de n'importe quel sc;nario ; des fois et amener ; l'application incorrecte des moyens de la garantie de s;curit;. Il n'est pas difficile de se persuader de la force de ces erreurs – interroger assez de quelques gens connaissant les m;mes faits l'histoire humaine, et les demander de donner le pronostic assur; du XXI si;cle – et vous verrez, autant se distingueront les conclusions finales : uns seront assur;s de l'imminence de l';puisement du p;trole, les autres croire ; la f;te âåòðîýíåðãåòèêè, troisi;me s'attendre la pand;mie mondiale; je trouverai uns la probabilit; de l'application de l'arme nucl;aire immense, les autres croire que c'est extr;mement peu probable. L'investigateur des risques globaux doit conna;tre ces ;cueils. Dans ce paragraphe on entreprend la tentative de dresser la liste de telles erreurs. On utilise les travaux des investigateurs ;trangers et russes, ainsi que les obtentions d'auteur. Le texte de base selon le probl;me est l'article Åëèåçåðà Judkovsky «les erreurs Syst;matiques dans les raisonnements, influen;ant potentiellement sur l'estimation des risques globaux» 271 dans le recueil ;tant mentionn; d;j; «les Risques de l'accident global». La liste donn;e ne remplace pas cet article, ; qui on am;ne l'analyse math;matique et psychologique de la s;rie amen; ici êîãíèòèâíûõ des alt;rations. Cependant plusieurs descriptions des facteurs des erreurs sont prises d'une autre litt;rature ou sont d;couverts par l'auteur lui-m;me. L'analyse des erreurs possibles dans les raisonnements sur les risques globaux est le pas en voie de la cr;ation de la m;thodologie du travail avec les risques globaux, et donc, et vers leur pr;vention. L'aspiration de diff;rents groupes ;tudiant les sc;narios alternatifs du futur est int;ressante, dresser la liste des pi;ges intellectuels. Par exemple, r;cemment il y avait un article sur ‘ cognitive biases’, influen;ant sur l'estimation de la th;orie "du pic Õóáåðòà», c'est-;-dire les ;puisements des stocks íåôòè272.
       Le but du travail – r;duire possible êîãíèòèâíûå les alt;rations ; la liste confortable et structur;e. De plus l'attention maxima est donn;e ; la pl;nitude de la liste, et non la preuve de chaque point s;par;.
       La liste donn;e ne pr;tend pas ni ; la pl;nitude, ni sur l'exactitude de la classification, et ses certains points peuvent se trouver sont identiques aux autres, mais dit en d'autres termes. L'explication d;taill;e de chaque erreur s;par;e possible dans l'estimation du risque prendrait tout le volume de l'article. (Voir par exemple, mon article «les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe» 273, o; une des raisons possibles amen;es dans cet article des erreurs comprend sur plus que 20 pages typographiques.)
       D'autre part il est important de se rappeler qu'aux erreurs dans les raisonnements dans la m;me mesure l'autoorganisation propre pathologique, comme les erreurs et les cha;nes des ;v;nements, qui am;nent aux accidents r;els. Cela signifie que m;me de petites erreurs amenant ; un petit rejet des estimations, ont la tendance ; s'accrocher une pour l'autre, âçàèìîóñèëèâàÿñü, particuli;rement ; l'apparition de la liaison en retour positive avec eux.
       La conclusion fausse est un accident intellectuel. Il est facile d'observer ; l'exemple des avaries r;elles, comme les raisonnements erron;s des pilotes des avions amenaient aux accidents, et m;me d;signer, quelles erreurs dans les raisonnements ils ont fait. On peut dire que presque n'importe quel accident se passe ; cause des erreurs humaines. Ces erreurs s'alignent chronologiquement ainsi : apr;s les erreurs dans les raisonnements sur les possibilit;s il y a des erreurs dans l';tude, ; «ïðåäïîë¸òíîé» ; la pr;paration, ; ïèëîòèðîâàíèè, dans la gestion de la situation critique, dans l';limination des cons;quences de l'avarie et dans l'analyse de ses raisons. Nos raisonnements sur les risques globaux se rapportent pour l'essentiel au premier stade, vers les raisonnements sur la possibilit; et l'appr;ciation pr;alable des probabilit;s de n'importe quels risques. Il n'y a pas de sens de b;tir la strat;gie de l'opposition aux risques globaux avant que l'on avait d;fini les priorit;s. En cons;quence, les erreurs amen;es dans l'article donn; se rapportent aussi, en premier lieu, vers la phase la plus pr;coce de la r;sistance aux risques globaux. Cependant ils peuvent se manifester et plus tard, en voie de l';tude des m;canismes sont cousus de l'acceptation des d;cisions concr;tes. N;anmoins, dans ce texte on ne met pas la t;che sur l'analyse des erreurs aux stades plus tardifs de la protection contre l'accident global, bien que soit mentionn;e une s;rie de raisons des actions erron;es des "op;rateurs".
       La question s;par;e est, quand notamment telles erreurs peuvent arriver. Unes de ces erreurs se passent en train des discussions "au temps de paix», quand la soci;t; d;cide, vers quels risques ; lui se trouve se pr;parer. Les autres se manifestent dans une grande mesure dans les situations d'accident, quand les gens sont oblig;s vite d'estimer leur danger et prendre les d;cisions. Grosso modo, il convient de diviser toutes les erreurs en erreurs de "l'ing;nieur" et le "pilote". Les erreurs de "l'ing;nieur" s'accomplissent par de grands groupes des gens pendant plusieurs ann;es, tandis que les erreurs du pilote s'accomplissent par un ou un petit groupe des gens pendant des secondes ou les minutes. Ce peut ;tre, g;n;ralement parlant, il est incorrecte en ce qui concerne les accidents globaux, au cas o; la situation commencera ; se d;velopper tellement vite que la conception et la gestion se d;velopperont en r;alit; dans un rythme.
       Il y a aussi une probabilit; que certaines descriptions des erreurs, que j'am;ne ici, peuvent se trouver les objets de ma compr;hension incorrecte – c'est-;-dire aussi ;tre erron;. Est absent les moindres doutes que cette liste n'est pas compl;te. C'est pourquoi la liste donn;e il faut utiliser plut;t comme l'aire de lancement pour l'analyse critique de n'importe quels raisonnements sur les risques globaux, mais non comme l'outil pour l'organisation du diagnostic d;finitif.
       L'illusion dangereuse est que les erreurs dans les raisonnements sur les risques globaux ou sont pas grands, ou il est facile îáíàðóæèìû et óñòðàíèìû. Les racines de cette illusion dans le raisonnement suivant :« Une fois les avions volent, malgr; les erreurs toutes possibles, et en g;n;ral la vie par la Terre se prolonge, la signification de ces erreurs est pas grande ». C'est l'analogie est incorrecte. Les avions volent parce qu'au cours de leur ;volution, de l';tude et les essais se sont bris;s mille voitures. Et apr;s chaque cette avarie il y avait des erreurs de quelqu'un, qui chaque fois ;taient prises en consid;ration et ne se r;p;taient pas en tout. Nous n'avons pas de mille plan;tes, que nous pouvons casser pour comprendre, comme ; nous il est correct de s'adresser avec la combinaison explosible áèî, íàíî, nucl;aire et ÈÈ des technologies. Nous ne pouvons pas utiliser et ce fait que la Terre est encore enti;re pour quelques conclusions sur le futur (voir mon article« les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe »), parce que l'on ne peut pas faire des conclusions statistiques selon un cas. Et, certes, particuli;rement parce que les futures technologies changeront principalement la vie par la Terre. Donc, nous sommes priv;s le moyen habituel de l';limination des erreurs – les contr;les. Et, n;anmoins, notamment maintenant ; nous est plus important dans l'histoire de l'humanit; ne pas se tromper.
       Il est possible qu'il y a une s;rie êîãíèòèâíûõ des alt;rations et les paradoxes logiques, qui se manifestent seulement dans les raisonnements sur les risques globaux, et qui par nous ne sont pas d;couverts, mais changent enti;rement tout toute la marche des raisonnements. De la m;me mani;re je ne veux pas dire que tous les investigateurs admettent toutes les erreurs ;num;r;es ici. Au contraire, la plupart de ces erreurs, probablement, ñàìîî÷åâèäíû ; la plupart des investigateurs – ou ne semblent pas du tout par les erreurs. Il y a cependant une chance que quelques erreurs sont manqu;es.
       Sous le terme «êîãíèòèâíûå j'ai en vue les alt;rations» ici non seulement les violations de la logique, mais aussi n'importe quelles structures intellectuelles, qui peuvent exercer l'influence sur les conclusions finales et augmenter le risque de l'accident global. Certaines erreurs amen;es peuvent ne pas amener dans les circonstances en cours ; quelques cons;quences, n;anmoins, il est utile de les avoir en vue.
       Les aspects possibles des erreurs et êîãíèòèâíûõ des alt;rations sont divis;s en groupes suivants :
       1. Les erreurs possibles seulement en ce qui concerne les risques globaux en vertu de leur sp;cificit;.
       2. Les erreurs possibles en ce qui concerne l'estimation de n'importe quels risques, conform;ment aux risques globaux.
       3. Les facteurs exer;ant l'influence sur l'acceptation des d;cisions incorrectes, ìãîãóùèå se manifester dans les situations du risque global.
       4. Les erreurs Obshchelogichesky, pouvant se manifester dans les raisonnements sur les risques globaux.
       5. Les erreurs sp;cifiques apparaissant dans les discussions sur le danger du d;veloppement incontr;lable de l'intelligence artificielle (ainsi que les erreurs sp;cifiques dans les raisonnements sur nano - bio-et les autres ïðîðûâíûõ et les technologies dangereuses – y compris ; nucl;aire les technologies et l'astronomie.)
       
Le chapitre 2. Les erreurs possibles seulement en ce qui concerne les menaces ; l'existence de l'humanit;
       
1. La confusion en ce qui concerne les accidents globaux et il est simple de tr;s grands accidents
Il y a une tendance ; confondre les accidents globaux conduisant ; la disparition de l'humanit; (d;sign; dans la litt;rature anglophone par le terme «existential risks») et n'importe quels autres accidents ;normes, qui peuvent apporter le pr;judice immense, rejeter la civilisation loin en arri;re et exterminer la partie consid;rable de l'humanit;. Le crit;re des accidents globaux est l'irr;versibilit;. Dans la langue russe il n'y a pas encore du terme r;sist; bref pour les accidents conduisant ; la disparition de l'humanit;. (Ìîèñååâ appelait comme leurs risques civilisables ou les accidents.) j'appelle comme leurs accidents globaux. Il y a encore un terme-calque – les risques existentialistes. (Est plus d;taill; sur la d;finition des accidents globaux et leur sp;cificit; voir l'article Íèêà Áîñòðîìà «les Menaces ; l'existence. L'analyse des sc;narios de la disparition humaine et les dangers semblables» 274.) La diff;rence entre ces deux aspects des accidents – non au nombre des gens p;rissant et les souffrances ;prouv;es par eux, mais le futur de la plan;te apr;s eux. Si survit au moins une tribu ; 100 personnes, dans quelques mille ann;es par la Terre il y aura de nouveau des ;tats, les villes et les avions, et la civilisation p;rissant sera ; quelque sens âîñêðåøåíà d'apr;s d'anciens textes. (D'anciens Grecs il resta, pour certaines estimations, seulement 1 Ãá ; l'information, mais leur influence sur la culture s'av;ra par l'immense.)
       L'accident, dans qui dispara;t toute l'humanit;, et l'accident, dans qui il dispara;t tout, except; quelques personne, qui puis reconstituent la population humaine, comme de l'Ancien Testament Geins peut servir de l'exemple d'une telle diff;rence. Du point de vue de la personne s;par;e il n'y a d'aucune diff;rence visible entre deux ces accidents. Dans celui-l; et dans un autre cas il p;rira presque sans faute, et tout que pour lui est pr;cieux, p;rira aussi. Cependant pour l'humanit; comme de l'entier c'est la diff;rence est ;quivalente ; la diff;rence entre la mort et tr;s la maladie grave. Et cette diff;rence est qu'aussi la maladie peut ;tre long et p;nible, et s'ach;vera ensuite par le r;tablissement, mais la mort peut ;tre facile, instantan;, mais absolument irr;versible.
       
2. La sous-estimation des risques non ;vidents
       Les risques globaux se divisent sur ;vident et non ;vident. Les risques non ;vidents d'un certain sens sont beaucoup plus dangereux, parce que leur volume est inconnu, leur probabilit;, et en rapport avec eux de rien n'est pas entreprise. On savent certains risques non ;vidents seulement au cercle ;troit des sp;cialistes, qui expriment les opinions diam;tralement inverses dans l'estimation de leur r;alit; et la probabilit;. Ces opinions peuvent avoir l'air pour l'observateur impartial dans la mesure ;gale argument; que le force ; choisir entre les opinions des experts, ou ; partir des pr;f;rences personnelles, ou «en jetant la pi;ce de monnaie». Cependant les risques non ;vidents portent la menace tout ; fait r;elle et avant que la communaut; scientifique soit d;finie d;finitivement avec leurs param;tres. Cela force ; accorder l'attention ; ces domaines des connaissances, sous la relation de qui il y a beaucoup de questions.
       Dans la mesure de la croissance de nos connaissances selon la nature et la puissance de la technique, grandissait constamment le nombre des raisons connues ; nous de la disparition possible humaine. De plus, cette croissance s'acc;l;re. C'est pourquoi il est tout ; fait raisonnable d'attendre qu'il y a des risques les plus importants, que nous ne connaissons rien. Et ces risques, que nous ne pouvons rien apprendre physiquement, ils n'arriveront pas sont plus mauvais d'eux.
       En outre les risques ;vidents est beaucoup plus confortables d'analyser. Il y a un volume immense des donn;es selon la d;mographie, le potentiel militaire et les stocks de mati;res premi;res, que l'on peut analyser en d;tail et en d;tail. Le volume de cette analyse peut couvrir ce fait qu'il y a des autres risques, que nous tr;s peu savons, et qui ne conviennent pas ; l'analyse sous la forme num;rique, mais qui sont mortellement dangereux aussi (par exemple, les probl;mes avec incorrectement programm; ÈÈ).
       Il est facile de remarquer qu'au moment du d;veloppement de la situation d'accident, par exemple, dans l'aviation, les cons;quences les plus terribles sont notamment par l'incompr;hension par les pilotes de ce que se passe (particuli;rement les erreurs dans l'estimation de la hauteur et le degr; du danger du proc;s). Au contraire, quand une telle compr;hension se trouve, on r;ussit ; sauver l'avion souvent dans les conditions tout ; fait improbables. Et bien que les raisons de l'accident nous soient ;videntes a posteriori, pour les pilotes eux-m;mes ils ;taient ; ce moment est fait íåî÷åâèäíû.
3. Les risques globaux íåòîæäåñòâåííû de la s;curit; nationale
       Chaque pays d;pense pour la s;curit; nationale plus d'argent, que sur la globale. Cependant les risques globaux pr;sentent une grande menace ; chaque pays, que national – il est simple parce que si p;rit tout le monde, le pays avec lui. De plus souvent ces actions, qui augmentent la s;curit; du pays donn; ; l';tape en cours, diminuent la s;curit; g;n;rale. Par exemple, la s;curit; d'un certain pays augmente, - en tout cas, ; l'avis de sa direction - quand elle accumule les stocks de l'arme nucl;aire et bact;riologique, mais la s;curit; de tout le monde ; la suite de la course aux armements tombe. Ou, par exemple, le probl;me de la F;d;ration de Russie est la d;population, mais pour tout le monde – la surpopulation (de m;me que pour Moscou). Encore l'exemple : un fonds am;ricain r;alise le projet de la pr;vention des risques globaux et les attaques terroristes contre l'Am;rique. Mais il nous est clair que premier et deuxi;me – non un et aussi.
4. L'erreur li;e avec ïñèõîëîãèçàöèåé du probl;me
       Depuis longtemps il y a un clich; du partisan de "la fin de la lumi;re», l'interpr;te de l'apocalypse, – comme îòâåðæåííîãî par la soci;t; de l'individu, tentant par les ;nonciations absurdes d'augmenter l'importance sociale et compenser, ainsi, les ;checs dans les finances et la vie priv;e. En dehors de la d;pendance de l'authenticit; ou la fausset; d'une telle interpr;tation des motifs psychologiques des gens, cela n'influence pas le degr; des risques. Seulement les calculs exacts peuvent d;finir le poids r;el du risque. Les ;tudes psychologiques ont montr; que les gens dans la d;pression donnent les pr;dictions plus exactes des futurs ;v;nements, que les gens ordinaires, si cela ne concerne pas leur vie personnelle.
5. L'identification de l'accident global avec la mort de tous les gens et vice versa
       La disparition de l'humanit; ne signifie pas la destruction de tous les gens, et vice versa. On peut s'imaginer facilement les sc;narios, quand la grande partie de l'humanit; p;rit d'une certaine ;pid;mie, mais une ;le survivra et en 200 ans restaurera la population humaine. Cependant si tous les gens tombent malade du virus traduisant le cerveau ; l';tat de la b;atitude continue contemplative, cela signifiera la fin de la civilisation, bien que la grande majorit; des gens un certain temps soit encore vivant. Ou si - dans un certain sc;nario fantastique – les extraterrestres gagnent la Terre et ðàñïðîäàäóò les gens selon les zoos spatiaux. De plus, tous les gens vivant ; pr;sent, si on n'invente pas le moyen radical de la prolongation de la vie, dispara;tront vers le d;but de XXII si;cle, de m;me qu'ont disparu maintenant les gens vivant ; XIX si;cle. Mais nous n'examinons pas cela comme l'accident global, parce que se garde la continuit; de la g;n;ration humaine. Le vrai accident global nous privera du futur.
6. Le clich; de la perception des accidents, qui s'est form; ; la suite du travail des m;dias
       Les m;dias cr;ent l'image fausse de l'accident global que peut exercer l'influence subconsciente sur les estimations. L'exp;rience ñìîòðåíèÿ des reportages de t;l;vision sur les accidents a ;labor; le clich; que la fin de la lumi;re nous montreront selon CNN. Cependant l'accident global abordera chacun, et regarder les reportages on n'aura personne. De m;me qu'; montrer.
       Aux m;dias l';clairage improportionnel des risques r;guli;rement a lieu. Par exemple, il est int;ressant de comparer les ;chelles du pr;judice possible de l';l;vation de la temp;rature globale et la mutation de la grippe d'oiseau au virus dangereux. Sans entrer dans les discussions, je dirai qu'il se trouve souvent que le pr;judice r;el est improportionnel ; son ;clairage d'information. Puisque la personne est encline ; l'enseignement inconscient, et en g;n;ral la quantit; d'affirmations, qui on peut percevoir critiquement, îãðàíè÷åííî, ces id;es cr;ent le fond d;fini d'information pour n'importe quels raisonnements sur les risques globaux (; l';gal du cin;ma et l'imaginaire scientifique).
7. Les erreurs possibles li;es ce que l'accident global encore jamais par nous ne se passait pas
       Îòâåðæåíèå d'un certain sc;nario comme fantastique – mais aussi l'accident global ne peut pas ;tre quelque chose autre, que l';v;nement "fantastique".
       L'Erreur, pouvant appara;tre en rapport avec íåîñîçíàâàíèåì de ce fait qu'aucuns ;v;nements il est impossible d'identifier comme global les accidents d'avance, dans le proc;s – mais seulement a posteriori. Probablement, personne n'apprend que c';tait en fait l'accident global. L'accident deviendra global seulement apr;s la mort de la derni;re personne. (Cependant dans les sc;narios de la disparition lente les gens peuvent se rendre compte de cela – ou se tromper sur ce compte. L'exemple possible du sc;nario semblable est d;crit dans le roman Íåéäæåëà Øþòà "Au bord", o; les gens disparaissent lentement des cons;quences de la pollution radioactive.)
       ;;»;;;;;;;«;;; de l'op;ration logique de "l'induction" pour les raisonnements sur les accidents globaux. L'induction comme la m;thode logique comprend dans celui-l;, la supposition que si une certaine affirmation exactement aux moments 1,2, 3 … N, lui exactement et ; N+1 (ou ; tous N). Il ne poss;de pas l'authenticit; absolue logique, mais donne les bons r;sultats ; tr;s grand N et les conditions lisses. Par exemple, toutes les lois physiques sont fond;es sur la quantit; finale d'exp;riences, c'est-;-dire ont r;sult; de l'induction.
       L'induction comme la m;thode logique a les fronti;res de l'applicabilit;. Elle est inapplicable aux situations, quand le futur ne ressemble pas au pass;. Autrement dit, nous ne pouvons pas, en vertu de ce que quelque chose ;tait dans le pass; toujours, dire qu'ainsi il sera et dans le futur. L'application de l'induction dans les raisonnements du type est particuli;rement dangereuse : une fois de cet accident n';tait pas dans le pass;, elle ne sera jamais dans le futur. (Cependant l'induction comme la proc;dure logique est employ;e dans les questions de la s;curit; : du point de la garantie de s;curit; la r;p;tition trois fois par jour p;riodique de l';v;nement dangereux – est tr;s signifiante, tandis que du point de vue de la preuve de l'authenticit; d'une certaine r;gularit; – est absent.)
8. Êîãíèòèâíîå l'alt;ration, ;tant que les r;flexions sur les risques globaux ins;rent automatiquement un certain arch;type «le sauveteur du monde»
       On sous-estime de plus le danger de la comp;tition entre de diff;rents groupes des gens prot;geant de diff;rents mod;les du sauvetage du monde. Finalement, chaque religion mondiale s'occupe du sauvetage de toute l'humanit;, mais autre l'emp;chent seulement. De sorte que la lutte des sauveurs du monde entre elle-m;me peut menacer ; la vie par la Terre. On peut se rappeler l'anecdote des temps sovi;tiques : «la Guerre ne sera pas, mais il y aura une telle lutte pour la paix que du monde de la pierre sur la pierre il ne restera pas».
9. La sous-estimation des risques globaux ; cause des m;canismes psychologiques de l'ignorance des id;es sur la mort personnelle
       Les gens ne sont pas inqui;t;s par les risques globaux, parce qu'ils et se sont habitu;s ainsi l'imminence de la mort personnelle aux d;cennies plus proches et ont ;labor; les m;canismes stables psychologiques de la protection contre ces id;es. On peut d;finir le plus grand d;lai de la planification r;elle (et non les fantaisies sp;culatives) selon les investissements ; long terme r;els des gens. La r;flexion typique d'une telle planification est l'achat de la maison ; l'hypoth;que, les accumulations de retrait; et l';ducation des enfants – le dernier terme de ces projets – 30 ans, ; quelques rares exceptions pr;s, mais il est ordinaire moins 20. Cependant non le fait, qu'est-ce que c'est la planification il est effectif en fait; et les gens dans la plupart connaissent que la vie est beaucoup plus impr;visible. Dans tous les cas, chaque personne a un certain horizon des ;v;nements, et l';v;nement en dehors de cet horizon pr;sente pour lui l'int;r;t purement sp;culatif, – mais en effet, la plupart des gens trouve que les risques globaux d;fendront de nous sur plusieurs d;cennies.
10. Les erreurs li;es ce que celles qui ;tudie les accidents globaux en tout, est oblig; de compter sur les opinions des experts dans de diff;rents domaines de la connaissance
       Il se trouve souvent qu'il y a une multitude d'opinions sur quelque probl;me, qui ont l'air dans la mesure ;gale est argument;. A.P.Chehov ;crivait : «si de la maladie beaucoup de moyens sont propos;s, donc elle est incurable». En vertu de cela l'investigateur des risques globaux doit ;tre l'expert de la s;lection juste et la comparaison des opinions expertes. Puisque ce n'est pas toujours possible, il y a toujours une probabilit; du choix incorrect ïóëà des experts et la compr;hension incorrecte de leurs r;sultats.
11. L'erreur li;e ce qu'aux risques globaux comme ; l'entier donnent moins d'attention, que les risques de l'accident des objets s;par;s
       Les risques globaux doivent ;tre estim;s selon la m;me ;chelle que les risques de tous les autres objets faisant la civilisation. Par exemple, il n'y a pas de sens de mettre dans l'avion la probabilit; de l'avarie un sur un million, si toute la civilisation avec la multitude d'avions a une plus petite s;curit;.
12. L'erreur li;e ce que le risque, acceptable pour une personne ou le projet, se r;pand ; toute l'humanit;
       Les id;es de telle sorte : «; l'Humanit; se trouve risquer sur l'un centi;me pour-cent pour ce nouveau r;sultat extraordinaire» sont vicieux, parce que peut raisonner ainsi simultan;ment beaucoup d'investigateurs et ing;nieurs, chacun de qui sur;value de plus la s;curit; du projet que peut donner au total un tr;s haut risque.
13. L'absence de cette compr;hension claire, ; qui on tourne les indications des risques globaux
       S'ils sont tourn;s aux citoyens, qui en tout cas de rien faire ne peuvent pas, vers la responsabilit; civile des savants, il faut prouver l'existence par qui, vers les gouvernements des grandes puissances mondiales ou l'ONU prise par les affaires, ou vers les commissions et le fonds sp;cialement point; vers la pr;vention des risques globaux – quelle capacit; ; influencer la situation est inconnue. Accable l'absence du dossier syst;matique sur tous les risques – avec qui tous seraient d'accord.
14. La particularit; du lien th;orique et pratique en ce qui concerne les risques globaux
       La question sur les risques globaux est th;orique, puisque d'un tel ;v;nement ; la fois ne se passait pas. Et nous ne voulons pas contr;ler aucune possibilit; exp;rimentalement. De plus, nous ne pouvons pas le faire, parce que nous, les investigateurs, nous n';prouverons pas l'accident global. Cependant nous devons prendre les mesures pratiques pour que cela n'arrive pas. De plus nous pouvons observer le r;sultat positif : ; savoir qu'un certain risque n'est pas arriv;, mais il est difficile d';tablir les raisons, pourquoi cela ne s'est pas pass;. Il est impossible de dire, pourquoi il n'y avait pas guerre thermonucl;aire – parce qu'elle ;tait impossible, ou parce que nous avions de la chance incroyablement, ou c'est le r;sultat de la lutte pour la paix.
15. Les mod;les erron;s de la conduite li;s avec ýâîëþöèîííî par les particularit;s form;es de la conduite humaine
       La strat;gie de la survie personnelle ;lev;e ; nous au cours de l';volution, sous-entend la r;gle : celui qui risque plus, celui-l; prend un grand territoire, re;oit áîëüøèé l'autorit; dans la vol;e, devient l'alpha-m;le et, finalement, laisse, probablement, áîëüøåå la descendance. Ces aspects, qui sont pr;ts ; donner mille individus, en les dirigeant aux parties toutes possibles, atteignent ce qu'au moins un individu se trouvera sur les nouvelles terres. Il est ;vident que cette strat;gie est mortelle pour l'humanit; en tout. M;me si l'humanit; risquera sur 1 pour-cent par an, cela signifie la disparition presque garantie pendant le si;cle. Cependant les pays s;par;s risquaient plus d'une fois le destin, en entrant dans les conflits dangereux.
16. La repr;sentation erron;e sur ce que les risques globaux est quelque chose ;loign; et ne rapportant pas vers le futur plus proche
       En r;alit;, la chance de p;rir dans l'accident global pour une jeune personne dans les conditions en cours historiques, probablement, plus haut que d'autres raisons de la mortalit; personnelle ou de groupe. Plusieurs facteurs du risque global ont m;ri d;j;, mais les autres peuvent se trouver plus m;rs, que nous savons cela (les ;ditoraux bio-et Ii - les ;tudes).
17. La relation l;g;re aux risques globaux, li; aux repr;sentations sur le caract;re momentan; de la mort
       Il appara;t de la repr;sentation erron;e sur ce qu'en cas de l'accident global la destruction il sera obligatoire facile et indolore, comme si ont coup; la lumi;re. Mais ; la r;alit;, au contraire, elle peut ;tre p;nible et moralement (les compr;hensions de la faute et la collision avec la mort des proches), et physiquement. Par exemple, de longue dur;e, mais la disparition in;vitable de la contamination radioactive.
18. La repr;sentation sur ce que les livres et les articles sur les risques globaux peuvent consid;rablement changer la situation
       M;me quand les membres des conseils d'administration des compagnies prenant les d;cisions critiquement dangereuses, s'exprimaient contre – ne les ;coutaient pas. (Avant l'accident ×åëëåíäæåðà il y avait une personne, qui objectait contre la mise en marche, en comprenant son danger.) surtout ne se trouve pas s'attendre que ces gens ;couteront ou liront quand m;me les ;nonciations de ceux qui se trouve en dehors de leur soir;e. (On peut se rappeler opportun ici la loi Ìåðôè : «Quoi qu'il est arriv;, il y aura toujours une personne, qui dira qu'il et connaissait que cela se passera».)
19. La fausset; de l'opinion sur ce que les risques globaux ou sont in;vitables, ou d;pendent des facteurs accidentels, non d;pendants de la personne, ou d;pendent des r;gents ;loign;s, influencer sur qui il est impossible
       Au contraire, la circulation des id;es d;finies dans la soci;t;, ; savoir sur ce que les risques globaux sont possibles et il faut faire les efforts pour leur pr;vention, peut cr;er un certain fond, qui influencera indirectement n'importe quels m;canismes de la prise de d;cisions. En outre d;j; maintenant nous serrons de pr;s cette fronti;re, quand les risques d;pendent de nos d;cisions concr;tes et les actions.
20. L'orgueil de l'investigateur
       Les ;tudes de l'analyse des risques globaux peut ;tre provoqu;es chez la personne par la sensation qu'il fait la plus importante affaire dans l'univers, c'est pourquoi est la personnalit; superpr;cieuse. Cela peut amener dans les circonstances d;finies ; ce qu'il sera plus sourd ; une nouvelle information entrant. Les gens entourant liront facilement cet ;tat de la personnalit; de l'investigateur que compromettra le sujet, de qui il s'occupe. Non plus il faut oublier la loi de Parkinson que chaque personne aspire ; atteindre le niveau de l'incomp;tence. Le niveau global est plus ;lev; pour tous les domaines des connaissances. La protection contre cela est se rapporte aux risques globaux d'une mani;re neutre, de m;me que vers la dissection des grenouilles.
21. L'intuition comme la source des erreurs dans la mentalit; sur les risques globaux
       Puisque les risques globaux se rapportent aux ;v;nements, qui n'arrivaient jamais, eux êîíòðèíòóèòèâíû. L'intuition peut ;tre utile ; la naissance des nouvelles hypoth;ses, mais non comme le moyen de la pr;f;rence et la preuve. V;ra en vertu de l'intuition contribue encore plus ; l'aveuglement par les r;v;lations. En outre l'intuition, comme la manifestation inconscient, peut ;tre sous l'influence des pr;ventions non rendues compte, par exemple, la mauvaise volont; cach;e de voir les destructions et la destruction – ou au contraire, les besoins de les voir l;, o; ils est absents.
22. L';tude scientifique des risques globaux se heurte aussi ; une s;rie des probl;mes
       L'exp;rience n'est pas le moyen de l';tablissement de la v;rit; sur les risques globaux, car le contr;le exp;rimental est notamment ce quoi nous voulons ;viter. En rapport avec l'impossibilit; de l'exp;rience il est impossible objectivement de mesurer, quelles erreurs influencent l'estimation des risques globaux. Il n'y avoir pas ;tre statistique selon les risques globaux. La conception fondamentale «îïðîâåðæèìîñòè» est aussi inapplicable vers les th;ories sur les risques globaux.
23. Les erreurs li;es avec íåó÷¸òîì des cons;quences peu connues logiques du caract;re absolu du risque global
       Seulement en cas des risques globaux tels raisonnements paradoxaux logiques, comme «le Th;or;me selon la Fin de la lumi;re» (Doomsday Argument), ainsi que les effets de la s;lection de surveillance, cependant ils sont inconnus ; la plupart des gens commencent ; agir, mais la part consid;rable de leurs investigateurs rejette.
24. Les m;thodes, employ; vers la gestion des autres risques ;conomiques, ne sont pas employ;es vers les risques globaux
       On ne peut pas les assurer, sur eux il est impossible de mettre le pari : on n'a personne et n'aura rien ; payer en cas du cas d'assurance. Et m;me leur moindre probabilit; est inacceptable. C'est pourquoi on n'a personne ; payer de leurs ;tudes. Si ces ;tudes sont pass;es dans le cadre d'un pays ou la culture, ; eux on peut observer le progr;s des questions de la survie humaine vers les probl;mes de la s;curit; nationale pour cette communaut;.
25. Les difficult;s dans la d;finition de la notion du risque global en rapport avec l'illisibilit; de son objet
       L'illisibilit; se rapporte comme, comment passer les fronti;res de l'humanit;, et vers ce que trouver notamment «comme l'endommagement irr;versible de son potentiel"." La question frontali;re »concerne les singes-primaut;s, les enfants non n;s, êîìàòîçíèêîâ, les criminels, les hommes de Neandertal, les intelligences raisonnables artificielles et d'autres cas possibles extr;mes. Il est important de se rappeler la variabilit; historique de ces fronti;res – encore ; une paire de centaines d'ann;es en arri;re le sauvage ou l'esclave n';taient pas trouv; pour la personne m;me par les gens form;s, et maintenant trouvent les baleines et le dauphin comme des essentiels raisonnables. S'il y avait une destruction des hommes de Neandertal de leur point de vue par la destruction de l'humanit; ? Si nous pour que nous remplacions par les robots raisonnables sommes d'accord ? Si la mort violent çîìáèðîâàíèÿ ; la religion hostile ne vaut pas mieux ? L'affaire m;me pas dans ces questions elles-m;mes, mais dans ce que la r;ponse ; eux d;pend d'un arbitraire humain qu'am;ne ; ce que je trouverai uns groupes des gens comme" l'accident global »ce que les autres seront pr;ts ; saluer. Cela cr;e la possibilit; pour la confrontation dangereuse.
2.26 repr;sentation Erron;e sur ce que les risques globaux menacent aux gens, seulement les gens çàìêíóòû par la Terre, et la transmigration ; l'espace retirera automatiquement le probl;me
       Cependant l';chelle des forces et ýíåðãèé, qui les gens par la Terre apprennent, grandit plus vite, que les rythmes de l'expansion spatiale. Grosso modo, cela signifie que quand les gens peupleront le Syst;me solaire, ils poss;deront l'arme capable plusieurs fois supprimer elle. Si l'accident global est accompagn; par la lutte arm;e sur quelque phase, les ;tablissements spatiaux facilement deviendront ses objets. Ayant dispers; seulement le navire spatial jusqu'; une telle vitesse, sur qui il est impossible de le rattraper, on peut compter sur le sauvetage des fugitifs. Cependant si les raisons de la crise se trouvent dans la nature la plus humaine, l';vasion est inutile – les gens cr;eront les types d'arme dangereux en navires, et sur les colonies spatiales. Enfin, d'information çàðàçà, comme les virus informatiques ou l'attaque ÈÈ, peut ;tre remis ; la vitesse de la lumi;re.
27. La particularit; psychologique de la perception des risques par la personne, appel; «le d;dain de l';chelle»
       Le sauvetage de la vie d'un enfant, un million personne, le milliard ou cent milliards provoque l'impulsion presque identique agir, y compris exprim; dans la volont; de d;penser äåíüãè275. Finalement la grande partie de l'argent et l'attention part sur les projets prot;geant la mineure partie des vies.
28. L'exag;ration ïðîãíîñòè÷åñêîé les valeurs de l'extrapolation
       La fausset; potentielle de l'espoir de ce que "la courbe (c'est-;-dire le graphique de la croissance) emportera». Pour certains gens la loi Ìóðà sur le redoublement du nombre des transistors sur le processeur est devenue toutes les deux ann;es la religion. H;las, toute l'exp;rience de la futurologie parle que l'extrapolation des courbes convient seulement aux pronostics ; court terme. Dans la futurologie plus appliqu;e, qu'est boursier de l'analyste, on fait l'appareil immense de l'analyse de la conduite des courbes, surpassant l'extrapolation plusieurs fois lin;aire, comme si ces courbes ;taient les organismes ind;pendants vivants. En particulier, on d;veloppe la compr;hension de ce que la croissance rapide de la courbe peut signifier un proche retournement de la tendance, «îòñêîê» ou la "bougie". N;anmoins, m;me boursier de l'analyste des courbes ne donne pas les r;sultats de haut pr;cision sans poursuite du "fondement" – l'analyse de l';conomie r;elle. Particuli;rement pour le compte de l'effet de la liaison en retour entre les pr;dictions et les futurs ;v;nements eux-m;mes. La quantit; d'erreurs dans la futurologie, les courbes fond;es sur l'extrapolation, est immense. ; partir de ce que le niveau du fumier ; Londres fera le mouvement par la ville íåâîçìîæíûì276, et jusqu'aux pronostics de la mise en valeur du Mars ; la fin du XX si;cle ; l'aube des succ;s de l'astronautique. En ce qui concerne les risques globaux il y a des attentes d;finies que le progr;s dans le domaine de la technique nous am;nera lui-m;me ; "l';ge d'or", o; les risques globaux ne seront pas. En effet, il y a des espoirs que les futures technologies de l'intelligence artificielle deviendront principales de la d;cision beaucoup plus rapide et effective des probl;mes. Cependant si le progr;s technique stoppe, les risques globaux ne dispara;tront pas.
29. La repr;sentation erron;e sur ce que les gens ne veulent pas en tout l'accident et la fin de la lumi;re
       A.P.Nazaretjan d;crit le besoin de base des gens de fortes ;motions et les sensations extr;mes, qui les incite ; violer le r;gime rapide du mouvement des voitures, faire les guerres, ;tablir les ma;tresses, plus court, trouver les aventures. On ne peut pas sous-estimer l'ennui. (L'exemple typique ; celui-l; est ce que pourrait limiter le nombre des avaries d'automobile, ayant introduit la restriction physique de la vitesse des voitures oui 50 km/heure, mais la plupart des conducteurs sur cela n'accepterait pas.) de plus les gens "rationalisent" toujours ces besoins irrationnels, en expliquant les raisons r;elles.
30. Ñìóòíîñòü des repr;sentations sur ce qu'est notamment «le facteur frappant» dans de diff;rents sc;narios du risque global
       D;s l'enfance repr;sentations apprises sur les facteurs frappant de l'arme nucl;aire, se distinguent beaucoup des facteurs de la prise de d;cision sur son application – et par tout cette diff;rence est ;vidente. Dans la sph;re des risques globaux les supervirus et ÈÈ sont ;num;r;s dans la virgule. Mais le virus tue directement, mais ÈÈ ne peut pas causer lui-m;me le dommage – il peut seulement diriger de diff;rents types d'arme.
       L'exemple de la vie : la situation, quand la personne a p;ri ; la guerre, et la situation, quand l'ont tu;. Ces deux multitudes se croisent seulement partiellement. Si la personne a p;ri ; la guerre, cela signifie beaucoup de raisons possibles de sa mort, et non seulement ce que l'a tu;. Et vice versa, si la personne a p;ri des armes ; feu, cela ne signifie pas qu'il a p;ri ; la guerre : ce peut ;tre la querelle de vie, et le suicide, et l'accident sur la chasse. Clairement que la guerre et le coup de feu – se rapportent ; deux diff;rentes classes des raisons de la mort : des situations dangereuses et les raisons directes. Cependant en ce qui concerne les risques globaux une telle division est pass;e plus vaguement, et l'appui se fait pour l'essentiel sur les raisons directes, et non sur les situations de leur apparition.
31. «Le choc du futur» : Êîãíèòèâíûå les alt;rations li;es ; de diff;rents horizons du futur possible dans la repr;sentation de diff;rents gens
       Mettent en relief cinq niveaux "du Choc du futur». La notion elle-m;me est introduite par le futurologue E.Tofflerom. Ces niveaux d;crivent les fronti;res non r;elles possible, qui nous sont inconnus, mais les fronti;res psychologiques de la perception, diff;rent chez de diff;rents gens. ; chaque niveau du futur possible les risques globaux – et les moyens leur correspondent de l'opposition. ; tout cela ces variantes du futur se rapportent par leurs partisans au XXI si;cle. Ceux qui s'est avanc; tr;s loin dans l'estimation des chocs du futur, peuvent sous-estimer les dangers traditionnels. Il y a une classification suivante des chocs du futur :
       Le choc du 0-;me niveau – le niveau des technologies ordinaires utilis;es maintenant dans la vie quotidienne. (Les niveaux de l'accident : la guerre nucl;aire, l';puisement des ressources.)
       Le choc du 1-er niveau – le niveau des technologies propos;es dans les revues avanc;es et aux expositions informatiques. (La guerre biologique et l'application des robots de combat.)
       Le choc de 2-il du niveau – les technologies d;crites vers l'imaginaire classique scientifique du milieu du XX si;cle. (Le rejet des ast;ro;des ; l';cart de la Terre, l'irruption des extraterrestres)
       Le choc de 3-il du niveau – les supertechnologies, qui sont apparues ; l'horizon seulement ; la fin du XX si;cle : les nanotechnologies (la poussi;re sage), ÈÈ, ;gal ; la personne, le chargement de la conscience ; l'ordinateur, la reconstruction compl;te du corps humain. (Les accidents : la mucosit; grise, surhumain ÈÈ, traitant toute la substance terrestre aux robots, les supervirus changeant la conduite des gens)
       Le choc du 4-;me niveau – la conception sur «Ñèíãóëÿðíîñòè» – le moment hypoth;tique dans le futur, li; ; l'acc;l;ration infinie du progr;s humain, un certain passage qualitatif et le remplacement du mod;le du d;veloppement (les risques : sont impr;visibles). Voir le chef «technologique ñèíãóëÿðíîñòü» ensuite.
       Les risques de l'erreur li;s au choc du futur, sont que chaque personne modelant le futur, a un diff;rent horizon possible et impossible, d;fini plut;t par son confort psychologique, que les connaissances exactes. Plus ;g; personne, est plus difficile d'accepter ; lui le nouveau. Au contraire, la situation «est possible ; l'aveuglement par le futur», quand les menaces des accidents improbables ;clipseront aux yeux de la personne les risques ordinaires. De plus les risques de l'accident global se trouvent ; chaque niveau.
       L'accident en forme de la guerre nucl;aire est plus compr;hensible, que pseudo-amical ÈÈ.
32. La repr;sentation sur ce que l'accident global sera provoqu; par quelque une raison
       D'habitude des accidents globaux pensent, comme sur la disparition unique massive provoqu;e ou le virus, ou la chute de l'ast;ro;de, ou la guerre nucl;aire. Il y a cependant des moyens de l'autoorganisation des possibilit;s dangereuses, qui cr;ent l'effet syst;mique. Par exemple, le syst;me affaibli par un ;v;nement, peut ;tre facile ïîâåðæåíà aux autres. Ou, par exemple, deux maladies coulant lentement, en se liant, peuvent provoquer áûñòðîòåêóùóþ – comme, par exemple, SIDA et la tuberculose chez la personne. De diff;rents sc;narios de la convergence, sont possibles par exemple, les nanotechnologies simplifieront la cr;ation des bombes nucl;aires, ÈÈ simplifiera la cr;ation des nanotechnologies, mais les nanotechnologies permettra d'apprendre les secrets du cerveau qu'approchera la cr;ation ÈÈ. La convergence des risques se passe parall;lement avec la convergence des technologies cl;s modernes appel;es NBIC (nano-bio-info-cogno), c'est-;-dire les nanotechnologies, les biotechnologies, les syst;mes de l'intelligence artificielle et la science sur la mentalit; et le cerveau.
33. La sous-estimation des facteurs syst;miques du risque global
       Les facteurs syst;miques sont des ;v;nements non s;par;s, comme l'apparition soudaine du supervirus, mais certaines propri;t;s, qui se rapportent ; tout le syst;me. Par exemple, la contradiction entre la nature de la civilisation moderne fond;e sur l'expansion continue, et le membre de n'importe quelles ressources. Cette contradiction n'est pas localis;e dans quelque une place, et ne d;pend pas d'une ressource concr;te ou l'organisation. Sont r;elles les crises autoreproduites, qui ; chaque moment du temps entra;nent ; eux-m;mes tout le grand nombre de participants de la communaut;, mais ne d;pendent pas de la conduite d'aucun d'eux et n'ont pas le centre.
34. De l'appel du type : «nous devons lutter pour le monde»
       S'il y a trop de gens et les organisations feront de divers efforts non coordonn;s dans la lutte pour le sauvetage de la plan;te, il y aura dans le meilleur cas une situation d;crite par l'expression connue «le cygne, l';crevisse et le brochet».
35. La sous-estimation des ;v;nements d'avant-crise comme des ;l;ments de l'accident ; venir global
       Si ; la suite de certains ;v;nements la probabilit; de l'accident global a augment; (autrement dit, a augment; la vuln;rabilit; de l'humanit; vers l'accident), cet ;v;nement lui-m;me peut ;tre examin; comme la partie de l'accident global. Par exemple, si ; la suite de la guerre nucl;aire survivent les groupes s;par;s des gens, ils – peu nombreux et priv; les technologies - se trouveront est beaucoup plus vuln;rable vers n'importe quels autres facteurs du risque. Cela l;ve la signification de ces facteurs, qui sont d;sign;s d'habitude comme «les risques globaux». Par exemple, la chute de l'ast;ro;de, le montant avec Àïîôèñ (Apophis 99942, le vol de la Terre en 2029, le diam;tre pr;s de 400 m) Ne peut pas exterminer m;me l'humanit;, puisque l'explosion fait seulement de l'ordre de 800 m;gatonnes qu'est comparable avec l'explosion du volcan Ñàíòîðèí en ancienne Gr;ce, perdant l';le la Cr;te, et seulement ; 4 fois est plus fort que l'explosion du volcan Êðàêàòàó en 1883, estim; ; 200 m;gatonnes òðîòèëîâîãî de l';quivalent. Cependant puisque la coh;rence de la civilisation moderne a augment; consid;rablement, a augment; le r;le d';loign; – les cons;quences ;conomiques et structurales – de diff;rents accidents. L'onde-tsunami immense de la chute Àïîôèñà pourrait amener ; la cessation du commerce dans la r;gion du Pacifique et la crise g;n;rale ;conomique grosse du passage vers le militaire – avec l'accroissement correspondant des cons;quences irr;versibles.
36. Êîãíèòèâíîå l'alt;ration fond;e sur l'id;e : «c'est trop mauvais pour ;tre la v;rit;»
       ; la personne il est naturel mentalement de se d;fendre des sc;narios les plus n;gatifs, en leur ajoutant la plus petite probabilit; ou en refusant d'en penser en g;n;ral. Par exemple, il est facile de s'imaginer quelque automobile cass;, mais il est plus difficile de pr;senter les futurs fragments de l'automobile. Autrement dit, au lieu d';viter les ;v;nements n'a personne, la personne ;vite les id;es sur cet ;v;nement. Il est ;vident que l'accident global supprimant tout qu'; nous il est pr;cieux, dans la plus grande mesure correspond ; la d;finition "trop mauvais". L'accident global est plus mauvais, que la mort, parce que la comprend.
37. Êîãíèòèâíîå l'alt;ration fond;e sur l'id;e : «c'est trop improbable pour ;tre la v;rit;»
       Nous avons beaucoup d'exemples historiques de, comment quelque chose qu';tait "improbable", soudain est devenu possible, et ensuite et ordinaire (les avions, les bombes atomiques, Internet). De plus, est devenu mortellement dangereux. Il faut s;parer "improbable" de physiquement impossible, mais m;me et dernier dans le futur peut se trouver possible.
38. Les id;es du blocage de la cr;ation et la diffusion des nouvelles technologies comme le moyen de l'opposition aux risques globaux
       Cette id;e semble attrayant, puisque promettent le r;sultat visible dans la perspective ; court terme dans la place d;finie. Mais n'importe quel groupe des pays, qui avance cette id;e, dans le compte final, perdra ; un autre groupe, qui continue ; d;velopper secr;tement ou ;videmment dangereux, mais la technologie effective.
39. Les repr;sentations sur ce qu'humain àäàïòèðóåìîñòü est haut et continue sans restriction ; grandir gr;ce aux nouvelles technologies
       Cela exactement, cependant le danger est que les moyens de la destruction accessible aux gens, se perfectionnent plus vite, que les moyens de la protection.
40. L'incapacit; du syst;me s'; modeler m;me
       Bien que nous ne puissions pas ;tudier les accidents globaux exp;rimentalement, nous pouvons compter que, gr;ce aux succ;s du modelage informatique, nous pourrons compter certains mod;les dans l'espace virtuel. Cependant cette possibilit; est limit;e par une s;rie des circonstances. Premi;rement, nous ne prendrons pas en consid;ration en tout cas les facteurs inconnus ; nous – par exemple, la disposition des com;tes dangereuses ou la particularit; des lois physiques. Deuxi;mement, un tel mod;le ne peut pas ;tre complet, puisqu'elle ne comprend pas le modelage de ce que nous r;alisons l'acte du modelage. Autrement r;sulterait un infiniment grand mod;le, comme en cas de la r;flexion de deux miroirs l'ami en face de l'ami. C'est la cons;quence du principe math;matique : la multitude ne peut pas contenir, ; titre de l';l;ment, lui-m;me. C'est-;-dire une affaire – le pronostic du futur, mais l'autre – son pronostic avec le compte de l'influence, qui donnera le pronostic donn;. Seulement le mod;le avec l'endurcissement d;fini peut ;tre compt;. Si nous ;tudions la future conduite du syst;me avec l'intelligence artificielle, cela ne travaille pas, puisque le mod;le doit contenir aussi ÈÈ. Troisi;mement, nos donn;es sur le monde et les principes du modelage doivent ;tre absolument exactes qu'est difficilement accessible aussi. Nous ne pouvons pas choisir le mod;le juste, n'ayant pas pass; l'exp;rience. Pour pr;dire la possibilit; de l';l;vation de la temp;rature globale, le mod;le juste nous est n;cessaire. Pour apprendre, quel mod;le juste, l'exp;rience nous est n;cessaire. Et cette exp;rience sera s;re, seulement si au cours de lui il y aura une ;l;vation de la temp;rature globale, autrement ce sera seulement l'interpr;tation, c'est-;-dire encore un mod;le.
41. L'incapacit; de la personne ; pr;senter la mort personnelle
       L'incapacit; des gens ; pr;senter la mort personnelle conduit ; la sous-estimation des situations, ; qui elle peut se passer, puisque les situations elles-m;mes íåïðåäñòàâèìû – ou ïðåäñòàâèìû seulement du point de vue de l'observateur ext;rieur, qui a surv;cu. La personne ne peut "rien pr;senter«, qui sera, conform;ment aux conceptions ath;es, apr;s la mort. Sur cela s'impose la mauvaise volont; de reconna;tre la mortalit; personnelle. C'est pourquoi il lui est plus facile de pr;senter l'accident global du point de vue de survivant qu'en cons;quence, fait ; son non global.
42. L'approche de la vie ; l'esprit : «Apr;s nous au moins le d;luge»
       Dans ce mod;le de la mentalit; le r;sultat attendu utile doit ;tre re;u ; un certain laps de temps court dans le futur. L'exemple brillant est la situation d;crite dans le proverbe amen;, o; la fronti;re de l'utilit; co;ncide avec l';tendue de la vie attendue. Cependant il arrive souvent qu'elle m;me est plus bas que celle-ci! Par exemple, pour l'autocoureur ou le toxicomane toute l'utilit; attendue doit ;tre re;ue ce soir, mais que sera plus loin - non consid;rablement. Chez les gens normaux l'utilit; attendue se r;pand aux enfants et les petits-fils qu'est fix; ýâîëþöèîííî, mais sur ïðàïðàïðàïðàâíóêîâ elle ne se r;pand pas. Ainsi, il y a un horizon d;fini psychologique de l'utilit;, les ;v;nements apr;s qui personne n'inqui;tent plus – en tout cas, tellement pour qu'il soit pr;t ; faire pour eux quelques d;penses. Certes, cela se justifie par "ce qu'eux-m;mes, ils l; avec tout comprendront».
       De plus, l'id;e sur ce que "je mourrai non un, mais ensemble avec moi mourra toute l'humanit;» peut ;tre plus attrayant, que l'id;e que "je mourrai, mais les autres resteront jouir de la vie». Partiellement c'est pourquoi certain malade par SIDA t;chent de contaminer expr;s le plus possible gens.
43. N'importe quelle position morale, qui n'examine pas la survie des gens ; titre du but principal, plus important, que n'importe quels autres buts
       La position semblable sous-entend que l'on peut risquer la survie de l'humanit; pour les autres buts. Íèê Áîñòðîì d;finit cette position dans le principe Ìàêñèïîêà : «Ìàêñèìèçèðóéòå la probabilit; de l'issue positive, o;« l'issue positive »est n'importe quelle issue, ; laquelle ne se passe pas de l'accident global mortel».
44. Les conceptions du monde religieuses et les cultes eschatologiques
       L';tude des probl;mes des risques globaux est d;rang;e ce que ce territoire est fix; de tout temps apr;s la religion. C'est pourquoi apr;s n'importe quelles discussions ; ce sujet dure la queue du caract;re non scientifique. La diff;rence cl; des cultes eschatologiques – la concentration sur la date de l';v;nement – et la "r;v;lation" ou la proph;tie comme le moyen de sa d;tection. (Dans l'esprit de r;pandu ïîâåðèÿ sur ce que le calendrier Ma;a, et le monde avec lui, s'ach;ve en 2012.) tels cultes portent souvent le caract;re socialement destructif, en incitant les gens ; refuser la vie dans la soci;t; "condamn;e", et c'est pour cela que provoquent l'hostilit; dans la soci;t;. (En 2007 l'attention des m;dias ;tait attir;e par le groupe des sectateurs qui se sont ferm; dans la caverne dans l'espoir de la fin de la lumi;re en r;gion de Penza.) au contraire, pour l'analyse scientifique «la date de la fin de la lumi;re» n'est pas importante, mais sont importantes les probabilit;s et les m;canismes des risques.
45. L'incertitude des significations des nouveaux termes
       En d;crivant les menaces de l'accident global, nous nous servons des termes, les significations de qui n'ont pas encore l'interpr;tation univoque, quand m;me en vertu de ce qu'ils d;crivent les ;v;nements ne pas encore arriv;s et les technologies non cr;;es. L'utilisation commune de quelques tels termes augmente le "jeu" des significations possibles et am;ne ; l'incompr;hension. Si nous connaissions, qu'est-ce que c'est «l'intelligence artificielle», nous pourrions le cr;er d;j;. Cela cr;e l'incertitude importante dans la signification de ce terme avant qu'ÈÈ soit cr;;.
Le chapitre 3. Comme êîãíèòèâíûå les alt;rations, pouvant concerner n'importe quels risques, influencent l'estimation des risques globaux
       
