La Liste Des Raisons De Mon DEPART.
Cher Emil, je veux te quitter. C’est facile pour moi. Et pour toi aussi !
1. Tu me téléphone une fois par semaine
2. Tu écoutes pop’sa
3. Tu ne t’interesse pas à ma vie, à mes problémes, à mes goûts
4. Tu adores football. C’est normal, mais tu détèste le boiling et le billiard
5. Tu es le fanat de football. Mais ça ne te donne pas la possibilité de me proposer de visiter la match. Tu oublies que je suis une fille!
6. Tu détèste les restaurants, les cafés. Moi, je les aime beaucoup.
7. Tu ne manges pas ni le bœuf ni les hamburgers, ni les chips. Je ne peux pas comprendre quel répas tu préfères. Je ne sais pas que preparer au dinner.
8. Tu dit toujours ce que pense. Moi, j’aime la verité mais pas chaque fois.
9. Parfois tu mis le creme tonal au la poudre à ton visage. Puis, tu adore les pantalons étroit.
10. Tu ne peux pas dancer Tango. Tu ne bois pas du café.
11. Tu pese 53 kilo. Moi aussi. Mais tu suive à ce combien tu peses. C’est l’absurde!
En general tu me ressamble une fille capricieuse. Et je veux quelqu’un serieux, un garçon (ou une fille ça m’est egal maintenant!) qui adore tous que j’aime.
Catherine.
Chér Catherine,
si tu revenais je te telephonerais deux fois par semaine. C’est tout. Je ne quitteriai pas ecouter pop’sa.
Ta vie ne m’interesse pas. Elle est stupide. Toi aussi! Tu aimes les romans, tu les habites. Et puis tes goûts sont détestable.
En ce qui concerne le football… Tu aimes le boiling et moi - le football. Tu préfères du café et moi – du kefir. Tu es la tragedié, moi – la comedié. Et pas de problems. Tu n’a pas derangé ma vie, et moi – la tienne.
Nous avons été ensemble. Je ne t’ai jamais dit “Je t’aime”, toi non plus.
En général tu es sympatique. Et j’ai besoin de quelqu’un pour aller avec lui au présantation de film, où chez mes amis. C’est pas honteux d’apparaître avec toi. Mais c’est tout.
Tu étais ma chose. Moi, j’étais l’object pour toi. Tu aimes la passé tu l’habite.
Tu peux me quitter, mais es-tu sûre, que un autre garçon te diras “Je t’aime, ma Belle…”
Emil