C, est jour

Ëàóðà Âåð
C,est a ete le jour automnal et habituel. Le milieu de octobre. L,automne etait comme d,habitude pluvieux et triste. Toute la terre a couvert de tapis voyant-jaune des feuillages.
Le temps de les separations. Le temps des regrets et une solitude.
La saison quand toutes les plus amers souvenirs de passe sont  les meilleurs amis.
C,est la saison  est remarquable. Mais il est froid et indifferent. Pour la premiere fois dans la vie, l,automne a pu faire comme present la rencontre au lieu de la separation.
Cet a ete sa peut-etre la plus grand gaffe.
Ce le jour ete l,exception de tous regles tres claire et tres solaire.
Je ne me suis pas renconu avec lui hasard dans la rue, j,ai recu seulement sa lettre, froide et etrangere dans trois lignes.
Je ne sais pas comme il me a trouve, parmi cette de la faule colossal. Comme il a reconnu.
Pourquai a-t-il ecrit notamment de moi?
Je pose me cette question jusqu,a present.
De chaque l,homme se veux  dans cet saison comme jamais de chaleur et de certitude.  Que il est a quelqu,un necessaire.
A quelle la cible nous avons devenu ecrire l,un a l,autre? Je ne peux pas dire avec de la artitude.
Nous etions  tels differents. De nous divisions  l,image notre de la vie.
De nous  divisions le niveau de la instruction et notre habitudes vitals, l,ocean et meme du temps.
Il a parait que notre connaissance des le commencement etait condamne au  echec.
Nous faitions les pases aveugle a la rencontre de l,un a l,autre.
Nous  ecrivions dans la vacuite et nous  construitions nos images.
Souvent de nous  embrassions la agitation de la vie a chaque jour, mais il parait est etrange, nous  revenions chez notre amitie taciturne.
Cette etait la correspondance de deux perssonnes qui s,ont divisient de leurs connaissances de pays etrangers, en utilisant l,un a l,autre a qualite de la souree de connaissances et pas la correspondance deux amis intimes.
Dans la premiere fois quand je lui ai vu dans la photo que il me a envoye…. Il me a semble tel inaccessible et trop grave dans sa cravate et dans son bureau que il a se regarde absurde sur le fond la fillete reveque et tranquille qui on peut donner ne plus que 17 ans et qui regarde dans le monde tout encore largement de les yeux ouvert. Et elle croit dans le bien et les merveilles.
Dans le temps quand  il est l,homme qui a atteindu beaucoup de valeures dans la vie: il y a l,etat stable, d,etat social, de la instruction, de la sur travaille et il est alle voir beaucoup de pays du monde.
D,abord je suis me concerne chez lui comme chez de bonne connaissance.
Avant notre connaissance mon coeur a ete a un tel point de la devastation que j,ai peurais recroire a queiqu,un et m,confie
Je suis craindu s,habituer chez lui, parce que je savais que cet a on povait finir en deception. Avec chaque la sienne lettre j,ai apprenais de lui quelque shose de nouveau.
Il est devenu en premiere qui a present a traite avec moi comme a traite chez moi seulement mon pere: sincere et sans exigence quelque chose en echange.
J,ai crainu recroire dans touts bien que il m,a fait present. Il m,ai semble que ce tout seulement et que je me reveillerai bientot.
Je n,ai pas apercevu moimeme comme j,ai s,habitue chez cet homme enigmatique et independant.
J,attendais ses lettres comme jamais et comme pas de qui.
Je n,ai pas apercevu comme ma vie a devenu avoir le sens seulement il etait dans lui.
Je me reveillais chaque matin et disais “Bon matin” et la nuit je regardais des etoiles dans ciel et tentais representer que il fait a present.
Chaque mois je marqais notre petit jubile – le jour de notre “connaissance” et quoique il tellement beaucoup a signiffe mantainant dans ma vie.
Je ne puis pas jusqu,a present comprendre quele signiffe dans sa vie
De que il sense et que il veut quand me souvient.
C,est seulement le petit episode dans notre destin.
La preface chez la rencontre prochaine.