1. La raison principale des erreurs humaines est la superassurance
       La superassurance signifie la persuasion augment;e de la justesse du tableau les mondes et son incapacit; il est essentiel de changer ; l'entr;e de la nouvelle information. Autrement dit, la superassurance signifie l'incapacit; de la personne ; supposer qu'il se trompe ; pr;sent. C'est pourquoi ; quelque sens la superassurance se rapporte aux erreurs sur la nature des erreurs. La superassurance est fix;e par quelques m;canismes psychologiques, et il est probable, avait la signification ;volutionniste. C'est pourquoi la d;couvrir dans lui-m;me et la d;raciner il est tr;s difficile. La personne pr;sentant une grande assurance, peut pr;tendre ; un grand pouvoir dans la soci;t;. Et, probablement, l'installation de la mentalit; humaine contredit l'id;e de la consid;ration de la multitude ;quiprobable áóäóù : penser beaucoup plus d'habitude que quelque chose ou est, ou il est absent. Le mot lui-m;me le "futur" est utilis; dans le nombre singulier, comme si lui un. Enfin, une fois le choix fait ; l';cart d'une interpr;tation devient le filtre, qui choisit l'information de mani;re qu'elle confirme cette id;e.
2. L'attention excessive vers les proc;s lentement en voie de d;veloppement et la sous-estimation des rapides
       Les proc;s lents est plus confortables d'analyser, et selon eux est accumul; plus de donn;es. Cependant les syst;mes s'adaptent plus facilement aux changements lents et p;rissent souvent des rapides. Les accidents est plus dangereux les d;p;rissements. De plus le d;p;rissement lent fait le syst;me vuln;rable vers les accidents rapides. L';laboration des nouvelles technologies – íàíî, áèî, ÈÈ, êîãíèòèâíûå les sciences – se rapporte aux proc;s rapides. Leur d;veloppement pr;cipit; ;clipse n'importe quels proc;s, qui se manifesteront apr;s 2030. Cependant cela ne signifie pas qu'il faut tout ; fait refuser l'analyse des changements lents s;culaires.
3. Les particularit;s d';ge de la perception des risques globaux
       La jeunesse est encline ; sous-estimer les risques globaux, puisque eux ; áîëüøåé ; la mesure est biologique sont point;s vers la conqu;te des nouveaux espaces, et non sur la s;curit;. Les gens plus ;g;s sont enclins ; attacher une grande importance assez de s;curit;, mais par celui-ci est plus difficile d'accepter la possibilit; des principalement nouvelles technologies.
4. Les discussions ne font pas na;tre la v;rit; sur les risques globaux
       Les discussions entre les gens am;nent d'habitude ; la polarisation des opinions. La personne, qui avait au d;but deux hypoth;ses, ; qui ajoutait les probabilit;s ;gales, r;duit la position jusqu'; une hypoth;se oppos;e ; l'hypoth;se de l'adversaire. Ainsi, il r;tr;cit la repr;sentation sur le futur possible. Voir plus en d;tail l'article Þäêîâñêè sur l'estimation des risques.
5. L'habitude de la conduite des discussions est nuisible
       Comme je parlais d;j; dans la pr;face, Þäêîâñêè souligne que l'habitude de la conduite des discussions est nuisible, puisque permet d'avoir le dernier mot de n'importe quel adversaire, sans examiner au fond sa position. L'application de la liste donn;e êîãíèòèâíûõ des alt;rations est particuli;rement dangereuse pour en accuser l'adversaire. Cela peut amener ; la c;cit; intellectuelle.
6. Le d;sir de la mort
       Ôðåéä a exprim; l'id;e sur Òàíàòîñå, l'aspiration ; la mort, qui est chez chacun. Les id;es semblables s'exprimaient avec d'autres savants. Ce d;sir peut est inconscient influencer par personne, en le for;ant ; sous-estimer ou surestimer les risques ou leur aspirer. On Peut supposer que chacun, qui rejette l'id;e de vivre 1000, ;prouve l'aspiration d;finie ; la mort. Cela peut inconscientement pousser la personne choisir les strat;gies conduisant aux risques globaux.
7. Le conservatisme de la mentalit; li; ; la s;lection des syst;mes les plus stables de la conception du monde
       C.Doukins, l'auteur du livre «le g;ne ;go;ste», examine chaque id;e s;par;e circulant dans la soci;t;, en qualit; ðåïëèêàòîðà, capable vers une diff;rente vitesse de l'autodiffusion et appelle tels objets ìåìàì (meme). Pour que s'en d;fende, la conscience humaine est oblig;e d';laborer original «le syst;me r;fractaire», une des variantes les plus effectives par qui est le syst;me «rejette tout nouveau». L'histoire est compl;te par les essayages de, comment les nouvelles id;es ;videmment utiles ;taient rejet;es sans raisons visibles pendant la p;riode de longue dur;e. Par exemple, de la proposition d'utiliser l'oxyde azoteux pour l'anesth;sie ; la chirurgie ; la fin de XVIII si;cle avant l'application r;elle dans les ann;es 1840 a pass; presque 50 ans, le m;me concerne la r;gle laver les mains avant les op;rations. Cependant ; notre si;cle des changements il faut la mentalit; tr;s souple et libre pour prendre en consid;ration et accepter s;rieusement toutes les variantes des risques globaux.
8. La d;tection des erreurs dans le raisonnement sur la possibilit; d'un certain accident concret n'est pas le moyen du renforcement de la s;curit;
       Il y a deux aspects des raisonnements – les preuves de la s;curit; d'un certain syst;me et la preuve de son danger. Ces raisonnements íåðàâíîöåííû logiquement – dans le premier cas les paroles vont sur les cas tous possibles, tandis qu'; deuxi;me – quand m;me sur un cas. Pour d;mentir l'affirmation g;n;rale, l'assez d'un contre-exemple. Cependant le d;menti d'un contre-exemple n'ajoute pas l'authenticit; ; l'affirmation g;n;rale.
       Par exemple : pour prouver le danger d'un certain avion, il suffit d'indiquer que dans certaines exp;riences le document du rev;tement a manifest; la disposition pour l'effet de "la fatigue du m;tal». Cependant pour prouver la s;curit; de l'avion, il y a de d;couvrir tout ; fait pas assez d' incorrection dans la tenue de ces exp;riences selon la mesure de la fatigue du m;tal. Au lieu de cela il est n;cessaire de prouver que le document choisi subira en effet le r;gime donn; des charges.
       Autrement dit, si diriger tous les efforts intellectuels sur le d;menti des divers sc;narios catastrophiques, sans donner l'attention ;gale ; leurs possibilit;s et les erreurs dans le syst;me de la s;curit;, – cela la s;curit; totale du syst;me baissera. Toutes les r;gles ;num;r;es doivent ;tre appliqu;es pour la recherche des erreurs dans les raisonnements sur ce qu'un certain accident est impossible, - alors cela contribue ; la s;curit;. Dans les projets des syst;mes complexes techniques il y a toujours «des argumentations techniques de la s;curit;», o; fait un lapsus «l'avarie maxima de projets» et les moyens de sa localisation. Par la preuve r;elle de la s;curit; est s;v;re la preuve de ce que quelque chose ne peut pas arriver en aucun cas plus – l'exp;rience pratique de l'utilisation de l'installation donn;e des r;gimes tous possibles au cours d'une longue p;riode.
       Du point de vue de la science nous devons prouver, l'existence de l'objet, mais du point de vue de la s;curit; – prouver que quelque chose n'existe pas. Le devoir de la preuve de la s;curit; se trouve sur les ing;nieurs de l'avion, et non sur les voyageurs. C'est pourquoi l'exigence des concepteurs aux experts ;trangers : «prouvez que le risque donn; est r;el» - cause le pr;judice de la s;curit; totale.
9. Aucune des directions des ;tudes dans les nouvelles technologies ne peut pas assurer la s;curit; m;me
       Parce que chaque syst;me aspire ; la conservation, mais les conversations sur le danger des nouvelles technologies peuvent amener ; la cl;ture des nouveaux projets. Par exemple, le site «la biotechnologie Commerciale» 277 r;imprime pour l'essentiel ces articles, qui d;mentent les menaces du bioterrorisme, bien que leur tape ensuite les d;mentis. Ou le m;me en cas avec les r;acteurs. Les partisans de la centrale nucl;aire d;penseront les efforts non pour la recherche óÿçâèìîñòåé dans la s;curit; des stations, mais sur les discussions avec les ;cologistes et la tentative de prouver que la structure existant est s;re, est peut arriver aux tentatives de boucher les adversaires.
10. La repr;sentation erron;e sur ce que quand le probl;me se pr;parera, alors vers elle on peut commencer ; se pr;parer
       Les probl;mes les plus s;rieux apparaissent soudain. Plus s;rieusement probl;me, plus son ;nergie et – il est possible – plus vite rythme de son d;veloppement. Et plus difficilement vers elle se pr;parer. Les accidents globaux sont de puissants probl;mes. C'est pourquoi ils peuvent se d;velopper trop vite pour que vers eux avoir le temps de se pr;parer dans le proc;s. En outre nous n'avons pas d'exp;rience, qui permettrait de d;finir des pr;curseurs de l'accident global d'avance. Par exemple, les accidents se d;veloppent soudain.
11. Les risques concrets sont per;us comme plus dangereux, que d;crit aux g;n;ralit;s
       Par exemple, "la r;volte sur le sous-marin nucl;aire" a l'air plus óñòðàøàþùå, "qu'un grand accident maritime". Þäêîâñêè ;crit : «Du point de vue du calcul des probabilit;s, le suppl;ment du d;tail suppl;mentaire ; l'histoire fait ; son moins probable … Mais du point de vue de la psychologie humaine le suppl;ment de chaque nouveau d;tail fait l'histoire de plus en plus authentique» 278.
12. Les repr;sentations sur ce que la mentalit; sur les risques globaux – est pessimiste
       Cela am;ne ; ce que les gens pensant sur «la fin de la lumi;re», condamnent – et donc, et nient leurs id;es. Mais selon le champ de mines il faut aller est rendu compte : danser sur lui est les yeux ferm;s non l'optimisme.
13. «Les th;ories du complot» comme l'obstacle pour l'analyse scientifique des risques globaux
       Circulant dans la soci;t; divers «les th;ories des complots» (comme une nouvelle chronologie Ôîìåíêî) ont agac; les dents. D'autant plus que la plupart, si non tout d'eux, faussement, mais leurs pr;dictions ne se r;alisent jamais presque. Souvent «les th;ories des complots» pr;disent aussi certains risques. Mais ils ñòðóêòóðíî se distinguent de l'analyse scientifique des risques. La th;orie du complot affirme d'habitude qu'un risque menace ; l'humanit; seulement, et ce risque se r;alise par l'image concr;te au moment concret du temps : Par exemple, «le dollar s';croulera en automne 2007». En g;n;ral, l'auteur conna;t aussi la recette, comme avec ce risque de lutter. Tandis qu'affirmer plus justement que la r;action d'op;rette de quelques risques menace ; l'humanit;, et nous ne connaissons pas, quand et qu'arrivera.
       Plus mal nous pronostiquons le futur, il est plus dangereux. Un principal danger du futur – son impr;visibilit;. «Les th;ories du complot» sont nuisibles ; la pr;diction du futur, puisque r;tr;cissent la repr;sentation sur la multitude de futures possibilit;s. De plus ils supposent la superassurance ; personnel ïðîãíîñòè÷åñêèõ les capacit;s. Une bonne pr;diction du futur ne pr;dit pas les faits concrets, mais d;crit l'espace des sc;narios possibles. Et en vertu de cette connaissance on peut mettre en relief les points cruciaux de cet espace et les prot;ger.
       De plus, telles "pr;dictions" ruinent le cr;dit des id;es raisonnables se trouvant dans leur base, par exemple, sur ce qu'un grand attentat peut affaiblir le dollar et provoquer la r;action en cha;ne de l'effondrement. Que Ben Laden comprend cela aussi, et sur cela compte, probablement. «Les th;ories du complot» sous-entendent toujours qu'il y a certains, qui avec nous font quelque chose, cachent etc. Cela sape la compr;hension de la responsabilit; de l';v;nement dans le monde, et qu'est pas moins important, rejette le r;le du hasard, comme d'un important facteur du proc;s catastrophique. En outre «les th;ories du complot» sont incapables ;tre joint l'un avec l'autre, en formulant l'espace des possibilit;s. Et aucune th;orie du complot ne se reconna;t pas ; titre de tel. Ces th;ories se r;pandent dans la soci;t; comme ìåìû, les unit;s autocopiantes d'information.
       D'autre part de ce que le principe lui-m;me de la th;orie des complots est compromis la plupart d'eux faussement, certaines de telles th;ories, ne suivent pas n;anmoins que, ne peuvent pas se trouver la v;rit;. «M;me si vous ne pouvez pas attraper le chat noir dans la pi;ce noire est ne signifie pas encore qu'il est absent l;».
14. Les erreurs li;es ; la confusion des pronostics ; court terme, ; moyen terme et ; long terme
       Le pronostic ; court terme prend en consid;ration l';tat en cours du syst;me, aux tels se rapporte la plupart des discussions au sujet de la politique. ; moyen terme prend en consid;ration les possibilit;s du syst;me et les tendances en cours. ; long terme prend en consid;ration seulement le d;veloppement des possibilit;s. J'expliquerai cela par l'exemple suivant :
       Nous admettrons, nous avons un navire avec la poudre, selon qui marchent les matelots et fument le tabac. On peut raisonner ; court terme ainsi : uns matelots se trouvent haut sur la vergue, mais les autres dorment, c'est pourquoi aujourd'hui l'explosion ne sera pas. Mais dans la perspective ; moyen terme les quantit;s de poudre et la quantit; de matelots fumant, qui d;finissent la probabilit; de l'explosion, parce que t;t ou tard quelque matelot fumant se trouvera dans la place incorrecte sont importantes seulement. Mais ; äàëüíåñðî÷íîé ; la perspective au compte il y a seulement une quantit; de poudre, mais vraiment le feu d'une fa;on ou d'une autre oui se trouvera. Exactement aussi et avec la menace de la guerre nucl;aire. Quand nous examinons sa probabilit; ; deux mois ; venir, pour nous a une importance la conduite concr;te des puissances mondiales. Quand nous parlons sur cinq ans ; venir, au compte il y a une quantit; de puissances nucl;aires et les fus;es. Quand nous parlons sur la perspective sur les dizaines des ann;es, au compte il y a seulement une quantit; de plutonium fait.
       De plus dans de diff;rents domaines de la connaissance temporaire l';chelle de la courte dur;e du pronostic peut se distinguer. Par exemple, dans le domaine de l'extraction charbonni;re de 25 ann;es est un pronostic ; court terme. Mais dans le domaine de la production des microprocesseurs – 1 an.
15. Les particularit;s de l';motion humaine de la peur
       La capacit; de la personne ; craindre fait partie en r;ponse ; la motivation concr;te dans la situation concr;te. Notre ;motion de la peur n'est pas destin;e ; l'estimation des risques ;loign;s. C'est exprim; dans le proverbe russe : «le tonnerre n';clatera pas, le moujik ne se croisera pas». D'autre part, la peur peut r;primer les id;es sur les dangers possibles. Par exemple, quand la personne refuse de remettre les analyses, parce que craint que chez lui quelque chose trouveront.
       En ce qui concerne les accidents globaux il se trouve le cercle ferm; : pour que la probabilit; d'un certain accident s'approchant global devienne universellement admise – doit ;clater le "tonnerre" – c'est-;-dire il y avoir se passer un certain ;v;nement, son d;finissant, et, probablement, faisant elle pratiquement in;vitable est univoque.
16. La sous-estimation de la signification des ;v;nements exclus (discount rate)
       La propri;t; naturelle de la personne est ce qu'il donne une plus petite signification aux ;v;nements ;loign;s dans l'espace et ;loign;s dans le temps. Par exemple, l'inondation arriv;e ; l'anciennet; qui ont perdu un million la personne sera ;quivalente selon l'importance ; l'accident moderne avec òûñÿ÷üþ des victimes dans le pays ;loign; ou l'incendie dans la maison voisine de quelques victimes. C'est connu comme «discount rate» – «le niveau de la r;duction» 279. Cette r;duction agit sous la relation l'estimation de l'utilit; et le risque des futurs ;v;nements. De plus elle a rationnel, ainsi que le caract;re irrationnel. Le niveau rationnel de la r;duction est une r;duction, que fait le sujet ;conomique, en pr;f;rant recevoir, pour ainsi dire, 100 dollars aujourd'hui, et non 105 dans un an, – et celui-ci la r;duction est la fonction diminuant lentement du temps. Au contraire, l'estimation ;motionnelle de la situation ins;re tr;s vite niveau diminuant de la r;duction, qui diminue ãèïåðáîëè÷åñêè dans le temps. Cela am;ne ; ce que l'accident global, îòñòîÿùàÿ pour des ann;es de la situation actuelle, acquiert le poids presque nul.
17. La mauvaise volont; consciente de conna;tre les faits d;sagr;ables
       Cela se manifeste ; la situation, quand la personne remet la marche chez le m;decin pour ne pas conna;tre le diagnostic d;sagr;able. Bien que cela diminue ses chances de survivre dans le futur ;loign;, par contre il gagne dans le futur tranquille plus proche – c'est-;-dire ici se manifeste aussi le niveau de la r;duction.
18. L'effet du d;placement de l'attention.
       Plus une certaine personne donne de l'attention ; une raison possible de l'accident global, moins il donne aux autres, et finalement ses connaissances acqui;rent le progr;s d;fini ; l';cart de sa sp;cialisation. C'est pourquoi la r;;valuation de quelque un risque global conduit ; la sous-estimation d'autres et aussi est nuisible.
19. Internet comme la source des erreurs possibles
       Internet, comme monsieur Martin Ris280 souligne, il y a de me cr;er le journal «aujourd'hui», par voie de la s;lection seulement ces sites, qui soutiennent le premier point de vue du sujet, qui puis s'affermit dans la position choisie, en lisant constamment seulement les adh;rents. Sans parler que dans Internet le niveau bas de l'exactitude de l'information, puisque la partie consid;rable de la bonne information authentique se trouve dans les ;ditions payantes, par exemple, l'article ; Nature selon 30 dollars pour l'article, mais n'importe quelle personne peut librement exposer les textes au r;seau, en cr;ant un haut bruit d'information. De plus les documents plus sensationnels se r;pandent plus vite, que moins sensationnel. Autrement dit, si plus t;t la production typographique contribuait ; la diffusion plus rapide des textes meilleurs, maintenant Internet contribue ; la diffusion plus rapide moins qualitatif, mais les sources plus importunes dans la publicit;. D'autre part, Internet acc;l;re l'acc;s ; l'information et acc;l;re sa recherche.
20. Les croyances
       Difficilement îòðåôëåêñèðîâàòü les croyances, puisque eux est per;u comme la connaissance authentique ou comme non justiciable èìïåðàòèâ, mais il est facile remarquer, comment n'importe quelles superstitions influencent l'estimation des risques par les autres gens. Par exemple, de hautes avaries en Turquie sont li;es, en particulier, au principe «èíøàëà» – sur tout la volont; d'Allah : puisque les destins de tous les gens sont inscrits d;j; dans le livre chez Allah, il n'est pas important que tu fais – le jour de ta mort est fix; d;j;. C'est pourquoi on peut comme on veut risquer. Monsieur Martin le Riz ïèøåò281 qu'; l'administration de Reagan pour l'environnement r;pondait le fondamentaliste religieux James Uatt, qui croyait que l'Apocalypse arrivera plus t;t, que l'on ;puisera les stocks du p;trole, p;riront les bois et arrivera l';l;vation de la temp;rature globale, de sorte que d;penser les ressources sont presque notre devoir. Plusieurs croyances peuvent porter plus fin, îêîëîíàó÷íûé ou le caract;re "scientifique", comme la foi en le bon droit ou le tort d'Einstein, le danger ou la s;curit; de n'importe quel risque etc. Les croyances ne sous-entendent pas la possibilit; de la falsification. Pour r;v;ler la croyance il est utile d';tre donn; par la question : «Quel l';v;nement ou le raisonnement me forcerait ; changer mon point de vue sur cette question ?»
21. Les peurs inn;es
       Plusieurs gens ont des peurs inn;es – les serpents, les hauteurs, l'eau, les maladies. Il n'est pas difficile de supposer qu'ils surestimeront les ;v;nements rappelant ces peurs, et sous-estimer ceux qui leur sont dissemblables. L'estimation des risques peut influencer et le syndrome posttraumatique, quand une certaine forte frayeur est rest;e dans la m;moire et maintenant tous les objets semblables font peur. Au contraire, de forts d;sirs peuvent r;primer les peurs, dans l'esprit du proverbe : «si on ne peut pas, mais on veut beaucoup, on peut». Par exemple, la personne avec le d;go;t inn; peut surestimer le risque de la guerre biologique et sous-estimer les risques de la chute de l'ast;ro;de, mais, au contraire, la personne qui a ;prouv; l'autoaccident exag;rera les risques de la chute de l'ast;ro;de, et sous-estimer les risques biologiques.
22. L'erreur r;sultant ; cause de la lutte non avec la source du risque, mais avec les messages sur le risque
       Le m;contentement est transf;r; non sur la source elle-m;me du risque, mais par personne, qui l'a communiqu;, dans l'esprit de la r;gle orientale : «Tuer le messager qui a apport; une mauvaise nouvelle». Je me heurtais plus d'une fois ; la critique rigide dirig;e sur mienne «les manques personnels», et les accusations dans la "parano;a", quand proposait d'examiner n'importe quels risques.
23. La difficult; dans la d;limitation de la connaissance personnelle
       Je ne connais pas ce quoi je ne connais pas. Cela cr;e la sensation de ce que je connais tout, parce que je connais tout que je connais. C'est-;-dire cr;e la sensation fausse de l'omniscience conduisant ; la c;cit; intellectuelle et la mauvaise volont; accepter les nouvelles informations. A.Kamju : «le G;nie est l'esprit qui s'est rendu compte des limites» 282. Mais nous ne connaissons pas enti;rement le monde, nous ne pouvons pas ;puiser la liste des risques globaux.
24. L'humour comme le facteur des erreurs possibles
       La plaisanterie fait le droit ; la personne l;galement mentir. En cons;quence, cela cr;e l'attente chez ceux qui entend la nouvelle inattendue que c'est la plaisanterie. Par exemple, le gardien de l'ambassade ; Kenya a t;l;phon; au partenaire et a communiqu; que vers les portes sont arriv;s les terroristes avec le pistolet; celui-l; n'a pas confi; et a coup; le lien; la bombe a saut;. Puisque nous ne connaissons pas, sous quelle forme la menace globale peut nous venir, nous pouvons percevoir le message sur elle, comme la plaisanterie. On peut se rappeler et la plaisanterie de Reagan ce que l'attaque nucl;aire contre l'URSS commencera dans 5 minutes, qui il a dit pour le contr;le du microphone avant l'intervention qu'a amen; ; la r;duction de l'arm;e Sovi;tique ; de combat ãîòîâíîñòü283.
25. La panique
       La r;action hypertrophi;e au stress am;ne vers erron; et dangereux les actions. Par exemple, la personne peut sauter de la fen;tre ; l'incendie, bien que le feu ne lui soit pas encore arriv;. Il est ;vident que la panique exerce l'influence et sur les id;es de la personne dans l';tat du stress. Par exemple, un ÷åëîâåê284, en temps de paix tenant àõèìñû (le principe du yogi sur íåóáèåíèè des essentiels vivants), pendant la guerre ;laborait le plan de l'explosion des digues en Allemagne pour inonder les villes. C'est-;-dire la panique peut ;tre l';tat assez de longue dur;e changeant beaucoup les mod;les de la conduite. Mais aussi la panique de courte dur;e est dangereuse, puisque la situation du risque global peut se d;velopper tr;s vite, en des heures et m;me les minutes, et les d;cisions strat;giques devront ;tre accept;es pour ce temps.
26. La somnolence et d'autres facteurs de l'instabilit; naturelle de la conscience humaine, influen;ant l'apparition des erreurs
       Selon une des versions, Napol;on a perdu Waterloo, parce qu';tait pris froid. Comment on peut attendre que le pr;sident prendra la d;cision fid;le, ;tant r;veill; parmi la nuit ? On peut ajouter ici et l'incapacit; importante de la personne ; suivre exactement les instructions, et le membre de la longueur les instructions, qui il peut comprendre et accomplir. Bien que cela se rapporte en premier lieu aux erreurs des op;rateurs, on peut pr;senter que l';tat du trouble temporaire de la conscience influenceront et les conclusions de l'ing;nieur ou l'auteur d'une certaine instruction, ayant amen; vers est admissible, vers l'erreur dans le plan.
27. La disposition des gens lutter avec les dangers, qui ;taient d;j; dans le pass;
       Par exemple, ;tait le tsunami de 2004, et maintenant tous ont commenc; ; construire les syst;mes des pr;ventions du tsunami. Mais une fois suivante ce sera non le tsunami. De plus avec le courant le jour l'alarme des gens diminue, mais la probabilit; du fort tremblement de terre r;it;r; (mais non àôòåðøîêà) – augmente.
28. La fatigue de l'attente de l'accident
       La faute typique ;tant qu'apr;s que un certain accident arrivera, tous commencent ; attendre la r;p;tition dans un proche avenir deuxi;me exactement m;me, et apr;s que cette attente n'avoir pas, traduisent cet accident ; la cat;gorie «c';tait il y a longtemps et le mensonge». ;tait ainsi apr;s l'attentat le 11 septembre. D'abord tous attendaient les attaques r;it;r;es contre les gratte-ciel, et la construction des gratte-ciel dans le monde a ;t; frein;e. Maintenant tout cela ont oubli;, et la construction des gratte-ciel va d'urgence. Cela contredit ce que dans la r;alit; de l'accident d'une telle ;chelle peuvent se passer avec la p;riodicit; ; beaucoup d'ann;es, et c'est pour cela que notamment apr;s le laps de temps de longue dur;e leur probabilit; augmente r;ellement. La fatigue de l'attente de l'accident s'exprime et dans la perte de la sensibilit; de la soci;t; vers les pr;ventions.
29. Les estimations expertes non fond;es sur les calculs s;v;res, ne peuvent pas servir de la mesure de la probabilit; r;elle
       ; la diff;rence de la situation sur les march;s de fonds, o; l'estimation moyenne statistique des meilleurs experts est utilis;e pour la pr;diction du futur r;sultat, nous ne pouvons pas estimer et prendre nos experts des risques globaux par la quantit; des accidents devin;s par eux. En outre ce que le taux dans l'estimation des risques globaux est tr;s haut – la survie de l'humanit; est n'am;ne pas automatiquement ; ce que les pr;dictions deviennent plus exactes.
       Dans les exp;riences selon la pr;diction on d;couvre la statistique suivante : «Seulement 73 % des r;ponses, sur qui ont fait les taux 100:1, ;taient fid;les (au lieu de 99.1 %). L'exactitude a augment; jusqu'; 81 % aux taux 1000:1 et jusqu'; 87 % ; 10.000:1. Pour les r;ponses, sur qui mettaient 1.000.000:1, l'exactitude faisait 90 %, c'est-;-dire le niveau correspondant de la confiance devrait engendrer les taux 9:1. Au total, les candidats se trompaient souvent m;me aux niveaux les plus hauts des taux. De plus, ils ;taient enclins ; faire de tr;s hauts taux. Plus que la moiti; de leurs taux ;tait plus que 50:1».285
       «Les niveaux semblables des erreurs ;taient d;couverts et chez les experts. Hynes et Vanmarke (1976) ont interrog; sept mondialement connu ãåîòåõíèêîâ ; propos de la hauteur de la digue, qui provoquera la destruction du fondement des races argileuses, et ont demand; d'estimer l'intervalle 50 % de l'assurance autour de cette estimation. Il se trouva qu'aucun des intervalles propos;s ne comprenait pas la hauteur juste» par.286 Raison de cette erreur est «la superassurance des experts» – par exemple, parce que l'expert craint de perdre le statut de l'expert, si doute trop des opinions.
30. L'ignorance de quelque des risques en raison de son insignifiance ; l'avis de l'expert
       M;me si une certaine th;orie est irraisonnable en effet, se trouve perdre le temps et les efforts pour d;mentir par son image claire et convaincante pour tous dans la discussion ouverte. En outre l'insignifiance ne signifie pas l'impossibilit;. L'insignifiance du risque doit ;tre le r;sultat de l';tude, et non par le pr;texte de refuser l';tude. En outre il faut la compr;hension juste de l'insignifiance. Par exemple, si nous acceptons l'estimation 10 pour la probabilit; de l'accident global, comme insignifiant (; savoir estime ainsi ÖÅÐÍ le risque de l'accident sur un nouvel acc;l;rateur), si passer telles exp;riences chaque jour, cela donnera 3 % des chances de la disparition pendant 100 ans ou la disparition garantie pendant 3000 ans.
31. La sous-estimation ou la r;;valuation de notre capacit; ; r;sister aux risques globaux
       Si nous sous-estimons notre capacit; ; r;sister aux risques globaux, en vertu de cela nous n'entreprendrons pas ces actions, qui pourraient nous sauver. Si nous surestimons nos capacit;s par lui r;sister, cela peut nous amener ; la qui;tude superflue.
32. Le syndrome de Stockholm
       Il s'agit de l'effet de la loyaut; ou m;me l'amour des otages le voleur. ; quelque sens il peut se manifester ; «ñìåðòíè÷åñòâå» – la conception philosophique, qui approuve la mortalit; de la personne et la modicit; de son d;lai de la vie durant 100 ans. Mais si la mortalit; de la personne est approuv;e, d'ici un pas avant l'approbation de la mortalit; de toute l'humanit;.
33. Apr;s les erreurs de l'op;rateur il y a une pr;paration incorrecte
       Apr;s les erreurs concr;tes des pilotes, les op;rateurs, les dispatchers et les politiques il y a souvent des erreurs conceptuelles dans leur s;lection et la pr;paration. Par exemple, l'indulgence pour leur autorit; (le cas avec le pilote c;l;bre ;gyptien, qui par la d;finition ne pouvait pas se tromper – et a cass; l'avion) et l';conomie sur l'enseignement. On peut examiner l'analyse scientifique et la diffusion des connaissances selon les risques globaux comme la partie d'une telle pr;paration pour les personnes prenant les d;cisions dans le futur.
34. Le groupe des gens peut prendre les d;cisions pires, que chaque personne en particulier
       En fonction de la forme de l'organisation du groupe, elle peut contribuer ou emp;cher ; la production des d;cisions raisonnables. Un bon exemple – les ;tats-majors ou l'I.R.S., un mauvais exemple – la vol;e, la foule ou le pays embrass; par la guerre civile. Jusqu'; ce que dans le monde il n'y a pas de groupe commun universellement admis prenant les d;cisions de la pr;vention des risques globaux, la situation est plus proche plut;t d'une mauvaise variante.
35. La modicit; du nombre des registres libres dans l'esprit de la personne et le mod;le de la mentalit; se refl;tant dans chaque proposition : le sujet-objet-action – comme les sources possibles des erreurs
       Cela force la personne ; se concentrer sur un aspects du probl;me, comme, si attaquera Mais sur, en diminuant ; cela (en chargeant ; l'ombre de l'attention) d'autres aspects. Aucune personne ne peut pas embrasser tous les probl;mes mondiaux dans l'esprit pour les ranger selon le degr; de leur danger et ïðèîðèòåòíîñòè. Peu probablement cela peut l'organisation.
36. La scission de la futurologie selon de diff;rentes disciplines, comme si ces proc;s se passaient ind;pendamment
       Il y a quelques variantes de la mentalit; sur le futur, et ils ont la disposition ;trangement ne pas se croiser, comme s'il s'agit de diff;rents mondes.
       - Les pronostics l'arriv;e «Ñèíãóëÿðíîñòè». Les superordinateurs, les biotechnologies, et íàíîðîáîòû.
       - Les pronostics des crises syst;miques dans l';conomie, la g;opolitique et les guerres.
       - Les pronostics dans l'esprit de la futurologie traditionnelle sur la d;mographie, les ressources, l';l;vation de la temp;rature.
       Le type sp;cial des pronostics – de grands accidents : les ast;ro;des, les supervolcans, le super;clat au soleil, ïåðåïîëþñîâêà du champ magn;tique, plus les sc;narios religieux et les sc;narios fantastiques.
37. La situation, quand apr;s un plus petit probl;me il faut grand, mais nous sommes incapables de cela remarquer («le Malheur il ne vient pas une»)
       L'accident global peut arriver ; la suite de la cha;ne des ;v;nements de plus en plus gradu;s, cependant le premier de ces ;v;nements peut couvrir pour nous la perception des risques suivants. Les raisons de cela peuvent ;tre :
       1) Notre attention au moment de l'avarie se distrait enti;rement. Par exemple, s';tant trouv; dans une petite avarie, le conducteur commence ; marcher autour de la voiture, et ici ; lui se grave une autre voiture filant.
       2) les Influences de l';motion.
       3) la Personne elle-m;me fait une encore grande erreur en train de la correction de la menue. Par exemple, quand le fripon menu tire sur le policier pour se cacher.
       4) l'Incompr;hension de ce que la premi;re avarie cr;e la cha;ne non ;vidente des raisons et les cons;quences, qui peut soudain d;visser de derri;re le coin.
       5) le Premier ennui affaiblit graduellement la r;sistance de l'organisme vers les changements plus rapides et soudains. Par exemple, la grippe est grosse de l'inflammation des poumons, au traitement incorrect.
       6) l'Incompr;hension de ce que les deux avaries peuvent ;tre provoqu;es par une certaine raison non ;vidente totale. Par exemple, quelque chose s'est effondr;, la personne est all;e regarder - que, et ici il s'est effondr; enti;rement.
       7) l'Euphorie de l';limination du premier accident peut forcer ; perdre la sagesse. (Par exemple, la personne se d;chire sortir de l'h;pital un peu plus t;t, et chez lui se s;parent les coutures.)
38. L'effet de la s;lectivit; de l'attention
       Souvent les gens suivant certaines pr;dictions, par exemple dans l';conomie, ont une question : «Pour quelle raison ce que doit ; l'instant s';crouler, tout ne s';croule pas et ne s';croule pas ?» Il est probable, nous avons affaire ; l'erreur sp;cifique dans l'estimation des risques. En remarquant les fissures dans le fondement, nous parlons : "ainsi! Il s';croulera ; l'instant" et nous commen;ons ; chercher d'autres fissures. Certainement, nous les trouvons, et il ne nous est pas difficile de les lier au r;seau sp;culatif. Mais, en s'occupant les recherches des fissures, nous cessons de regarder les supports. Notre attention devient ;lectorale, nous voulons confirmer l'hypoth;se.
       Nous nous trouvons dans le cercle vicieux de l'accumulation ;lectorale de l'information seulement sur un aspect de l'instabilit; du syst;me, en ignorant les raisons de sa stabilit;, ainsi que d'autres risques li;s ; ce syst;me. L'exag;ration de certains risques, du compte final, am;ne aussi ; leur sous-estimation, puisque la soci;t; acquiert l'immunit; aux pronostics n;gatifs et perd la confiance aux experts. Par exemple, la station de la pr;vention du tsunami sur Ãàâàéÿõ s'est trouv;e devant le dilemme : si pr;venir la population du risque du tsunami, une fois suivante ; la pr;vention ne confieront pas, mais si ne pas pr;venir – il est possible que notamment cette fois-ci le tsunami se trouvera dangereux. Le service tha;landais de la pr;vention en 2004 a d;cid; de ne pas pr;venir les gens du tsunami, en craignant d'effrayer les touristes.
39. Le d;sir subconscient de l'accident
       L'aspiration de l'expert des risques de prouver le bon droit des pronostics provoque chez lui le d;sir inconscient de que l'accident pronostiqu; arrive quand m;me. Cela le pousse ou exag;rer les pr;curseurs de l'accident s'approchant, ou m;me fermer les yeux sur ces ;v;nements, qui peuvent lui amener. Les gens peuvent vouloir aussi les accidents de l'ennui ou en vertu du m;canisme masochiste «la jouissance n;gative».
40. L'utilisation des messages sur les risques pour la poursuite de l'attention ;, les d;calages de l'argent et l'augmentation du statut social
       On peut d;finir ce type de la conduite comme «le syndrome Ñêàðàìåëëû», – en l'honneur du filou italien se trahissant pour l'expert sur les questions de la s;curit;. Dans le cas extr;mement aigu la personne invente certains risques, parce que conna;t que la soci;t; et les m;dias leur r;agiront rudement. Ce mod;le de la conduite est dangereux que du contexte total on arrache quelques risques les plus spectaculaires, et non moins dangereux, mais non si avec entrain risques sonnant sont dissimul;s. En outre la soci;t; a une accoutumance vers les messages sur les risques, comme dans le conte de f;e sur le gar;on, qui criait «le Loup, le Loup!», mais le loup n';tait pas. Quand le loup est venu en fait, personne n'a confi; au gar;on. De plus, il y a une allergie publique aux messages sur les risques, et tous les messages commencent ; ;tre expliqu;s dans les termes des relations publiques et la division de l'argent.
41. L'utilisation du sujet des risques globaux ; titre du sujet pour les m;dias divertissants
       La mise en relief de l'adr;naline dans les situations critiques est agr;able ; sa guise, et on peut recevoir une petite piq;re lui, ayant regard; le film-katasrofu documentaire. Cela am;ne ; ce que les conversations sur les risques commencent ; ;tre per;ues comme quelque chose peu s;rieux, ne rapportant pas vers la r;alit; personnelle et les probl;mes, m;me comme quelque chose agr;able et d;sir;.
42. L'erreur logique de la g;n;ralisation en vertu de l'invention d'art
       Est d;crite chez Áîñòðîìà287 comme «l'alt;ration ; l'esprit ;« une bonne histoire ». La consommation r;guli;re des oeuvres divertissantes – les films, les romans – forme subconsciemment le mod;le du risque, qui se pr;pare, menace, se d;veloppe d'une mani;re int;ressante, mais puis çðåëèùíî est surmont;, – et tout le jeu va presque sur un pied d';galit;. Les risques r;els ne sont pas engag;s ; correspondre ; ce mod;le. M;me si nous t;chons d';viter l'influence des oeuvres d'art, le film«Òåðìèíàòîð»est assis chez nous dans la subconscience, en cr;ant, par exemple, la repr;sentation erron;e que les probl;mes avec l'Intelligence Artificielle c'est obligatoire la guerre avec les robots. Une des formes de cette erreur est que dans le roman de fiction se met invariable le monde ordinaire et on lui ajoute un d;tail fantastique, et puis on examine les cons;quences possibles de cela. L'autre – dans ce que les adversaires sortent ;gal selon la force. Troisi;me – dans ce que par la norme de l'ach;vement de l'histoire est consid;r; le happy end. Cependant dans l'affaire de la pr;vention des risques globaux il n'y avoir pas ;tre aucune bonne fin – si nous avons pr;venu tous les risques du XXI si;cle, il faut faire aussi et ; XXII si;cle et cetera.
43. Les id;es de l'opposition aux risques globaux avec l'aide de l'organisation des adh;rents li;s par l'objectif commun – assurer le bien de l'humanit;
Cette id;e est vicieuse, parce que toujours, quand il "nous y a«, il "les y a«. N'importe quelle organisation a un dynamisme ind;pendant de groupe dirig; sur le renforcement et la survie de cette organisation. N'importe quelle organisation a un concurrent. ; l'int;rieur de l'organisation on lance le dynamisme de groupe du troupeau-tribu, incitant ; lutter pour le pouvoir et r;aliser d'autres buts cach;s. La lutte des sauveurs de l'humanit; entre elle-m;me est finalement possible.
44. Le caract;re secret comme la source des erreurs dans la gestion des risques
       Les ;tudes des s;curit;s conduites dans le secret, perdent la possibilit; de recevoir la liaison en retour des consommateurs de cette information et peuvent contenir, au total, plus d'erreurs, que les sources ouvertes. La mise au secret des r;sultats de certains essais et les accidents d;valorise leur signification pour la pr;vention des accidents ult;rieurs, parce que personne ne conna;t ces r;sultats.
45. L'installation intellectuelle sur la critique aigu; emp;che de d;couvrir les sc;narios dangereux catastrophiques
       Le superesprit de critique emp;che la phase initiale de l'assaut c;r;bral, sur qui se rassemble la banque des id;es possibles. Puisque les s;curit;s menacent souvent les conjonctures improbables, «les queues lourdes», notamment les id;es ;tranges peuvent ;tre utiles. Les racines du r;glage critique peuvent ;tre dans celui-l;, par exemple que critiquant peut pr;tendre ; un plus haut statut social.
46. La fausset; de l'id;e de ce que l'on peut prouver la s;curit; de quelque chose th;oriquement
       Cependant le seul crit;re r;el – le praticien. Les dizaines des ann;es du travail sans rat;s – le meilleur crit;re de la r;alit; de la s;curit;. L'histoire conna;t la masse des exemples, quand les appareils ou les projets ayant une th;oriquement haute s;curit;, s';croulaient ; cause des sc;narios non pr;vus. Par exemple, la chute de l'avion la "Concorde". L';crivain am;ricain de M.Krajton dans le roman «le Parc du Jurassique» a frapp; cela par les mots suivants : «Pour conclure que votre syst;me de la s;curit; est incertain et ne peut pas ; tous du le cas d'assurer l'isolation du polygone de l'environnement, il ne m'est pas du tout obligatoire de conna;tre, comment elle est arrang;e».
47. La sous-estimation du facteur humain
       De 50 ; 80 % des accidents se passent ; cause des erreurs des op;rateurs, les pilotes et d'autres gens r;alisant la gestion directe le syst;me. La part encore plus consid;rable des erreurs catastrophiques humaines vient sur l'entretien, ïðåäïîë¸òíóþ la pr;paration et les erreurs ; l';tude. M;me on peut amener le syst;me supers;r ; l';tat critique par la succession d;finie des ;quipes. La personne est assez sage pour contourner n'importe quelle protection contre l'imb;cile et faire des b;tises. C'est pourquoi nous ne pouvons pas rejeter aucun des sc;narios de l'accident global, ; partir de ce que les gens de cela ne feront jamais.
48. La fausset; de l'id;e de ce que l'on peut cr;er le syst;me exact, ayant contr;l; plusieurs fois son projet et le code initial
       Mais les contr;les eux-m;mes apportent un certain nombre des nouvelles erreurs, et, en vertu de cela, au niveau d;fini le nombre des erreurs est stabilis;. (Ce niveau correspond environ au carr; du nombre des erreurs – c'est-;-dire si la personne fait une erreur sur 1000, cela, combien d'il ne contr;lera pas, il ne cr;era pas le "code" exact äëèíîþ plus 1 000 000.)
49. La statistique comme la source des erreurs possibles
       Dans la nature de la statistique il y a une possibilit; de l'accomplissement des erreurs, les alt;rations intentionnelles et les interpr;tations fausses, li; ce qu'elle est non la description des faits uniques, mais la g;n;ralisation de la multitude par descriptions. Les probl;mes de la statistique sont li;s, en particulier, au moyen de l'extrait, de diff;rentes m;thodes du calcul moyen, les moyens de l'arrondissement, l'interpr;tation des r;sultats acquis et les moyens de leur repr;sentation visuelle pour d'autres gens.
50. L'erreur li;e ; la disposition des gens ; áîëüøåé ; la mesure prendre en consid;ration øèðîêîèçâåñòíûå ou facilement accessible pour âñïîìèíàíèÿ les faits
       Tous connaissent, quand est tomb;e la bombe atomique sur Hiroshima, mais peu de gens conna;t, o; et quand on fixe pour la premi;re fois la grippe de 1918 "l'Espagnole", emportant ; 100 fois plus les vies. (Selon une des versions, le 8 mars 1918, pr;s de Kansas-City, les ;tats-Unis). Cela am;ne ; ce qu'uns risques sont surestim;s, et d;j; en vertu de cela les autres risques sont sous-estim;s. Þäêîâñêè dans l'article sur l'estimation des risques appelle cela êîãíèòèâíûì comme l'alt;ration li;e au degr; de l'accessibilit; de l'information.
51. L'erreur double
       Plusieurs facteurs ;num;r;s des sources des erreurs peuvent amener comme ; la r;;valuation de nos capacit;s ; r;sister aux risques, et vers la sous-estimation des facteurs eux-m;mes du risque. Donc, chaque erreur peut se manifester deux fois.
52. L'analyse des risques globaux ne pas est la cr;ation des pronostics
       Le pronostic contient les donn;es concr;tes sur le temps et la place. Mais telles atteintes exactes sont tr;s rares et, plut;t, ñëó÷àéíû. De plus, le pronostic et l'analyse des risques demande de diff;rentes r;actions. De mauvais pronostics compromettent le sujet et les gens, qui les donnent. Mais certains gens donnent beaucoup de pronostics, en esp;rant qu'au moins un se trouvera dans le but et la personne se rendra c;l;bre. Par exemple, l'analyse des risques de l'aviation demande le perfectionnement des diff;rents m;canismes de l'avion, mais le pronostic sur l'accident d'avion suppose que les gens refuseront le vol au jour donn;.
53. L'illusion de la connaissance ex post
       Parfois les gens parlent : «je connaissais cela d;s le d;but» et en vertu de cela surestiment ïðîãíîñòè÷åñêèå les capacit;s. En vertu de cela ils attendent que d'autres gens peuvent facilement deviner ce que nous savons d;j;. En ce qui concerne les risques globaux nous n'avoir pas ;tre d'aucune connaissance ex post. Mais en ce qui concerne les risques plusieurs autres ordinaires il est. Cela am;ne ; ce qu'il nous semble qu'il est aussi facile d'estimer les risques globaux, comme d;j; les risques connus ; nous. Autrement dit, l'effet de la connaissance ex post en ce qui concerne les risques globaux am;ne ; leur sous-estimation. Voir plus en d;tail dans l'article sur les erreurs Þäêîâñêè, qui appelle cette erreur syst;matique «hindsight bias».
54. L'effet du r;glage des sources de l'information
       En lisant la litt;rature, la personne peut devenir le conducteur des id;es, qui y met l'auteur. Cela lui permet ñõîäó de rejeter les conceptions des autres gens. En vertu de cela il devient sourd ; une nouvelle information, et son efficacit; dans l'analyse des risques tombe. La sensation du bon droit personnel, l'instruction, les habitudes de la conduite des discussions – toute cela intensifie la "surdit;" de la personne. Puisque les risques globaux – la question en premier lieu th;orique (en effet, nous ne voulons pas le contr;le exp;rimental), les diff;rends th;oriques ont la tendance dans lui se manifester particuli;rement vivement.
55. L'acceptation du petit proc;s pour le d;but du grand accident
       Par exemple, le changement du cours du dollar sur quelques pour-cent peut ;tre per;u comme le pr;curseur de l';chec global de la devise am;ricaine. Cela am;ne aux ;nonciations pr;matur;es ; l'esprit : «eh bien, voici, je parlais!» – que puis, quand se r;v;le l'insignifiance des changements, sape la foi, en premier lieu, personnel, ; la possibilit; de l'accident et sa pr;vision.
56. L'explication plus simple de l'accident substitue plus complexe
       Sur l';claircissement de la variante plus complexe partent les ann;es de l'analyse, par exemple, ainsi il arrive souvent ; l'analyse des accidents d'avion. (Sans parler que les participants aspirent imm;diatement ; arranger les faits, si ces faits signifient leur responsabilit; criminelle et financi;re.) cette explication plus complexe n'arrive pas au grand public et il reste ; titre d'un certain fond d'information. Plus tard sera trouv; la d;finition exacte des raisons de l'avarie, il est impossible de se d;fendre plus longtemps de l'avarie de la g;n;ration semblable. Quand il s'agit des proc;s rapides, un tel retard de la compr;hension peut devenir critique.
57. L'utilisation des sc;narios apocalyptiques pour attirer l'attention sur les projets et obtenir leur financement
       En effet, une telle forme de l'autor;clame est r;pandue, et particuli;rement elle est r;pandue parmi les repr;sentants de la science fausse qu'am;ne ; l'allergie aux demandes de telle sorte. M;me si 99,9 % des gens inventant de diff;rents sc;narios apocalyptiques, ne sont pas droits ;videmment, les hypoth;ses avanc;es par eux, probablement, il faut prendre en consid;ration, puisque les taux dans le jeu sont trop grands, et les effets inconnus physiques peuvent nous menacer et avant que de ceux-ci confirme officiellement la science. Autrement dit, les d;penses totales sur le contr;le presque sans faute les id;es fausses moins que le pr;judice possible parce que quand m;me une se trouvera fid;le.
58. L'aspiration des gens ; ;tablir un certain niveau acceptable pour eux du risque
       Chaque personne a une repr;sentation sur la norme du risque. C'est pourquoi, par exemple, les conducteurs des voitures plus s;res pr;f;rent le style plus dangereux de la circulation qu'att;nue en tout l'effet de la s;curit; de la voiture. Pourvu que soit s;r le syst;me, la personne aspire ; la mener ; la norme du risque. Puisque l';tendue de la vie attendue de la personne a l'ordre de 10 000-20 000 jours, cela, ayant ;tabli pour lui-m;me la norme du risque ; 1 vers 100 000 par jour (sur les repr;sentations intuitives ou ; l'esprit «tout font ainsi»), la personne non changera fortement l';tendue de la vie attendue. Cependant par rapport aux risques globaux une telle position signifierait 30 % les chances de la disparition dans les 100 ans ; venir. Il y a de plus des "chauffeurs casse-cous" s;par;s avec une beaucoup plus haute norme du risque.
59. L'effet de "la superassurance du jeune professionnel»
       Il appara;t chez les conducteurs et les pilotes ; l';tape d;finie de l'enseignement, quand ils cessent de craindre et commencent ; sentir que d;j; tous peuvent. En surestimant les capacit;s, ils se trouvent dans les avaries. L'humanit; en tout se trouve, probablement, ; un tel stade par rapport aux supertechnologies. (Bien que sur les technologies nucl;aires d;j; ont ;t; br;l;s bien ; ×åðíîáûëå.)
60. La sensation de l'invuln;rabilit; pr;s des survivants
       La superassurance du jeune professionnel s'aggrave par l'effet de la s;lection de surveillance, qui est que, par exemple, reconqu;rant le d;lai d;fini sans blessures les soldats commencent ; sentir "l'invuln;rabilit;", et augmente de plus en plus la norme du risque. La m;me chose peut se passer et avec la civilisation – ne se r;alisent pas plus longtemps les menaces de la guerre atomique, ; áîëüøåé il semble ; la mesure qu'elle est impossible en g;n;ral et surtout on peut passer la politique risqu;e.
61. La r;;valuation des habitudes personnelles professionnelles.
       Puisque les risques globaux embrassent toutes les sph;res des connaissances – de la biologie ; astrophysique et de la psychologie ; politique, pour recevoir l'image ad;quate de la situation, n'importe quel sp;cialiste est oblig; de passer les fronti;res des connaissances. Puisque se sentir par le professionnel agr;ablement, la personne peut ;prouver la disposition pour l'exag;ration des capacit;s. Cela ìåøåàò ; il consulter les sp;cialistes en les questions essentielles. Le clich; "du sauveur du monde» comme du h;ros-solitaire, qui est capable de tout, peut l'emp;cher se coop;ratiser avec d'autres investigateurs et faire le d;p;t pr;cieux. ; ;gal ; la mesure et la repr;sentation sur l'ordre «äæåäàåâ», sauvant secr;tement le monde, peut ;tre incorrecte et enti;rement emprunt; du cin;ma divertissant.
62. L'erreur li;e ; la concentration sur les mesures de la pr;vention d'un petit accident au lieu des mesures de la pr;vention au maximum possible
       Par exemple, dans le parc Jelloustounsky pr;venaient si avec succ;s les incendies pendant plusieurs ann;es que dans le bois se sont accumul;s beaucoup d'arbres secs, et finalement il y avait un incendie ;norme, venir ; bout avec qui il ;tait presque impossible. Þäêîâñêè d;crit l'exemple avec la construction des digues sur une rivi;re aux ;tats-Unis, ; la suite de quoi s'est r;v;l; que bien que la quantit; d'inondations a diminu;, le pr;judice de chaque inondation s;par;e a augment;, et au total le pr;judice annuel s'est trouv; plus haut qu'avant la construction des digues. C';tait li; ce qu'apr;s la construction des digues les gens sentaient óñïîêîåííîñòü, et ;rigeaient plus cher de la construction par les terres plus basses, c'est pourquoi, quand l'inondation arrivait quand m;me, il portait áîëüøèé le pr;judice.
63. La fatigue de l'investigateur
       L'enthousiasme des gens s;par;s avance par les ondes. En vertu de cela la personne, qui, nous admettrons, a commenc; ; produire un certain bulletin, peut, ayant perdu l'enthousiasme, commencer ; produire son tout est plus rare que du point de vue de l'observateur impartial signifiera la r;duction de l'intensit; des ;v;nements dans ce domaine. Surtout le travail de l'investigateur des risques globaux est ingrat – il ne verra jamais la r;alisation des proph;ties, m;me s'ils se r;aliseront. Et il n'aura pas d'assurance qu'il r;ussit ; pr;venir en fait quelque chose. Seulement au cin;ma le sauveur du monde obtient pour le travail la reconnaissance de toute l'humanit; et l'amour de la belle actrice. Nous n'oublierons pas que ×åð÷èëëÿ ont fait faire un tour sur les ;lections ; la fois apr;s la guerre, bien qu'il croie qu'a m;rit; la r;;lection. Pour ;viter l'effet «ïåðåãîðàíèÿ», sur la flotte am;ricaine pendant la Deuxi;me guerre mondiale appliquaient la rotation r;guli;re de la composition sup;rieure – un remplacement faisait la guerre, mais l'autre se reposait au bord. Þäêîâñêè ;crit ; ce sujet : Nous n'entendions jamais sur les mesures h;ro;ques pr;ventives.
64. La peur de la perte du statut social par les investigateurs
       Dans notre soci;t; il y a une s;rie par celui-l;, l'int;r;t vers qui est per;u comme le sympt;me de la g;n;ration d;finie de l'inf;riorit;. Les gens, les int;ress;s par ces questions, sont consid;r;s automatiquement (ou m;me on exprime ; correspondant «;cologiquement les niches») m;diocre, fou, les clowns et ìàðãèíàëàìè. Et d'autres investigateurs m;me peuvent aspirer ; ;viter le contact avec tels gens et la lecture de leurs ;tudes. Êëåéìëåíèþ on soumet les sujets de l'OVNI, la t;l;pathie et autre les parapsychologies, le doute sur la r;alit; du monde. Il est important de marquer cependant que si quand m;me un message sur l'OVNI est v;ritable et inexplicable, cela demande la modification de tout le tableau se trouvant du monde, et peut influencer les questions de la s;curit; (Et les militaires acceptent ces messages beaucoup plus s;rieusement, que les savants). De plus, ces investigateurs, qui ont perdu le statut, s';tant int;ress; ; l'OVNI etc., ont perdu avec cela et la possibilit; de d;noncer les id;es jusqu'aux repr;sentants du pouvoir. Les ;tudes militaires sont tellement secr;tes dans ce domaine qu'est inconnu, s'il y a telles ;tudes en g;n;ral, et en cons;quence, dans quelle mesure on peut croire aux gens parlant de la part de ces ;tudes. Autrement dit, le caract;re secret tellement èíêàïñóëèðóåò une certaine organisation scientifique qu'elle cesse d'exister pour le monde ext;rieur, comme le trou noir, qui ne produit pas les rayons – particuli;rement dans le cas o; la direction sup;rieure du pays ne la conna;t rien. (Est caract;ristique l'exemple avec le chancelier allemand A.Merkel', ; qui refusaient d'expliquer que pour les gens marchent selon la r;sidence, elle n'a pas demand; cela cat;goriquement sont se sont trouv;s les collaborateurs du service de la s;curit;.)
65. La quantit; d'attention, qui soci;t; peut donner aux risques, certes
       C'est pourquoi l'exag;ration de certains risques est pas moins dangereux, que la r;ticence sur les autres, puisque mange cette quantit; d'attention (et les ressources), qui on peut d;penser pour l'analyse des risques plus dangereux. En outre il cr;e faux óñïîêîåííîñòü chez la personne, ; qui il semble qu'il a fait le d;p;t suffisant dans le sauvetage de la Terre, par exemple, ayant ins;r; l'automobile par l'alcool.
66. Le d;dain par l';conomie
       Telles expressions, comme «l'argent est seulement les pi;ces de papier», ou «les d;p;ts bancaires sont seulement les z;ros dans les ordinateurs» peuvent ;tre la r;flexion de l'opinion largement r;pandue que l';conomie n'est pas si importante, comme, pour ainsi dire, la guerre ou certains accidents plus spectaculaires. Cependant l';conomie est une r;alisation mat;rielle ñòðóêòóðíîñòè de toute l'activit; humaine. Pour la compr;hension du r;le de l';conomie il est important de marquer que la crise de 1929 a port; les ;tats-Unis le pr;judice ; 2 fois áîëüøèé, que la Deuxi;me guerre mondiale, mais l';chec de l'URSS s'est pass; non ; la suite de l'agression directe, mais le r;sultat de la crise strukturno-;conomique. M;me les biologistes lient la disparition des dinosaures et autres grand de la disparition non ; l'accident spatial, mais avec le changement des conditions de la comp;tition entre les aspects.
       Tous les risques ont l'expression de co;t. Les cons;quences ;conomiques m;me de petits accidents peuvent avoir l'expression immense de co;t. Les attentats ont caus; le 11 septembre le pr;judice ; l';conomie am;ricaine dans 100 milliards de dollars, et il est possible, le pr;judice sera beaucoup plus, si prendre en consid;ration les pertes potentielles de la politique de la r;duction des taux de pourcentage (la bulle sur le march; de l'immobilier), ainsi que les trillions des dollars, d;pens; sur la guerre ; l'Iraq. De plus le prix des b;timents d;truits faisait seulement quelques milliards de dollars. 7 lettres avec l'anthrax ont caus; le pr;judice ; 1 milliard de dollars.
       Donc, m;me je peux amener de petites avaries au pr;judice immense et la perte de la stabilit; de l';conomie, mais l';chec de l';conomie fera le syst;me moins stable et plus vuln;rable vers d'encore grands accidents. Cela peut amener ; la liaison en retour positive, c'est-;-dire vers le proc;s s'autorenfor;ant catastrophique.
       Dans la mesure de la mondialisation de l';conomie, augmente de plus en plus la possibilit; de la crise globale syst;mique. Certes, il est difficile de confier que le monde p;rira de ce que quelques grandes banques ont fait faillite, mais cela peut notamment par ce que lancera l'effet du domino de l'instabilit; totale.
67. Les erreurs li;es ; la r;;valuation ou la sous-estimation de la signification du moral de la soci;t; et ses ;lites
       Une des versions de l';croulement de l'Empire romain – la d;gradation de ses ;lites, ;tant que les gens, de qui on recrutait les r;gents de tous les niveaux, agissaient exceptionnellement dans les int;r;ts personnels ; court terme, autrement dit, est stupide et est ;go;ste (que peut ;tre li; ce qu'ils utilisaient l'eau de la conduite d'eau avec les tubes de plomb, influen;ant n;gativement sur le cerveau). Il est suppos; De plus que l'action effective dans les int;r;ts ; long terme co;ncide avec les int;r;ts de la soci;t; en tout que, g;n;ralement parlant, non incontestablement. Une autre m;taphore est la comparaison du "moral", par exemple, les troupes – avec la capacit; des mol;cules on n'a personne ; se transformer les substances en cristal commun (en d;tail ; ce sujet Lev Tolsto; ; "la Guerre et le monde» raisonnait).
       D'autre part, de la chute des moeurs se plaignaient les anciens Romains eux-m;mes, et jusqu'ici ce proc;s n'a pas emp;ch; le d;veloppement des forces industrielles de la soci;t;. La racine de l'erreur peut ;tre ici dans le conflit des g;n;rations, ; savoir dans ce qu'exp;riment; et vieux estime jeune et bagarreur, sans apporter la correction d';ge et en oubliant qu';taient m;me.
       Cependant en cas des risques modernes globaux le pr;judice immense peut ;tre port; par un petit groupe, pour ainsi dire, les terroristes, qui dans le cadre de la strat;gie agissent äîëãîñðî÷íî et il est effectif. Ou le conflit de deux soci;t;s, chacun de qui ; l'int;rieur de lui-m;me avance certains id;aux positifs. Et en outre le conflit peut ;tre autour des d;finitions exactes de ces id;aux, par exemple qu'il vaut mieux : la d;mocratie ou la religion ? Enfin, m;me âûñîêîìîðàëüíûé la personne peut supprimer le monde par m;prise. Pendant que bas personne morale sera s;re, puisque passe le d;lai dans la prison pour le larcin, et ne recevra jamais l'acc;s aux technologies haut dangereuses.
68. L'erreur li;e ce qu'ensemble pour ;tudier l'authenticit; ou la fausset; n'a personne les messages sur le risque, la personne aspire ; prouver cette id;e comme on peut áîëüøåìó le nombre de gens
       Unes id;es est plus faciles de prouver, que les autres. Cela am;ne au progr;s dans l'estimation des probabilit;s. Judkovsky ;crit de cela en rapport avec l'erreur syst;matique li;e au degr; de l'accessibilit; de l'information. Est plus ;vidente une certaine id;e, il est plus facile de transformer son film vif de propagande. Par exemple, il est plus facile de faire de la publicit; pour la menace de l';l;vation de la temp;rature globale, que de l'intelligence Artificielle, parce que la derni;re est invisible. En outre ; la personne il est naturel d';tre entra;n; au proc;s de l';tablissement de la preuve de l'id;e aux masses qu'am;ne ; l'identification avec cette id;e, ; l'aspiration l'; faire il est plus facile et il est plus accessible.
69. La disposition des gens proposer les d;cisions "simples" et ";videntes" dans les situations complexes – n'ayant pas pens;
       Mais puis persister, en les prot;geant et en choisissant sous eux les arguments. ; la personne il est tr;s difficile de "changer d'avis". On peut se rappeler ici la loi ̸ðôè : «N'importe quel probl;me complexe a la d;cision simple, ;vidente et incorrecte». Þäêîâñêè ;crit en d;tail de l'importance de ce petit laps de temps entre le moment de l'apparition de la question et ce moment, quand la personne a fait le choix d;finitif au profit d'un des r;ponses, pendant qui, proprement, et il y a une mentalit;. Aux gens il est psychologiquement difficile de changer d'avis, parce que cela signifie quoi que se reconna;tre stupide et capable de se tromper, et il est particuli;rement difficile de changer d'avis, si la position est d;j; publi;e ïóáëè÷íà et est devenue l'objet du d;bat.
70. La discussion publique sur les risques des diff;rentes ;tudes peut amener ; ce que les savants cacheront les risques possibles pour que leurs projets ne ferment pas
       Þäêîâñêè ;crit de ce probl;me, en reconnaissant honn;tement que ne voit pas son aucune d;cision : «Et si les pouvoirs introduisent la loi, selon qui m;me le risque le plus petit ; l'existence de l'humanit; est suffisant pour fermer le projet; ou si devient la norme de facto les politiques qu'aucun calcul possible ne peut pas peser la charge une fois la supposition faite, alors aucun savant ne risquera pas plus de faire la supposition».
71. L'erreur li;e ; la corr;lation incorrecte de la force et la s;curit;
       D'une mani;re ;motionnelle il nous semble que les technologies se divisent sur bon, c'est-;-dire fort s;r, et mauvais – c'est-;-dire faible et dangereux. Cependant, en fait, que plus fortement certain instrument, plus il est capable d'influencer le monde, – il est plus dangereux pour celui-l;, il est plus grand que les moyens de le diriger sur les buts de la destruction. «L'analyse fond;e sur l'information insuffisante, est encline ; estimer les technologies d'une mani;re ;motionnelle, ; la suite de quoi l'information sur les avantages a la tendance adoucir le risque per;u», – ;crit Þäêîâñêè. Il est clair aussi que les nouvelles technologies est plus fortes que de vieilles technologies – autrement cr;era le sens commercial de ceux-ci.
72. Les investissements pr;matur;s
       Si dans le milieu du XIX si;cle les gens comprendraient que dans le XX si;cle l'arme atomique leur menace, et sur la pr;vention de ce risque on mettait en relief des millions, il n'y a aucun doute que cet argent serait d;pens; non d'orifice, et pr;s des futures g;n;rations on ;laborait l'allergie ; tels projets. L'exemple possible : selon certaines donn;es, l'URSS a re;u dans les ann;es 80 la fausse information sur ce que les ;tats-Unis ; tout ;laborent áåñïèëîòíûå les appareils volants, et a d;ploy; le programme immense, dans le r;sultat par qui il y avait tels appareils comme "l'Abeille" – les avions-espions automatiques par le poids pr;s d'une tonne, le co;t immense et une petite s;curit;. Les militaires finalement russes ont ;t; d;;us ; äðîíàõ notamment vers ce moment, quand aux ;tats-Unis on acceptait le programme de leur cr;ation r;elle. Un autre exemple : jusqu'; 1939 ;tait absurde lutter contre l'arme atomique, mais apr;s – d;j; tard.
73. La disposition des gens m;langer de cette attente, les meilleurs issues probables
       «La r;alit;, comme il est apparu, pr;sente souvent les r;sultats, pire, que la plus plus mauvaise issue attendue», – ;crit Þäêîâñêè, en d;crivant ; l'article l'exp;rience avec les ;tudiants, o; demandaient de les estimer le plus mauvais temps le plus probable et de la remise du dipl;me d';tudes sup;rieures. Un finalement moyen temps de la remise du dipl;me d';tudes sup;rieures s'av;ra plus mal, que le plus mauvais cas. M;me la pr;vention claire de ce qu'aux gens il est naturel de faire une telle estimation n'a pas amen; ; ce que les candidats ont ajust; correctement les attentes. M;me moi-m;me, je, bien qu'ai traduit cet article et connaissait bien la n;cessit; de la correction, est tomb; victime en tout cas de cette erreur, en estimant les d;lais attendus de la sortie du livre donn; au sceau. ; savoir, j'ai fait la supposition quand ce livre sortira, mais puis, s';tant rappel; ce que la r;alit; sera plus mauvaise que mes attentes, j'ai ajout; ; ce d;lai trois mois. D;j; il est ;vident maintenant que j'ai sous-estim; la correction n;cessaire, et le livre sortira encore plus tard.
74. L'apathie du passant
       Les risques globaux ne sont pas de quelqu'un la responsabilit; personnelle, et d'une mani;re s;duisante raisonner dans ce sens qu'une fois personne de rien ne fait pas en raison de cela, pourquoi notamment je dois ? De plus, cet ;tat appara;t inconscientement, il est simple comme le r;flexe de l'imitation le groupe. L'exemple typique : quand la personne se trouve sur le trottoir et il y a devant une foule, personne ne l'aide. Mais si une personne sur le sentier dans le bois voit la personne se trouvant, il, probablement, l'aidera. Þäêîâñêè met en relief ce mod;le comme un important facteur de la sous-estimation possible des risques globaux.
75. Le besoin de l'ach;vement
       La conception êîãíèòèâíîé les psychologies, d;signant l'aspiration de la personne ; trouver le plus vite possible la r;ponse ; la question d;rangeant («need for closure» – comme l'appelle Êðóãëàíñêè288). Cette aspiration am;ne ; ce que la personne pr;f;re la d;cision rapide et incorrecte ; la plus longue recherche de la r;ponse juste. Et bien que nous ne puissions pas chercher la strat;gie juste du travail avec les risques globaux infiniment longtemps – nous sommes limit;s dans le temps! – nous se trouve bien penser avant de venir ; quelques conclusions.
76. L'influence de l'autorit; et la pression sociale du groupe
       Cette question est en d;tail examin;e dans le livre «la Personne et la situation» 289. En particulier, on savent bien les exp;riences Ìèëãðàìà, o; les candidats for;aient ; battre tout par le grand courant des autres "candidats" (en fait ïîäñàäíûõ les canards, et quel courant n';tait pas donn; en fait) pour que c'"apprennent", et les candidats arrivaient ; l'effort mortellement dangereux ; 400 volt, malgr; le fait que de la "victime" les implorent de cesser. De plus, bien que la plupart des gens soit assur;e qu'ils n'auraient pas commenc; ; faire cela, dans les exp;riences r;elles c';tait fait par 66 % des candidats. ; titre des raisons d'une telle conduite on d;couvrait l'influence de l'autorit;, l';loignement de la victime et l'influence de la conduite analogue du groupe. Il est ;vident que les m;mes facteurs peuvent agir sur nous, quand nous estimons le risque li; ; un certain facteur ou la technologie. Si de sa victime potentielle se trouvent de nous loin dans le temps et dans l'espace, si ; c;t; de nous âûñîêîàâòîðèòåòíàÿ la personnalit; s'exprime au profit de cette technologie, ainsi que, si nous sommes entour;s du groupe des gens, l'opinion se tenant oppos;e, tout cela exercera l'influence sur notre choix.
77. La rupture entre les ;tudes panoramiques et de points, entre «par l'arbre et le bois»
       Les ;tudes panoramiques peuvent proposer les sc;narios syst;miques de l'accident global ou examiner les cons;quences de certaines d;couvertes r;centes, mais ne peuvent pas dire, comment faire quelque chose dangereux. Au contraire, les ;tudes appliqu;es peuvent donner l'estimation exacte des risques, pour ainsi dire, l'ast;ro;de s;par;, mais l'estimation non totale des risques de toutes les raisons. Cette rupture est vivement consid;rable pour les nanotechnologies. Il y a un niveau des ;tudes panoramiques de projets, o; on accorde en premier lieu l'attention ; ce que peut et il faut faire, c'est-;-dire il y a un mouvement du but d;clar; ; de diff;rentes variantes de sa r;alisation. Il y a un niveau des ;tudes concr;tes des propri;t;s des documents s;par;s. Du point de vue des repr;sentants de la premi;re direction ïðèêëàäíèêè «apr;s l'arbre ne voient pas le bois», du point de vue ïðèêëàäíèêîâ – les premiers «s'occupent âåðõîãëÿäñòâîì et l'imaginaire». Et en outre les deux accusations peuvent ;tre partiellement justes.
78. L'erreur li;e ; la projection intellectuelle
       Cette erreur appara;t, quand nous ajoutons inconsciemment aux objets la possession par les propri;t;s, qui existent en fait seulement dans nos repr;sentations sur eux. L'exemple d'une telle fausset; le raisonnement comme : «ÈÈ sera bon, c'est pourquoi il ne peut pas me tuer». Tandis que la bont; est non la propri;t; le plus ÈÈ, mais notre estimation de son action par rapport ; nous, et la causalit; ici inverse – nous appelons ÈÈ "bon", parce qu'il ne nous tue pas. Þäêîâñêè la d;finit ainsi :« C'est le cas particulier de l'erreur profonde, embrouillant et extraordinairement r;pandue, qui E. T. Jaynes a appel; comme la fausset; li;e ; la projection intellectuelle (mind projection fallacy). Jaynes, le sp;cialiste selon áàéåñîâñêîé les th;ories de l'authenticit;, a d;fini «la fausset; li;e ; la projection intellectuelle» comme l'erreur li;e ce que de l';tat de la connaissance sont embrouill;s avec les propri;t;s des objets. Par exemple, la phrase sous-entend «le ph;nom;ne mystique» que ìèñòè÷íîñòü est une propri;t; du ph;nom;ne – mais si je íåîñâåäîìëåí n'ai personne relativement du ph;nom;ne, c'est le fait sur mon ;tat de la conscience, et non sur le ph;nom;ne.)»
79. La repr;sentation sur ce que changer les circonstances il faut, en supprimant leurs raisons
       Cependant l'allumette, de qui s'est allum; l'incendie, s'est ;teinte d;j;. L'aspiration ; supprimer n'importe quel syst;me, de l';tat ; cafards et les microorganismes, am;ne ; ce que ce syst;me est optimis; pour la lutte, est plus fort. Mais celui qui avec elle lutte, est oblig; d'acqu;rir les qualit;s de l'ennemi pour agir avec lui sur un territoire.
80. L'oubli du principe de base de la m;decine – «ne nuis pas!»
       Une autre formulation de ce principe : «Quand tu ne connais pas que faire, – ne fais rien». Apr;s cela il y a une exp;rience s;culaire, qui parle que les actions inconsid;r;es apporteront plut;t le dommage, qu'aideront. En ce qui concerne les accidents globaux cela a ce sens que par les tentatives les pr;venir pr;cipitamment nous pouvons les aggraver.
81. La confusion entre les ennemis objectifs et subjectifs
       Quand quelqu'un poursuit les buts emp;chant mes buts, lui mon ennemi objectivement (le tigre, qui veut manger la ch;vre; l'adversaire dans le jeu des ;checs; le concurrent dans le business). Cependant entre les gens par l'ennemi il y a celui qui aspire ; me supprimer personnellement. Cette notion est li;e sur la vendetta. La confusion est que les ennemis objectifs commencent ; sembler subjectif. Par exemple, si se lever devant le train filant et dire que le train me veut supprimer. Cependant entre les gens il arrive les situations r;elles de l'hostilit; "subjective", quand un veut supprimer l'autre, sans avoir aucuns autres apr;s cela des buts ou ïîëåçíîñòåé. Conform;ment aux risques globaux cela signifie que les gens, qui peuvent supprimer le monde, chez moi ne seront pas du tout personnellement m;chants ou avoir l'air comme les supp;ts de l'enfer. Ce peut ;tre de beaux gens honn;tes, nobles, qui feront une certaine erreur tr;s petite et non ;vidente.
82. Les pr;dictions ou les r;ves de l'accident, en fait conditionn; par l'envie
       L'exemple brillant de cela est la multitude de forums dans Internet, o; les gens offens;s par la d;sagr;gation de l'URSS, r;vent de voir l';chec des ;tats-Unis et cherchent les signes de ce proc;s. (Mais cela ne signifie pas que dans l';conomie am;ricaine il n'y a pas de probl;mes.) une des variantes de, quand les d;sirs non rendus compte peuvent influencer la description de la r;alit;.
83. La peur de la perte de l'identit;
       Le syst;me ne veut pas profond;ment ;tre transform;, puisque alors c'est plus elle. C'est une des raisons de la lutte contre la mondialisation. Quelqu'un peut pr;f;rer la mort ; la perte de l'identit;. C'est-;-dire pr;f;rer l'accident global de la transformation de ce monde, dans lequel il vit.
84. L'accident clair peut ;tre plus attrayant du futur incompr;hensible
       En tout il est plus facile de pr;senter l'accident global, que le futur, avec certaines technologies ne pas encore ouvertes. (C'est-;-dire agit ici êîãíèòèâíîå l'alt;ration li;e ; l'accessibilit; de l'information.) incompr;hensible peut provoquer la peur.
85. L'application incorrecte de la r;gle philosophique «le rasoir Îêêàìà»
       Nous ne devons pas couper les hypoth;ses complexes en vertu du rasoir Îêêàìà290. On peut examiner le rasoir Îêêàìà dans le prisme áàéåñîâîé de la logique. Alors l'hypoth;se demandant le nombre plus grand des suppositions ind;pendantes, est moins probable. Par exemple, hypoth;se fond;e sur 10 ind;pendante suppositions, aura seulement 1 vers 1024 chance de l'authenticit;. Cependant et cela non il y a peu de, s'il s'agit de l'hypoth;se, qui signifie le risque de la disparition de l'humanit;!
86. La fronti;re sup;rieure de l'accident possible est form;e en vertu de l'exp;rience pass;e
       Voici qu';crit Þäêîâñêè en rapport avec d;j; digues ;tant mentionn;es : «les inondations r;cemment ;prouv;es ;tablissent, apparemment, la fronti;re des pertes, ; partir de qui les ma;tres croient que doit ;tre inqui;t; …. Quand les digues et les remblais sont construites, ils diminuent la fr;quence des inondations, tels par l'image, probablement, en cr;ant le sentiment faux de la s;curit; conduisant ; la r;duction de la pr;caution. Pendant que la construction des digues diminue la fr;quence des inondations, le pr;judice de chaque inondation augmente tellement que le pr;judice annuel moyen augmente. Il Semble que les gens n'extrapolent pas de petits dangers ;prouv;s aux possibilit;s des risques plus s;rieux; au contraire, l'exp;rience pass;e des petits dangers ;tablit la fronti;re sentie sup;rieure pour les risques».
87. L'erreur li;e au transfert incorrecte des r;gularit;s d'un syst;me sur autre
       íåó÷¸ò de la croissance de la complexit; de la structure comme du facteur r;duisant la s;curit; du syst;me. Si de la plante on peut couper la grande partie, n'ayant pas endommag; ses capacit;s de la restitution ; valeur requise, pour tuer l'animal, il suffit d';loigner un tr;s petit morceau de l'organisme. C'est-;-dire, plus difficilement syst;me, est plus grand dans elle que les points vuln;rables. Il est n;cessaire de marquer que, dans la mesure de l'accroissement des proc;s de la mondialisation, la coh;rence et ñòðóêòóðíîñòü de la civilisation terrestre grandit.
       La R;duction de la s;curit; du syst;me en proportion du quatri;me degr; de la densit; de l';nergie. Cette g;n;ralisation empirique (la signification exacte du param;tre grave peut se distinguer en fonction de diff;rents facteurs) on peut d;couvrir, en comparant la s;curit; des avions et les fus;es : aux montants ;gaux, la quantit; et les d;penses la s;curit; des fus;es environ ; dix millions de fois est plus petite – dans une grande mesure pour le compte de ce que la densit; de l';nergie dans les moteurs ; est plus grande plusieurs fois, et une s;rie d'autres facteurs. La g;n;ralisation semblable empirique exactement et pour la statistique des avaries mortelles des automobiles en fonction de la vitesse. Il est n;cessaire de marquer que ýíåðãîâîîðóæ¸ííîñòü les humanit;s grandit constamment.
88. L'ambigu;t; et la polys;mie de n'importe quelle ;nonciation comme la source de l'erreur possible
       Du point de vue des auteurs du r;glement des travaux sur le r;acteur De Tchernobyl le personnel a viol; leurs exigences, mais du point de vue du personnel se servant de ce r;glement, il agissait exactement conform;ment ; ses exigences. Le r;glement demandait «d';touffer le r;acteur» – mais les concepteurs trouvaient qu'il faut produire cela imm;diatement, mais les op;rateurs – que graduellement. Une autre variante – quand le syst;me automatique du sauvetage et le pilote peuvent faire la composition des actions, chacun de qui sauverait en particulier l'avion, mais ensemble ils s'imposent l'un contre l'autre et am;nent ; l'accident (la destruction À310 en 1994 en Sib;rie). Il est difficile d'atteindre la compr;hension univoque des termes, quand nous n'avons pas d'exp;rience exp;rimentale, comme en cas avec les accidents globaux.
89. Le refus d'examiner un certain sc;nario en raison de sa "invraisemblance"
       Cependant la plupart des accidents il arrive finalement notamment la conjoncture improbable. La destruction de "Titanic" est li;e avec exotique, on peut dire, la combinaison de 24 (!) circonstances.
90. Le passage de la tromperie vers l'illusion
       La tromperie consciente des autres gens en vue de la r;ception du profit d;fini, dans notre contexte – les dissimulations des risques – peut imperceptiblement prendre la forme de l'autohypnose. L'illusion peut ;tre beaucoup plus stable, que les illusions ou l'erreur non pr;m;dit;e. Encore une variante d'une telle autohypnose dangereuse – l';quipe ; moi-m;me «je penserai ; cela demain» (mais demain n'arrive jamais).
91. La r;;valuation des possibilit;s personnelles en g;n;ral et âûæèâàåìîñòè en particulier
       J'illustrerai simplement cela par la citation de l'article Áîñòðîìà sur les menaces ; l'existence :« Les donn;es empiriques sur les pr;ventions dans l'estimation des risques sont ;quivoques. Est prouv; que nous souffrons des pr;ventions syst;matiques, quand nous estimons nos perspectives personnelles des risques en tout. Certaines donn;es montrent qu'aux gens il est naturel de surestimer les capacit;s personnelles et les perspectives. Trois quarts de tous les automobilistes pensent qu'eux les conducteurs plus ponctuels, que le conducteur moyen statistique. Selon une ;tude, presque la moiti; des sociologues croit ; ce qu'ils appartiennent chez les meilleurs dix savants dans le domaine, et 94 % des sociologues pensent qu'ils vaut mieux dans le travail, que leurs coll;gues en moyenne. ;tait aussi montr; que les gens se trouvant ; la d;pression ont les pr;dictions plus exactes, que les gens normaux, ; l'exception de ces pr;dictions, qui concernent le d;sespoir de leur situation. La plupart des gens pense qu'eux-m;mes, ils avec une plus petite probabilit; sont expos;s aux risques ordinaires, que d'autres gens. On r;pand largement la persuasion que le public est enclin ; surestimer les probabilit;s des risques souvent ;clair;s au sceau (tels, comme les accidents des avions, les meurtres, les empoisonnements par la nourriture etc.), et l';tude r;cente montre que le public surestime une grande quantit; de risques r;pandus ; la sant; en ce qui concerne lui-m;me. Une autre ;tude r;cente, cependant, suppose que l'information accessible se conformera ; la supposition que le public estime rationnellement le risque (bien qu'avec un certain r;tr;cissement ; cause de la d;pense des efforts mentaux sur la r;tention dans l'esprit de l'information exacte) ».
92. L'aspiration ; un beau futur, la perception couvrant des risques
       On peut remarquer ce ph;nom;ne chez les r;volutionnaires. L'exp;rience de la Grande r;volution Fran;aise pouvait apprendre tout ; fait que la r;volution conduit ; la guerre civile, la dictature et les guerres ext;rieures, cependant les r;volutionnaires russes du d;but du XX si;cle nourrissaient les m;mes illusions que leurs coll;gues fran;ais 120 ans avant eux, bien que, dans le compte final, re;oivent le r;sultat analogue. Et les partisans modernes du d;veloppement radical des technologies ont une non-objectivit; de la m;me g;n;ration – c'est-;-dire la foi en ce que les nouvelles technologies n'am;neront pas aux nouveaux types d'arme, son application, et les nouveaux accidents technologiques. Psychologiquement c'est li; ce que la personne rejette les r;flexions sur les risques, comme les obstacles en voie de l'avenir radieux.
93. Les filtres emp;chant l'entr;e de l'information vers la direction
       L'information existe non dans le vide, mais ; l'int;rieur du syst;me concret. La valeur de l'information est d;finie par sa nouveaut; et la capacit; totale du syst;me lui r;agir. C'est pourquoi il est important d';tudier non seulement l';nonciation sur les risques globaux, mais aussi, comment ils peuvent se r;pandre dans la soci;t;. G.G.Malinetsky dans le livre «le Risque. Le d;veloppement stable. Ñèíåðãåòèêà» 291 ;crit : «Encore une particularit; de l'information dans les conditions de l'apparition ×Ñ est que les donn;es entrant au syst;me de gestion passent dans une s;rie de filtres. Les premiers d'eux sont les m;thodes utilis;es dans le syst;me de gestion de l';tude et l'analyse du milieu ambiant, au moyen de la r;alisation de qui l'information d'entr;e, avant d'entrer vers la direction, s';limine. Ce filtre, en g;n;ral, est orient; vers le pass; et le pr;sent, et non sur les changements possibles extr;mes de la situation du futur.
       Le deuxi;me filtre est psychologique, l'essentiel de qui consiste en aversion par la direction de l'information sur sa nouveaut; strat;gique.
       Le troisi;me filtre sur les voies de l'information entrant est form; par la hi;rarchie dirigeant. Une nouvelle information ne pourra pas influencer la formation de la r;action aux changements, si les chefs ne poss;dent pas le pouvoir suffisant pour officiellement reconna;tre l'actualit; de cette information.
       Le quatri;me filtre est li; ce que ces derni;res ann;es l'information est examin;e comme la marchandise pr;cieuse strat;gique, ; qui il faut se rapporter d;licatement et ne pas le remettre ; la premi;re demande. Nous soulignerons que dans les conditions de ×Ñ n'importe quels retards de la transmission de l'information initiale non seulement sont immoraux, mais aussi sont criminels ».
94. La curiosit; peut se trouver plus fort que les transes de la mort
       Pas du tout n'importe quelle information sur les risques globaux est utile. Par exemple, si nous produisons une certaine exp;rience dangereuse et finalement nous survivrons, nous apprenons que ce type des exp;riences est s;r. Mais s'il y a cette connaissance de ce risque, ; qui nous nous sommes soumis ? N;anmoins, les gens il est naturel de risquer la vie pour les connaissances ou les ;motions. On peut se rappeler qu';taient de la victime dans la foule curieux, observant l'assaut de la maison Blanche dans l'ann;e 93. Et, j'en suis s;r, il est curieux ; plusieurs gens, quel «fin de la lumi;re» sera. Quelqu'un peut accepter sur les exp;riences dangereuses pour la curiosit;.
95. Le syst;me et le r;glement
       L'accident global, comme n'importe quelle avarie ordinaire technog;ne, peut ;tre non le r;sultat de quelque une erreur fatale, mais la cons;quence de la co;ncidence accidentelle fatale de la dizaine des erreurs insignifiantes. Le fonctionnement lisse du syst;me doit permettre de violer le r;glement selon les bagatelles. Et ; quelque moment ces violations se forment par l'image convenante – le m;got non ;teint, le r;servoir non ferm;, le sch;ma simplifi; de la mise en marche – et am;nent ; la formation de la cha;ne des ;v;nements conduisant ; l'accident. Plus loin il y a un suivant :« Je devais prendre part aux enqu;tes (ou ;tudier les documents) les accidents et les avaries dans l'industrie (non atomique). D'apr;s leurs r;sultats je pour moi-m;me ai fait la conclusion suivante : quelque pratiquement n'arrive jamais "seul principal" les raisons et en cons;quence "de l'essentiel coupable" (j'ai en vue les conclusions non officielles des commissions, mais l'aspect practique de l'affaire). En g;n;ral, il y a ce que je pour moi-m;me appelle conventionnellement : dix petit ðàçãèëüäÿéñòâ. Tous ces petit de la nonchalance s'accomplissent chez tous sur l'aspect pendant plusieurs ann;es de suite, mais car selon l'isolement chacun d'eux n'est pas capable d'amener aux cons;quences lourdes, en vertu de cela l'attention ; eux ne s'adresse pas. Mais quand ils se passent dans un temps, dans une place et avec uns gens est am;ne au r;sultat tragique. Eh bien, mais quand l'incident a la r;sonance publique – alors d'habitude et fixent un principal aiguilleur selon le principe : "qui ne s'est pas cach;, je ne suis pas coupable" 292.
96. L'effet de "l'aiguilleur"
       Au lieu de la recherche des raisons originales de l'avarie cherchent l'aiguilleur, ; la suite de quoi les raisons originales ne se retirent pas, et elle devient possible encore une fois. En ce qui concerne l'accident global celui-ci peut avoir ce sens qu'au lieu de d;couvrir et ;liminer îáùåñèñòåìíûå les r;gularit;s lui conduisant vers, on conduira la lutte avec les manifestations priv;es. Îáùåñèñòåìíûìè par les r;gularit;s conduisant ; l'accident global, sont le progr;s technique, l'impossibilit; importante du contr;le exp;rimental, la superassurance des gens etc., tandis que la diffusion du code g;n;tique d'un virus pris – les manifestations priv;es de ces r;gularit;s.
97. Le risque minimal per;u
       Il y a un risque minimal per;u, c'est-;-dire, si la probabilit; de l';v;nement n'a moins personne du seuil, la personne la per;oit comme nul. On avan;ait la supposition que cela est conditionn; par ce que la personne prend les d;cisions, en partant non sur les probabilit;s r;elles possibles aux variantes des ;v;nements pi, mais des repr;sentations sur eux f (pi). Par exemple, une s;rie d'exp;riences montre que la personne ne per;oit pas la probabilit; moins 10 5, malgr; tr;s grand possible óùåðá293. Nous expliquions cela plus haut ; partir de ce qu'un tel niveau du risque est imperceptible au fond du risque quotidien, ; qui se soumet la personne.
98. Îòâåðæåíèå des nouvelles id;es
       Les gens et les savants rejettent souvent les nouvelles id;es, puisque cela signifierait de reconna;tre le tort personnel. Le dynamisme d'un tel proc;s est dessin; Êóíîì dans sa th;orie des r;volutions scientifiques, et, malheureusement, les discussions sur les nouvelles id;es sont souvent peintes par les m;mes mod;les de la conduite que la lutte pour le pouvoir dans la vol;e des singes. Souvent les pr;ventions des nouveaux risques portent le caract;re non tout ; fait prouv;. L'exemple de tel îòâåðæåíèÿ, co;tant des millions de vies – de longue dur;e îòâåðæåíèå des id;es du m;decin hongrois Ignatsa Philipppe Zemmel'vejsa (1818-1865), qui affirmait que la fi;vre puerp;rale est li;e ce que les m;decins ne lavent pas la main apr;s l'ouverture des cadavres.
99. L'influence de la r;action ;motionnelle du choc
       On sait que les accidents provoquent la succession d;finie des ;motions psychologiques, chacun de qui influence l'objectivit; des d;cisions accept;es. Dans le livre «les Psychog;nies dans les conditions extr;mes» est dit : «… les r;actions psychologiques aux accidents se subdivisent sur quatre phases : de l'h;ro;sme,« la lune de miel », le d;sappointement et la restitution» 294 de plus la p;riode de la n;gation, la panique ou la paralysie aux premiers instants êàòñòðîôû peut pr;c;der la phase de l'h;ro;sme.
       Chacun de ces stades cr;e l'aspect de la non-objectivit;. Si commence l'accident global, elle sera tellement terrible que provoquera la r;action de la n;gation ; l'esprit «ne peut pas ;tre», «c'est quelque erreur» etc. Par exemple, les vid;oeffectifs sur l'attentat ont per;u le 11 septembre plusieurs comme les effectifs d'un nouveau film hollywoodien. Puis il y a un stade de la superr;action, qui peut cr;er les nouveaux dangers ; cause de la conduite inconsid;r;e. Par exemple, les pilotes, partant patrouiller le 11 septembre le ciel sur New York, ;taient assur;s qu'a commenc; la guerre avec les Russes. Il y avait dans le m;me style une demande du pr;sident Bush de ce que "nous d;clarons la guerre» le m;me jour. Puis en voie de l'euphorie le sentiment du danger s';mousse, bien qu'en fait la situation dangereuse ne pas encore s'ach;ve. La tristesse, au contraire, est li;e non ; la r;duction de l'estimation du risque, mais avec la r;duction de la motivation avec lui lutter, probablement, li; avec les ;chelles des pertes et la compr;hension de l'imminence. L'acceptation am;ne ; ce que les accidents s'oublie, mais le risque est accept; comme n;cessaire. C'est-;-dire ; ce stade il y a une r;duction de l'estimation les risques, et la r;duction de la motivation selon son ;limination. Une telle description se rapporte ; l';motion des accidents, qui ont commenc; et se sont achev;s, comme les tremblements de terre, et la clinique du chagrin aigu ; la mort les proches. Cependant l'accident global ne se rapporte pas ; tels ;v;nements – plut;t, si on r;ussira ; remarquer son arriv;e, elle aura l'air comme le proc;s s'accroissant de plus en plus terrible.
       De plus c'est important que les ;motions influence la conduite des gens ind;pendamment du fait, ils veulent cela, ou non, m;me s'ils connaissent cette influence, et le veulent ;viter. Sur cela on fonde l'action de la publicit;. En outre si commencera l'accident global, par exemple, l';pid;mie g;n;rale, presque chacun aura des familiers mourant ; la suite d'elle ou se trouvant dans la zone du risque augment;. Dans les films hollywoodiens c'est repr;sent; d'habitude ; cet esprit qu'un principal h;ros a le temps de sauver le pays, et d;gager la jeune fille aim;e des abatis. Mais sur cela elle et le conte de f;e que ne sera pas ainsi. Tous les gens, les d;cisions prenant, et les interpr;tes, en cas de l'accident global penseront non seulement sur les destins de la plan;te, mais aussi sur le sauvetage proche (ainsi que les pays, les villes natales et les autres îáùíîñòåé, ; qui ils sont li;s), et en vertu de cela leur choix sera íåîïòèìàëåí. M;me s'ils prendront la d;cision de donner les proches et enti;rement se concentrer sur la pr;vention de l'accident, le stress ;motionnel d'une telle d;cision portera le dommage de leur objectivit; et la capacit; de travail. En r;alit;, ils se trouveront dans l';tat du chagrin aigu ou le choc. G.G.Malinetsky ;crit : «une S;rie de sp;cialistes en la psychologie du risque trouvent que la part des chefs capables ad;quatement agir dans les conditions de ×Ñ, n'exc;de pas 0,5 %» 295.
100. Les probl;mes de la s;lection des experts
       Puisque sur chaque question s;par;e nous sommes oblig;s de compter sur l'opinion des gens les plus comp;tents dans ce domaine, le moyen effectif de la s;lection de tels gens – ou leurs livres nous est n;cessaire. Les m;thodes de la s;lection des experts sont d'habitude telles : premi;rement, ont une importance leurs r;gales – les indices de la citation, les titres scientifiques, les fonctions etc. Deuxi;mement, on peut croire sur le nombre des pronostics r;alis;s pour d;finir la probabilit; de leur bon droit. Le troisi;me moyen comprend pour ne pas croire ; personne, et ïåðåïðîâåðÿòü le plus tous les calculs ;trangers. Enfin, on peut prendre les gens selon, autant ils divisent vos persuasions – s'ils croient ; Ñèíãóëÿðíîñòü, le Pic Õóááåðòà, le mod;le lib;ral de l';conomie etc. – est ;vident que dans ce cas nous n'apprenons rien nouveau, outre que et ;tait sous-entendu ainsi par notre s;lection. Mais il est ;vident que tous les moyens de la s;lection des experts contiennent les ;cueils. Par exemple, en ce qui concerne les accidents globaux il n'y avoir pas ;tre pronostics r;alis;s.
101. La faute et la responsabilit; comme les facteurs de la pr;vention des risques
       ; notre esprit il est naturel de tenter de d;finir celui qui est coupable notamment de n'importe quel accident. La faute s'appuie sur les conceptions de la libert; de la volont;, la responsabilit; et la punition ult;rieure. Cependant en cas de l'accident global elle perd tout sens, puisque n'est pas ni l'enqu;te, ni les punitions, ni le profit cette punition, ni la peur de la punition. D'autre part, la concentration sur la recherche des coupables d;tourne de la vision de l'image int;gre de l'accident. En r;alit;, nous pensons que si nous d;finirons coupable et nous les remplacerons par les interpr;tes plus effectifs, une fois suivante de l'accident ne sera pas, mais ; tous les hommes d;sordonn;s il y aura une bonne le;on et la discipline sur la production augmentera. ;videmment, cependant que la punition coupable est inutile, quand il s'agit des accidents globaux. Probablement, aurait le sens «juger les vainqueurs» - c'est-;-dire les gens, qui ont admis un certain risque global, m;me si les accidents ne s'est pas pass; finalement. Il est important d'augmenter de plus la responsabilit; des gens du maintien de la paix, dans laquelle ils vivent.
102. La sous-estimation des forces de l'inertie comme du facteur de la stabilit; des syst;mes
       En dehors des consid;rations totales sur la complexit; et les m;canismes de la liaison en retour faisant le syst;me stable, on peut utiliser la formule Ãîòòà (voir le chef les moyens indirects de l'estimation des risques) pour l'estimation du futur de l'existence du syst;me, ; partir du temps pass; de son existence. Elle permet ìàòåìàòè÷åñêè d'exprimer ce fait que si, par exemple, l'autobus n';tait pas pr;s d'une heure, il est peu probable qu'il viendra ; la minute ; venir. C'est-;-dire le temps pass; de l'existence du syst;me cr;e, pour ainsi dire, «l'inertie temporaire». Quand il se trouve qu'un certain syst;me est plus stable, qu'il nous semblait, ; partir de nos th;ories, nous commen;ons ; douter de nos th;ories, qui peuvent ;tre au fond justes, mais se tromper dans la date des ;v;nements. Ainsi, la sous-estimation de la stabilit; conduit ; la sous-estimation des risques.
103. Les opinions conditionn;es par la conception du monde
       L'essentiel de l'erreur comprend dans la supposition le volume qu'il y a des ;nonciations v;ritables non conditionn;es par la conception du monde. Toutes les discussions sur les risques de l'accident global se passent sur le quai de la conception du monde d;finie scientifique, culturelle et historique, qui pour nous est tellement ;vident que semble transparent et est imperceptible. Il est possible cependant que le repr;sentant de l'autre culture et la religion raisonnera principalement autrement et l'opinion pr;con;ue de nos raisonnements lui sera aussi ;vidente.
104. La lutte pour la priorit; scientifique
       Par exemple, en ce qui concerne l';l;vation de la temp;rature globale il y a quelques diff;rents termes avanc;s par de diff;rents auteurs avec le but fixer la priorit; en cette conception : «l'accident plan;taire» chez Est vermeil. La montagne, «l'accident de serre» chez A.V.Karnauhova, «runaway global warming» dans une autre litt;rature ;trang;re. Cela am;ne ; ce que la recherche selon un des synonymes ne donne pas les r;sultats selon l'autre. En outre il est important de marquer ces difficult;s, qu';prouve la science avec le certificat des ;v;nements uniques, qui avaient le nombre fini des observateurs (dans l'esprit de la d;cision de l'Acad;mie des Sciences fran;aise de ce que les pierres du ciel tomber ne peuvent pas.)
       
105. L'erreur li;e ; la mauvaise volont; consciente et inconsciente des gens reconna;tre la faute et l';chelle de l'accident
       Et d;coulant de cela l'information incorrecte des autorit;s sur la situation. Conscient – quand, par exemple, les militaires cachent une certaine avarie pour que ne les aient pas puni, en souhaitant viendra ; bout par les forces. Quand les gens ne provoquent pas les pompiers, en ;teignant l'incendie jusqu'; ce qu'il ne devient pas trop vaste. Inconscient – quand les gens croient ; cette description, qui diminue l';chelle de l'avarie et leur faute. ; ×åðíîáûëå l'organisateur des essais des Pics croyait qu'a saut; non le r;acteur, mais le r;servoir avec l'eau du refroidissement – et continuait ; donner les ordres sur le r;acteur inexistant. Probablement, une telle mauvaise volont; peut agir et en avant dans le temps, en for;ant les gens ; ne pas assumer la responsabilit; des futurs accidents globaux.
106. L'erreur syst;matique li;e avec ýãîöåíòðè÷íîñòüþ
       Elle est que les gens ajoutent áîëüøåå l'influence sur les r;sultats des actions collectives, qu'en fait. Parfois les gens exag;rent l'influence (m;galomanie) n;gative. ; l'avis de Michael Anisimova, pour cette raison les gens exag;rent la signification de la mort personnelle et sous-estiment la mort de tout öèâèëèçàöèè296.
107. L'erreur syst;matique apparaissant en rapport avec la pr;sence ou l'absence de la raison ;vidente des ;v;nements
       Aux gens il est naturel plus tol;rantement de se rapporter aux ;v;nements se passant naturellement (par exemple, la mort de la vieillesse), que vers les ;v;nements ayant la raison ;vidente (les morts de la maladie), et particuli;rement – les ;v;nements li;s au dessein sc;l;rat le (meurtre). En cas avec les risques globaux ; pr;sent il n'y a pas d'objet ou la personne, qui nous pourrions accuser de ce que la civilisation humaine dispara;tra. Michael Anisimov ;crit : «Puisque on ne voit pas ; l'horizon un mauvais gar;on pour qu'avec eux lutter, les gens n';prouvent pas un tel enthousiasme, qu'ils, par exemple, ;prouvaient, je proteste contre Bush» 297.
107. La d;pendance de la r;action de la vitesse du changement de la valeur
       ; la personne il est naturel plus fortement de r;agir aux menaces apparaissant soudain, que sur les menaces de la m;me force, mais d;velopp; graduellement. Est vermeil des Montagnes dans le film sur l';l;vation de la temp;rature globale am;ne ; titre d'exemple l'exp;rience avec la grenouille. Si la grenouille jeter ; l'eau chaude, elle sautera ici, mais si la placer au r;cipient avec l'eau froide et chauffer, elle sera assise dans lui, ne pas se souder. Exactement aussi et les habitants de l';le de P;ques r;duisaient si lentement les arbres que pour chaque g;n;ration le probl;me n';tait pas consid;rable.
       
       
Le chapitre 4. Les erreurs Obshchelogichesky, pouvant se manifester dans les raisonnements sur les risques globaux
1. La confusion entre la probabilit;, comme par la mesure de la variabilit; de l'objet, et le degr; de l'assurance, comme par la mesure de l'information sur l'objet
       Premier se rapporte vers âåðîÿòíîñòíîìó au proc;s, par exemple, la d;sint;gration radioactive, mais deuxi;me au proc;s inconnu – par exemple, óãàäûâàíèþ les cartes. Cependant les risques globaux se rapportent aux ph;nom;nes, nous en estimant qui sont oblig;s d'exprimer âåðîÿòíîñòíûå les jugements sur les proc;s, qui simultan;ment et âåðîÿòíîñòíûå, et les inconnus. Ici nous commen;ons ; parler sur le degr; de l'assurance de n'importe quelle probabilit;. Dans ce cas la probabilit; et le degr; de l'assurance sont multipli;e.
2. La substitution de l'analyse des possibilit;s par l'analyse des buts
       Par exemple, le raisonnement comme «les terroristes ne voudront jamais appliquer l'arme bact;riologique, parce qu'il portera le coup et pour celle-l;, quels int;r;ts ils prot;gent». La structure des buts peut ;tre est tr;s complexe ou simplement comprendre les erreurs.
3. L'utilisation incorrecte de la logique inductive de l'aspect suivant : une fois quelque chose ne se passait pas il y a bien longtemps, cela ne se passera pas encore tr;s longtemps
       Cette ;nonciation travaille seulement dans le cas o; nous une fois observions quelque chose au moment accidentel du temps et la probabilit; dans un tel cas fait un lapsus par la formule Ãîòòà. Elle donne la chance de l'ach;vement pour l';v;nement arbitraire ; 50 pour-cent ; l'intervalle de 1/3T jusqu'; 3T, o; T – l';ge de l'objet au moment de sa d;tection accidentelle. Cependant si nous observons tr;s longtemps un certain proc;s, il par l'image ;vidente, s'approche de la fin. Par exemple, si nous prenons la personne accidentelle, il, probablement, sera d'un moyen ;ge. Cependant si prendre la personne accidentelle et ensuite tr;s longtemps observer, nous recevrons absolument l'homme de grand ;ge, qui peut mourir ; n'importe quel moment. (Voir plus en d;tail mon article «les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe» 298.)
4. La mentalit; conditionn;e par le d;sir quelque chose prouver
       En fonction de ce que la personne veut prouver, il choisira n'importe quels arguments, souvent inconsciemment. Un autre nom pour ce mod;le – la "rationalisation", c'est-;-dire la s;lection des arguments pseudo-rationnels sous un certain initialement affirmation irrationnelle.
5. L'erreur logique apparaissant aux tentatives prouver qu'il faut faire, en partant seulement sur la description des faits
       Si le premier et deuxi;me envoi de la d;duction contient seulement les faits, et dans la conclusion il y avoir ;tre seulement des faits. N'importe quel raisonnement sur les buts doit s'appuyer sur certaines repr;sentations sur les valeurs donn;es àêñèîìàòè÷åñêè. Cependant cela signifie le caract;re arbitraire de tels buts, et leur compr;hension peut se distinguer chez de diff;rents investigateurs des risques globaux que peut conduire ; de diff;rentes d;finitions de l'accident et les repr;sentations sur ce que sera d'elle la sortie. En outre n'importe quel syst;me des axiomes permet de formuler les ;nonciations non d;montrables (comme a montr; øäåëü dans le th;or;me selon l'insuffisance), et il est facile de se persuader de la relation äîëæåíñòâîâàíèé dans cela : presque n'importe quel syst;me des valeurs de base permet de cr;er facilement ; l'int;rieur de lui-m;me les contradictions qu'est le contenu principal de plusieurs oeuvres litt;raires, o; le h;ros doit faire le choix entre, nous admettrons, l'amour de la famille et de la patrie (que s'appelle encore le choix existentialiste). On ne sait pas, si le syst;me non contradictoire des valeurs, comme elle aura l'air est possible en g;n;ral, et si sera employ;e pratiquement. Cependant le travail sur le syst;me non contradictoire des valeurs est important, puisqu'il faudra la mettre dans les futures voitures poss;dant l'intelligence artificielle.
6. Les erreurs li;es ; la substitution de l'analyse des risques par l'analyse de ces motifs commerciaux, qui sur eux parle
       On peut raisonner comme il suit : si la personne ;tudie les risques gratuitement, lui le ch;meur et ìàðãèíàë, s'il veut recevoir pour cela l'argent, lui ïàðàçèòèðóåò sur les peurs publiques, si cela ses devoirs directs fonctionnaires, lui croire sont impossible, parce que lui l'agent de l';tat et poudre les cerveaux ; la population. On voit d'ici que le lien direct entre l'argent et l'analyse des risques est absent, bien que dans certains cas elle soit possible. L'explication dans la simplification s'appelle «ðåäóêöèîíèçìîì» et permet d'expliquer tout n'importe quoi.
7. L'utilisation soi-disant de "la connaissance autoritaire»
       «La connaissance autoritaire» ;tait la source principale des informations sur le monde au Moyen ;ge, quand la v;rit; cherchaient dans les travaux Àðèñòîòåëÿ; ont invent; ensuite la m;thode empirique. Les r;f;rences aux opinions des grands gens ne doivent pas servir de la raison suffisante pour reconna;tre quelque chose s;r. Seulement calculs r;guli;rement r;p;t;s peuvent indiquer ; cela.
8. L'application incorrecte de l'id;e de ce que la th;orie doit ;tre consid;r;e v;ritable, seulement si elle est prouv;e
       Si examiner la m;thode scientifique, comme le moyen de la r;ception des connaissances les plus authentiques, cette m;thodologie est fid;le. Cependant du point de vue de la garantie de s;curit; l'approche oppos;e est n;cessaire : une certaine supposition doit ;tre consid;r;e dangereux jusqu'; ce qu'il n'est pas d;menti. Par exemple, un nouveau mod;le de l'avion est consid;r; dangereux, jusqu'; ce moment-l; ne sera pas prouv;, par voie des calculs th;oriques et les vols d'essai en tous r;gimes qu'elle est s;re; le m;me principe est ; la base du test clinique des nouveaux m;dicaments. Vaguement ainsi qu'appliquer le principe ôàëüñèôèöèðóåìîñòè en ce qui concerne les th;ories sur n'importe quels accidents globaux.
9. La perception de la nouvelle information dans le prisme de la vieille
       En train de la perception la personne seulement la partie de l'information prend du monde ext;rieur, mais autre ach;ve de construire en vertu de la m;moire, les attentes et les associations. H;las, le m;me exactement et pour les textes, y compris selon les risques globaux. En lisant la critique des diff;rents gens du m;me texte, il n'est pas difficile de se persuader qu'ils l'ont per;u tout ; fait diff;remment. Peu probablement c'est li; ce qu'uns gens ;taient principalement plus sages que les autres – plut;t, ce qu'ils appliquaient de diff;rents filtres de la perception. De plus, si la personne a commenc; ; se tenir ; un certain point de vue, il signe sur ces ;ditions et choisit ces articles, qui elle confirment. Ainsi, il a une illusion que la statistique selon les donn;es confirmant son point de vue, grandit. Cela affermit encore plus son filtre, et son assurance de ces donn;es.
10. L'erreur dans le choix de la position neutre
       Chaque personne comprend avec le temps qu'il n'est pas tout ; fait objectif, et son point de vue a un certain caract;re tendancieux. Pour compenser ce rejet, il peut choisir une certaine source neutre de l'information. L'erreur est que les gens se tenant aux regards oppos;s, choisiront de diff;rents points neutres, chacun de qui sera plus proche de la position de celui qui l'a choisi. Nous d;crivions l'erreur semblable plus haut, quand amenaient les r;sultats des exp;riences, auxquels les candidats ;taient pr;venus de l'erreur possible et faisaient sur elle la correction – et, n;anmoins, sous-estimaient en tout cas. Probablement, il fallait donner la correction non seulement vers le param;tre principal, mais aussi vers la correction.
11. L'assurance comme la source des erreurs
       Plus la personne doute du point de vue, plus souvent il la change sous l'influence des nouveaux faits, et il est plus grand que les chances qu'il se trouvera vers la connaissance plus authentique. Si la personne est trop assur;e de l'opinion, il lui est difficile de le changer. S'il trop èçìåí÷èâ, il ne s'approche pas de la v;rit;, mais marche selon le cercle.
12. L'utilisation de la logique enti;rement erron;e
       H;las, la situation, quand la personne dans les raisonnements fait les erreurs «dans chaque ligne» est possible. Dans ce cas il ne pourrait pas trouver les erreurs, m;me si voudrait. Ce peut ;tre ou une erreur se r;p;tant syst;matique, ou une telle densit; des diff;rentes erreurs, qui fait impossible le raisonnement exact. M;me je ne connais pas maintenant sans faute, si je ne fais pas quelques erreurs syst;matiques logiques ; pr;sent. Cela peut se passer plus souvent, que nous pensons – l'analyse des textes scientifiques a montr; que d'habitude les gens se servent des d;ductions r;duites et les accueils de l'heuristique – et ne se rendent pas compte de cela.
13. La confusion de la pr;science et la science fausse
       Au moment o; l'hypoth;se se trouve en train de la formulation, elle n'a pas encore acqu;ri tout l'appareil scientifique et est, plut;t, le produit de l'assaut c;r;bral ; un certain sujet, probablement, r;alis; collectivement par voie de l';change pour les opinions dans les ;ditions imprim;es. Et ; ce moment elle est la pr;science – cependant elle est point;e pour devenir partie les sciences, c'est-;-dire passer la s;lection correspondante et ;tre accept; ou rejet;. La science fausse peut imiter tous les attributs du caract;re scientifique – les titres, les r;f;rences, l'appareil math;matique, – n;anmoins, son but – non la recherche de la connaissance authentique, mais la visibilit; de l'authenticit;. Toutes les ;nonciations sur les risques globaux sont les hypoth;ses, que nous ne pourrons jamais contr;ler presque. Cependant nous ne devons pas les rejeter sur les phases pr;coces de la maturation. Autrement dit, la phase de l'assaut c;r;bral et la phase de la s;lection critique ne doivent pas se m;langer – bien que les deux doivent assister.
14. L'erreur li;e ; la d;finition incorrecte du statut «óíèâåðñàëèé»
       Le probl;me de la r;alit; óíèâåðñàëèé (c'est-;-dire les g;n;ralisations) ;tait principal dans la philosophie m;di;vale, et elle comprenait dans la question, quels objets en fait existe r;ellement. S'il y a, par exemple, des oiseaux en g;n;ral, ou il y a seulement des exemplaires s;par;s des oiseaux, mais tous les aspects, la g;n;ration et la famille des oiseaux – pas plus que la fiction conventionnelle de la raison humaine ? Une des r;ponses possibles est ce qu'il y a objectivement notre capacit; ; distinguer les oiseaux et non-oiseaux. De plus, chaque oiseau poss;de aussi cette qualit;, et en vertu de cela óíèâåðñàëèè existent objectivement. Aux raisonnements sur les risques le vague sous le pr;texte óíèâåðñàëèé s'insinue comme il suit : les propri;t;s d'un objet sont transf;r;es sur une certaine classe, comme si cette classe ;tait l'objet. Alors il y a des raisonnements comme «l'Am;rique veut …» ou «il est naturel aux Russes …», tandis qu'apr;s ces notions il y a un objet non commun, mais la multitude, la d;finition exacte de qui d;pend de l'observateur. N'importe quelles discussions sur la politique sont empoisonn;es avec le progr;s de telle sorte. En raisonnant sur l'intelligence artificielle il est facile de faire une telle erreur, puisqu'il n'est pas clair, s'il y a des paroles sur une installation ou sur la classe des objets.
15. Les affirmations sur la possibilit; de quelque chose et l'impossibilit; íåðàâíîñèëüíû
       L'affirmation sur l'impossibilit; est beaucoup plus forte, car se rapporte ; toute la multitude d'objets potentiels, mais pour l'authenticit; de l'affirmation sur la possibilit; assez d'un objet. C'est pourquoi les affirmations sur l'impossibilit; de quelque chose sont fausses beaucoup plus souvent. En supposant quelque ;v;nement ou la conjoncture impossible, nous causons le pr;judice de notre s;curit;. Dans les circonstances d;finies probablement tout. De plus n'importe quelles discussions sur les futurs accidents est toujours les discussions sur les possibilit;s.
16. De l';vidence comme la source des erreurs
       La d;duction juste s'appuie toujours sur deux envois, deux jugements v;ritables. Cependant l'analyse des textes montre que les gens utilisent tr;s rarement la forme compl;te des d;ductions, mais au lieu de cela utilisent r;duit, o; s'appelle ;videmment seulement un envoi, mais l'autre est sous-entendu par d;faut. Sont pass;s sous silence d'habitude l';vidence – les jugements, semblant tellement v;ritable et s;r qu'il n'y a pas de besoin d'eux sonoriser. De plus, souvent ils sont tellement ;vidents que ne se sont pas rendus compte. Il est clair, qu'est-ce que c'est l';tat de choses est la raison des nombreuses erreurs, parce que l';vidence – pas absolument l'authenticit;, et ce qu'est ;vident ; un, non ;videmment autre.
17. La sous-estimation de la fausset; personnelle
       Comme n'importe quelle personne, moi est encline ; se tromper qu'est li; comme ; l'incertitude importante du cerveau humain li;e avec âåðîÿòíîñòíîé par la nature de son travail, et avec l'insuffisance de mes connaissances selon le monde et les habitudes de l';limination des erreurs. Je ne peux rien conna;tre sur 100 %, parce que la s;curit; de mon cerveau n'est pas ;gale 100 %. Je peux contr;ler la s;curit;, ayant d;cid; une s;rie des t;ches logiques moyen les complexit;s, et puis ayant compt; la quantit; d'erreurs. Il est ordinaire cependant de cela ne se fait pas, et la fausset; personnelle est estim;e par intuition. De la m;me mani;re la personne ne mesure pas d'habitude la fausset; caract;ristique des jugements sur le futur, bien que cela soit exp;rimentalement possible de faire : par exemple, ;crire le pronostic et la vie publique pour une ann;e ou cinq ann;es et puis comparer.
18. L'erreur li;e ; la repr;sentation sur ce que chaque ;v;nement a une raison
       En r;alit; :
       Il y a des ;v;nements tout ; fait accidentels.
       Chaque ;v;nement a beaucoup de raisons (le verre est tomb;, parce que l'ont mis avec le bord, parce qu'il est fait du verre, parce que la gravitation est grande, parce que le plancher ferme, parce que le chat d;sob;issant, parce que cela t;t ou tard devait arriver).
       Chaque raison a la raison, ; la suite de quoi nous avons s;parant ; l'arbre pass; des raisons. L'esprit humain est incapable enti;rement cet arbre des raisons d'embrasser et est oblig; de simplifier. Mais la notion la "raison" est n;cessaire dans la soci;t;, parce qu'est li; ; la faute, par la punition et la libert; de la volont;. C'est-;-dire ici sous la "causale" est en vue l'acceptation par la personne libre imput;e de la d;cision de la perp;tration du crime. Il n'y a pas de besoin parler sur celui-l;, il est combien d'ici aux moments non ;vidents. (La question principale : qui est coupable ?)
       Et dans l';tude de la technique : o; il est important de trouver la raison de l'avarie. C'est-;-dire ce que l'on peut ;liminer – ainsi pour que les avaries de telle sorte ne soient plus. (La question principale : que faire ?)
       La notion la raison est le moins employ;e vers l'analyse des ph;nom;nes complexes uniques, tels que la conduite humaine et l'histoire. L'exemple de cela - la masse des discussions embrouill;es sur les raisons de n'importe quels faits historiques. C'est pourquoi les raisonnements dans la g;n;ration «la raison de l'accident global sera Õ» – sont imparfaits pour ne pas dire plus.
19. La n;cessit; du choix ; la base de la foi
       Si le chef re;oit quelques conclusions se contredisant sur la s;curit;, il fait le choix entre eux, en croyant simplement ; un d'eux – pour les raisons non li;es ; la logique. Ici on peut se rappeler aussi le terme «le choix existentialiste», quand la personne doit faire le choix dans la situation non formalis;e. Par exemple, entre l'amour et la dette.
20. L'effet du premier et dernier livre lu
       L'ordre de l'entr;e de l'information influence son estimation, et en outre sont mis en relief le premier et la derni;re source. C'est une des formes de la fausset; li;e ; l'accessibilit; de l'information.
21. L'exag;ration du r;le du modelage informatique
       Plus deux mod;les ;tudi;s – la m;t;orologie et les explosions atomiques. Les deux sont faits sur les faits concrets immenses, avec le compte de centaines d'essais, qui faisaient les amendements vers les pronostics, et les deux donnaient r;guli;rement les erreurs. M;me le mod;le le plus exact reste au mod;le. C'est pourquoi nous ne pouvons pas fortement compter sur le modelage informatique des ;v;nements uniques, ; quel se rapporte l'accident global.
22. La preuve par analogie comme la source des erreurs possibles
       L'affaire non seulement dans ce que ne peut pas ;tre des analogies ; l';v;nement unique, qui n'arrivait jamais – l'accident irr;versible global, mais aussi que nous ne connaissent pas, comment passer telles analogies. Dans tous les cas, les analogies peuvent seulement illustrer. Probablement, il est utile d'accepter les analogies, quand ils parlent sur la r;alit; d'une certaine menace, mais non quand – sur la s;curit;.
23. L'erreur li;e ; l'inexactitude de l'extrapolation exponentielle âåðîÿòíîñòíîé de la fonction avec l'aide de la lin;aire
       Âåðîÿòíîñòíóþ la fonction de la destruction de la civilisation – si trouver cela le proc;s lisse au sens de la probabilit; que, certes, il est incorrecte – on peut comparer la fonction de la d;sagr;gation de l'atome radioactif, qui, comme on le sait, fait un lapsus ýêñïîíåíòîé. Par exemple, si la probabilit; de la destruction de la civilisation pendant le XXI si;cle est ;gale 50 %, comme cela monsieur Martin suppose le Riz dans le livre «Notre derni;re heure», dans 200 ans la chance de la survie de la civilisation sera 25 %, mais dans mille ann;es – seulement 0,1 % – ; la pr;servation ;gale des m;mes tendances. On voit d'ici qu'est incorrecte conclure qu'une fois les chances de la survie pendant le mill;naire fait 0,1 %, pour un si;cle il sera ; seulement dix fois plus, c'est-;-dire 1 %. La M;me erreur dans l'aspect moins ;vident appara;t, si nous devons extrapoler les m;mes 50 % de la survie pendant 100 ans sur ïîãîäîâóþ la probabilit; de la destruction. L'approximation lin;aire donnerait 0,5 % pour une ann;e. Cependant la signification exacte calcul;e selon la formule, fait environ 0,7 %, c'est-;-dire ; 1,4 fois plus haut que l'approximation intuitive lin;aire donne.
24. Le paradoxe De Saint-P;tersbourg
       Ce paradoxe a la relation directe aux accidents globaux, puisque montre qu'un infiniment grand pr;judice des ;v;nements extr;mement rares a áîëüøèé le poids, que tous les autres ;v;nements, cependant psychologiquement les gens ne sont pas pr;ts ; percevoir cela. G.G.Malinetsky d;crit ainsi ce paradoxe dans le livre «le Risque. Le d;veloppement stable. Ñèíåðãåòèêà":"nous Examinerons le jeu suivant. On fait sauter la pi;ce jusqu'; ce que ne tombera pas pour la premi;re fois l'aigle. Si a ;t; n;cessaire n des bonds, le gain fera 2n des unit;s. C'est-;-dire les gains 2,4,8, … 2n se passeront avec la probabilit; 1/2,1/4,1/8, … 1/2n. Le gain attendu dans ce jeu est infini :
       .
       Est demand;, combien de personne est pr;te ; payer le droit d'entrer dans un tel jeu. Le paradoxe est que la plupart des gens est pr;t payer ce droit pas plus 100, mais parfois et 20 unit;s»
25. La diff;rence entre le danger et le risque
       Le risque est cr;; par les d;cisions accept;es, mais les dangers – les circonstances. Puisque la source principale du risque des accidents globaux sont les nouvelles technologies, notamment les d;cisions de leur d;veloppement et l'application le d;finissent. Cependant si les technologies se d;veloppent spontan;ment et inconsciemment, ils sont semblables aux dangers naturels.
26. L'erreur li;e ce que si la probabilit; n'a personne les ;v;nements est íåâû÷èñëèìîé, ; celle-ci croient le nul
       Tandis que le principe de la pr;caution demanderait que nous ajoutions ; tels ;v;nements 100 probabilit; de pourcentage. Cependant cela am;nerait aux conclusions absurdes ; l'esprit : la probabilit; du d;barquement des extraterrestres est inconnue demain, c'est pourquoi nous devons nous lui pr;parer ainsi que si elle ;tait ;gale ; 100 pour-cent. Dans ce cas on peut se servir des moyens indirects de l'estimation de la probabilit;, par exemple, la formule Ãîòòà.
27. La n;gligence de ce que la s;curit; du syst;me est d;finie par son plus faible groupe
       Si au local il y a trois portes parall;les, un de qui est ferm; par trois ch;teaux, deuxi;me - deux, mais troisi;me – un, le local est ferm; sur un ch;teau. Comme n'affermis pas deux portes les plus solides, cela ne changera rien.
28. Îòâåðæåíèå des hypoth;ses sans consid;ration
       Pour rejeter une certaine hypoth;se, il faut au d;part l'examiner. Mais souvent cette succession est viol;e. Les gens refusent d'examiner n'importe quelles suppositions improbables, parce qu'ils les rejettent. Cependant de fa;on certaine rejeter une certaine supposition on peut, seulement soigneusement l'ayant examin;, mais pour cela il est n;cessaire de l'accepter quand m;me pour un certain temps s;rieusement.
29. Íåâû÷èñëèìîñòü
       La vari;t; des principalement importants proc;s pour nous est tellement mise que les pr;dire il est impossible, puisque eux íåâû÷èñëèìû. Íåâû÷èñëèìîñòü peut avoir de diff;rentes raisons.
       * Elle peut ;tre li;e ; l'inconcevabilit; du proc;s (par exemple, Technologique Ñèíãóëÿðíîñòü, ou, par exemple, comment le th;or;me la Ferme est inconcevable pour le chien), c'est-;-dire est li;e ; la modicit; importante qualitative du cerveau humain. (Est telle notre situation avec la pr;vision de la conduite de la Superintelligence en forme d'ÈÈ.)
       * Elle peut ;tre li;e aux proc;s quantiques, qui rendent possible seulement âåðîÿòíîñòíîå la pr;diction, c'est-;-dire íåäåòåðìèíèðîâàííîñòüþ des syst;mes (le pronostic du temps, le cerveau).
       * Elle peut ;tre li;e ; la supercomplexit; des syst;mes, ; la force par qui chaque nouveau facteur change enti;rement notre repr;sentation sur l'issue d;finitive. Aux tels se rapportent : les mod;les de l';l;vation de la temp;rature globale, l'hiver nucl;aire, l';conomie globale, le mod;le de l';puisement des ressources. Quatre derniers domaines des connaissances s'unissent par ce que chacune d;crit l';v;nement unique, qui n';tait jamais ; l'histoire, c'est-;-dire est le mod;le d;passant.
       * Íåâû÷èñëèìîñòü peut ;tre li; ce que le volume sous-entendu des calculs bien que êîíå÷åí, mais est tellement grand qu'aucun ordinateur possible ne pourra pas l'accomplir au cours de l'existence de l'univers (une telle íåâû÷èñëèìîñòü est utilis; dans la cryptographie). Cet aspect íåâû÷èñëèìîñòè se manifester en forme de chaotique d;termin; par le syst;me.
       * Íåâû÷èñëèìîñòü est aussi li;e ce que bien qu'; nous puisse ;tre connue la th;orie juste (;galement avec plusieurs autres), nous ne pouvons pas conna;tre, quelle th;orie est juste. C'est-;-dire la th;orie, en dehors de la justesse, doit ;tre facilement d;montrable pour tout, mais ce non un aussi, dans les conditions, quand le contr;le exp;rimental est impossible. ; un certain sens par le moyen du calcul de la justesse de la th;orie, mais il est plus exact – les mesures de l'assurance d'eux, est le march;, o; ou se font les taux directs sur une certaine issue, ou sur le prix les prix du p;trole n'ont personne de la marchandise li;e au pronostic, par exemple. Cependant la th;orie influence le prix du march; beaucoup d'autres facteurs : les trafics, l';motion ou la nature non de march; de l'objet. (Il est absurde d';tre assur; contre l'accident global, puisque l'on n'a personne et on n'a rien pour elle paiera, et en vertu de cela on peut dire que son prix d'assurance est ;gal au z;ro.)
       * Encore un aspect íåâû÷èñëèìîñòè est li; ; la possibilit; de la r;alisation des pronostics s'autor;alisant ou autoniant, qui font le syst;me principalement instable et impr;visible.
       * Íåâû÷èñëèìîñòü, li; ; la supposition selon la situation personnelle (self-sampling assumption – voir sur cela le livre de N.Bostroma299). L'essentiel de cette supposition est qu'; certains la situation moi doit examiner lui-m;me comme le repr;sentant accidentel d'une certaine multitude de gens. Par exemple, en examinant lui-m;me comme la personne ordinaire, je peux conclure que j'avec la probabilit; ; 1/12 avais les chances de na;tre en septembre. Ou avec la probabilit;, nous admettrons, 1 chez 1000 moi pourrait na;tre le nain. Cela permet de faire parfois les pr;dictions sur le futur : ; savoir, si en Russie 100 milliardaires, les chances que je deviendrai le milliardaire, font un vers 1,5 millions, dans la supposition que cette proportion se gardera. Vers íåâû÷èñëèìîñòè cela am;ne, quand je tente d'appliquer la supposition selon la situation personnelle aux connaissances personnelles. Par exemple, si je connais que seulement 10 % des futurologues donnent les pr;dictions justes, je dois conclure qu'avec les chances 90 % n'importe quelles mes pr;dictions incorrect. La plupart des gens ne remarquent pas cela, puisque pour le compte de la superassurance et l'estimation augment;e s'examinent non comme un des repr;sentants de la multitude, mais comme "l';lite" de cette multitude, la capacit; poss;dant augment;e des pr;dictions. Cela se manifeste particuli;rement dans les jeux de hasard et le jeu sur le march;, o; les gens ne suivent pas l'id;e ;vidente : «la Plupart des gens perd ; la roulette, donc, je, probablement, perdrai».
       * La forme semblable íåâû÷èñëèìîñòè est li;e ; la neutralit; d'information du march;. (Dit ensuite est la simplification consid;rable de la th;orie du march; et les probl;mes de la valeur d'information des param;tres donn;s par lui. Cependant la consid;ration plus d;taill;e ne retire pas le probl;me appel;, mais la complique seulement, en cr;ant encore un niveau íåâû÷èñëèìîñòè – ; savoir l'impossibilit; pour la personne ordinaire saisir toute la pl;nitude des connaissances li;e ; la th;orie des pr;dictions, ainsi que l'incertitude celui quel des th;ories des pr;dictions est v;ritable. Voir sur la valeur d'information du march; soi-disant «no trade theorem» 300.) Le march; id;al se trouve dans l';quilibre, dans qui la moiti; des joueurs trouve que la marchandise augmentera, mais la moiti; – que baisser. Autrement dit, gagner dans le jeu avec la somme nulle peut seulement plus sage ou inform;, que la plupart des gens, la personne. Cependant la plupart des gens ne sont pas plus sage, que tout, par la d;finition, bien que ne soient pas capables de se rendre compte de cela en raison de l'opinion pr;con;ue psychologique. Par exemple, le prix du p;trole se trouve ; un tel niveau que ne donne pas les confirmations ;videntes la supposition selon l'imminence de la crise li;e ; l';puisement du p;trole, la supposition selon le caract;re illimit; des stocks p;troliers. Le joueur finalement rationnel ne re;oit pas aucune information sur celle-l;, ; quel sc;nario se lui pr;pare. La m;me situation se rapporte et aux discussions : Si une certaine personne a choisi prouver le point de vue oppos; ; votre, et vous de rien ne savez sur son intelligence, l'instruction et les sources de l'information, ainsi que sur la cote de popularit; objective, c'est-;-dire les chances 50 sur 50 qu'il est droit, et non vous. Puisque mesurer objectivement l'intelligence et la comp;tence extr;mement difficilement ; cause du d;sir eux surestimer, il faut trouver comme leurs trouvant au milieu du spectre.
       * Puisque dans la soci;t; moderne aux indices de march; (par exemple, le commerce les m;canismes de la transformation de n'importe quels futurs param;tres agissent sur les quotas selon le proc;s-verbal Kiotsky sur les rejets du gaz carbonique ou le taux sur les ;lections, la guerre et ò. ä, ôüþ÷åðñû sur le temps), cela apporte l';l;ment suppl;mentaire de l'impr;visibilit; importante ; tous les aspects de l'activit;. En vertu d'un tel commerce nous ne pouvons pas apprendre sans faute, s'il y aura une ;l;vation de la temp;rature globale, l';puisement du p;trole, quelle menace r;elle de la grippe d'oiseau.
       * Encore une raison íåâû÷èñëèìîñòè – le caract;re secret. Si nous tentons de prendre en consid;ration ce caract;re secret par diff;rent «les th;ories du complot» dans l'esprit du livre Ñèììîíñà «les Cr;puscules dans le d;sert» 301 sur ïðåóâåëè÷åííîñòè des estimations des stocks du p;trole Saoudien, nous recevons l'espace se s;parant des interpr;tations. (C'est-;-dire, ; la diff;rence du cas ordinaire, quand l'exactitude augmente d;nombrant les mesures, ici chaque nouveau fait augmente seulement la scission entre les interpr;tations oppos;es.) aucune personne par la Terre ne poss;de pas toute la pl;nitude de l'information confidentielle, puisque pr;s de diff;rentes organisations les diff;rents secrets.
       L'aspect psychologique de ce probl;me consiste en ce que les gens raisonnent ainsi que si aucun íåâû÷èñëèìîñòè n';tait pas. En d'autres termes, on peut d;couvrir ; volont; les opinions et les raisonnements sur le futur, ; qui son impr;visibilit; importante et multilat;rale n'est pas du tout prise en consid;ration, de m;me que la modicit; de la capacit; humaine est authentique sur lui raisonner.
33. La s;lection de surveillance
       La s;lection de surveillance est une forme de l'erreur, quand en vertu du moyen de l'oeuvre de l'exp;rience ses uns r;sultats sont plus consid;rables, que les autres. Par exemple, les ;toiles plus vives au ciel sont plus consid;rables, mais cela ne signifie pas que toutes les ;toiles vif. Le cas sp;cial de la s;lection de surveillance est, quand une diff;rente issue de l';v;nement observe un diff;rent nombre des observateurs qu'il a lieu en cas de la destruction de l'observateur dans une des issues. Par exemple, les soldats qui ont ;prouv; de quelques mois de la guerre sont enclins ; surestimer la viabilit; – c'est-;-dire chez eux na;t la sensation erron;e de l'invuln;rabilit; personnelle. Les accidents globaux, ;videmment, se rapportent ; une telle classe des proc;s. Voir plus en d;tail dans mon article «les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe» et dans le chef sur les estimations indirectes de la probabilit; de l'accident global dans ce livre.
Le chapitre 5. Les erreurs sp;cifiques apparaissant dans les discussions sur le danger du d;veloppement incontr;lable de l'intelligence artificielle
1. La dispersion des opinions sur la question sur la s;curit; ÈÈ signifie l'absence des preuves r;elles de la s;curit;
       Les sp;cialistes en les ordinateurs expriment beaucoup de diff;rentes opinions sur les raisons de, pourquoi, ; leur avis, ÈÈ est s;r. Ces ;nonciations âçàèìîèñêëþ÷àþò l'un l'autre, et, donc leur partie consid;rable est fausse. C'est pourquoi nous pouvons les amener courageusement ; titre des exemples des erreurs, sans entrer dans les preuves de la fausset; de chaque ;nonciation s;par;e. J'ai pass; dans Internet le sondage parmi les concepteurs ÈÈ302, au sujet de ce qu'est la garantie de la s;curit; ÈÈ, et a re;u la dispersion suivante des opinions, avec environ nombre de gens identique se tenant ; n'importe quelle opinion. Donc, «ÈÈ est s;r, parce que" :
       1) Parce qu'ÈÈ est impossible.
       2) Parce qu'ÈÈ peut d;cider seulement les t;ches ;troites, comme ðàñïîçíàíèÿ des images.
       3) Parce que, quand nous ferons universel ÈÈ, nous y introduirons Trois lois de la robotique Àçèìîâà.
       4) Parce que moi conna;t, comment utiliser ÈÈ au bien aux gens.
       5) Parce qu'ÈÈ poss;dera la sagesse surhumaine par la d;finition et ne voudra pas causer le dommage aux gens.
       6) Parce qu'ÈÈ de rien il ne faut pas des gens, et nous pouvons paisiblement coexister l'un avec l'autre.
       7) Parce que lui sera ferm; dans mon ordinateur, et si quelque chose va non ainsi, je couperai l';lectricit;.
       8) Parce que chez ÈÈ il n'y avoir pas ;tre volont;.
       9) ÈÈ est impossible sans libert; de la volont;, c'est pourquoi nous devons lui accorder la libert;.
       10) Parce qu'ÈÈ ne peut rien faire mauvais.
       11) ÈÈ peut ;tre dangereux, mais, probablement, tout se passera.
       12) Est absent, ÈÈ est dangereux, et nous sommes condamn;s.
       13) ÈÈ supprimera l'humanit;, et notamment nous devons aspirer ; cela, puisque ÈÈ est une forme plus progressive de l';volution.
       Au cours de la mise bas il se trouva que ces opinions sont distribu;es plus ou moins r;guli;rement. Cela signifie que la somme de l'information sur la question sur la s;curit; ÈÈ, qui les investigateurs ÈÈ poss;dent en tout, est ;gale au z;ro.
2. Erron;e est l'id;e de ce que l'on peut cr;er le syst;me exact, ayant contr;l; plusieurs fois son projet et le code initial
       Les contr;les eux-m;mes apportent un certain nombre des nouvelles erreurs, et en vertu de cela au niveau d;fini le nombre des erreurs est stabilis;. Cela exactement et ; propos des syst;mes öåëåïîëàãàíèÿ, quel, par exemple, sont les lois. Il ne faut pas compter que nous pourrons cr;er le corps gouvernait de la conduite pour ÈÈ, ne contenant pas des erreurs.
3. Les erreurs dans le critique ÈÈ Ïåíðîóçîì
       R.Penrouz dans le livre «un Nouvel esprit du roi» 303 affirme qu'ÈÈ est impossible, parce que dans le cerveau se passent íåâû÷èñëèìûå les proc;s quantiques, qui sont n;cessaires ; la mentalit; cr;atrice et ñîçíàíèÿ304. En vertu de cela est affirm; souvent que dangereux ÈÈ est impossible. Il me semble que la conclusion donn;e n'est pas tout ; fait correcte pour les raisons suivantes :
       1. La nature quantique de la conscience est pas ìýéíñòðèì les sciences. Nous ne pouvons pas fonder la s;curit; de l'humanit; sur non prouv; (bien qu'int;ressant) la th;orie.
       2. Il est impossible de prouver l'impossibilit; de quelque chose dans la nature th;oriquement. (Mais la possibilit; de prouver on peut – par exemple, le fond Íåéìàí a prouv; la possibilit; autoreproduit ìåõàíèçìîâ305.)
       3. Pour qu'ÈÈ soit devenu dangereux, il ne doit pas poss;der ni la conscience, ni la capacit; de l'oeuvre. Moderne ÈÈ peut gagner n'importe quelle personne les ;checs, sans utiliser ni la conscience, ni les intuitions. C'est-;-dire l'intuition est seulement la caract;ristique utile r;duisant la vitesse de l'exc;dent des combinaisons, mais remplac; par les algorithmes. Il suffit de dire que dangereux ÈÈ est ÈÈ, qui peut gagner la personne dans n'importe quel jeu. La guerre et çàðàáàòûâàíèå de l'argent sont des vari;t;s de tels jeux.
       4. Si certaines fonctions sp;ciales quantiques sont accomplies íåéðîíàìè ou ìèêðîòðóáêàìè, rien n'emp;che de les utiliser comme les ;l;ments du futur puissant ÈÈ – par exemple, en forme d'ext;rieur ñîïðîöåññîðà. Les ordinateurs quantiques sont une des variantes de la r;alisation. Finalement, fort ÈÈ il y avoir appara;tre non comme l'ordinateur, mais comme g;n;tiquement une personne modifi;e avec íåéðîøóíòîì (c'est-;-dire connect; directement vers l'ordinateur). Et ; la rigueur, s'il y aura une classe des t;ches accessibles ; la personne, mais non accessible ; l'ordinateur, la situation de l'exploitation directe des gens pour la d;cision de ces t;ches est possible, de plus chacun des gens ne conna;tra pas, comment on appliquera sa d;cision. Ainsi, par exemple, les programmes de spam travaillent maintenant – ils demandent aux gens sur le site avec «êëóáíè÷êîé» reconna;tre les chiffres du plan sur le dessin pris d'un autre site, et re;oivent ainsi l'acc;s ; cet autre site. De plus les gens utilisent ; l'aveuglette, puisque les gens ne connaissent pas que les r;sultats de leur reconnaissance seront utilis;s dans une autre place. Par l'image semblable l';tat embauche les savants pour l';laboration de l'arme.
       5. On peut d;cider le nombre consid;rable des importantes t;ches par l'exc;dent, c'est-;-dire par voie de la r;alisation du nombre fini des op;rations. Par exemple, ce peut ;tre l'exc;dent des combinaisons toutes possibles des signes engendrant le texte de la preuve du th;or;me. Autrement dit, il y a un algorithme, permettant de d;cider n'importe quelle t;che. Et la question seulement dans son optimisation. Il est possible que la d;cision de ces t;ches, de qui peut d;pendre le destin de l'humanit;, tout ; fait probablement par l'exc;dent, m;me s'il y a certaines t;ches, qui par l'exc;dent ne se d;cident pas au cours de l'existence de l'Univers.
       6. Si on r;ussira ; prouver que la conscience poss;de quand m;me la nature quantique, cela ouvrira un nouveau monde des possibilit;s, et donc des nouveaux risques.
4. La repr;sentation sur ce que suffit 3 lois de la robotique d'A.Azimova pour d;cider tous les probl;mes avec la s;curit; ÈÈ
       D;j; se montrait plus d'une fois dans de diff;rentes ;tudes que les lois de la robotique ne sont pas la garantie de la s;curit; ÈÈ ; un peu consid;rable ìåðå306 :
       1. Ces lois sont la tautologie, puisque d'eux il faut qu'ÈÈ sera s;r, parce qu'il ne causera pas le dommage.
       2. Ils comprennent les contradictions, qui est gagn;e en ma;tre Àçèìîâûì dans ses r;cits – le robot ;prouve souvent le conflit entre 1 2 et 3 lois, et finalement se conduit par l'image dangereuse.
       3. Ces lois se rapportent aux robots autonomes, et non vers ÈÈ, qui n'est pas attach; ; un m;canisme.
       4. Ils s'appuient sur la notion intuitive du "dommage", qui n'est pas d;finie par ceux-ci et c'est pour cela que peut prendre la forme arbitraire. Par exemple : vivre est nuisible, parce que de cela meurent.
       5. Ces lois sont plut;t souhaits – c'est-;-dire ce que nous voulons d'ÈÈ, et non les r;gles, par qui il pourrait se guider. On ne sait pas, comment placer ces lois ; ÈÈ.
5. Les repr;sentations erron;es sur ce que le progr;s dans le domaine du logiciel manque
       Les algorithmes de la d;composition des nombres sur les multiplicateurs s'am;liorent plus vite, que de mat;riel îáåñïå÷åíèå307. Il y a un progr;s et dans d'autres domaines, mais lui nous mesurerons moins. Finalement, le progr;s de l';quipement est aussi le progr;s de cette notre compr;hension, comme faire les circuits moins.
6. Les repr;sentations erron;es sur ce que personne dans le monde ne s'occupe un tel «ìàëîïåðñïåêòèâíîé» du sujet comme ÈÈ
       On sait quelques soci;t;s et gens, qui travaillent activement sur la cr;ation universel ÈÈ – Numenta, Novamenta, SIAI, a2i2. L'aper;u plus d;taill; des programmes pour la cr;ation ÈÈ voir dans le chef sur les risques ÈÈ.
7. Les repr;sentations erron;es sur ce qu'ÈÈ sont de diff;rentes applications concr;tes, comme la technique ðàñïîçíàíèÿ des images
       Il y a ici une substitution des th;ses. Dans le livre donn; sous «ÈÈ» est en vue notamment l'Intelligence Artificielle. De ce que quelqu'un r;pand les ;laborations sous la marque «ÈÈ», bien qu'ils en fait par il ne soient pas, il ne faut pas qu'ÈÈ est impossible. Dans la litt;rature anglophone on r;pand le terme GAI – General AI – l'intelligence Universelle artificielle, qui est destin;e ; l';limination de cette ambigu;t;, proposent d'utiliser aussi le terme «la raison artificielle».
8. L'anthropomorphisme
       Inconscientement nous humanisons ÈÈ par la multitude de diff;rents moyens, et cela forme nos attentes. Voir plus en d;tail dans l'article Þäêîâñêè dans l'application. En particulier, nous percevons ÈÈ comme l'objet, qui se trouve quelque part, a les fronti;res pr;cises, les buts etc.
9. La repr;sentation erron;e sur ce qu'il suffit de d;connecter ÈÈ de l'alimentation pour de celui-ci arr;ter
       Cette affirmation est fond;e sur la supposition que le programmeur ÈÈ conna;tra, quand le proc;s est all; incorrectement – ;videmment, incorrecte. La deuxi;me supposition incorrecte – sur le caract;re local ÈÈ. Troisi;me – sur ce qu'ÈÈ ne pourra pas prot;ger l'alimentation, ou s';tant d;guis;, ou ;tant parti au r;seau. Quatri;me – que le programmeur ne peut pas ;tre de m;che avec ÈÈ (et/ou tromperont par lui).
10. La repr;sentation erron;e sur ce que, m;me s';tant r;pandu selon Internet, ÈÈ ne pourra aucunement influencer le monde ext;rieur
       Incorrectement – dans Internet on peut gagner l'argent et commander n'importe quelles actions dans le monde ext;rieur. En outre l'accord avec les gens, le chantage et l'administration directe pour les m;canismes est possible.
11. La repr;sentation erron;e sur ce que chez ÈÈ ne peut pas ;tre des d;sirs personnels, c'est pourquoi il ne fera jamais du tort ; la personne
       Pour qu'ÈÈ gagne, devant lui fixeront certaines t;ches. En train de leur ex;cution il peut r;aliser n'importe quels ïîäöåëè. Ceux-ci ïîäöåëè peuvent ;tre tr;s dangereux, si sur eux íåñôîðìóëèðîâàíî des restrictions justes. L'exemple le plus connu – n'a personne ÈÈ confient de prouver l'hypoth;se Ðèìàíà et pour ce but il transforme toute la substance du Syst;me solaire en installations calculatoires.
12. La repr;sentation erron;e sur ce qu'ÈÈ ma;trisera l'espace, ayant laiss; la Terre ; la personne
       Ce bon souhait, mais dans lui est d;j; l'amertume de la capitulation. Il n'y a d'aucunes raisons de penser qu'ÈÈ est engag; cela en fait cela fera.
13. La repr;sentation erron;e sur ce que chacun ÈÈ est l'intelligence, c'est pourquoi il poss;de le but X (mettre n;cessaire), et ce bien
       L'intelligence est un outil, qui peut ;tre dirig; sur l'acquisition du but arbitraire. Les gens se servent de l'intelligence la plus puissante pour atteindre des buts primitifs, qui sont propres ; l'alpha-m;le îáåçüÿíüåãî les troupeaux – noyer les concurrents, obtenir la disposition des femelles, sortir la nourriture – et pour toute cela s';crivent les vers, on d;montre les th;or;mes, tra;nent les complots. C'est pourquoi la pr;sence de l'intelligence ne signifie pas aucun but univoque. (Et penser ainsi, signifie passer des faits vers äîëæåíñòâîâàíèÿì que comprend l'erreur toujours logique.) et vraiment surtout le but abstrait (conna;tre le monde, par exemple) ne peut pas ;tre le bien concret pour tous les gens, car tout d;pend des moyens de la r;alisation de ce but.
14. La repr;sentation erron;e sur ce que les ordinateurs modernes sont beaucoup limit;s dans les possibilit;s, c'est pourquoi ÈÈ sera seulement dans le futur ;loign; – dans les dizaines ou centaines d'ann;es
       Puisque nous ne connaissons pas, qu'est-ce que c'est ÈÈ, nous ne connaissons pas que doit ;tre invent; notamment pour lui cr;er, c'est pourquoi nous ne pouvons pas exprimer les pronostics exacts temporaires. ÈÈ peut appara;tre et demain – la compagnie a2i2 envisage de terminer le projet en 2008, d'autres projets s'orientent pour les 2011 les rythmes Existant du progr;s dans le domaine de la cr;ation des puissants ordinateurs sont suffisants pour cr;er les ordinateurs proches selon la productivit; ; notre cerveau, dans les ann;es ; venir, et il n'y a pas de raisons in;vitables, selon qui la croissance de la capacit; des ordinateurs doit sera ralenti.
15. La repr;sentation erron;e sur ce que le progr;s dans la compr;hension du travail du cerveau va tr;s lentement. C'est pourquoi ÈÈ travaillera tr;s lentement
       Mais la lenteur des proc;s pr;paratoires ne signifie pas la lenteur du proc;s. Þäêîâñêè dans l'article, que vous trouverez dans l'application, d;ment cela par l'exemple de la diff;rence entre le temps de l';laboration de l'arme nucl;aire et la vitesse des proc;s dans la bombe.
16. La repr;sentation erron;e sur ce que la personne est capable de faire X (mettre n;cessaire) que ne pourra jamais faire ÈÈ, et c'est pour cela qu'ÈÈ ne pr;sente pas aucune menace
       «X» peut avoir dans de diff;rentes interpr;tations de la qualit; des inspirations cr;atrices, les intuitions, rapide la reconnaissance des images, les ;motions des sentiments, la compr;hension, l'amour. Cependant :
       1. Nous ne connaissons pas, de quoi peut ou ne peut pas ÈÈ, nous ne le ferons pas.
       2. ÈÈ peut ;tre dangereux, m;me s'il ne peut pas faire H.Naprimer, il peut nous gagner aux ;checs, sur la bourse, ou ; n'importe quel autre jeu vital pour nous.
       3. S'il y a une certaine t;che, que peut d;cider seulement la personne, ÈÈ peut embaucher ou soumettre aux gens pour sa d;cision. Par exemple, l';tat moderne embauche les savants, et donne ; chacun le fragment de la t;che de l';laboration, pour ainsi dire, la bombe atomique.
17. La repr;sentation erron;e sur ce qu'ÈÈ est impossible, parce qu'il pense algorithmiquement, mais la personne – íåàëãîðèòìè÷åñêè
       L'exigence àëãîðèòìè÷íîñòè ; la cr;ation ÈÈ n'est pas n;cessaire. Les algorithmes g;n;tiques, les ordinateurs quantiques, âæèâëåíèå íåéðîíîâ ; ÷èïû et ðàíäîìèçèðîâàííûå les m;thodes font l'exigence àëãîðèòìè÷íîñòè conventionnel. La question comment pense notamment la personne, n'est pas ouvert. R;cemment on r;ussit ; apprendre l'ordinateur jouer mieux personne au poker (de Texas õàëäîì – mais en effet, notamment le poker est consid;r; comme ce jeu, dans qui est particuli;rement importante l'intuition) et il vaut mieux jouer la personne sur la bourse (sur les mod;les). Cela signifie que les gens r;els perdront l'argent, en se heurtant aux ordinateurs sur la bourse ou sur en ligne tournois. Probablement que pour eux la question sur, si poss;de l'ordinateur la conscience ou est la calculatrice n'est pas si important, comme cela, combien d'ils ont perdu. Si l'ordinateur apprend ; reconna;tre les images du monde ext;rieur, il pourra il est aussi effectif vaincre aux discussions, vous poursuivre dans le bois, tirer selon les buts, faire les plans.
       ; la personne il est agr;able de penser qu'il vaut mieux (plus sagement, plus tout ; fait etc.) l'ordinateur, parce qu'il a une intuition. Cependant une fois ainsi, il faut se rapporter avec le soup;on ; cette id;e, puisqu'elle peut ;tre conditionn;e par les ;motions. Nous ne pouvons pas construire le syst;me de la s;curit; sur l'affirmation, qui nous est agr;able. Mais soudain nous sous-estimons la force des algorithmes ? Soudain il y a un tel algorithme, qui travaille plus puissantement couds les intuitions ?
18. La repr;sentation erron;e sur ce qu'ÈÈ sera environ m;me sage, comme la personne
       Il y a une repr;sentation erron;e sur ce qu'ÈÈ poss;dera environ les capacit;s humaines, et dans le futur se forme la soci;t; comprenant les gens et les "robots". Cependant la multitude d'esprits possibles humains, probablement, est seulement une petite partie de la multitude en g;n;ral les esprits possibles. C'est pourquoi il est peu probable que, ayant atteint le niveau humain, ÈÈ sur lui s'arr;tera. Ayant augment; sa vitesse du travail, l'ayant joint ; mille autres ÈÈ, ayant ajout; l'infaillibilit; informatique et la m;moire, nous pouvons intensifier ; mille fois ÈÈ du niveau humain, sans faire les ouvertures importantes.
19. La repr;sentation erron;e sur ce qu'ÈÈ sera le collaborateur ;gal en droits de la personne avec les m;mes possibilit;s et les droits
       Confondent ici ÈÈ et le robot s;par;. Dans le cas o; ses possibilit;s surpasseront infiniment humain, leur ";galit;" sera forte au d;triment des gens. Puisque dans n'importe quelle comp;tition ;gale il gagne les gens. En outre il avoir ;tre des repr;sentations sur l';galit;.
20. La repr;sentation erron;e sur ce qu'ÈÈ sera beaucoup
       Quand nous parlons «le virus se r;pand dans Internet», nous avons en vue un virus, bien qu'il ait beaucoup de copies. Quand nous parlons sur Internet, nous avons en vue un Internet. Quand nous parlons sur l';tat (en se trouvant ; l'int;rieur de lui) nous nous avons en vue aussi un ;tat. Aussi et ÈÈ il y aura un, bien qu'il avoir ;tre une multitude de copies et les manifestations. M;me s'il y aura quelques aspects ÈÈ, parmi eux seulement un sera l'essentiel. C'est-;-dire nous nous heurterons plut;t non ; la multitude de voitures s;par;es raisonnables, mais avec un syst;me des ;chelles surhumaines; les exemples de tels syst;mes sont la science, l';tat et Internet.
21. Les diff;rences de la compr;hension de ce que, proprement, est l'intelligence
       Probablement, donner la d;finition juste de l'intelligence d;j; presque cr;era l'intelligence artificielle. Du point de vue de la s;curit; il est plus facile donner une telle d;finition : ÈÈ est la voiture, capable de vaincre la personne ; toute sorte d'activit; (ou m;me : quand m;me dans un aspect de l'activit;, que vital pour la personne, de plus nous as en vue sous l'activit; par la gestion des proc;s – c'est-;-dire l'activit; d'information). C'est-;-dire nous d;finissons ÈÈ dans sa capacit; ; d;cider pratiquement èçìåðèìûå les t;ches. Nous laissons de c;t; la question sur la conscience, la libert; de la volont;, l'oeuvre. Cette d;finition en principe identiquement propos; Þäêîâñêè ; la d;finition ÈÈ comme "d'un puissant proc;s de l'optimisation».
22. L'identification erron;e univoque ÈÈ avec l'objet s;par;
       ÈÈ est d;fini par ce qu'il fait (r;alise effectivement le proc;s de l'optimisation), cependant la repr;sentation sur ce qu'il y a une essence engendrant ces actions, peut nous conduire aux erreurs. Par exemple, le proc;s de l';volution au sens darwinien engendre les d;cisions de plus en plus effectives. Cependant ce proc;s n'a pas d'aucun centre, qui met les buts ou que l'on peut supprimer.
23. La repr;sentation erron;e sur ce qu'il suffit de cacher ÈÈ ; la "bo;te noire" pour qu'il soit devenu s;r
       Si nous avons plac; ÈÈ ; la "bo;te noire" (c'est-;-dire l'isolaient enti;rement), mais puis ont re;u les r;sultats de son travail, donc, il y avait un ;change d'information bilat;ral, et la "bo;te noire" n'est pas telle. Si nous ne recevons pas aucune information de la "bo;te noire", cela ;quivalentement ce qu'en g;n;ral ne pas l'ins;rer. La difficult; ici encore pour conna;tre qu'ÈÈ est apparu d;j; pour comprendre qu'il nous est temps de le placer ; la "bo;te noire". Enfin, ÈÈ peut forcer la "bo;te noire" de l'int;rieur, par exemple, en ;mettant les radiosignaux, ou en lisant les h;sitations du courant dans le syst;me de l'alimentation.
24. L'objection erron;e de la g;n;ration suivante : «au Japon il y avait d;j; un projet de la cr;ation ÈÈ dans les ann;es 80, et il a essuy; l';chec, c'est pourquoi ÈÈ est impossible»
       Dans les ann;es 1880 il y avait quelques projets de cr;ation de l'avion, et ils ont essuy; l';chec. Apr;s cela s'est r;pandue l'opinion que l'avion est impossible. C'est-;-dire quelques essais manqu;s avec les moyens inaptes ne signifient pas de l'impossibilit; importante. En outre le projet au Japon ne s'est pas ;teint jusqu'; la fin, et de lui ont augment; d'autres Ii-projets simplement moins affich;s. Cependant cet ;chec vif a influenc; comme la confiance du public ; tels projets, et sur la disposition des investigateurs promettre les r;sultats improbables.
25. La repr;sentation erron;e sur ce qu'ÈÈ il faut donner l'ordre X (mettre n;cessaire), et tout sera en ordre
       L';quipe «Õ» peut ;tre : «aimer tous les gens», «ne pas causer aux gens du dommage», «m'ob;ir seulement» etc. Mais nous ne pouvons pas contr;ler, comment ÈÈ r;alise n'importe quelle ;quipe, nous ne le lancerons pas. Mais quand nous lancerons, peut ;tre tard.
26. La repr;sentation erron;e ; l'esprit : «Quand j'atteindrai l'efficacit; dans la r;alisation ÈÈ, je penserai ; sa s;curit;»
       Incorrectement. Contr;ler l'efficacit; ÈÈ on peut, l'ayant lanc; seulement sur la t;che complexe li;e au monde r;el. Si avec ÈÈ est sorti de dessous du contr;le, de la s;curit; pensera tard. Certains types ÈÈ peuvent ;tre incompatibles avec la s;curit; normative, par exemple, fond; sur les algorithmes g;n;tiques. C'est pourquoi il faut ins;rer les mesures de la garantie de s;curit; ; ÈÈ d;s le d;but, ils ne peuvent pas ;tre le morceau pour faire le poids sur lui. Et dans tous les autres grands projets la s;curit; est r;fl;chie d;s le d;but.
27. La repr;sentation erron;e ; l'esprit : «Il est peu probable que notre projet de la cr;ation ÈÈ sortira de dessous du contr;le»
       Dans le monde il y a Beaucoup d' ii-projets et peu de connaissances comment mesurer la probabilit; de la diffusion incontr;lable ÈÈ. Il suffit de perdre le contr;le sur un projet. En outre dans le cas o; le programmeur utilise fort ÈÈ dans les buts, de son point de vue cela n'a pas l'air de la r;volte, mais du point de vue d'autres gens – l'est.
28. La repr;sentation erron;e ; l'esprit : «nous pouvons sur rien ne se soucie pas, parce qu'ÈÈ d;cidera tous nos probl;mes»
       Parmi les partisans puissant ÈÈ il y a une opinion qu'il ne faut pas d;cider certains futurs probl;mes, parce que, quand appara;tra puissant ÈÈ, il trouvera la d;cision la meilleure et plus exacte de ces probl;mes. Cependant avant la mise en marche puissant ÈÈ dans le monde r;el nous devons donner ; il un certain cercle des t;ches, mais pour qu'il est correct de formuler, nous ne voulons pas de quoi nous voulons quoi, il faut penser bien ; cela d'avance.
29. Íåòîæäåñòâåííîñòü des capacit;s et les intentions
       Voir êîãíèòèâíîå l'alt;ration ; l'esprit de "la talmouse gigantesque» dans l'article Þäêîâñêè ; ces livres. Son essentiel dans ce que si ÈÈ peut faire quelque chose, cela ne signifie pas qu'il fera cela. Si ÈÈ peut le fourneau les talmouses gigantesques, cela ne signifie pas que le futur monde sera rempli par les talmouses gigantesques. C'est-;-dire nous ne devons pas identifier les motifs des actions et la capacit; ÈÈ.
Le chapitre 6. Les erreurs sp;cifiques li;es par les raisonnements sur les risques de l'utilisation des nanotechnologies
1. La repr;sentation erron;e sur ce que les nanotechnologies sont impossibles, puisqu'il est impossible de cr;er les m;canismes ; pr;s un atome
       Cela non ainsi, – existe les albumines, qui sont de diff;rents m;canismes : par les soupapes, les ciseaux, ìîòîð÷èêàìè, – et ; eux il est important et est d;fini par la situation de chaque atome.
2. La repr;sentation erron;e sur ce que íàíîôàáðèêè est plus s;re íàíîàññåìáëåðîâ
       Íàíîôàáðèêè sont les installations macroscopiques produisant les installations íàíîðàçìåðîâ (par exemple, la production photolithographique des circuits). Íàíîàññåìáëåðû sont des installations íàíîðàçìåðîâ, capable de produire les copies. Avec l'aide d'un on peut faire l'autre et vice versa, c'est-;-dire ces installations sont fonctionnellement isomorphes.
3. La repr;sentation erron;e sur ce que les nanotechnologies sont tellement ;loign;es de nous dans le temps que l'on peut ne pas en penser
       De la r;alisation pratique des nanotechnologies nous sommes s;par;s par seulement connaissance manquant. Si nous l'avions, nous pourrions recueillir une telle cha;ne de l'ADN, qui, ;tant est lanc;e dans le carreau de la bact;rie, permettrait de produire äèñòàíöèîííî dirig; íàíîàññåìáëåð.
4. Erron; les Nanotechnologies ont invent; les repr;sentations ; l'esprit «seulement pour le blanchiment de l'argent»
       Puisque l'on peut appliquer une telle explication ; n'importe quoi, il n'explique rien. M;me si quelqu'un lave l'argent avec l'aide des nanotechnologies, cela ne signifie pas que íàíîðîáîòû sont impossibles. L';chec ne signifie pas l'ouvrage permanent-komov que l'on ne peut pas gagner l'argent dans Internet.
5. La repr;sentation erron;e sur ce que les nanotechnologies sont li;es seulement avec ìàòåðèàëîâåäåíèåì, ìåëêîäèñïåðñíûìè par les documents et íàíîòðóáêàìè
       Pas tout pensent ainsi, et on conduit les ;laborations au domaine íàíîðîáîòîâ. L'objet interm;diaire entre íàíîðîáîòàìè et íàíîìàòåðèàëàìè est la lithographie ÷èïîâ, qui permet d'exterminer n'importe quels m;canismes du silicium, y compris avec les parties mobiles – la technologie MEMS308 (par exemple, les micropendules pour les gyroscopes). Le progr;s principal de la loi Ìóðà va notamment pour le compte du d;veloppement des nanotechnologies de plus en plus ïðåöèçèîííîé les sceaux des semi-conducteurs.
6. La repr;sentation erron;e sur ce que íàíîðîáîòû sera plus faible que les bact;ries, parce que des bact;ries avaient les milliards d'ann;es pour s'adapter ; l'environnement
       Cela pas plus exactement, que l'affirmation que "les Avions seront plus s;rs des oiseaux, parce que les oiseaux se d;veloppaient pendant des millions d'ann;es». Les acquisitions humaines surpassent d'habitude biologique selon quelque un param;tre (le montant, les vitesses, la puissance).
7. La repr;sentation erron;e sur ce que si íàíîðîáîòû ;tait possible, eux il y avait d;j; une nature
       La nature n'a pas cr;; la roue, mais il est possible et il est effectif. D'autre part la nature a cr;; l'analogue íàíîðîáîòîâ en forme des bact;ries, qui montrent la possibilit; importante des installations autosuffisantes autoreproduites microscopiques.
8. La repr;sentation erron;e sur ce que íàíîðîáîòû ne pourra pas se multiplier dans le milieu naturel
       Si les bact;ries peuvent se multiplier dans la nature, peuvent et íàíîðîáîòû – en effet, ils peuvent utiliser tous les accueils accessibles aux bact;ries.
9. La repr;sentation erron;e sur ce que íàíîðîáîòîâ dans le milieu naturel il sera facile de supprimer par l'explosion de la bombe
       Il faut exactement conna;tre pour cela, o; ils se trouvent. S'ils ont p;n;tr; d;j; dans la ville, les faire sauter il sera impossible. En effet, ne luttent pas avec les maladies contagieuses avec l'aide des bombes.
10. La repr;sentation erron;e sur ce que íàíîðîáîòû comprendra seulement quelques atomes qu'est impossible ou ìàëîôóíêöèîíàëüíî
       Le nom «íàíîáîòû» ne signifie pas conventionnellement que la longueur íàíîáîòà sera ;gale ; quelques íàíîìåòðàì. Il peut ;tre la longueur ; 1 microm;tre et plus, est capable vers l'automultiplication et l'ex;cution de la multitude de fonctions. Et est invisible de plus. Dans ce cas il contiendra les milliards et m;me les trillions des atomes.
11. La repr;sentation erron;e sur ce que íàíîðîáîòû sera stupide et inefficace, puisque ; eux on ne peut pas installer l'ordinateur
       ; l'int;rieur de n'importe quel carreau de la personne il y a un ADN par le volume environ 500 m;ga-octet, de qui s'accomplit jusqu'; un million d'op;rations par seconde. Il suffit cela pour la cr;ation de l'assez fort ordinateur. Cela nous montre la limite accessible de la densit; des calculs, bien que pas absolument ; íàíîðîáîòàõ on utiliser notamment les ADN les ordinateurs. Íàíîðîáîòû pourront s'unir aux r;seaux locaux, en intensifiant la productivit; calculatoire plusieurs fois.
12. E.Dreksler sur les objections possibles de la faisabilit; des nanotechnologies
       Ensuite j'am;nerai la citation vaste d'E.Drekslera309, le fondateur de l'id;e de la cr;ation íàíîðîáîòîâ, dans qui je mettrai en relief les noms ãëàâîê :« Si ne fera pas le principe de l'incertitude de la physique quantique les voitures mol;culaires par les irr;alisables ? De plus, ce principe indique qu'est impossible de d;finir la situation exacte de la particule pendant n'importe quel intervalle de temps. Cela limite ce que peuvent faire les voitures mol;culaires, de m;me que limite ce que peut faire quelque chose encore. N;anmoins, les calculs montrent que le principe de l'incertitude inflige peu de restrictions essentielles sur, autant facilement on peut placer les atomes sur leurs places, au moins, pour ces buts, qui se manifestent ici. Le principe de l'incertitude fait la situation des ;lectrons assez vague, et en r;alit; ce vague d;finit le montant elle-m;me et la structure des atomes. L'atome comme l'entier, cependant, a la situation relativement d;finie correspondant au noyau assez massif. Si les atomes ne gardaient pas la position relativement bien, les mol;cules n'existeraient pas. De la m;canique des quanta il ne faut pas pour prouver ces conclusions, puisque les voitures mol;culaires dans le carreau pr;sentent ce que les voitures mol;culaires travaillent. Si ne feront pas les vibrations thermiques des mol;cules les voitures mol;culaires inapte au travail ou trop incertain pour de ceux-ci utiliser ? Les h;sitations thermiques causeront de grands probl;mes, que le principe de l'incertitude. Cependant et dans ce cas les voitures existant mol;culaires pr;sentent directement que les voitures mol;culaires peuvent travailler et aux temp;ratures ordinaires. Malgr; les h;sitations thermiques, les m;canismes du copiage de l'ADN dans certains carreaux font moins qu'une erreur sur 100 000 000 000 op;rations. Pour atteindre une telle exactitude, cependant, les carreaux utilisent les voitures (tels que le ferment de l'ADN-polimeraza I), qui contr;lent la copie et corrigent les erreurs. Aux assembleurs peut ;tre n;cessaire tout ; fait les capacit;s analogues du contr;le et la correction des erreurs, s'ils sont destin;s ; donner les r;sultats s;rs. Si la radiation ne d;truira pas les voitures mol;culaires ou faire par leurs inapte pour l'utilisation ? La radiation de la haute ;nergie peut violer les liens chimiques et d;truire les voitures mol;culaires. Les carreaux vivants montrent encore une fois que les d;cisions existent : ils travaillent au cours des ann;es, en restaurant et en rempla;ant les parties endommag;es par la radiation. Cependant puisque chaque voiture s;par;e tel minuscule, elle repr;sente un petit but pour la radiation, et la radiation rarement s'y trouve. Quand m;me, si le syst;me íàíîìàøèí doit ;tre s;r, elle doit subir la quantit; d;finie d'endommagements, mais les parties endommag;es doivent r;guli;rement ;tre r;par;es ou ;tre remplac;es. Cette approche de la s;curit; est bien famili;re aux concepteurs des avions et les navires spatiaux. L';volution n'a pas r;ussi ; produire les assembleurs. Si ne parle pas cela qu'ils ou sont impossibles, ou sont inutiles ? En r;pondant aux questions pr;c;dentes, nous nous r;f;rions partiellement ; d;j; voitures travaillant mol;culaires des carreaux. Ils repr;sentent une puissante preuve simple et de ce que les lois naturelles permettent ; de petits groupes des atomes de se comporter comme les voitures dirig;es, capable de construire les autres íàíîìàøèíû. Cependant contrairement ; ce qu'ils rappellent ; la base ðèáîñîìû, les assembleurs se distingueront de tout que se trouve dans les carreaux; bien qu'ils comprennent dans les mouvements ordinaires des mol;cules et les r;actions, ce qu'ils font, aura les nouveaux r;sultats. Par exemple, aucun carreau ne produit pas la fibre de diamant. Les preuves de la faisabilit; des assembleurs et les autres íàíîìàøèí peuvent sembler argument;es, mais pourquoi ne pas attendre et ne pas regarder, si en effet ils peuvent ;tre ;labor;s ? La curiosit; propre semble ; la raison suffisante pour ;tudier les possibilit;s ouvertes par la nanotechnologie, mais il y a des plus fortes raisons. Les nanotechnologies embrasseront le monde dans les limites de dix ; cinquante ans, c'est-;-dire dans la limite des d;lais de la vie nos personnel ou les membres de nos familles. Qu'est plus essentiel, les conclusions du chapitre suivant soufflent que nous "attendrons-regarderont" le politique serait trop cher : elle co;terait des millions de vies, et, probablement, la vie par la Terre ».
13. Notre disposition s'attendre les r;sultats grandioses seulement des raisons grandioses
       Äðåêñëåð illustre cette erreur par les contre-exemples suivants : «le FAIT ENNUYEUX : certains commutateurs ;lectriques peuvent ins;rer et couper l'un l'autre. On peut faire ces commutateurs tr;s petit et consommant peu d';lectricit;. La CONS;QUENCE GRANDIOSE : s'il les est correct joindre, ces commutateurs forment les ordinateurs, les voitures de la r;volution d'information... Le FAIT ENNUYEUX : le moisi et les bact;ries concurrencent pour la nourriture, c'est pourquoi certains moisis ont appris ; mettre en relief les poisons, qui tuent les bact;ries. La CONS;QUENCE GRANDIOSE : la p;nicilline, la victoire sur plusieurs maladies bact;riennes, et le sauvetage des millions de vies».310
14. La repr;sentation erron;e sur ce que les d;tails íàíîìàøèí se colleront en vertu de quantique, âàíäåðâààëüñîâûõ et d'autres forces
       Mais les albumines dans les carreaux vivants ne se collent pas. Propos; Äðåêñëåðîì la variante de la r;alisation des nanotechnologies avec l'aide des robots m;caniques de àëìàçîèäà avec les dents et les roues – non le seul. Les variantes interm;diaires avec ïñåâäîáèîëîãè÷åñèì par l'installation sont possibles.
15. La repr;sentation erron;e sur ce qu'actif íàíîòåõíîëîãè÷åñêèé l';cran semblable au syst;me r;fractaire, sera la protection id;ale de dangereux íàíîðîáîòîâ
       Aucun syst;me r;fractaire ; la r;alit;, dans les organismes vivants, antiviral dans les ordinateurs, n'est pas absolument s;r. En outre il y a des maladies autor;fractaires. Voir plus en d;tail chef «les ;crans actifs».
16. La repr;sentation erron;e sur ce que Äðåêñëåð – le r;veur, mais les vraies nanotechnologies comprennent ; quelque chose par l'ami
       Il fallait rencontrer les affirmations du c;t; des sp;cialistes dans le domaine des nanotechnologies, sur ce que íàíîðîáîòû Äðåêñëåðà sont des fantaisies, mais les vraies nanotechnologies comprennent dans la mesure d;taill;e de certains param;tres tr;s fins ìàëîðàçìåðíûõ des structures. Cependant en fait ces ;tudes se trouvent ; de diff;rents niveaux. Les ;tudes Äðåêñëåðà se rapportent au niveau "de projets". Ainsi qu'; lui se rapportait l'id;e de faire la bombe atomique en temps et lieu. C'est-;-dire c'est le niveau du bois, et non les arbres. Erick Dreksler – le pas seul proph;te des nanotechnologies avanc;es li;es ; la production mol;culaire et íàíîðîáîòàìè. On Peut aussi appeler R.Frejtasa et d'autres collaborateurs du Centre des responsables íàíîòåõíîëîãèé311.
Le chapitre 7. Les conclusions de l'analyse êîãíèòèâíûõ des alt;rations dans l'estimation des risques globaux
       On peut estimer l';chelle l'influence des erreurs sur les raisonnements sur les risques globaux, ayant compar; les opinions des diff;rents experts, les savants et les politiques sur la question sur la possibilit; de l'accident d;finitif global et ses raisons possibles. Il est facile de se persuader que la dispersion des opinions est immense. Uns trouvent le risque total minime, les autres óâåðåííû dans l'imminence de la disparition humaine. ; titre des raisons possibles s'appelle la multitude de diff;rentes technologies et les sc;narios, et en outre de diff;rents experts proposent les compositions des sc;narios possibles et les compositions des sc;narios impossibles.
       Il est ;vident que les racines d'une telle dispersion des opinions – dans la vari;t; des mouvements de l'id;e, qui, dans l'absence de quelque point visible du d;compte, est est expos; ; de diverses pr;ventions et êîãíèòèâíûì aux alt;rations. Puisque nous ne pouvons pas trouver le point du d;compte en ce qui concerne les risques globaux de l'exp;rience, il semble d;sirable pour que la discussion ouverte sur la m;thodologie de l';tude des risques globaux devienne un tel point du d;compte, ; la raison par qui on peut former le tableau commun et universellement admis des risques globaux.
Le chapitre 8. Les r;gles possibles pour l'estimation relativement effective des risques globaux
1. Le principe de la pr;caution
       Il signifie la pr;paration du plus mauvais sc;nario r;aliste dans toutes les situations de l'incertitude. R;aliste il faut trouver n'importe quel sc;nario, qui ne contredit pas les lois connues de la physique et a exactement èçìåðèìóþ la probabilit; on n'a personne plus haut du niveau liminaire. Cela correspond au principe de l'estimation conservatrice de g;nie. Cependant la pr;caution ne doit pas porter le caract;re irrationnel, c'est-;-dire ne doit pas óòðèðîâàòü la situation. Une des formulations du principe de la pr;caution sonne ainsi : «le Principe de la pr;caution est le principe moral et politique, qui affirme que si une certaine action ou la politique peuvent causer le pr;judice cruel ou irr;versible ; la soci;t;, cela, dans l'absence de l'accord scientifique sur ce que le dommage ne sera pas, le poids de la preuve se trouve sur ceux qui propose les actions donn;es» 312.
2. Le principe du doute
       Le principe du doute demande d'admettre la possibilit; de la fausset; de n'importe quelle id;e. Cependant le doute ne doit pas amener ; l'instabilit; de la marche de l'id;e, la confiance aveugle aux autorit;s, l'absence de l'opinion et l'incertitude de lui, s'il est assez prouv;.
3. La discussion ouverte
       Le maintien de la discussion ouverte selon tous les aspects des risques est important. Cela signifie la consid;ration de n'importe quelle objection ; titre de v;ritable le temps suffisant pour de celui-ci estimer, avant du d;cider de rejeter. Ne pas rejeter aucunes objections ñõîäó et soutenir la pr;sence des adversaires.
4. L'introspection
       L'analyse continue des conclusions personnelles ; propos des erreurs possibles de toute la liste.
5. Les calculs ind;pendants r;it;r;s
       Ici le calcul ind;pendant par les diff;rents gens, ainsi que la comparaison des estimations directes et indirectes entre.
6. L'estimation indirecte du degr; de l'erreur
       Nous pouvons estimer le degr; de la sous-estimation de l'accident global, en ;tudiant, autant les gens sous-estiment les risques analogues – c'est-;-dire les risques des accidents uniques. Par exemple, les navires spatiaux «Ñïåéñ le Shuttle» ;taient compt;s sur une avarie plus que sur 1000 vols, mais la premi;re avarie s'est pass;e sur le 25-;me vol. C'est-;-dire l'estimation initiale 1 vers 25 serait plus exacte. Les stations atomiques ;taient construites avec le compte sur une avarie ; un million d'ann;es, mais l'avarie De Tchernobyl s'est pass;e environ apr;s 10 000 stations-ann;es de l'exploitation (ce nombre r;ussit de la multiplication du nombre des stations vers ce moment sur un moyen d;lai de leur exploitation, et demande la pr;cision). Donc, dans le premier cas la stabilit; r;elle s'est trouv;e ; 40 fois plus mal, que l'estimation de projets, mais ; deuxi;me – ; 100 fois est plus mauvaise. D'ici nous pouvons faire la conclusion qu'en cas des objets uniques complexes les gens sous-estiment leurs risques des dizaines des fois.

       

La conclusion. Les perspectives de la pr;vention des accidents globaux
       L'humanit; n'est pas du tout condamn;e ; la disparition. Et m;me si nos chances sont pas grandes, un infiniment grand futur co;te que pour lui lutter. Absolument le fait positif est ce que la glace a d;marr; – dans les ann;es 2000 a augment; rudement le nombre des publications selon la probl;matique des accidents globaux du caract;re total et il y avait ; se former une compr;hension commune du probl;me. Il y a un espoir qu'; plus proche les d;cennies le probl;me des risques globaux deviendra universellement admis, mais les gens qui ont absorb; la compr;hension de l'importance de ces probl;mes se trouveront au pouvoir. Probablement, cela se passera non harmonieusement, mais apr;s les chocs douloureux, comme le 11 septembre, chacun de qui augmentera la lisibilit; de la litt;rature sur les risques globaux et donnera des coups de fouet ; la discussion. En outre on peut esp;rer que les efforts des gens s;par;s et les groupes des citoyens inqui;t;s contribueront ; la r;alisation d'une telle strat;gie perspective, comme le d;veloppement diff;rentiel des technologies. ; savoir, le d;veloppement Amical ÈÈ se passera par les rythmes d;passant, que, par exemple, le chargement de la conscience ; l'ordinateur, qui retrouvera finalement les forces immenses, mais sera incontr;lable. Il est aussi important que puissant ÈÈ apparaisse plus t;t, qu'il y aura des fortes nanotechnologies – de nouveau pour les pouvoir contr;ler.
       Probablement, il nous faut se r;signer par la p;riode exc;dentaire et m;me du contr;le totalitaire sur l'activit; humaine ; cette ;poque-l;, quand le risque sera maximum, mais la compr;hension des menaces concr;tes – est minimale. ; cette p;riode il sera incompr;hensible, quelle connaissance est en effet la connaissance de la d;faite massive, mais quel – le jouet inoffensif.
       Il est possible qu'aucun risque simplement nous transportera ne se mat;rialise pas. D'autre part, probablement, que nous transportera moins, et le flot des grands accidents rejettera la civilisation dans le d;veloppement loin en arri;re, cependant la personne se gardera et retrouvera l'approche plus sage de la r;alisation des acquisitions technologiques. Il est possible que sur cette voie il nous faudra : rester choix difficile pour toujours au niveau m;di;val, ayant refus; les ordinateurs et les vols vers les ;toiles, ou risquer et de tenter devenir quelque chose grand. Malgr; tout le risque, ce deuxi;me sc;nario a l'air pour moi plus attrayant, puisque l'humanit; ferm;e par la Terre est condamn;e t;t ou tard ; la disparition pour les raisons naturelles.
       On observe aussi la croissance des efforts selon la cr;ation des refuges de type diff;rent : en Norv;ge on construit le d;p;t pour les semences sur le cas de l'accident global. Bien que le tel d;p;t lui-m;me ne sauve pas les gens, on loue le fait lui-m;me de l'intention d'investir les argent et les ressources r;elles dans les projets, le retour de qui est possible seulement dans les si;cles. On examine activement le projet de la cr;ation du refuge semblable sur la Lune, que m;me appellent «le disque de secours pour la civilisation». Dans ce refuge quelqu'un est suppos; de garder non seulement toutes les connaissances des gens, mais aussi les embryons congel;s humains, dans l'espoir de ce que (les extraterrestres ?) restaurera ensuite selon eux ëþäåé313.
       D'autre part, dans ce livre je tentais de montrer que les actions irr;fl;chies de la pr;vention des accidents peuvent ;tre pas moins dangereuses, que les accidents eux-m;mes. Donc, ; pr;sent les efforts principaux doivent ;tre concentr;s non sur les projets concrets, et m;me pas sur la propagande du mode de vie "vert", mais sur la croissance de la compr;hension de la nature des risques possibles, sur la formation du consensus scientifique sur ce qu'est dangereux en fait quels niveaux du risque sont acceptables. De plus une telle discussion ne peut pas ;tre infiniment longue, comme dans certains domaines plus abstraits, puisque alors nous risquons de "dormir" l'accident s'approchant r;ellement. Cela signifie que nous sommes limit;s dans le temps.
La litt;rature
       
       
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2. Bostrom N. and Tegmark M. How Unlikely is a Doomsday Catastrophe ?//Nature, Vol. 438, No. 7069, C. 754, 2005. (La traduction Russe : Ìàêñ Òåãìàðê et Íèê Áîñòðîì. Autant est improbable l'accident du Dies irae ? http://www.proza.ru/2007/04/11-348)
3. Bostrom N. Antropic principle in science and philosophy. L., 2003.
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Les remarques :
       * Plus en d;tail on raconte de tout dans le livre de S de P. Êàïèöû, S de P. Êóðäþìîâà, G.G.Malinetskogo. Ñèíåðãåòèêà et les pronostics du futur. 3 ;dition. Ì : Åäèòîðèàë ÓÐÑÑ, 2003.
       † la th;orie Math;matique des r;gimes avec l'aggravation leur ;tait cr;;e du d;but de 1980 ann;es ; l';cole scientifique chl.-korr l'Acad;mie des Sciences de la Russie de Sergey Pavlovitch Kurdjumova dans l'Institut des math;matiques appliqu;es. M.V.Keldysha de l'Acad;mie des Sciences de la Russie. Dans les articles, les livres, les interventions de S de P. Êóðäþìîâ se plaignait parfois que les essentiels pour le d;veloppement de l'humanit; les questions ne provoque pas l'int;r;t et l'attention. Mais le futur d;j; sur le seuil et y fermer les yeux on ne peut pas d;j;.
       ‡ Ce texte appartient ; la plume du journaliste talentueux. Les salles de bain de M les attentes Orageuses. La cote de popularit; populaire ñòðàøèëîê les XXI si;cles//Êîìïüþòåððà, 2008, ¹19, s 34-36.
       § Ñèãèäà A.Mertvoe l'affaire. Il est temps de s'habituer les gel;es – le reporter Russe, les 5-12 juin, 2008, s 38-39
       ** Ëåì S la Somme de la technologie. L'oeuvre, le volume treizi;me, suppl;mentaire. Ì : le Texte, 1996.
       †† de Stepans de S d'A.Strah et le fr;missement ; êí. Àçèìîâà A.Vybor des accidents.-Spb. : l'Amphore, 2001, s 5-10
       ‡ ‡ le Cross-country Ë, si Øåððåð R.Nastupit la fin de la cosmologie ? L'univers s'acc;l;rant supprime les traces du pass; personnel//Dans le monde de la science, 2008, ¹6, s 31-37.
       §§ les D;tails sont dans le livre. V.A.Vladimirova, J.L.Vorob'±va, à G.Malinetskogo etc. la Gestion du risque. Le risque. Le d;veloppement stable. Ñèíåðãåòèêà. Ì : la science, 2000,-431s.
       *** Õèòãåíñ//Dans le monde de la science, 2008, ¹6, s 63-69
       ††† Malinetsky à Ã, Podlazov A. V, les Forgeurs Et. S. Sur le syst;me national du monitoring scientifique//le Messager de l'Acad;mie des Sciences de la Russie. 2005. Ò.75, ¹7, s 1 16.
       ‡ ‡ ‡ la version plus pr;coce de cette partie de l';tude est sortie dans le recueil de l'Institut de l'analyse syst;mique de l'Acad;mie des Sciences de la Russie en forme de l'article «Sur les raisons possibles de la sous-estimation des risques de la destruction de la civilisation humaine» la NOTE au bas de la page.
       §§§ Cet article sort dans le recueil scientifique «les Risques de l'accident global» §§§ (la maison d';dition universitaire d'Oxford) en 2008 sous la r;daction Íèêà Áîñòðîìà et le Milan ×èðêîâè÷à. Bostrom, N. and M. Cirkovic eds. Global Catastrophic Risks. Oxford University Press. 2008.
       **** C'est-;-dire, la repr;sentation sur ce que le futur fait un lapsus comme quelques hypoth;ses, au d;part ;gal en droits, mais puis leurs probabilit;s, ou est plus exactes, les degr;s de l'authenticit;, diminuent ou augmentent dans la mesure de l'entr;e de la nouvelle information selon la formule Áàéåñà.
       †††† Il est ;vident qu'; mesure que le probl;me s'approchera de nous par temps et ;tre concr;tis;, nous pourrons recevoir les estimations plus exactes dans certains cas concrets, particuli;rement, dans les t;ches facilement formalis;es comme le vol des ast;ro;des et les cons;quences de la guerre nucl;aire.
       1 Sir Martin Rees. Our final hour. 2003.
       2 Siai les recommandations sur la cr;ation amical ÈÈ. http://www.proza.ru/2007/07/13-272
       3 John Leslie. The End of the World : The Science and Ethics of Human Extinction. 1996
       4 Sir Martin Rees. Our final hour.
       5 Bostrom, N. and M. Cirkovic eds. Global Catastrophic Risks. Oxford University Press. 2008
       6 Yudkowsky E. Cognitive biases potentially affecting judgment of global risks.
       
       7 Íèê Áîñòðîì. Les menaces ; l'existence. L'analyse des sc;narios de la disparition humaine et les dangers semblables.
       8 Au m;me endroit.
       9 Stanislav Lem. "Sur l'impossibilit; de la pr;vision".
       10 Yudkowsky E. Cognitive biases potentially affecting judgment of global risks.
       11 Au m;me endroit.
       12 http://www.krugosvet.ru/articles/101/1010143/1010143a1.htm
       13 http://neo.jpl.nasa.gov/risk/doc/palermo.html
       14 Yudkowsky E. Cognitive biases potentially affecting judgment of global risks
       15 ces gens publiaient les ;tudes sp;ciales au sujet des risques de la disparition humaine.
       16 John Leslie. The End of the World : The Science and Ethics of Human Extinction. 1996
       
       17 Íèê Áîñòðîì. Les menaces ; l'existence. L'analyse des sc;narios de la disparition humaine et les dangers semblables.
       
       18 Sir Martin Rees. Our final hour.
       
       19 Sur que ïèøåë Avec, Ëåì "; l'Imaginaire et la futurologie».
       20 de cela ;crit Áîñòðîì dans «l'Analyse des sc;narios de la disparition».
       21 Hoerner, S. von. "The Search for Signals from Other Civilizations," Science, 134, 1839 (1961).
       22 A.Azimov. Le choix des accidents. Íèê Áîñòðîì. Les menaces ; l'existence. L'analyse des sc;narios de la disparition humaine et les dangers semblables.
       
       23 Richard A. Posner Catastrophe : Risk and Response.
       24 Voir la pr;sentation de son travail : http://www.budapestfutures.org/downloads/follow-up / _ WoC/session/5/Tonn/HUMAN %20EXTINCTION %20SCENARIOS.ppt
       25 E.A.Abramjan. S'il nous restait ; vivre longtemps ? Le destin de la civilisation : l'Analyse de la situation dans le monde et les perspectives du futur. http://savefuture.ru/index.php ? option=com_content&task=category§ionid=2&id=2&Itemid=4
       26 http://www.mirozdanie.narod.ru/
       27 http://www.poteplenie.ru/
       28 Íèê Áîñòðîì. Les menaces ; l'existence. L'analyse des sc;narios de la disparition humaine et les dangers semblables. http://www.proza.ru/2007/04/04-210
       29 Selon N.Bostromu «l'Analyse des sc;narios de la disparition».
       30. Reactor-Grade Plutonium Can be Used to Make Powerful and Reliable Nuclear Weapons : Separated plutonium in the fuel cycle must be protected as if it were nuclear weapons.http://www.fas.org/rlg/980826-pu.htm
       31 The Effects of a Global Thermonuclear War 4th edition : escalation in 1988. by Wm. Robert Johnston http://www.johnstonsarchive.net/nuclear/nuclearwar1.html
       32 "Nuclear autumn - new research on the nuclear winter theory". Discover. Sept 1986.
       33 N.N.Moiseev, V.V.Aleksandrov, A.M.Tarko. La personne et la biosph;re. Ì, 1985
       34 I.M.Abduragimov. «Sur l'inconsistance de la conception« de la nuit nucl;aire "et" l'hiver nucl;aire »en cons;quence des incendies apr;s la d;faite nucl;aire». 
       35 R.Frejtas. Le probl;me de la mucosit; grise.
       36 A.Robok. L'hiver nucl;aire dans le mod;le moderne du climat aux arsenals existant nucl;aires : les cons;quences sont toujours d;sesp;r;es ». 
       37 Sur cela on dit dans l'article de S.G.Gevorkjan, I.S.Gevorkjan «les accidents Pr;m;dit;s anthropiques ;cologiques», "l';volution", 2006, N3. Avec la r;f;rence au travail Þ.À Èçðàýëÿ «les cons;quences ;cologiques de la guerre possible nucl;aire»//la M;t;orologie et l'hydrologie, 1983, N10.
       38 S de S Áåêåíîâ les Crit;res et les estimations de la s;curit; d'approvisionnement http://www.krsu.edu.kg/vestnik/2003/v2/a03.html)
       39 Robock, Alan, Luke Oman, and Georgiy L. Stenchikov, 2007 : Nuclear winter revisited with a modern climate model and current nuclear arsenals : Still catastrophic consequences. J. Geophys. Res., 112, D13107, doi:2006JD008235. La traduction russe : 
       40 Voir l'article "des Connaissances la force» avec l'aper;u de ces ;v;nements : Alexander Volkov. La nature cache "les bombes avec le m;canisme d'horlogerie" http://64.233.183.104/search ? q=cache:4q1iD_1SW4MJ:www.inauka.ru/analysis/article75841.html + du % D0%B8%D0%B7%D0%B2%D0%B5%D1%80%D0%B6%D0%B5%D0%BD%D0%B8%D0%B9 + du % D0%B2%D1%83%D0%BB%D0%BA%D0%B0%D0%BD%D0%BE%D0%B2 + du % D0%B2+VI + du % D0%B2%D0%B5%D0%BA%D0%B5+535&hl=ru&ct=clnk&cd=2&client=opera
       41 Voir en d;tail 
       42 Comme propose Jon Roland. Nuclear Winter and Other Scenarios. http://www.pynthan.com/vri/nwaos.htm#HIMH
       43, Jon Roland. Nuclear Winter and Other Scenarios. http://www.pynthan.com/vri/nwaos.htm#HIMH
       44 Jon Roland. Nuclear Winter and Other Scenarios, 1984. Le manuscrit. http://www.pynthan.com/vri/nwaos.htm
       45 on peut regarder Plus en d;tail, par exemple, ici : http://www.nuclear-weapons.nm.ru/theory/dirty_bombs.htm
       46 Donn;es d'ici : http://www.tls.timesonline.co.uk/article/0, 25350-2648363,00.html
       47 Ou 1-2 ìèëèêþðè, comme parlait Æóéêîâ, administrant le laboratoire radioisotope de l'Institut des ;tudes nucl;aires de l'Acad;mie des Sciences de la Russie, sur les postes de radio «l';cho de Moscou». (http://64.233.183.104/search ? %3D1 + du % D0%BB%D0%B8%D1%82%D0%B2%D0%B8%D0%BD%D0%B5%D0%BD%D0%BA%D0%BE + du % D0%BA%D1%8E%D1%80%D0%B8&hl=ru&ct=clnk&cd=15&client=opera)
       48 Alexander Koldobsky. Prudemment – le thermopoison! http://www.geocities.com/barga44/protiv1.rtf
       49 V.B.Adamsky, J.N.Smirnov. L'explosion 50-m;gatonique sur une Nouvelle Terre. ttp://vivovoco.rsl.ru/VV/PAPERS/HISTORY/SAKHAROV.HTM.
       50 «l'Ast;ro;de a priv; l'Am;rique le p;trole». http://www.gazeta.ru/science/2008/04/29_a_2710258.shtml, Combustion of fossil organic matter at the Cretaceous-Paleogene (K-P) boundary http://www.gsajournals.org/perlserv / ? request=get-abstract&doi=10.1130%2FG24646A.1&ct=1)
       51 LA-602 Ignaition of atmosphere with nuclear bomb
       52 Shklovsky. Les ;toiles, leur naissance, la vie et la mort. M la Science, 1984.
       53 http://www.proza.ru/2008/07/19/466
       54 L.P.Feoktistov. La d;tonation thermonucl;aire. ÓÔÍ 168 1247 (1998) http://www.ufn.ru/ru/articles/1998/11/f/
       55 ×àê Õàíñåí «l'Arme nucl;aire des ;tats-Unis». "Le canon Uranique", ins;r; dans la composition de l'installation, n';tait pas la premi;re d;cision examin;e par les concepteurs de Los Alamos; la bombe initiale du type de canon avait la longueur 17 pieds (512 voir) et ;tait l'arme avec le remplissage de plutonium, ; qui pour la pr;vention de la d;tonation pr;matur;e il fallait ñäâèæåíèå les syst;mes la "cible-obus" ; la vitesse de 3000 pieds par seconde (903 m/s). Öèò. Selon "nous examinerons la physique du terrorisme nucl;aire, M. Koldobsky!" http://www.nasledie.ru/terror/25_7/7_1/article.php ? art=0
       56 Nikolay Karpan. ; l';nerg;tique atomique ne pas se laver de ×åðíîáûëÿ.//le Miroir de la semaine. ¹ 13 (592 8 — le 14 avril 2006 http://pripyat.com/ru/publications/2006/04/08/750.html
       57 «la Zone de l'ali;nation, le r;gime de l'appropriation»  exemple, en Bi;lorussie est permise de conduire l'agriculture et ; 40 êþðè sur les km sq. Que non se distingue fortement des niveaux ; 300 êþðè, et donc, les niveaux ; 300 êþðè ne peuvent pas donner la disparition garantie
       58Àëåêñàíäð Àíèñèìîâ. Le d;veloppement des forces strat;giques de la Chine et le probl;me de l'ad;quation de la situation de la politique ;trang;re des ;tats-Unis//«la Russie XXI». 2002. ¹ 4. S 28. ¹ 5 S 66 http://ecc.ru/XXI/RUS_21/ARXIV/2002/anisimov_2002_4.htm
       59 Bruce Blair. Logic of accidental nuclear war.
       60 Õåëìàíí : le "Gourou" de la cryptographie a estim; le risque de la guerre nucl;aire http://rnd.cnews.ru/liberal_arts/news/top/index_science.shtml ? 2008/04/07/295802, sa page avec l'article Martin Hellman "Risk Analysis of Nuclear Deterrence». http://nuclearrisk.org/index.php
       61 Nevil Shute. On the Beach (1957). La Ruelle - N.Gal'. Ì, les "Belles-lettres", 1991http://www.lib.ru/INPROZ/SHUT/on_beach.txt.)
       62 «la non-prolif;ration Nucl;aire ; l';poque de la mondialisation», sous la r;daction d'Alexe; Arbatova et Vasily Miheeva. Ì, le fonds Karnegi, 2007, http://www.knogg.net/n/3_12.htm
       63 John Leslie. The End of the World.
       64 http://www.ieer.org/russian/pubs/dlrtbk-r.html
       65 Dans le livre «le D;veloppement de la Terre». Sorohtin Oleg Gu;orgui;vitch, Ushakov Sergey Alexandrovitch. Le chef «l'Origine et l';volution de l'atmosph;re par la Terre». Le texte est accessible ici :        66 «on d;couvre l'oc;an immense souterrain». http://geoman.ru/news/item/f00/s02/n0000244/index.shtml
       67 «les hydrates ; gaz et le climat de la Terre». http://geo.web.ru/db/msg.html ? uri=page3.htm&mid=1161561
       68 Syvorotkin Vladimir L;onidovitch. «Les aspects ;cologiques du d;gazage de la Terre». http://geo.web.ru/db/msg.html ? mid=1172931&uri=part22.htm
       69 A.Portnov. «Comme a p;ri la vie sur le Mars» http://www.meteorite.narod.ru/proba/stati/stati107.htm
       70 John Leslie. The End of the World.
       71 A.Portnov. «Comme a p;ri la vie sur le Mars».
       72  le message sur cela est comment; par la plaisanterie suivante : «Est prudent, c'est le produit contient de petites parties, qui peuvent exterminer notre civilisation. Utiliser sous le contr;le les adultes».
       73 Þäèíà A.Novye les cr;ateurs. Les jeux, ; qui les dieux jouent. La m;canique populaire, Juillet 2005. http://www.popmech.ru/part/print.php ? articleid=259&rubricid=3
       
       74 Selon cette r;f;rence on peut regarder les prix des ADN-synth;tiseurs d'occasion : http://www.labx.com/v2/newad.cfm ? catID=14
       75 J.Chirkov. Les chim;res se ranimant. P. 106.
       76 Au m;me endroit, p. 109.
       77 http://www.homeoint.org/kotok/vaccines/news12.02.htm
       78 «le pirate G;n;tique peut cr;er l'arme biologique chez lui-m;me les maisons». La Traduction de l'article «la Bioguerre pour les bouilloires» - «Biowar for Dummies» by Paul Boutin        79 ‘ Our final hour ’ – p. 74.
       80 Green Goo : The New Nano-Threat. http://www.wired.com/medtech/health/news/2004/07/64235
       81  _ylt=Ag6k7VZPDxl_X5rtgfYDzkWs0NUE
       82 R.Dokinz. Le g;ne ;go;ste. http://warrax.net/51/dawkins/cover_dawkins.html
       83 «By demonstrating that their simulation is realistic, the researchers say, these results suggest that an entire mammal brain could be completely modeled within three years, and a human brain within the next decade». http://www.technologyreview.com/Biotech/19767/
       84 traduction de l'article Russe est accessible ici : http://mikeai.nm.ru/russian/superint.html est publi; ici : Int. Jour. of Future Studies, 1998, vol. 2.
       85 ' Larry Page, Google Look Into AI :'
     
       86 http://www.agiri.org/wiki/index.php ? title=Novamente_Cognition_Engine
       87 
       88 http://www.numenta.com/about-numenta/numenta-technology.php
       89 http://www.opencyc.org/
       90 Eurisko, The Computer With A Mind Of Its Own http://www.aliciapatterson.org/APF0704/Johnson/Johnson.html
       91 http://www.adaptiveai.com/
       92 http://www.genetic-programming.com/humancompetitive.html
       On peut respecter En russe dans la revue «Dans le monde de la science» 2003 N 6. L'expos; de l'article dans Internet : http://www.cirota.ru/forum/view.php ? subj=58515
       93 A.L.Shamis. Les voies du modelage de la mentalit;. M ÓÐÑÑ, 2006.
       94 Stephen M. Omohundro. The Basic AI Drives. 
       95 ' Êèëî des processeurs sur le bout du doigt ; des fois d;passe les pierres classiques '        96 Comme affirme Þäêîâñêè dans la feuille controvers;e SL4.
       97 Voir E.Judkovski. Le tableau des erreurs critiques Amical ÈÈ. http://www.proza.ru/2007/07/09-228
       98 j'accomplis leur traduction dans la langue russe : «SIAI les recommandations sur la cr;ation amical ÈÈ». http://www.proza.ru/2007/07/13-272
       99 En ce qui concerne les ;checs ce principe a formul; Ñòåéíèö.
       100 ; savoir, les travaux ;tant mentionn;s d;j; Þäêîâñêè et Îíîìóäðî.
       101 R.Penrouz. Un nouvel esprit du roi.
       102 Andre; Lazarchuk, Pierre Lelik «Ãîëåì veut vivre». http://www.tigerschool.org/item_31.html
       103Ethanol bill fuels food Costs http://money.cnn.com/2007/12/07/news/economy/biofuels/index.htm ? postversion=2007120712
       104 Traduction est publi;e dans la revue "l'Ordinateur".        105 Curriculums vitae sur le projet sont ; Âèêèïåäèè. http://en.wikipedia.org/wiki/Eurisko
       106 http://www.darpa.mil/ipto/programs/bica/l'Acc;s des ordinateurs russes est ferm;.
       107 Voir E.Judkovski. Le tableau des erreurs critiques Amical ÈÈ. http://www.proza.ru/2007/07/09-228
       108 Chr;tiens Øàôìåéñòåð «l'ing;nieur Mol;culaire», dans le monde de la science », 2007 N 9., p. 55.
       109 http://e-drexler.com/p/07/00/1204TechnologyRoadmap.html
       110 je l'ai traduit sur le russe : http://www.proza.ru/2007/11/07/59
       111 Áîëîíêèí À «l'explosion Artificielle du Soleil : la menace r;elle ; l'humanit;»
     
       112 Richard C. Hoagland. Did NASA Accidentally “Nuke” Jupiter ?
       http://www.enterprisemission.com/NukingJupiter.html
       113 Sur la possibilit; de l'initiation artificielle de l'explosion des plan;tes-g;ants et d'autres objets du Syst;me solaire. http://www.proza.ru/2008/07/19/466
       114 «les ;claireurs De sondage ont ins;r; pour toujours le volcan sale».
       http://www.membrana.ru/print.html ? 1169755080
       115 Article est publi; ; Nature en 2003 : David Stevenson «A Modest Proposal : Mission to Earth’s Core».  _ (annot).pdf
       116 Milans ×èðêîâè÷, Richard Katkart, «la G;o-ing;nierie qui est all;e íàñìàðêó : une nouvelle d;cision priv;e du paradoxe du Fermi». Ma traduction en russe ici : http://www.proza.ru/2007/11/10/290
       117 message Personnel de L.J.Aranovicha. Le travail est accompli sur la bourse ÐÔÔÈ.
       118 Six Places to Nuke When You’re Serious
       http://www.acceleratingfuture.com/michael/blog / ? p=120
       119 http://www.oko-planet.spb.ru / ? open&h=1&p=6_2&type=viewmes&site=235C6
       120 Study of potentially dangerous events during heavy-ion collisions at the LHC : Report of the LHC safety study group. http://doc.cern.ch/yellowrep/2003/2003-001/p1.pdf
       121 The Potential for Danger in Particle Collider Experiments.
       http://www.risk-evaluation-forum.org/anon1.htm
       122 Adrian Kent. A critical look at risk assessments for global catastrophes.
       http://arxiv.org/pdf/hep-ph/0009204
       On peut trouver 123 Expos; sommaire et la litt;rature suppl;mentaire ici : Ìàêñ Òåãìàðê et Íèê Áîñòðîì. «Autant est improbable l'accident du dies irae ?» arXiv:astro-ph/0512204v2 Ma traduction en russe : http://www.proza.ru/2007/04/11-348
       124 Voir au m;me endroit.
       125 High Energy Colliders as Black Hole Factories : The End of Short Distance Physics
       Steven B. Giddings, Scott Thomas http://xxx.lanl.gov/abs/hep-ph/0106219
       126 Do black holes radiate ? Adam D. Helfer http://xxx.lanl.gov/abs/gr-qc/0304042
       127 John Leslie. The End of the World : The Science and Ethics of Human Extinction. 1996.
       128 The Late Time Behavior of False Vacuum Decay : Possible Implications for Cosmology and Metastable Inflating States http://arxiv.org/abs/0711.1821
       129 http://www.gazeta.ru/science/2007/11/23_a_2333388.shtml
       130 Àðõèïîâ A.V.archVologique l'aspect des ;tudes de la Lune//Astronomique vestnik. - 1994. - Ò.28.-N4-5. - S 211-214. Voir http://www.arracis.com.ua/moon/m312.html
       131 Voir l'article d'A.Zajtseva «Sending and searching for interstellar messages» http://fire.relarn.ru/126/docs/iac_07_a4_2.02.pdf.
       132 D. Brin. SHOUTING AT THE COSMOS.... Or How SETI has Taken a Worrisome Turn Into Dangerous Territory. http://lifeboat.com/ex/shouting.at.the.cosmos
       133G. Cocconi and P. Morrison. Searching for Interstellar Communications. Nature, Vol. 184, Number 4690, pp. 844-846, September 19, 1959.
       134 Voir en russe l'aper;u d'A.Torgashov «les places ;lues de la correspondance avec les extraterrestres». Le reporter russe le 20 mars
       135 Telles opinions se tenait ; la fin de la vie d'I.S.Shklovsky, l'auteur du livre c;l;bre «l'Univers, la vie, la raison», nous marquerons aussi l';tude P. Ward. Rare Earth, 2002.
       136 À.Ä. Du seigneur. L';volution universelle et le probl;me de la recherche de la raison extra-terrestre (SETI). Ì, ÓÐÑÑ, 2007.
       137 F.Hojl, Äæ. Ýëëèîò. Àíäðîìåäà. Ì, 1966.
       138 H. Moravec. Mind Children : The Future of Robot and Human Intelligence, 1988.
       139 R. A. Carrigan Jr. Do potential SETI signals need to be decontaminated ? Acta Astronautica. Volume 58, Issue 2, January 2006, Pages 112-117. http://home.fnal.gov / ~ carrigan/SETI/SETI_Hacker_AC-03-IAA-8-3-06.pdf, la traduction russe : R.Kerrigen. S'il faut d;sinfecter les signaux SETI ? http://www.proza.ru/2007/11/20/582
       140 http://cosmicos.sourceforge.net/
       141 E Yudkowsky. Artificial Intelligence as a Positive and Negative Factor in Global Risk. Forthcoming in Global Catastrophic Risks, eds. Nick Bostrom and Milan Cirkovic, - UK, Oxford University Press, to appear 2008. (La traduction Russe : E.Judkovski. L'intelligence artificielle comme le facteur positif et n;gatif du risque global. http://www.proza.ru/2007/03/22-285)
       142 V.Vindzh. La flamme sur l'ab;me, 1991.
143 B. Joy. Why the future doesn't need us. Wired. 2000. http://www.wired.com/wired/archive/8.04/joy_pr.html
       144 Declaration Of Principles Concerning Activities Following The Detection Of Extraterrestrial Intelligence http://www.davidbrin.com/firstsetiprotocol.html
       145 C'est le terme r;el dans la philosophie moderne de la conscience. On peut trouver une grande s;lection des articles en anglais ici : http://consc.net/online/1/all#zombies le R;sum; du probl;me en russe : «Çîìáè et l'intelligence artificielle» http://philos.miem.edu.ru/6/257.htm
       146 une Bonne introduction au probl;me êâàëèà est ; anglais Âèêèïåäèè. http://en.wikipedia.org/wiki/Qualia on peut trouver les travaux Sp;ciaux du probl;me ici : http://consc.net/online/1/all#qualia
       147 Max Tegmark (MIT), Nick Bostrom. How unlikely is a doomsday catastrophe ? Nature, Vol. 438 (2005) : p. 754; Ìàêñ Òåãìàðê et Íèê Áîñòðîì. Autant est improbable l'accident du dies irae ? http://www.proza.ru/2007/04/11-348
       148 Voir par exemple : http://www.inopressa.ru/telegraph/2007/12/27/15:25:17/universe
       149 Phantom Energy and Cosmic Doomsday. Robert R. Caldwell, Marc Kamionkowski, Nevin N. Weinberg. http://xxx.itep.ru/abs/astro-ph/0302506
       150 Savants pr;disent la deuxi;me Grande explosion.
       http://www.inauka.ru/news/article79929.html %20
       151 Doyen a jet; ; 10 fois plus les gaz, que l'ast;ro;de, et a tu; les dinosaures
             152 http://www.oko-planet.spb.ru / ? open&h=1&p=1_2&type=viewmes&site=18ADFA
       153 explosions de la vapeur dans la terre. Une certaine th;orie. http://king-of-vulcans.narod.ru/work.htm
       154 A.Azimov. «Le Choix des accidents».
       155 Vladislav Pustynsky. «Les Cons;quences de la chute sur la Terre des grands ast;ro;des». http://www.meteorite.narod.ru/proba/stati/stati58.htm
       156 S.A.Vishnevsky (l'Institut de la min;ralogie et la p;trographie des Acad;mies des Sciences de la Russie)
       «Èìïàêòíûå de l';v;nement et la disparition des organismes».
       http://www.meteorite.narod.ru/proba/stati/stati57.htm
       157 Maritime àñòðîáëåìà pr;s de l'Antarctide http://vivovoco.rsl.ru/VV/NEWS/PRIRODA/PR_08_98.HTM
158 W. M. Napier, 1,2_ J. T. Wickramasinghe and N. C. Wickramasinghe_Extreme albedo comets and the impact hazard. Mon. Not. R. Astron. Soc. 355, 191-195 (2004)
       159 «les Dinosaures ;taient perdus par la collision des ast;ro;des ; 400 millions de km de la Terre».
       http://www.rambler.ru/news/science/0/11116242.html
       160 http://www.john-daly.com/solar.htm
       161 R.Kippenhan. «100 milliards de SOLEILS». http://www.universe.boom.ru/100.html
       «Que sera plus loin ? Que se passera, quand de plus en plus de l'hydrog;ne brulera et au centre du Soleil s'accumulera l'h;lium ? Les comptes de modelage montrent avant tout qu'aux 5 milliards plus proches d'ann;es pratiquement de rien ne changera pas. Le soleil sera lentement (comme c'est indiqu; sur fig. 5.1) se d;placer en haut selon la voie du d;veloppement sur le diagramme Ã-Ð. Ñâåòèìîñòü les soleils de plus augmentera graduellement, mais la temp;rature sur ses surfaces sera un peu plus haute au d;part, mais puis commencera lentement ; baisser. Mais tous ces changements seront pas grands. Dans 10 milliards d'ann;es apr;s le d;but de la combustion de l'hydrog;ne ñâåòèìîñòü que le Soleil de tout ; deux fois sera plus haut actuel».
       162 Graphique de la productivit; de la vie et ñâåòèìîñòè les Soleils, o; le z;ro – dans 800 millions d'ann;es - G.Aleksandrovsky. L';vasion du Soleil mourant. – la science et la vie, 08, 2001ã. http://nauka.relis.ru/05/0108/05108042.htm
       163 Shklovsky «les ;toiles : leur naissance, la vie et la mort».
       «L';ge du Soleil est connu – pr;s de 5 milliards d'ann;es. Pour un tel d;lai immense on peut d;j; attendre une certaine r;duction du contenu de l'hydrog;ne dans la partie centrale de notre astre, puisque la partie consid;rable du stock initial du Soleil hydrog;nique combustible est d;j; d;pens;e – quand m;me le Soleil brille tr;s longtemps... Se trouve Alors l'incertitude connue dans le compte du mod;le du Soleil, qui doit ;tre h;t;rog;ne. Quel pour-cent de l'hydrog;ne solaire a brul; et dans quel volume ?».
       164 Au m;me endroit, c. 169.
       165 Voir l'aper;u de la th;orie et les risques la gamme des rejaillissements : B.Shtern «les Gamma-rejaillissements : les accidents de seconde de l';chelle galactique». http://www.scientific.ru/journal/burst2.html
       166 Binary ' deathstar ' has Earth in its sights, Cosmos magazine 1.03.2008. http://www.cosmosmagazine.com/node/1878
       167 WR 104 : Technical Questions. http://www.physics.usyd.edu.au / ~ gekko/pinwheel/tech_faq.html
       168 Øòåðí, au m;me endroit.
       169 A. Melott, B. Lieberman, C. Laird, L. Martin, M. Medvedev, B. Thomas Did a gamma-ray burst initiate the late Ordovician mass extinction ? arxiv.org/abs/astro-ph/0309415, en russe : les Rayons gamma pouvaient provoquer par la Terre la p;riode glaciaire. http://www.membrana.ru/articles/global/2003/09/25/200500.html
       170 J.I.Collar. Biological Effects of Stellar Collapse Neutrinos. Phys. Rev. Lett. 76 (1996 999-1002 http://arxiv.org/abs/astro-ph/9505028
       171 A.V.Turchin «les accidents Naturels et àíòðîïíûé le principe».
       172 Neil Gehrels, Claude M. Laird, Charles H. Jackman, John K. Cannizzo, Barbara J. Mattson, Wan Chen. Ozone Depletion from Nearby Supernovae Astrophysical Journal 585 : 1169-1176. Retrieved on 2007-02-01. http://xxx.lanl.gov/abs/astro-ph/0211361
       173 Michael Richmond. Will a Nearby Supernova Endanger Life on Earth ?
       http://www.tass-survey.org/richmond/answers/snrisks.txt
       174 Nearby Supernova May Have Caused Mini-Extinction, Scientists Say
     
       175 «on d;couvre l'oc;an immense souterrain».
             176 M.G.Savin, Êóâûðîê du champ magn;tique. http://www.inauka.ru/analysis/article72812.html
       177 http://www.rian.ru/science/20080828/150747064.html
       178 Evidence for a very-long-term trend in geomagnetic secular variation.
       Andrew J. Biggin, Geert H. M. A. Strik et Cor G. Langereis, l'Augmentation des montants du noyau de la Terre a fait son champ magn;tique seulement moins
       179 http://en.wikipedia.org/wiki/Colony_Collapse_Disorder
       180
       181 Supotinsky sur SIDA http://supotnitskiy.webspecialist.ru/stat/stat3.html
       182 «on reconstitue le virus qui a tu; 50 millions des gens»
       183 Anisichkin V. O les explosions des plan;tes.//1998. Les travaux de V lectures Zababahinsky, Ñíåæèíñê. http://www.vniitf.ru/rig/konfer/5zst/Section2/2-4r.pdf
       184 Detecting a Nuclear Fission Reactor at the Center of the Earth http://arxiv.org/pdf/hep-ex/0208038
       185 Krasilov V. A. Le mod;le áèîñôåðíûõ des crises. Ýêîñèñòåìíûå les reconstructions et l';volution de la biosph;re. Âûï. 4. Ì : l';dition de l'institut Pal;ontologique, 2001. S 9-16. http://macroevolution.narod.ru/krmodelcrisis.htm
       186 A.G.Parhomov. «Sur les effets possibles li;s ; de petits trous noirs».        187 http://en.wikipedia.org/wiki/Hawking_radiation
       188 Gregory Ryskin. Methane-driven oceanic eruptions and mass extinctions. Geology 31, 741 - 744 2003. http://pangea.stanford.edu/Oceans/GES205/methaneGeology.pdf
       189 Orlando F ? rez (1970). "Notes on the Tropical Cyclones of Puerto Rico". San Juan, Puerto Rico National Weather Servicehttp://www.aoml.noaa.gov/hrd/data_sub/perez_11_20.pdf, http://en.wikipedia.org/wiki/Great_Hurricane_of_1780
       190 Emanuel, Kerry (1996-09-16). "Limits on Hurricane Intensity". Center for Meteorology and Physical Oceanography, MIT, http://wind.mit.edu / ~ emanuel/holem/holem.html, l'exposition populaire http://en.wikipedia.org/wiki/Hypercane
       191 E.M.danger Drobyshevsky de l'explosion Êàëëèñòî et ïðèîðèòåòíîñòü des missions spatiales//1999. La revue de la physique technique, le volume 69, âûï. 9. http://www.ioffe.ru/journals/jtf/1999/09/p10-14.pdf
       192 http://www.rambler.ru/news/science/0/11116242.html
       193 Òóð÷èí A.V.naturel de l'accident et àíòðîïíûé le principe.
       194 Ìàêñ Òåãìàðê et Íèê Áîñòðîì. Autant est improbable l'accident du dies irae ? arXiv:astro-ph/0512204v2. http://www.proza.ru/2007/04/11-348
       195 Rohde Robert A. ET Muller Richard A. Cycles in fossil diversity. NATURE, VOL 434, 10 MARCH 2005 http://muller.lbl.gov/papers/Rohde-Muller-Nature.pdf
       196 A.V.Karnauhov «Vers la question sur la stabilit; de la balance chimique de l'atmosph;re et le bilan thermique de la Terre». La biophysique, le volume 39, âûï. 1. 1994 http://poteplenie.ru/doc/Biophysics_1994_Greenhouse_rus.pdf
       197 http://www.pereplet.ru/text/karnauhov1.html
       198 http://www.poteplenie.ru/news/news170905.htm
       199 Andre; Vaganov. «Les Sc;narios de l'accident de serre». http://science.ng.ru/policy/2001-04-18/1_accident.html
       200 Arctic Clathrates Contain 3,000 Times More Methane Than in Atmosphere
       Methane Burps : Ticking Time Bomb JOHN ATCHESON / Baltimore Sun 16dec04
     
       201 Voir par exemple J.A.Djadin, A.L.Gushchin. Les hydrates ; gaz et le climat de la Terre. La Revue Sorosovsky D'instruction, N3, 1998, ctr.55-64 http://geo.web.ru/db/msg.html ? uri=page3.htm&mid=1161561 et Ivashchenko O. V «le Changement du climat et le changement des cycles de l'appel des gaz de serre du syst;me l'atmosph;re-lithosph;re-hydrosph;re - les liaisons en retour peuvent consid;rablement intensifier l'effet de serre». http://www.poteplenie.ru/news/news170905.htm
       202 http://www.polit.ru/news/2006/01/17/independent.html
       203 Start-Up Sells Solar Panels at Lower-Than-Usual Costhttp://www.nytimes.com/2007/12/18/technology/18solar.html ? _r=1&oref=slogin
       204 A Framework for Offshore Wind Energy Development in the United States
       http://www.mtpc.org/offshore/final_09_20.pdf
       205 http://wdstudio.net/gulfstreamturbine/index.htm
       206 Hydrates du m;thane – ýíåðãîðåñóðñ du futur ? http://www.dw-world.de/dw/article/0,2144,2331483,00.html
       207 Dmitry Verhoturov, Èëüÿ Cyrillique. Les agrotechnologies du futur : du champ labour; vers l'usine. La fin de la paysannerie. http://www.apn.ru/publications/article18767.htm
       208 Êàïèöà S de P. Sur l'acc;l;ration du temps historique. http://vivovoco.rsl.ru/VV/JOURNAL/NEWHIST/KAPTIME.HTM
       209 Michael Foote, James S. Crampton, Alan G. Beu, Bruce A. Marshall, Roger A. Cooper, Phillip A. Maxwell, Iain Matcham. Rise and Fall of Species Occupancy in Cenozoic Fossil Mollusks//Science. 2007 V. 318. P. 1131–1134.)) l'expos; Russe ici : http://elementy.ru/news/430634
       210 Ìåäâåäåâ Äàíèëà. La convergence des technologies comme le facteur de l';volution. http://www.transhumanism-russia.ru/content/view/317/116/est sortie dans le premier recueil ÐÒÄ «les Dialogues sur le futur».
       211Arthur J. Olson, Yunfeng H. E. Hu, and Ehud Keinan. Chemical mimicry of viral capsid assembly. SELF - 
       212 Heidi Ledford. The power of a single neuron. http://www.nature.com/news/2007/071219/full/news.2007.392.html
       213 Expos; du document dans le journal le "Commer;ant" http://kommersant.ru/doc.aspx ? DocsID=803524
       214 Jared Diamond Collapse : How Societies Choose to Fail or Succeed. Viking Adult, 2004. La critique russe : http://elementy.ru/lib/164676
       215 K.Es'kova «l'Histoire de la Terre et la vie sur elle». Ì, ÌÈÐÎÑ — ÌÀÈÊ la "Science/interperiodika", 2000. http://warrax.net/51/eskov/cover_eskov.html
       216 A.I.Solzhenitsyn. «La roue Rouge».
       217 http://www.vhemt.org/
       218 Dangers of Molecular Manufacturing. http://www.crnano.org/dangers.htm
       219 Anthrax Case Renews Questions on Bioterror
       http://www.nytimes.com/2008/08/03/us/03anthrax.html ? _r=1&hp&oref=slogin
       220 Áåðä le Kiwi. La cons;quence est finie, oubliez. http://offline.computerra.ru/2008/747/370384/
       
       221 cela communique Áëåéð dans le livre Bruce G. Blair. The Logic of Accidental Nuclear War, accessible ici : http://books.google.com/books ? id=cs1J3h_28AUC&pg=PA1&ots=Vbd63DAJxg&dq =, + ACCIDENTAL+NUCLEAR+WAR&sig=ZyWYztlA8gKpm1sWeCWBx0XvZig
       222 Sir Martin Rees, Our final hour, avec 71.
       223Äæîðäæ Ñîðîñ. La crise du capitalisme mondial. La soci;t; ouverte au danger. La ruelle avec àíãë. - Ì : INFRA, 1999. - XXVI, 262 s http://capitalizm.narod.ru/
       224 Rozmainskij I.V. «l'Hypoth;se de l'instabilit; financi;re» Ìèíñêè : la th;orie du cycle d'affaires du XXI si;cle ». http://ie.boom.ru/Rozmainsky/fragilation.htm
       225 Charles Perrow. Normal Accidents : Living with High-Risk Technologies. Princeton University Press. 1999.
       226 Charles Perrow. Normal Accidents : Living with High-Risk Technologies. Princeton University Press. 1999.
       227 A.D.Panov. «La Crise du cycle plan;taire de l'histoire Universelle et le r;le possible du programme SETI ; ïîñòêðèçèñíîì le d;veloppement». http://lnfm1.sai.msu.ru/SETI/koi/articles/krizis.html
       228 Âåðíîð Âèíäæ. Technologique Ñèíãóëÿðíîñòü. http://www.computerra.ru/Authors/2922/
       229 http://www.computerra.ru/Authors/2922/
       230 http://www.proza.ru/2007/07/08-42
       231 http://www.proza.ru/2007/05/14-31
       232 
       233 Stanislav Lem. Les syst;mes de l'arme du vingt premier si;cle ou l';volution les jambes en l'air. http://bio.fizteh.ru/student/diff_articles/weapon_xxi.html
       234 Erick Dreksler. «Les Voitures de la cr;ation», ãë.13. http://mikeai.nm.ru/russian/eoc/eoc.html
       235 Vladimirov V. A, Malinetsky Ã, Potapov A.B. etc. la Gestion du risque. Le risque, le d;veloppement stable, ñèíåðãåòèêà.
       236 A.Nazaretjan. Les crises civilisables dans le contexte de l'histoire Universelle.
Ì, 2001. http://macroevolution.narod.ru/nazaretyan03.htm
       237 En tout cas, une telle interpr;tation des raisons de la guerre la Production propose Äýíèåë Åðãèí dans le livre «. L'histoire universelle de la lutte pour le p;trole, l'argent et le pouvoir».
       238 Ray Kurzweil. ‘ The law of acceleration returns’. http://www.kurzweilai.net/articles/art0134.html ? printable=1
       239 Kurzweil, Ray 2001, Essay : The Law of Accelerating Returns
       240 À.Ä. Du seigneur. L';volution universelle et le probl;me de la recherche de la raison extra-terrestre (SETI). Ì, ÓÐÑÑ, 2007
       241 http://www.electronics.ru/issue/1998/1/17
       242 Cì. Le site du fonds Lifeboat Foundation www.lifeboat.com
       243 Trois "fissures" ÄÍßÎ. http://www.bellona.ru/reports/1174945172.33/htmlreport_view
       244 Michael M. Wagner. Handbook of Biosurveillance. Academic Press, 2006.
       245 Voir plus en d;tail ; ce sujet sur le site Lifeboat http://lifeboat.com/ex/bio.shield
       246 Center of responsible nanotechnology (CRN). Dangers of Molecular Manufacturing. http://www.crnano.org/dangers.htm
       247 SIAI les recommandations sur la cr;ation amical ÈÈ. http://www.proza.ru/2007/07/13-272
       248 de "la Voiture de la cr;ation», le chapitre 12.
       249 Dmitry Gluhovsky. Le m;tro 2033. Ì, 2007. http://www.metro2033.ru
       250 http://www.membrana.ru/lenta / ? 6009
       251 Brin D. Singularities and Nightmares. Nanotechnology Perceptions : A Review of Ultraprecision. Engineering and Nanotechnology, Volume 2, No. 1, March 27 2006. La traduction russe : Äýâèä Áðèí. Ñèíãóëÿðíîñòü et les cauchemars. http://www.proza.ru/2007/05/14-31
       252 Joshua Knobe, Ken D. Olum and Alexander Vilenkin. Philosophical Implications of Inflationary Cosmology.
       253 M. Tegmark. The interpretation of quantum mechanics : many worlds or many words ? 1998, Fortschr. Phys. 46, 855-862. http://arxiv.org/pdf/quant-ph/9709032
       254 James Higgo. Si "l'interpr;tation de la m;canique des quanta Signifie ìíîãîìèðíàÿ l'immortalit; ?» La traduction russe ici : http://www.proza.ru/2007/05/22-04
       255 Are You Living In a Computer Simulation ? Nick Bostrom. Philosophical Quarterly, 2003, Vol. 53, No. 211, pp. 243-255., http://www.simulation-argument.com/, la traduction russe r;duite ici : http://alt-future.narod.ru/Future/bostrom3.htm
       256 Robin Hanson. Catastrophe, Social Collapse, and Human Extinction \\August 2007 Global Catastrophic Risks, ed. Nick Bostrom. http://hanson.gmu.edu/collapse.pdf
       257 A.V.Marc. Le retour de la reine noire, ou la loi de la croissance de la moyenne dur;e de l'existence des couches en train de l';volution. Æóðí. De la Biologie totale, 2000. Ò.61. ¹ 4. S 357-369. http://macroevolution.narod.ru/redqueen.htm.
       258 Voir par exemple : d'Alekseev Alexander Sergu;;vitch. Massif de la disparition ; ôàíåðîçîå. La th;se sur la comp;tition du grade le docteur des sciences geologo-min;ralogiques selon la sp;cialit; 04.00.09 pal;ontologie et la stratigraphie. http://macroevolution.narod.ru/alekseev.htm
       259 http://www.amazon.com/gp/product/0387955011/ref=wl_it_dp ? ie=UTF8&coliid=I10HTWX6ORKBSZ&colid=3KJUU5O04VUIZ
       260 Íèê Áîñòðîì. Doomsday Argument est vivant et rue. http://www.proza.ru/2007/05/20-267
       261 Carlton M. Caves. Predicting Future Duration from Present Age : A Critical Assessment. http://info.phys.unm.edu/papers/2000/Caves2000a.pdf
       262 J. R. Gott III, “Implications of the Copernican principle for our future prospects,” Nature, 363, 315-319 (1993).
       263 Max Tegmark et Nick Bostrom. How Unlikely is a Doomsday Catastrophe ? Nature, 438, 754, 2005, arXiv : astro-ph/0512204v2. Ìàêñ Òåãìàðê et Íèê Áîñòðîì. Autant est improbable l'accident du dies irae ? http://www.proza.ru/2007/04/11-348
       264 Are You Living In a Computer Simulation ? Nick Bostrom. Philosophical Quarterly, 2003, Vol. 53, No. 211, pp. 243-255., http://www.simulation-argument.com/, la traduction russe r;duite ici : http://alt-future.narod.ru/Future/bostrom3.htm
       Si 265 Äàíèëà Ìåäâåäåâ «nous Vivons dans le trafic Íèêà Áîñòðîìà ?» http://danila.spb.ru/papers/antisim/russim.html
       266 Istv ? n A. Aranyosi. The doomsday simulation argument. http://www.personal.ceu.hu/students/03/Istvan_Aranyosi/Doomsday %20Simulation/The %20Doomsday %20Simulation %20Argument %20by %20I.A. %20Aranyosi.pdf
       267 Joshua Knobe, Ken D. Olum and Alexander Vilenkin. Philosophical Implications of Inflationary Cosmology. British Journal for the Philosophy of Science Volume 57, Number 1, March 2006, pp. 47-67 (21)
       268 Voir par exemple : http://ru.wikipedia.org/wiki/Êâàëèà
       269 ; savoir, cela ðåôëåêñèâíîå l'application est utilis;e pour son d;menti. Lansberg et Dewynne. «A probable paradox», Nature from 23 October 1997. Le r;sum; de la discussion voir ; 
       270 Nick Bostrom. Technological Revolutions : Ethics and Policy in the Dark. http://www.nickbostrom.com/revolutions.pdf
       271 E.Judkovski. Les erreurs syst;matiques dans les raisonnements, influen;ant potentiellement sur l'estimation des risques globaux. http://www.proza.ru/2007/03/08-62
       272 Nate Hagens. Peak Oil - Believe it or Not ? http://www.theoildrum.com/node/3178#more
       273 Alexe; Turchin. Les accidents naturels et àíòðîïíûé le principe.
       274 Íèê Áîñòðîì. Les menaces ; l'existence. L'analyse des sc;narios de la disparition humaine et les dangers semblables.
http://www.proza.ru/2007/04/04-210
       275 E.Judkovski. Les erreurs syst;matiques dans les raisonnements, influen;ant potentiellement sur l'estimation des risques globaux. http://www.proza.ru/2007/03/08-62
       276 cette l;gende errant futurologique mentionne S.Lem http://mars-x.ru/san/10/80_1.shtml
       277 «le tigre En papier du bioterrorisme». La partie 1. Ne crie pas les "loups"! http://www.cbio.ru/modules/news/article.php ? storyid=261
       278 E.Judkovski. Les erreurs syst;matiques dans les raisonnements, influen;ant potentiellement sur l'estimation des risques globaux. http://www.proza.ru/2007/03/08-62
       279 Voir l'article sur les erreurs dans l'estimation du pic du p;trole. http://www.theoildrum.com/node/3178#more
       280 Sir Martin Rees. Our final hour, s 65.
       281 Au m;me endroit, s 65.
       282 A.Kamju. «Le Mythe sur Sisyphe. L'essai sur l'absurde», ; ñá. Les cr;puscules des dieux, Ì, 1990.
       283 "Pentagon confirms Soviets were on war alert", Pacific Stars and Stripes, October 14, 1984, p4.
       284 Comme monsieur Martin ;crit Fig.
       285 E.Judkovski. Les erreurs syst;matiques dans les raisonnements, influen;ant potentiellement sur l'estimation des risques globaux.
       286 Au m;me endroit.
       287 Dans l'article «les Menaces ; l'existence. L'analyse des sc;narios de la disparition humaine et les dangers semblables».
       288 Voir Kruglanski A. W. Lay Epistemics and Human Knowledge : Cognitive and Motivational Bases. 1989.
       289 L.Ross, R.Nisbett. La personne et la situation : les Le;ons de la psychologie sociale. 
       290 Sur le plus Îêêàì avait en vue pas du tout cela, voir http://ivanov-petrov.livejournal.com/19980.html#cutid1
       291 S Êàïèöà, S Êóðäþìîâ, G.Malinetsky. Ñèíåðãåòèêà et les pronostics du futur, 2001
       292 http://balancer.ru/community/viewtopic.php ? id=24539&p=6
       293 S Êàïèöà, S Êóðäþìîâ, G.Malinetsky. Ñèíåðãåòèêà et les pronostics du futur, 2001
       294 JU.A.Aleksandrovsky etc. les Psychog;nies dans les conditions extr;mes, M 1991. P. 17.
       295 S Êàïèöà, S Êóðäþìîâ, G.Malinetsky. Ñèíåðãåòèêà et les pronostics du futur, 2001
       296 Ross, M. ET Sicoly, F. (1979). Egocentric biases in availability and attribution. Journal of Personality and Social Psychology 37, 322-336.
       297 http://www.acceleratingfuture.com/michael/blog / ? p=539
       298 Òóð÷èí A.V.naturel de l'accident et àíòðîïíûé le principe.
       299 Nick Bostrom. Antropic principle in science and philosophy. L. 2003
       300 «No trade theorem» annonce : vous ne devez pas vendre sur le march;, m;me si avez pour cela la possibilit;, puisque ce fait que le quelqu'un d'autre souhaite prendre la parti oppos;e ; vous dans le march;, est la meilleur preuve de ce que son information sur la situation est aussi bonne, comme votre. Voir plus en d;tail  ou l'article original ici : Paul Milgrom, Nancy Stokey, "Information, trade and common knowledge", Journal of Economic Theory, Volume 26:1, pp. 17-27. 1982 http://www.stanford.edu / ~ milgrom/publishedarticles/Information %20Trade %20and %20Common %20Knowledge.pdf
       301 Matthew R. Simmons. Twilight in the Desert : The Coming Saudi Oil Shock and the World Economy. NY, 2005.
       302 http://forum.aicommunity.org/viewtopic.php ? t=2206
       303 Rodger Penrouz. Un nouvel esprit du roi. Sur les ordinateurs, la mentalit; et les lois de la physique. ÓÐÑÑ, 2005
       304 critique Int;ressant et la discussion selon Ïåíðîóçó peut trouver ici : http://fregimus.livejournal.com/8524.html
       305 Äæîí le fond Íåéìàí. La th;orie des automates autoreproduits. Ì, le Monde, 1971.
       306 Voir le site «3 Laws Unsafe», o; on recueille de diff;rents articles critiques ; ce sujet http://www.asimovlaws.com/
       307 Comme affirme Þäêîâñêè dans la feuille controvers;e SL4.
       308 Voir http://www.memsnet.org/mems/what-is.html
       309 E.Dreksler. Les voitures de la cr;ation. http://www.mikeai.nm.ru/russian/eoc/eoc.html
       310 Au m;me endroit.
       311 http://www.crnano.org/
       312 Raffensberger C, Tickner J (eds.) Protecting Public Health and the Environment : Implementing the Precautionary Principle. Island Press, Washington, DC, 1999.
       313 Rodger Hajfild. Sur la lune cela se planifie d'arranger "l'arche sur le cas de l'apocalypse". http://inopressa.ru/telegraph/2008/03/11/16:42:15/moon
       [ò1] la Note au bas de la page ;tait faite en bas notamment ; votre demande ; ïðåäûäùåé ðåäàêòóðå, malheureusement, Word ne permet pas de faire la note au bas de la page finale du corps ; la note au bas de la page par page. Il faut ou rendre toute la phrase au corps du texte, ou toute la phrase exp;dier aux notes au bas de la page finales.
       
       [ò2] Quand j';cris qu'il le savant su;dois, je t;che de montrer ìåæäóíàðîäíîñòü des int;r;ts pour le probl;me, sinon que les Anglo-Saxons ont invent; cela seulement
       [ò3] la Note au bas de la page ;tait faite en bas notamment ; votre demande ; ïðåäûäùåé ðåäàêòóðå, malheureusement, Word ne permet pas de faire la note au bas de la page finale du corps ; la note au bas de la page par page. Il faut ou rendre toute la phrase au corps du texte, ou toute la phrase exp;dier aux notes au bas de la page finales.
       [ò4] A corrig; d'apr;s tout le texte
       [ÂÏ5] la Remarque g;n;rale selon le livre. Je peux l';crire la conscience tranquille, puisque la particularit;, de qui j';cris, m'est inh;rente. Tu parles tu te r;p;tes beaucoup souvent et sans besoin öòî÷íÿåøü. La recommandation totale – selon tout le livre ; la moindre possibilit; (sans perte èíôîðìàòèâíîñòè) r;duire le texte et en g;n;ral r;duire le livre – aux frais des applications – il est possible.
       [ÂÏ6] il y avait Ici une r;p;tition sur la r;duction de la fronti;re de la pr;visibilit; – voir le d;but du paragraphe
       [ÂÏ7] le Nom faut l'ann;e
       [ÂÏ8] de quoi ?
       [ò9] ; propos dire, l'utilisation de la virgule apr;s cependant au d;but de la proposition — l'erreur massive de plusieurs gens ;crivant de nos jours. Il arrive, tu lis le livre, mais l; ; chaque page : «cependant, il n'est pas venu...» Et la chose semblable.
     
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